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Blocage à la SNCF : méthode habituelle des salopards rouges.
Tandis que se profile à partir du 5 décembre prochain une grève illimitée dans les transports qui, à l'approche de Noël, pourrait bien paralyser entièrement le Pays, les chemins de fer sont, depuis vendredi, bloqués par un arrêt de travail sauvage camouflé sous le terme pudique de "droit de retrait".En droit français, le droit de retrait est le droit pour le salarié de se retirer d'une situation de travail présentant un « danger grave et imminent pour sa vie ou sa santé ». Il est fondé sur l'article L. 4131-1 du Code du travail pour les salariés et sur l'article 5-6 du décret n°82-453 du 28 mai 1982 pour les fonctionnaires qui stipule que le droit de retrait a pour seul objectif la sauvegarde du salarié et ne peut servir à faire la promotion de revendications professionnelles.À l'évidence, ces dispositions sont totalement dévoyées par les preneurs d'otages syndicaux et les maîtres chanteurs gauchistes qui usent des méthodes habituelles des salopards rouges.La grève ne doit être qu'un ultime recours lorsque les salariés sont confrontés dans une entreprise à des atteintes manifestes et établies à leur droits et à l'équité sociale. Et, lorsque la cohésion nationale et le service nécessaire de la chose publique sont mis en péril, la réquisition doit être la règle.Le Premier ministre et la direction de la SNCF ont évoqué l'éventualité de sanctions. Seront ils grondés ? Recevront-ils un avertissement pouvant déboucher sur un blâme donnant lieu à une réprimande formulée en trois exemplaires en cas de récidive?Dans l'Etat fort que nous appelons de nos vœux, tout blocage des transports serait considéré comme un acte anti national et réprimé comme tel.Lien permanent Catégories : actualité, anti-national, France et politique française, lobby, social 0 commentaire -
Marine Le Pen (RN) : « Je souhaite que le voile soit interdit dans l’intégralité de l’espace public et je le souhaite depuis des années »
Invitée du Grand Jury de RTL, Le Figaro et LCI, la présidente du Rassemblement national, Marine Le Pen, a estimé que le port du voile islamique était « une infraction » à la laïcité. Selon elle, « Le voile est un marqueur idéologique, identitaire ». Un marqueur qui « n’existait quasiment pas » il y a vingt ans et qui est « devenu un sujet (…) majeur et prégnant dans notre société » à cause de « l’immigration massive », source de « communautarisme ». Marine Le Pen poursuit : « Les femmes dans leur immense majorité qui portent le voile aujourd’hui, c’est soit par soumission, soit par sécession ».
La patronne du RN plaide également pour une prohibition du salafisme car selon elle, « On a bien interdit un certain nombre d’idéologies totalitaires sur notre territoire », « le fondamentalisme islamiste (est) une idéologie totalitaire ».
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Les vrais chiffres des mosquées radicales en France sont plus élevés que l’estimation des politiques
Breizh Info – Le Figaro Magazine rapporte le chiffre de 80 mosquées salafistes pour la seule région Île-de-France. Pour l’Observatoire de l’islamisation, les chiffres du nombre de mosquées radicales en France sont bien plus élevés que l’estimation qu’en font les politiques depuis quelques semaines.
Une semaine après l’attentat de la Préfecture de police, des personnalités politiques de droite présentent le nombre de cent mosquées salafistes en France, en se basant sur un chiffrage datant de plus de dix ans. Déjà, une étude du Service central du renseignement territorial de juin 2016 relevait 120 mosquées salafistes hors Préfecture de police de Paris qui ne relève pas de sa zone de surveillance, avec une hausse de 170 % entre 2010 et 2016. Si on ajoute les vingt mosquées salafistes de la petite couronne parisienne surveillées par la PPP, le chiffre était déjà de 140. Le 10 juillet 2018 Le Figaro[1] révélait le chiffre de 132 mosquées salafistes toujours pour la zone de compétence du SCRT. Donc le chiffre dépasse les 150 pour toute la France. On est donc bien au-delà du chiffre de cent évoqué par les responsables du RN et de LR.
