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anti-national - Page 622

  • Placement en garde à vue : la chute de l’astre Solère

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    Dans le tempo médiatique, une information chasse l’autre surtout au regard de l’omniprésence de nos champions squattant, à juste titre mondial, les unes, au gré des montées dans l’avion, des descentes du bus et autres informations de premier ordre. Dans ce contexte estival, une dépêche vous a certainement échappé s’agissant du placement en garde à vue de l’ancien espoir de la droite molle, Thierry Solère.

    S’autoproclamant père la vertu face aux déboires de François Fillon pendant la campagne présidentielle, notre justiciable est maintenant dans de beaux draps. Jugez-en par vous-même à la lecture des faits qu’ils lui sont reprochés. En plus d’avoir manqué « aux obligations déclaratives auprès de la Haute autorité pour la transparence de la vie publique », il est soupçonné de fraude fiscale élargie à « trafic d’influence, corruption, abus de biens sociaux et financement illicite de dépenses électorales » comme le souligne Le Figaro. Ça fait tâche dans le CV de celui qui, en l’espace de quelques mois, ne jurait que par Bruno Le Maire puis par François Fillon puis par Alain Juppé puis par Emmanuel Macron, non ?

    Ne hurlons pas avec les loups mais il est jubilatoire pour ne pas dire pathétique de constater que l’ancien porte-parole du candidat des Républicains donnant des leçons d’exemplarité à longueur d’antennes puis désertant en rase campagne présidentielle, se voit à son tour tourmenté par la machine judiciaire. Pour paraphraser le commissaire incarné par Gérard Darmon dans le cultissime film La Cité de la Peur« laissons la police faire son travail » sans présager de l’issue de cette enquête, mais il sera intéressant d’entendre les arguties de l’ex Républicains puis ex Constructifs puis député de La République en Marche qualifié par le magazine Capital, « de l’un des moins actif de l’hémicycle ».

    Roi nu dépouillé de son immunité parlementaire, Thierry Solère, cet astre du retournement de tablier, pourra continuer ses agapes judiciaires puisqu’il lui est également reproché d’avoir obtenu des informations de l’enquête le concernant via l’ancien Garde des Sceaux, Jean-Jacques Urvoas, lequel est mis en examen par la Cour de Justice de la République.

    http://www.bvoltaire.fr/placement-en-garde-a-vue-la-chute-de-lastre-solere/

  • Agressions sexuelles le soir de la victoire de la Coupe du Monde : que fait Marlène Schiappa ?

    6a00d83451619c69e2022ad35be66b200c-250wi.jpgGabrielle Cluzel se désole suite aux nombreuses femmes agressées sexuellement dans les rues le soir de la victoire de la coupe du monde de  football, rappelant les viols du 31 décembre à Cologne :

    "[...] L’écriture inclusive n’y peut rien. L’éradication des cartables roses non plus. Tous les bouquins de Marlène Schiappa encore moins : le premier droit de la femme devrait être celui d’évoluer librement où elle veut, dans la rue, les bars ou les transports en commun, quand elle veut, le matin, dès potron minet ou le soir, entre chien et loup, et si cela lui chante. Mais l’égalité entre homme et femme ne peut se concevoir que si une toute petite chose, purement matérielle, qui fait défaut à cette dernière et que l’on appelle la force physique, n’est pas toute puissante dans l’espace public. Et elle le devient sitôt qu’une société, par laxisme, paralysie, inconscience, idéologie, retourne à la loi de la jungle autrement appelée… celle du plus fort.

    Mais que croyait-on, au juste ? Que des petites frappes alcoolisées et agressives, cognant les passants, défiant les forces de l’ordre, saccageant les voitures, brisant les devantures et pillant les magasins allaient s’incliner, devant les jeunes filles en fleur, comme des gentlemen déférents : « mais après vous, mademoiselle ! ».

