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anti-national - Page 625

  • Le Système mondialiste, immigrationniste et libéral-libertaire est un totalitarisme (1) (4e partie)

    Chronique de Paysan Savoyard (n° 206 – août 2018)

    Le présent article, publié en plusieurs parties au cours de l’été, se propose de montrer que le Système mondialiste, immigrationniste et libéral-libertaire présente toutes les caractéristiques du totalitarisme. La première partie a traité le point suivant :  » Un système où l’idéologie prédomine ». La deuxième :  » Un système de pouvoir qui permet de contrôler les principales organisations et institutions »La troisième : « La propagande omniprésente ». Voici la quatrième partie :

    • Neutraliser la société et pourchasser les dissidents

    Un système totalitaire se caractérise par la surveillance et le contrôle de la société : le Système mondialiste, immigrationniste et libéral-libertaire n’est pas en reste sous ce registre.

    Rendre la société passive, apathique, hébétée

    L’un des principaux objectifs du Système est de neutraliser la population, en la rendant passive, docile, résignée. La propagande incessante, dont il vient d’être traité, joue un rôle déterminant. Mais le Système déploie de nombreuses autres techniques.

    La consommation de masse, relayée par la publicité ; les divertissements de différents types (émissions de divertissements à la télé, jeux vidéos…) ; l’abrutissement, la perte de capacité de concentration et le manque de sommeil liés au zapping sur les différents écrans ; l’effondrement de la lecture associé à ces pratiques « culturelles » nouvelles ; les concerts fondés sur le bruit, le rythme, les vibrations, les sensations de transe ; l’adoption du rap par les jeunes blancs eux-mêmes ; la consommation d’alcool des jeunes ; les jeux d’argent : tous ces comportements et ces phénomènes sociaux constituent pour le Système une excellente nouvelle. Le Système les suscite et les encourage : ils sont en effet pour lui des moyens efficaces de maintenir la population en situation de passivité, de soumission et d’hébétude.

    On peut également relever le rôle joué par la « culture de la dérision », portée notamment par les humoristes des médias. Elle  joue elle aussi un rôle important pour conduire la population à perdre tout repère, toute espérance, toute foi en ce qui pourrait la dépasser et la stimuler.

    Pour la même raison, le Système tolère l’usage massif du cannabis : les pouvoirs publics laissent faire le trafic en provenance du Maroc et se gardent bien de mettre en œuvre une véritable répression contre les trafiquants. Ils s’apprêtent désormais à passer à l’étape suivante et à dépénaliser la consommation. De même les pouvoirs publics laissent s’installer le trafic de cocaïne, dont la consommation se développe rapidement.

    L’organisation d’un assistanat massif avait pour objectif de rendre relativement indolores les délocalisations que le Système a opérées à partir des années quatre-vingt : mais l’assistanat compte également parmi les méthodes utilisées par le Système pour rendre la population passive et lui faire perdre toute vitalité et tout repère.

    Casser le moral de la population de souche et la placer en situation de faiblesse

    L’un des objectifs majeurs du Système est de « casser le moral » de la population de souche, de la placer en insécurité, de la rendre craintive, de lui faire perdre confiance, en elle-même et en l’avenir, afin de la pousser à la passivité et à la résignation. Les résultats attendus sont pleinement atteints, spécialement en France. Les enquêtes d’opinion montrent de façon unanime que, depuis plus de vingt ans, soit une génération, la population française est la plus pessimiste du monde occidental. Les mêmes sondages montrent également que les Français sont très majoritairement persuadés que leurs enfants vivront moins bien qu’eux. Dans ce contexte, la France comme on le sait détient le record de consommation de tranquillisants. Les moyens utilisés par le Système pour parvenir à ce résultat sont nombreux.

    Le Système, tout d’abord, a placé la plus grande partie de la société en état d’insécurité économique. L’organisation des délocalisations a installé des régions françaises entières en situation de chômage massif, d’assistanat et de démoralisation. Ceux des Français moyens qui conservent un emploi sont écrasés par un niveau d’impôt et de taxes confiscatoire et sans cesse accru (le niveau des « prélèvements obligatoires » n’a cessé d’augmenter et est désormais le plus élevé du monde occidental ; avec un niveau de prélèvements obligatoires représentant 45,3 % du revenu annuel (PIB) en 2017, la France est première au sein de l’UE, à un niveau très supérieur à la moyenne de l’UE et de la zone euro). La classe moyenne écrasée d’impôts voit dans le même temps une grande partie de la population s’installer dans l’assistanat. Elle assiste également à l’arrivée en masse d’une quantité d’immigrés sur-aidés. Cette situation injuste contribue à sa démoralisation, ainsi que le souhaite le Système.

