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anti-national - Page 624

  • Jean-Claude Juncker, une épave humaine à la tête de l’Union européenne ?

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    Par Julien Dir, contributeur pour Breizh-Info   

    « Titubant au sommet de l’Otan, Jean-Claude Juncker souffre d’une sciatique » affirme sans rire une chaine du service public ce 12 juillet, évoquant le comportement physique pour le moins instable du président de la Commission européenne en marge du sommet de l’OTAN. Une explication reprise en boucle dans toute la presse mainstream, comme si les images de Jean-Claude Juncker titubant et souriant, soutenu par des gardes du corps, pouvaient tromper qui que ce soit.

    Selon un spécialiste qui a vu la vidéo « la totale absence d’expression faciale douloureuse, les mouvements insécures des bras (0’02 à 0’08), la statique instable (0’12 à 0’15), les mouvements des genoux à la montée et à la descente de l’escalier, la mobilité des jambes, et le déséquilibre arrière répété (0’48, 1’27, 1’48) ne plaident évidemment pas en faveur d’une sciatalgie ! En cas d’éventuelles violentes douleurs, un traitement très abusif aux opiacées pourrait expliquer une part de l’instabilité, mais dans ce dernier cas, le tenir par les mains ne suffirait pas à le maintenir debout, la pâleur serait beaucoup plus accentuée, les expressions faciales plus figées, une raideur de jambe évidente, et les mouvements oculaires ou ambulatoires encore plus lents. Les images plaident donc le plus sûrement en faveur d’une cuite... »

    Ce n’est malheureusement pas la première fois que celui qui, à la tête de l’Europe, donne en permanence des leçons de morale, apparait en état apparent d’ébriété lors de manifestations publiques – toujours en invoquant une prétendue sciatique. Il y a deux ans, et encore fin juin 2018, il avait déjà été surpris dans cet état. Les images parlent d’elles mêmes.

    Ainsi donc, aux frais des contribuables européens, Jean-Claude Juncker prendrait des cuites tout en continuant à diriger l’Europe alors qu’il devrait être hospitalisé d’urgence pour une longue cure de désintoxication.

    N’importe quel salarié arrivant très alcoolisé sur son lieu de travail serait licencié pour faute grave. Pour qui donc se prennent ces oligarques qui, en se comportant ainsi, déshonorent leur fonction ?

    Tout comme Eltsine en son temps représentait une Russie à la ramasse, prête à sombrer dans les poubelles de l’histoire avant l’arrivée de Vladimir Poutine, Jean-Claude Juncker représente une Union européenne qui perd totalement la tête, qui titube, qui s’effondre…

    « Celui qui doit tomber, il ne faut pas le retenir, il faut encore le pousser. » Nietzsche.

    Julien Dir 15/07/2018

    Source : Breizh-Info

    Crédit photo : Kremlin.ru [CC BY 4.0], via Wikimedia Commons

    https://www.polemia.com/jean-claude-juncker-une-epave-humaine-a-la-tete-de-lunion-europeenne/

  • L’Europe n’a plus d’âme. L’européisme macronien va l’achever

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    Analyse d'Hilaire de Crémiers dans Politique Magazine :

    "Le sommet européen du vendredi 29 juin qui s’est achevé sur un faux accord, n’a fait que révéler encore plus les antagonismes sous-jacents qui fragilisent désormais de manière continue l’Union européenne.

    Angela Merkel ne peut plus parler avec autorité en Europe ; elle ne conduit même plus son gouvernement ; elle doit passer son temps à signer des compromis, tantôt avec son ministre de l’Intérieur, le bavarois Horst Seehofer, l’ex-homme fort de la CSU, tantôt avec le SPD, l’autre parti de la prétendue grande coalition. [...] Le gouvernement de coalition ne durera peut-être pas et nul ne sait ce que sera l’Allemagne dans les semaines qui viennent et par qui elle sera gouvernée. L’équilibre du jour n’est dû paradoxalement qu’à l’AfD, chacun redoutant qu’en cas de nouvelles élections le parti nationaliste ne récolte encore davantage de voix ; la CSU bavaroise ne veut pas se voir supplanter dans son propre land et le SPD sait qu’il sera, cette fois-ci, rétamé. Comment dans de telles circonstances Angela Merkel pourrait-elle définir une politique européenne alors que les pays de l’Est, l’Italie maintenant, lui reprochent ouvertement la série des décisions qui, depuis 2015, a ouvert l’Europe aux vagues migratoires ? Dans l’impossibilité de jouer un rôle, elle a laissé agir Emmanuel Macron qui en a profité pour ramener les choses à lui. Dans sa déclaration finale, le président français s’est félicité d’avoir réussi à imposer un accord aux 27.

    « Le repli national » ne l’a pas emporté, a-t-il dit, « c’est pour moi une vraie satisfaction et une victoire. L’Europe s’est décidée même si ça prend du temps ».

