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anti-national - Page 357

  • Scandale Epstein : politiques et hommes d’affaires mouillés peuvent trembler…

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    Avec l’affaire Epstein, on n’est plus dans le simple fait divers concernant du menu fretin pervers qui s’adonne à ses sordides activités de pédophilie.
    Car c’est un vaste réseau mondain qui a été démasqué, un banc de très gros poissons que la justice américaine a bien l’intention de capturer dans ses filets. C’est une enquête tentaculaire qui s’annonce, aux nombreuses ramifications mondiales. De la dynamite, compte tenu de l’ampleur de ce réseau pédophile. On comprend mieux le peu d’empressement du Parquet à lancer une enquête en France.  Le pouvoir joue la montre et ne semble pas pressé de remuer la vase avant de voir ce qui va d’abord ressortir du côté américain. Ceux qui s’imaginent que la justice américaine va mettre la pédale douce et minimiser les faits se trompent lourdement. Nous ne sommes pas en Europe ! Et ce n’est pas le suicide plus que suspect du principal coupable qui va enterrer l’affaire, si l’on en croit le procureur général des États-Unis. « Je peux vous assurer que l’enquête va continuer, visant quiconque ayant été complice de Jeffrey Epstein. Aucun complice ne dormira tranquille. » C’est clair ! En Angleterre, le pouvoir et la police ont couvert pendant des années un viol de masse ayant fait plus de 1 000 jeunes victimes, tombées sous la coupe d’un réseau pakistanais. Mais en Amérique, suite à l’agression sexuelle commise par DSK, les policiers new-yorkais n’ont pas hésité à lui passer les bracelets aux poignets, tout directeur du FMI qu’il était.  Images qui ont fait le tour du monde. Si les faits s’étaient déroulés en France, nul doute que l’affaire aurait été étouffée.  Quel policier aurait osé arrêter celui qui était pressenti pour devenir le futur président de la République ? La justice américaine n’a pas hésité non plus à s’attaquer à Bill Clinton pour ses frasques avec Monica dans le bureau ovale.
    Les complices sont donc dans le collimateur du procureur, avec en tête de liste Ghislaine Maxwell, maîtresse et rabatteuse présumée de proies sexuelles pour Epstein. Fille du magnat de la presse Robert Maxwell, cette Anglaise serait détentrice de secrets inavouables. Le problème, c’est qu’elle a totalement disparu de la sphère mondaine dans laquelle elle évoluait depuis toujours.
    Elle est soupçonnée d’avoir agi en tant qu’entremetteuse, recrutant des mineures pour le vaste réseau.
    Les plaintes de victimes abusées affluent. Recrutées comme « masseuses », les mineures se retrouvent piégées et entraînées dans des orgies sexuelles. Son défunt père, Robert Maxwell, est soupçonné d’avoir été un agent du Mossad, ce qui ajoute au mystère entourant cette affaire devenue planétaire. Le fait est que c’est par le puissant réseau mondain familial que Ghislaine Maxwell a pu intégrer les élites new-yorkaises à la mort de son père. 
    Proche du couple Clinton, son cercle de relations haut placées ne cessera de s’élargir. Et le carnet noir du milliardaire le prouve. Politiques et hommes d’affaires de renom venus de toute la planète y figurent. Mais le clou de l’affaire, et qui rend le suicide encore plus suspect, c’est que le couple Epstein-Maxwell ne se contentait pas de procurer des filles mineures au réseau. Les deux complices se seraient vantés « de posséder des éléments compromettants sur un nombre incroyable de personnalités riches et célèbres. »  De quoi dynamiter le Gotha mondain. On imagine que les ébats torrides des grands de ce monde, invités par Epstein sur son île des Caraïbes lors des orgies sexuelles organisées, ont été filmés sous tous les angles…  L’île était truffée de caméras.
    Une assurance-vie pour Epstein, voire un moyen de chantage ?
    « Je contrôle tout et tout le monde », aurait dit Epstein. « Je rassemble les gens, je possède les gens, je peux nuire aux gens. »
    À la lecture du lien cité plus haut, on mesure l’ampleur du scandale qui couve dans bien des chancelleries à travers le monde. Ce n’est pas de la dynamité que manipule le procureur général des États-Unis, c’est une bombe nucléaire. Et apparemment, il semble bien décidé à la faire exploser.  Et tant pis pour les victimes collatérales de la déflagration !
    Jacques Guillemain
    source

  • Samedi 24 août, en Dordogne : rassemblement contre l'implantation d'éoliennes...