    La politique de fragilisation de la population se porte aussi sur l’immobilier, qui est, dans l’esprit des Français moyens de souche, le principal refuge contre l’insécurité économique. Dans cette perspective, le Système a adopté un dispositif dit « SRU », qui impose l’implantation de HLM dans toutes les villes et quartiers. Ces HLM étant de plus en plus fréquemment attribués par les pouvoirs publics à des immigrés, il s’ensuit une cohabitation forcée avec l’immigration, même dans les quartiers autrefois protégés. Cette cohabitation forcée entraîne une dégradation de la qualité de vie mais également une dépréciation des biens situés à proximité des HLM qui se construisent. Ce phénomène constitue un nouveau facteur de démoralisation de la population de souche : alors qu’ils se sont souvent lourdement endettés pour acquérir leur logement, les Français moyens de souche constatent que l’installation d’immigrés à proximité vient dévaloriser le bien qu’ils ont acquis, et ce alors même que les immigrés en question sont eux logés gratuitement ou presque. Dans le même registre, un récent rapport officiel vient d’introduire l’idée d’un recours plus fréquent à la réquisition de logements privés vacants ou peu occupés : ce type de proposition délibérément choquante n’a pas pour objet d’être appliqué à court ou moyen terme mais d’inquiéter et de placer la population en état d’insécurité psychologique.

    Constituant un facteur de démoralisation et de fragilisation, le phénomène de séparation des familles est pour le Système une bonne nouvelle. Il n’est en pas à l’origine, bien entendu, mais il l’a tout de même encouragé par l’exemple que les élites ont montré. Il l’a également accompagné par des réformes facilitant les séparations (facilitation du divorce, PACS).

    C’est de façon délibérée en revanche que le Système organise une politique dite de sécurité routière qui a pour objectif et pour effet d’accroître l’insécurité psychologique et matérielle des Français moyens. En mettant en avant sans cesse la responsabilité de la vitesse dans les accidents, le Système justifie l’installation massive de radars. Or l’insécurité routière n’est pas due à la vitesse des voitures sur la route et encore moins à la vitesse seule. Les responsables premiers des accidents graves sont : les camions ; les véhicules en agglomération ; les jeunes permis ; et les conducteurs sous l’emprise de l’alcool et de la drogue (voir cette chronique). Ce mensonge sur les causes des accidents permet de mener une politique d’intimidation des Français moyens qui conduit à prélever environ 1 milliard d’euros par an sur les automobilistes et à retirer leur permis à plus de 70 000 personnes par an.

    L’immigration massive et la délinquance qui lui est associée ont, entre autres intérêts pour le Système, celui de contribuer fortement à entretenir un sentiment d’insécurité et de démoralisation. Les tags et le rap notamment alimentent ce climat de tension et d’inquiétude. La présence nocive et parasitaire des « gens du voyage » y contribue également. Constatant l’invasion de son pays, bien conscient qu’il va devenir minoritaire, craignant d’être agressé dans la rue ou dans les transports, conscient de ce que les délinquants bénéficient d’une quasi-totale impunité, le Français moyen voit son moral atteint.

    À suivre

    https://leblogdepaysansavoyard.wordpress.com/2018/08/14/le-systeme-mondialiste-immigrationniste-et-liberal-libertaire-est-un-totalitarisme-4e-partie/

     

  • En finir avec la censure idéologique des lois par le Conseil constitutionnel

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    Source Ligne Droite cliquez ici
    Parmi les contre-pouvoirs qui réduisent les prérogatives du gouvernement et du parlement, le Conseil constitutionnel est sans doute le plus puissant. Prévu à l’origine comme une instance aux compétences très limitées, il a progressivement étendu son champ d’intervention au point de contrôler toutes les lois, aussi bien d’ailleurs celles qui viennent d’être votées que celles qui sont entrées en application depuis longtemps. Pour rétablir la souveraineté du peuple, Ligne droite préconise donc d’instaurer une procédure d’appel des décisions du Conseil constitutionnel qui donne le dernier mot aux Français et à ses représentants. 

