Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

anti-national - Page 628

  • En finir avec la censure idéologique des lois par le Conseil constitutionnel

    Conseil-constitutionnel2-droite-ligne.jpg

    Source Ligne Droite cliquez ici
    Parmi les contre-pouvoirs qui réduisent les prérogatives du gouvernement et du parlement, le Conseil constitutionnel est sans doute le plus puissant. Prévu à l’origine comme une instance aux compétences très limitées, il a progressivement étendu son champ d’intervention au point de contrôler toutes les lois, aussi bien d’ailleurs celles qui viennent d’être votées que celles qui sont entrées en application depuis longtemps. Pour rétablir la souveraineté du peuple, Ligne droite préconise donc d’instaurer une procédure d’appel des décisions du Conseil constitutionnel qui donne le dernier mot aux Français et à ses représentants. 

    Un Conseil constitutionnel de plus en plus puissant

    Au début de la Ve République, les neuf Sages se contentaient d’intervenir en application stricte des articles de la Constitution, lesquels portent exclusivement sur le fonctionnement des institutions de la République. Puis, en 1971, inventant la théorie du bloc de constitutionnalité, ils se sont autorisés à fonder leurs décisions sur les textes du préambule de la Constitution, lesquels énumèrent toute une série de principes d’ordre politique, comme ceux contenus par exemple dans la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen ou plus tard dans la Charte de l’environnement. Dès lors, les membres du Conseil constitutionnel ont pu prendre des décisions d’opportunité souvent parfaitement arbitraires car fondées sur l’interprétation qui est la leur de l’esprit des textes du préambule et même parfois sur des normes implicites ou non écrites.Dans le même temps, le droit de saisine, qui était à l’origine l’apanage du président de la République, du premier Ministre et des présidents des deux chambres du parlement, a été élargie en 1974 aux parlementaires pour peu qu’ils soient au nombre de soixante, ce qui autorise l’opposition à saisir le Conseil constitutionnel de tout projet de loi qu’elle conteste. Puis, avec la question prioritaire de constitutionnalité, la réforme de juillet 2008 a encore élargi la possibilité de saisine en offrant l’opportunité au simple citoyen d’en appeler au Conseil constitutionnel dans le cadre d’une procédure judiciaire.

    Une juridiction qui prétend protéger les Français contre eux-mêmes

    Ces évolutions renforçant le poids des neuf Sages ont été à chaque étape justifiées par la même argumentation : plus le Conseil constitutionnel a de pouvoir, plus il est facile de le saisir et plus les droits des Français sont protégés. Mais un tel raisonnement, cher aux tenants du Système et aux défenseurs de « l’état de droit », révèle en réalité la nature profondément malsaine de ce dispositif. Car de qui cette haute juridiction est-elle censée protéger les Français sinon du parlement, c’est-à-dire des représentants du peuple et donc du peuple lui-même ? Et l’on touche là au nœud du problème car, si le Conseil constitutionnel s’est arrogé la mission de protéger les Français contre eux-mêmes, cela veut dire qu’il les a placés sous tutelle et que le peuple n’est plus souverain.

    Un tribunal idéologique au service de la pensée unique

    Cette instance, qui n’existait pas sous la IVe République ni sous les républiques précédentes et qui est inspirée du droit anglo-saxon, a été favorisée par le Système qui voit en elle l’instrument idéal pour empêcher nos compatriotes et leurs représentants de s’écarter de la pensée unique. Aujourd’hui, le Conseil constitutionnel fonctionne en effet comme un tribunal idéologique qui censure les lois non politiquement correctes. Aussi cette haute juridiction compromet-elle la démocratie car, quel que soit le résultat des élections, quelle que soit la couleur politique des parlementaires élus, les lois qui pourront entrer en vigueur seront nécessairement conformes à la pensée unique définie par le Système. C’est là que réside l’une des causes principales du mauvais fonctionnement de la démocratie dans notre pays. La politique y est en effet désormais dominée par des juges nommés qui ont mis sous leur tutelle les députés et les sénateurs pourtant élus par le peuple. En France, aujourd’hui, l’équilibre des pouvoirs est rompu et le gouvernement des juges l’emporte sur le gouvernement légal.

