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anti-national - Page 444

  • Éric Zemmour, Attila des médias

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    Dès l’annonce de l’arrivée de Zemmour sur un média, les femmes ferment les volets et font rentrer les enfants, les chroniqueurs se sauvent en poussant des cris horrifiés et le directeur des programmes part en pénitence, honteux d’avoir engagé un tel énergumène. Sur Radio Classique, Maurice Szafran a préféré quitté les lieux plutôt que côtoyer l’infâme. Idem sur LCI, où le grandiose Yassine Belattar s’en fut démissionner, courroucé par tant de diversité d’opinions. En un mot, là où Zemour passe, le bien-pensant trépasse. L’Attila des ondes ne laisse derrière lui que radios exsangues, chaînes de télé désertées, paysages désolés où seul un Calvi parvient à survivre. En fond sonore, l’harmonica de Il était une fois dans l’Ouest lance ses notes déchirantes…

    De l’autre côté du média, en revanche, l’auditeur accourt, le téléspectateur ouvre un sachet de pop-corn, invite les voisins : enfin, une voix dissonante ! Une bouffée d’oxygène dans ce désert de la pensée unique. Les responsables l’ont désormais compris, plus les chroniqueurs formatés s’en vont pour laisser place à l’odieux personnage, plus l’audience monte. Le phénomène serait même sur le point de devenir un signe de bonne santé des recettes publicitaires. Énorme cas de conscience pour messieurs Calvi and Co. À ce rythme de « zemmourisation » de l’antenne, ils ne seront bientôt plus qu’un îlot isolé de macronisme tambourinant. Seuls, agitant un mouchoir à l’attention du CSA. Lançant des SOS, des bouteilles à la mer et par la fenêtre. Bouteilles qu’il leur aura fallu vider au préalable. Vont-ils sombrer dans l’alcool pour oublier leur terrible condition, car si un Zemmour séduit, pourquoi pas un deuxième ? Un clone ? Un encore pire ! Ah, non. « Tenez, resservez-moi un verre. »

    Mais reprenons nos esprits. La chose est acquise. Le chroniqueur arrimé solidement sur son siège et sa bonne pensée ne conçoit pas qu’une voix différente s’exprime. Il part. Drapé dans ses heures les plus sombres, outragé mais digne, il quitte le studio sur fond de coucher de soleil, l’harmonica joue le chant des partisans… La standardiste en larmes le supplie de rester : « Monsieur Szafran, restez avec nous je vous en prie, on va vous acheter des boules Quies®, les rues ne sont pas sûres, il y a des fachos cachés dans les coffres des voitures… Monsieur Yassine, s’il vous plaît, ne nous laissez pas seuls avec le monstre ! » Rien à faire. La peste a envahi les bureaux, le choléra gagne les étages. Zemmour a planté sa tente, la bête est dans les lieux. Elle va tout contaminer. « Ah, c’était bien la peine de désamianter ! »

    D’autres pourraient suivre. Une simple photo de Zemmour placardée dans le hall d’entrée serait à même de nettoyer les médias des psychorigides qui encombrent les studios. Le maudit ne peut pas être partout. Ici et là, quelques prétendants au titre de « damné de la Terre » se font les dents. Quelques apprentis sont en formation, s’essaient à la répudiation. Il appartient à l’auteur du Suicide français de constituer une écurie, de former des équipes de champions de l’épouvante intellectuelle, de ces fines lames qui vous font disparaître un Bellatar encore mieux que David Copperfield, qui vous évaporent un Szafran d’un claquement de langue. Des déboucheurs de cerveaux au goupillon rince-bouteille. Et que ça brille ! Plus un seul censeur devant les micros, des avis différents, certes, des diamétralement opposés, bien sûr, mais plus de ces petits caporaux, de ces gardes-chiourmes offusqués, de ces mégères du politiquement correct…

  • Fin du financement public du Planning familial

    Fin du financement public du Planning familial

    D’Olivier Bault dans Présent :