    Un Conseil constitutionnel de plus en plus puissant

    Au début de la Ve République, les neuf Sages se contentaient d’intervenir en application stricte des articles de la Constitution, lesquels portent exclusivement sur le fonctionnement des institutions de la République. Puis, en 1971, inventant la théorie du bloc de constitutionnalité, ils se sont autorisés à fonder leurs décisions sur les textes du préambule de la Constitution, lesquels énumèrent toute une série de principes d’ordre politique, comme ceux contenus par exemple dans la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen ou plus tard dans la Charte de l’environnement. Dès lors, les membres du Conseil constitutionnel ont pu prendre des décisions d’opportunité souvent parfaitement arbitraires car fondées sur l’interprétation qui est la leur de l’esprit des textes du préambule et même parfois sur des normes implicites ou non écrites.Dans le même temps, le droit de saisine, qui était à l’origine l’apanage du président de la République, du premier Ministre et des présidents des deux chambres du parlement, a été élargie en 1974 aux parlementaires pour peu qu’ils soient au nombre de soixante, ce qui autorise l’opposition à saisir le Conseil constitutionnel de tout projet de loi qu’elle conteste. Puis, avec la question prioritaire de constitutionnalité, la réforme de juillet 2008 a encore élargi la possibilité de saisine en offrant l’opportunité au simple citoyen d’en appeler au Conseil constitutionnel dans le cadre d’une procédure judiciaire.

    Une juridiction qui prétend protéger les Français contre eux-mêmes

    Ces évolutions renforçant le poids des neuf Sages ont été à chaque étape justifiées par la même argumentation : plus le Conseil constitutionnel a de pouvoir, plus il est facile de le saisir et plus les droits des Français sont protégés. Mais un tel raisonnement, cher aux tenants du Système et aux défenseurs de « l’état de droit », révèle en réalité la nature profondément malsaine de ce dispositif. Car de qui cette haute juridiction est-elle censée protéger les Français sinon du parlement, c’est-à-dire des représentants du peuple et donc du peuple lui-même ? Et l’on touche là au nœud du problème car, si le Conseil constitutionnel s’est arrogé la mission de protéger les Français contre eux-mêmes, cela veut dire qu’il les a placés sous tutelle et que le peuple n’est plus souverain.

    Un tribunal idéologique au service de la pensée unique

    Cette instance, qui n’existait pas sous la IVe République ni sous les républiques précédentes et qui est inspirée du droit anglo-saxon, a été favorisée par le Système qui voit en elle l’instrument idéal pour empêcher nos compatriotes et leurs représentants de s’écarter de la pensée unique. Aujourd’hui, le Conseil constitutionnel fonctionne en effet comme un tribunal idéologique qui censure les lois non politiquement correctes. Aussi cette haute juridiction compromet-elle la démocratie car, quel que soit le résultat des élections, quelle que soit la couleur politique des parlementaires élus, les lois qui pourront entrer en vigueur seront nécessairement conformes à la pensée unique définie par le Système. C’est là que réside l’une des causes principales du mauvais fonctionnement de la démocratie dans notre pays. La politique y est en effet désormais dominée par des juges nommés qui ont mis sous leur tutelle les députés et les sénateurs pourtant élus par le peuple. En France, aujourd’hui, l’équilibre des pouvoirs est rompu et le gouvernement des juges l’emporte sur le gouvernement légal.

    Une réforme pour donner le dernier mot au peuple français

    Pour Ligne droite, cette configuration, à la fois illégitime et dangereuse, doit être corrigée au plus vite. Aussi est-il nécessaire de lancer une réforme constitutionnelle pour instaurer un droit de recours des décisions du Conseil constitutionnel concernant les textes législatifs. L’idée est de donner au président de la République le droit de faire appel de ces décisions et de soumettre le texte incriminé soit à l’Assemblée nationale pour un vote définitif soit au peuple par l’intermédiaire d’un référendum. Dans tous les cas, le dernier mot reviendrait à nouveau aux Français ou à leurs représentants élus. Une telle réforme est essentielle, car, si la souveraineté du peuple n’est pas ainsi rétablie, la France ne sortira pas du politiquement correct et continuera de décliner.
  • Aquarius : à peine débarqués, des migrants victimes de viol instrumentalisés par la gauche

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    France Info pense avoir trouvé le moyen imparable de clouer le bec à ceux qui disent, partout en Europe, que la solution aux problèmes de l’Afrique n’est certainement pas l’émigration organisée, dans des conditions douteuses, d’une grande partie de sa population vers l’Europe, une Europe par ailleurs incapable d’assurer sans heurt l’intégration des millions d’immigrés précédents, comme le montre le développement des communautarismes. Jeudi, elle a diffusé un témoignage choc de l’un des migrants de l’Aquarius révélant des pratiques barbares de viols sur les femmes et les hommes en Libye. Les mots sont crus, les réalités horribles.

    « En plein désert, ils nous ont rattrapés. [Notre guide] a subi des abus. Ils l’ont sodomisé à tour de rôle. Ce n’était pas beau à voir. Ils prennent des comprimés pour booster leur libido, pour faire du mal. Ils vont vous détruire au maximum. »

    France Info présente ce témoignage ainsi dans son titre : « Un rescapé de l’Aquarius brise le tabou des viols sur des hommes en Libye. »

    Plusieurs remarques s’imposent.

