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anti-national - Page 360

  • Vincent Lapierre s’intéresse au Bilderberg…

    Que penser du Bilderberg ? Vincent Lapierre tend son micro à quelques personnes…

  • Philippe d’Iribarne : «Islam : pourquoi beaucoup, en France, s’interdisent de nommer les faits qui gênent»

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    Ancien élève de l’École polytechnique et directeur de recherche au CNRS, le grand sociologue Philippe d’Iribarne analyse les freins psychologiques et les blocages culturels qui, selon lui, conduisent les Français s’exprimant dans l’espace public à l’autocensure et au déni sur certains aspects de l’islam.

    Il n’est sans doute pas de sujet plus clivant dans la France d’aujourd’hui que ce qui touche à l’islam et au monde musulman. Il n’est quasiment pas de semaine sans que la polémique ne renaisse à son propos: la tenue islamique, du burkini dans les piscines aux mères voilées accompagnant les sorties scolaires, vue par certains comme un symbole féministe de liberté en dépit de la place que lui donnent les pays musulmans les plus attachés à l’enfermement des femmes ; les agressions contre des juifs ponctuées de «Allah akbar», dont on voit nier qu’elles aient un rapport avec une forme d’antisémitisme.

    D’autres thèmes surgissent de façon plus épisodique, telles, récemment, les manifestations des supporteurs de l’équipe de football d’Algérie, que tout le monde auraient trouvées insupportables si les supporteurs du PSG ou de l’OM étaient en cause… […]

    Le Figaro

    http://www.citoyens-et-francais.fr/2019/07/philippe-d-iribarne-islam-pourquoi-beaucoup-en-france-s-interdisent-de-nommer-les-faits-qui-genent.html

  • Tuerie d'Ollioules, rixe mortelle en Moselle, rixes permanentes entre "migrants" à Marseille, à Paris...

    ...Non, s'il y a bien un (mauvais) film "Tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil..." on ne peut pas transposer son titre bêta à notre réalité, où l'insupportable devient la norme, le quotidien : non, "tous les envahisseurs, même rebaptisés "migrants", ils sont pas beau, tous les envahisseurs ils sont pas gentils".

    Nous essaierons de faire un point sur la situation très bientôt, en nous appuyant, pour ne pas être soupçonnés, sur des faits et propos tirés de La Provence, un quotidien notoirement "politiquement correct", tout à fait "antiraciste" (!) et pro-migrants et tout et tout...

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/08/01/tuerie-d-ollioules-rixe-mortelle-en-moselle-rixes-permanente-6167738.html

  • Réforme des retraites : le député (et ex-voyante mise en examen) Corinne Vignon incapable de répondre

    L’interro surprise se révèle totalement ratée pour ce député de la majorité incapable d’expliquer la réforme que son parti fait passer au parlement. Elle était sûrement plus loquace pour raconter des salades à ses clients.

    Le niveau politique du Système est chaque année plus lamentable, mais il faut reconnaître que la vague Macron a fait fort.


    D’ailleurs, puisqu’on parle d’elle, rappelons qu’en 2017, l’enquête sur les activités de voyance de Vignon (avant qu’elle ne devienne député) avait été classée sans suite très rapidement par le parquet (on comprend tous ce que cela signifie…). On peut dire qu’en tout cas elle avait fait ce qu’il fallait pour sa retraite !

    L’image contient peut-être : 1 personne, sourit, texte

    « Le dossier Vignon arrive sur le bureau du Procureur par les services fiscaux. En amont de l’enquête judiciaire, la direction des Finances Publiques de la Haute-Garonne a déjà « scanné » les revenus de la future députée. Le « fisc » s’est livré à une expertise. Il a estimé que les soupçons étaient suffisamment lourds pour justifier la saisine de la justice. Le classement sans suite est, d’ailleurs, un camouflet pour les « impôts ». Leur analyse n’est donc pas suivie par le parquet.