Mais pourquoi se limiter aux seuls lieux de cultes salafistes, alors que l’organisation Tabligh appliquant le même type d’islam que les Talibans (courant Déobandi) est une grande pourvoyeuse de terroristes depuis trente ans ? Le SCRT comptait 147 mosquées Tabligh en 2017. Ce mouvement très hiérarchisé et encadré par la direction indo-pakistanaise, avec des stages obligatoires pour ses cadres et des missions de prosélytisme pour ses militants de base, reste une pépinière de « radicalisés ». Khaled Kelkal, Zacarias Moussaoui, Djamel Loiseau ont en effet été formés et recrutés par le Tabligh avant de passer à l’action. Plus récemment, les six familles de djihadistes français de Lunel partis en Syrie ont été fanatisés dans la mosquée Tabligh de Lunel.
En ce qui concerne le mouvement des Frères musulmans, dont un ex-président de l’UOIF admettait être membre[2], on dénombre 170 mosquées où la littérature des théoriciens de la confrérie justifiant le djihad armé offensif est très présente (lire cette enquête de terrain). Rappelons cette phrase de Hani Ramadan qui fut longtemps un des principaux conférenciers itinérants de l’UOIF avant son interdiction de séjour :
« Le monde musulman est en ébullition. Cette force peut et doit être orientée vers un État islamique, un État appliquant le Coran et la Sunna.(…) Les musulmans ne retrouveront jamais leur bonheur perdu s’ils ne reviennent pas au jihad et ne cherchent pas à établir un État islamique ». (Hani Ramadan, Sermons du vendredi rappels et exhortations, éditions Tawid, 2011, page 465.)
Beaucoup d’imams et prédicateurs des Frères musulmans de l’UOIF (rebaptisé Musulmans de France) sont de nationalité étrangère, et le ministère de l’Intérieur ne sera pas crédible dans sa lutte contre l’« hydre islamiste » tant qu’ils seront toujours tolérés sur notre sol. Ils ont été identifiés par le Centre des études du Moyen-Orient basé à Paris.
Article paru sur Breizh Info
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Le Brexit est-il le fruit d'un complot ?
Ce 15 octobre était diffusé un très utile rapport sénatorial sur le Brexit. Signé de Jean Bizet et Christian Cambon, cette étude[1] de 112 pages, livre une analyse sans concession des trois années écoulées depuis le référendum du 23 juin 2016.
Rappelons ici, tout de même la préhistoire de l'événement. Chef du Gouvernement de Sa Majesté, David Cameron pensait jouer en 2016 à UKIP le même tour qu'aux libéraux-démocrates. Aux libéraux, durablement écartés du pouvoir depuis la guerre, il avait promis, dans le cadre de leur alliance de 2010, un référendum sur une réforme du mode de scrutin [qui eût été catastrophique].
Ce référendum oublié eut lieu en mai 2011. Résultat : 42 % de participation et 68 % de non.
Aux élections suivantes, en 2015, les lib-dem furent laminés passant de 57 à 8 sièges. Les conservateurs obtinrent, avec 37 % des voix, la majorité : 380 députés sur 650 circonscriptions, ceci grâce au bon vieux système du vote uninominal à un tour.
Au lendemain de ce succès, la menace venait cette fois du parti souverainiste de Nigel Farage qui obtint, certes un seul député, mais 3,8 millions des voix et 12,7 %, contre seulement 3,1 % cinq ans plus tôt. Pour lui couper en partie l'herbe sous le pied, le gouvernement avait promis ce fameux référendum sur la sortie de l'Union européenne, cheval de bataille du "parti pour l'indépendance du Royaume Uni"…
Tout se passait très bien.
Depuis le retour au pouvoir des conservateurs en 2010 après le séjour désastreux de Gordon Brown à Downin street, le gouvernement Cameron réalisait un sans faute, l'économie britannique se portait à merveille. Les travaillistes, noyautés dans leur base militante par les mouvements trotskistes, se dotaient d'un chef de file caricatural, Jeremy Corbyn, de nature, pensait-on, à assurer leur défaite pour de longues années.
Et puis, patatras. En effet, avait pu le constater le regretté Witold Gombrowicz, il n'est de si bonne ambiance qu'on ne puisse gâcher. Et, en juin 2016, une courte majorité d'électeurs donna une victoire, totalement inattendue, aux brexiteurs…
La fin de l'interminable procédure qui en est résultée se rapproche à grande vitesse. Pourtant, au moment où ces lignes sont écrites, à 15 jours de la date fatidique du 31 octobre, on ne sait toujours pas, si véritablement un accord sera ratifié pour en amortir le choc.