    D’abord, cette réalité n’est plus un tabou depuis qu’il y a un an, un reportage l’avait déjà mis en lumière. Oui, les passeurs africains et musulmans de Libye se comportent en véritables bourreaux et esclavagistes sanguinaires vis-à-vis des migrants provenant d’Afrique noire. La documentariste Cécile Allegra avait établi, dans son enquête, que la pratique systématique du viol fut d’abord le fait des milices sous Kadhafi, avant d’être ensuite utilisée par ces passeurs. On est donc stupéfait qu’à aucun moment, devant ce témoignage, personne ne pose la question du « ils », des responsables. Comme si cela gênait.

    Ensuite, cette réalité, loin d’inciter à la complaisance pour ces migrations dans lesquelles les ONG de l’Aquarius ne sont que le maillon d’une triste chaîne, devrait au contraire pousser nos gouvernants, au lieu de se démener tous les deux jours pour savoir où vont débarquer les Aquarius, à aller vraiment mettre de l’ordre en Libye. Où en est le projet mirobolant des « hot spots » qu’Emmanuel Macron nous avait vendu il y a un an ?

    Enfin, il serait bon que toutes les bonnes âmes qui veulent nous faire avaler leur politique migratoire à coups d’émotions aient aussi la même émotion, la même réactivité et le même militantisme quand il s’agit de femmes – ou d’hommes – européens qui sont agressés sexuellement, comme ce fut le cas à Cologne, par des hommes maghrébins, le 31 décembre 2015, et régulièrement depuis lors, par des migrants. Si je me souviens bien, il avait fallu plusieurs jours aux médias français pour commencer à s’intéresser à la parole des femmes agressées de Cologne. Dans les deux cas, il s’agit de viols et au minimum d’agressions sexuelles odieuses. La différence de traitement n’en est que plus scandaleuse.

    La gauche ne parvenant plus à nous vendre sa politique migratoire par la raison ne compte plus que sur l’émotion. Sauf que cette émotion, sélective et univoque, respire l’instrumentalisation grossière et ne persuade plus que les convaincus.

    Il faut cesser de pleurer sur les victimes – et, surtout, davantage sur les unes que sur les autres –, voir plus loin que le bout de son émotion et enfin s’attaquer aux responsables et aux causes. Mais là, pas certain que la gauche veuille regarder la réalité en face.

    Frédéric Sirgant

    http://www.bvoltaire.fr/aquarius-a-peine-debarques-des-migrants-victimes-de-viol-instrumentalises-par-la-gauche/

  • La Terre « serre brûlante », nouveau mantra du terrorisme climatique pour imposer la tyrannie de la gouvernance globale

    Terre serre brulante terreur climatique tyrannie mondialeQuoi de mieux qu’une bonne dose de terreur climatique pour imposer la tyrannique gouvernance mondiale ? Devant le scepticisme croissant que soulèvent leurs théories apocalyptiques, les climato-alarmistes ont fourbi un nouveau concept d’ébullition liée à l’activité humaine : celui de Terre « serre brûlante ». Mais en fait, rien de nouveau sous le soleil. Il s’agit de recycler la propagande destinée à justifier cette « gouvernance mondiale », jacobinisme hyper-centralisateur et obtusément techno-marchand à l’échelle de la planète. Un système piétinant tout principe de subsidiarité, dans lequel les « experts » globaux, ivres de leur rationalisme délirant, organiseraient tous les détails de la vie des hommes sans le moindre contrôle des populations. Comment un corps social de sept milliards d’humains pourrait-il maîtriser ces « élites » autoproclamées ?

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  • Le FMI de Christine Lagarde prône 5,5 millions d’immigrés de plus en Espagne, le ministre Josep Borrell veut « un sang nouveau »

    Espagne immigrés FMI Christine Lagarde Josep Borrell
     L’Espagne du président du conseil socialiste archi-minoritaire Pedro Sanchez, non contente d’ouvrir ses frontières à l’immigration à dominante islamique, doit accueillir plus de cinq millions de nouveaux immigrés au cours des prochaines décennies, vient de stipuler le Fonds monétaire international. Ce chiffre est obtenu, par l’entité financière globaliste, à partir d’un calcul des besoins du système des retraites. Equilibres culturels, conflits religieux, poids financier d’une immigration sous-qualifiée et largement inassimilable, intrusion des robots : de cela le FMI de Christine Lagarde évidemment ne veut pas entendre parler. Son raisonnement biaisé vient étayer le stupéfiant appel, lancé par le ministre des Affaires étrangères espagnol Josep Borrell, à régénérer l’Espagne par un « sang nouveau ».