    Inutile de signaler qu’à la sortie du rendez-vous européen force gens persiflaient une telle autosatisfaction. Les 27 n’avaient donné leur accord que parce que précisément rien de définitif n’avait été acté dans la longue nuit de prétendues et mensongères délibérations. Chacun veillait à son intérêt, pendant que Macron faisait la mouche du coche. L’Italien feignait de croire que l’Europe s’engagerait à le soulager ; les autres pensaient qu’ils pourraient renvoyer leurs migrants selon des procédures qui seraient enfin mises en œuvre. Un marché de dupes. Donald Tusk, le président du Conseil européen, convenait qu’il ne fallait pas se leurrer : « Il est bien trop tôt pour parler d’un succès ».

    Qu’on en juge ! « Des centres contrôlés établis dans des États membres, sur une base volontaire (!) » serviront à faire le tri des migrants, en particulier ceux qui sont secourus en Méditerranée, entre les réfugiés qui peuvent prétendre à bénéficier du droit d’asile, et les migrants dits économiques ; l’UE s’engagerait à y mettre les moyens. Évidemment chacun pense que lesdits centres seront très bien installés chez les voisins à qui il se propose très clairementt d’adresser ses propres colonnes de migrants. En tout cas, ce qui est sûr, c’est qu’à l’issue du sommet aucun pays ne s’était déclaré « volontaire ». Il semble bien qu’à ce jour la situation soit la même ! Même Macron a dû l’avouer : « La France n’ouvrira pas de centres de ce type… ». Eh, oui !

    L’Espagne et Malte n’ont pas l’intention non plus de donner trop de suite à des gestes d’apparente générosité. L’Aquarius et le Lifeline, ça suffit. Puisque toutes les mesures décidées au sommet, selon le communiqué final, « s’appliqueront sur la base du volontariat », la vérité toute nue est qu’à ce jour il n’y a aucun volontaire. Donc l’Italie de Salvini continuera sa même politique de refus absolu et de fermeture de ses ports.

    Alors, tout le reste est littérature et constructions artificielles comme les aime Macron. Retour des refusés après triage : quand et comment ? Nul ne sait ! Les pays d’origine évidemment refuseront à leur tour, et, alors, qu’est-ce qu’on fait ? Répartition des bénéficiaires du droit d’asile selon « les principes de solidarité européenne »… Cette solidarité reste, elle-même, sans que ce soit trop spécifié, volontaire ; c’est pourquoi les pays de l’Europe de l’Est et du Nord ont souscrit sans difficulté, du moment que le mot « quotas » a disparu !

    Victor Orban a déclaré que « la Hongrie restera un pays hongrois et ne deviendra jamais un pays de migrants ». Rien n’est plus clair et donc rien n’est plus ambigu que la solution macronienne. Angela Merkel ne pensait, quant à elle, qu’à traiter avec ses voisins, en particulier avec le chancelier autrichien, qui assure la présidence tournante de l’UE de juillet à décembre et qui prévient qu’il renverra tout migrant dans le pays qui l’aura enregistré ! L’Allemagne a du souci à se faire. Et le Brenner sera encore un lieu d’affrontements.

    Ces tristes « bidouillages » ne renforceront pas l’idée européenne. Les élections de 2019 au parlement européen s’en ressentiront. La grande vision dont notre président se flatte et sur laquelle il a misé tout son avenir, se heurte au dur mur des réalités. Il n’a guère obtenu plus de succès sur sa vaste perspective d’une zone euro qui fonctionnerait à plein régime et qui permettrait une intégration économique et financière plus complète. Les Allemands ne veulent pas être prisonniers d’un système qui les placerait en banquiers et en financiers de dernier recours. Les Néerlandais ne souhaitent pas payer davantage. Bref, personne n’y croit vraiment. Macron est encore une fois de plus le seul à se déclarer « optimiste » et à parler encore de « feuille de route franco-allemande ».

    Incorrigible esprit faux. « Le pire dérèglement de l’esprit, selon Bossuet, c’est d’imaginer les choses telles qu’on voudrait qu’elles soient et non telles qu’elles sont en effet. »

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2018/07/leurope-na-plus-d%C3%A2me-leurop%C3%A9isme-macronien-va-lachever.html

  • La Grèce, toujours punie et punie pour toujours ?

    La Grèce n'est pas sortie d'affaire, malgré les déclarations triomphales et parfois indécentes de celui qui fut, un temps, l'idole de la Gauche radicale avant d'en devenir le meilleur ennemi et le symbole d'une trahison politique qu'il semble vouloir poursuivre jusqu'au bout : M. Tsipras, qui disait vouloir changer de logiciel politique en 2015 (et il était crédible de le croire), n'est plus qu'un social-démocrate même pas honteux qui reçoit les compliments du commissaire européen Moscovici, socialiste bon teint et européiste décomplexé. La construction européenne telle qu'elle suit son cours depuis les années 1970 a, en définitive, confirmé les craintes des « nationalistes » de l'époque (qu'ils soient gaullistes, communistes ou royalistes) ou d'un Pierre Mendès-France qui, dès 1957, s'inquiétait de l'idéologie « libéraliste » du Traité de Rome et de son manque d'ambition sociale.