Dois-je l'avouer ici ? Jamais je n'ai aimé cette idée que l'Angleterre puisse cesser de faire partie d'une communauté culturelle qui s'appelle l'Europe. Shakespeare, un des géants de l'humanité, nous appartient à tous, exactement au même titre que Goethe, Aristote ou Dante Alighieri. Et Dostoïevski. Que ceci recoupe ou non la question des institutions supranationales pensées par nos dirigeants depuis le traité de Rome de 1956, reste subsidiaire.
On est souvent tenté d'expliquer une catastrophe, grande ou petite, par ce qu'on appelle un "complot"… En réalité la victoire de forces additionnées et unies, l'emportant sur d'autres, généralement moins bien coordonnées, peut toujours être qualifiée de la sorte.
Quand même, d'un mal il peut parfois sortir un bien. Et si les Français pouvaient un instant, même pour de mauvaises, renoncer au franglais, la récupération de la langue pourrait les aider à penser plus juste.
Quelle exaspération d'entendre, en effet, l'invasion médiatique d'un idiome qui, certes, peut sonner de manière poétique, qui peut permettre aussi d'échanger quelques mots pratiques, sinon quelques concepts, quand on rencontre des Patagons, voire des Japonais[2], mais qui n'est même pas compris par nombre de ceux qui l'utilisent. Entendu récemment plusieurs pubs radiophoniques du type : "c'est la beauty week, beauty week veut dire semaine de beauté". Mais alors pourquoi ne pas le dire directement en français ?
J'en arrive donc, après ce long mais nécessaire détour, à la question, passablement irritante, du concept de "think tank". Ce mot ne figure pas dans le dictionnaire de Littré. Il ne veut donc littéralement rien dire de précis. Mais il semble désigner aux États-Unis [d'Amérique du Nord] une réalité fonctionnelle directement liée aux institutions de cette grande puissance. On peut, de façon sommaire, en décrire le rôle : des fondations privées, alimentées par quelques grosses fortunes, salarient des intellectuels pour donner des idées à ceux qui n'en ont pas. Voilà une très généreuse démarche.
Faut-il dès lors parler d'un complot ?
Il devient donc de plus en plus nécessaire de comprendre le rôle des sociétés de pensée… [à suivre]
JG Malliarakis
Lire aussi
L'Insolent du 22 novembre 2011 : Complot ou pas complot ?"Une avancée majeure dans la connaissance de la Révolution Augustin Cochin : "Les Sociétés de pensée et la démocratie moderne"
Si l’on veut connaître un pouvoir démocratique comme il est, et non plus comme il veut qu’on le voie, ce n’est évidemment pas à lui qu’il faudra le demander, fait remarquer l'auteur.
La société de pensée ignore sa loi, et c’est justement ce qui lui permet de se proclamer libre : elle est orientée à son insu, non dirigée de son aveu. Tel est le sens du nom que prend dès 1775 la plus accomplie des sociétés philosophiques, la capitale du monde des nuées : le Grand Orient. (...)
••• Un livre de 220 pages au prix de 20 euros.
• à commander sur la page catalogue des Éditions du Trident
• ou par chèque en téléchargeant un bon de commande[1] Rapport d’information, en date du 10 octobre 2019, fait au nom du Groupe de suivi sur le retrait du Royaume-Uni et sur la refondation de l’Union Européenne sur le retrait du Royaume-Uni de l’Union européenne. Document téléchargeable sur le site du Sénat.
[2] Et encore. Parmi les divergences majeures entre ceux-ci et les Coréens [du sud...] on retiendra que les fils du Soleil Levant, à la différence de ceux du Matin Calme, parlent en général très mal l'anglais.Lien permanent Catégories : actualité, anti-national, Europe et Union européenne, lobby 0 commentaire -
La musulmane Nadia Remadna accuse La France Insoumise de radicaliser les jeunes des banlieues
Nadia Remadna est une mère de famille musulmane qui a fondé l’association Brigade des Mères dans le but de mobiliser les mères musulmanes pour que leurs enfants ne tombent pas dans l’islamisme et le terrorisme ou la délinquance.
