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anti-national - Page 357

  • Encore une fois, Salvini montre la voie

    Un navire italien reconduit des migrants en Libye pour la première fois depuis 2009 :

    https://francais.rt.com/international/53123-navire-italien-reconduit-migrants-libye-premiere-fois-2009?fbclid=IwAR1t7543T7tMHw1GiQZrCIIOGargArXq4oCcO6RHBPKXm5gxrBW4dK86M68#.XRyZtm6Ee8M.facebook

    DERNIERE NOUVELLE :

    Le Sénat a voté ce lundi soir la confiance au gouvernement italien sur un nouveau tour de vis sécuritaire et anti-migrants réclamé par le ministre de l'Intérieur, Matteo Salvini, avec 160 voix pour (57 voix contre) et l'abstention des partis d'opposition de droite et d'extrême droite (21 voix).

    "Le décret sécurité octroie plus de pouvoirs aux forces de l'ordre, plus de contrôles aux frontières, plus d'hommes pour arrêter les mafieux", s'est félicité Matteo Salvini sur Facebook. Le texte accorde au ministre des pouvoirs élargis pour :

    1. Interdire les eaux territoriales aux navires ayant secouru des migrants...

    2. Confisquer les bateaux des ONG...

    3. Imposer à leurs commandants des amendes pouvant aller jusqu'à 1 million d'euros...

    Après l'affront de Carola Rackete, la capitaine du Sea-Watch3 qui avait accosté de force à Lampedusa pour débarquer des "migrants" (!), le texte donne la possibilité d'intercepter préventivement un navire et d'infliger jusqu'à 10 ans de prison pour toute résistance. 

    Le nouveau texte accroît aussi les possibilités d'écoutes et de recours pour des agents sous couverture pour lutter contre toute forme de complicité à l'immigration clandestine. 

    BRAVO, SALVINI ! FORZA, SALVINI !

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/08/05/encore-une-fois-salvini-montre-la-voie-6168515.html

  • UN PILLAGE FRANÇAIS #1 : L'aéroport de Toulouse

  • Lyon : un centre de « déradicalisation » ouvert en catimini pour ne pas « risquer l’opposition des riverains »

    Terrorisme: un centre de déradicalisation a ouvert à Lyon

    […]

    Selon le JDD de ce dimanche 4 août, la Direction de l’administration pénitentiaire (DAP) a ouvert ces structures en toute discrétion pour pouvoir tester le dispositif tranquillement, sans risquer l’opposition des riverains.

    […]

    L’objectif pour la fin d’année 2019 est de garder 110 femmes et hommes dans les radars.

    Comme le souligne le JDD, les profils sont divers. À Marseille par exemple, le centre s’occupe d’une maman rentrée de Syrie avec ses enfants tout comme d’un homme dont la peine de prison a été aménagée.

    […]

    Le Progrès

    http://www.fdesouche.com/1246151-lyon-un-centre-de-deradicalisation-ouvert-en-catimini-pour-ne-pas-risquer-lopposition-des-riverains

  • CETA (III/III) : Et, pour couronner le tout, Castaner qui parle d' "attentats" !

    L'incompétent en chef qui sévit à la Place Beauveau, d'où il aurait être démissionné depuis novembre dernier, ne sera donc jamais en retard d'une gaffe !

    Et, là, on ne peut même plus parler de gaffe, de bourde ou d'écart de langage : c'est un scandale pur et simple !

    Les vraies victimes de vrais attentats apprécieront : les victimes des attentats à Nice sur la Promenade des Anglais, à Magnanville pour ce couple de policiers assassinés devant chez eux, à Paris aux terrasses de bar et au Bataclan, à l'Hyper Cacher de Vincennes ou à Charlie Hebdo (même si nous n'aimions guère la rédaction...) et à d'autres endroits encore...

