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anti-national - Page 445

  • L'appel contre la menace de dissolution du Bastion social rassemble de plus en plus de personnalités nationales, identitaires et non-conformistes

    3489115836-1.jpgListe des 50 premières personnalités (responsables politiques, associatifs, éditeurs, écrivains, journalistes...) signataires de cet appel :

    Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, initiateur de l'appel contre la menace de dissolution du Bastion social

    Yves Baeckeroot, écrivain

    Francis Bergeron, directeur de Présent

    Caroline-Christa Bernard, artiste

    Jean-Pierre Blanchard, pasteur

    Christian Bouchet, enseignant, éditeur (Ars Magna)

    Hugues Bouchu, les Amis franciliens de SN

    Paule Bouvard, secrétaire départementale des CCP du Gard

    Anne Brassié, écrivain

    Les Brigandes, groupe musical non-conformiste

    Pierre Cassen, Président fondateur de Riposte laïque

    Lucien Cerise, écrivain, chercheur en sciences sociales

    Jacques Chassaing, collaborateur au site Riposte laïque

    François de Chassey, écrivain

    Jean-Paul Chayrigues de Olmetta, écrivain, président des Amis de Synthèse nationale

    Roland Curtet, responsable du MNR

    Jean-Pierre Demol, secrétaire de Nation (Belgique)

    Claudine Dupont-Tingaud, présidente du club quimpérois Agir et réagir

    Xavier Eman, essayiste, romancier, animateur de Paris-Vox

    Georges Feltin-Tracol, éditorialiste de Réfléchir et agir

    Jean-Eudes Gannat, porte-parole de Alvarium

    Nicolas Gauthier, journaliste

    Patrick Gofman, essayiste

    Hubert de Mesmay, ancien conseiller régional PACA

    Françoise Monestier, journaliste

    Thomas Joly, secrétaire général du Parti de la France

    Patrick Junca, ancien responsable identitaire

    Pieter Kerstens, chef d'entreprise

    Jean-Marie Le Pen, député européen, président d'honneur du Front national

    Christophe Lespagnon (Dr Merlin), artiste

    Juan  Antonio Llopart, édition Fides (Barcelonne)

    Claudio Mutti, directeur d’Eurasia, éditeur (Parme, Italie)

    Patrick Parment, Le Journal du chaos

    James Porazzo, éditeur (New-York)

    Arnaud Raffard de Brienne, essayiste

    Philippe Randa, écrivain, éditeur, directeur d’Eurolibertés

    Olivier Roudier, porte-parole Ligue du Midi

    Richard Roudier, Président de la Ligue du Midi

    Marc Rousset, chef d'entreprise, chroniqueur économique

    Lorrain de Saint Affrique, secrétaire général des Comités Jeanne

    Yannick Sauveur, écrivain

    Luc Sommeyre, blog Minurne

    Jacques Soulis, président du Cercle poitevin des Chats bottés

    Robert Spieler, ancien député, chroniqueur à Rivarol

    Christine Tasin, Présidente de Résistance républicaine

    Rémi Tremblay, directeur du Harfang (Canada)

    Hervé Van Laethem, porte-parole de Nation (Belgique)

    David Veysseyre, essayiste

    Pierre Vial, président de Terre & peuple

    Marc Vidal, libraire

    Marie-Jeanne Vincent, déléguée du PdF du Calaisis.

    Une nouvelle liste de signataires sera rendue publique au milieu de la semaine prochaine.

    TEXTE DE L'APPEL :

     NON À LA DISSOLUTION DU BASTION SOCIAL

    UN APPEL AU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE

    Le 16 février, un militant islamiste insulte l'écrivain Alain Finkielkraut. Le 20 février, au dîner du Crif, Emmanuel Macron annonce aux présents qu'il va, en conséquence, dissoudre le Bastion social, une organisation, habituellement considérée comme nationaliste révolutionnaire, qui consacre la majeure partie de ses activités à la défense de la culture européenne et à l'aide des SDF français.

    On pourrait sourire de l'inconséquence de la décision du Président de la République française si elle n'était pas, en même temps, injuste, partisane et gravement attentatoire aux libertés démocratiques essentielles.