Sur un plateau de télévision, elle explique comment le parti La France Insoumise sème la haine contre la France et pousse à la radicalisation des jeunes des banlieues.
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Sept personnes soupçonnées de financement du terrorisme mises en examen dans la Drôme
Sept personnes, dont trois prisonniers du centre pénitentiaire de Valence (Drôme), ont été mises en examen vendredi pour « financement du terrorisme » et « association de malfaiteurs terroriste » à l’issue de quatre jours d’interrogatoire, selon une source judiciaire. Elles sont soupçonnées d’avoir récolté de l’argent destiné à des femmes djihadistes actuellement détenues dans le nord de la Syrie, afin de les aider à fuir.
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Le hijab est-il un signe religieux ou un signe politique hostile aux démocraties?
«Le voile noir n’est pas un signe religieux. C’est un étendard» estime Christine Clerc. PHILIPPE HUGUEN/AFPFIGAROVOX/TRIBUNE - Le débat sur le port du hijab divise la classe politique jusque dans la majorité. Mais pour la journaliste Christine Clerc, ce voile musulman n’est pas un signe religieux comme un autre: il est l’étendard d’un islam radical estime-t-elle.Par Christine CLERCMême Frédéric Péchenard! Interrogé lundi 14 octobre au matin sur Europe 1 par Sonia Mabrouk, l’ancien directeur général de la police le déclare d’un ton martial: les centaines de femmes djihadistes jusque-là gardées dans des camps kurdes ne sont pas des victimes mais bien des terroristes, comme les cinq femmes jugées ces jours-ci pour avoir tenté de faire exploser la cathédrale Notre Dame de Paris au moyen de bonbonnes à gaz.
Si ces femmes voilées de noir regagnent la France, elles tenteront à leur tour d’y commettre des attentats.Faut-il donc les empêcher de revenir?Oui, tranche notre sarkozyste à poigne, d’autant que nos prisons sont déjà surpeuplées d’ennemis de la République.Par mesure de sécurité, faut-il aussi interdire dans les lieux publics le voile noir dit hijab , comme le RN Julien Odoul , aussitôt violemment critiqué dans son propre camp, a tenté de le faire au Conseil régional de Bourgogne?Là, Péchenard hésite: «Il faut interdire tous les signes religieux».Comment lutter contre un ennemi que l’on n’ose nommer ?
Le hijab ne serait-il qu’un banal signe religieux parmi d’autres?Étrange, inquiétant déni, d’un haut responsable non pas de la gauche France insoumise mais de la droite républicaine.
Il explique l’aveuglement - ou l’auto-censure peureuse? - de toute une hiérarchie, qui a permis le quadruple meurtre au couteau en plein cœur de notre République, à la Préfecture de Police de Paris.
Il nous promet de nouvelles tragédies.
Car comment lutter contre un ennemi que l’on n’ose nommer et que l’on s’obstine même à excuser en le mettant sur le même plan , sous la même appellation «religion», que nos propres sœurs, frères et amis?Il faut oser le répéter: le voile noir n’est pas un signe religieux.
C’est un étendard.
Un étendard d’importation récente, puisqu’il n’appartient pas à la tradition du Maroc, pays du commandeur des croyants, ni à celle de la Tunisie de Bourguiba, non plus qu’à celle de l’Égypte de Nasser.
Pas davantage à celle de l’Algérie et d’autres pays d’Afrique et du Proche Orient d’où sont venus, une fois proclamée l’indépendance de leur pays, de nombreux migrants musulmans dont les mères et les femmes ne portaient pas encore le voile.Je me souviens d’avoir vu pleurer le leader algérien Hocine Aït Ahmed ( décédé en 2015 ) qui s’était battu à la tête du FLN pour l’indépendance de son pays. C’était en décembre 1989. De retour en Algérie après dix ans d’exil, il allait se présenter à la présidentielle. Dans les rues d’Oran, sa ville natale, il demandait, découvrant avec stupeur des silhouettes vêtues de noir de la tête aux pieds: «Mais qu’est-ce que c’est que ce vêtement? Ma grand-mère, qui était une fidèle musulmane, se coiffait d’un simple foulard qu’elle enlevait en rentrant à la maison…»
Le soir même, deux femmes seulement, son épouse et moi-même, allions assister à son meeting de 6000 personnes.