    Une réforme pour donner le dernier mot au peuple français

    Pour Ligne droite, cette configuration, à la fois illégitime et dangereuse, doit être corrigée au plus vite. Aussi est-il nécessaire de lancer une réforme constitutionnelle pour instaurer un droit de recours des décisions du Conseil constitutionnel concernant les textes législatifs. L’idée est de donner au président de la République le droit de faire appel de ces décisions et de soumettre le texte incriminé soit à l’Assemblée nationale pour un vote définitif soit au peuple par l’intermédiaire d’un référendum. Dans tous les cas, le dernier mot reviendrait à nouveau aux Français ou à leurs représentants élus. Une telle réforme est essentielle, car, si la souveraineté du peuple n’est pas ainsi rétablie, la France ne sortira pas du politiquement correct et continuera de décliner.
  • Aquarius : à peine débarqués, des migrants victimes de viol instrumentalisés par la gauche

    006eb6d8-6e40-11e8-b428-a41bb8577be9_Spain_Europe_Migrants_75065jpg-e500d_1528793929-kIID-U1110133992994066C-1024x576@LaStampa.it_-845x475.jpg

    France Info pense avoir trouvé le moyen imparable de clouer le bec à ceux qui disent, partout en Europe, que la solution aux problèmes de l’Afrique n’est certainement pas l’émigration organisée, dans des conditions douteuses, d’une grande partie de sa population vers l’Europe, une Europe par ailleurs incapable d’assurer sans heurt l’intégration des millions d’immigrés précédents, comme le montre le développement des communautarismes. Jeudi, elle a diffusé un témoignage choc de l’un des migrants de l’Aquarius révélant des pratiques barbares de viols sur les femmes et les hommes en Libye. Les mots sont crus, les réalités horribles.

    « En plein désert, ils nous ont rattrapés. [Notre guide] a subi des abus. Ils l’ont sodomisé à tour de rôle. Ce n’était pas beau à voir. Ils prennent des comprimés pour booster leur libido, pour faire du mal. Ils vont vous détruire au maximum. »

    France Info présente ce témoignage ainsi dans son titre : « Un rescapé de l’Aquarius brise le tabou des viols sur des hommes en Libye. »

    Plusieurs remarques s’imposent.

    D’abord, cette réalité n’est plus un tabou depuis qu’il y a un an, un reportage l’avait déjà mis en lumière. Oui, les passeurs africains et musulmans de Libye se comportent en véritables bourreaux et esclavagistes sanguinaires vis-à-vis des migrants provenant d’Afrique noire. La documentariste Cécile Allegra avait établi, dans son enquête, que la pratique systématique du viol fut d’abord le fait des milices sous Kadhafi, avant d’être ensuite utilisée par ces passeurs. On est donc stupéfait qu’à aucun moment, devant ce témoignage, personne ne pose la question du « ils », des responsables. Comme si cela gênait.

    Ensuite, cette réalité, loin d’inciter à la complaisance pour ces migrations dans lesquelles les ONG de l’Aquarius ne sont que le maillon d’une triste chaîne, devrait au contraire pousser nos gouvernants, au lieu de se démener tous les deux jours pour savoir où vont débarquer les Aquarius, à aller vraiment mettre de l’ordre en Libye. Où en est le projet mirobolant des « hot spots » qu’Emmanuel Macron nous avait vendu il y a un an ?

    Enfin, il serait bon que toutes les bonnes âmes qui veulent nous faire avaler leur politique migratoire à coups d’émotions aient aussi la même émotion, la même réactivité et le même militantisme quand il s’agit de femmes – ou d’hommes – européens qui sont agressés sexuellement, comme ce fut le cas à Cologne, par des hommes maghrébins, le 31 décembre 2015, et régulièrement depuis lors, par des migrants. Si je me souviens bien, il avait fallu plusieurs jours aux médias français pour commencer à s’intéresser à la parole des femmes agressées de Cologne. Dans les deux cas, il s’agit de viols et au minimum d’agressions sexuelles odieuses. La différence de traitement n’en est que plus scandaleuse.

    La gauche ne parvenant plus à nous vendre sa politique migratoire par la raison ne compte plus que sur l’émotion. Sauf que cette émotion, sélective et univoque, respire l’instrumentalisation grossière et ne persuade plus que les convaincus.

    Il faut cesser de pleurer sur les victimes – et, surtout, davantage sur les unes que sur les autres –, voir plus loin que le bout de son émotion et enfin s’attaquer aux responsables et aux causes. Mais là, pas certain que la gauche veuille regarder la réalité en face.

