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anti-national - Page 359

  • Grande muette : le général De Gaulle aurait-il dû signer l’appel du 18 juin “Monsieur De Gaulle” ?

    Grande muette : le général De Gaulle aurait-il dû signer l’appel du 18 juin “Monsieur De Gaulle” ?

    Note préalable : Nous ne sommes pas gaulliste, et cet article ne s’intéresse pas à De Gaulle en tant que tel !

    C’est, en creux, la question qu’on aimerait poser au Général Lecointre, actuel CEMA (chef d’état-major des armées), suite aux propos qu’il a tenus devant la représentation nationale, et qui sont par ailleurs rapportés et analysés par le blog OPEX 360.

    Le CEMA a exactement dit :

    cema-l2.jpgJe me suis exprimé tout à l’heure devant un certain nombre de généraux en 2section en leur disant que je comprenais que M. Untel ait envie de faire de la politique et de s’engager pour être député, sénateur ou maire, mais que je ne comprenais pas que le général Untel en 2e section le fasse, et que si je comprenais bien que M. Untel prenne publiquement fait et cause pour telle ou telle liste, je ne comprenais pas que le général ou l’amiral Untel fasse des déclarations publiques de cette nature. Pour moi, c’est une remise en cause de la stricte neutralité politique des armées, qui est fondamentale et que nous devons préserver comme un bien extrêmement précieux.

    Aucun nom n’a été cité, mais quelques-uns nous viennent facilement à l’esprit, de Piquemal à Tauzin en passant par Dary, ou encore, du côté de la Macronie, Trinquant…

    Cette protestation de loyauté à l’égard de l’exécutif politique du moment a quelque chose d’étrange pour un régime politique et son armée qui ont Charles De Gaulle pour héros et incarnation de la légitimité et de l’honneur. Or il fut en son temps rebelle à l’exécutif en place, légitimant sa prise de position de dissident précisément par son état militaire, et son grade de général. Il y a là une incohérence majeure.

    Cette incohérence se double d’un dramatique manque de lucidité quant à la situation actuelle de notre pays, et cette position légaliste méconnait totalement notre état de déréliction, et les hypothèses croissantes de notre effondrement, et encore la responsabilité immense qu’y ont nos élites républicaines, et les exécutifs successifs devant lesquels le CEMA voudrait voir les généraux muets.

    Bien au contraire, le fait que des officiers généraux, fussent-ils en 2ème section (une position de simili-retraite, voir l’article du blog cité ci-dessus), s’expriment ès-qualité à ce sujet, est tout à leur honneur et à celui des armées, et le silence veule sinon complice de beaucoup d’autres est au contraire le témoignage d’une collaboration tacite à notre propre décadence. Au moins la collaboration d’une partie de l’État français pouvait-elle s’expliquer par le fait qu’elle se faisait avec le canon du Schmeisser sur la tempe, ce qui n’est pas franchement le cas aujourd’hui.

    Le général Lecointre, ainsi que tous ses camarades lourdement étoilés, devraient consacrer un peu de leur très court temps libre à se projeter dans quelques années, et s’interroger sur le jugement qui sera porté sur leur strict cantonnement à la seule chose militaire au sens technique et opérationnel, et à leur silence quant aux débats essentiels à la destinée nationale.

  • Allemagne : un ancien général accuse Merkel de pratiquer une politique anti-allemande et rejoint l’AfD

    « J’ai été horrifié que la politique d’ouverture des frontières se poursuive si brutalement. »

    L’ancien général allemand Joachim Wundrak, trois étoiles, veut devenir maire de Hanovre sous les couleurs de l’AfD. Il accuse la chancelière allemande d’une politique « anti-allemande » visant à « dénationaliser » l’Allemagne.

    Monsieur Wundrak, vous avez été membre de la CDU pendant six ans. Vous avez démissionné en 2014, pourquoi ?

    A l’époque, j’ai constaté que la politique migratoire du gouvernement fédéral était complètement hors de contrôle et que la police fédérale était même empêchée de rétablir l’ordre.

    Qu’avez-vous pensé quand la crise des réfugiés a éclaté un an plus tard ?