Bientôt, Aït Ahmed repartirait pour la Suisse.
Peu à peu, la marée noire de l’islamisme venu d’Iran allait s’étendre, menaçant le Maroc et la Tunisie et gagnant la France.Je me souviens aussi d’avoir vu, en vingt ans, changer le visage de l’Égypte où j’avais rencontré le président Sadate quelques semaines avant son assassinat.
Reniant son passé magnifique, oubliant même la révolution nassérienne, le pays qui vit naître notre civilisation allait, comme la Turquie, tomber sous la coupe des imams et des militaires.
Peu à peu, la marée noire de l’islamisme venu d’Iran allait s’étendre, menaçant le Maroc et la Tunisie et gagnant la France.Faut-il rappeler le nombre de morts causés depuis moins de dix ans dans notre pays par des fanatiques - et par leurs compagnes vêtues de noir - au nom d’un islamisme radical?19 mars 2012: à Toulouse, Mohammed Merah tue, à bout portant devant l’école juive, une fillette de 8 ans qu’il a attrapée par les cheveux.
Il abat ensuite huit personnes, dont un jeune militaire musulman, Imad Ibn Ziaten.
7 janvier 2015: les frères Cherif et Saïd Kouachi assassinent, à coups de rafales de kalachnikov, 12 journalistes et gardiens de Charlie Hebdo.
13 novembre de la même année: trois djihadistes mitraillent la salle du Bataclan: 130 morts.
14 juillet 2016: un «radicalisé» fonce au volant d’un camion bélier sur la Promenade des Anglais: 86 morts et 434 blessés graves.
26 juillet 2016: alors qu’il célèbre la messe à Saint-Étienne-du-Rouvray, le père Jacques Hamel est égorgé par deux islamistes aux cris de «Allah Abkar!»
4 avril 2017: Sarah Halimi est défenestrée par un jeune voisin qui scande le même appel à la haine.
10 septembre 2018: cinq femmes voilées de noir tentent de faire exploser la Cathédrale Notre Dame de Paris.
5 mars 2019: armée de deux couteaux en céramique, l’épouse, voilée de noir, d’un détenu «radicalisé» agresse à la prison de Condé-sur-Sarthe deux surveillants.
24 mai: à Lyon, un homme ayant prêté allégeance à l’État islamique fait exploser une bombe devant l’enseigne «Brioche dorée» . 13 victimes.
27 juin: à Brest, devant une mosquée, un fou d’Allah fait deux blessés graves…
4 Octobre, à la Préfecture de police de Paris, un «converti» armé de deux couteaux en céramique…
Les vêtements, comme les gestes et les mots, ont un sens .Combien de morts faudra-t-il aux adeptes du déni pour qu’ils voient enfin que le hijab - qu’il soit de ville, de sport ( «running» ) ou de plage - n’est pas l’expression d’une forme de coquetterie ou de liberté, à comparer à un serre-tête, un short ou une minijupe, mais un emblème de guerre contre notre civilisation et notre peuple?Les vêtements, comme les gestes et les mots, ont un sens .
À travers l’Histoire, tous les totalitarismes assassins ont imposé leur uniforme sombre .
La chemise noire, aujourd’hui si banale, fut dans les années 1930 le signe d’appartenance à un régime funeste.Qu’il nous soit permis de penser que par respect pour nos morts il est préférable, comme l’a fait Latifa Ibn Ziaten, la «mère courage» du soldat assassiné par Mohammed Merah, de porter un foulard de couleur laissant voir le front et la couleur des cheveux, plutôt qu’un long hijab noir qui rappelle tant de tragiques souvenirs.
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Qui est idéologue ? L’ISSEP ou l’Université de Lyon ?
Marion Maréchal, directrice générale de l’ISSEP, écrit :
En septembre, un étudiant en licence à l’université de Lyon II a eu le courage de dénoncer publiquement l’idéologie et le militantisme décomplexés qui gangrènent ses cours de sciences politiques et sociales. Rien ne manque à l’appel du politiquement correct : obsession de la race et du genre, indigénisme, théories décoloniales, néo-féminisme, immigrationnisme, LGBTQIAA+, prosélytisme islamique. Toutes ses matières, de la sociologie à l’histoire des idées en passant par la politique européenne, sont concernées.