    Frédéric Sirgant

    http://www.bvoltaire.fr/aquarius-a-peine-debarques-des-migrants-victimes-de-viol-instrumentalises-par-la-gauche/

  • La Terre « serre brûlante », nouveau mantra du terrorisme climatique pour imposer la tyrannie de la gouvernance globale

    Terre serre brulante terreur climatique tyrannie mondialeQuoi de mieux qu’une bonne dose de terreur climatique pour imposer la tyrannique gouvernance mondiale ? Devant le scepticisme croissant que soulèvent leurs théories apocalyptiques, les climato-alarmistes ont fourbi un nouveau concept d’ébullition liée à l’activité humaine : celui de Terre « serre brûlante ». Mais en fait, rien de nouveau sous le soleil. Il s’agit de recycler la propagande destinée à justifier cette « gouvernance mondiale », jacobinisme hyper-centralisateur et obtusément techno-marchand à l’échelle de la planète. Un système piétinant tout principe de subsidiarité, dans lequel les « experts » globaux, ivres de leur rationalisme délirant, organiseraient tous les détails de la vie des hommes sans le moindre contrôle des populations. Comment un corps social de sept milliards d’humains pourrait-il maîtriser ces « élites » autoproclamées ?

    Lire la suite

  • Le FMI de Christine Lagarde prône 5,5 millions d’immigrés de plus en Espagne, le ministre Josep Borrell veut « un sang nouveau »

    Espagne immigrés FMI Christine Lagarde Josep Borrell
     L’Espagne du président du conseil socialiste archi-minoritaire Pedro Sanchez, non contente d’ouvrir ses frontières à l’immigration à dominante islamique, doit accueillir plus de cinq millions de nouveaux immigrés au cours des prochaines décennies, vient de stipuler le Fonds monétaire international. Ce chiffre est obtenu, par l’entité financière globaliste, à partir d’un calcul des besoins du système des retraites. Equilibres culturels, conflits religieux, poids financier d’une immigration sous-qualifiée et largement inassimilable, intrusion des robots : de cela le FMI de Christine Lagarde évidemment ne veut pas entendre parler. Son raisonnement biaisé vient étayer le stupéfiant appel, lancé par le ministre des Affaires étrangères espagnol Josep Borrell, à régénérer l’Espagne par un « sang nouveau ».

    Lire la suite

  • Immigration : Les masques tombent – Journal du Jeudi 16 Août 2018

    1) Immigration / Les masques tombent

    C’est l’été de toutes les vérités pour l’immigration. Alors que l’Aquarius, le bateau de l’association immigrationniste SOS Méditerranée, prouve une nouvelle fois qu’il sert ni plus ni moins de passeur aux clandestins, les nouveaux axes migratoires dirigés sur l’Espagne socialiste met à mal la prétendue spontanéité des exils.

    2) Société / Les dangers des  routes françaises.

    La catastrophe de Gênes réveille les craintes françaises. Alors que le gouvernement a fait passer la limitation de vitesse à 80 km/h sur les axes secondaires, les routes françaises accusent un manque criant d’entretien. L’état des voies routières en France n’a peut-être rien à envier à l’Italie.

    3) International / La Turquie dans la crise

    4) L’actualité en bref

    Pour ceux qui n’arrivent pas à lire cette vidéo, regardez là sur RuTube (juste après)

     
  • Les immigrés mineurs isolés : qui sont-ils ?

    Lu sur Medscape :

    "Selon le rapport du Sénat datant de juin 2017, ce sont essentiellement des garçons (95%), en fin d’adolescence (les deux tiers ont plus de 16 ans) arrivant majoritairement d’Afrique. Les principaux pays d’origine sont ceux d’Afrique sub-saharienne (Mali, Guinée, Côte d’Ivoire, Cameroun, RDC, Nigéria) mais les mineurs isolés sont également originaires d’Afghanistan, du Pakistan, du Bangladesh, d’Erythrée, du Soudan, d’Angola, de Syrie et d’Europe de l’Est. Le choix de la France comme destination repose en partie sur une langue et une culture commune. C’est souvent le cas pour les mineurs isolés étrangers originaires d’Afrique francophone.

    Leur profil diffère sensiblement de celui des migrants adultes :beaucoup sont « mandatés » par leur famille, leur parcours « est bien souvent organisé par des filières » et ils cherchent plus des « opportunités économiques » que l’asile, affirme le rapport du Sénat.

    En 2010, en France, le nombre de mineurs migrants confiés aux départements était de 4000. En 2016, leur nombre a augmenté de 85% pour dépasser 25 000 jeunes pris en charge. Certaines évaluations parlent même de près de 50 000 jeunes migrants arrivés depuis 2017 sur le territoire.

    A savoir : Le mineur, contrairement à l’adulte, n’a pas à justifier d’un titre de séjour en France, donc ne peut pas être expulsé, reconduit à la frontière ou placé en rétention."

    Ceux qui accueillent de façon aveugle les mineurs étrangers doivent savoir qu'ils ne sont que de hameçons pour favoriser l'immigration de peuplement.