    Aujourd'hui, la Grèce n'est plus vraiment souveraine : elle est prisonnière d'une Union européenne qui, telle Harpagon, s'inquiète plus de sa cassette que du sort des populations, et elle risque bien de l'être encore de nombreuses années, sans sursis. Aveuglée par les promesses, principalement économiques, d'une Union qui l'avait accueillie en 1981 et droguée, comme la plupart des pays du monde, à la logique infernale de la Société de consommation et au crédit, autre nom de l'endettement, la Grèce paye son « indiscipline financière » d'un prix plus élevé que ce qu'elle pourra jamais payer d'argent : la dévastation économique et sociale qui se marque par une désespérance des Grecs, y compris sur le plan démographique, comme une sorte de suicide programmé. Le témoignage de Lisa Stravroula, femme grecque de 40 ans, dans Le Pèlerin (28 juin 2018), est à la fois éclairant et terrifiant : « La crise nous dissuade d'avoir des enfants. Au chômage depuis neuf ans, je mange souvent à la soupe populaire. Je vis de petits boulots, quelques heures d'aide à domicile par semaine. Mais comme les retraites ont chuté[environ 40 % depuis 2010], mes clients âgés m'appellent moins. A temps partiel, mon mari plombier gagne 450 euros par mois. Nous payons un loyer de 300 euros. Ma mère ne peut pas nous aider avec ses 400 euros de retraite. Les Grecs travaillent plus pour gagner moins, avec un système médical en ruines [un tiers des Grecs ont purement et simplement renoncé à se soigner et l'espérance de vie recule en Grèce...], une protection sociale démolie. Ils se sentent humiliés de vivre ainsi. Alors, avoir des enfants dans ces conditions... Mon mari et moi y avons renoncé. » Dans le même temps, les jeunes Grecs ont massivement émigré vers d'autres pays d'Europe, voire vers les États-Unis, privant le pays d'une grande part de sa matière grise, tandis que les ports grecs (en particulier le Pirée) sont majoritairement passés sous contrôle de la Chine qui y voit un moyen d'y établir une « tête de pont » pour écouler ses produits en Europe, dans la stratégie des « Nouvelles routes de la soie »...

    Malgré une diminution du chômage et une croissance redevenue « positive », les conditions exigées (jusqu'en 2060...) pour la poursuite d'un soutien européen qui ressemble beaucoup à celui de la corde pour le pendu apparaissent extravagantes et peu crédibles sur le long terme, et les économistes restent largement sceptiques sur la réussite finale, ce qui n'est guère rassurant mais très révélateur. Les propos (1) du directeur général du mécanisme européen de stabilité, M. Klaus Regling, sont, à cet égard, à la fois cyniques et annonciateurs : « A la question de savoir si la dette de la Grèce pourrait être déclarée soutenable à long terme, Klaus Regling répond par la négative (…). Et combien de temps faudra-t-il, lui demande-t-on, pour que la Grèce fasse des réformes pour rassurer les marchés ? Là encore, la réponse en dit long : « La mise en œuvre des réformes est une tâche permanente. Elle n'est jamais achevée. C'est vrai pour tous les pays du monde, pour tous les pays de l'Union européenne, et donc aussi pour la Grèce. Peut-être un peu plus dans le cas de la Grèce, en raison de l'histoire récente de l'économie grecque qui met fin à une période d'ajustement difficile. » » Au moins, nous sommes prévenus : la Grèce n'est qu'un exemple, au double sens du terme, et la France pourrait bien connaître les « mésaventures » terribles de la Grèce et des Grecs si elle ne se conforme pas aux canons de la doxa libéraliste de l'Union européenne... La « réforme permanente » prônée par M. Regling rappelle la fameuse « révolution permanente » de Trosky qui autorisait tous les excès et toutes les injustices au nom de l'idéal à atteindre !

    De plus, il n'est aucune possibilité pour la Grèce d'amender les réformes imposées de Bruxelles et Francfort, et l'Eurogroupe le rappelle encore le 22 juin dernier, sans provoquer de réactions visibles en Europe, comme si la Grèce était désormais ce « parent pauvre » que l'on veut oublier pour ne pas entendre ce que sa situation nous annonce ou nous dit sur le système, sur ce modèle de société qui régit nos pays et, sans doute, le monde et peut-être l'avenir, si l'on n'y prend garde.

    Se contenter de ce constat serait bien une démission du Politique, et ce n'est pas vraiment acceptable : le premier combat des royalistes en ce domaine est de rappeler la nécessaire primauté du Politique sur l’Économique (dans l'ordre des moyens, et pour assurer les fins sociales de toute société humaine et ordonnée digne de ce nom), ce que de Gaulle avait résumé en deux formules fort capétiennes : « La politique de la France ne se fait pas à la Corbeille » (2), et « L'intendance suivra », qui marque bien que la décision politique l'emporte sur les simples considérations économiques, même si elle ne les méconnaît pas. La justice sociale n'est pas et ne peut pas être une sorte de variable d'ajustement, car elle est cette colonne vertébrale qui assure l'équilibre de toute société, de toute Cité humaine, et c'est à l’État politique de la garantir, quels que soient les oukases des féodalités financières ou économiques, ou ceux des institutions de la « gouvernance », que celle-ci soit européenne ou mondiale...