    J’ai été horrifié que la politique allemande d’ouverture des frontières se poursuive aussi brutalement. Mais je n’ai pas rejoint l’AfD à ce moment. J’espérais que la dissolution des frontières n’était pas un calcul politique.

    Vous sous-entendez donc une perte délibérée de contrôle de la part du gouvernement ?

    Je n’irais pas aussi loin : Bien entendu, l’Etat ne voulait pas perdre le contrôle. Mais il l’a accepté avec sa politique. En 2017, la chancelière allemande Angela Merkel a déclaré qu’elle ne voyait pas ce qu’elle aurait dû faire différemment. En d’autres termes, rétrospectivement, elle n’a rien compris. Quand j’ai entendu cela, j’ai décidé de rejoindre l’AfD. Mais j’y ai bien réfléchi. Parce que je savais qu’il y avait des risques. […]

    [,,,]

    Friedrich Merz, politicien de la CDU, a récemment déclaré dans une interview au journal « Bild » que son parti risque de perdre le soutien de la police et de l’armée. A-t-il raison ?

    C’est certainement un problème pour la CDU/CSU. L’AfD est le seul parti qui soutient pleinement la Bundeswehr [NDLR : l’armée allemande]. Cependant, l’appui de l’AfD dans les milieux policiers est susceptible d’être encore plus important que parmi les soldats.

    Pour quelle raison?

    Parce que les camarades de la police constatent tous les jours dans la rue les dérives de la politique allemande. Ils se trouvent aux premiers rangs, au front.

    Hier, votre parti vous a désigné comme candidat aux élections municipales de Hanovre avec 98 % d’approbation. Dans votre discours, vous avez décrit la liberté, la raison et la responsabilité comme étant des termes clés de votre vie. L’AfD est-il un parti raisonnable?

    Oui. Mais savez-vous une chose? Personne ne lit notre programme. Si vous le lisez, vous aurez une impression différente de ce parti. Le programme de l’AfD d’aujourd’hui s’inscrit dans le droit fil du programme de la CDU de 2003 et j’ai même juxtaposé les deux programmes une fois. En écoutant les discours de l’AfD au Bundestag, je dois dire que c’est du pur bon sens.

    […]

    Lors de votre première apparition, vous avez déclaré que « lorsqu’une grande partie du spectre de la gauche, y compris la chancelière d’un parti autrefois plutôt conservateur, se positionne comme anti-allemand, cela signifie que beaucoup de choses ont dû mal fonctionner ». Qu’entendez-vous par « anti-allemand » ?

    Je veux parler de la tendance de l’Allemagne à s’éloigner de plus en plus de l’État-nation. Madame Merkel a prêté serment sur l’Allemagne, mais elle a déjà du mal à parler d’un peuple allemand. Elle préfère parler de « population ». Beaucoup de politiciens allemands ont du mal à s’engager pour leur propre nation. Même la protection de leurs propres frontières n’est plus un objectif prioritaire. L’Allemagne cède de plus en plus de souveraineté à l’UE, à la Banque centrale européenne et aux organisations supranationales. Je ne pense pas que ce soit juste. L’État-nation est la première forme d’organisation de l’Allemagne. Là où les structures deviennent trop grandes, un esprit antidémocratique émerge rapidement.

    […]

    Nzz.ch

    http://www.fdesouche.com/1247249-allemagne-un-ancien-general-accuse-merkel-de-pratiquer-une-politique-anti-allemande-et-rejoint-lafd

  • Migrants: Malte et l'Italie refusent le débarquement du navire humanitaire Open Arms

    Open Arms.jpgLe navire humanitaire se trouve en mer Méditerranée avec 121 migrants à son bord. Malte et l'Italie ont tout deux refusé de laisser débarquer l'Open Arms et Matteo Salvini, ministre de l'Intérieur italien, est allé jusqu'à menacer de saisir le bateau.
    Le bateau Open Arms, de l'ONG espagnole Proactiva, qui navigue depuis six jours en Méditerranée avec 121 migrants à bord, s'est vu refuser tout débarquement à Malte et Matteo Salvini lui a interdit mercredi toute entrée dans les proches eaux italiennes.
    "L'Open Arms est depuis six jours en Méditerranée, et maintenant il menace d'entrer en Italie. Il aurait eu tout le temps de rejoindre l'Espagne", a écrit le chef de la Ligue sur Twitter

    "Que l'Open Arms ne l'oublie pas, les eaux territoriales italiennes sont fermées pour lui et nous sommes prêts à confisquer le navire", a ajouté Matteo Salvini.

