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anti-national - Page 441

  • Gilets Jaunes – Des policiers ne veulent plus suivre les “instructions illégales” et servir de police politique

    Le site Mediapart confirme que des instructions particulières et illégales ont été adressées à la police pour réprimer les gilets jaunes :

    Les officiers de police judiciaire d’un commissariat parisien dénoncent les « instructions illégales » de leur hiérarchie, en particulier lors des manifestations des « gilets jaunes ». Dans un mail que Mediapart a pu consulter, il est écrit que, sur ordre de la préfecture de police de Paris, les personnes interpellées doivent être systématiquement placées en garde à vue.

    Six officiers de police judiciaire (OPJ), soit la totalité du service de leur commissariat parisien, ont, en février et pendant plus d’un mois, interrompu leur activité pour protester contre les instructions « liberticides » que leur imposait leur hiérarchie, notamment lors des manifestations des « gilets jaunes ». Ils se sont mis, en alternance et parfois à tour de rôle, en arrêt de travail – certains le sont encore aujourd’hui.

  • Agressions sexuelles du Nouvel An à Cologne : 3 ans après les faits, seulement 3 condamnations

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    – EUROPE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    On se souvient qu’il y a trois ans des centaines de femmes avaient signalé des agressions lors de la Saint-Sylvestre dans les rues de Cologne. Dissimulée par les autorités allemandes en raison de l’origine immigrée des agresseurs, la vérité avait fini par éclater grâce au travail de la réinfosphère, provoquant un tollé.
    Mais le travail de la justice pose question

    L’enquête criminelle de la Saint-Sylvestre de Cologne 2015 a donné un résultat très décevant. Bien que plus de 600 femmes aient signalé des délits sexuels, seuls trois délinquants sexuels ont finalement été condamnés par la justice d’après le Spiegel qui s’est référé à une liste établie par le tribunal local de Cologne. Sur ces trois délinquants sexuels, deux ont été condamnés à du sursis. Le porte-parole du tribunal, Wolfgang Schorn s’il a reconnu que « Dans l’ensemble, le résultat donne à réfléchir », a tenté de se justifier : « Avec la situation tumultueuse de la nuit du Nouvel An, il a été difficile de prouver les faits. » Les trois délinquants sexuels n’ont pu être condamnés que parce qu’ils avaient effectué des selfies d’eux-mêmes et des victimes. Pour tous les autres, il était difficile de fournir des preuves.

    Seulement 32 condamnations pour vol ont été prononcées

    Le ministère public a enquêté sur 290 suspects selon le rapport, mais seuls 32 ont abouti à des condamnations. Selon le tribunal de district, les accusés étaient principalement des Algériens, des Marocains et des Irakiens. Dans la plupart des cas, il s’agissait de vol qualifié, de vol et de recel de biens volés. La peine la plus sévère a été infligée à un Algérien de 30 ans qui a été condamné à un an et onze mois de prison pour vol qualifié. Lorsque les faits de Cologne furent connus dans le monde entier, la chancelière Angela Merkel (CDU) avait appelé à une « réponse ferme de l’Etat de droit ». Force est de constater que l’état de droit a abouti au contraire à une réponse laxiste. Ces ridicules condamnations prononcées par le pouvoir judiciaire sont dignes de ce que l’on appelle l’état de droit, plus prompt à protéger le délinquant et le criminel qu’à répondre à la détresse des victime.

    https://fr.novopress.info/

  • I-Média n°241 : Révolte algérienne ou Gilets Jaunes, les médias ont fait leur choix

     

    Révolte algérienne ou Gilets Jaunes, les médias ont choisi

    Le soulèvement populaire algérien a été salué par de nombreux médias et journalistes qui semblent bien plus circonspects quand il s’agit des Gilets Jaunes.

    Zapping

    David Pujadas découvre ébahi avec le dernier ouvrage de Jérôme Fourquet que le peuple français est en train d’être modifié en profondeur par l’immigration extra-européenne massive.