    Notes :

    (1) : propos rapportés par Alternatives économiques et reproduits sur le site de l'ESM, European Stability Mechanism

    (2) : La Corbeille, l'autre nom de la Bourse et du pouvoir de l'Argent...

    http://nouvelle-chouannerie.com/index.php?option=com_content&view=article&id=1502:la-grece-toujours-punie-et-punie-pour-toujours-&catid=52:2018&Itemid=63

  • Emmanuelle Ménard : "la PMA ne passera pas comme une lettre à la poste"

    6a00d83451619c69e2022ad35a9e18200c-800wi.jpgC'est aussi l'avis de...  Jean Leonetti, vice-président des Républicains, qui estime que "la mobilisation est possible".

    "Pour ma part, je suis opposé à l’extension de la PMA aux couples de femmes car elle conduira à terme à la GPA. D’ailleurs le Conseil d’Etat parle lui-même d’+équité et de discrimination+"."Sans porter de jugement moral, lorsqu’on a créé le PACS, on nous a expliqué que cela n'amènerait jamais au mariage pour tous. Quand celui-ci a été voté, il ne devait pas y avoir de conséquences sur la filiation. Nous voilà aujourd’hui à la PMA. Je ne vois donc pas pourquoi nous n’irions pas ensuite vers la GPA, malgré la position prise à ce sujet par le Conseil d’Etat et le gouvernement qui y sont opposés".

    "Emmanuel Macron avait dit qu’il fallait une société apaisée pour passer cette réforme, il ne l’aura pas !"."On dit qu’un président de la République a besoin de +marqueurs+: la réforme sur la PMA peut en être un et lui permettre de montrer qu’il est un dirigeant +libéral, progressiste et moderne+. Mais les sujets de bioéthique ne se résument pas à un combat entre les jeunes et les anciens, les conservateurs et les progressistes !"

    "Je crois comprendre néanmoins que sa majorité est divisée sur le sujet. Passer par-dessus celle-ci et une partie de la population me paraît bien risqué".

    Emmanuelle Ménard estime que "les gens se mobiliseront".

    "Les réseaux de la Manif pour tous sont encore très mobilisés".

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2018/07/emmanuelle-m%C3%A9nard-la-pma-ne-passera-pas-comme-une-lettre-%C3%A0-la-poste.html

  • Sexe, race, religion, genre : la constitution se mêle de tout et s’emmêle

    Constitution Sexe Race Religion Genre
     
    La constitution assure l’égalité des citoyens devant la loi quelle que soit leur origine, leur religion, leur race : les députés ont supprimé ce dernier mot, en rajoutant le sexe mais pas le genre. Pour des raisons politiques obscures. Le nouveau texte se mêle de tout et s’emmêle un peu.
    Objectivement, cette révision de l’article premier de la constitution fera trois heureux : Adolf Hitler, Malcolm X et François Hollande. Le dernier parce que la suppression du mot race faisait partie de ses promesses de campagne, les deux autres, plus simplement, parce que la constitution n’assure plus l’égalité devant la loi de deux individus de races différentes. C’est objectivement indiscutable.

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  • Finances du RN : une décision inique, par Guillaume de Thieulloy

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    Le Rassemblement national a appris le week-end dernier que deux juges d’instruction avaient saisi à titre conservatoire un peu plus de 2 millions d’euros sur le premier versement de la dotation publique qui lui revient au titre du financement public de la vie politique.

    Cette décision, qui intervient dans le cadre de l’affaire des emplois « présumés fictifs » (comme disent joliment les médias dominants) au Parlement européen, est tout à fait extraordinaire.

    D’abord, parce qu’elle est appliquée hors de toute décision de justice.

    Aucun tribunal, à ma connaissance, n’a établi la culpabilité du Front national ou de ses députés dans cette affaire d’assistants parlementaires.

    Mieux, la compétence des tribunaux français, contestée par Marine Le Pen, n’est toujours pas confirmée par la justice.

    Quant au volet européen de l’affaire, la présidente du FN a quelques raisons de se plaindre de l’état du droit à Bruxelles, puisque les autorités bruxelloises sont, dans son affaire, à la fois juge, policier, huissier et partie civile !

    J’ai d’ailleurs découvert, à cette occasion, que l’Union européenne n’était pas signataire de la convention européenne des droits de l’homme.

    Mais revenons en France.

    Les juges d’instruction qui ont ordonné cette saisie sont tous deux proches de l’ultra-gauchiste Syndicat de la Magistrature.

    Ils sont aussi tous deux membres du Parquet national financier, installé par Mme Taubira, et dont on vit l’admirable impartialité, voici quelques mois, dans l’affaire Fillon.

    Là encore, Marine Le Pen a quelques raisons de douter de la parfaite neutralité de la justice.

    Soit dit en passant, cela ne signifie pas, comme les journalistes s’échinent à essayer de le faire dire à la présidente du RN, que le gouvernement aurait fait pression pour que cette décision ahurissante soit prise dans la torpeur de l’été.

    La couleur politique rouge vif des juges peut fort bien suffire à expliquer cette décision.

    Notons encore que cette décision n’est exigée par aucun impératif de sauvegarde financière.

    Le RN reçoit 4,5 millions d’euros par an de l’État. La justice aurait très bien pu saisir la somme hypothétiquement due après un jugement. De toute évidence, nous ne sommes pas ici dans le cas d’un trafiquant de drogue qui pourrait se sauver avec son « magot » avant que la justice n’ait fait son travail.