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  • Immigration : Les masques tombent – Journal du Jeudi 16 Août 2018

    1) Immigration / Les masques tombent

    C’est l’été de toutes les vérités pour l’immigration. Alors que l’Aquarius, le bateau de l’association immigrationniste SOS Méditerranée, prouve une nouvelle fois qu’il sert ni plus ni moins de passeur aux clandestins, les nouveaux axes migratoires dirigés sur l’Espagne socialiste met à mal la prétendue spontanéité des exils.

    2) Société / Les dangers des  routes françaises.

    La catastrophe de Gênes réveille les craintes françaises. Alors que le gouvernement a fait passer la limitation de vitesse à 80 km/h sur les axes secondaires, les routes françaises accusent un manque criant d’entretien. L’état des voies routières en France n’a peut-être rien à envier à l’Italie.

    3) International / La Turquie dans la crise

    4) L’actualité en bref

    Pour ceux qui n’arrivent pas à lire cette vidéo, regardez là sur RuTube (juste après)

     
  • Les immigrés mineurs isolés : qui sont-ils ?

    Lu sur Medscape :

    "Selon le rapport du Sénat datant de juin 2017, ce sont essentiellement des garçons (95%), en fin d’adolescence (les deux tiers ont plus de 16 ans) arrivant majoritairement d’Afrique. Les principaux pays d’origine sont ceux d’Afrique sub-saharienne (Mali, Guinée, Côte d’Ivoire, Cameroun, RDC, Nigéria) mais les mineurs isolés sont également originaires d’Afghanistan, du Pakistan, du Bangladesh, d’Erythrée, du Soudan, d’Angola, de Syrie et d’Europe de l’Est. Le choix de la France comme destination repose en partie sur une langue et une culture commune. C’est souvent le cas pour les mineurs isolés étrangers originaires d’Afrique francophone.

    Leur profil diffère sensiblement de celui des migrants adultes :beaucoup sont « mandatés » par leur famille, leur parcours « est bien souvent organisé par des filières » et ils cherchent plus des « opportunités économiques » que l’asile, affirme le rapport du Sénat.

    En 2010, en France, le nombre de mineurs migrants confiés aux départements était de 4000. En 2016, leur nombre a augmenté de 85% pour dépasser 25 000 jeunes pris en charge. Certaines évaluations parlent même de près de 50 000 jeunes migrants arrivés depuis 2017 sur le territoire.

    A savoir : Le mineur, contrairement à l’adulte, n’a pas à justifier d’un titre de séjour en France, donc ne peut pas être expulsé, reconduit à la frontière ou placé en rétention."

    Ceux qui accueillent de façon aveugle les mineurs étrangers doivent savoir qu'ils ne sont que de hameçons pour favoriser l'immigration de peuplement.

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2018/08/les-immigr%C3%A9s-mineurs-isol%C3%A9s-qui-sont-ils-.html

  • Qu’est-ce qu’un envahisseur ?

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    Bernard Plouvier

    Dans l’imaginaire collectif d’Européens trop sensibles aux fééries hollywoodiennes - tellement schématiques en matière d’histoire qu’elles ne sont que caricatures -, l’invasion est une affaire sanglante, « pleine de bruit et de fureur », de viols et de rapts, de pillages et d’incendies.

    Il est exact que l’invasion des hordes d’Attila fut en grande partie cela, et bien davantage encore la déferlante mahométane en Ibérie, en Aquitaine et dans toute la moitié sud de la France ou en Italie méridionale. Puis la barbarie mongole s’abattit sur l’Europe orientale et centrale, et la turque en terres danubiennes. Tout ce la fut sanglant, raciste et ignoble, nul ne le conteste.

    L’actualité, en Europe occidentale et scandinave, prouve la persistance et la vivacité de ce type de comportement chez nombre de sauvageons africains, et leurs confrères proches et moyen-orientaux. Si les attentats individuels et collectifs ne défraient la chronique que de façon mensuelle, le vandalisme dirigé contre les installations publiques, les lieux de culte chrétien, les propriétés privées est affaire quotidienne, comme le sont les actes de racket, les vols, les viols et les agressions physiques… et si l’on en venait à dénombrer les manifestations verbales de racisme anti-Blancs, l’on devrait compter en secondes. Tout cela est bien connu – sauf de la presse gaucho-socialo-friquée.