    - Injuste, car aucun juriste sensé ne peut trouver dans les activités du Bastion social (ouverture de lieux communautaires, maraudes de soutien aux SDF, nettoyages de parcs, etc.) l'ombre du commencement d'une preuve que ce mouvement prône la violence et l'antisémitisme.

    - Partisane, car on ne peut que remarquer qu'alors qu'on veut faire dissoudre le Bastion social pour des faits et des idées qu'il ne prône pas, les groupuscules zadistes et antifas qui de manière récurrente s'en prennent aux forces de l'ordre et aux biens tant publics que privés avec une violence qu'ils revendiquent sans honte ne sont sous le coup d'aucune menace de dissolution.

    - Gravement attentatoire aux libertés démocratiques essentielles car elle remet en cause le droit a s'associer, ainsi que celui à exprimer leurs idées, de ceux qui ont le tort de professer des pensées et des comportement dissidents.

    Les signataires, qui ne partagent pas forcément les idées du Bastion social sur de nombreux points, s'inquiètent de ce lynchage démocratique d'une association qui n'a comme réel tort que d'aimer son peuple et sa patrie et demandent au Président de la République de revenir sur ses intentions (1).

    (1) - A la date de la rédaction de ce texte le Bastion social n'a pas encore été dissout.

    Cet appel s'adresse à tous...

    Vous aussi, rejoignez les signataires, cliquez ici ou écrivez à roland.helie@sfr.fr ou imprimez et retournez ce bulletin cliquez là

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Taxe GAFA : et hop ! Bruno Le Maire invente une taxe de plus… pour vous

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    Bruno Le Maire doit sans doute regarder en boucle le célèbre sketch des Inconnus « Rap-tout ». Car le ministre de l’Économie souffre d’une maladie, hélas pas orpheline : la « taxoplasmose aiguë ». Sa dernière trouvaille en date (la taxe sur les GAFA) et ses récentes déclarations à propos d’icelle méritent quelques commentaires, tant on atteint des sommets !

    D’abord, cette taxe sera appliquée sur une partie du chiffre d’affaires et non sur les résultats. C’est donc une super TVA et non une hausse de l’impôt sur les bénéfices. Le ministre déclare qu’une taxe de 3 % sur un chiffre d’affaires est destinée à compenser un écart de taux d’imposition de 14 % sur les bénéfices ! On lirait cela dans la copie du plus mauvais élève en fiscalité de bac Pro avec amusement, mais l’entendre de la bouche du ministre des Finances, il faut se pincer.

    Et puis une taxe, il faut bien que quelqu’un la paye. Qui la payera ? Le consommateur, bien sûr, puisqu’elle sera inévitablement répercutée sur les prix d’une manière ou d’une autre. Alors, quand le même Bruno Le Maire ose dire que cette taxe sur les prix (qu’est-ce donc qu’une taxe sur un chiffre d’affaires, sinon une taxe sur les prix ?) va augmenter le pouvoir d’achat des Français, on se demande qui peut encore croire à ses bobards.

    Au-delà de cette anecdote (le rapport est estimé, selon les chiffres du gouvernement, à 450 millions d’euros cette année, puis 500, avec une perspective de 650 millions en 2022 : une goutte d’eau dans l’océan fiscal !), on peut légitimement se demander si la vision de « la fiscalité du XXIesiècle » de Bruno Le Maire n’est pas beaucoup plus sournoise. Il s’agirait de transformer la fiscalité directe, celle que l’on voit quand on reçoit son avis d’imposition, en fiscalité indirecte, celle que l’on paie sans s’en rendre compte ni avoir le choix chaque fois qu’on achète quelque chose (la TVA, par exemple). En d’autres termes, supprimer officiellement tout un tas d’impôts avec l’impact politique positif que cela implique et les remplacer par des taxes « indolores ».

    Avec la révolte des gilets jaunes contre les taxes sur les carburants, au moment où le gouvernement supprimait l’ISF et la taxe d’habitation, il semblerait que cette politique ait trouvé ses limites et que la douleur fasse crier les consommateurs-contribuables. Le gouvernement devrait y réfléchir.