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2018/08/les-immigr%C3%A9s-mineurs-isol%C3%A9s-qui-sont-ils-.html

  • Qu’est-ce qu’un envahisseur ?

    images.jpg

    Bernard Plouvier

    Dans l’imaginaire collectif d’Européens trop sensibles aux fééries hollywoodiennes - tellement schématiques en matière d’histoire qu’elles ne sont que caricatures -, l’invasion est une affaire sanglante, « pleine de bruit et de fureur », de viols et de rapts, de pillages et d’incendies.

    Il est exact que l’invasion des hordes d’Attila fut en grande partie cela, et bien davantage encore la déferlante mahométane en Ibérie, en Aquitaine et dans toute la moitié sud de la France ou en Italie méridionale. Puis la barbarie mongole s’abattit sur l’Europe orientale et centrale, et la turque en terres danubiennes. Tout ce la fut sanglant, raciste et ignoble, nul ne le conteste.

    L’actualité, en Europe occidentale et scandinave, prouve la persistance et la vivacité de ce type de comportement chez nombre de sauvageons africains, et leurs confrères proches et moyen-orientaux. Si les attentats individuels et collectifs ne défraient la chronique que de façon mensuelle, le vandalisme dirigé contre les installations publiques, les lieux de culte chrétien, les propriétés privées est affaire quotidienne, comme le sont les actes de racket, les vols, les viols et les agressions physiques… et si l’on en venait à dénombrer les manifestations verbales de racisme anti-Blancs, l’on devrait compter en secondes. Tout cela est bien connu – sauf de la presse gaucho-socialo-friquée.

    Il est une autre forme d’invasion, moins spectaculaire dans ses manifestations, mais infiniment plus pernicieuse : celle de la mendicité et du service rendu ou soi-disant tel. « Le Barbare peut franchir la frontière en suppliant ou en auxiliaire aussi bien qu’en agresseur… Il use de la prière ou du service plus souvent que de la violence » (Joseph Calmette, in Le monde féodal, 1934).

    Il est de fait que les Germains se sont initialement implantés dans l’Empire romain d’Occident comme auxiliaires ou comme réfugiés repoussés par les Slaves puis par les Huns. Ils ont d’ailleurs remarquablement aidé les Gallo-Romains à écraser l’envahisseur hunnique au Vesiècle. En outre, même lorsqu’ils se comportaient en pillards, ils régénéraient les populations occidentales par un fort utile apport génétique : on restait au sein de la même race continentale, l’européenne.

    De nos jours, le spectacle des réfugiés africano-asiatiques, chassés de chez eux par la barbarie islamique ou les jeux pervers des dirigeants US, est indéniablement pitoyable. Seulement, après avoir nourri et formé à un métier utile ces extra-Européens, n’avons-nous pas le devoir de les rendre à leurs continents d’origine, pour que ces ex-réfugiés, secourus et convertis à la technicité occidentale, civilisent leurs Nations d’origine ?

    Les agents de désinformation clament l’intérêt de la mixité des races et des civilisations pour assurer l’avenir de notre Europe, en complet désaccord avec les faits observés dans les pays multiraciaux : USA, Mexique, Brésil, pour prendre quelques exemples simples où fleurit la violence interraciale de façon quotidienne. On peut prendre ces bêlements de propagande pour ce qu’ils sont : la soumission aux intérêts de la grande distribution.

    De fait, les mêmes immigrés-réfugiés-envahisseurs consommeraient infiniment moins s’ils étaient restés chez eux. Accueillis par des États occidentaux, ils jouissent d’une multitude de lois à caractère social (même les immigrés clandestins ont droit à une allocation spécifique en France), en plus d’usages, pas toujours conformes à la loi, des organismes publics locorégionaux, enfin de dons issus de la charité privée. Pourquoi retourneraient-ils dans leurs gourbis insalubres alors qu’ils bénéficient de jouissances matérielles infiniment plus grandes que dans leur continent d’origine et contre un travail nettement moins harassant, voire pas de travail du tout ?     

    Or une question simple se pose. Qu’ont-ils à donner en contrepartie de tout ce que nous leur offrons ? De façon trop fréquente, ils nous font présent de rejetons peu doués, souvent délinquants, presque jamais courtois, en sus d’une religion conquérante, aux usages médiévaux adaptés à des continents où la rudesse et une conception très particulière des rythmes de travail sont opposées aux nôtres. L’esclavage et l’intolérance religieuse qui devient facilement meurtrière, le mépris intégral de la femme : de tout cela nous n’avons guère besoin.

    Les empires hellénistique et romain ont tenté d’amalgamer l’Afrique du Nord et le Proche-Orient à l’Europe - du moins celle qui était étendue de l’Atlantique et de la Méditerranée au Rhin et au Danube -, et cela fut un échec intégral.