    Siège à l’ONU : les médias ridiculisés

    Au moment de la signature du traité d’Aix-Le-Chapelle, certains responsables politiques exprimaient leurs craintes de voir la France bientôt céder à l’UE son siège à l’ONU.
    Les médias avaient hurlé à la « fake news ». Aujourd’hui, le débat est relancé.

    Tweets

    Selon une majorité de Français, les médias sont des outils de propagande. Un résultat étonnant quand on sait avec quelle impartialité et avec quel sérieux les médias traitent l’information.

    Racisme. Les médias menés à la baguette

    Une boulangère africaine de Levallois Perret en grave difficultés financières a affirmé avoir été victime de propos racistes. Des propos relayés par une association communautaire violente et par des médias qui ont oublié toute déontologie.

    https://www.tvlibertes.com/i-media-n241-revolte-algerienne-ou-gilets-jaunes-les-medias-ont-fait-leur-choix

  • A Rouen, des étudiants identitaires interviennent au cours d'une réunion de repentants shizophrénes

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    Jeudi après-midi des étudiants identitaires de Rouen ont perturbé une conférence Race(s) sur le thème "Pourquoi l’homme blanc se prend t’il toujours pour le maître du monde ?"

    Ces jeunes étudiants, indignés par la tenue d'une telle réunion provocatrice et ethno-masochiste dans leur ville, refusent la culpabilisation perpétuelle des Européens. Ils ne pouvaient donc pas rester sans réagir. Rappelons que l’Histoire de l’Europe est riche de 30 000 ans d’identité, et ne se résume pas qu’à certaines courtes périodes qui sont en permanence insultées par les détracteurs de notre civilisation. Voilà pourquoi cette action méritoire a été pacifiquement menée.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Vers l’explosion du PPE ou une recomposition du Parlement européen ?

    Vers l’explosion du PPE ou une recomposition du Parlement européen ?

    Viktor Orbán a écrit une lettre aux présidents des 13 partis du PPE qui demandent son exclusion. Extrait :

    « Ce n’est un secret pour personne qu’il existe de graves désaccords (…) sur la question des migrations, de la protection de la culture chrétienne et de l’avenir de l’Europe. Ce n’est également un secret pour personne que nous ne souhaitons pas changer notre position sur ces questions. Cependant, je ne pense pas qu’il soit raisonnable de résoudre de tels différends en expulsant un parti de notre famille politique. Je souhaite donc respectueusement vous demander de réexaminer votre demande d’exclusion, si possible. »

    Le président des chrétiens-démocrates flamands (2 élus contre 20 au Fidesz), Wouter Beke, qui a révélé l’existence de la lettre et sa teneur, a aussitôt répondu :

    « Le CD&V s’en tient à sa position : il n’y a pas de place pour le Fidesz dans le PPE. »

    Le 15 mars, pour la fête nationale de la Hongrie, l’invité privilégié sera le Premier ministre polonais. L’amitié entre les deux gouvernements est au zénith. Mais le PiS polonais, qui est de fait le parti le plus proche du Fidesz, ne fait pas partie du PPE. Les 14 députés du PiS font partie du groupe ECR, le groupe des conservateurs britanniques, qui risque de ne plus exister sans eux.

    https://www.lesalonbeige.fr/vers-lexplosion-du-ppe-ou-une-recomposition-du-parlement-europeen/

  • Naufrage Grande América : la grande hypocrisie – Journal du jeudi 14 mars 2019

     

    Naufrage Grande América : la grande hypocrisie

    Alors que le naufrage d’un navire au large des côtes françaises va causer des dommages irréversibles, la question écologiques revient au coeur des débats. Les marches pour le climat et autres affaires du siècle paraissent bien superficielles face aux enjeux concrets de l’écologie.

    Baisse du nombre de parlementaire : l’impossible réforme ?

    La majorité en marche arrière sur la réduction du nombre de parlementaires… la promesse de campagne d’Emmanuel Macron de réduire le nombre de députés devrait passer à la trappe, les élus se sachant menacés par une telle disposition.