    Mais, surtout, cela signifie que les enquêteurs du SRPJ ne partaient pas complètement de zéro. Un certain balisage pouvait accélérer le mouvement et l’enquête. Néanmoins, la période n’était pas vraiment propice. L’ouverture de l’enquête date du mois de juin. En juillet et surtout au mois d’août difficile de mener des auditions. Les témoins éventuels sont à la plage ou à l’autre bout de la France.

    Mais, selon nos informations, mercredi 6 septembre, les enquêteurs cherchaient toujours à contacter des témoins. 48 heures avant le classement sans suite, le SRPJ continuait donc ses investigations. Cela laisse peu de temps pour faire la synthèse des procès-verbaux, les transmettre au Parquet, que ce dernier prenne connaissance du rapport et se prononce.

    Les magistrats sont les premiers à déplorer la lenteur de la Justice. Dans l’affaire Vignon, cela n’a pas traîné. » (source France 3)

    http://www.contre-info.com/reforme-des-retraites-le-depute-et-ex-voyante-mise-en-examen-corinne-vignon-incapable-de-repondre#more-58998

  • Bal tragique à Nantes le 21 juin, un mort : Édouard Philippe

    #QuiatuéSteve ? Steve Caniço n’est pas le seul à s’être noyé lors de la nuit tragique du 21 juin à Nantes.
    Édouard Philippe, Premier ministre, vient de le rejoindre dans la liste des victimes.
    Le corps sans vie de Steve Caniço a été retrouvé lundi 29 juillet – 38 jours après sa disparition – dans la Loire, pratiquement à l’endroit où il était tombé. (C’est dire le zèle avec lequel son corps fut recherché.)
    Le corps de Steve Caniço à peine récupéré, le Premier ministre s’est fendu d’une analyse en s’appuyant sur le résultat d’une enquête de l’IGPN (la police des polices).
    « Pas de lien entre la disparition de Steve et l’intervention de la police. »
    Un cadavre politique dérisoire, puant, méprisé de tous
    Problème : le rapport de l’IGPN sur lequel s’appuie Édouard Philippe est daté du 16 juillet 2019, c’est-à-dire à un moment où tout le monde, autorités comprises, s’interrogeait encore – ou faisait mine – sur ce qu’il était advenu de Steve Caniço : #OùestSteve ?
    Mais déjà, l’IGPN avait tiré ses conclusions.
    Déjà, le Premier ministre Philippe mettait au chaud ces conclusions opportunes (comme toutes les conclusions de l’IGPN sur ce genre d’enquête) pour ne les lire – ô hasard, ô coïncidence – qu’au lendemain de la découverte du corps du supplicié.
    C’est dire le sérieux de cette enquête.
    C’est dire le sérieux de ces conclusions (contredites par les multiples vidéos et photos tirées de la tragédie).
    C’est dire le sérieux d’Édouard Philippe, Premier ministre à figure plus mortifère, tu meurs.
    La tragédie du 21 juin a donc fait deux victimes : Steve Caniço et Édouard Philippe.
    Mais le second est juste un peu mort plus que le premier.
    Steve Caniço survivra longtemps encore dans les mémoires.
    Édouard Philippe n’est plus qu’un dérisoire cadavre politique, puant, ballonné par sa propre suffisance, son insondable bêtise, méprisé de tous.
    http://by-jipp.blogspot.com/2019/07/bal-tragique-nantes-le-21-juin-un-mort.html#more

  • Dernier rebondissement dans l’affaire Benalla : en attendant le prochain ?

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    Un peu plus d’un an après les faits, le feuilleton Benalla n’en finit plus de rebondir. Ainsi, le 1er mai 2018, Alexandre Benalla, naguère plus ou moins chargé de la sécurité du candidat Emmanuel Macron en pleine campagne présidentielle, croit bon d’intervenir contre un couple de trublions s’en prenant manifestement aux forces de l’ordre en présence, à Paris, place de la Contrescarpe.