    Le 22 février dernier, le président américain Donald Trump approuvait les nouvelles règles du programme de financement fédéral du planning familial pour les familles pauvres ou non assurées, connu sous le nom de Title X.Désormais, les organisations qui perçoivent ces financements vont devoir séparer leurs activités de planning familial de leurs activités d’avortement pour garantir que les fonds du programme de planning familial Title X ne servent qu’aux premières. Dans un premier temps, il s’agit d’une séparation comptable de ces activités, mais d’ici un an ces deux types d’activités devront avoir été séparés physiquement : les avortements ne pourront plus être réalisés dans le même bâtiment et par le même personnel que les services de planning familial financés avec des fonds fédéraux.

    C’est un coup dur pour le principal avorteur américain, Planned Parenthood, car ce programme est sa deuxième source de financement, à raison de 60 millions de dollars environ par an, et il va lui être très difficile de séparer ces deux types d’activités. La mesure avait été annoncée dès le mois de mai de l’année dernière, et la justice fédérale a déjà été saisie et a confirmé que le président avait le droit d’introduire ces nouvelles règles puisque le programme de planning familial Title X n’a jamais eu pour but de financer des avortements.

    Les organisations pro-vie américaines ont à nouveau vanté la politique du président Donald Trump avec cette mesure qui va sans doute permettre de réorienter les fonds fédéraux vers des organismes qui offrent uniquement des services de planning familial : conseil, contraception, mais aussi dépistage des cancers et autres services de santé. […]

    Une mesure de bon sens, simple à mettre en oeuvre, qu’avait proposé Marion Maréchal en son temps.

    https://www.lesalonbeige.fr/fin-du-financement-public-du-planning-familial/

  • Macron et son mensonge européen – Journal du mardi 5 mars 2019

     

    Macron et son mensonge européen

    La grande illusion européenne est repartie. Pour lancer la campagne, Emmanuel Macron a présenté ses projets pour l’UE dans une tribune publiée dans 28 pays

    Viktor Orban : la contre-attaque européenne

    La campagne pour les européennes démarre sur les chapeaux de roue en Hongrie. Le Premier ministre Viktor Orban, soucieux d’imposer la question migratoire dans le débat, a lancé une campagne choc à l’encontre de Jean-Claude Juncker, le président de la commission européenne sortant.

    Grenoble : mistral sanglant

    Trois jours après la mort de deux jeunes délinquants fuyant la police à scooter, les nuits d’émeutes s’enchaînent à Grenoble. Face aux jets de cocktails molotov et aux tirs de feux d’artifices, les autorités ont bien du mal à faire régner l’ordre.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/macron-et-son-mensonge-europeen-journal-du-mardi-5-mars-2019

  • Chez Macron, on ne jure plus que par les « fake news » pour faire campagne

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    Les « fake news » semblent devenues la préoccupation majeure de l’exécutif et de sa majorité : une loi anti-infox a été votée l’an dernier et l’on apprend, sur les réseaux sociaux, que « La République en marche va lancer un groupe public non partisan sur Facebook pour combattre les fake news. » D’après Le Huffpost, l’idée serait de copier le fonctionnement des groupes Facebook des gilets jaunes afin de sortir de l’entre-soi macroniste et de diffuser ainsi plus largement leur déconstruction des « infox ».

    Les Marcheurs disposent déjà d’une cellule interne qui, via la messagerie cryptée Telegram, centralise et diffuse auprès des militants tous les « décodages » des médias afin qu’ils soient relayés sur les réseaux sociaux. Pour la campagne européenne, une conférence de presse hebdomadaire sera organisée sur les « infox ». À quand, les affiches du type « Ils vous mentent » ou « Le parti de la vérité » ? Le problème est que ces slogans nous ramèneraient aux heures sombres – ou très rouges – de l’Histoire. Vérité et politique n’ont jamais fait bon ménage, et quand la seconde s’est entichée de la première, cela a souvent mal fini.