    Tour Triangle : un business entre amis

    Revoilà la Tour Triangle. Alors que le projet suscite de nombreuses controverses depuis plusieurs années, le gouvernement a décidé de lui donner un coup de pouce. Une aide loin d’être anodine alors que plane l’ombre d’un petit arrangement impliquant le porte-parole du gouvernement Benjamin Griveaux.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/naufrage-grande-america-la-grande-hypocrisie-journal-du-jeudi-14-mars-2019

  • 566 SDF sont morts dans les rues en France en 2018, un chiffre en hausse

    Capture sdf.pngEn 2018, 566 personnes sans domicile sont mortes dans la rue en France, contre 511 l'année précédente, selon le collectif Les morts de la rue, qui recense chaque année ces décès.
    Le chiffre est en constante hausse. Selon un rapport du collectif Les morts de la rue, rendu public jeudi 14 mars, 55 personnes supplémentaires sans domicile sont décédées dans la rue en 2018, portant le total à 566.
    En moyenne, ces personnes avaient 48 ans et cinquante d'entre eux étaient des femmes. Treize étaient des mineurs, dont six de moins de 5 ans. Deux étaient des enfants âgées de 5 et 9 ans tandis que six avaient entre 15 et 18 ans.
    "Durant les trois derniers mois avant son décès, chacune de ces personnes a vécu majoritairement dans des lieux non faits pour l'habitation ou en centre d'hébergement d'urgence ou temporaire", précise le collectif, qui organisera un hommage public le 2 avril à Paris.
    "Elles sont mortes sur la voie publique, dans des abris de fortune tels qu'un parking, une cage d'escalier, une cabane de chantier ou dans le métro, mais aussi en lieu de soins ou en structure d'hébergement", selon Les morts de la rue.
    [...]
    En savoir plus sur lci.fr

  • Algérie : Le spectre du chaos, par Etienne Defay

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    La ferveur populaire aura eu raison de l’obstination du pouvoir. Le 11 mars dernier, le président algérien a en effet publié une lettre lue en direct par une journaliste d’information annonçant plusieurs dispositions décisives pour l’avenir du peuple algérien. Abdelaziz Bouteflika renonce à briguer un cinquième mandat, les élections présidentielles prévues le 18 avril sont reportées et « des changements importants au sein du gouvernement » sont annoncés. Pour cette dernière affirmation, on apprend ce mercredi matin la démission du Premier ministre, Ahmed Ouyahia, qui est remplacé au pied levé par Noureddine Bedoui, ex-ministre de l’Intérieur, proche du frère d’Abdelaziz Bouteflika et bien-aimé des médias locaux.

    En outre, des changements sur le moyen terme assez significatifs sont annoncés : la préparation d’une « Conférence nationale inclusive et indépendante », censée représenter toutes les sensibilités de la société algérienne, s’attaquera à l’élaboration d’une nouvelle Constitution soumise à référendum. Enfin, une élection présidentielle aura lieu dans le prolongement de cette conférence à une date encore indéterminée.

    En résumé, c’est le grand flou. Conséquence d’un président algérien aux abonnés absents et dont la dernière sortie publique remonte à plus d’un an. Conséquence d’un pouvoir verrouillé et phagocyté par un clan depuis les évènements de la guerre civile. Conséquence d’une menace islamiste tapie dans les djebels. Conséquence d’une administration corrompue et d’une arrière cour composée de militaires et de rentiers pétroliers.

    Du coté français, on observe la situation de l’Algérie avec inquiétude. Si Le Drian et Macron ont exprimé leur soulagement devant le retrait d’Abdelaziz Bouteflika, tous redoutent les conséquences d’une telle crise chez un si proche voisin dont la diaspora est (comment l’oublier) particulièrement présente sur le sol français. Une réalité qui s’est particulièrement rappelée à notre bon souvenir en observant la médiatisation du sinistre Rachid Nekkaz. La médiatisation et la crédibilisation de cet islamiste bon teint partisan du voile et proche des milieux les plus radicaux de l’islam est une création 100% française en définitive. Il suffit d’aller observer les milliers d’insultes et de menaces de mort que reçoit quotidiennement le courageux Pierre Liscia pour comprendre le caractère explosif de la situation. Le jeune élu du XVIIIe arrondissement et accessoirement chroniqueur de l’émission « Salut les Terriens » avait en effet eu le malheur d’asséner à Nekkaz ses vérités tout en refusant de lui serrer la main.