    Patrick Robert

    http://www.bvoltaire.fr/taxe-gafa-et-hop-bruno-le-maire-invente-une-taxe-de-plus-pour-vous/

  • Quand Michel Sapin raconte le poids des lobbys à Bercy

    « Omniprésents », « puissants », « insistants »… Dans un récent article, l’ancien ministre des Finances décrit de l’intérieur l’activité des lobbyistes au sein de la forteresse Bercy. Un récit sans langue de bois.

    Un témoignage rare. Dans la dernière livraison de la très sérieuse revue Pouvoirs, l’ancien ministre des Finances, Michel Sapin, lève un coin de voile sur un sujet qui alimente les fantasmes : l’action des lobbys à Bercy. L’actuel conseiller de François Hollande, qui connaît par cœur l’administration des Finances pour y avoir été deux fois ministre, au début des années 1990 puis entre 2014 et 2017, livre un récit sans langue de bois de la manière dont les lobbyistes assiègent en permanence la forteresse Bercy.

    « Dans tous les secteurs, et pour ceux que j’ai le mieux connus, dans les secteurs bancaires et financiers, dans le domaine de la fiscalité des entreprises, ou celui de la régulation des marchés, les représentants d’intérêts, les lobbys, sont omniprésents, souvent insistants et toujours débordants d’énergie », prévient-il d’emblée. Celui qui a donné son nom à deux lois anticorruption décrit par le menu les recettes des lobbyistes pour influer sur les décisions du ministre des Finances.

    Dîner discret et convivial

    Premier enseignement : le métier du lobbying s’est considérablement professionnalisé ces dernières décennies. La quasi-totalité des grandes entreprises et des grands patrons s’adjoignent désormais les services de cabinets spécialisés. « Souvent talentueux et habiles, ces cabinets de conseils sont très présents, que ce soit pour organiser une rencontre dans le bureau du ministre, remarque-t-il, ou, de manière plus conviviale, pour arranger un déjeuner ou un dîner propice à des échanges plus détendus et discrets. »

    Autre pratique prisée des lobbyistes : le recrutement d’anciens hauts fonctionnaires du ministère des Finances. « Les lobbys les plus influents, qui, comme des poissons dans l’eau, se trouvent les plus à l’aise dans les couloirs de Bercy, qui parlent la même langue et partagent les mêmes références, relève Michel Sapin, sont ceux qui sont dirigés ou représentés par d’anciens responsables des administrations du ministère de l’Economie et des Finances. » Dans ces officines, il n’est pas rare que l’expert de la fiscalité vienne de la direction des impôts ou que le spécialiste des sujets bancaires soit un ancien de la direction du Trésor chargée des règles du secteur bancaire.

    (…)

    http://www.fdesouche.com/1172875-quand-michel-sapin-raconte-le-poids-des-lobbys-a-bercy-challenges

  • "Le mouvement des gilets jaunes va suivre Macron pendant tout son quinquennat"

    Gilets-jaunes.pngLa tête de liste du Rassemblement national pour les Européennes estime sur le plateau de BFMTV que le gouvernement n'a pas apporté de réponses aux manifestants.
    Jordan Bardella, tête de liste du Rassemblement nationale pour les Européennes était invité sur notre plateau samedi soir.
    Il est revenu sur la baisse de la mobilisation des gilets jaunes en estimant néanmoins que le mouvement allait "suivre Emmanuel Macron tout son quinquennat".
    “Ce mouvement des gilets jaunes va suivre Emmanuel Macron pendant tout son quinquennat, du moins sur les revendications qui ont été portées", a-t-il déclaré, avant de poursuivre:

    "La mobilisation faiblit mais elle reste très importante, notamment en province. (...) On a tout fait pour empêcher des Français sincères, qui ont du mal à boucler les fins de mois de descendre dans la rue", a-t-il estimé sur notre antenne.
    [...]
    En savoir plus sur  bfmtv.com

    https://www.peupledefrance.com/2019/03/mouvement-gilets-jaunes-suivre-macron-quinquennat.html#more

  • Il y a plus de liberté médiatique en Hongrie qu’en France

    Il y a plus de liberté médiatique en Hongrie qu’en France

    Selon Nicolas Dupont-Aignan, dans l’émission « Face aux Chrétiens » de La Croix-KTO-Radio Notre-Dame et RCF :

    « Il y a plus de liberté médiatique en Hongrie ou en Pologne qu’en France ». « Il faut arrêter avec cette espèce de salissure incroyable sur le régime de Viktor Orbán »

    Le chef du gouvernement hongrois ne se rend coupable d’« aucune dérive autoritaire ».