    [...]
    En savoir plus sur bfmtv.com
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  • L’économiste Bernard Monot prédit un krach financier imminent et la spoliation de l’épargne

    L’économiste Bernard Monot, ex-député européen, prévoit lui-aussi un krach économique imminent.

    J’avais annoncé celui de 2008 trois mois avant qu’il ne se produise. Aujourd’hui, l’ensemble des banques font de la création monétaire et tout est financé par la dette, publique et privée, qui atteint un niveau inédit. Je m’attends à un krach encore pire, un Pearl Harbour financier qui se produira, je pense, entre 2019 et 2021. Lorsqu’il frappera l’Occident, le système financier bancaire occidental s’effondrera. Avec la directive d’union bancaire, tout l’arsenal légal est en place pour spolier et exproprier les Français de leur argent, et de leurs comptes bancaires – voire plus encore en France, où une loi particulière, la loi Sapin 2, est le pendant de l’union bancaire pour les contrats d’assurance-vie à capitalisation. L’argent sera bloqué, puis confisqué, même en-dessous du pseudo-seuil de protection de 100.000 euros, au-dessous duquel les comptes des Français ne seraient – prétendument – pas ponctionnés. C’est un mensonge institutionnel.

    (in Minute, 29 mai 2019)

    https://www.medias-presse.info/leconomiste-bernard-monot-predit-un-krach-financier-imminent-et-la-spoliation-de-lepargne/109276/

  • LA SUPPRESSION DE LA TAXE D'HABITATION DEVRAIT COÛTER CHER AUX PROPRIÉTAIRES

    unnamed.pngDevenir propriétaire engendre de nombreux frais. Même si la taxe d'habitation va disparaître progressivement, la taxe foncière, elle, risque d'augmenter régulièrement.
    La douche froide commence dès l’achat du bien, avec l’obligation, dans le neuf, de payer 20% de TVA.
    Viennent ensuite des taxes diver­ses, les frais de notaire – plutôt salés dans l’ancien –, puis, chaque année, les impôts locaux  : si la taxe d’habitation est en voie de suppression (plus aucun contribuable n’y sera assujetti en 2022), la taxe foncière due par les propriétaires risque, elle, de devenir de plus en plus élevée au fil des années à venir.
    Il est en effet question de réviser les valeurs locatives servant de base au calcul de la taxe, lesquelles sont inchangées ou presque depuis 1970. Le propriétaire d’un bien rénové situé dans un quartier en vogue pourrait alors voir sa facture flamber. Un test mené par Bercy dévoile que 60% des biens subiront une hausse de fiscalité, d’environ 125% pour les appartements et jusqu’à 185% pour les maisons. En moyenne, et sans surprise, cela reviendra à augmenter la taxe foncière du montant de la taxe d’habitation supprimée…
    [...]
    En savoir plus sur capital.fr
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    ➜ La suppression intégrale de la taxe d'habitation est reportée à l’après présidentielle de 2022

  • Un Système qui s'occupe du monde entier, mais pas assez, et pas assez bien, des Français : le scandale de Générac...

    Il s'appelait Franck Chesneau. Le vendredi 2 août, à Générac, il luttait contre un incendie d'origine criminelle. Son avion, un Tracker 22 de la sécurité civile, qui aurait du s'arrêter de voler en 2008, s'est écrasé à 17 h 20.

    Âgé d'une cinquantaine d'années, il était marié et père de deux enfants, âgés de 14 et 17 ans...

    Le lundi 5 août, le Système l'a décoré - à titre posthume - de la Légion d'honneur : c'est évidemment amplement mérité et c'est bien la moindre des choses. Il aurait mieux fait, le Système, de lui offrir sinon un avion flambant neuf, au moins un appareil correct, "avant" !...

    Nous lui avons immédiatement rendu l'hommage qu'il méritait, sans note, seulement avec le titre laconique : "Soldats du feu, soldats tout court, héros français..."

