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anti-national - Page 361

  • Ca sent bizarre du côté de l'icone Greta Thunberg... (II/II)

    greta thunberg en train.png

    Par ailleurs, un lecteur nous a envoyé la photo ci-dessus : emballages plastiques, bananes venues sans doute en pirogue des Caraïbes ou de Côte d'Ivoire, mal-bouffe industrielle en sachet, bref... l'écologie en mouvement, la pure, la dure, la vraie !

    Et le lien vers le Blog de Michel Onfray, qui éreinte la jeunette : c'est jubilatoire, c'est à lire et à faire lire ! :

    https://michelonfray.com/interventions-hebdomadaires/greta-la-science?mode=video&fbclid=IwAR3xY-v0gJUzFWFUtRJOh5dK3PMhLY1vBBvyFSo3EnKrcUG1XzYUrraXyf4

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/07/30/ca-sent-bizarre-du-cote-de-l-icone-greta-thunberg-ii-ii-6167115.html

  • Répression de manifestations : quelle leçon la France peut-elle donner à la Russie ?

    Répression de manifestations : quelle leçon la France peut-elle donner à la Russie ?

    Alors que le corps de Steve, disparu le 21 juin, peu après l’intervention des forces de l’ordre, vient seulement d’être retrouvé lundi dans la Loire à Nantes, la France a appelé lundi soir à la «libération rapide» du millier de manifestants arrêtés ce week-end à Moscou. Le ministère des affaires étrangères écrit dans un communiqué :

    Un nombre important d’arrestations et de détentions ont suivi les manifestations pacifiques de ces derniers jours à Moscou. L’état de santé d’Alexei Navalny, incarcéré depuis le 23 juillet, s’est également brutalement dégradé.

    La France appelle à leur libération rapide et exprime sa profonde préoccupation devant ces évolutions récentes.

    La Russie est membre du Conseil de l’Europe et de l’OSCE, et doit, comme tous leurs États membres, respecter les engagements qu’elle a pris dans ce cadre, en particulier s’agissant de la liberté d’opinion, d’expression, de manifestation et de participation à des élections libres.

    La France attache une grande importance au respect de l’état de droit. Cette dimension fait partie intégrante de son dialogue politique avec la Russie, comme les échanges entre les deux présidents à Osaka l’ont encore montré.

    Rappelons que, en France, sous le régime d’Emmanuel Macron, des centaines de milliers de gilets jaunes ont subi les violences des forces de l’ordre. Depuis le début du mouvement, on compte au moins 11 morts, 2448 blessés (dont 24 éborgnés et cinq ont eu la main arrachée). En l’espace de six mois, les forces de l’ordre ont effectué un total de 12107 interpellations, qui se sont soldées par 10718 gardes à vue, selon les chiffres du gouvernement publiés début avril. Près de 2000 condamnations ont été prononcées (dont 40 % étaient de la prison ferme) et autant d’affaires classées sans suite. Fin mars, 256 enquêtes pour des soupçons de violences policières ont été ouvertes par l’IGPN et l’IGGN.

    Comment la France peut-elle espérer être crédible ?

    https://www.lesalonbeige.fr/repression-de-manifestations-quelle-lecon-la-france-peut-elle-donner-a-la-russie/

  • Croissance exponentielle de la stupidité médiatique : cause ou conséquence du « réchauffement climatique » ?

    Le réchauffement climatique pose aujourd’hui toutes sortes de problèmes – qui dépassent les effets de la thermométrie – dont la diversité et l’étendue surprennent autant qu’elles étonnent…

    Au point que les observateurs même les plus avisés, pourtant spécialistes du bourrage de crâne et de la bêtise des médias (pléonasme), finissent par être dépassés par l’ampleur de l’a-céphalisation patente et chronique des journaleux…

    Certains, d’un incorrigible optimisme, préfèreront parler de dé-céphalisation, terme qui me semble pourtant moins adapté dans la mesure où il admet implicitement – pour ne pas dire qu’il affirme – l’existence antérieure d’une céphalisation chez les susdits… Or, visiblement rien n’est moins sûr !

    Le « réchauffement climatique » atteint le point de non-retour…

    Si tel est bien le cas on serait alors conduit à suggérer que c’est l’hypothèse du réchauffement climatique qui rend idiot…

    On entrerait là dans un dilemme, débat philosophiquement digne d’intérêt d’ailleurs, qu’Audiard aurait pu énoncer sous cette forme :

    « Est-ce le réchauffement climatique qui rend l’homme con ou est-ce la connerie anthropique qui lui fait inventer ces histoires ? »

    L’exemple qui suit illustre parfaitement cette question.