    « C’est une invention, une invention absolument délirante parce que simplement, Viktor Orban, la Pologne, veulent défendent leur identité ».

    Nicolas Dupont-Aignan a annoncé qu’il rencontrerait bientôt le Premier ministre hongrois, dont il souhaite que le parti « puisse rejoindre le groupe ECR » au Parlement européen.

  • Le divorce des Français d’avec la presse est aujourd’hui consommé

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    Le moins que l’on puisse dire, c’est que l’État macronien actuellement en place ne recule devant rien pour protéger ses thuriféraires. Ainsi, après que le pouvoir en place a couvert pendant plusieurs semaines le barbouze Benalla, c’est aujourd’hui la chef du service politique internationale de France 24, Roselyne Febvre, qui profite de la protection d’une unité entière de CRS, suite aux menaces dont elle a fait l’objet pour ses propos délirants sur les gilets jaunes. Il faut dire que la journaliste, si tant est que ce titre puisse encore lui être appliqué, n’y est pas allée de main morte. En effet, face à ses deux collègues manifestement gênés par ses propos outranciers, madame Febvre n’a pas hésité une seconde à traiter ceux qui manifestent pour leur survie sur les ronds-points de France, depuis des mois, de « branquignols », de « racistes », d’« antisémites » et de « complotistes ». Bel exemple d’amalgame inconsidéré, de manque de vision politique et de parti pris flagrant. Pour une personne qui se prétend journaliste, donc témoin objectif et respectueux de la vérité, les limites ont, une fois de plus, été largement dépassées.

    Comment s’étonner, dès lors, de ce que le divorce d’une majorité de Français d’avec la presse soit aujourd’hui consommé ? C’est ainsi que jamais, depuis trente-deux ans, la confiance de nos concitoyens dans les médias n’a été aussi basse. Ils ne sont que 38 % (moins 10 % en 1 an) à faire confiance à la télévision, 44 % à la presse écrite et 50 % à la radio. Bien plus : les trois quarts des personnes interrogées (sondage institut Kantar SOFRES, janvier 2019) jugent que les journalistes ne sont ni indépendants du pouvoir politique ni des pressions d’argent.

    Roselyne Febvre est ainsi devenue l’illustration parfaite d’une réalité qui devient un vrai problème de société. Tout comme Nicolas Dupont-Aignan sommé de quitter le plateau de l’émission « C à vous » sur France 5 pour avoir osé dire à un certain Patrick Cohen ses quatre vérités par rapport aux relations de complicité évidente que le journaliste entretient avec le pouvoir en général et Macron en particulier.

    Face à ces chiffres sans appel et aux prises à partie régulières dont les journalistes sont l’objet sur le terrain de la part de membres du corps social, qu’il s’agisse de gilets jaunes, de syndicalistes ou de simples travailleurs, n’importe quelle autre corporation s’interrogerait. Mais pas la presse. Persuadée de détenir le pouvoir – ce qui, dans une certaine mesure, n’est malheureusement pas faux -, convaincue de dire la vérité, qui n’est bien souvent que sa vérité. Encouragée, pour une partie d’entre elle, par un pouvoir politique qui a bien compris l’intérêt que cela représente pour lui, la presse est, aujourd’hui, coupée de la population.

    Dans ce contexte, faute d’un lectorat qui lui préfère désormais les médias alternatifs, voire même les informations relayées par les réseaux sociaux, nos médias survivent à coups de subventions et continuent de faire comme si de rien n’était, monopolisant les plateaux télé et les unes des journaux pour leur simple compte. C’est ainsi que l’on assiste, de plus en plus souvent, à des émissions hors-sol auxquelles participent les inféodés au système, souvent les mêmes, et où toute forme de contradiction est bannie au nom d’un prêt-à-penser venu d’en haut.