    C'est à lire dans Boulevard Voltaire :

    https://www.bvoltaire.fr/permanences-de-lrem-taguees-christophe-castaner-plus-fort-que-linspecteur-clouseau-dans-la-panthere-rose/?fbclid=IwAR2LzargMKf9TABEWhfHSFkvfioYx89aMEEz0202iGzLet0lNFEmiAIyf0Q

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    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/08/02/ceta-iii-iii-et-pour-couronner-le-tout-castaner-qui-parle-d-6168062.html

  • L'ONU redoute une nouvelle vague d'attentats en fin d'année

    operation-sentinelle.jpgSamedi 3 août, le journal The Guardian rapportait l'existence d'un rapport de l'ONU selon lequel une nouvelle vague d'attaques terroristes serait à craindre d'ici à la fin de l'année 2019. 
    Dans ce document, les experts, qui s'appuient sur les services de renseignements des États membres de l'Organisation des Nations Unies, précisent que malgré la fin du « califat » de l'État islamique et les récentes défaites que ce dernier a accusées, l'Europe est soumise à une menace importante.
    « Lorsqu'il aura le temps et l'espace nécessaires pour réinvestir dans une capacité d'opérations extérieures, Daesh dirigera et facilitera les attaques internationales (...) La réduction actuelle de ces attaques pourrait donc ne pas durer longtemps », peut-on lire.
    [...]
    En savoir plus sur valeursactuelles.com
    Sur le même thème lire aussi:
     

  • CETA (II/II) : En 6 minutes, Natacha Polony explique pourquoi il ne fallait pas ratifier le CETA...

    Puisqu'ils semblent ne pas comprendre, suggérons à ces élus Larem (et à tout le monde, d'ailleurs...) d'écouter Natacha Polony : c'est clair, concis et très pédagogique :

    https://polony.tv/focus/pourquoi-ne-fallait-il-pas-ratifier-le-ceta-?fbclid=IwAR3E_J23oEgfJRxEME8QfgBvjtLLv8PmIEf1PetWMqpONnGWkdUIvhqoJUw

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • LES COLLABOS PRO MIGRANTS SONT EN NOMBRE UNE HONTE ….. SOUTENONS GÉNÉRATION IDENTITAIRES

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    OPÉRATIONS ANTIMIGRANTS : PRISON FERME REQUISE CONTRE LES CADRES DE GÉNÉRATION IDENTITAIRE

    Une centaine de militants d’extrême droite avaient organisé des patrouilles à la frontière franco-italienne, en 2018, pour « stopper » les migrants.

    Ils avaient été une centaine à s’installer sur la neige des cols alpins, à proximité de la frontière franco-italienne, au printemps 2018. Pour mener l’opération « Defend Europe » ou « Stop Migrants Alpes » dans cette zone de passage, ils avaient mobilisé deux hélicoptères, un avion, une grande barrière de plastique orange, des pick-up, et une ribambelle de doudounes bleu électrique.

    Pendant deux mois, les militants du mouvement d’extrême droite Génération identitaire ont expliqué, à grand renfort de communication sur les réseaux sociaux, « tenir » ou encore « surveiller la frontière », « quadriller le secteur », « patrouiller », « repérer les migrants », « stopper » leur arrivée et même mener un travail de « renseignement » sur les réseaux de passeurs… « Si l’Etat ne les démantèle pas, nous le ferons nous-mêmes », promettaient-ils.

    Se mettant en scène dans des maraudes nocturnes filmées, ils enjoignaient les migrants qu’ils croisaient à rebrousser chemin ou les conduisaient auprès de fonctionnaires de police ou de gendarmerie.

    Jeudi 11 juillet, ils n’étaient pas aussi nombreux sur les bancs de la salle d’audience du tribunal correctionnel de Gap (Hautes-Alpes). Des trois cadres de Génération identitaire renvoyés devant la juridiction pour avoir conçu et organisé une opération de nature à « créer une confusion avec l’exercice d’une fonction publique », un seul, le président de l’association, avait fait le déplacement. Et il a choisi de garder le silence. Avant de se taire, Clément Gandelin, 24 ans, conducteur de travaux intérimaire et déjà condamné pour violence sur personne dépositaire de l’autorité publique en 2015, a voulu dénoncer une procédure « purement politique » car, a-t-il assuré, « nous n’avons jamais dit que nous prenions la place de la police ».