    Un article de France Info au titre fracassant :

    https://www.francetvinfo.fr/monde/norvege/norvege-200-rennes-retrouves-morts-de-faim-a-cause-du-rechauffement-climatique-selon-des_3556445.html

    Norvège : 200 rennes retrouvés morts de faim à cause du réchauffement climatique

    Selon des chercheurs norvégiens, un nombre inhabituellement élevé de cervidés sont morts de faim dans l’archipel du Svalbard, l’hiver dernier.

    « Quelque 200 rennes ont été retrouvés morts de faim sur l’archipel norvégien du Svalbard dans l’Arctique, un nombre inhabituellement élevé qui s’explique par les changements climatiques dans la région, a indiqué l’Institut polaire norvégien, lundi 29 juillet. Leurs cadavres ont été découverts par trois chercheurs de l’Institut au cours de leur cartographie annuelle de la population de rennes sauvages sur ce groupe d’îles, situées à quelque 1 200 km du pôle Nord. »

    Cheffe du projet de recensement, Åshild Ønvik Pedersen voit dans ce “très haut degré de mortalité” une conséquence du réchauffement climatique, deux fois plus rapide dans l’Arctique que dans le reste du monde selon les climatologues.

    “Le changement climatique fait qu’il pleut beaucoup plus. La pluie tombe sur la neige et forme une couche de glace sur la toundra, ce qui fait que les conditions de pâture pour les animaux sont très mauvaises”,

    a-t-elle expliqué à l’AFP.

    Les rennes se nourrissent généralement de lichen qu’ils dénichent l’hiver à travers la neige grâce à leurs sabots. Les alternances de gel et de redoux peuvent cependant former une ou plusieurs couches de glace impénétrables qui les privent de nourriture.

    Selon Mme Ønvik Pedersen, un degré comparable de mortalité n’a été enregistré qu’une fois, à l’issue de l’hiver 2007-2008, depuis que la population des rennes du Svalbard a commencé à faire l’objet d’un suivi il y a 40 ans. Cette mortalité élevée est aussi due à une nette augmentation sur l’archipel norvégien du nombre de rennes qui entrent ainsi en compétition pour les mêmes zones de pâture, a précisé la chercheuse. Selon l’Institut polaire norvégien, le nombre de rennes au Svalbard, territoire grand comme deux fois la Belgique, a doublé depuis les années 1980 pour atteindre aujourd’hui environ 22 000 têtes. »

    On en reste sans voix !

    Résumons les propos de la chercheuse sur les « changements du climat » (tiens, c’est marrant elle ne parle pas de réchauffement) sont totalement instrumentalisés. Un cas d’école pour les journaleux !

    Que dit-elle ? Nous l’avons tous lu :

    “Le changement climatique fait qu’il pleut beaucoup plus. La pluie tombe sur la neige et forme une couche de glace sur la toundra, ce qui fait que les conditions de pâture pour les animaux sont très mauvaises”

    Et que signale-t-on avoir pu constater ?

    – Que le suivi des populations de rennes n’existe que depuis 40 ans !

    – Que la population du Svalbard a doublé durant ces 40 ans amenant maintenant localement une certaine compétition pour la nourriture, vu la densité atteinte qui frise la saturation…

    – Que le phénomène a déjà été observé il y a dix ans.

    Et c’est tout !

    En bref, depuis quarante ans qu’on suit les populations de rennes au Svalbard, ce n’était pas le cas auparavant, quand les hivers sont plus particulièrement doux – quand il pleut plus qu’il ne neige – les animaux ont du mal à se nourrir à cause de la glace qui se forme alors sur le sol gelé, et, compte tenu de leur densité, certains ne disposant plus de lichens à suffisance pour se nourrir et meurent de faim, phénomène qui a déjà été observé il y a dix ans…

    C’est très clair : zoologiquement et écologiquement c’est imparable !

    Il est proprement admirable de voir comment ces faits, simples et apparemment pas franchement exceptionnels dans le temps, ont été manipulés et présentés comme conséquence affirmée d’un « réchauffement climatique » en prenant comme caution une scientifique chevronné dont les propos sur d’actuelles modifications climatiques locales, connues, ont été sciemment détournés pour illustrer un mythe.