    Il convenait, sur le coup, de respecter un délai de décence, et de laisser la famille, les proches et les amis, commencer leur travail de deuil, et de ne pas lancer trop tôt une polémique.

    Mais aujourd'hui, maintenant que cinq jours ont passé, on peut commencer à crier sa colère et à accuser... le Système !

    Oui, le Système.

    3138741054.jpgCar "on" trouve chaque année, et depuis des décennies, des milliards pour l'AME, qui n'est rien d'autre qu'une incitation au clandestinisme et à la violation de nos lois. "On" trouve, comme par magie, des gymnases désaffectés, des écoles fermées, des gendarmeries abandonnées, des casernes de pompiers ou militaires vidées, bref, mille endroits, aussitôt rénovés à grands frais pour y loger... "des gens qui fuient la guerre chez eux" !

    Mais, quand Hitler a envahi une France que la République avait désarmé et que le Front Populaire n'avait pas préparé au péril imminent dont on savait bien qu'il nous guettait, les Français sont-ils partis au Kenya, en Uruguay, au Viet-Nam ou ailleurs, pour "fuir la guerre" ?

    Quelle est cette étrange justification (!) : dès qu'un pays est en guerre, donc, il est logique et normal que ses habitants s'en aillent "ailleurs" ? Et les gens d' "ailleurs" sont tenus de les accueillir ? On est là en pleine aberration mentale, si l'on peut dire !

    La vérité est que le Système dépense des milliards - et, ce, depuis des années... - pour accueillir des envahisseurs de confort et/ou économiques, qu'il rebaptise "migrants", pour faire passer la pilule (avec la bénédiction du Pape !, un comble pour un Système non pas laïque mais hypocritement et haineusement laïciste, envers la seule religion chrétienne).

    Et ces milliards, c'est précisément l'argent qui manque, et que le Système refuse :

    - aux personnels de Santé en général : infirmiers, urgentistes, aides-soignants, personnel des EHPAD... qui n'ont ni le salaire qu'ils méritent ni les conditions de travail décentes, pour eux et les patients, qu'exigent leur tâche difficile...

    - aux pompiers, qui se sont mis en grève pour protester eux aussi contre des manques de moyens de plus en plus criants...

    - aux Sauveteurs en mer, dont le drame récent du début juin dernier est venu rappeler à tous la vétusté du matériel et le manque criant, là aussi, de moyens financiers...

    - à notre réseau routier - donc à la sécurité de tous - et à l'état lamentable d'un grand nombre de routes et, selon un rapport du Sénat, datant de juin dernier, de 25.000 ponts jugés dangereux...

    - à nos Armées, dont on a, certes, augmenté le budget, pour le faire tendre vers les 2% du PIB, mais bien loin cependant des 4% dont elles disposaient dans les années soixante : on ne compte plus les hélicos qui ne peuvent voler, les matériels roulants qui demandent autant ou plus d'heures de réparations qu'ils n'en passent sur le terrain, les pilotes de chars ou d'avions dont le nombre d'heures d'entraînement a été dramatiquement réduit...

    - à nos paysans, qui font vivre nos paysages - ces paysages si beaux que le monde nous envie - mais qui manquent d'eau parce qu'on ne constelle pas la France des retenues, barrages, lacs artificiels qui permettraient de retenir l'eau de pluie qui tombe en hiver pour en profiter l'été : l'Espagne, où il pleut bien moins que chez nous, récupère 20% des eux de pluie hivernales, la France... 2 % !...

    15.jpg

    - et enfin, pour en revenir à notre point de départ (mais cette courte liste n'est pas limitative) à nos soldats du feu, qui doivent lutter contre les incendies avec, on l'a dit en commençant, des appareils qui auraient du être retirés du service en... 2008 !

    Alors, oui, après la mort de Franck Chesneau on peut et on doit poser la question politique qui dérange : la France est un pays riche, comment donc en est-on arrivé là  ?

    Parce que, si la France est bien un  pays riche, c'est un pays mal géré par le Système. Un Système qui ne part pas de l'humble et modeste observation des choses, des réalités d'en bas, mais de ses présupposés idéologiques, de ses nuées, de ses abstractions.

    Des abstractions qui, peu à peu, déclassent et ruinent le pays...