    Pourquoi voudrait-on récidiver dans l’erreur ? Si c’est pour satisfaire l’esprit de lucre des très curieux « humanistes » de Wall Street, de la City londonienne et des multinationales, ou pour communier à la niaiserie, plus ou moins intéressée, des affairistes (souvent repris de justice) du Charity business, d’un pape étonnant et de politicien(ne)s toqué(e)s, ce n’est peut-être pas nécessaire.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • La tiers-mondisation de la France est en marche

    tiers-mondisation-france-en-marche-588x330.jpg

    Par Nicolas Faure, entrepreneur  Deux rappeurs qui se battent dans un aéroport en ravageant un magasin et en retardant des dizaines de vol. La Gare Montparnasse qui ferme durant le week-end le plus chargé de l’année à cause d’un incendie dans un transformateur. Adrien Perez poignardé à mort par deux extra-européens ultra-agressifs alors qu’il tentait de porter secours à un ami. Alexandre Benalla, racaille mal dégrossie, possédant un pouvoir absolument inimaginable. Une femme violée par le conducteur d’une voiture avec laquelle elle effectuait un constat.
    L’actualité récente nous le démontre de manière éclatante : la tiers-mondisation de la France est en marche !

    Les racailles au pouvoir

    Benalla, une racaille avec les pleins pouvoirs

    Le pouvoir semble aujourd’hui faire la part belle aux racailles en tous genres.

    De manière évidente, l’affaire Benalla en est l’illustration la plus claire. Imaginez qu’Emmanuel Macron a donné à cet homme un pouvoir quasiment sans limite, alors même que celui-ci est incapable d’envoyer une simple lettre de motivation sans faire de très nombreuses fautes basiques comme nous l’apprend Valeurs Actuelles !

    C’est donc une racaille au niveau intellectuel moyen qui a obtenu des avantages incroyables de la part du personnage le plus puissant de la nation française ! Pire, une fois en position de force, Alexandre Benalla a continué à agir comme une vulgaire racaille de cité. Il a ainsi laissé libre cours à ses bas instincts violents en agressant des manifestants. Par ailleurs, il n’a pas hésité à rabrouer publiquement des policiers ou des gendarmes largement plus expérimentés et plus valeureux que lui, ce qui a d’ailleurs sans doute provoqué sa chute.

    En fait, Alexandre Benalla a été jusqu’au bout le symbole de cette tiers-mondisation rampante et insoutenable de la France. Incapable, odieux, agressif et imbu de lui-même, Alexandre Benalla est l’exemple même de la racaille promue par Emmanuel Macron.

    Avec une question lancinante sur toutes les lèvres : comment Macron, qui n’est lui pas précisément un complet imbécile, a pu donner de tels pouvoirs à Benalla ?

    Des racailles pour exemples

    Mais le pouvoir n’est pas que politique. Il est également culturel. Et, là aussi, la racaille est en pôle position. La musique qui se vend le plus en France, celle qui supplante peu à peu toutes les autres, c’est le rap ! Et le plus célèbre des représentants de cette musique particulièrement appréciée des jeunes français, c’est « Booba », Elie Yaffa de son vrai nom.

    Et celui-ci s’est particulièrement illustré récemment en affrontant son rival, lui aussi extra-européen, Kaaris , de son vrai nom Okou Armand Gnakouri. Les deux rappeurs, auparavant amis, se détestaient depuis plusieurs années. Une rivalité qui a trouvé sa conclusion dans un hall de l’aéroport d’Orly. Les images de la bagarre entre les deux rappeurs et leur bande d’amis violents ont fait le tour du web.

    Ces deux multi-millionnaires, adulés par les jeunes Français, ont donc décidé de ravager un magasin et de provoquer la fermeture d’une aile entière de l’aéroport pour régler leur différend.

    La France en voie avancée de tiers-mondisation

    Agressions sordides

    Adrien Perez est, comme Marin, un symbole. Celui de cette jeunesse européenne qui peut tomber sous les coups d’une autre jeunesse, extra-européenne celle-là, pour les motifs les plus futiles qui soient. En l’occurrence, Adrien Perez est mort en héros, en portant secours à un ami, violemment agressé par deux frères qui avaient déjà importuné le groupe d’amis à l’intérieur de la boite de nuit dans laquelle ils se trouvaient.
    Pour beaucoup de jeunes « de souche », cette scène n’est pas anodine. Elle résonne extrêmement fort avec leurs propres expériences en boite ou en bar de nuit. Il est aujourd’hui banal de voir des équipes de racailles, même dans des lieux encore préservés il y a quelques années.