    Bravo à France Info…

    Il y a 48 heures nous apprenions déjà que « cette année est la plus chaude depuis 2000 ans » !

    (Je l’ai personnellement entendu deux fois en moins d’une demi-heure !)

    C’est brai qu’il y aurait de quoi se poser des questions…

    Malheureusement les premières échelles thermométriques datent du XVIIIeme siècle…

    Et les relevés météorologiques ne se sont généralisés qu’au XIXeme, voire au XXeme

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Thermométrie#Choix_de_l%27échelle_thermométrique

    Il faudra expliquer cela (et tellement d’autres choses !) aux cuistres de France Info…

    L’ignorance crasse – couplée à la suffisance des médiateux qui se mêlent de tout – suffit-elle à expliquer la croissance exponentielle de la con…rie, observé chez les journalistes ?

    Ce n’est pas sûr, mais c’est au moins un début d’explication…

    Claude Timmerman

    https://www.medias-presse.info/croissance-exponentielle-de-la-stupidite-mediatique-cause-ou-consequence-du-rechauffement-climatique/110937/

  • Ca sent "bizarre" du côté de l'icone Greta Thunberg... (I/II)

    Simple icone de l'écologie, devant qui la terre entière est sommée de plier le genou, ou simple militante gauchiste, manipulable et manipulée à souhait, par une mère et un entourage "engagés", comme on dit dans leur jargon ?

    La jeune auto-déscolarisée a en tout cas publié un tweet (ci-après) très vite retiré, mais très éloquent !

    Pour l'instant, il s'agit de rumeur(s), de question(s) qui circulent...

    On devrait être vite fixés...

    II : la mère : "Chucky" : on sait d'où vient le teeshirt...

    greta thunberg mère chucky.png

    III : le tweet très rapidement supprimé...

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  • Turquie : Ankara suspend l’accord de réadmission de migrants conclu avec l’UE

    Le gouvernement turc a annoncé la suspension de l’accord de réadmission de migrants conclu avec l’UE en 2016. Une mesure qui répond aux sanctions de Bruxelles sur l’exploration de gisements de gaz dans les eaux chypriotes par Ankara. Un article d’Euroefe.

    Dans une interview avec TGRT, le ministre turc des Affaires étrangères, Mevlüt Çavusoglu, a annoncé que le gouvernement suspendait l’accord de réadmission des migrants conclu avec l’UE à cause des récentes sanctions européennes, mais aussi car l’UE n’a toujours pas mis en place d’exemption de visas pour les citoyens turcs.

    Dans le cadre de cet accord, en vigueur depuis avril 2016, la Turquie s’est engagée à réadmettre les réfugiés syriens arrivés sur les îles grecques depuis ses côtes en échange de 6 milliards d’euros d’aide européenne et d’une accélération des négociations pour éliminer les visas en juin 2016.

    « L’accord de réadmission et l’exemption de visa devaient entrer en vigueur en même temps. Nous avons donc suspendu l’accord de réadmission », a déclaré le ministre.

    Mevlüt Çavusoglu a affirmé que les sanctions de l’UE, le gel de plusieurs négociations et d’autres aides économiques, en réponse à l’activité de navires turcs de forage en eaux chypriotes, « sont dénués de valeur » et a demandé à Bruxelles « de servir de médiateur » plutôt que de se ranger du côté de Chypre.

    Réadmission contre visa

    L’accord de réadmission, signé en mars 2016, prévoit que tous les migrants qui arrivent sur les îles grecques situées face aux côtes turques sont renvoyés en Turquie.

    Dans le cas des Syriens, pour chaque réfugié de ce pays renvoyé sur le territoire turc, un demandeur d’asile résidant en Turquie est relocalisé en territoire européen.

    Après la signature de cet accord, le nombre de migrants arrivant sur les îles grecques a drastiquement diminué : de 150 000 personnes par mois à l’été 2015, et 50 000 début 2016, le nombre est tombé à une moyenne de 3 000 personnes par mois.

    Le nombre de réadmissions est toutefois bas. Durant ces trois dernières années, seulement 1 884 personnes ont été retournées en Turquie dans le cadre de l’accord, dont 357 Syriens, selon des données du ministère de l’Intérieur turc.

    Le 20 juillet dernier, le ministre turc de l’Intérieur, Süleyman Soylu, a insinué que la Turquie pourrait utiliser le contrôle migratoire comme outil de pression sur Bruxelles.

