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Cela ne vous rappelle rien ? On attend avec impatience une réaction des médias dominants français qui nient le Grand remplacement :
Replacement Migration: Is It a Solution to Declining and Ageing Populations?
United Nations projections indicate that over the next 50 years, the populations of virtually all countries of Europe as well as Japan will face population decline and population ageing. The new challenges of declining and ageing populations will require comprehensive reassessments of many established policies and programmes, including those relating to international migration.
Focusing on these two striking and critical population trends, the report considers replacement migration for eight low-fertility countries (France, Germany, Italy, Japan, Republic of Korea, Russian Federation, United Kingdom and United States) and two regions (Europe and the European Union). Replacement migration refers to the international migration that a country would need to offset population decline and population ageing resulting from low fertility and mortality rates.
Nouveau bateau de « sauvetage des réfugiés », nouvelle arnaque
Cette fois, c’est l’Open Arms, dont les propriétaires disent qu’il est rempli d’enfants désespérés et en mauvaise santé. Il s’avère que la situation désespérée est un mensonge, que des mineurs sont majeurs et que la mauvaise santé est un mensonge – une fake news sur toute la ligne.
N.d.t. : c’était donc avant que les migrants ne soient finalement autorisés à débarquer à Lampedusa pour être transférés vers les pays d’accueil.
Open Arms, inspection à bord : « Aucune urgence ». Des migrants sautent à la mer.
D’après ce que nous avons appris sur l’inspection de l’Open Arms ordonnée par le Procureur général d’Agrigente, il n’y avait aucun problème hygiénique ou sanitaire critique de nature à déclencher l’urgence. L’inspection a été effectuée hier [samedi] pour vérifier les conditions d’hygiène et de santé à bord du navire où se trouvaient 107 naufragés.
Les migrants étaient entassés sur le pont du bateau, dormaient par terre sans matelas, se couvraient de draps et de nappes, et selon l’ONG ils étaient psychologiquement épuisés.
Selon le rapport des médecins de Cismo (Centre italien d’étude des médecines orientales), il pourrait y avoir des cas de gale, mais pour l’instant, il n’y en a aucune confirmation officielle. Pour les 107 migrants qui sont encore à bord, c’est le 17ème jour sur ce navire encore bloqué au large de Lampedusa, en face de Cala Francese.
Selon le rapport des médecins de Cismo (Centre italien d’étude des médecines orientales), il pourrait y avoir des cas de gale, mais pour l’instant, il n’y en a aucune confirmation officielle. Pour les 107 migrants qui sont encore à bord, c’est le 17ème jour sur ce navire encore bloqué au large de Lampedusa, en face de Cala Francese.
Manifestement, la controverse se poursuit. « Des patients imaginaires, des mineurs imaginaires, des urgences sanitaires imaginaires… L’ONG Open Arms et ses complices atteignent le sommet du ridicule ; les Italiens sont bons mais pas idiots », a écrit Matteo Salvini sur Facebook.
« Jour 17. Misérables. Misérables sont ceux qui prennent en otage 107 êtres humains « sans nom » et des bénévoles pour faire de la propagande xénophobe et raciste. Complices, tous ceux qui le permettent et qui plaisantent sur leur douleur », a répliqué l’ONG sur Twitter.
Dix-neuf mineurs sur les 27 personnes débarquées de l’Open Arms seront transférés à Porto Empedocle par ferry. Les huit autres, qui ont admis être adultes après leur débarquement, resteront au « hotspot » de l’île et des contrôles médicaux seront effectués pour évaluer leur âge réel.
« Nous ne pouvons plus contenir le désespoir. Nous ne pouvons plus expliquer. Il n’y a pas de mots. Vous êtes des lâches. #unportosicurosubito [un port sûr tout de suite] », a twitté pour sa part l’ONG espagnole Open Arms, avec une vidéo de quatre migrants qui ont essayé d’atteindre Lampedusa à la nage, après s’être jetés à l’eau avec des gilets de sauvetage. Trois sauveteurs les poursuivent et les ramènent à bord du bateau.