    Pour résumer, il a torgnolé deux gauchistes ; ce qui n’est pas tout à fait une affaire d’État, mais qui ne va pas tarder à le devenir.

    Il y a d’abord le téléphone portable « personnel » du prévenu, « personnel » parce que faisant office de ligne directe avec l’Élysée ; téléphone opportunément « perdu », puis incidemment « retrouvé », à en croire les récentes révélations du Monde. Mais téléphone grâce auquel on sait, désormais, que le Président et son proche entourage, Alexis Kohler, secrétaire général du Château, étaient parfaitement au courant des frasques de leur jeune et énergique homme à tout faire.

    La preuve en est ce message pour le moins explicite, retrouvé en même temps que le téléphone en question, signé de Jean-Luc Minet, commandant militaire en second de la présidence de la République – pas exactement le premier venu – et adressé au même Alexandre Benalla, au moment de cette algarade des plus musclées : « Tous des cons Alexandre sois zen et fort c’est le patron qui décide et à 30.000 kilomètres il ne décide rien en te concernant. » Au même instant, Emmanuel Macron est en voyage officiel en Australie et Alexandre Benalla aux anges, on imagine.

    D’autres échanges seraient encore à même de mettre à mal l’une des principales thématiques de campagne du jeune Président voulant qu’avec lui, nous fussions en passe d’en finir avec l’ordre ancien pour accoster sur les rives du nouveau monde. Et c’est là qu’à l’occasion d’autres messages téléphoniques – se voulant discrets, mais finalement pas tant que ça –, on voit que les méthodes du passé persistent à avoir encore de l’avenir.

    Ainsi, le mode de rémunération du service d’ordre d’En Marche ! Un peu déclaré, mais souvent réglé en espèces. Le Front national du siècle dernier était finalement plus cash, si l’on ose dire en la circonstance : à la sortie de chaque meeting lepéniste, le service d’ordre, payé lui aussi un peu à l’ancienne, tendait le drapeau dans lequel le chaland lâchait quelques pièces ; voire quelques billets. « Les quêtes les plus juteuses sont celles qui font le moins de bruit dans le panier », aimait déjà à rappeler l’avocat Jean-Louis Tixier-Vignancour, lors de l’élection présidentielle de 1965…

    Hormis les cris d’orfraie de la « bonne presse », tel que prétendu naguère chez les curés, dont Le Monde semble aujourd’hui incarner les avant-postes, rappelant ainsi de plus en plus les indignations de chaisière de La Croix quand Arletty montrait ses jolis seins dans Le jour se lève(réalisé par Marcel Carné en 1939), cette affaire pourrait paraître des plus banales, à l’exception de ceci :

    Tout d’abord, cette prétention macronienne de changer à la fois d’air et d’ère, alors que tout cela n’était que ritournelle jouée sur pipeau désaccordé. La preuve en est que ses puissants sponsors politico-économiques n’étaient que chevaux de retour : François Bayrou, le perdreau de l’année ? Et le MEDEF, quelque peu descendant de cette lignée vaguement consanguine, initiée par les acquéreurs de biens nationaux et le tristement célèbre Comité des forges, était-il finalement le mieux qualifié pour transformer notre vieux pays capétien en start-up nation ?

    D’ailleurs, et histoire de clore ce feuilleton, qu’il nous soit permis de rappeler qu’à la grande époque des officines parallèles, un Charles Pasqua faisait appel à des sbires autrement plus sérieux. Pour aller court et parler franc : Alexandre Benalla n’est pas Pierre Debizet. Comme quoi le « nouveau » monde a encore quelques leçons à recevoir de « l’ancien ».

    Nicolas Gauthier

    https://www.bvoltaire.fr/dernier-rebondissement-dans-laffaire-benalla-en-attendant-le-prochain/

  • Alors qu'elle est entourée d'une indifférence générale, l'affaire Marie Laguerre nous concerne tous...