    Des abstractions qui tuent...

    Voilà pourquoi nous menons et nous continuerons à mener la seule action qui mérite de l'être : une action "réellement d'opposition, c'est-à-dire prônant ouvertement la subversion du Régime" (Léon Daudet).

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/08/07/un-systeme-qui-s-occupe-du-monde-entier-mais-pas-assez-et-pa-6168578.html

  • Racisme anti-Blanc sur France Inter

    racisme.jpg

    Essayez de dire ça : «  L'homme noir ne peut pas, dans sa chair, dans son âme, incarner l'antiracisme. Non. Il ne peut pas être antiraciste. Jamais il n'aura raison contre une femme blanche ou asiatique. Il va bien falloir que l'Afrique le comprenne un jour ». Bien sûr que vous ne le direz pas. Et à supposez que vous le fassiez, les micros, dégoûtés, se détourneraient de vous.

    Et maintenant, écoutez ça. « L'homme blanc ne peut pas, dans sa chair, dans son âme. incarner l'antiracisme. Non. Il ne peut pas être antiraciste. Jamais il n'aura raison contre une femme noire ou arabe. Il va bien falloir que la France le comprenne un jour. » C'était dans l'émission de Lauren Bastide sur France Inter, une radio qui vit de notre redevance audiovisuelle. Il est bien normal de payer pour être insulté, non ?

    La personne qui a tenu, en toute liberté ces propos abjects, s'appelle Maboula Soumaharo. Pour éviter tout jeu de mot facile sur « Maboula, le féminin de maboule ? », précisons qu'elle est parfaitement saine d'esprit. La haine, en effet, n'est pas considérée comme une pathologie psychiatrique.

    France Inter la présente comme étant « angliciste » et « civilisationniste ». Et précise qu'elle est maître (la radio dit « maîtresse ») de conférence à l'université de Tours. Pas un mot, en revanche, sur le fait qu'elle est proche des Indigènes de la République, une association qui vomit les « souchiens ». Pas un mot non plus sur le fait que Maboula Soumaharo co-organise des camps « dé-coloniaux » interdits aux Blancs.

    Normal que France Inter ne le dise pas : on ne va quand même pas expliquer aux auditeurs à qui ils ont à faire. N'en déduisons pas pour autant que Maboula Soumaharo déteste tous les Blancs : elle en aime certains. Par exemple, Lauren Bastide, qui l'a reçue. Sa sympathie pour elle est si grande qu'elle n'a pas exigé être interviewé par un journaliste noir. Et si vous voulez savoir pourquoi la journaliste n'a pas réagi aux propos écœurants de Maboula Soumaharo, voici la réponse : c'est qu'un Blanc, ou une Blanche, ne peut pas avoir raison contre une femme noire...

    Source : site Atlantico

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/08/08/racisme-anti-blanc-sur-france-inter-6169021.html

  • CETA - L'IMPOSTURE EXPLIQUÉE À CEUX QUI L'ONT VOTÉE (ET AUX AUTRES)

  • France : 500.000 immigrés supplémentaires par an

    Chronique de Paysan Savoyard (n° 222 – août 2019)

    Quelle est l’ampleur des flux de populations originaires de pays non européens à destination de la France métropolitaine ? Il n’est pas inutile de faire le point, de nouveau, sur cette question centrale.

    Si les pouvoirs publics taisent ou dissimulent de nombreuses données essentielles, les chiffres officiels qui sont publiés permettent tout de même de procéder à des évaluations assez fiables et précises. Les données se rapportant à 2018 sont désormais disponibles.

    • L’immigration légale 

    Le ministère de l’intérieur comptabilise les nouveaux titres de séjour en France métropolitaine délivrés aux immigrés non européens qui se sont installés légalement au cours de l’année (voir cette chronique).

    Le nombre de ces titres augmente chaque année depuis plus de 40 ans. En 1998, ce nombre était de 143.000. En 2008 il était de 183.000. L’augmentation s’est poursuivie ces dernières années : 217.000 en 2015 ; 230.000 en 2016 ; 247.000 en 2017. En 2018 les immigrés non européens supplémentaires qui se sont installés en France métropolitaine de façon légale, pour motif familial, pour y travailler ou pour y suivre des études, ont été 255.000, ce qui constitue un nouveau record.