Le site internet du magazine Le Point vient de publier la tribune libre d’un policier. Celui-ci répond à Aurélien Taché, député LREM du Val-d’Oise et membre du pôle idée de ce parti, qui a diffusé un tweet la semaine dernière niant l’existence du racisme anti-blanc.
Il faut se souvenir que c’est déjà ce député Taché qui s’était illustré en comparant le voile islamique à un simple serre-tête.
Le policier qui a rédigé cette tribune publiée par Le Point précise qu’il n’est pas Français de souche.
Sachez aussi que j’ai bien conscience qu’il est dangereux de s’attaquer à ce sujet. Toutefois, non seulement je suis policier et donc déjà catalogué comme facho par nos détracteurs, mais de plus, comme le prouve ce tweet, je pense que la lutte contre le racisme s’exprime trop fréquemment de manière hystérique et caricaturale. (…)
J’en ai assez de voir beaucoup trop de nos concitoyens se rejeter cette crainte d’être assimilé comme raciste, telles une patate chaude ou une grenade. Assez de voir ce combat être utilisé comme un faux-semblant, d’autant plus quand le but est de ratisser large. Enfin, même si mon devoir de réserve m’oblige normalement à me taire, ce genre de posture influe beaucoup trop concrètement sur ma vie de citoyen et de policier, ces dernières années, pour que je me taise davantage. (…)
C’est pourquoi j’en viens enfin à son allusion au « prétendu racisme anti-Blanc», qui pour moi trahi clairement tout le reste de son œuvre. Il est inadmissible de nier ce racisme au même titre que les autres. Je croise des victimes concrètes de ce fléau chaque jour. Il suffit d’aller visiter certains forums ou même certains réseaux sociaux pour vérifier l’ampleur du phénomène. Les Blancs y ont toutes sortes de surnoms. Ça va du petit Babtou au grand Babtou, quand ce n’est pas Gouffa, Kouffar ou simple mécréant. Cependant, généralement, la victime idéale y est tout simplement décrite comme le « céfran », facile à impressionner, facile à dévaliser, facile à humilier.
Dans beaucoup de quartiers, le petit céfran est non seulement une proie facile, mais aussi une aubaine pour se faire valoir auprès des potes. Il est déjà tellement accablant, en tant que policier, de ne pas pouvoir freiner ce phénomène convenablement et il faudrait en plus, d’après monsieur Taché et d’autres grands esprits, que nous les laissions seuls à la cave. Au nom de quoi devrions-nous nier ces plaies saignantes ?
Je suis désespéré à cette idée que l’on n’appelle plus un chat, un chat. Ces dissimulations de la vérité ou ces mensonges par omission, peu importe comment on les nomme, sont néfastes quoi que l’on dise. Je prétends même que cette politique décadente est en fait en grande partie responsable de ces amalgames dont notre société souffre. Le rejet de la vérité est un boomerang qui nous reviendra en pleine tronche à un moment ou à un autre. La véracité du terrain est indiscutable. Et non, monsieur Taché et consorts, vous n’arriverez pas à nous convaincre du contraire de ce que nos yeux voient.
Le JDD est un journal extraordinaire : en une, le visage souriant de Brigitte Macron ; en pages intérieures, un article sur la situation de Toulouse, minée par les trafics de drogue et les règlements de comptes entre leaders du deal, qui ont hissé la Ville rose à la hauteur de Marseille, pour un triste record. La vitrine, et l’arrière-boutique.