    Néanmoins, cette focalisation sur le « décodage » par le pouvoir est révélatrice. L’arme politique majeure n’est plus le combat d’idées, de visions, l’affirmation de valeurs et d’un projet, mais le décodage des mensonges, des erreurs, des approximations de l’adversaire pour le disqualifier intellectuellement (il se trompe) et moralement (il ment). La victoire politique à l’heure du macronisme se construit sur trois plans : à l’étage supérieur de la fusée, il s’agit de diaboliser la vision ; à l’étage central, d’accumuler les décodages afin de convaincre l’opinion que cette vision repose sur des « infox » et, à l’étage inférieur, notamment quand les deux premiers n’ont pas atteint leur but, il reste la disqualification de l’adversaire par la Justice (affaire Fillon, Marine Le Pen renvoyée devant un tribunal pour la diffusion d’une photo de Daech).

    On pourrait croire que le combat contre les « fake news » est, de tous, le plus louable. Mais il doit faire, lui aussi, l’objet d’un décodage car il a ses limites et ses partis pris.

    D’abord, il est à sens unique. Ouvrons Le Monde cette semaine : un long article de décodage sur des propos de Marine Le Pen, une enquête fleuve sur sept prétendues « idées reçues » (toutes peu ou prou « de droite »). Non seulement Emmanuel Macron bénéficie d’un temps de parole considérable grâce au grand débat national, mais d’un fact checking inversement proportionnel. Ne pas être décodé signifierait-il que vous êtes la bouche de la vérité ? On comprend que les équipes macronistes soient chargées de relayer les décodages réguliers du Monde : les deux mènent le même combat ! Mais cela jette une suspicion sur ces Décodeurs.

    Ensuite, les résultats des traqueurs de vérité produisent, parfois, plus de doute que de certitude, la vérité sur certains sujets étant compliquée. Ainsi, là où on pouvait attendre un « Vrai/Faux », on voit apparaître des notions intermédiaires. On peut saluer le sens de la nuance des journalistes. Mais aussi, parfois, la mauvaise foi de leur titre : quand les Décodeurs du Monde parlent des huit « erreurs » de Marine Le Pen, l’article préfère n’en classer qu’une sous l’infamie du « faux », les sept autres relevant de catégories floues : « contradictoire », « confus », « trompeur », « en partie vrai ». Ce qui n’est pas tout à fait pareil et autorise le retour au débat… politique.

    Certes, le souci d’exactitude et de vérification dans l’information et la politique est salutaire (et les contributeurs de Boulevard Voltaire y sont aussi soumis, comme l’indique la charte du site). Mais la mode du « décodage » et l’instrumentalisation qui en est faite sont suspectes. Le débat politique ne peut se limiter au jeu des huit erreurs.

    Frédéric Sirgant

    http://www.bvoltaire.fr/chez-macron-on-ne-jure-plus-que-par-les-fake-news-pour-faire-campagne/

  • Aux Pays-Bas, un djihadiste marocain porte plainte pour discrimination après avoir perdu la nationalité néerlandais

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    Younes, un Néerlandais d’origine marocaine, a été condamné après avoir tenté de partir en Syrie. Contre toute attente, il porte plainte pour discrimination avec l’appui de son avocat, soutenant que les djihadistes marocains et turcs seraient moins bien traités que les Néerlandais. Le journal néerlandais De Telegraaf raconte que « Younes était fasciné par l’extrémisme islamique depuis l’âge de 16 ans », qu’il est « extrêmement tenace vis-à-vis de ses idées extrêmes ».

    Le journal développe en expliquant qu’ « il avait étudié en profondeur le système d’information, maintenu des contacts avec des combattants, appris l’arabe et savait qu’il se battrait et serait éventuellement impliqué dans des attaques et des horreurs».

    Cette plainte aux allures de mauvaise plaisanterie, est pourtant belle et bien réelle.

    https://fr.novopress.info/213811/aux-pays-bas-un-djihadiste-marocain-porte-plainte-pour-discrimination-apres-avoir-perdu-la-nationalite-neerlandaise/

  • Actualité du totalitarisme : fin

    • La pratique systématique de l’arbitraire et du deux poids-deux mesures

    Le Système pratique de façon systématique la politique du deux-poids-deux-mesures, qui est l’une des caractéristiques des régimes totalitaires. Il s’est ainsi montré d’une particulière sévérité avec les gilets jaunes :  les arrestations ont été nombreuses ; les condamnations pénales également ; 12 manifestants ont été blessés gravement, plusieurs ayant perdu un œil.