    Bref, tout porte à croire que cette décision est une décision de mise à mort de l’un des principaux partis d’opposition.

    D’après les dirigeants du parti, si rien n’est fait dans les deux mois qui viennent, soit pour suspendre cette saisie, soit pour assurer par d’autres moyens le financement du RN, ce dernier ne survivra pas à l’été. Il y a tout lieu de croire que ce soit bel et bien l’objectif de l’opération.

    Cela en dit long sur la conception de la démocratie des juges.

    Mais le problème est plus profond que ce que dit Mme Le Pen.

    Cette décision, manifestement inique, braque aussi les projecteurs sur les dangers du financement public de la vie politique. Il est malsain que les contribuables financent par leur impôt des partis qu’ils réprouvent. Et ce financement public, outre qu’il entraîne d’innombrables tentations de concussion en tout genre, est la porte ouverte à tous les arbitraires. Il faut revenir au financement des partis politiques par leurs adhérents et sympathisants.

    Guillaume de Thieulloy

    Tribune reprise de les4verites.com

    https://fr.novopress.info/211567/finances-du-rn-une-decision-inique-par-guillaume-de-thieulloy/

  • Immigration : Donald Trump donne une leçon à l’Europe

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    Les médias ont beaucoup parlé des pressions exercées par Donald Trump pour que les Alliés augmentent leur contribution financière au fonctionnement de l’OTAN. Ils ont moins évoqué sa mise en garde contre l’immigration. Le président des États-Unis a déclaré, dans une conférence de presse : « L’immigration est une chose très importante et je leur ai dit aujourd’hui, l’Union européenne, qu’ils feraient mieux de faire très attention, parce que l’immigration prend le dessus en Europe […] ». Il a rappelé qu’il a, en partie, remporté l’élection sur sa politique migratoire et a expliqué la victoire de la coalition italienne par ses prises de position fermes contre l’immigration. Peut-on lui reprocher d’avoir appelé l’Europe à la raison ?

    D’aucuns objecteront que cette mise en garde, dans la bouche de Donald Trump, n’a aucune valeur. Ils ajouteront qu’il est honteux de lier le succès électoral à la peur de l’immigration. C’est le reproche que subit, depuis des lustres, le Front National. Et, aujourd’hui Laurent Wauquiez, qui a repris ce thème pour répondre aux aspirations de son électorat et tenter de rallier ceux qui ont voté pour Marine Le Pen. Au demeurant, une majorité de Français se dit défavorable à l’accueil de migrants et jugent la politique du gouvernement trop laxiste.

    Il reste que Donald Trump, même s’il n’est pas dénué d’arrière-pensées, met le doigt là où ça fait mal. Ce n’est pas parce qu’elle est électoralement rentable que la dénonciation de l’immigration débridée n’est pas justifiée. Contrairement à ce que voudrait imposer la bien-pensance, en se parant de bons sentiments qui dissimulent des objectifs moins reluisants, un excès d’immigration nuit, non seulement aux intérêts des pays concernés, mais à leur identité même.

    Ils suffit de comparer les arguments des uns et des autres. Les premiers se gargarisent des mots de « solidarité » et de « fraternité », mais se servent cyniquement des migrants pour pallier leur déficit démographique et s’assurer une main-d’œuvre à bas coût. Ou bien, comme les internationalistes d’extrême-gauche, ils voient dans les immigrés une nouvelle classe d’exploités, qui pourrait servir leur rêve, toujours présent, du grand soir. À l’opposé, les seconds dénoncent une immigration sauvage, qui ne permet pas une bonne intégration et peut porter atteinte, par son volume, à l’identité de leur pays.

    Les immigrationnistes estiment que l’islam est une religion comme les autres – ce qui leur permet, au passage, de relativiser le christianisme –, reconnaissant, tout au plus, qu’« il y a une lecture radicale, agressive de l’islam, dont les principes n’obéissent pas à des mots d’ordre religieux ». Ce sont les mots d’Emmanuel Macron devant le Congrès. En mettant la religion musulmane sur le même plan que les autres religions, ils font preuve d’un coupable angélisme ou, pire, d’une ignorance des principes fondamentaux de l’islam, concernant aussi bien la supériorité des musulmans sur les mécréants que la condition de la femme.

    Quand on considère le mode de vie dans les pays où la charia fait loi, on comprend aisément que de plus en plus de Français ne veuillent pas que se multiplient sur leur sol les revendications communautaires d’une culture qui leur est totalement étrangère. Prétendre le contraire, c’est avoir un esprit munichois et refuser d’affronter la réalité.

    Non ! On ne peut reprocher au président des États-Unis d’appeler l’Europe à la raison. La seule chose qu’on puisse regretter, c’est qu’il n’y ait pas un président français pour tenir les mêmes propos !

    Philippe Kerlouan

    http://www.bvoltaire.fr/immigration-donald-trump-donne-une-lecon-a-leurope/

  • Fausse querelle : Wauquiez / Calmels

    Les partis ne sont que des instruments de pouvoir, de conquête ou de conservation. Macron a dû constituer le sien, fait de bric et de broc… La gauche n’arrive pas à se reconstituer. Les Républicains peuvent-ils y arriver avant les prochaines échéances ? Mais que veulent-ils ? Du rififi, pourquoi ? 