L’accroche de l’article est aussi sans fard : « À Toulouse, une génération de jeunes caïds met la ville à feu et à sang pour le contrôle des points de deal. Leur héros : Mohamed Merah. » Pour ceux qui ne connaissent pas encore Toulouse, vous saurez tout sur les quartiers tenus par ces Merah-racailles : Empalot, le Mirail, les Izards, etc. Tout sur l’explosion de la demande, en cannabis, en héroïne et en coke, du fait de l’envolée démographique de la Ville rose et la présence d’une clientèle d’étudiants et de cadres « aisés » qui engraissent ces caïds : 50.000 €/jour pour les plus doués. De quoi méditer, s’il est encore temps, sur l’argent et le bonheur… L’article pose quelques bonnes questions : « Comment s’est installé ce sentiment d’impunité qui désormais les habite ? La faiblesse des effectifs de police à Toulouse, ville nettement sous-dotée par rapport à Bordeaux ou Marseille, faute de poids lourds politiques, n’explique pas tout. Les voyous du cru exploitent une autre faiblesse du dispositif, ces tensions persistantes entre une police confinée au centre-ville et une gendarmerie qui en gère le pourtour, en sus d’une vaste zone rurale ; malins, ils dealent d’un côté de la “frontière” et dorment de l’autre, chez les pandores. Mais il y a autre chose, que pointe ce policier qui les connaît bien : l’effet Merah. Plusieurs de ceux qui sont morts sous les balles (treize règlements de comptes en 2018, cinq depuis le mois de janvier) ont grandi dans la même cage d’escalier que Mohamed Merah. » En pleine préparation des élections municipales, cela devrait peut-être inciter les Toulousains à se réveiller, à faire enfin le deuil des tranquilles années Baudis, un âge d’or révolu, et à se demander s’ils veulent continuer à laisser dériver leur ville avec une municipalité LR inconsistante qui ne rêve que de s’allier avec des LREM tout aussi mous sur ces questions. Mais, comme d’habitude avec ce genre d’articles, on est pris d’un doute, et d’une colère : il y a comme un ton fataliste sur l’air du « Oh, zut, on n’a rien vu venir ». Mais si, dans le Sud-Ouest, à Toulouse et dans toutes les petites villes gangrenées par la métropole des trafics, ces bases arrières des gros caïds toulousains (Agen, Albi, Castres, Lavaur, Villeneuve-sur-Lot, etc.), bien sûr que si, on a vu venir ! Et les trafics, et les voitures, et la radicalisation ! Et le deal jusque sous nos fenêtres ! Avec toute la délinquance afférente. Et on voit depuis des années ! Le profil soigné de Brigitte Macron sur papier glacé ou en une ne suffit plus à mettre la poussière et la poudre sous le tapis. Un jour, il faudra bien éradiquer ces trafics, vu la violence et l’insécurité exponentielles qu’ils entraînent. Il y faudra d’autres moyens que ceux de la police et de la Justice actuelles. Et une vraie volonté politique. Et pour cela, on ne fera pas l’impasse sur la question de l’immigration, et sur la fermeture de certaines frontières, quand on lit le rôle que jouent à tous les niveaux ces dealers « blédards » dont parle l’article. Le JDD peut préparer d’autres unes pour les années qui viennent. Dominique Monthus
Éric Ciotti refuse l’ouverture des ports français aux clandestins de l’Open Arms « aucun bateau ne doit accoster en France. Emmanuel Macron trahit les Français en acceptant que des clandestins soient répartis sur notre sol sans aucune concertation parlementaire et populaire. »
L’équipage illégal de l’Open Arms a débarqué dans la nuit de mardi à mercredi sur l’île de Lampedusa avec, à son bord, plusieurs clandestins.
Au nom de la France Emmanuel Macron, tout comme cinq autres pays européens, s’est engagé à les accueillir alors même que la crise migratoire frappe l’Europe depuis plusieurs années. Cette position de pseudo solidarité est irresponsable et trahit les Français qui refusent cette immigration massive pour laquelle ils n’ont jamais été consultés. C’est cette fausse générosité qui est à l’origine de tels drames alors que seule la fermeté peut être gage d’humanité. Le rôle des États est de sauver des vies mais pas de se faire les complices répétés et aveugles des passeurs.
Un an après le chantage de l’Aquarius le problème reste entier : des clandestins sont accueillis en Europe alors que nos capacités d’intégration sont largement saturés et sans aucun consentement populaire et parlementaire. Je regrette que le projet de hotspots promis par Emmanuel Macron pour étudier les demandes d’asiles dans les pays d’origines soit toujours lettre morte.
Les associations d’extrême gauche qui réclament que les maires des villes portuaires ouvrent leurs ports aux migrants font preuve d’une irresponsabilité confinant à l’inconscience. Les ports français ne doivent pas devenir de nouveaux Lampedusa. Je m’y refuse. Ce sont en priorité les ports d’Afrique du Nord qui doivent accueillir ces clandestins. Ceux qui se félicitent de l’arrivée en Europe de clandestins sont les complices des passeurs.