    Les « antifas » et casseurs anarchistes et d’extrême-gauche font au contraire l’objet depuis des décennies d’une grande mansuétude et d’une quasi impunité. Alors que les violences contre les forces de l’ordre ont été massives, les occupants de Notre-Dame-des Landes n’ont pas été condamnés. En dépit des expulsions qui ont été opérées il y a quelques mois, des squatteurs restent toujours installés impunément, depuis des années maintenant, sur une partie de la zone.

    De même les pouvoirs publics ne font pas preuve vis-à-vis des « quartiers » de la même détermination que contre les  gilets jaunes. La police a au contraire l’ordre de ne pas y intervenir. Ces quartiers se trouvent depuis des décennies hors de la loi commune et sont dans les faits administrés par les caïds et les imams. On se rappelle qu’en 2005, les émeutes n’avaient débouché sur aucune condamnation : au contraire le gouvernement Sarkozy avait réagi en mettant en place à partir de cette date une politique de « discrimination positive » massive au bénéfice des habitants des « quartiers », notamment en mettant en place des recrutements préférentiels dans les médias, dans les écoles supérieures et dans la fonction publique.

    Une nouvelle illustration de la politique du deux-poids-deux mesures vient d’être fournie avec la mise en scène d’une mobilisation générale contre l’antisémitisme en réaction aux épisodes évoqués plus avant. A l’inverse, les dégradations dans les églises qui se produisent depuis des années plusieurs fois par semaine n’ont jusqu’ici provoqué aucune réaction des pouvoirs publics et sont passées sous silence par les médias. Signalons au passage que les catholiques, soucieux sans doute de tendre la joue gauche et d’aimer leurs ennemis, participent activement à l’occultation des dégradations visant les églises. 

    • Le musellement de l’opposition

    Illustrant, une fois encore, sa nature totalitaire, le Système prépare, pour museler toute opposition, un projet de « lutte contre la haine sur internet ».

    Le projet de loi préparé par le gouvernement prévoit ainsi que les « propos haineux » qui seront signalés par les internautes devront être supprimés par les plateformes et réseaux sociaux. Leurs auteurs pourront être bannis d’internet. Ils pourront également être pénalement poursuivis.

    La nature totalitaire du projet est manifeste. Il s’agit de criminaliser toute opposition à la politique d’accompagnement et d’organisation de l’immigration massive, qui est au cœur du projet mondialiste du Système. Ce projet de loi vient prolonger et compléter le dispositif législatif de lutte contre le racisme, l’antisémitisme, et désormais également contre l’homophobie et contre le sexisme, dispositif mis en place en particulier par les lois Pleven puis Gayssot. Ce dispositif repose sur le raisonnement suivant. Tout propos opposé à la poursuite de l’immigration est nécessairement ressenti comme hostile et haineux par les communautés immigrées, qui souhaitent la poursuite des flux migratoires. Il est par là même contraire à la paix civile, au vivre ensemble et à l’intégration paisible des immigrés. Il doit donc considéré comme appelant à la haine et doit être interdit. Bien que ce raisonnement en forme de syllogisme ait les apparences de la raison et de la modération – qui peut souhaiter la diffusion de la haine ? – il revient en réalité en jouant sur les bons sentiments à interdire toute contestation de la politique d’immigration. Il sera ainsi interdit d’affirmer que l’immigration est une mauvaise chose, qu’elle doit être arrêtée, et à fortiori que les immigrés doivent être reconduits.

    Soulignons que l’adoption de ce projet de loi illustre également la volonté du Système de procéder de façon provocatrice. Des trois auteurs du rapport dont le projet de loi va reprendre les recommandations, M. Amellal, M. Taïeb et Mme Avia, aucun n’est un Français de souche. Quant au ministre qui va le faire adopter, M. Djandoubi, il s’agit également d’un immigré.