    SIX MOIS DE PRISON FERME REQUIS

    Le procureur de Gap, Raphaël Balland, s’est évertué à démontrer l’inverse en requérant six mois de prison ferme pour chacun des prévenus – tous présentent un casier judiciaire – et une amende de 75 000 euros à l’encontre du mouvement. « L’objectif était bien de dire : “Regardez, nous, on peut faire le boulot de l’Etat, surveiller les frontières, faire des enquêtes, appréhender les migrants lors de maraudes…” », a argumenté le procureur.

    L’enquête a notamment permis de détailler le déroulé de l’une de ces maraudes au cours de laquelle plusieurs migrants ont été, d’après leurs déclarations, poursuivis, interrogés, filmés et photographiés, encerclés et éclairés jusqu’à l’arrivée des gendarmes.

    « Mais de quel droit ? », a répété M. Balland, insistant sur le « trouble » apporté par Génération identitaire dans un département devenu le « symbole » des questions migratoires et où « les relations se sont crispées, radicalisées ». Maniant un délit peu connu, il a invité le tribunal à « faire jurisprudence » en condamnant les prévenus.

    A l’époque des faits, le parquet avait eu des difficultés à appréhender les contours pénaux de l’opération de Génération identitaire. Dans un contexte d’émoi politique et médiatique, le procureur avait d’abord ouvert et classé presque aussitôt une enquête pour violences à l’encontre des migrants. Quelques jours plus tard, il avait rouvert une enquête pour immixtion dans une fonction publique et activité tendant à créer une confusion avec une fonction publique, non pas tant auprès des migrants que « dans l’esprit du public », a défendu jeudi M. Balland.

    L’avocat de Génération identitaire et de ses militants, Pierre-Vincent Lambert, a plaidé la relaxe, arguant qu’il n’y avait eu ni « manœuvre », ni « tromperie ». Il a voulu voir dans le raisonnement du ministère public la volonté de se « justifier » et « la peur de se voir reprocher de ne rien avoir fait contre Génération identitaire alors que par ailleurs [il a] poursuivi et requis contre les autres ».

    Les autres, ce sont les militants qui viennent en aide aux migrants dans les cols alpins, où trois d’entre eux sont décédés depuis 2017. Il y a quelques mois, devant ce même tribunal, face au même procureur et à la même présidente, sept militants « solidaires »avaient été jugés et condamnés pour avoir facilité l’entrée irrégulière de plusieurs migrants sur le territoire en organisant une manifestation à la frontière et en passant outre une ligne de gendarmes. La manifestation avait été organisée en réaction à l’opération « Defend Europe ».

    S’ils n’étaient pas présents à l’audience, les deux autres prévenus, le porte-parole de Génération identitaire, Romain Espino, et Damien Lefèvre, ex-directeur de communication de la mairie Front national (FN) de Beaucaire et attaché parlementaire de Gilbert Collard, n’ont pas manqué de réagir sur les réseaux sociaux. « Je ne regrette rien et si c’était à refaire, je le referais », a ainsi assuré sur Twitter le premier. Le jugement a été mis en délibéré et sera rendu le 29 août.

    https://www.lemonde.fr/societe/article/2019/07/11/operations-antimigrants-prison-ferme-requise-contre-les-cadres-de-generation-identitaire_5488323_3224.html?xtor=EPR-32280629-%5Ba-la-une%5D-20190712-%5Bzone_edito_1_titre_3&fbclid=IwAR3acVXVN6EnXxiv7i4gXrtq5qrCh247YO2jXBy7cyTgeJvhz-3XG2Ax98o

  • Un garde-côte lybien: « J’ai vu de nombreux contacts entre les ONG et les contrebandiers »

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    Un commandant de la Garde côtière libyenne a réaffirmé ce que beaucoup de voix conservatrices ont dit depuis des années – à savoir que les ONG travaillent main dans la main avec les passeurs pour le trafic des migrants en Europe.

    Selon un rapport de Il Giornale, le marin, qui est le commandant de l’ un des trois bateaux de patrouille qui ont été remis à la Libye par le gouvernement italien, affirme qu’il a été personnellement témoin et détient la preuve directe que les trafiquants d’ êtres humains sont en contact avec les ONG utilisant les plateformes des médias sociaux.