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    Au centre géographique de la Nouvelle Aquitaine, une grande manifestation anti-éolienne est organisée par les associations locales. Ce rassemblement veut réunir le maximum d'opposants aux projets éoliens qui défigurent les paysages, détruisent le monde rural et ruinent les finances publiques.

    Tous à Saint-Aulaye (24) samedi 24 août, on peut même se restaurer sur place. Tout est prévu, en Périgord la gastronomie c'est incontournable.

    En savoir plus sur les éoliennes cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/08/18/samedi-24-aout-en-dordogne-rassemblement-contre-l-implantati-6170592.html

  • Liberté d’expression. La France derrière la Russie et la Hongrie ! [Indice LIBERTEX 2018]

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    Article initialement paru le 23 novembre 2018 C’était l’un des moments forts du 4e Forum de la Dissidence : « Face à la censure, tous dissidents ! » La présentation du LIBERTEX 2018 a été chaleureusement saluée par les plus de 400 personnes présentes. Le LIBERTEX, c’est un indice de la liberté d’expression préparé et présenté par Polémia tous les ans. Prenant en compte de multiples facteurs détaillés ci-dessous, cet indice se veut un état des lieux exhaustif de la liberté d’expression dans plusieurs pays du monde.
    Il s’agit de la première édition et quelques éléments sont évidemment perfectibles. Reste que le travail le plus rigoureux et le plus sérieux possible a été réalisé afin de fournir un classement réaliste de la liberté d’expression, notamment en France. Et, même si ce n’est pas véritablement une surprise, les résultats sont très inquiétants.

    La liberté d’expression et la liberté plus généralement sont des sujets centraux du combat politique, et donc doivent l’être pour tout activiste. En effet, sans liberté d’expression, comment exprimer nos idées ? Comment rallier à notre combat et aux causes que nous défendons ? Comment même développer une pensée quand le champ lexical est contrôlé et limité. Quant à la liberté en général, elle touche à peu près tous les sujets politiques, car c’est aussi la restriction progressive des libertés qui force le peuple à accepter certaines situations liées par exemple au système politique ou judiciaire.

    Pour mieux comprendre et décortiquer la situation de la liberté d’expression et des libertés civiques plus généralement en France ainsi qu’aux États-Unis, en Italie, en Hongrie, en Royaume-Uni, en Russie et au Danemark. Polémia vous présente le LIBERTEX, un indice sur la liberté d’expression qui prend en compte quelques autres facteurs qui sont aussi des indicateurs de la liberté des citoyens.

    Cette présentation se déroulera en quatre points. Premièrement, vous retrouverez des graphiques comparatifs des pays étudiés, qui permettent une représentation visuelle des écarts entre les pays. Deuxièmement, l’indice Polémia LIBERTEX 2018, qui prend en compte tous les facteurs présentés ci-dessous sera annoncé. Troisièmement, les facteurs utilisés pour la réalisation de l’indice LIBERTEX sont expliqués. Quatrièmement, les pays étudiés vous seront présentés brièvement. Enfin, il y aura un point sur la méthode utilisée pour mettre en place le LIBERTEX.

    Place aux résultats !

    Résultats par facteur étudié : comparaison graphique

    Liberté d’expression au Danemark, Italie, États-Unis, France, Hongrie, Russie et Royaume-Uni

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  • De quelles poches sortent ces milliards d'euros ? Qui paie pour les mineurs africains ?