    Tempête à la tête de Les Républicains. Laurent Wauquiez, le président, vient de destituer la vice-présidente, Virginie Calmels, qui contestait sa ligne. Ce genre de prise de bec ne doit pas surprendre en un parti dépourvu d’unité et tiré à hue et à dia par ses ténors du moment.

    3315668519.jpg[Photo : Virginie Calmels, une vice-présidente qui se voyait en présidente]

    Sarko-fillonistes et juppéistes

    Les Républicains n’ont toujours pas comblé le fossé qui sépare, chez eux, les juppéistes et centristes de l’amalgame des sarkozystes et autres fillonistes. Les dévots de l’ancien président de la République et ceux du candidat torpillé de la présidentielle de 2017 se sont unis pour imposer Laurent Wauquiez, le quadra qui les représente. Mais les autres n’ont pas désarmé.

    En vérité, cette querelle au sein du parti n’est pas nouvelle. Dès juin 2017, trois jours seulement après le second tour des dernières législatives, douze députés LR, conduits par Thierry Solère et Frank Riester, constituaient, avec leurs seize collègues de l’UDI, le groupe des Républicains constructifs, devenu ensuite le groupe UDI Agir et Indépendants, actuellement présidé par Jean-Christophe Lagarde (UDI) et Frank Riester (passé des LR à Agir), et qui envisage de se constituer en parti politique à part entière. Et Valérie Pécresse, la présidente de la plus importante région de France, l’Île-de-France, mène une opposition acerbe contre l’actuel président des Républicains, en fondant son propre mouvement « Libres ! ».

    La prétendue droite dure de Laurent Wauquiez

    Quelle est la raison de cette querelle ? Ce serait, de prime abord, l’opposition entre une droite dite « dure » ou authentique, incarnée par Laurent Wauquiez, Éric Ciotti et autres, et une droite dite « modérée », selon ceux qui se veulent sages, « molle » suivant le point de vue de ceux qui comprennent que le fond de l’électorat de droite est exaspéré.

    Les commentateurs de la vie politique s’accordent à penser que Laurent Wauquiez a opéré le choix d’une droite dite « décomplexée », selon un qualificatif à la mode, et intransigeante. Il entendrait ressourcer la droite à ses valeurs fondatrices. Il se présente comme socialement et moralement conservateur et plutôt traditionnaliste. Il se veut patriote, « national ». Il réclame un État fort dans le cadre démocratique, naturellement, capable d’assurer l’ordre et de sauvegarder la sécurité et la tranquillité de nos compatriotes. En économie, il est libéral et conservateur. Depuis le début du quinquennat de Macron, il a critiqué la politique économique et sociale du gouvernement, qu’il estime ne pas être assez drastique. Il s’est prononcé en faveur du plafonnement de l’ensemble des minima sociaux à hauteur de 75% du SMIC, pour l’instauration d’un jour de carence dans les congés maladie et l’obligation, pour les allocataires du RSA, d’effectuer cinq heures hebdomadaires de travail.

    Européen, il voit dans l’euro la condition de la stabilité économique de la Communauté, mais reproche tout de même aux politiques monétaires rigoureuses de Bruxelles de compromettre gravement les possibilités d’investissement des entreprises. Enfin, il se prononce en faveur d’une politique migratoire autoritaire, et des mesures exceptionnelles pour lutter contre le terrorisme.

    Le libéralisme européen de Virginie Calmels

    La faction opposée – au sein même de LR –, représentée naguère par Juppé, Copé, Nathalie Kosciusko-Morizet, Xavier Bertrand et consorts, aujourd’hui par Virginie Calmels, campe sur une tout autre ligne : libéralisme économique soutenu étrangement par le jacobinisme administratif d’État, européisme délibéré misant tout sur la construction européenne,

    État minimal sur les prérogatives régaliennes, renoncement de fait aux fondements théoriques et aux « valeurs » morales de la droite, recherche effrénée d’un consensus éthique et politique entre droite modérée, centristes et ce qui reste de la gauche sociale-libérale ou sociale-démocrate, souplesse dans la limitation de l’immigration et la lutte contre le terrorisme. Elle pourrait reprendre à son compte le propos du non-regretté Michel Guy en son temps, lequel se disait « de droite pour l’économie, de gauche pour tout le reste ».

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    [Photo : La France prisonnière des institutions européennes dans lesquelles elle s’est fourvoyée.]

    Une stratégie purement politicienne

    Les divers camps ainsi présentés, il est certain que les intérêts français sembleraient mieux représentés et mieux défendus par Laurent Wauquiez président de LR et président de la région Auvergne-Rhône-Alpes.

    Sauf que les choses ne sont pas si simples, et qu’il convient d’y regarder à deux fois, voire plus. En réalité, les gesticulations, les propos véhéments, les déclarations provocantes – et même dites en catimini ou prétendument – et les professions de foi solennelles de Laurent Wauquiez ne sont que les éléments d’une stratégie politicienne visant à reconstituer autour de sa propre personne –pour laquelle il rêve d’un destin élyséen – un grand parti tory à la française capable de faire rentrer dans le rang les libéraux purs et les centristes, de mobiliser l’électorat autour d’un programme audacieux – du moins en apparence – et du sentiment d’attachement – apparent lui aussi – « aux valeurs » patriotiques, nationales et morales fondatrices de la droite, afin de reconquérir le terrain perdu au profit de Macron et de LREM lors des élections présidentielle et législatives de 2017, et de remporter celles de 2022, en récupérant une partie de l’électorat FN, maintenant RN.