    Tout en parlant avec Il Giornale, Mustafa dit: « J’ai personnellement vu beaucoup de contacts sur Facebook ou Twitter entre les ONG et les contrebandiers. »

    Le commandant Mustafa a également raconté ses interactions avec les ONG. Il a poursuivi en disant: « Je parle avec les ONG, je leur demande de ne pas approcher pour éviter de mettre en danger la vie des migrants. Mais ils n’écoutent pas. »

    « Ils ne sont pas à l’écoute, ils veulent juste prendre les migrants. Et cela crée une situation dangereuse » , a ajouté le commandant.

    Les procureurs italiens ont affirmé depuis des années que ces ONG ont travaillé main dans la main avec les trafiquants d’êtres humains pour s’assurer que les migrants montent à bord de leurs navires afin de les amener en Italie. jusqu’à ce que Salvini ferme les ports.

    En 2017, le procureur italien Carmelo Zuccaro a allégué que des appels téléphoniques avaient été passés de la Libye aux navires des ONG dans le but de faire de la recherche (SAR) pour coordonner le sauvetage des migrants.

    Les photos, qui ont été publiées par le quotidien allemand Welt, montrent les passeurs escortant un groupe de migrants, tous recueillis par le navire de l’ONG, le Iuventa.

    L’an dernier, un ancien employé d’une ONG sur l’un des navires a également parlé au sujet des liens entre les militants des navires de transport des migrants et des ONG les passeurs.

    Pietro Gallo,  qui a travaillé la sécurité à bord du Vos Hestia – un navire exploité par l’ONG « Save the Children » – a reçu des menaces de mort par des militants après avoir dénoncé aux autorités italiennes les liens entre les navires et les passeurs.

    Traduction alter INFO

    Sources Il GiornaleDie Welt viaVoice Of Europe

    https://www.alterinfo.ch/2019/07/30/un-garde-cote-lybien-jai-vu-de-nombreux-contacts-entre-les-ong-et-les-contrebandiers/

  • Violences et loi Avia : aucun rapport ?

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    Depuis novembre et les samedis des gilets jaunes, les députés LREM ou leurs permanences étaient déjà la cible d’attaques répétées. Avec le récent vote du CETA et l’entrée en scène des jeunes agriculteurs, ces fâcheux événements se multiplient et se renforcent, au grand dam d’une classe politique unanime pour s’en indigner. On se souvient, toutefois, qu’elle est moins offusquée quand c’est le RN qui est visé ; de même quand ce sont, par exemple, des infirmières, des pompiers, des Asiatiques… qui sont molestés.

    D’aucuns croiront que, cette fois, c’est parce que c’est leur propre « communauté » qui est visée que les politiques se mobilisent. Que nenni, à en croire la députée Aurore Bergé, porte-parole de LREM : c’est simplement contre un « climat malsain et nauséabond » qu’elle nous met en garde.

    Au fait, ces députés qui, la démocratie en bandoulière, trépignent aujourd’hui contre ces procédés « antidémocratiques », ne sont-ce pas les mêmes qui ont voté dans l’enthousiasme la loi Avia, qui vise à bâillonner toute critique, voire galéjade, sur ce qui ne serait pas mâle blanc cisgenre hétérosexuel, censure dont Emmanuelle Duverger a déjà eu un avant-goût (négation de la liberté d’expression d’ailleurs particulièrement hypocrite, puisque ce sont les hébergeurs sur Internet qu’elle charge du sale boulot) ?

    Or, il y a deux façons d’empêcher les gens de s’exprimer.

    Évidemment, la censure, telle que nous la voyons se mettre place.

    Mais aussi celle, plus subtile, de l’Éducation nationale, qui semble s’efforcer de limiter le vocabulaire des élèves à quelques centaines de mots. On sait que la pauvreté langagière génère la violence, car lorsqu’au volant on est traité de « c…ard », on n’a pas la ressource de répondre « mes hommages à mademoiselle votre mère ». C’est pour cela que certains se sentent mieux avec une batte de baseball.

    Alors, ces élus qui déplorent le « climat malsain et nauséabond » qui se développe, et les violences qui l’accompagnent, feraient mieux de se demander si empêcher les gens de dire ce qu’ils voient est le meilleur moyen d’empêcher que ne s’aggrave ce climat…

    Richard Hanlet

    https://www.bvoltaire.fr/violences-et-loi-avia-aucun-rapport/