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    Et nous ne sommes pas arrivés encore « jusqu’au bout de la nuit » car l’invasion est loin de devoir s’arrêter.

    Au cours du premier semestre 2019, selon les chiffres officiels fournis par l’EASO (Union Européenne pour l’Asile), les demandes d’asile sont en hausse de  plus de 10%, sur le premier semestre 2018.

    Un peu plus de 305.000 migrants ont déposé une demande d’asile, depuis début 2019.

    A ces chiffres, il nous faut ajouter que 50% des mineurs non accompagnés ne déposent pas de demandes d’asile et restent donc des clandestins.

    D’un autre côté, des milliers d’individus rentrent légalement avec des visas touristiques ou de travail puis refusent de partir, à l’expiration de leurs visas et réclament à leur tour des demandes d’asile.

    Le pourcentage d’acceptation de ces demandes d’asile se situe entre 30 et 50% en Europe, avec le pourcentage le plus élevé pour l’Allemagne.

    Bien entendu, il ne s’agit pas majoritairement de réfugiés fuyant des pays en guerre, selon les procédures d’examen des autorités nationales de l’immigration.

    Ainsi, par exemple, le commerce a repris en Méditerranée.

    Le navire de l’ONG « Océan Viking » a recueilli ces derniers jours 356 migrants, dont 103 mineurs non accompagnés, à moins de 40 milles des côtes libyennes. La dernière opération de (sauvetage) a eu lieu ce lundi 12 août.

    Et pendant ce temps le navire de l’ONG espagnole « Open Arms » est bloqué au large de Lampedusa, avec ses 151 migrants.

    Le chantage humanitaire se poursuit et il rapporte gros pour que les ONG y tiennent tant !

    Ils n’espèrent qu’une chose, l’ouverture des ports d’Espagne (l’Open Arms vient de l’obtenir grâce au socialiste Pedro Sanchez), de France et même de Norvège et, le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il ne s’agit pas, en ce qui concerne ce dernier pays, de ports les plus prés des côtes méditerranéennes.

    Il est vrai que les ports les plus proches sont ceux du Maghreb, mais inutile d’en parler puisque les Arabes ne veulent pas de ces migrants et que ces migrants ne veulent pas aller dans ces pays arabes.

    Donc, je le répète, l’invasion se poursuivra et avec comme conséquence première la recrudescence de l’insécurité, en Espagne, en France et dans tous les pays côtiers, et même très éloignés.

    Que ce soit en Espagne ou en France, les services de police dénoncent cette forte recrudescence de la délinquance, dont la cause principale réside par l’arrivée d’une très forte proportion de mineurs isolés clandestins.

    Dans l’Oise, deux de ces mineurs viennent d’être appréhendés après des vols commis dans des maisons à Chantilly, avenue Maréchal Joffre (mineurs d’origine marocaine).

    Trois autres mineurs à Orry-la-Ville, après avoir dérobé la caisse d’un magasin.

    Ils sont d’ailleurs aussitôt relâchés car ils n’ont pas de papier d’identité et c’est ainsi que ces trois mineurs ont été arrêtés quatre jours plus tard, à Luzarches, toujours dans le Val d’Oise, également pour des vols.

    A Montpellier (Hérault), ce sont 11 mineurs isolés qui ont été appréhendés en quelques heures pour des vols avec violence. Et dans ce département les services de police signalent la progression très inquiétante de cette délinquance des mineurs clandestins en situation irrégulière sur notre sol.

    Inutile de rappeler l’insécurité quotidienne que font régner ces mineurs isolés dans les arrondissements du nord de Paris où il est conseillé, aux personnes âgées ou handicapées, d’éviter le plus possible de sortir dès la nuit tombée.

    Et ce n’est pas l’arrivée prochaine de centaines de nouveaux mineurs isolés et clandestins qui rendra la sécurité dans nos villes !