    La tiers-mondisation de la France, c’est avant tout cette multiplication des agressions violentes, des rixes mortelles, des assassinats sauvages, des conflits ethniques. Qu’il s’agisse de l’assassinat d’Adrien Perez ou bien de l’égorgement d’un homme dans un bus parisien, l’actualité ne ment pas : la France sombre peu à peu dans un ensauvagement qui semble n’avoir aucune limite.

    Les infrastructures survivront-elles longtemps ?

    De même, la France semble irrémédiablement condamnée à voir péricliter ses infrastructures sous la pression – directe ou indirecte – de l’immigration extra-européenne. Qu’il s’agisse des rappels incessants – et vains – à la propreté dans les zones où la racaille prolifère ou bien du coût du maintien de certaines infrastructures handicapés indirectement par les dépenses liées à l’immigration, la tiers-mondisation de la France semble irréversible si rien n’est fait pour l’éviter.

    L’exemple de l’incendie du transformateur ayant entraîné la fermeture de la gare Montparnasse pendant plusieurs jours est un exemple de ces problèmes. Comment imaginer qu’une gare accueillant près de 54 millions de voyageurs par an puisse être touchée par un problème, certes important, sans solutions alternatives ou résolution rapide ?

    Pour contre la tiers-mondisation de la France, il est impératif d’agir rapidement. Et surtout, il est fondamental de bien faire comprendre aux Français – et aux Européens – que ne pas transformer sa nation en pays du tiers-monde, c’est déjà commencer par cesser d’importer le tiers-monde sur son sol.

    Nicolas Faure  15/08/2018

    Source : Correspondance Polémia

    Crédit photo : Township sud-africain, par Diriye Amey [CC BY 2.0], via Wikimedia Commons

    https://www.polemia.com/tiers-mondisation-france-en-marche/

  • La France, 2e destination mondiale pour les immigrés

    immigration-massive-100x75.png

    Quand on dresse la liste de chaque pays qui est le lieu d’immigration privilégiée d’autre pays, on voit que la France est en 2e position, a égalité avec la Russie mais loin derrière les Etats-Unis et devant l’Allemagne. A noter que le Japon n’est en tête dans aucun pays du monde, ce qui est logique puisque ce pays ferme ses frontières.

    Etats-Unis (30) : Allemagne, Arabie Saoudite, Bahamas, Bélize, Brésil, Canada, Corée du Sud, Costa Rica, Cuba, Equateur, Ethiopie, Guatemala, Guyana, Haïti, Honduras, Iran, Israël, Jamaïque, Japon, Liban, Mexique, Nigeria, Pérou, Philippines, Salvador, Suède, Thaïlande, Trinité & Tobago, Venezuela, Vietnam.

    France (13) : Algérie, Andorre, Belgique, Cameroun, Congo, Djibouti, Espagne, Gabon, Madagascar, Maroc, Portugal, Sénégal et Tunisie.

    Russie (13) : Arménie, Azerbaïdjan, Belarus, Estonie, Géorgie, Kazakhstan, Kirghizistan, Lituanie, Moldavie, Ouzbékistan, Tadjikistan, Turkménistan et Ukraine.

    Allemagne (10) : Autriche, Croatie, Grèce, Hongrie, Italie, Macédoine du Nord, Pologne, Serbie, Tchéquie et Turquie.

    Afrique du Sud (7) : Botswana, Lesotho, Mozambique, Namibie, Swaziland, Zambie et Zimbabwe.

    Arabie Saoudite (7) : Chypre, Egypte, Jordanie, Koweït, Pakistan, Syrie et Yémen.

    Royaume-Uni (5) : Afrique du Sud, Australie, Irlande, Kenya, Lettonie

    Argentine (4) : Bolivie, Chili, Paraguay et Uruguay.

    Australie (4) : Fidji, Nouvelle-Zélande, Papouasie-Nouvelle-Guinée et Royaume-Uni

    Portugal (4) : Angola, Cap Vert, Guinée Bissau et Sao Tome & Principe.

    Côte d’Ivoire (3) : Burina Faso, Guinée et Mali.

    Emirats Arabes Unis (3) : Inde, Oman et Qatar.

    Espagne (3) : Argentine, France et Gambie.

    Inde (3) : Bangladesh, Népal et Sri Lanka.

    Italie (3) : Roumanie, San Marin et Suisse.

    Nigeria (3) : Bénin, Ghana et Niger.

    Suède (3) : Danemark, Finlande et Norvège.

    Thaïlande (3) : Cambodge, Laos et Myanmar.

    Croatie (2) : Bosnie-Herzégovine et Slovénie

    Congo (2) : République Démocratique du Congo et Rwanda

    Danemark (2) : Groenland, Islande.