    Dans ce contexte, les forces de l’ordre, décidément mangées à toutes les sauces, n’ont pas fini de garder les studios de télévision et les locaux de presse et de devoir protéger des journalistes ineptes.

    Olivier Damien

    http://www.bvoltaire.fr/le-divorce-des-francais-davec-la-presse-est-aujourdhui-consomme/

  • Emmanuelle Ménard : « Ce défilé de femmes voilées, en cette journée de la Femme, était juste une provocation »

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    8 mars, Journée internationale de la femme. À cette occasion, Emmanuelle Ménard, députée de l’Hérault, a voulu rendre hommage à une belle figure de femme, Jacquette de Bachelier, qui vivait à Béziers aux XVIe et XVIIe siècles. Par ailleurs, la députée explique pourquoi la municipalité de Béziers a décidé d’interdire un stand de femmes portant le voile islamique à l’occasion du Salon de la femme et du bien-être.

  • “Gilets jaunes” : la mobilisation en hausse à 14 heures pour l'acte 17

    Gilets jaunes.pngPour leur 17e journée de mobilisation, des “gilets jaunes” sont rassemblés, ce samedi 9 mars, à Paris, mais aussi à Rennes, Rouen, Laval ou au Puy-en-Velay.
    Ce samedi 9 mars, comme chaque weekend depuis le 17 novembre, les « gilets jaunes » sont de nouveau réunis dans plusieurs villes de France en opposition à la politique menée par l’exécutif.
    Des rassemblements ont été rapportés à Rennes, Rouen, Laval ou encore Longuenesse (Pas-de-Calais). À Paris, un cortège est parti des Champs-Élysées, composé de femmes à sa tête, et notamment d’assistantes maternelles arborant un gilet rose, au lendemain de la Journée internationale des droits des femmes, vendredi, relaie franceinfo. Selon les informations du ministère de l’Intérieur, il y avait 7 000 manifestants en France à 14 heures, dont 2 800 à Paris. Samedi dernier à la même heure, la place Beauvau avait comptabilisé 5 600 manifestants dans tout le pays, dont 1 320 dans la capitale.
    Vendredi, dans la capitale, des figures du mouvement, comme Priscillia Ludosky et Maxime Nicolle, appelaient à un sit-in au pied de la tour Eiffel, sur le Champ-de-Mars, à Paris. Les dizaines de personnes qui tentaient d’y installer des structures ont été délogées par les forces de l’ordre.
    [...]
    En savoir plus sur valeursactuelles.com

  • Le Samedi Politique : Prisons, émeutes de banlieues : La guerre civile en marche ? Avec Xavier Raufer

     
    Mauvaise semaine pour la sécurité en France.

    Du côté des prisons, la situation semble s’aggraver de jour en jour. Mardi, un détenu radicalisé et sa compagne ont attaqué deux surveillants avec des couteaux qu’ils avaient réussi à se procurer.

    A Grenoble, après que deux jeunes roulant sur un scooter volé sans casque sont morts, la cité du Mistral était à feu et à sang plusieurs nuits de suite.

    Comment en sommes-nous arrivés là ?

    Le criminologue Xavier Raufer, dresse un constat accablant de l’état de la justice française, et de son appareil judiciaire. Une situation explosive qui pourrait bien mener à un affrontement généralisé.

    https://www.tvlibertes.com/prisons-emeutes-de-banlieues-la-guerre-civile

  • Contre le pacte de Marrakech

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    Une lettre ouverte adressée au Président de la République pour dire NON au pacte de Marrakech a été signée par 11 généraux, un amiral, un colonel, et un ancien ministre de la Défense, M.Charles Millon.

    Cette démarche a été peu relayée par les médias, peut-être (?) à cause de la crise des gilets jaunes qui monopolisait l’actualité.

    En revanche, elle a entraîné des réactions de la part du ministère des armées avec menaces de sanctions.

    J’examinerai d’abord pourquoi j’ai signé, puis les reproches qui nous ont été adressés.