    L’Espagne, à cause de sa politique irresponsable, se trouve aux premières loges et la justice italienne, qui vient de désavouer son ministre de l’Intérieur, Mattéo Salvini, et a autorisé les navires des ONG à pénétrer dans les eaux territoriales, ne donnent certes pas le bon exemple. (Attendons et espérons la réaction de Salvini !).

    Et toujours la même question qui se pose, et nous la posons depuis des années, mais la réponse ne nous parvient toujours pas et, apparemment, elle n’est réclamée que par nous ? Qui paie le passage de ces mineurs isolés, qui ne travaillaient pas dans leurs pays et n’avaient certainement pas les moyens financiers de payer les 2000 à 5000 euros, prix de leur passage ?

    Il faut bien que ces milliards d’Euros sortent de quelques poches, non ?

    Une toute récente information vient contrarier mes affirmations : il est fort possible que, finalement, ces centaines de milliers de migrants clandestins soit des « chances pour la France » car, et cela vient d’être confirmé par la Mairie de Paris, ils permettent la réduction du chômage dans notre pays. Comment ? Le processus est tout simple : ils dégueulassent les places, les rues et les trottoirs de nos villes, en y jetant leurs détritus, leurs ordures, à un point tel que, pour que nos villes tentent de rester un peu plus propre, elles se voient devant l’obligation de « recruter » des centaines d’éboueurs, plus de 550 entre les mois de juin et d’octobre uniquement à Paris, avec des salaires de début d’environ 1600 euros et jusqu’à 2200 euros en fin de carrière.

    Ainsi les migrants clandestins, en situation irrégulière, donnent du travail aux migrants ex clandestins qui se sont vus accorder une demande d’asile.

    Un circuit qui a beaucoup d’avenir car il n’est pas près de cesser.

    Ces déchets, ces détritus, devant ensuite être entassés dans des containers pour être expédiés vers la Malaisie, ou ailleurs.

    Je parle des déchets bien sûr ! Pas des migrants, je préfère le préciser !

    http://magoturf.over-blog.com/2019/08/de-quelles-poches-sortent-ces-milliards-d-euros-qui-paie-pour-les-mineurs-africains.html

  • Et Angela Merkel continue de défendre sa politique migratoire…

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    Lors d’une discussion avec des citoyens, Angela Merkel a une nouvelle fois défendu sa politique migratoire, alors que des crimes en tous genres commis par des migrants ont lieu un peu partout en Allemagne.

    De retour de vacances d’été, la chancelière démocrate-chrétienne Angela Merkel s’est rendue, ce mardi 13 août 2019, au sein de sa circonscription électorale, située dans le nord-est de l’Allemagne, sur la mer Baltique, et y a visité une école à Greifswald, puis a pris part à une rencontre à Stralsund avec 200 lecteurs du quotidien Ostsee Zeitung.

    Elle a, à cette occasion, défendu sa politique migratoire, tout en déclarant devoir vivre avec la controverse qui porte sur celle-ci, avant d’ajouter que ce choix, en 2015, d’ouvrir les frontières a aidé lors d’une crise humanitaire exceptionnelle et urgente.

    Selon Angela Merkel, l’Allemagne ne peut pas seulement prendre soin de sa propre prospérité, mais doit assumer sa part du monde : « Nous ne pouvons pas penser seulement à nous. » Elle a qualifié les « sauvetages » en mer Méditerranée de « devoir humanitaire », tout en critiquant les contrebandiers et passeurs.

    Accusée par un élu local patriote, présent parmi les intervenants, de diviser, par sa politique migratoire, la société allemande, la chancelière a nié ce fait. Pourtant, il est évident qu’une partie du peuple vit très mal l’arrivée massive de gens venus d’autres continents et la criminalité engendrée par ceux-ci. Les sondages en vue des élections pour les Parlements de trois États allemands de l’Est prévues le 1er septembre – Saxe et Brandebourg – et le 27 octobre – Thuringe – donnent de très bons scores au parti patriotique Alternative pour l’Allemagne (AfD).