    Il n’en fallait pas plus pour la jeunesse algérienne qui s’est déchaîné sur la page facebook de Liscia : « vive Hitler, va crever… » et autres joyeusetés… Comme le rappelle l’historien Jean Sevillia au média Boulevard Voltaire : « La population algérienne croît d’un million d’habitants par an. Sa population est extrêmement jeune. Il y a une forme de naïveté dans cette révolution. » Effectivement, souhaitons qu’à Alger, ils gardent la tête froide, ce serait dommage que certains la perdent littéralement de manière collatérale.

    Etienne Defay

    Article paru dans Présent daté du 13 mars 2019

    https://fr.novopress.info/

  • Au bonheur des djihadistes

    6a00d8341c715453ef0240a46e0f24200d-320wi.jpgLa France et l'Europe se trouvent en situation de guerre, avec ceux qui se réclament, quant à eux, du djihad. Il s'agit de l'un des piliers traditionnels de l'islam sunnite. Ils l'entendent comme une guerre sainte[1]. Mais cette réalité semble condamnée à demeurer dissimulée, par les commentateurs médiatiques agréés, d'un voile d'hypocrisie et d'un manteau d'ignorance.

    La première manipulation de l'opinion consiste évidemment à mentionner seulement le terrorisme, qui n'est qu'un moyen : on ne fait pas la guerre aux armes, mais à ceux qui les utilisent et à la puissance qui les commande.

    Un "Livre noir et blanc du terrorisme en Europe" a été présenté le 6 mars au Parlement européen. Rédigé par Mme Maite Pagazaurtundua ce rapport fait état de 753 personnes tuées, depuis 2000, par des terroristes en Europe et de 1 125 Européens hors du continent. 120 Européens ont ainsi perdu la vie à New York le 11 septembre 2001, mais c’est en Afghanistan, que l'on enregistre le plus grand cimetière d’Européens avec 632 morts.

    Pour des raisons sans doute compréhensibles, cette eurodéputée espagnole, ayant quitté le Pays basque du fait des crimes et menaces de l'ETA, incorpore cette organisation, plus ou moins marxiste-léniniste, dans la même rubrique que le djihadisme. Rappelons qu'en tout état de cause Euskadi Ta Askatasuna s'est dissoute en mai 2018.

    Et il importe dès lors de souligner que, sur toute la période, le tableau de chasse des islamo-terroristes compte 84 % des victimes .

    C'est donc bien face à cet ennemi qu'il s'agit de mobiliser.

    Au lendemain de l'agression islamiste de Condé-sur-Sarthe, on se doit de rappeler certaines composantes de la situation à laquelle la France se trouve confrontée.

    Commençons par l'insuffisance des moyens de toutes les forces appelées à maintenir l'ordre, et notamment ceux de l'Administration pénitentiaire.

    À l'Assemblée nationale ce 6 mars, Mme Cécile Untermaier[2], a pu interpeller le garde des Sceaux sur ce qu'elle considère comme "la question centrale" car, dit-elle, "avec un surveillant en moyenne pour 2,5 détenus, la France a le plus mauvais taux d'Europe !". Ridiculement la secrétaire d'État auprès du ministre de la Transition écologique, Brune Poirson se gargarise cependant de ce qui ne va pas tarder à être accompli, mais qui ne l'est toujours pas : "Il y a un plan qui est en train d'être mis en œuvre pour faire plus pour ces surveillants et mieux encadrer les détenus radicalisés." En attendant Damien Abad, député de l'Ain, rappelle sur BFMTV que "les Français sont fouillés quand ils prennent l'avion pour partir en vacances… Mais les épouses des radicalisés islamistes rentrent librement dans nos prisons !", et son collègue LR de l'Yonne, Guillaume Larrivé déplore : "La rupture avec les années Taubira n'a toujours pas été faite".