    POURQUOI?

    Clairement, ce pacte est une arnaque, en tout cas pour quelqu’un qui aime la France, et il porte en lui deux poisons mortels.

    D’abord, c’est en toute discrétion et sans qu’il y ait eu le moindre débat public qu’un émissaire du gouvernement a été envoyé pour le parapher dans un premier temps.

    Ce pacte est présenté comme non contraignant. Alors, pourquoi le signer ? Pourquoi certains pays n’ont-ils pas voulu le signer? Comment se fait-il que le gouvernement belge soit tombé à cause de lui?

    En réalité, ce pacte n’est qu’un dispositif supplémentaire pour concrétiser le Nouvel Ordre Mondial qui ferait de la France une entité géographique plus ou moins anonyme, et de nous de simples consommateurs.

    Les conséquences concrètes et immédiates seraient un appel d’air considérable pour une immigration que nous ne sommes même pas capables de gérer en l’état actuel des choses.

    Le texte est flou, y compris sur la définition d’un migrant (économique) ou d’un réfugié (pour raison politique ou cause de guerre).

    L’islamisation est également, non pas une menace (potentielle), mais un danger déjà présent. Le nombre de mosquées et salles de prières est passé de 100 en 1970 à 2400 en 2016.

    Si bon nombre de musulmans que nous apprécions comme de «bons musulmans» ne souhaitent que vivre paisiblement, ils sont en réalité de tièdes pratiquants des préceptes du Coran.

    D’autres qui pratiquent la taqîya cachent leurs véritables intentions.

    Ceux-là sont plus proches des préceptes du Coran.

    Et puis, il y a ceux qui passent à l’acte et qui appliquent intégralement les préceptes du Coran.

    Le pacte de Marrakech s’inscrit, par ailleurs, dans une volonté d’islamisation de la France, mais aussi de l’Europe pour ne citer que ce qui nous intéresse directement.

    Quant aux idéologues qui considèrent compatibles les dispositions du Coran avec notre civilisation, je rappelle qu’en 2003, la Cour européenne des Droits de l’Homme avait conclu à «l’incompatibilité de la charia avec les principes fondamentaux de la démocratie».

    Homme du passé, c’est pour mes descendants que je combats aujourd’hui. Puis-je imaginer sans frémir une de mes petites-filles dire dans quelques années: notre grand-père a passé 35 ans dans l’armée française et, aujourd’hui, je suis obligée de vivre sous la loi de la charia?

    QUELLE FAUTE?

    Le devoir de réserve, qui fait partie des réglementations sur l’expression des généraux, a été invoqué. Aucun secret de défense n’a été divulgué.

    Au contraire, c’est parce que l’intégrité de la France est en cause que nous avons parlé. Comme le dit le général Martinez, la situation est telle que le devoir d’expression prime sur le devoir de réserve.

    À quoi bon avoir servi aussi longtemps dans l’armée française, si c’est pour observer tranquillement le bradage de la France? Lors de son appel du 18juin 1940, le général de Gaulle n’a pas hésité à malmener le devoir de réserve, ainsi que le gouvernement légal de l’époque.

    Propos inadmissibles et indignes, nous a-t-on dit : la lettre n’est que la conséquence d’un acte inadmissible et indigne qu’est la signature de ce pacte, véritable braderie de la France. Il ne faut donc pas inverser cause et conséquence.

    Lettre violente et irrespectueuse, nous a-t-on dit également. Sévère peut-être, car le sujet l’exige, mais irrespectueuse sans doute pas.

    La vérité est parfois difficile à entendre et on peut comprendre que le pouvoir soit agacé par la dénonciation de cette imposture.

    Nous avons reçu des menaces de sanctions. Mais quand on a accepté de risquer sa vie pour la France et qu’on en a réchappé, que risque-t-on de pire, d’autant que la peine de mort est maintenant abolie?

    Toutes ces considérations ne pèsent pas lourd au regard de la conscience tranquille que l’on a, si tant est que cela ait encore un sens pour certains.

    André Coustou

    Tribune reprise de les4verites.com

    https://fr.novopress.info/213868/contre-le-pacte-de-marrakech/