    Il faut bien comprendre une spécificité française à quoi se réduit de plus en plus la Ve République : tout n’est plus que stratégie électorale autour de l’élection majeure qu’est la présidentielle. Il ne s’agit que de se constituer une base électorale en additionnant les divers courants, ce qu’a fait Macron… et ce que les futurs candidats veulent tous faire. D’où les effritements rapides et les déceptions !

    Dans notre république, plus que dans toutes les autres démocraties libérales, il en va de plus en plus ainsi : les idées ne sont que des slogans, des cris ou des formules de ralliement, des mots d’ordre, des arguments publicitaires, des éléments de propagande, au service de la conquête du pouvoir. Une fois cette conquête réalisée, elles perdent toute importance. Pire : naguère utiles, elles deviennent encombrantes et nocives à l’action et à la liberté de mouvement du ou des nouveaux maîtres du pouvoir. C’est ce qui s’est vu avec les exemples de Chirac, puis de Sarkozy et, sur le versant gauche, avec celui de Hollande.

    Wauquiez n’est que candidat

    En octobre dernier, Wauquiez a reproché à Macron de n’avoir pas « d’amour charnel pour la France ». Mais lui-même s’en montrera-t-il vraiment pourvu quand il sera le maître, s’il le devient ? Il a également reproché aux divers traités et textes européens d’ignorer délibérément « les racines judéo-chrétiennes de l’Europe » et même aux billets de banque de ne pas comporter d’effigies de quelques Européens illustres, de peur d’éveiller les sentiments patriotiques des peuples fédérés par la Communauté. Et même, une fois en fonction, pourrait-il quoi que ce soit, prisonnier qu’il serait, comme tous les autres, d’institutions dans lesquelles la France s’est fourvoyée. Au fond, le Royaume-Uni, l’Allemagne, l’Italie sont plus libres que la France et ne parlons pas de Donald Trump ! Et de Poutine ! Et de la Chine !

    Wauquiez a commis un tract, jugé « inutilement anxiogène » par les centristes LR et UDI, intitulé « Pour que la France reste la France », qui se présente comme un manifeste de défense de l’identité française contre une Europe phagocyteuse et face à une dérive socio-culturelle liée à la prévalence des idées subversives, d’une part, et à la pression d’une immigration sans contrôle, d’autre part. Eh bien, ses adversaires peuvent se rassurer : devenu Président de la République, Wauquiez a toute chance de guérir bien vite de son prurit identitaire ! Et il s’accordera sur « l’essentiel » avec la classe dirigeante française qui sera bientôt la seule en Europe à maintenir cette ligne européiste. Du reste, et honnêtement, peut-on être à la fois un Européen partisan convaincu de l’euro et un patriote soucieux du développement des entreprises françaises ? Non, le temps ne montre que trop que cette gageure relève de la quadrature du cercle.

    Ces remarques valent pour les autres notables des Républicains. Ainsi, Valérie Pécresse, catholique et pratiquante, naguère très engagée dans la défense des Chrétiens d’Orient et la lutte contre le prosélytisme islamique en France, soutien de Sarkozy, dont elle fut un ministre important, s’est ralliée en 2016 à Alain Juppé au moment des primaires de la droite. Du reste, elle appartient, depuis seize ans – un bail ! – à la très libérale French-American Foundation, organisation constituée pour renforcer les liens entre la France et les États-Unis. Vigoureusement opposée, en 2013, à la loi Taubira instituant le mariage pour tous, allant jusqu’à proposer non seulement d’abroger cette mesure mais de dissoudre les mariages homosexuels conclus durant sa période d’application, elle a changé d’avis, et s’est ralliée à cette innovation qu’elle contestait ouvertement, « tout simplement parce que j’ai réfléchi » – à son plan de carrière sans doute –, affirme-t-elle à qui veut l’entendre, et parce qu’elle estime un retour en arrière, en la matière, « impensable humainement » ! Laurent Wauquiez lui-même, affiche sa bonne entente avec Sens commun, mouvement hostile au mariage homosexuel et proche des Républicains. Arrivé au pouvoir, il pourra le renvoyer à la niche.

    Ne nous laissons donc pas abuser par les rodomontades et les surenchères démagogiques des uns comme des autres ; elles relèvent de la stratégie électorale, voire de la simple tactique. L’alternance au pouvoir dans le cadre des institutions actuelles, en France plus particulièrement, n’amène que des personnes qui, malgré leurs dires, ne peuvent avoir aucune conviction forte, aucun principe intangible, aucune idée précise, aucun programme défini. Un Patrick Buisson, un Philippe de Villiers, un Éric Zemmour, une Marion Maréchal l’ont parfaitement montré. Tous ces gens, mutuellement opposés à certains moments, se réconcilient ensuite sans peine, car, précisément, rien de sérieux ne les sépare et ils ont trop besoin les uns des autres, ne serait-ce que pour faire semblant de s’opposer.  