    « Il est évident que l’Europe nous a laissés seuls dans cet accord. Ça ne sert à rien de donner des tapes amicales dans le dos. Si la Turquie ne prenait pas des mesures déterminées, aucun gouvernement européen ne tiendrait six mois. Si vous voulez, on essaye », a-t-il déclaré, selon l’agence Anadolu. […]

    euractiv.fr

    http://www.fdesouche.com/1243649-turquie-ankara-suspend-laccord-de-readmission-de-migrants-conclu-avec-lue

  • Génération identitaire : Anaïs Lignier : « La Justice nous donne raison : c’était une interdiction politique et idéologique »

    anais-lignier.png

    En novembre 2017, deux ans après l’attentat du Bataclan, Génération identitaire avait organisé une grande manifestation à Paris contre l’islamisme, finalement interdite à la dernière minute par le préfet de police pour « risques de troubles à l’ordre public ». Génération identitaire avait attaqué cet arrêté d’interdiction.

    Aujourd’hui, la Justice leur donne raison et condamne l’État à leur verser 1.500 euros de frais de justice.

    Boulevard Voltaire a rencontré Anaïs Lignier, l’un des cadres de cette ONG.

    Vous avez déclaré, dans une vidéo, que Génération identitaire a gagné un procès contre l’État. Deux ans après l’attentat du Bataclan, Génération identitaire voulait organiser une manifestation pour commémorer cet attentat. Cette manifestation lui avait été refusée au dernier moment. Visiblement, la Justice vous a donné raison contre l’État.

    Il y a deux ans, Génération identitaire voulait organiser une grande manifestation contre l’islamisme.
    À l’époque, la manifestation avait été interdite pour de simples prétendus troubles à l’ordre public, rien de plus. Selon nous, l’interdiction de dernière minute était fondée sur des motifs politiques et idéologiques.
    Par le biais de notre avocat, nous avons fait appel de cette décision. Aujourd’hui, la Justice nous donne raison. Elle admet que notre mouvement agit toujours de manière ordonnée, sans violence ni dégradation. L’interdiction n’était absolument pas justifiée. L’État est donc condamné à nous verser 1.500 euros de frais de justice.

    L’interdiction pour risques de troubles à l’ordre public était peut-être une réaction sécuritaire normale…

    Comme dans toute manifestation politique, il y a toujours des opposants qui appellent à des contre-manifestations. Cela avait déjà été le cas pour d’autres manifestations que nous avions organisées. Tout s’était bien déroulé. Des forces de police avaient entouré la manifestation.
    Cette fois, il n’y avait pas de raison qu’elle se passe plus mal qu’une autre manifestation.

    Génération identitaire n’en a pas fini avec la Justice. Certains de vos camarades sont en procès pour l’opération au col de l’Échelle. Avez-vous confiance en la Justice au sujet de cette affaire ?

    Nous n’avons évidemment pas confiance. Tout est très flou autour de cette histoire.
    Pour nous, c’est clairement un acharnement politique. Ces derniers mois, de nombreuses menaces de dissolution ont été proférées à notre encontre. Ces menaces n’ont pas eu de suites puisqu’il n’y avait pas de motifs avérés pour mettre en œuvre une dissolution. Nous continuons à demander une relaxe pure et simple.

    Comprenez-vous que vos modes d’action choquent et que des réponses judiciaires puissent suivre ?

    Notre objectif est d’éveiller les consciences. On ne peut pas le faire sans bruit. Notre but est de toujours agir de manière ordonnée, sans violence ni dégradation, mais évidemment en faisant du bruit et en interpellant les pouvoirs publics. C’est une victoire pour nous. Nous arrivons à être sur le devant de la scène et à faire part de nos idées au plus grand nombre.

    Nous sommes le 26 juillet et nous commémorons les trois ans de l’attentat de Saint-Étienne-du-Rouvray et la mort du père Hamel. Que vous inspire cet attentat ?