    On ne doit pas perdre de vue, non plus, l'indulgence médiatique dont bénéficie une certaine voyoucratie. Les émeutes de Grenoble en témoignent. Durant quatre nuits une partie de la ville s’est transformée en zone de guerre. Une pluie de cocktails Molotov, lancés depuis les barres HLM, s’est abattue sur les policiers, accompagnés de tirs tendus de feux d’artifice, de bombes agricoles, de guet-apens, d'embuscades, de lynchages sur les réseaux sociaux. Le tout témoignant d'une volonté affichée de massacrer et de tuer du flic ou du pompier.

    Ce racisme anti-flic s'accompagne aussi d'un contexte de haine antichrétienne et antifrançaise, qui s'exprime dans la profanation scandaleuse de la basilique des rois de France vandalisée à Saint-Denis, son orgue dégradé, ses vitraux brisés. Il ne s'agit pas d'un cas isolé. Bien au contraire, la vague de profanation d'églises catholiques ne cesse de s'amplifier.

    Plus généralement, nous citions dans l'Insolent du 12 mars[3] la présidente de la région Île de France. Elle considère que la situation explosive des banlieues requiert une intervention. Mais cela semble ressortir dans son esprit de moyens surtout matériels.

    On aimerait pourtant que soit prise en compte, dans cette situation de guerre à laquelle l'Europe doit faire face, la dimension culturelle, la volonté de nous combattre coûte que coûte, de ceux qui ne doivent pas être vus comme des citoyens à récupérer mais comme des ennemis.

    Citons ici, pour conclure, le reportage publié ce 9 mars par L'Orient le Jour[4] :

    "On se vengera, il y aura du sang", le groupe État islamique "va rester et s’étendre". En fuyant son ultime réduit dans l’Est syrien, des djihadistes promettent un retour en force de l’organisation ultraradicale en passe d’être vaincue. Des milliers de personnes, dont de plus en plus d’éclopés et de blessés, continuent d’abandonner la petite poche de l’État islamique dans le village de Baghouz, aux confins orientaux de la Syrie. Parmi eux, de nombreux hommes et femmes refusent de reconnaître la défaite inéluctable des derniers djihadistes acculés.

    Plus significative peut-être, la réaction des compagnes des djihadistes, au moins aussi virulentes, que certaines bonnes âmes entendent faire revenir en France avec leur progéniture, mérite d'être reproduite :

    Faisant mine de jeter leurs chaussures, près d’une dizaine de femmes prennent à partie les journalistes, lançant des pierres sur les caméras. "Nous sommes sortis mais il y aura de nouvelles conquêtes", "L’État islamique va rester et s’étendre", "On se vengera et il y aura du sang jusqu’aux genoux", hurlent-elles.

    Après avoir passé la nuit à l’extérieur près de Baghouz, sur une position des Forces démocratiques syriennes qui mènent l’offensive contre les djihadistes, ces femmes seront transférées vers les camps de déplacés du Nord-Est syrien. "Tu ne lis pas le Coran ? Tu n’as pas honte ?" lance l’une d’entre elles, agrippant la tresse d’une journaliste aux cheveux découverts. "Dieu maudit la femme qui ressemble à un homme", crie une autre. D’autres femmes, assises par petits groupes à même le sol, se montrent plus discrètes. Mais lorsqu’elles sont interrogées, elles reprennent le même discours : "On attend la victoire, si Dieu le veut"(...)

    Oui cela s'appelle la guerre. Il faut la gagner.