    Guinée (2) : Liberia et Sierra Leone.

    Kenya (2) : Ouganda et Somalie.

    Serbie (2) : Kossovo et Monténégro.

    Tchad (2) : Centrafrique, Soudan du Sud.

    Algérie : Sahara Occidental.

    Bangladesh : Libye.

    Belgique : Pays-Bas.

    Burkina Faso : Côte d’Ivoire.

    Corée du Sud : Mongolie.

    Gabon : Guinée Equatoriale.

    Ghana : Togo.

    Grèce : Albanie.

    Hong-Kong : Chine.

    Jordanie : Palestine.

    Kazakhstan : Corée du Nord.

    Koweït : Emirats Arabes Unis.

    Malaisie : Indonésie.

    Mexique : Etats-Unis.

    Népal : Bhoutan.

    Pays-Bas : Surinam.

    Pakistan : Afghanistan.

    Rwanda : Tanzanie.

    Sénégal : Mauritanie.

    Singapour : Malaisie.

    Soudan : Erythrée.

    Soudan du Sud : Soudan.

    Syrie : Irak.

    Tchéquie : Slovaquie.

    Turquie : Bulgarie.

    Ukraine : Russie.

    Venezuela : Colombie.

    Zimbabwe : Malawi.

    Pays inconnus : Burundi, Luxembourg, Taïwan, Timor oriental.

    A noter qu’il existe quelques « paires » de pays (première place mutuelle) pour les immigrés) : France-Espagne, Etats-Unis-Mexique, Russie-Ukraine, Royaume-Uni-Australie).

    Hristo XIEP

    http://www.medias-presse.info/la-france-2e-destination-mondiale-pour-les-immigres/96622/

  • Mathieu Bock-Côté : « L'occupation touristique planétaire est une dépossession »

    1494583660.jpg

    Le Mont Saint-Michel rongé par les masses de touristes

    Mathieu Bock-Côté s'alarme des méfaits du tourisme de masse qui produit une véritable dénaturation tant du voyage lui-même que des villes et des pays visités, en réalité à la manière d'un flot invasif. [Le Figaro, 10.08]. Peut-on « espérer que le tourisme se civilise après s'être démocratisé. » Force est de constater que nous n'en prenons pas le chemin. Il faudrait, nous semble-t-il, que l'ensemble de l'édifice social se recivilise après s'être démocratisé...  LFAR

    D'une année à l'autre, la belle saison confirme le statut de la France comme première destination touristique mondiale. On a d'abord tendance à s'en réjouir : n'est-ce pas le plus beau compliment que le monde puisse lui adresser ? On se rue vers elle pour admirer l'incroyable travail des siècles sur un territoire modelé par l'homme, qui a su à la fois fonder villes et villages, élever des cathédrales et dessiner des paysages. Si l'Amérique fascine spontanément qui veut contempler la nature sauvage et les grands espaces, l'Europe attire ceux qui s'émeuvent à bon droit de l'empreinte humaine sur la planète. S'ajoutent à cela des considérations prosaïques élémentaires : le tourisme est une industrie extrêmement lucrative. Qui serait assez bête pour se désoler de son expansion et des milliards qui l'accompagnent ?

    295210242.jpgMais on se désenvoûte assez rapidement de ce beau récit pour peu qu'on pense le tourisme de masse non plus seulement comme une opportunité économique mais comme un phénomène politique. D'ailleurs, dans La Carte et le territoire, Michel Houellebecq s'était déjà inquiété de ce qu'on pourrait appeler le devenir touristique de l'Europe, soit celui d'une civilisation s'offrant à l'humanité comme parc d'attractions, comme si elle n'avait plus que des vestiges monumentaux mais vidés de toute sève à présenter au monde. En se réinventant par sa promotion du tourisme de masse, elle consentirait à sa muséification définitive. Elle ne serait plus qu'un décor déshabité, témoignant d'une gloire passée qu'il ne viendrait à personne l'idée de restaurer. La gloire témoigne de temps tragiques et nous souhaitons plus que tout habiter une époque aseptisée.

    La logique du circuit touristique planétaire est facile à reconstruire. Lorsque le système du tourisme mondialisé happe un lieu, celui-ci est progressivement vidé de sa population, comme s'il fallait effacer une présence humaine résiduelle, datant de l'époque où la ville était d'abord habitée avant d'être visitée. Les derniers résidents sont de trop, sauf s'ils savent se plier à la nouvelle vocation du lieu.