    • L’asile

    Le nombre des demandes d’asile présentées par des étrangers non européens augmente fortement depuis plusieurs années : 66.000 en 2013 ; 128.790 en 2018 (NB : ce nombre est celui des nouvelles demandes ; il comprend les « mineurs accompagnants » et les « dublinés » ; voir cette chronique).

    Après une instruction de plusieurs mois, moins d’un quart des demandes d’asile débouchent sur l’attribution du statut de réfugié, les autres demandes étant considérées comme injustifiées : 11.000 statuts accordés en 2013 ; 33.000 en 2018. Les étrangers obtenant l’asile se voient délivrer un titre de séjour, comptabilisé dans les nouveaux titres évoqués au paragraphe précédent.

    Lorsqu’ils n’obtiennent pas l’asile, les demandeurs doivent en principe quitter le territoire. Il se trouve que dans la pratique presque tous ces déboutés se maintiennent en France de façon irrégulière, avec l’assentiment des pouvoirs publics : un rapport parlementaire de 2013 estimait que le nombre annuel des reconduites de déboutés de l’asile n’excédait pas 2000. Précisons que ces déboutés, devenus immigrés irréguliers, ont de bonnes chances d’être ensuite régularisés après une certaine durée de séjour en France. Dans ces conditions, comme l’indiquait le rapport parlementaire de 2013, l’asile est devenu l’une des voies de l’immigration.

    Pour comptabiliser les immigrés supplémentaires qui s’installent en France au cours d’une année, il faut donc prendre en compte les déboutés du droit d’asile, qui dans la pratique se maintiennent presque tous sur le territoire. Pour 2018 le nombre des déboutés est d’environ 95.000 (128.790 demandes présentées ; 33.330 asiles accordés).

    • Les mineurs non accompagnés

    Depuis quelques années une nouvelle voie d’immigration est apparue : celle des mineurs isolés, non accompagnés par un adulte. Un rapport parlementaire de 2017 indique que le nombre de ces mineurs non accompagnés, en forte augmentation chaque année, s’est élevé en 2016 à 8054. Le rapport ajoute que l’arrivée de ces mineurs est le plus souvent organisée. La loi a rendu en effet ces mineurs inexpulsables et ils bénéficient automatiquement d’une prise en charge par l’Etat dans le cadre de la protection de l’enfance.

    • L’immigration clandestine

    L’immigration irrégulière est constituée d’une part des déboutés de l’asile qui se sont maintenus sur le territoire, évoqués plus avant. Les autres immigrés irréguliers sont ceux qui se sont installés sur le territoire sans présenter une demande d’asile.

    Une partie de ces immigrés irréguliers sont arrivés sur le territoire de façon légale munis d’un visa les autorisant à un séjour court (moins de 3 mois) et se sont maintenus sur le territoire à l’échéance de leur visa. Figurent notamment parmi ces immigrés les ressortissants de pays considérés comme sûrs, pour lesquels l’asile n’est pratiquement jamais accordé (les marocains et les tunisiens notamment).

    Le nombre annuel de ces immigrés supplémentaires qui s’installent irrégulièrement en France sans demander l’asile n’est pas connu et peut difficilement être estimé.

    On peut seulement signaler sur ce point que les pouvoirs publics annoncent éloigner du territoire environ 30.000 immigrés en situation irrégulière par an (30.276 en 2018, y compris les retours aidés et les retours volontaires). Signalons que, selon différents témoignages, la plupart de ces éloignements concernent en réalité les Dom-Tom, en particulier Mayotte, et sont souvent suivis d’un retour rapide des « éloignés » sur le territoire national.