    Il est une autre forme d’invasion, moins spectaculaire dans ses manifestations, mais infiniment plus pernicieuse : celle de la mendicité et du service rendu ou soi-disant tel. « Le Barbare peut franchir la frontière en suppliant ou en auxiliaire aussi bien qu’en agresseur… Il use de la prière ou du service plus souvent que de la violence » (Joseph Calmette, in Le monde féodal, 1934).

    Il est de fait que les Germains se sont initialement implantés dans l’Empire romain d’Occident comme auxiliaires ou comme réfugiés repoussés par les Slaves puis par les Huns. Ils ont d’ailleurs remarquablement aidé les Gallo-Romains à écraser l’envahisseur hunnique au Vesiècle. En outre, même lorsqu’ils se comportaient en pillards, ils régénéraient les populations occidentales par un fort utile apport génétique : on restait au sein de la même race continentale, l’européenne.

    De nos jours, le spectacle des réfugiés africano-asiatiques, chassés de chez eux par la barbarie islamique ou les jeux pervers des dirigeants US, est indéniablement pitoyable. Seulement, après avoir nourri et formé à un métier utile ces extra-Européens, n’avons-nous pas le devoir de les rendre à leurs continents d’origine, pour que ces ex-réfugiés, secourus et convertis à la technicité occidentale, civilisent leurs Nations d’origine ?

    Les agents de désinformation clament l’intérêt de la mixité des races et des civilisations pour assurer l’avenir de notre Europe, en complet désaccord avec les faits observés dans les pays multiraciaux : USA, Mexique, Brésil, pour prendre quelques exemples simples où fleurit la violence interraciale de façon quotidienne. On peut prendre ces bêlements de propagande pour ce qu’ils sont : la soumission aux intérêts de la grande distribution.

    De fait, les mêmes immigrés-réfugiés-envahisseurs consommeraient infiniment moins s’ils étaient restés chez eux. Accueillis par des États occidentaux, ils jouissent d’une multitude de lois à caractère social (même les immigrés clandestins ont droit à une allocation spécifique en France), en plus d’usages, pas toujours conformes à la loi, des organismes publics locorégionaux, enfin de dons issus de la charité privée. Pourquoi retourneraient-ils dans leurs gourbis insalubres alors qu’ils bénéficient de jouissances matérielles infiniment plus grandes que dans leur continent d’origine et contre un travail nettement moins harassant, voire pas de travail du tout ?     

    Or une question simple se pose. Qu’ont-ils à donner en contrepartie de tout ce que nous leur offrons ? De façon trop fréquente, ils nous font présent de rejetons peu doués, souvent délinquants, presque jamais courtois, en sus d’une religion conquérante, aux usages médiévaux adaptés à des continents où la rudesse et une conception très particulière des rythmes de travail sont opposées aux nôtres. L’esclavage et l’intolérance religieuse qui devient facilement meurtrière, le mépris intégral de la femme : de tout cela nous n’avons guère besoin.

    Les empires hellénistique et romain ont tenté d’amalgamer l’Afrique du Nord et le Proche-Orient à l’Europe - du moins celle qui était étendue de l’Atlantique et de la Méditerranée au Rhin et au Danube -, et cela fut un échec intégral.

    Pourquoi voudrait-on récidiver dans l’erreur ? Si c’est pour satisfaire l’esprit de lucre des très curieux « humanistes » de Wall Street, de la City londonienne et des multinationales, ou pour communier à la niaiserie, plus ou moins intéressée, des affairistes (souvent repris de justice) du Charity business, d’un pape étonnant et de politicien(ne)s toqué(e)s, ce n’est peut-être pas nécessaire.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • La tiers-mondisation de la France est en marche

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    Par Nicolas Faure, entrepreneur  Deux rappeurs qui se battent dans un aéroport en ravageant un magasin et en retardant des dizaines de vol. La Gare Montparnasse qui ferme durant le week-end le plus chargé de l’année à cause d’un incendie dans un transformateur. Adrien Perez poignardé à mort par deux extra-européens ultra-agressifs alors qu’il tentait de porter secours à un ami. Alexandre Benalla, racaille mal dégrossie, possédant un pouvoir absolument inimaginable. Une femme violée par le conducteur d’une voiture avec laquelle elle effectuait un constat.
    L’actualité récente nous le démontre de manière éclatante : la tiers-mondisation de la France est en marche !

    Les racailles au pouvoir

    Benalla, une racaille avec les pleins pouvoirs

    Le pouvoir semble aujourd’hui faire la part belle aux racailles en tous genres.

    De manière évidente, l’affaire Benalla en est l’illustration la plus claire. Imaginez qu’Emmanuel Macron a donné à cet homme un pouvoir quasiment sans limite, alors même que celui-ci est incapable d’envoyer une simple lettre de motivation sans faire de très nombreuses fautes basiques comme nous l’apprend Valeurs Actuelles !