On apprend à cette occasion que la direction de l’université elle-même n’hésite pas à prendre des positions politiques, au point d’encourager les étudiants à manifester devant la Préfecture pour exiger “l’accompagnement des migrants”, le tout au travers de documents administratifs rédigés en écriture inclusive !
Faut-il être surpris, alors, que le groupuscule “antifa” ayant revendiqué l’attaque contre les locaux de l’ISSEP tient un stand dans cette même université, deux jours seulement après l’agression, sans être aucunement inquiété.
Tout droit venues des campus américains, ces théories se parent d’un vernis scientifique pour assurer leur autorité et leur incontestabilité. Elles sont alimentées par le noyautage des jurys de recrutement et des comités en charge de l’orientation des crédits de recherche. Ceux-ci favorisent mécaniquement les “chercheurs” s’engouffrant dans ce moule idéologique, duquel sont exclus tous les esprits libres qui questionnent les biais idéologiques de ces théories.
La Sorbonne nous a apporté une preuve exemplaire de ce phénomène en nommant l’année dernière le Député Danièle Obono, issue de LFI et proche des indigénistes, au conseil d’administration d’une de ses unités de formation et de recherche au titre de “personnalité qualifiée” extérieure.
Mais l’histoire ne s’arrête pas là. L’étudiant de Lyon II auteur des révélations citées plus haut fut harcelé et physiquement menacé pour avoir dénoncé ce manque de pluralisme, sans que la direction de l’université ne lui manifeste le moindre appui ou ne cherche à sanctionner les auteurs de l’intimidation. Il affirme néanmoins avoir reçu de nombreux et discrets soutiens d’étudiants et de professeurs.
Face à une telle dérive scolaire, comment expliquer toutes ces grandes et petites lâchetés ? Comment expliquer que les étudiants et les professeurs, qui refusent de communier à la grande religion “intersectionnelle”, se taisent et se cachent?
Car malheureusement ce témoignage ne révèle pas seulement la dérive d’un établissement, il est le symptôme d’un mal profond qui pourrit l’ensemble de notre système d’enseignement supérieur, public ou privé, qui n’épargne pas les écoles de commerce mais frappe tout particulièrement les filières en sciences sociales et humaines.
Autrefois lieu du débat et de la recherche, l’enseignement supérieur est devenu le bras armé d’un progressisme militant et sectaire où les dissidents sont dénoncés, insultés et évincés.
Les exemples ne manquent pas. Pour n’en citer que quelques-uns : Stéphane Dorin, professeur à Limoges, licencié pour avoir dénoncé les théorie décoloniales ; Alain Finkielkraut, copieusement insulté à l’occasion de son invitation à science po Paris ; Philippe Soual, docteur en philosophie, qui s’est vu retirer définitivement son cours à la fac de Toulouse Jean-Jaurès suite à sa participation à l’université d’été de la Manif pour tous sur le thème: “Qu’est-ce que l’homme?” ; l’appel à la haine contre Laurent Bouvet, professeur de science politique à l’université de Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines qui avait dénoncé le port du voile islamique par une dirigeante syndicale de l’UNEF.
Fleurant bon ce nouveau “business”, certaines écoles sont allées jusqu’à la création de programmes dédiés à ces théories, comme à Science po Paris avec l’ “Effective Gender Equality in Research and the Academia” (égalité de genre effective dans la recherche et l’Académie).
C’est ainsi que nous assistons à la fin du débat, à la disparition de l’esprit critique face au conformisme ambiant, à la destruction de la langue, à la mort de l’intelligence tout simplement. Le summum de la bêtise ayant été atteint dans la tentative d’empêchement de la représentation de la pièce d’Eschyle Les Suppliantes à la Sorbonne pour cause de “black face”.
Ce totalitarisme rampant est d’autant plus terrible qu’il se cache derrière la morale et la tolérance pour justifier des positions haineuses et racialistes contre les européens et leur culture et “les soi-disant dominants” au détriment de la qualité de l’enseignement.
C’est ainsi qu’un profond lavage de cerveau s’opère dans l’indifférence générale sur toute une génération.