    JG Malliarakis  

    Apostilles

    [1] cf. Le recueil de hadith d'El Bokhari, le Çahih, traduit sous le titre de "L'Authentique tradition musulmane. Choix de h'adiths" éd. Fasquelle 1964 pages 205 à 212.
    [2] Députée socialiste de Saône-et-Loire.
    [3] cf. "Le centre droit a-t-il un avenir ?" note 1.
    [4] sous le titre "En Syrie, le califat chancèle mais ses partisans rêvent d’un retour sanglant"

    https://www.insolent.fr/

  • Gros sabots: le parlement parle de la Russie et de la Turquie…

    hemicycle-parlement-europeen-strasbourg-300x150.jpgEuroatlantistes de droite et de gauche main dans la main: Euractiv s’en faisait l’écho hier, avec  402 voix pour, 163 contre et 89 abstentions, les eurodéputés ont adopté une résolution, confirmant la situation qui prévaut depuis 2014, à savoir que « la Russie ne peut plus être considérée comme un partenaire stratégique (pour l’Union européenne) »; « l’UE ne peut plus envisager un retour progressif à une relation normale tant que la Russie n’applique pas complètement l’accord de Minsk et ne restitue pas son intégrité territoriale à l’Ukraine. » Le document que l’on croirait rédigé par un think tank neocon ou recopié sur une tribune de BHL ou de George Soros, spécifie que l’UE « doit être prête à imposer des sanctions plus drastiques à l’égard de la Russie.» « (Il)  inclut une longue liste d’actions entreprises par le Kremlin qui vont à l’encontre du droit international et des droits de l’homme, notamment l’intervention russe en Syrie ou l’ingérence dans des pays tels que la Libye et la République centrafricaine et ses multiples violations en Ukraine.» Poursuivant dans un veine propre à réjouir Emmanuel Macron et ses autres soutiens Young leaders, lesdits députés « ont déclaré être  très inquiets des liens entre le gouvernement russe et les partis et gouvernements populistes et d’extrême droite en Europe, tels que le gouvernement hongrois et ont appelé à la création d’un mécanisme européen permettant de vérifier l’origine des financements des partis politiques ainsi qu’à l’adoption de mesures visant à « empêcher que certains partis et mouvements soient instrumentalisés pour déstabiliser le projet européen de l’intérieur ». Suivez mon regard! Et dans le cas bien improbable ou cette résolution n’aurait pas été assez claire, celle-ci «réaffirme» avec une légèreté pachydermique « que la Russie n’a pas de droit de veto sur les aspirations euro-atlantiques des nations européennes » (sic)  et « invite les autorités russes à condamner le communisme et le régime soviétique, ainsi qu’à punir les auteurs de leurs crimes et méfaits.»

    «Le Parlement européen a également exprimé ses inquiétudes à l’égard du projet Nord Stream 2, expliquant que le gazoduc reliant la Russie à l’Allemagne en passant par la Baltique pourrait occasionner une dépendance plus importante de l’UE au gaz russe et menacer le marché unique»… Vraiment?  Un projet certes défendu par Berlin mais qui a surtout le grand inconvénient d’irriter fortement Washington… mais pas de parano ni de complotisme déplacé braves gens!, ce doit être un hasard.

    Mercredi, toujours à Strasbourg, une majorité de députés européens (370 voix pour, 109 contre et 143 abstentions), ont demandé la suspension des négociations d’adhésion de la Turquie à l’Union européenne. Les eurodéputés, a rapporté le site de Francetvinfo, «se disent très préoccupés par le mauvais bilan de la Turquie en matière de respect des droits humains, d’Etat de droit, de liberté des médias et de lutte contre la corruption, ainsi que par le système présidentiel tout-puissant. »

    «Il ne s’agit pas pour le moment d’un arrêt pur et simple (le processus d’adhésion de la Turquie dans l’UE a été enclenchée officiellement dés 1963 avec sa candidature à la Communauté Economique Européenne, NDLR) , mais d’un avertissement » note cet article. Il est indiqué que « le ministère turc des Affaires étrangères (a critiqué) un texte qui montre clairement le manque de vision du Parlement européen, ajoutant que cette résolution non contraignante ne signifiait rien pour Ankara. Sur twitter, le porte-parole (de l‘AKP, le parti au pouvoir) a accusé le Parlement européen de regarder le monde par l’étroite fenêtre de l’extrême droite