    • Les naissances

    Le nombre des naissances issues de l’immigration ne fait pas l’objet, cela va sans dire, d’une comptabilisation officielle. Il est pourtant possible de le connaître de façon précise. Il se trouve en effet que tous les nouveaux-nés dont les parents sont originaire d’Afrique ou du Moyen-Orient subissent un test destiné à détecter la drépanocytose, maladie génétique grave touchant exclusivement les populations originaires de ces régions du monde. Le rapport annuel de l’organisme officiel, l’AFDPHE, chargé de l’organisation de ces tests permet donc de connaître très précisément le nombre des naissances issues de l’immigration, à l’exception de l’immigration asiatique et américaine. Afin de tarir cette source précieuse d’information utilisée par la « fachosphère », le gouvernement a décidé l’an dernier de… supprimer le rapport annuel national produit jusque-là. On ne peut donc plus désormais que se référer aux données antérieures à 2016. Celles-ci cependant restent très éclairantes (voir cet article et cette chronique)

    Les derniers rapports de l’AFDPHE montraient que le nombre des naissances issues de l’immigration africaine ou moyen-orientale est chaque année en augmentation forte et constante. En 2006 ce nombre était en métropole d’un peu plus de 200.000, soit 27 % du total des naissances. En 2016 il atteignait presque 300.000 (292.871 précisément), soit près de 40 % du total des naissances. On peut penser que le nombre absolu aussi bien que le ratio ont depuis encore augmenté.

    • Les départs et les décès

    Pour déterminer le nombre des immigrés non européens supplémentaires qui s’installent chaque année en métropole, il convient de déduire des chiffres énumérés ci-dessus le nombre des immigrés qui quittent le territoire ainsi que le nombre des décès dans la population originaire de l’immigration.

    Les départs du territoire ne sont pas comptabilisés par l’administration française. Cette carence permet aux pouvoirs publics de prétendre par exemple, sans pouvoir être démentis, que la plupart des étudiants étrangers regagnent leur pays à l’issue de leurs études.

    Nous considérons pour notre part qu’au contraire de ce qu’affirment les pouvoirs publics, les départs d’immigrés sont probablement très peu nombreux. Les immigrés s’installent en effet en France pour bénéficier des avantages de toutes sortes qui leur sont accordés : la France étant l’un des pays occidentaux les plus « généreux », il n’y aucune raison pour les immigrés de changer d’avis et de la quitter. Ils sont d’autant moins incités à retourner chez eux que les droits des immigrés augmentent avec la durée de leur séjour, à commencer par le droit à la régularisation et le droit à l’octroi de la nationalité.

    S’agissant des décès dans la population issue de l’immigration, on peut effectuer l’estimation suivante. La population résidant en France métropolitaine étant de 65 millions et le nombre total des décès de 600.000, le taux de mortalité est de 9 pour mille environ. La population issue de l’immigration non européenne peut être estimée à un niveau compris entre 15 et 18 millions. Si l’on rapporte le taux national de mortalité à une population immigrée de 15 millions, soit l’estimation minimale, on obtient un nombre de décès de 135.000. Encore faut-il prendre en compte le fait que, la population originaire de l’immigration étant en moyenne beaucoup plus jeune que la population autochtone, son taux de mortalité est dès lors bien moindre. On peut donc considérer que le nombre annuel des décès dans la population issue de l’immigration non européenne n’excède pas 100.000.

    Le total est donc le suivant. Installations légales : 255.000 ; Maintien des demandeurs d’asile déboutés : 95.000 ; Mineurs non accompagnés : 8000 ; Autres immigrés irréguliers : nombre inconnu ; Naissances : 300.000.  Du total de ces chiffres il convient de déduire 100.000 décès.  Le nombre des départs peut lui être considéré comme négligeable. Solde : 558.000.

    Nous estimions en 2009 le nombre annuel des immigrés non européens supplémentaires qui naissent ou s’installent en France métropolitaine a au moins 400.000 (voir cette chronique). Dix ans plus tard, cette estimation peut être relevée à au moins 500.000.

    Voir également ces chroniques :

    Le projet de loi immigration : des mesures de durcissement « bidon » cachant plusieurs dispositions qui accentueront l’invasion

    Comment l’INSEE manipule les chiffres de l’immigration

    https://leblogdepaysansavoyard.wordpress.com/

  • Priver des enfants de père, c’est VRAIMENT ce que vous voulez ?

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    Lettre ouverte à mon député

    Monsieur le député,

    Le gouvernement soumet au Parlement un projet de loi de bioéthique ouvrant l’accès à la procréation médicalement assistée aux couples de femmes et aux femmes seules, effaçant ainsi la condition préalable d’infertilité médicale qui la réservait aux couples hétérosexuels. Il prévoit, en outre, son remboursement par la Sécurité sociale.