    Valérie Pécresse, girouette assumée, « parce qu’elle a réfléchi ». 

     Yves Morel

    Docteur ès-lettres, écrivain, spécialiste de l'histoire de l'enseignement en France, collaborateur de la Nouvelle Revue universelle 
  • L'homme à abattre !

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    Le CRAN appelle RTL à "exclure de son antenne Éric Zemmour après sa chronique qui a déplu à certains (il a dit tout haut ce que tout le monde pense tout bas !).

    De plus ce qu'il a dit est juste :

    Seules les sociétés homogènes comme le Japon, ayant refusé de longue date l'immigration de masse, échappent à cette violence de rue.

    Privée de ses frontières, la France renoue dans les villes, mais aussi dans les campagnes, avec les grandes razzias, les pillages d'autrefois.

    Les grandes invasions d'après la chute de Rome sont désormais remplacées par des bandes de Tchétchènes, de Roms, de Kosovars, de Maghrébins, d'Africains qui dévalisent, violentent dépouillent et pillent.

    DROIT DE RÉPONSE D'ÉRIC ZEMMOUR, SUITE A SA CONDAMNATION.

    "J'aurais, selon les magistrats, dépassé les limites autorisées du droit à la liberté d'expression. Je crois savoir ce qu'est la liberté d'expression", a poursuivi le journaliste, citant : Montaigne, Voltaire et Zola. "Mais je ne sais pas ce que sont les limites de la liberté d'expression à l'heure actuelle en France ; où se situent elles ? Qui les détermine ? Comment et au nom de quoi les fixe-t-on ?" Comme il vaut mieux parfois une poignée de chiffres plutôt que de longs discours, tout ce qui suit est vrai, mais à vous de juger !

    ALLEMAGNE

    - Plus de la moitié des actes violents des moins de 21 ans sont commis par des Arabes. Nous ne pouvons pas nous taire dit Angela Merkel, Chancelière allemande.

    NORVÈGE

    - 100% des viols qui ont donné lieu à une plainte en 2008 à Oslo l'ont été par des immigrés « non occidentaux », en majorité musulmans et africains noirs.

    Ils viennent de pays qui ont un regard sur la femme totalement différent de celui qui règne en Norvège. Ces viols s'accompagnent d'une violence très importante. (statistiques de la police). 

    SUISSE

    - Plus de 96% des détenus sont des étrangers, en grande majorité musulmans (statistiques fédérales Suisses).

    ESPAGNE

    - 89% des détenus sont musulmans.

    ITALiE

    - les chiffres et les faits sont incontestables, nous avons aujourd'hui en Italie plus de 55 000 détenus parmi lesquels plus de 52 000 étrangers, arabes et africains noirs.

    65 % d'entre eux sont mis en examens, mais seuls 35 % sont condamnés. 

    FRANCE

    - 88% des détenus sont de religion musulmane. Rappelons que pour avoir osé dire que la majorité des trafiquants est noire ou arabe, une réalité connue de tous, Eric Zemmour, journaliste, s'est fait condamner pénalement.

    La France, ce beau pays d'accueil où les Français n'ont même plus le droit de dire de tristes vérités... !

    Finalement, il ne fait pas bon dire la vérité en France, pour être à l'abri de la Justice, il faut être homme politique et mentir.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • I-Média n°209 – Les Bleus : équipe de France ou équipe africaine ?

    Les Bleus : équipe de France ou équipe africaine ?
    « Vive la France, la sixième équipe africaine du Mondial ». A l’occasion de la coupe du monde de football, la presse française et étrangère se réjouit des « origines migratoires » des joueurs de l’équipe de France.

    Le Zapping d’I-Média
    Russia Today répond au CSA : le gendarme français de l’audiovisuel reproche à la chaine d’information russe de ne pas avoir reflété avec fidélité dans sa traduction les propos de témoins syriens. La chaine d’information conteste tout traitement déséquilibré de l’information et reconnait une « erreur technique » : le texte prononcé par le doubleur avait bien été dit par les personnes interrogées mais ne correspondait pas au l’extrait passé en antenne.

    Bataille au parlement européen : droit d’auteur ou liberté d’expression ?
    La réforme du droit d’auteur au Parlement européen cristallise les tensions entre éditeurs de presse et de produits culturels d’un côté, partisans de la liberté sur internet de l’autre. Devinez quel camp a choisi la presse !

    Les tweets de la semaine
    « Devant quels programmes télés abandonner ses enfants cet été pour avoir la paix ». C’est le titre de l’article ubuesque publié par 20 minutes. Alors que toutes les études montrent les ravages causés par la télévision particulièrement chez les jeunes enfants, le journal gratuit insiste à « abandonner » ses enfants pour « avoir la paix ». Demain, peut-être, le journal titrera : « quel poison donner à ses enfants pour avoir la paix ? »

    Daphné Bürki reine de la boboïtude
    C’est une des animatrice les plus prisées du moment, enchainant les émissions et les plateaux bobos, portrait piquant de Daphné Bürki, la parisienne trentenaire tatouée et libérée.

    https://www.tvlibertes.com/2018/07/13/24271/i-media-n209-bleus-equipe-de-france-equipe-africaine