    L'agresseur de Marie Laguerre (les faits remontent au 24 juillet 2018) a été condamné à 12 mois de prison, dont 6 mois ferme, avec une mise à l'épreuve de 3 ans, et aussi à verser 2 000 euros de préjudice moral à la victime.

    Mais le problème n'est plus là : le JT de midi de France 2 ce mercredi 31 juillet, nous apprend que, depuis, Marie Laguerre vit un véritable enfer, parce qu'elle est l'objet de harcèlements incessants.
    Bravo à Jean-Baptiste Marteau d'avoir envoyé ce sujet, le révélant ainsi au grand public et brisant l'omerta qui, scandaleusement, l'entoure : le racisme inversé que nous subissons aujourd'hui, et qui est devenu la norme, fait que, lorsqu'un immigré agresse une Française, même s'il est incarcéré, la violence contre la personne agressée ne cesse pas, et l'on ne dit rien, l'on ne fait rien.
    Dans le cas contraire - que nous condamnerions tout autant - on verrait, n'en doutons pas, se déchaîner tout un tas d'associations anti-racistes, grassement subventionnées par nos impôts (qui seraient mieux employés pour nos pompiers ou nos infirmiers/urgentistes et autres soignants...). Et, bien sûr, l'inénarrable monsieur Toubon, Défenseur des Droitsmonterait au créneau pour appeler à la lutte contre la peste brune et le retour des heures sombres de notre histoire...
    Au moins en parler, au moins le dire, le dénoncer, c'est la première des façons d'aider Marie Laguerre : qui a dit :"Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal, mais par ceux qui les regardent sans rien faire" ?
     "Défenseur des droits" : voilà un poste à supprimer d'urgence, dans le cadre des économies à réaliser...
  • Crise migratoire : ports fermés en Italie, migrants en France

    Nouvelle victoire pour Salvini et l’Italie, défaite pour la France et la bien-pensance européenne !

    Le nouvel épisode d’invasion migratoire qui a lieu actuellement en Italie, mettant aux prises la politique anti-immigration de Salvini avec les pseudo-humanitaristes de l’Union Européenne, se clôt avec un arrangement trouvé pour les “migrants” bloqués à bord du navire des gardes-côtes italien, le Gregoretti, à l’arrêt au port militaire de Augusta avec interdiction de débarquer les clandestins.

    Le ministre de l’Intérieur italien Salvini sur son profil Facebook a fait savoir où seront envoyés les 116 migrants illégaux présents sur l’embarcation : ils ne resteront pas en Italie !

    « Cinq pays européens et des structures des évêques italiens, voilà où iront les 116 migrants à bord du bateau Gregoretti : travail fait, mission accomplie. »

    Pour Salvini, le « problème est résolu » : les clandestins iront donc « en Allemagne, au Portugal, en France, au Luxembourg et en Irlande, plus certaines structures des évêques italiens. »

    Le vice-président du Conseil italien est revenu aussi sur les déclarations du ministre de l’Intérieur allemand, Horst Seehofer :

    « Encore aujourd’hui le ministre de l’Intérieur allemand a demandé d’ouvrir les ports aux bateaux des ONG. Au cours des prochaines heures je donnerai l’OK pour le débarquement parce que nous avons la certitude que ces migrants ne resteront pas à notre charge. »

    Et il a conclu :

    « Le bateau Gregoretti est arrêté, tranquille au port. Je répète notre ligne de conduite :  les ports restent fermés à qui arrive sans permis. »

    La France s’est engagée ce mercredi à accueillir trente « réfugiés » parmi cette centaine de migrants qui vont pouvoir débarquer en Italie, après avoir été bloqués une semaine par Matteo Salvini sur le Gregoretti.

    Le ministre français de l’Intérieur Christophe Castaner « a donné son accord » pour que « trente personnes, des réfugiés et non des migrants économiques », soient accueillies en France dans les prochains jours, a indiqué son ministère.