    Les arguments dont usent les promoteurs de cette PMA peuvent être regroupés en quatre propositions :

    C’est une mesure égalitaire qui vise à mettre fin à une discrimination.

    La PMA est légale à l’étranger (Espagne et Belgique).

    Elle n’enlèverait rien à personne.

    Elle serait consensuelle et conforme à l’éthique.

    Sur l’égalité, le Conseil d’État a tranché en septembre 2018 : il n’est pas discriminant de traiter différemment des situations objectivement différentes. User de cet argument, aujourd’hui, conduirait à ne pas pouvoir le réfuter demain à propos de la gestation pour autrui. Enfin, la Déclaration des droits de l’homme consacre l’égalité entre les individus, mais pas celle des couples.

    Concernant la concurrence étrangère, devrions-nous légaliser l’excision, la lapidation des femmes adultères ou l’emprisonnement des victimes de viol sous prétexte que cela se pratique dans d’autres États dont certains siègent au Comité des droits de l’homme de l’ONU ?

    Le troisième argument relève du mensonge. Une PMA réalisée pour un couple lesbien ou une femme seule enlève à l’enfant à naître une personne essentielle, le père, et une chose essentielle, la filiation.

    Le seul consensus constaté lors des États généraux de la bioéthique est défavorable à cette PMA sans père. Les conclusions du Comité consultatif national d’éthique (CCNE), en contradiction avec les arguments développés et les avis recueillis, sont dès lors biaisées. Son président a, d’ailleurs, perdu tout crédit quand il a avoué ne pas savoir faire la différence entre le bien et le mal. Quant aux sondages, ils sont contradictoires suivant la formulation des questions posées. Enfin, ce projet de loi crée un « droit à l’enfant » qui le réifie – pour être plus clair, le chosifie -, ce qui n’est pas éthique.

    Ainsi, les arguments favorables à l’ouverture de la PMA ne sont pas probants. Mais d’autres contre-arguments peuvent être évoqués.

    L’absence de père favorise les problèmes d’intégration sociale des enfants et adolescents : échec scolaire, délinquance et troubles psychologiques. Une inégalité serait créée entre enfants avec filiation biologique vs. filiation bricolée. En cas de divorce, l’égalité de traitement entre belle-mère et mère biologique risque d’être problématique. La filiation elle-même sera dénaturée, elle passe du biologique et charnel au contractuel.

    La levée de l’anonymat du don de gamètes fera chuter la collecte. Face une demande en hausse, rémunérer les donneurs ou les acheter à l’étranger signifierait la fin de l’indisponibilité du corps humain et sa marchandisation. En outre, toute PMA avec tiers donneur, et donc ce qui se pratique aujourd’hui, est eugéniste. Le dossier remis à la majorité prévu par le projet de loi souffre de deux tares : un père ne se réduit pas à une somme d’informations, aussi complète fût-elle, et c’est pendant l’enfance et l’adolescence, quand se construit sa personnalité, qu’un enfant a besoin de son père.

    Aujourd’hui sont occultés les risques médicaux induits par la PMA, tant pour la mère biologique que pour l’enfant.

    Autre conséquence néfaste, la dénaturation de la médecine ravalée au rang de simple prestation de service. Le remboursement de cette PMA non thérapeutique par des assurances maladie ressemble à s’y méprendre à une escroquerie à l’assurance. Il serait, en outre, paradoxal de voter ce remboursement quand on voit la santé publique mise à mal avec les déserts médicaux, la crise des urgences, la pénurie de médicaments ou leur déremboursement.

    Notre pays, malmené par une grave crise sociale non résolue, a-t-il les moyens de se lancer dans l’aventure socialement très clivante d’une loi qui priverait des enfants de père avec la complicité de l’État ?

    Je souhaiterais savoir comment vous vous positionnerez sur cette loi. Je me tiens à votre disposition pour d’éventuelles précisions. Je vous prie de croire, Monsieur le Député, à mes plus sincères salutations.

    Rémy Mahoudeaux

    https://www.bvoltaire.fr/priver-des-enfants-de-pere-cest-vraiment-ce-que-vous-voulez/