    Globalement, les habitants seront remplacés par des employés convertis à la logique du capital mondialisé qui sont souvent d'ailleurs habitués à tourner dans son circuit. La population locale en vient même à reconnaître implicitement un statut d'extraterritorialité symbolique aux lieux sous occupation touristique. Elle devient elle-même touriste en son propre pays lorsqu'elle fréquente ces lieux.

    Sans surprise, ce sont les plus beaux quartiers qui sont ainsi arrachés de la ville où ils ont été construits pour accueillir les touristes qu'on peut se représenter comme l'armée de la mondialisation, qui partout, impose ses codes. C'est peut-être une figure nouvelle du colonialisme. Paradoxe : d'un côté, la ville vidée de son peuple est invitée à conserver ce qui la caractérise, à la manière d'un folklore pour ceux qui sont en quête d'authenticité, mais de l'autre, elle doit offrir les mêmes facilités et les mêmes enseignes qu'on trouve partout sur la planète, du magasin de luxe au Starbucks. Il ne faudrait surtout pas que le touriste se sente trop loin de chez lui. S'il égrène fièrement les destinations où il est passé, il ne cherche la plupart du temps qu'un dépaysement soft. S'il était vraiment ailleurs, ce serait probablement pour lui l'enfer. Le moderne vante les mérites de l'autre mais ne le voit jamais qu'à la manière d'une copie du même.

    C'est bien une dynamique de dépossession qui caractérise le tourisme de masse. Et ses ravages sont indéniables. Des masses humaines se jettent à un pas rythmé par les chansons mondialisées à la mode sur des destinations choisies et en viennent à les défigurer complètement. Elles n'ont souvent qu'un objectif: « immortaliser » leur passage avec un selfie destiné aux réseaux sociaux, au point même où la première chose qu'on croise aujourd'hui en voyage, ce sont d'exaspérants badauds qui se prennent en photo. Devant cette sauvagerie molle et souriante, certains en appellent à une résistance politique. On apprenait ainsi récemment que Venise, Barcelone, Dubrovnik ou Santorin cherchent activement des mesures pour contenir le flot humain qui les engloutira. Une chose est certaine : si le monde entier devient une destination touristique, plus personne ne sera chez lui et tout le monde sera chassé de chez soi.

    On voit là comment le système de la mondialisation s'empare du monde. On a beaucoup parlé ces dernières années du concept de France périphérique, formulé par Christophe Guilluy, qui sert à désigner les populations laissées de côté par la mondialisation. On pourrait en élargir la signification en parlant plus simplement des populations qui sont refoulées non seulement territorialement mais symboliquement à l'extérieur du système de la performance mondialisée parce qu'elles ne sont pas suffisamment adaptables, mobiles et interchangeables. On les juge mal préparées aux règles du nouveau monde de la mobilité maximale. Ce sont des populations retardataires, attachées à un lieu, une langue et peut-être même une tradition. Un tel enracinement ne se pardonne pas. On ne saurait jamais, sous aucun prétexte, être en décalage avec les exigences de ce qui passe pour la modernité.

    Ici et là, la critique du tourisme de masse se fait heureusement entendre, même si elle peut aussi devenir agaçante. On brandit facilement, en prenant la pose dandy, une éthique du voyageur qui saurait se glisser subtilement dans la ville, en laissant entendre que le voyage devrait être le privilège exclusif du petit nombre. Mais ce réflexe aristocratique porte une leçon intéressante. Le génie du voyageur authentique tient moins dans la consommation des destinations recherchées où il vivra des expériences préformatées que dans sa capacité à habiter plus d'un endroit dans le monde, en y développant ses habitudes, ce qui implique de prendre le temps de se familiariser avec les mœurs locales. Il n'est pas interdit d'espérer que le tourisme se civilise après s'être démocratisé et que les hommes se rappellent que le monde n'a pas pour vocation à se plier aux désirs de ceux qui fardent leur pulsion de conquête en sophistication cosmopolite.   

    Mathieu Bock-Côté        

    4047151000.jpgMathieu Bock-Côté est docteur en sociologie, chargé de cours aux HEC à Montréal et chroniqueur au Journal de Montréal et à Radio-Canada. Ses travaux portent principalement sur le multiculturalisme, les mutations de la démocratie contemporaine et la question nationale québécoise. Il est l'auteur d'Exercices politiques (éd. VLB, 2013), de Fin de cycle: aux origines du malaise politique québécois (éd. Boréal, 2012) et de La dénationalisation tranquille (éd. Boréal, 2007). Son dernier livre, Le multiculturalisme comme religion politiquevient de paraître aux éditions du Cerf [2016].

    Sur le même sujet lire aussi dans Lafautearousseau ... 

    Marin de Viry : « Comment le tourisme de masse a tué le voyage »

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/