Cet édito est à titre informatif seulement. Les points de vue exposés dans ce texte représentent uniquement l'opinion de l'auteur et nullement la rédaction de peupledefrance.com
Boulevard Voltaire vient de publier un entretien intéressant avec Aude Mirkovic qui dénonce le projet de remboursement de la PMA – par la Sécurité sociale – à toutes les femmes.
1) Le ministre de la Santé Agnès Buzyn a confirmé, fin juin, que la PMA, qui sera ouverte à toutes les femmes, serait remboursée à toutes. Les députés Valérie Boyer et Pierre-Henri Dumont (LR) dénoncent un dévoiement des principes de la Sécurité sociale. Partagez-vous leur avis ?
Tout à fait. Le but de l’assurance maladie est de permettre aux assurés de faire face à des maladies, des pathologies. Déjà, parmi les soins pris en charge, il est nécessaire d’opérer une hiérarchisation des dépenses en raison de la croissance des dépenses et du déficit récurrent : on assiste à une baisse tous azimuts de l’offre de soins au fil des années. Demandez, par exemple, aux parents des enfants autistes s’ils ont de quoi payer l’ergothérapie dont leurs enfants ont besoin, aux personnes âgées qui n’ont pas de mutuelle complémentaire si elles peuvent remplacer leurs lunettes, et à de nombreuses personnes pourquoi elles ne remplacent pas les dents qui leur manquent. Autant de soins que l’assurance maladie ne prend pas ou peu en charge, faute de moyens. En dernier lieu, la fin du remboursement de l’homéopathie vient d’être décidée au motif que l’efficacité thérapeutique de l’homéopathie ne serait pas prouvée. Je ne me prononce pas sur le point de savoir si l’homéopathie est efficace ou pas, ce n’est pas de ma compétence. En revanche, chacun peut percevoir l’injustice qu’il y a à dérembourser des médicaments au motif que leur efficacité thérapeutique n’est pas prouvée, tout en prévoyant le remboursement total de PMA qui ne s’inscrivent dans aucune démarche thérapeutique, ni prouvée ni même alléguée, puisque les intéressés ne souffrent pas d’infertilité.
2) Le remboursement de la PMA à toutes les femmes susciterait-il d’autres problèmes que cette dérive de la fonction de la Sécurité sociale ?
Il y aurait, notamment, un détournement du rôle de la médecine, dénoncé par plus de 1.700 médecins dans une tribune en ce sens (https://www.la-croix.com/Sciences-et-ethique/Ethique/petition-contre-PMA-signee-1-700-medecins-2018-06-01-1200943665). Les médecins deviennent des prestataires de service, sans compter qu’inséminer une femme fertile par un donneur fertile ne requiert aucune compétence médicale : la blouse blanche ne suffit pas à donner un caractère médical à une prestation devenue un business. Et cela ne concerne pas seulement les femmes seules ou en couple de femmes : le projet de loi offre la PMA non seulement à toutes mais à tous, y compris les couples fertiles qui pourront recourir à la PMA et au don de gamètes dans une branche ou les deux si tel est leur choix. La PMA pour les femmes est l’arbre qui cache la forêt : le projet est celui de la « procréation sans sexe pour tous », comme le dit explicitement le rapport parlementaire du député Jean-Louis Touraine. Le but est d’organiser la production industrielle de l’humain avec, bien entendu, programmation et sélection des enfants pour réaliser le projet du ou des adultes en désir d’enfant. En effet, si un couple fertile recourt à la PMA, ce n’est pas pour avoir un enfant sans plus – ce qu’ils peuvent faire tout seuls. C’est pour avoir tel enfant qui correspond à tel projet. Si nous ne voulons pas du business de la fabrication des bébés, il faut dire NON à ce projet.
3) Une manifestation nationale unitaire contre le projet de loi bioéthique est prévue, le 6 octobre 2019, à Paris. Pensez-vous que cette mobilisation puisse contribuer à enrayer le mouvement « progressiste » qui nous entraîne aujourd’hui vers la PMA pour toutes remboursée par la Sécurité sociale, demain vers la GPA ?