    C’est donc une racaille au niveau intellectuel moyen qui a obtenu des avantages incroyables de la part du personnage le plus puissant de la nation française ! Pire, une fois en position de force, Alexandre Benalla a continué à agir comme une vulgaire racaille de cité. Il a ainsi laissé libre cours à ses bas instincts violents en agressant des manifestants. Par ailleurs, il n’a pas hésité à rabrouer publiquement des policiers ou des gendarmes largement plus expérimentés et plus valeureux que lui, ce qui a d’ailleurs sans doute provoqué sa chute.

    En fait, Alexandre Benalla a été jusqu’au bout le symbole de cette tiers-mondisation rampante et insoutenable de la France. Incapable, odieux, agressif et imbu de lui-même, Alexandre Benalla est l’exemple même de la racaille promue par Emmanuel Macron.

    Avec une question lancinante sur toutes les lèvres : comment Macron, qui n’est lui pas précisément un complet imbécile, a pu donner de tels pouvoirs à Benalla ?

    Des racailles pour exemples

    Mais le pouvoir n’est pas que politique. Il est également culturel. Et, là aussi, la racaille est en pôle position. La musique qui se vend le plus en France, celle qui supplante peu à peu toutes les autres, c’est le rap ! Et le plus célèbre des représentants de cette musique particulièrement appréciée des jeunes français, c’est « Booba », Elie Yaffa de son vrai nom.

    Et celui-ci s’est particulièrement illustré récemment en affrontant son rival, lui aussi extra-européen, Kaaris , de son vrai nom Okou Armand Gnakouri. Les deux rappeurs, auparavant amis, se détestaient depuis plusieurs années. Une rivalité qui a trouvé sa conclusion dans un hall de l’aéroport d’Orly. Les images de la bagarre entre les deux rappeurs et leur bande d’amis violents ont fait le tour du web.

    Ces deux multi-millionnaires, adulés par les jeunes Français, ont donc décidé de ravager un magasin et de provoquer la fermeture d’une aile entière de l’aéroport pour régler leur différend.

    La France en voie avancée de tiers-mondisation

    Agressions sordides

    Adrien Perez est, comme Marin, un symbole. Celui de cette jeunesse européenne qui peut tomber sous les coups d’une autre jeunesse, extra-européenne celle-là, pour les motifs les plus futiles qui soient. En l’occurrence, Adrien Perez est mort en héros, en portant secours à un ami, violemment agressé par deux frères qui avaient déjà importuné le groupe d’amis à l’intérieur de la boite de nuit dans laquelle ils se trouvaient.
    Pour beaucoup de jeunes « de souche », cette scène n’est pas anodine. Elle résonne extrêmement fort avec leurs propres expériences en boite ou en bar de nuit. Il est aujourd’hui banal de voir des équipes de racailles, même dans des lieux encore préservés il y a quelques années.

    La tiers-mondisation de la France, c’est avant tout cette multiplication des agressions violentes, des rixes mortelles, des assassinats sauvages, des conflits ethniques. Qu’il s’agisse de l’assassinat d’Adrien Perez ou bien de l’égorgement d’un homme dans un bus parisien, l’actualité ne ment pas : la France sombre peu à peu dans un ensauvagement qui semble n’avoir aucune limite.

    Les infrastructures survivront-elles longtemps ?

    De même, la France semble irrémédiablement condamnée à voir péricliter ses infrastructures sous la pression – directe ou indirecte – de l’immigration extra-européenne. Qu’il s’agisse des rappels incessants – et vains – à la propreté dans les zones où la racaille prolifère ou bien du coût du maintien de certaines infrastructures handicapés indirectement par les dépenses liées à l’immigration, la tiers-mondisation de la France semble irréversible si rien n’est fait pour l’éviter.

    L’exemple de l’incendie du transformateur ayant entraîné la fermeture de la gare Montparnasse pendant plusieurs jours est un exemple de ces problèmes. Comment imaginer qu’une gare accueillant près de 54 millions de voyageurs par an puisse être touchée par un problème, certes important, sans solutions alternatives ou résolution rapide ?

    Pour contre la tiers-mondisation de la France, il est impératif d’agir rapidement. Et surtout, il est fondamental de bien faire comprendre aux Français – et aux Européens – que ne pas transformer sa nation en pays du tiers-monde, c’est déjà commencer par cesser d’importer le tiers-monde sur son sol.