    Cet attentat nous a montré que cela n’arrivait pas uniquement dans les grandes villes. On s’en est pris à une religion qui est à la base de la civilisation européenne. On voit, encore une fois, que ces tueries sont ciblées. Personne n’est intouchable, dans cette histoire. L’islamisme est grandissant sur notre Terre.

    https://www.bvoltaire.fr/anais-lignier-la-justice-nous-donne-raison-cetait-une-interdiction-politique-et-ideologique/

  • Attaques contre Boulevard Voltaire : les gauchistes n’aiment pas la liberté d’expression

    Attaques contre Boulevard Voltaire : les gauchistes n’aiment pas la liberté d’expression

    Lu sur Boulevard Voltaire :

    Alors que vient d’être votée une loi contre le harcèlement en ligne, un groupuscule d’antifas internationaux répondant au nom douteux de Sleeping Giants se vante de harceler, sur Twitter, les annonceurs de Boulevard Voltairejusqu’à ce que ceux-ci s’engagent à se retirer de notre site.

    Alors que l’anonymat sur les réseaux sociaux est pointé du doigt comme vecteur essentiel de la haine, dont il permet l’impunité, ils agissent masqués, cachés derrière d’improbables avatars et de nombreux comptes factices, le courage ne semblant pas les étouffer.

    Ils se targuent d’avoir usé du même procédé aux États-Unis avec le site Breitbart responsable, selon eux, de l’élection de Trump. C’est sur Boulevard Voltaire, en lequel ils voient le Breitbart français, qu’il disent avoir choisi de concentrer leurs attaques. C’est faire beaucoup d’honneur à notre site…

    Certes, Boulevard Voltaire, c’est plus de 75 millions de pages vues par an, Boulevard voltaire, c’est plus de 400 millions de pages vues depuis sa mise en ligne, Boulevard Voltaire, c’est plus de 8 millions de pages vues par mois, Boulevard Voltaire, c’est plus de 700.000 visiteurs mensuels. Mais Boulevard Voltaire ne prétend pas être faiseur de roi ni de président : Boulevard Voltaire entend simplement – et c’est la seule clé de son succès – donner à ses lecteurs cette information libre et différente à laquelle ils aspirent.

    Pourquoi parler, aujourd’hui, de ce groupuscule qui sévit régulièrement contre nous depuis 2016 ? Parce qu’il a, semble-t-il, décidé de se faire connaître par une campagne dans la presse, relayée ces derniers jours par des médias bien aimables – pour ne pas dire complaisants – de faire caisse de résonance à une opération de si faible envergure, au bilan invérifiable. Ils font indirectement de la publicité à Boulevard Voltaire, qu’ils en soient remerciés. En revanche, leurs informations erronées nuisent à la crédibilité de leur support. Cela a d’abord été un article sur FranceSoir : si Pierre Plottu, le journaliste qui en est l’auteur, avait pris la peine de nous appeler, il aurait évité de reproduire sans vérifier le chiffre – revendiqué par les Sleeping Giants – de « 1.000 annonceurs » manquant à l’appel. Sur leur compte Twitter, les Sleeping Giants ne cessent de rappeler à l’ordre des marques qui n’auraient pas tenu leur engagement, preuve que nombre d’annonceurs qu’ils croyaient avoir convaincus de partir sont, à leur grand dam, revenus ! Puis il y a eu une dépêche de l’AFP reprise, comme d’habitude, paresseusement, presque au mot près, par nombre de médias : La CroixLibérationTV5 MondeRMCLe Pointjeanmarcmorandini.com. La journaliste de l’AFP Anne Renaut, elle – cet effort mérite d’être salué -, nous a contactés, mais livre malheureusement, in fine, une dépêche partiale et inexacte : Boulevard Voltaire aurait été « fondé en 2012 par le maire de Béziers Robert Ménard, élu avec le soutien du RN ». C’est faux. En 2012, Robert Ménard était journaliste ; ce n’est qu’en 2014, et alors qu’il avait déjà quitté Boulevard Voltaire depuis plusieurs mois – afin, précisément, de se lancer librement dans la campagne électorale -, qu’il a été élu. Ou alors, il faut écrire aussi que « Reporters sans frontières a été créé en 1985 par le maire de Béziers, élu avec le soutien du RN ». Le comité directeur de Reporter sans frontières apprécierait. Par ailleurs, comme par hasard, n’est cité nulle part Dominique Jamet, cofondateur au même titre que Robert Ménard.

    « Boulevard Voltaire s’est retrouvé quasi-sans annonces fin 2018 » : c’est faux. Il faut s’y connaître comme ma grand-mère en matière de pub sur Internet pour ignorer que, dans ce domaine, « un clou chasse l’autre », et que chaque annonceur se retirant est aussitôt remplacé par un autre, peut-être moins prestigieux, mais le volume publicitaire reste identique. Les annonceurs qui le souhaitent peuvent, du reste, nous contacter en cliquant ici.