Bien sûr qu’elle le peut ! Ce projet va à l’encontre de la justice en privant légalement certains enfants de père, et de la dignité humaine par la programmation et sélection des enfants en fonction du projet parental qu’ils sont sommés de satisfaire ou de telle ou telle préférence personnelle recherchée par les adultes. Il est encore possible de contribuer à une prise de conscience, encore faut-il que chacun s’y mette : il est possible, par exemple, de commander gratuitement un petit livret explicatif sur le site www.pmagpa.fr. À chacun de le lire et de le donner ensuite à quelqu’un. C’est à la portée de tous ! Et offrir ne serait-ce qu’un seul livret à une seule personne sera plus efficace que des heures de lamentations !
Le 14 août dernier, nous avons été informé de la suspension de notre chaîne YouTube. Sans avertissement préalable ni justification claire, YouTube a ainsi délibérément fait le choix de censurer la chaîne officielle de la Dissidence Française qui comptait plusieurs milliers d’abonnés et des dizaines de vidéos auxquelles nous n’avons désormais plus accès.
Les motifs invoqués par YouTube pour justifier cette décision sont flous et mensongers : en aucun cas la Dissidence Française n’a publié un contenu qui « encourage ou glorifie la violence ou la haine contre une personne ou un groupe de personnes ». D’ailleurs, notre organisation n’a jamais fait l’objet de poursuites ou de condamnations pour ces faits, ni pour aucun autre.
Ces dérives témoignent des ingérences de plus en plus nombreuses des multinationales étrangères dans la vie politique des États souverains. Il s’agit donc là d’atteintes graves aux libertés constitutionnelles d’expression et d’opinion.
En effet, au nom de quoi une entreprise privée – a fortiori une entreprise étrangère – s’arroge-t-elle le droit de décider si un parti politique français officiel et déclaré, qui représente plusieurs milliers d’électeurs et siège au sein d’assemblées locales, a le droit de s’exprimer ou non ? Au nom de quoi une entreprise privée s’arroge-t-elle le droit de mettre une oeuvre une discrimination pour des motifs politiques, et faire ainsi le choix de favoriser un courant d’idée plutôt qu’un autre ?
La décision de YouTube est inique, mais elle est aussi illégale à plusieurs titres :
Les dispositions légales relatives au financement des partis politiques indiquent clairement qu’une entreprise privée n’a pas le droit d’intervenir dans le financement d’un parti politique ou d’une campagne électorale, soit directement soit en nature (Art. 11-4 de la loi du 11 mars 1988). Or, en empêchant la Dissidence Française d’utiliser sa plate-forme, YouTube favorise de fait l’audience des autres partis politiques, ce qui s’apparente un financement illégal de partis politiques.
L’article 225-1 du Code Pénal, régissant les relations entre personnes morales, précise qu’une entreprise n’a pas le droit d’opérer une discrimination sur le fondement des opinions ou orientations politiques.
Nous avons fait appel de cette suspension, et n’avons reçu pour le moment aucune réponse de la part de YouTube. En l’absence de réponse et conformément à la Loi, la Dissidence Française se réserve donc le droit d’ester en justice et de poursuivre YouTube au titre des articles pré-cités.
Nous appelons tous nos militants et sympathisants, et de manière générale tous les Français attachés à la liberté d’expression et au pluralisme démocratique, à nous soutenir en signant la pétition que nous avons mis en ligne.
Le président américain Donald Trump veut s’attaquer à une décision judiciaire dite “loi Flores” : les mineurs qui passent la frontière des États-Unis pourraient être mis en détention pour une durée illimitée.
Les migrants recueillis en Méditerranée par l’Open Arms ont débarqué dans la nuit de mardi à mercredi sur l’île italienne de Lampedusa, en application d’une décision de justice prise compte tenu des fortes tensions à bord après des jours de sur-place à quelques encâblures de la côte. Ils étaient 147 à bord à l’arrivée du navire humanitaire près de Lampedusa jeudi, et un peu plus de 80 après l’évacuation vers l’île de plusieurs personnes ayant sauté à l’eau mardi et de plusieurs dizaines de mineurs ou de malades ces derniers jours.