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    Tous ces éléments participent d’une même stratégie : la stratégie du choc. En se montrant provocateur, menteur, partial, brutal, en faisant preuve d’arbitraire, le Système poursuit un objectif précis : il s’agit de provoquer dans l’opinion un effet de sidération. Atterrée par l’ampleur des flux migratoires combinés à la détermination et à la brutalité du Système, la population des Français moyens de souche est réduite à la passivité. Abasourdie par l’ampleur et la rapidité du changement de population qu’elle constate, sidérée d’être à ce point lâchée et trahie par les gouvernements qui se succèdent, la population de souche n’éprouve plus que de la crainte.

    Chaque jour qui passe, elle représente pour le Système un obstacle et un danger de moins en moins grands : la population de souche prend en effet conscience toujours plus nettement, à chacun des épisodes totalitaires qui se succèdent, qu’il n’existe plus désormais pour elle aucun espoir.

    Voir également les chroniques suivantes : « Chronique du totalitarisme en marche » ; « Le Système mondialiste, immigrationniste et libéral-libertaire est un totalitarisme » ;

  • Actualité du totalitarisme : première partie

    Chronique de Paysan Savoyard (n°217 – février 2019)

    Plusieurs événements récents soulignent que le Système, avec ses relais politiciens, médiatiques et judiciaires, a l’intention de poursuivre et d’accentuer sa politique immigrationniste. Ces mêmes épisodes confirment également s’il en était besoin la nature totalitaire du Système. Les observations que nous recensons ici viennent s’ajouter à ce que nous indiquions dans plusieurs articles précédents (voir notamment cette chronique). 

    • Le mensonge grossier et la provocation

    En bon régime totalitaire, le Système recourt régulièrement au mensonge, souvent grossier, afin de se dédouaner de ses responsabilités et d’incriminer ses opposants. De nouveaux exemples récents sont à relever.

    C’est ainsi que depuis le début du mouvement des gilets jaunes, le gouvernement met en cause la violence de « l’ultra-droite ». M. Attal a dénoncé « des actions fascistes, qui puent ». M. Griveaux a affirmé que le service d’ordre des manifestations était assuré par « des paramilitaires proches de l’extrême-droite ». Le même Griveaux a dénoncé «un visage raciste, antisémite et putschiste derrière les violences  ». Dans la même veine  un député LREM a déclaré que « des chemises brunes se cachaient sous beaucoup de gilets jaunes ». Or les violences et la casse sont à l’évidence attribuables pour l’essentiel aux casseurs d’extrême-gauche, « blacks-blocs » et « antifas ».

    De même le gouvernement vient de mettre en scène une protestation nationale contre l’antisémitisme. En dénonçant les discours de haine et les groupuscules néo-nazis, en désignant  l’antisémitisme larvé des gilets jaunes infiltrés par l’extrême-droite, en évoquant « ce vieil antisémitisme tapi depuis des siècles dans les profondeurs de la société  française »,  il s’agit pour le Système de mettre en cause de façon explicite l’extrême-droite. Or rien ne prouve que l’extrême-droite soit pour quoi que ce soit dans les actes antisémites commis ces dernière semaines, qu’il s’agisse des tags sur une boîte aux lettres à Paris, de la dégradation de l’arbre planté en souvenir d’Ilan Halimi ou encore des croix gammées tracées sur les tombes juives du cimetière de Quatzenheim. Dans le cas de l’agression verbale d’A. Finkielkraut, il paraît même établi que l’homme ayant proféré les insultes et les menaces, loin d’appartenir à l’extrême droite, est au contraire… un musulman salafiste.