    La vérité est que la campagne de harcèlement des Sleeping Giants, en dépit de leurs fanfaronnades, n’a eu que peu d’incidence sur le développement de Boulevard Voltaire. Au-delà du tonneau des Danaïdes que représente le vivier des annonceurs sur Internet, la prudence et la volonté d’indépendance ont toujours poussé Boulevard Voltaire à ne considérer les revenus publicitaires que comme un appoint marginal : Boulevard Voltaire (qui ne reçoit pas de subventions) vit essentiellement des dons de ses lecteurs, sur lesquels la propagande antifa n’a aucun effet… Ceux qui le souhaitent peuvent nous aider en cliquant ici.

    Ce qui est omis, en revanche, dans tous ces articles est que, concomitamment à cette campagne de harcèlement, notre site a fait l’objet d’attaques informatiques sévères, le rendant inaccessible durant plusieurs heures, des attaques revendiquées par des antifas anonymes et saluées sur Twitter par ceux-là mêmes qui relaient les Sleeping Giants. Convenons que la coïncidence est troublante… Nous avons décidé, il y a deux mois, de porter plainte. Ces cyber-corbeaux ne doivent plus sévir en toute impunité. Notre site voit sa liberté de parole menacée par des individus qui prétendent la museler et l’étrangler financièrement. Demain, d’autres médias que le nôtre seront visés. Il est temps d’identifier individuellement les auteurs de ce harcèlement, ceux qui les relaient, et de les faire condamner pour leurs agissements.

    https://www.lesalonbeige.fr/attaques-contre-boulevard-voltaire-les-gauchistes-naiment-pas-la-liberte-dexpression/

  • La France aux petits soins avec les jeunes migrants, mais laisse tomber ses "vieux" (article du 1 février 2018)