    Alors qu’Angela Merkel chante les louanges de sa propre politique d’accueil de migrants, quotidiennement, divers faits sordides se déroulent à travers le pays.

    Ainsi, le dimanche 11 août, à 5 heures du matin, à Neuötting, en Bavière, une dame de 52 ans a été suivie, agressée en rue, tirée dans un pré et violée par deux hommes au teint sombre.

    La même nuit, à 0 h 45, à Hanovre, en Basse-Saxe, une dame de 38 ans a été harcelée sexuellement en rue par deux hommes ayant un « physique du Sud », puis poussée contre un grillage et violée par un des deux individus.

    Toujours le 11, cette fois vers 22 h 50, à Leipzig, en Saxe, une jeune femme de 21 ans a été victime en rue de propos sexistes d’un « homme du Sud », puis frappée par celui-ci avant de tomber au sol.

    Les plus jeunes représentantes de la gent féminine ne sont pas épargnées. Le vendredi 9 au soir, à Straubing, en Bavière, deux adolescentes de 15 et 16 ans ont été harcelées et poursuivies par un homme « du Sud » parlant un allemand saccadé, alors que le jeudi 8 août, à Altenbeken, en Rhénanie-du-Nord-Westphalie, un homme à la peau foncée a abordé, sur une plaine de jeux, deux filles de 11 ans, en a embrassé une et a touché l’autre aux parties intimes.

    Lionel Baland

    https://www.bvoltaire.fr/et-angela-merkel-continue-de-defendre-sa-politique-migratoire/

  • Des médecins hospitaliers s’inquiètent des pénuries de médicaments et appellent à relocaliser la production en Europe

    Le professeur Jean-Paul Vernant et un collectif de médecins hospitaliers appellent à rapatrier en Europe la production des principes actifs pour lutter contre les pénuries de médicaments qui se multiplient.

    : « Très rares il y a une dizaine d’années, les pénuries de médicaments se multiplient. En 2018, selon l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM), on a noté 868 signalements de tensions ou de ruptures d’approvisionnement dont les malades sont les premières victimes lorsque cela concerne des médicaments d’intérêt thérapeutique majeurs (MITM) pour lesquels il n’y a, le plus souvent, pas d’alternative efficace disponible. C’est 20 fois plus qu’en 2008 (44 signalements). Les malades ont ainsi subi de multiples pénuries concernant des médicaments du cancer, des antibiotiques, des corticoïdes, des vaccins, des traitements de l’hypertension, des maladies cardiaques, du système nerveux…
    Ces pénuries ne touchent pas les très chères innovations thérapeutiques mais des médicaments peu couteux qui, bien qu’anciens et tombés dans le domaine public, constituent toujours l’essentiel de la pharmacopée.

    La production des principes actifs de 80% des médicaments passés dans le domaine public a été délocalisée en Inde et en Chine. […]

    Afin de prévenir les pénuries, nous soutenons l’idée que :

    soient imposées dans l’urgence, aux laboratoires pharmaceutiques titulaires de l’autorisation de mise sur le marché, la constitution et la gestion de stocks de MITM sous forme de produits finis. […]
    soit rapatriée en Europe la production des principes actifs – ils y étaient encore fabriqués il y a une quinzaine d’années. […]
    soit créé un établissement pharmaceutique à but non lucratif, si possible européen, sinon français, comme aux Etats –Unis. […]

    Le JDD

    https://www.fdesouche.com/1249465-des-medecins-hospitaliers-sinquietent-des-penuries-de-medicaments-et-appellent-a-relocaliser-la-production-en-europe

  • Le journal La Provence floute le visage du sénateur RN Stéphane Ravier pendant la procession de la Major

    Ravier.jpgLe sénateur RN de Marseille Stéphane Ravier a protesté après que le quotidien La Provence a publié une photo d'une procession du 15 août, sur laquelle son visage, et uniquement le sien, a été flouté.
    Le sénateur RN de Marseille Stéphane Ravier a protesté après que le quotidien La Provence a publié une photo d'une procession du 15 août, sur laquelle son visage, et uniquement le sien, a été flouté.
    Contacté samedi, le directeur départemental de la Provence, Guilhem Ricavy, a indiqué avoir appris les faits par un collaborateur du sénateur et avoir immédiatement "démarré une enquête" sur ce qui apparaît comme le fait d'un salarié, qui sera convoqué pour s'expliquer lundi.