    Que nenni a précisé le rapporteur du texte, l’eurodéputée socialiste néerlandaise Kati Piri ( groupe S&D). «Ankara a fait la sourde oreille à nos appels répétés au respect des droits fondamentauxJe suis consciente que mettre un terme aux négociations d’adhésion n’aidera pas les démocrates en Turquie. Pour cela, les dirigeants européens doivent utiliser tous les outils à leur disposition pour faire pression sur le gouvernement turc.» Nous avons bien compris que pour nos vertueux progressistes, dans cette UE qui a refusé, par humanisme certainement, de réaffirmer les racines chrétiennes de l’Europe, il suffirait que les règles démocratiques soient mieux respectées, que la Gay pride, la PMA, les unions homosexuelles soient institutionnalisées, que le génocide arménien soit commémorée chaque année pour transformer ce pays asiatique et musulman en pays parfaitement européen

    En août dernier, nous rapportions les propos d’Emmanuel Macron à la conférence des ambassadeurs de France. Il affirmait à cette occasion que l’«on ne peut pas construire l’Europe sans réfléchir aux relations avec la Russie et la Turquie», arguant qu’il s’agirait de « sortir de l’hypocrisie » vis-à-vis d’Ankara en ne promettant plus aux Turcs une adhésion à l’UE, mais plus raisonnablement un partenariat stratégique. »

    Nous l’avons souvent écrit sur ce blogue, cette adhésion de la Turquie à l’UE ( à laquelle un nombre croissant de Turcs ne croient plus ou ne veulent plus) a été freinée par des opinions publiques européennes vent debout contre cette éventualité. Et cette période incitait les européistes à envoyer un signal de (pseudo) fermeté, à ne pas donner du grain à moudre aux méchants populistes avant les élections européennes de ce 26 mai.

    Il est aussi patent que les critiques contre la Turquie émanent aussi des instances bruxelloises qui s’inquiètent de la dérive autoritaire, des atteintes aux droits-de-l’homme, voire de l’agressivité et des menées géopolitiques d’Ankara; pour ne rien dire du chantage opéré par l’Etat turc qui a réclamé trois milliards d’euros à l’UE pour empêcher les centaines de milliers de migrants qui campent sur son sol de se répandre en Europe.

    Nous nous étions fait le relais d’une tribune signée par le député européen socialiste français Gilles Pargneaux, l’universitaire new-yorkais Alon Ben Meir et la journaliste d’investigation kosovare Arbana Xharra.  Ils écrivaient que « la Turquie est passée de meilleur allié de l’Occident, de l’OTAN et de l’Union européenne à un partenaire ambigu et revanchard (…). » « La dérive anti-libérale et anti-occidentale d’Erdogan » doit conduire à « mettre fin au processus d’adhésion de la Turquie à l’Union (…). Il ne peut y avoir de renforcement commercial entre l’Union et la Turquie sans qu’il n’y ait une amélioration de la situation des droits de l’Homme (…). L’influence grandissante de la Turquie dans les Balkans ne peut être ignorée (…). L’interventionnisme turc dans les mosquées en Bosnie, en Albanie et en Serbie représentent les derniers avatars de cette influence néo-ottomane, teintée d’Islam politique, de la Turquie vers l’Europe. Ceci pose d’autant plus question que la plupart de ces pays sont en phase de négociation pour accéder à l’Union européenne. »

    Autant dire que ces dernières années, les propos et avertissements de Bruno Gollnisch n’ont pas pris une ride: «si l’Europe se définit par l’adhésion à des valeurs communes laïques qui sont celles en gros de l’individualisme libéral et des droits de l’homme , alors effectivement à ce compte il n’y a pas de raison de ne pas l’étendre jusqu’au Zaïre le jour où ce pays pratiquera la démocratie parlementaire ! C’est là qu’on voit bien, sans déformation et sans exagération, que dans l’esprit de ces gens là, l’Europe n’est qu’une espèce de plate-forme commune qui a vocation à s’entendre de plus en plus, dans laquelle, à condition de respecter une règle sacrée qui est celle de l’ouverture et du métissage, n’importe quel pays pourrait finir par entrer ». C’est bien là tout le problème, voire le projet

    https://gollnisch.com/2019/03/14/gros-sabots-le-parlement-parle-de-la-russie-et-de-la-turquie/