    La ministre M. Schiappa vient d’atteindre un sommet dans la provocation mensongère en déclarant qu’il existait une « convergence idéologique entre la Manif pour tous et les terroristes islamistes ».  Cette provocation reflète le rôle qui a été imparti à Mme Schiappa : comme c’était le cas de Mme Taubira sous M. Hollande, Mme Schiappa a pour mission d’attirer sur elle la détestation d’un grand nombre d’électeurs dans le but de la détourner du président. Mais la provocation de Mme Schiappa a une dimension plus significative encore : elle est un nouvel exemple de la rhétorique adoptée par le Système depuis maintenant plusieurs années, qui consiste à mettre sur le même plan extrême-droite et islamistes, à les présenter comme les deux faces d’une même pièce, comme deux pôles extrêmes qui se renforcent l’un l’autre, également nocifs et dangereux, et qu’il convient donc de combattre avec la même vigueur. Le but de l’opération est double. Il s’agit à la fois pour le Système de justifier les mesures qu’il prend pour museler l’extrême-droite. Cette désignation de deux extrémismes à combattre permet également au Système de paraître occuper une position de juste milieu raisonnable, et ce alors même que sa politique d’immigrationnisme forcené est brutale et extrémiste.

    Les accusations grossièrement mensongères qu’il multiplie illustrent le caractère totalitaire du Système : elles démontrent que celui-ci ne reculera devant aucun procédé pour museler et réduire au silence ses opposants.

    • L’occultation des faits gênants

    Autre aspect de sa politique totalitaire, le Système s’attache à occulter ou à dissimuler les faits qui peuvent apporter un éclairage gênant sur la politique qu’il suit. C’est ainsi que l’incendie d’un immeuble à Paris, qui a tout de même fait 4 morts, a été oublié en 24 heures. Cet épisode mettait en effet le Système en cause  à plusieurs titres. Il illustrait d’abord le laxisme du système judiciaire et psychiatrique, qui venait de relâcher la veille une personne déjà mise en cause et condamnée pour divers actes délinquants et violences. L’épisode révélait également que l’immeuble visé était occupé essentiellement par des immigrés, alors même qu’il est situé… dans le 16e arrondissement, soulignant ainsi la vitesse à laquelle s’opère l’installation massive des immigrés sur toutes les portions du territoire. Surtout l’auteur de l’incendie en question était originaire de l’immigration… On peut affirmer sans risques que l’affaire aurait occupé l’espace médiatique pendant des semaines si l’incendiaire avait été un Français de souche…

    De même l’attentat islamiste qui vient de se produire à Marseille a été totalement occulté. L’opération d’occultation a été grandement facilitée par le fait que l’attentat n’a fait que des blessés. Il s’est agi pourtant d’un attentat en bonne et due forme, le terroriste ayant semble-t-il sélectionné les victimes de ses coups de couteau en fonction de leur nationalité.

    À suivre

    https://leblogdepaysansavoyard.wordpress.com/2019/02/23/actualite-du-totalitarisme/

  • La liberté selon Macron, c’est interdire et bannir

    La liberté selon Macron, c’est interdire et bannir

    Dans son texte plaidant pour l’Union européenne, sans jamais citer les problèmes de l’immigration, de l’islam et du terrorisme (pas d’amalgame svp !), Emmanuel Macron se veut le défenseur de la liberté.

    Il a une conception de la liberté dans la droite ligne de la conception révolutionnaire et robespierriste : pas de liberté pour les ennemis de la liberté. Nous savons comment cela se termine…

    Ainsi, après avoir proposé l’érection d’une nouvelle usine à gaz avec une Agence européenne de protection des démocraties(sic), il propose d’interdire le financement de certains partis politiques et de bannir d’internet ceux qui pensent différemment.

    Elle n’est pas belle sa démocratie ?

    https://www.lesalonbeige.fr/la-liberte-selon-macron-cest-interdire-et-bannir/

  • Zoom – Laurent Izard : la France perd le contrôle de son patrimoine

    Laurent Izard, normalien et agrégé d’économie, présente son ouvrage “La France vendue à la découpe”. Il dresse un constat alarmant de la dépossession du patrimoine économique et culturel français en faveur de repreneurs étrangers.