    Francesca de Villasmundo

    https://www.medias-presse.info/crise-migratoire-ports-fermes-en-italie-migrants-en-france/111005/

  • Zoom-Vojtěch Filip (PC tchèque) : « Les associations dites citoyennes sont liées à Soros»

    À l’opposé des partis communistes français et occidentaux, le PC tchèque n’a pas connu de tournant libéral-libertaire. À titre d’exemple, le parti communiste de Tchéquie est opposé à l’immigration massive et incontrôlée, au nom de la défense des travailleurs tchèques, considérant toujours l’immigration comme l’armée de réserve du Capital. Une ligne politique disparue en France depuis Georges Marchais.

    Plus surprenant encore, le parti communiste tchèque a aidé Andrej Babiš, l’étonnant milliardaire voulant gérer la Tchéquie comme une entreprise, à constituer un gouvernement.

    TV Libertés est allé à Prague à la rencontre de Vojtěch Filip, président du Parti communiste de Bohème et de Moravie – les deux grandes régions historiques tchèques – pour avoir son avis sur la situation tchèque et européenne.

    Un entretien réalisé pour TV Libertés par Ferenc Almássy, rédacteur en chef du Visegrád Post, en collaboration avec le journaliste suisse indépendant Alimuddin Usmani.

    https://www.tvlibertes.com/vojtech-filip-pc-tcheque-les-associations-dites-citoyennes-sont-liees-a-soros

  • Une élue PS détourne 340.000 euros et est condamnée à 4.000 euros d’amende en toute discrétion

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      par   30 juillet 2016 
    L’information vient à peine d’être divulguée. Béatrice Négrier, élue PS au conseil régional, et maire de Plaissan dans l’Hérault a été condamnée fin mai à 4.000 euros d’amende par le tribunal correctionnel de Montpellier pour « détournement de fonds ». 
    L’hebdomadaire l’Agglorieuse et le site d’actualité Lengadoc Info ont révélé mercredi cette information gardé jusque-là sous silence par les journalistes aux ordres des “grands” médias.  
    Voici l’article de Lengadoc Info du 27 juillet :
    « C’est une condamnation qui n’a pas fait beaucoup de bruit dans la région et pourtant l’affaire est loin d’être anecdotique. Le 24 mai dernier, le maire de Plaissan (Hérault), Béatrice Negrier (PS), était appelé à la barre du tribunal correctionnel de Montpellier pour une affaire de détournement de fonds. La somme escroquée s’élève à 340 000 €. Une somme considérable que Béatrice Negrier a détourné au dépens du Mouvement Républicain et Citoyen, le parti fondé par Jean-Pierre Chevènement et dont Béatrice Négrier était membre, mais également d’une association pour enfants qu’elle présidait. 
    Devant les juges, le maire de Plaissan, qui est également vice-présidente de la région Occitanie en charge de l’emploi, de la formation professionnelle et de l’apprentissage, a reconnu qu’elle avait « eu une année noire ».
    Les 340 000 € détournés ont, en effet, servi à renflouer son compte bancaire personnel. Dans cette affaire, le procureur de la République a requis une amende de 4 000 € et une peine de non éligibilité. Si le tribunal a confirmé l’amende de 4 000 € dans son jugement, il a également décidé que cette condamnation ne serait pas inscrite au casier judiciaire de Béatrice Negrier.
    Mais le plus inquiétant dans cette affaire, c’est qu’elle a été l’objet d’un silence total de la part de la presse locale. Alors que les condamnations en justice d’élus pour des délits financiers sont généralement largement commentées par la presse, dans ce cas là, on a comme l’impression que personne n’a souhaité en parler. A tel point que la personne qui a informé la rédaction de Lengadoc Info de cette affaire, avait auparavant contacté d’autres médias locaux, tous ont refusé de traiter l’affaire ou se sont abstenus de répondre ». Sans le scoop de Lengadoc Info, Midi Libre n’aurait jamais évoqué cette condamnation judiciaire.