Paris s’est engagé à accueillir «une quarantaine de personnes qui pourront demander l’asile en France», a rappelé Sibeth Ndiaye lors du compte-rendu du conseil des ministres, et «a envoyé sur place ou va le faire dans les tous prochains moments une délégation de l’Ofpra (Office français de protection des réfugiés et apatrides, NDLR) qui permettra d’examiner les situations».
La France est-elle devenue à ce point un pays "sans foi ni loi" ?
Va-t-elle rejoindre la Grande Bretagne dans les statistiques des pays européens qui vivent le plus difficilement leur multiculturalisme, ces pays où les lois sont le moins respectées, je dirais même bafouées par les étrangers et les binationaux qui y résident de plus en plus nombreux, hélas ?
Nous avons, contre les lois de la République, plus de deux cent zones de « non-droit » où la police, les pompiers, etc. n’ont pas le droit de pénétrer afin d’y rétablir l’ordre, où les maires sont exaspérés et les riverains terrifiés et cela très certainement par ordre hiérarchique, afin de ne pas perturber le semblant de paix qui semble y régner, à l’exception des règlements de compte entre délinquants et quelquefois des dommages collatéraux enregistrés.
Et nous apprenons qu’une loi de notre République est également bafouée, insidieusement, en silence, sans que cela ne s’ébruite.
Une loi, depuis 2004, qui interdit les excisions sur notre territoire, or, selon le très récent rapport épidémiologique, publié fin juillet 2019, 124.355 femmes ont été excisées en France, le double, au cours de cette dernière décennie, que les 62.000 entre 2000 et 2010.
Une quinzaine d’unités médicales spécialisées sont pourtant réparties en France pour venir en aide à ces dizaines de milliers de femmes qui subissent encore de nos jours l’excision et sur notre propre sol.
N’est-ce pas une honte ? Nous aimerions entendre sur ce sujet la colère de Madame Schiappa, elle qui s’élève immédiatement, avec le courroux que l’on sait, sur des tas de sujets qui ne la concerne en rien et qui se montre bien silencieuse sur celui-ci, qui la concerne directement ?
Il s’agit pourtant d’un acte de torture condamné par la loi dans presque tous les pays du monde, hors le continent africain.
Il s’agit d’une mutilation génitale féminine qui entraîne des hémorragies, des infections, des douleurs, des complications lors des accouchements, et des traumatismes qui ressurgissent très souvent à l’âge adulte et entraînent bien des fois la mort de la victime de cette mutilation.
Plus de 200 millions de jeunes femmes sont concernées sur notre planète, dont 80% en Afrique, pratique soi-disant interdite dans un grand nombre de pays et seulement autorisée officiellement au Mali et en Sierra Leone mais très souvent pratiquée au Sénégal, Côte d’Ivoire, Cameroun et Guinée et, mais à un degré moindre, en Egypte, Indonésie et dans la corne de l’Afrique.
La France, et ce n’est pas à notre honneur, ni à celui de Madame Schiappa, et le deuxième pays le plus concerné en Europe, après le Royaume Uni et devant l’Italie.
530.000 jeunes femmes sont les victimes, surtout les fillettes dès leur plus jeune âge, de cette pratique ancestrale, coutumière et terrifiante, sur notre continent européen et cela s’explique, bien évidemment, par la progression et l’invasion constante de cette immigration clandestine que nous subissons depuis de trop nombreuses années.
Madame Marlène Schiappa, si je ne me trompe pas vous êtes bien la Secrétaire d’Etat chargée de l’égalité entre les femmes et les hommes ainsi que de la lutte contre les discriminations ? Estimez-vous que cette égalité est respectée sur ce point précis ? Et que la discrimination ne joue pas un rôle sur ce sujet qui mutile près de 125.000 femmes en France et probablement davantage lors des prochaines années ?
Nous espérons un « tweet » de votre part, puisque c’est par ce moyen que vous vous exprimez le plus !