  • Du (mauvais) cinéma

    cinema.jpgIl a beau s’en défendre, depuis le lancement du Grand débat,  Emmanuel Macron  est bien  en campagne pour les élections européennes, Au  moment ou celui-ci achève de s’enliser, il publie pour se relancer et occuper l’espace médiatique une tribune intitulée « Pour une renaissance européenne » (sic) promettant une remise à plat de la construction bruxelloise. Fort ( ?) des ralliements tout récent de Jean-Pierre Raffarin et d’Alain Juppé, M Macron, moderne Louis-Philippe, espère ramener dans ses filets  la bourgeoisie de gauche et  la frange européiste de la bourgeoisie de droite. Diffusée dans les quotidiens à tonalité européiste de 28 pays membres de l’UE, cette missive se veut la réponse bruxelloise au «  repli nationaliste »;   comprendre  au réveil des peuples de notre continent qui  exigent respect de leur identité  et de leur souveraineté, revendications bien  naturelles mais qui effrayent en haut lieu

    Comme il l’avait fait lors de son discours devant les jeunes  agriculteurs lors de son passage au  Salon de l’Agriculture, M. Macron tente dans cette tribune de rattraper par la manche un électorat qui constate chaque jour un peu plus les ravages de la politique initiée par la technostructure bruxelloise. Pour tenter de se démarquer d’un projet dont il est pourtant une assez caricaturale manifestation, il a donc choisi de mettre en avant dans son long plaidoyer eurofédéraste  le thème de la protection, de « l’Europe qui protège » (reprise d’un slogan martelé par  Nicolas Sarkozy en 2008). Mais qui nous protège de quoi ? Mais de tout mon bon monsieur !:  du dérèglement climatique, de l’immigration, de l’agressivité économique des géants américain et chinois… et bien évidemment des méchants russes.

    Dans ce registre, il promet  la création d’une « Agence européenne de protection des démocraties » (on se pince!), pour protéger les élections « contre les cyberattaques et les manipulations» et « (l’interdiction du) financement des partis politiques européens par des puissances étrangères. »  Russie qui décidément obnubile nos « élites » des réseaux mondialistes, atlantistes et /ou de la French American Foundation qui condamnent sans rire de sournoises influences étrangères qui menaceraient l’intégrité notre vie politico-médiatique. A ce sujet,  Le Parisien notait que « Les audiences de la branche française de la chaîne russe d’information internationale Russia Today(…) inquiète autant qu’elle horripile au sommet de l’Etat où l’on ne cesse de formuler des doutes sur les objectifs de ce média, qualifié  d’organe de propagande  pro-russe par le porte-parole du gouvernement Benjamin Griveaux. » Accusation de propagande assez sotte à bien y regarder, puisque cette chaîne se contente plus simplement de donner aussi la parole à des personnalités moins formatées, d’apporter d’autres pistes de réflexions, d’autres éclairages, souvent moins manichéens que ses concurrentes, sur l’actualité nationale et internationale . A suivre M. Griveaux dans ses attaques jugées diffamatoires par le direction de RT, que devrait-on dire des autres chaines d’infos qui ont, elles,  massivement, grossièrement,  fait campagne ne faveur du candidat Macron en 2017 ?

    Propagande qui n’est jamais loin quand l’Union européenne se pique de distribuer des prix, notamment les années d’élections européennes. Le parlement européen et la Fondation du prix international Charlemagne viennent ainsi de décerner le prix de la « Jeune Européenne de l’année 2019 » à Yasmine Ouirhrane. Celui-ci récompense des jeunes de 16 à 30 ans participant à de projets  « qui contribuent à une compréhension mutuelle entre les peuples de différents pays européens. ». Cette jeune étudiante à Science-po Bordeaux, italienne coiffée d’un foulard islamique et de père marocain, a été aussi repérée par des instances onusiennes progressistes, du fait de son combat en faveur des sociétés ouvertes, du multiculturalisme et de la poursuite de l’immigration. La question qui se pose, est bien de savoir si cette jeune femme est représentative de la jeunesse européenne, de ses aspirations ou de la feuille de route des élites mondialistes ? Chacun à la réponse.