    [...]
    En savoir plus sur actu.orange.fr

    https://www.peupledefrance.com/2019/08/journal-la-provence-floute-visage-stephane-ravier.html#more

  • Michel Thooris : « Des lobbies mettent la pression sur la police pour assurer l’impunité des dealers »

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    La police est à nouveau visée par une plainte, ici pour « torture et actes de barbarie », à la suite d’une interpellation de dealers, vendredi dernier à Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis).

    Réaction de Michel Thooris au micro de Boulevard Voltaire, qui dénonce le recul de l’État de droit dans certains quartiers, mais également le malaise grandissant dans la police.

    Des policiers sont accusés d’acte de barbarie dans le cadre d’une interpellation musclée à Saint-Ouen.
    Que s’est-il passé ?

    Il s’est passé quelque chose de très naturel. Des trafiquants de drogue opèrent en toute impunité sur cette commune. Les fonctionnaires de police tentent de faire leur travail dans des conditions extrêmement difficiles. Lorsqu’ils les interpellent, ces dealers accusent tout naturellement les policiers d’acte de torture et de barbarie.
    Voilà où en est aujourd’hui la société française.Cette histoire rappelle un peu l’histoire Théo…

    Elle rappelle en partie l’affaire Théo. D’un point de vue général, cela démontre que des lobbies mettent la pression sur la police pour assurer l’impunité totale des criminels, et notamment des trafiquants de drogue. Derrière cette affaire, on tente de faire reculer la police face aux dealers. Ces derniers contrôlent des pans entiers de l’économie de la nation et des quartiers tombent petit à petit sous leur coupe.On parle très régulièrement dans l’actualité des zones de non-droits. On a l’impression que les policiers ne peuvent même plus intervenir.
    Quelle est la réalité ? N’avez-vous plus les moyens matériels d’intervenir ou avez-vous des ordres pour ne plus intervenir ?

    Il y a deux aspects.
    Celui de «l’opinion publique» dit que certains lobbys vont instrumentaliser la moindre intervention de police pour la faire passer pour une bavure policière et assurer ainsi l’impunité des criminels dans les quartiers.
    Notre hiérarchie et l’institution judiciaire sont totalement débordées. Elles ne sont pas en mesure d’envoyer les dealers en prison. Les prisons sont pleines et saturées.
    La hiérarchie policière est parfois extrêmement frileuse. Elle peut parfois être très zélée quand il s’agit d’envoyer nos collègues pour faire de la répression des Gilets jaunes. En revanche, quand il s’agit des dealers dans les quartiers, la prudence est malheureusement de mise.Cela intervient au cours d’une année de grosses tensions à l’égard des forces de l’ordre.
    Le nombre de suicides est en hausse.
    Les policiers souffrent-ils de devoir intervenir dans des conditions difficiles ?

    Les policiers ne peuvent plus exercer le métier de policier.
    Dès qu’ils remplissent une mission de police, ils sont systématiquement mis en cause et jetés à la vindicte populaire par une certaine presse. Ils risquent des ennuis judiciaires. Le pouvoir policier instrumentalise la police à tout va. Le ministre de l’Intérieur prend systématiquement parti quand il s’agit de Gilets jaunes blessés lors des manifestations. En revanche, on n’entend pas un seul politicien soutenir les forces de police lorsqu’il s’agit d’aller enrayer le trafic de drogue et d’aller chercher les dealers dans les quartiers. Encore une fois, les policiers sont victimes d’une instrumentalisation politicienne qui nuit gravement à notre institution et qui pèse lourdement sur le moral des troupes. La vague de suicides le rappelle de manière quotidienne.