Avec l’ISSEP, nous œuvrons à la défense d’un véritable pluralisme intellectuel au sein de nos programmes. Nous apprenons à nos étudiants à débattre des idées, à étudier un auteur et son détracteur, à construire une argumentation. Nous ne disons pas à nos étudiants ce qu’ils doivent penser, ils assimilent des connaissances et les restituent comme ils l’entendent, forts de l’esprit critique que nous nous employons à développer chez ces futurs dirigeants. Notre mission pédagogique apparaît plus nécessaire que jamais.
RémiBrague a été interrogé par l’ISSEP. Extrait :
Comme universitaire, ayant occupé des chaires tant à la Sorbonne qu’à l’université de Munich, quel regard portez-vous sur les échanges et débats entre les différentes universités ? Sont-ils nombreux et enrichissants ou déplorez-vous en philosophie, comme l’écrivain Michel Houellebecq en littérature, un effacement de cette vie intellectuelle une fermeture des esprits et un tarissement de ces échanges ?
J’ai eu effectivement l’honneur d’enseigner dix ans à Munich, à la fin de ma carrière, en parallèle avec Paris I. J’ai aussi été quatre fois professeur invité aux États-Unis et, pour des séjours plus brefs, en Espagne et en Italie. Cela ne suffit pas pour porter des jugements un peu sérieux sur les qualités et défauts des systèmes universitaires. En tout cas, les échanges sont moins intenses et par conséquent moins fructueux qu’ils ne pourraient l’être. D’abord parce que la question des langues se pose. La plupart du temps, les échanges se passent en anglais, et en un anglais pas toujours très riche. Les communautés philosophiques restent quand même quelque peu centrées sur elles-mêmes. Je ne connais pas cette déclaration de Houellebecq. Elle me semble malheureusement assez juste. Nos sociétés se décomposent en groupes dont chacun a ses idées, ses lectures, ses héros et hérauts, etc. On n’a jamais autant parlé de “dialogue”, mais on entend tellement souvent : “on ne parle pas avec ces gens-là !”.
https://www.lesalonbeige.fr/qui-est-ideologue-lissep-ou-luniversite-de-lyon/
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Attentat : Ces évidences qu'on n'ose plus dire !
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L’insécurité à Paris en augmentation
FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) :
La préfecture de police de Paris a livré à l’Agence France Presse les chiffres de la criminalité sur les neuf premiers mois de l’année. Sans surprise, on constate une forte hausse de la délinquance, dans la continuité des chiffres du début de l’année qui s’annonçait déjà encore plus alarmants que les années précédentes. Ainsi, jusqu’au mois de septembre, plus de 230 000 délits ont été recensés à Paris, soit une hausse de plus de 10% par rapport à 2018. Cette hausse concerne indifféremment tous les arrondissements parisiens, du XVIIIe au XVIe. Pour l’adjointe (PS) à la Sécurité de la maire de Paris, Colombe Brossel « L’ensemble des faits de délinquance quotidienne explosent que ce soit les indicateurs de cambriolage, vols à la roulotte, vols avec violence… Ils sont tous au-dessus de 15%, voire bien au-delà »Quelles causes seraient avancées ?
Pour la maire de Paris, cette hausse de la délinquance peut s’expliquer par le mouvement des Gilets jaunes, qui a mobilisé les forces de l’ordre pour la surveillances des manifestions plus que pour la sécurité des Parisiens… Pas un mot sur la proportion d’étrangers dans ces délits qui se multiplient – rappelons que les statistiques ethniques sont interdites. Mais LCI citait en juillet dernier un haut fonctionnaire du ministère de l’Intérieur en ces termes : « La proportion d’étrangers mis en cause augmente clairement, notamment dans la délinquance du quotidien, comme les vols à la tire. Beaucoup sont en situation irrégulière dans l’Hexagone. »
Peu de médias ont traité l’information
Alors que les municipales se rapprochent, certains chiffres ne sont pas bons à être clamés sur les toits ! Effectivement, ce sujet qui touche près de deux millions de Français, n’a fait aucun grand titre. Parallèlement, l’affaire du voile qui présente les musulmans en victimes de l’intolérance latente des Français est sur représentée. Les médias auraient-ils plus d’hésitations à traiter des sujets qui pourraient remettre en cause une certaine forme d’immigration ?
https://fr.novopress.info/215857/linsecurite-a-paris-en-augmentation/