    « La France est humaine », paraît-il ? Mais pour qui ? Pour tous ces migrants, jeunes, en pleine santé, que l’on loge, nourrit, soigne, divertit, dans des conditions qu’apprécieraient beaucoup de nos « vieux ».
    Ce débat se discute depuis plusieurs années à l’Assemblée Nationale et au Sénat et il occupe les parlementaires sur un sujet qui, certes, les interpelle ; « Comment mourir dans la dignité ? ».
    Il est évident qu’il s’agit là d’un sujet de haut niveau philosophique qui mérite que l’on s’interroge longuement et c’est ce que l’on fait.
    Mais il est un autre débat, qui lui n’interroge personne, du moins jusqu’à aujourd’hui : « Comment vivre ses dernières années dans la dignité ? ».
    La loi de la nature veut qu’avant de mourir, il nous faille vivre quelques années et dans quelles conditions ? Cela ne dépend pas, – hélas – de notre volonté !
    Il y a actuellement 1.300.000 « vieux dépendants » chez nous.
    Or, ces « vieux », dont on ne sait plus quoi faire, participent bien malgré eux à la vie de la Nation. Ils perçoivent une pension sur laquelle l’Etat prélève des impôts. Impôts qui viennent d’être augmenté de 1,70% de CSG pour les plus riches, ceux qui perçoivent plus de 1200 euros/mois, les veinards ! Retraites dont ils ne peuvent plus, hélas, profiter dans l’état de santé qui est le leur à présent !
    Cet Etat, qui les pourchasse jusqu’à leur dernier souffle de vie, en leur confisquant jusqu’à « leurs successions », quand il en reste une, devrait se pencher sur leur triste sort et non pas les abandonner dans des « mouroirs », sans soins bien souvent (uniquement des cachets, des gouttes, des injections et des perfusions, pour les faire « dormir » toute la journée afin qu’ils ne dérangent pas !)
    Il est vrai qu’avec le 0,4% du PIB qui leur est réservé ils n’ont pas le droit de vivre trop longtemps, cela ne se fait pas. Et ce n’est pas le « pourboire » ridicule de 50 millions d’euros qui changera la donne.
    On ne demande pas à l’Etat d’aller jusqu’à 1%, ce serait bien trop (alors que certains pays, tel le Danemark par exemple, réservent 2% du PIB et que tous « leurs vieux » bénéficient d’une fin de vie honorable, dans des résidences conviviales et que cela ne coûte que 1800 euros/mois pour tous (2800 euros/mois en France, en moyenne) encadrés par 10 soignantes pour 10 « résidents », alors qu’en France on n’en compte que 5 pour 10).
    A moins que, comme cela s’est passé à la triste époque nazie, et se passe encore de nos jours, dans quelques très rares pays, il suffise d’euthanasier les « vieux », dépendants, impotents ou grabataires, ce qui, après tout, est une solution comme une autre et qui vaut la peine d’être débattue, surtout quand il nous est donné de constater dans quelles conditions finissent quelquefois leurs misérables vies, à ces « vieux » dépendants, impotents, grabataires… et gênants !
    N’est-ce pas le cas déjà dans un pays aussi civilisé que l’Angleterre où l’accès à certains services de réanimation, de dialyse rénale ou d’actes chirurgicaux, ne sont plus autorisés après 70 ans !
    Après tout, pourquoi ne pas interrompre des vies qui ne valent plus la peine d’être vécues ?
    « La France est humaine », paraît-il ? Mais pour qui ? Pour tous ces migrants, jeunes, en pleine santé, « qui connaissent Victor Hugo sur le bout des doigts », que l’on loge, nourrit, soigne, divertit, dans des conditions qu’apprécieraient beaucoup de nos « vieux », vos parents, vos grands-parents, votre famille, ceux que vous abandonnez, que vous préférez oublier, parce qu’ils gênent vos habitudes, qu’ils perturbent vos loisirs, ces loisirs dont vous disposez bien davantage qu’ils en ont disposé, eux, toute leur vie durant, pour vous élever et vous conduire où vous êtes !
    Ces vieux, dont certains guettent le départ vers leur fin de vie pour « squatter » l’appartement, puisqu’ils ne pourront plus revenir, qu’ils sont partis pour toujours, et le mettre à la disposition de ces « exilés », comme certains les nomment aujourd’hui et qui nous envahissent !
    Ces vieux qui n’ont pas encore atteint le dernier stade, qui ne sont pas sur la ligne de départ, et qui se demandent comment ils vont pouvoir régler des sommes ahurissantes, bien plus de 2500 euros/mois, avec leur 1200 euros, pour les plus riches, et cela pour obtenir une place, et ne parlons pas des autres, ceux qui n’ont pas « cette chance », parce qu’ils vivent et meurent en France !
    Quel chef d’état, quel ministre, aura le courage et la volonté de s’atteler à cette tâche : donner à nos vieux un endroit digne où finir leur vie, avec les soins, l’accompagnement et la nourriture qu’ils méritent, quel que soit le montant de la pension qu’ils perçoivent ?
    La Cour des comptes leur indiquera où trouver les milliards nécessaires pour appliquer cette « nouvelle taxe », une de plus, quitte à réduire les dividendes perçus par les actionnaires (plus de 43 milliards cette année) pour s’intéresser à ceux qui n’en perçoivent pas.
    Certaines « fins de vies » sont-elles indignes ?
    Pourquoi la présence de ces « personnes âgées » embarrasse tellement ceux qui sont, pour le moment, moins âgés ? Justement parce que les conditions désespérantes de ces « fins de vies » leur donnent une angoissante « peur de vieillir » dans des conditions identiques !
    Je me rends parfaitement compte, en terminant cet article, que j’ai perdu une fois de plus mon temps, qu’il ne servira à rien, que tout continuera comme avant, comme aujourd’hui, comme demain, et que les « vieux » continueront à disparaître dans l’indifférence la plus totale et que nous aurons toujours « peur de vieillir » !
    Manuel Gomez

  • Université : le terrorisme intellectuel frappe de nouveau

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    Le cancer de la « correction politique », qui sème ses métastases dans tous les secteurs de la société, a contaminé désormais les institutions les plus brillantes de la nation. Des étudiants préparant l’agrégation de lettres modernes avaient, il y a deux ans, rédigé une demande comminatoire au jury de l’épreuve, où on le sommait de définir « l’attitude à adopter et le vocabulaire à utiliser pour décrire ces textes ». Ces textes sont des œuvres « classiques », soupçonnées de véhiculer des « discours oppressifs », c’est-à-dire promouvant apparemment le sexisme, la misogynie, l’antisémitisme, le racisme, l’homophobie, etc. En l’occurrence, « Oaristys », œuvrette de jeunesse d’André Chénier, présentait prétendument une « scène de viol ».