    Pensez-vous à des lobbies particuliers ?

    Dès qu’un dealer est arrêté, une espèce de bien-pensance prend immédiatement parti pour le dealer contre le policier en soupçonnant des violences à caractère raciste. Dès qu’on intervient et interpelle dans les quartiers, des policiers sont rapidement suspectés de racisme. Ces
    lobbies ont une influence absolument considérable dans le paysage médiatique. Ils se mettent immédiatement à l’oeuvre et jettent en pâture les fonctionnaires de police.

    https://www.bvoltaire.fr/michel-thooris-des-lobbies-mettent-la-pression-sur-la-police-pour-assurer-limpunite-des-dealers/

  • L’affaire Jeffrey Epstein s’invite en France

    L’affaire Jeffrey Epstein s’invite en France

    Lu dans Présent :

    L’affaire Jeffrey Epstein, « suicidé apparent » en prison, s’invite en France par le biais d’un « carnet noir » empli d’adresses et d’un nouveau dysfonctionnement du gouvernement. En effet, deux secrétaires d’Etat, Marlène Schiappa et Adrien Taquet, ont réclamé le 12 août l’ouverture d’une enquête. Pourquoi ? Le proxénète des « élites mondialisées » pédophiles venait souvent dans sa résidence près de l’Arc de Triomphe. Son « carnet noir » pourrait impliquer des personnalités riches et connues, et une partie des victimes d’Epstein seraient de jeunes françaises, parfois âgées d’une douzaine d’années selon le Daily Telegraph. La demande des secrétaires d’Etat a entraîné un « recadrage » du ministre de la Justice, Belloubet ayant rappelé à ses collègues le principe d’indépendance de l’autorité judiciaire. Une nouvelle preuve de l’incompétence du pouvoir politique actuel où l’inculture institutionnelle semble régner.

    Comme d’habitude, les « progressistes » traînent dans de sales draps

    L’affaire Epstein est une sale affaire, et le mot « sale » est faible. Elle est aussi un révélateur du culte de l’illimité des sociétés mondialisées. Plus de morale, plus de respect de l’humain, juste jouir sans entraves et remplir le vide des désirs individuels, vide qui demande toujours plus, comme un puits sans fond. Ce n’est pas la première affaire sale tournant autour de pratiques sexuelles nauséabondes, viols ou trafic d’êtres humains, que l’on pense à l’affaire Weinstein ou à Strauss-Kahn. Elles impliquent des membres des « élites mondialisées », celles qui font la morale aux peuples, expliquant ce qui est bien et ce qui est mal. Epstein faisait partie de ces cercles fournissant de « très jeunes filles », selon les témoignages, et organisant des orgies avec ces mineures. Une figure des « élites mondialisées », la « jet set », financier, proxénète pédophile à l’échelle mondiale et suicidé dans sa cellule ? Prostitution, trafic de mineures, drogues et fric à gogo… […]

    https://www.lesalonbeige.fr/laffaire-jeffrey-epstein-sinvite-en-france/

  • Après le TAFTA, Danièle Favari décrypte le CETA (1/2)

    Après avoir éclairé nos lanternes sur le TAFTA dans son précédent livre, Danièle Favari poursuit son œuvre de service public avec le décryptage du CETA dans son livre suivant. Un livre à lire pour démonter la propagande grossière du gouvernement, que le Mondedénonce avec le cas du bœuf cannibale canadien, nourri aux farines animales, que le CETA fait entrer en Europe

    Le diable est dans les innombrables détails…

    L’accord prévoit une élimination de la quasi-totalité des droits de douane. Plus de 90% des lignes tarifaires sur les produits agricoles seront supprimées en 7 ans. La Coordination rurale a noté que 50 substances chimiques utilisées au Canada sont interdites en Europe et que le CETA provoquera « un affaiblissement de la réglementation sanitaire et environnementale au profit des multinationales ». Sur les 1400 AOP européennes, seulement 174 sont mentionnées. En somme, la colère actuelle des agriculteurs est plus que légitime après les réformes de la PAC et les autres traités qui accentuent la concurrence déloyale dont ils sont les victimes depuis maintenant des décennies. Elle rapporte des études pour lesquelles le CETA va détruire 300 000 emplois en Europe, dont 45 000 en France, peser sur les salaires et les recettes publiques, pour un impact global négatif sur le PIB, notamment en France (-0,65%).