    Nicolas Faure  15/08/2018

    Source : Correspondance Polémia

    Crédit photo : Township sud-africain, par Diriye Amey [CC BY 2.0], via Wikimedia Commons

    https://www.polemia.com/tiers-mondisation-france-en-marche/

  • La France, 2e destination mondiale pour les immigrés

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    Quand on dresse la liste de chaque pays qui est le lieu d’immigration privilégiée d’autre pays, on voit que la France est en 2e position, a égalité avec la Russie mais loin derrière les Etats-Unis et devant l’Allemagne. A noter que le Japon n’est en tête dans aucun pays du monde, ce qui est logique puisque ce pays ferme ses frontières.

    Etats-Unis (30) : Allemagne, Arabie Saoudite, Bahamas, Bélize, Brésil, Canada, Corée du Sud, Costa Rica, Cuba, Equateur, Ethiopie, Guatemala, Guyana, Haïti, Honduras, Iran, Israël, Jamaïque, Japon, Liban, Mexique, Nigeria, Pérou, Philippines, Salvador, Suède, Thaïlande, Trinité & Tobago, Venezuela, Vietnam.

    France (13) : Algérie, Andorre, Belgique, Cameroun, Congo, Djibouti, Espagne, Gabon, Madagascar, Maroc, Portugal, Sénégal et Tunisie.

    Russie (13) : Arménie, Azerbaïdjan, Belarus, Estonie, Géorgie, Kazakhstan, Kirghizistan, Lituanie, Moldavie, Ouzbékistan, Tadjikistan, Turkménistan et Ukraine.

    Allemagne (10) : Autriche, Croatie, Grèce, Hongrie, Italie, Macédoine du Nord, Pologne, Serbie, Tchéquie et Turquie.

    Afrique du Sud (7) : Botswana, Lesotho, Mozambique, Namibie, Swaziland, Zambie et Zimbabwe.

    Arabie Saoudite (7) : Chypre, Egypte, Jordanie, Koweït, Pakistan, Syrie et Yémen.

    Royaume-Uni (5) : Afrique du Sud, Australie, Irlande, Kenya, Lettonie

    Argentine (4) : Bolivie, Chili, Paraguay et Uruguay.

    Australie (4) : Fidji, Nouvelle-Zélande, Papouasie-Nouvelle-Guinée et Royaume-Uni

    Portugal (4) : Angola, Cap Vert, Guinée Bissau et Sao Tome & Principe.

    Côte d’Ivoire (3) : Burina Faso, Guinée et Mali.

    Emirats Arabes Unis (3) : Inde, Oman et Qatar.

    Espagne (3) : Argentine, France et Gambie.

    Inde (3) : Bangladesh, Népal et Sri Lanka.

    Italie (3) : Roumanie, San Marin et Suisse.

    Nigeria (3) : Bénin, Ghana et Niger.

    Suède (3) : Danemark, Finlande et Norvège.

    Thaïlande (3) : Cambodge, Laos et Myanmar.

    Croatie (2) : Bosnie-Herzégovine et Slovénie

    Congo (2) : République Démocratique du Congo et Rwanda

    Danemark (2) : Groenland, Islande.

    Guinée (2) : Liberia et Sierra Leone.

    Kenya (2) : Ouganda et Somalie.

    Serbie (2) : Kossovo et Monténégro.

    Tchad (2) : Centrafrique, Soudan du Sud.

    Algérie : Sahara Occidental.

    Bangladesh : Libye.

    Belgique : Pays-Bas.

    Burkina Faso : Côte d’Ivoire.

    Corée du Sud : Mongolie.

    Gabon : Guinée Equatoriale.

    Ghana : Togo.

    Grèce : Albanie.

    Hong-Kong : Chine.

    Jordanie : Palestine.

    Kazakhstan : Corée du Nord.

    Koweït : Emirats Arabes Unis.

    Malaisie : Indonésie.

    Mexique : Etats-Unis.

    Népal : Bhoutan.

    Pays-Bas : Surinam.

    Pakistan : Afghanistan.

    Rwanda : Tanzanie.

    Sénégal : Mauritanie.

    Singapour : Malaisie.

    Soudan : Erythrée.

    Soudan du Sud : Soudan.

    Syrie : Irak.

    Tchéquie : Slovaquie.

    Turquie : Bulgarie.

    Ukraine : Russie.

    Venezuela : Colombie.

    Zimbabwe : Malawi.

    Pays inconnus : Burundi, Luxembourg, Taïwan, Timor oriental.

    A noter qu’il existe quelques « paires » de pays (première place mutuelle) pour les immigrés) : France-Espagne, Etats-Unis-Mexique, Russie-Ukraine, Royaume-Uni-Australie).

    Hristo XIEP

    http://www.medias-presse.info/la-france-2e-destination-mondiale-pour-les-immigres/96622/