    Sur son site Transitions, revue et séminaire, Hélène Merlin-Kajman, de la Sorbonne nouvelle, vient d’exprimer ce qui est sans aucun doute l’indignation d’une grande partie des membres de l’Université en arguant que la littérature est fondamentalement une convention, c’est-à-dire une forme fondée sur un travail de l’imagination, destinée à susciter des effets de plaisir, d’admiration (et sans doute de rejet), dont l’interprétation est un jeu subtil et complexe de références, de rapprochements, de mise à distance. Or, en ravalant l’œuvre de jeunesse, inspirée du poète grec antique Théocrite, à une apologie du viol, on s’interdit toute analyse authentique.

    On ajoutera qu’on se moule dans l’uniforme de la maréchaussée de la pensée, vocation dont semble éprise toute une bande de terroristes intellectuels qui voudraient reconduire ici les dérives de l’Université américaine, où le « trigger warning », qui consiste à « avertir » les étudiants de la « nocivité » idéologique d’un contenu, impose une censure dont sont l’objet les professeurs.

    Marc Hersant, professeur, lui aussi, de la Sorbonne nouvelle, qui publiera bientôt un essai sur cette affaire, souligne combien, maintenant, la littérature, y compris celle des Temps anciens, qu’il s’agirait de mettre à distance, est fragilisée et soumise à une inquisition réductrice, niant la notion de code (du reste, la vie, ce roman, est elle-même imprégnée de conventions).

    On veut faire de la littérature un canal propagandiste en oubliant que l’humain y est interrogé, par-delà le bien et le mal (les œuvres édifiantes ayant disparu dans les oubliettes de la mémoire culturelle).

    Et ce chantage n’est pas seulement intellectuel : il peut aboutir à la violence, comme la séquestration, par exemple, en mars dernier, d’une partie des comédiens qui voulaient jouer, à la Sorbonne, Les Suppliantes, d’Eschyle, dont certains devaient arborer des masques noirs.

    Rappelons qu’André Chénier fut emprisonné par les jacobins et guillotiné deux jours avant la chute de Robespierre (lisez Stello, d’Alfred de Vigny !). Le sinistre Fouquier-Tinville aurait déclaré : « La République n’a pas besoin de poète. » Ses héritiers semblent ranimer son programme.

    Claude Bourrinet

    https://www.bvoltaire.fr/universite-le-terrorisme-intellectuel-frappe-de-nouveau/

  • Municipales à Nice – Estrosi pourrait obtenir l’investiture de la Macronie

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    Emmanuel Macron excelle dans l’art de phagocyter tant au PS que chez les Républicains.
    Les prochaines élections municipales devraient encore accentuer les choses. La rumeur semble ainsi se confirmer, selon laquelle, pour Nice, le maire LR Christian Estrosi serait estampillé “Macron-compatible” pour le prochain scrutin.

    Le contexte est particulier : Eric Ciotti, député LR des Alpes-Maritimes, rêve de s’emparer de la mairie de Nice. Pour cela, il cherche à obtenir que les instances dirigeantes du parti Les Républicains désavouent l’actuel maire LR, Christian Estrosi. Un choix cornélien pour un parti délabré et sans chef.

    Saisissant cette opportunité, le parti macroniste la République en Marche propose à Estrosi l’investiture de la majorité présidentielle pour le scrutin. Le JDD a révélé que le délégué général de La République en Marche, Stanislas Guerini, a rencontré Christian Estrosi pour “un dialogue” allant dans le sens d’une alliance. Le JDD ajoute : “La ministre de l’Enseignement supérieur, Frédérique Vidal, a été chargée d’une mission, officieuse, de médiation avec le maire de Nice. Niçoise et présidente de l’université Nice-Sophia-Antipolis jusqu’en 2017, elle connaît bien l’homme, qui l’apprécie”.

    Même François Bayrou, pourtant en froid avec LREM pour les municipales, aurait rencontré le maire de Nice.

    Quant à Christian Estrosi, fort de cette abondance de sollicitations, il a également rencontré Christian Jacob, donné favori de la course à la présidence des Républicains. Finaud, Estrosi essayerait de jouer sur les deux tableaux, au nom de la nécessité de “faire rempart” au candidat du Rassemblement National.

    https://www.medias-presse.info/municipales-a-nice-estrosi-pourrait-obtenir-linvestiture-de-la-macronie/110920/