    Pour l’auteur, « Les accords de nouvelle génération se distinguent par le fait qu’ils ne se contentent pas de diminuer les droits de douane mais qu’ils tentent aussi d’amoindrir toutes les entraves existantes au commerce et concernent donc également les services, les marchés publics, la protection de la propriété intellectuelle, etc… Ils tendent également vers une harmonisation des normes, qu’elles soient sanitaires, sociales, techniques ou environnementales pour une plus grande facilitation des échanges  », harmonisation par le bas évidemment. Elle rappelle que « cet accord est climaticide, selon la fondation Nicolas Hulot  » et « le bilan carbone dû au transport transatlantique ».

    Ce livre vaut particulièrement pour son éclairage sur certains aspects peu connus, comme la « méthode de la liste négative, (…) principe (qui) sous-tend que tout ce qui ne se trouvera pas dans les annexes négociées sera couvert par l’accord, y compris ce qui viendrait à exister dans le futur  ». Les anglo-saxons parlent de « list it or lose it (…) tu listes ou tu as perdu  ». Autre mécanisme hautement problématique, la « clause de statut-quo  », selon laquelle « aucune mesure nouvelle jugée non conforme ne doit être adoptée par un organisme membre d’une organisation internationale  ». Puis, il y a la « clause à effet de cliquet », selon laquelle, « si un gouvernement décide de privatiser un service, ce traité interdira de revenir sur cette privatisation » pour « permettre à un investisseur de protéger la valeur de son investissement  ». Par exemple, pour Danièle Favari, ces clauses « empêcheraient le retour vers une remunicipalisation de la distribution de l’eau potable en France  ».

    Comme avec le TAFTA, elle revient sur les Règlements des Différends entre Investisseurs et Etats, RDIE, qui comportent des tribunaux d’arbitrage, ces mécanismes présents depuis 1959 dans les Traités Bilatéraux d’Investissement (TBI), Sur les 3300 en place aujourd’hui, 93% incluent un RDIE. Elle note que pour brouiller les pistes, la commission a proposé de substituer aux tribunaux d’arbitrage une cour permanente, l’ICS « Investment Court System  ». Elle rappelle que, « quel que soit le système, la saisine ne va que dans un seul sens : investisseur versus Etat et les investisseurs conserveront le privilège de pouvoir attaquer des décisions publiques sans que l’inverse soit possible ». Pour elle, « concrètement, avec l’instauration de ce mécanisme, trois personnes privées sont ainsi investies du pouvoir d’examiner, sans la moindre restriction, toutes les actions du gouvernement, toutes les décisions des tribunaux, et toutes les lois et règlements qui émanent du Parlement et la liste exhaustive d’actions gouvernementale contre lesquelles les investisseurs sont protégés ». Elle montre que le nombre de plaintes s’est envolé depuis la fin des années 1990 et rapporte des exemples plus effarants les uns que les autres, tel Vattenfall qui demande 4,7 milliards d’euros à l’Etat Allemand pour la fermeture de deux centrales.

    Un grand merci à Danièle Favari pour ce livre de service public, qui peut s’acheter ici, à lire pour comprendre les enjeux qui se cachent derrière la signature du CETA. Derrière les beaux discours de la majorité, un nouveau moyen de défendre les intérêts de l’oligo-libéralisme.

    Source : Danièle Favari, « L’accord de libre-échange entre l’Union européenne et le Canada  », L’Harmattan

    https://www.agoravox.fr/actualites/europe/article/apres-le-tafta-daniele-favari-217071