    Dans le domaine culturel, constate Bruno Gollnisch, nous retrouvons la même obsession, le même tropisme anti européen avec le prix Lux du Parlement européen qui,  nous est-il  expliqué, «aide à promouvoir le cinéma européen, rendre les films accessibles à un public plus large et encourager le débat sur les valeurs et les questions sociales à travers l’Europe. (…) Les dix films, sélectionnés par le jury du Prix Lux, regroupent aussi bien des films qui ont déjà attiré beaucoup d’attention dans les grands festivals de cinéma que des petites sorties nationales. Ils sont très divers mais ont une chose en commun : ils reflètent les problèmes auxquels nos sociétés sont confrontées telles que les migrations, les populismes, les nationalismes, la mondialisation, la guerre, la religion et la justice. »

    Lors de sa dernière édition (en novembre dernier) , ce prix Lux a été décerné a Woman at War film de l’islandais Benedikt Erlingsson. Il narre le combat d’une femme seule, Halla, une «terroriste écologique » qui orne son salon de portraits de Nelson Mandela et de Gandhi qui se bat contre l’industrie de l’aluminium qui pollue et défigure une partie de l’Islande et dont la vie sera bouleversée par l’arrivée imprévue dans sa vie d’une jeune orpheline. Un film qui n’est pas sans qualité plastique et d’interprétation.  Mais l’empreinte écologique de l’Islande est elle un problème majeure pour l’UE et notre planète ? Et quitte à parler de pollution, quid des conséquences environnementales d’un tourisme en pleine croissance sur cette île -plus de deux millions de visiteurs par an pour un pays de moins de 340 000 habitants. Quant à l’aluminium  (l’Islande est le 11ème producteur mondial),  ce pays peut-il se passer actuellement de cette autre manne économique ? Mais le propos du réalisateur vient comme de juste à l’appui du discours officiel tendant à accréditer la thèse (contestée et contestable ) selon laquelle le réchauffement est la conséquence de l’activité humaine. «  Ce film nous rappelle les conséquences concrètes du changement climatique », a ainsi déclaré le président du Parlement européen, Antonio Tajani.

    Quant aux deux autres films qui restaient en lice pour ce prix Lux, ils restent dans cette tonalité bien-pensante.  Il s’agissait de « The other side of everything » de Mila Turajlić. Accrochez-vous à votre fauteuil : « Depuis la fenêtre de l’appartement de sa mère, rapporte cineuropa, la réalisatrice a passé dix ans à filmer les évènements se déroulant à l’extérieur du bâtiment situé au cœur de Belgrade (…). Elle capture les conséquences de l’une des nombreuses manifestations dont la ville était le témoin: la police a utilisé des gaz lacrymogènes pour disperser les protestants déambulant dans les rues pour des raisons obscures – pour l’indépendance du Kosovo ou peut-être contre la gay pride… »… ça donne envie…

    L’autre film était  « Styx » de l’allemand Wolfgang Fischer. «  Rike, quarante ans, est médecin urgentiste. Pour ses vacances, elle a planifié un voyage en solitaire pour rejoindre l’île de l’Ascension depuis Gibraltar, une île au nord de Sainte-Hélène ». Au prise avec une violente tempête, elle croisera sur sa route au cours de ce voyage initiatique et symbolique le drame d’un immigration clandestine qui souhaite gagner l’EuropeKolossale finesse de la métaphore…et grande tristesse de voir que c’est ce  cinéma européen qui a les faveurs, mais est-ce bien étonnant des bruxelloisUn cinéma   aux mains (à d’heureuses et notables exceptions près)  des nains, des frileux, des petites âmes, qui devrait être le réceptacle et l’expression de la richesse d’une civilisation à nulle autre pareille, d’une histoire glorieuse,  mais qui refuse ou s’avère incapable de célébrer et/ou de réactualiser nos mythes fondateurs et une vision du monde débarrassée de sa mauvaise quincaillerie progressiste.

    https://gollnisch.com/2019/03/05/du-mauvais-cinema/