    Prise en étau entre une population masculine autochtone biberonnée à l’école libertaire – qui a dérégulé les relations hommes-femmes pour une plus grande fluidité du commerce sexuel (au vieux sens du terme), comme l’école libérale a dérégulé les relations marchandes pour une plus grande fluidité du commerce tout court, conduisant, dans l’un et l’autre cas, à plus de brutalité et moins de protection pour le (la) plus faible -, et une population masculine allochtone dont le regard sur la femme n’est pas culturellement le nôtre – et qui jauge péremptoirement la vertu de celle-ci à l’aune de critères qui nous sont étrangers -, ne pouvant compter, pour plaider sa cause en haut lieu, que sur un bataillons de féministes sourdes et aveugles à cette enclume comme à ce marteau, la femme est parfois, disons-là, bien seulette. Et le soir de la coupe du monde, elle n’était pas à la fête. Comment s’en étonner ?"

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • La France ( et les Français) vivent un tournant essentiel de leur histoire.

    COMMUNIQUE DE L’ ASSOCIATION XXX

    Samedi 13 Juillet 2018

    La France ( et les Français) vivent un tournant essentiel de leur histoire.

    Ce qui vient de se passer au CONSEIL CONSTITUTIONNEL, est une première dans l'histoire de notre pays.

    C'est surtout, un drame complet.

    Une structure étatique du plus haut niveau, le Conseil constitutionnel, créée par Charles De Gaulle pour renforcer son pouvoir personnel au moment des troubles de 1961 en Algérie, vient de décider que l'aide aux envahisseurs illégaux, franchissant les limites de notre territoire ( anciennement appelées « frontières» ) était devenue « légale » au nom de la « FRATERNITE ».

    C'est une lecture parfaitement mensongère, car elle ne fait aucune référence aux Articles de la CONSTITUTION et se cantonne au Préambule.

    Dorénavant, le franchissement illégal de nos frontières, fait partie de notre droit au nom des grands principes de la république ( d'esprit révolutionnaire) Liberté  Egalité et Fraternité.

    Le Conseil Constitutionnel admet que les passeurs de clandestins, les hébergeurs de migrants entrés par effraction sur notre territoire, les ONG, qui aident les immigrés clandestins, telles que le Secours catholique, Emmaùs catholique, la CIMADE et bien d'autres ne pourront plus être poursuivis.

    L'argument avancé par le CC est que ces passeurs d'illégaux, agissent au nom de la FRATERNITE. Jusqu'alors poursuivies par la Justice, au nom de l'illégalité de leur action, ( elles) ne le seront plus au nom de la « FRATERNITE ».

    Dorénavant la Loi oublie l'énoncé des différents articles de notre CONSTITUTION, pour ne plus se référer qu'à son Préambule, beaucoup plus vague puisque servant de « chapeau « aux Articles proprement dits.

    Dorénavant, la France déjà le pays LE PLUS favorable aux immigrés ( par les lois sur l'AME, l'Ecole gratuite et les Allocations de vie courante… ) se donne les moyens légaux de faire entrer en France « toute la misère du monde » ( comme disait le Premier ministre socialiste michel Rocard) et bien plus, car les immigrés payant des centaines voire des milliers d'euros pour venir chez nous par des portes ouvertes comme la Libye, ( depuis la misérable action de Sarkozy) ne sont pas tous des miséreux.

    Par cette décision du Conseil Constitutionnel, la France met un ternie définitif à la notion de frontière et donc de nation.... Ce qui est le vœu absolu des mondialistes qui siègent à Bruxelles.

    Pour nous, qui défendons le pays, la Patrie, la Nation, les frontières, le Patrimoine, nos mœurs et coutumes français, et ne voulons pas que des mœurs étrangères viennent faire la loi, ici, chez nous, Le Conseil constitutionnel vient de commettre la plus haute trahison, possible puisqu'elle met en péril l'avenir du pays..

    Les Français doivent y réfléchir et réagir comme il se doit.

    La France, déjà bousculée violemment depuis 50 ans par des élites malfaisantes, qui nous interdisaient de parler des migrants entrant en France, puis ont truqué les statistiques en mélangeant les flux entrant et sortant ( INSEE) pour en déduire que la France ne subissait aucun flux migratoire, subit la dernière attaque des mondialistes avant la disparition légale de notre pays..

    Nous, Français de Droite, soucieux de notre avenir et donc du pays... d'abord, ne pouvons plus supporter un tel degré de trahison. C'est l'avenir de la France qui est en jeu... et un avenir à très brève échéance..

    Comme le téléphone (dit arabe) fonctionne très bien en Afrique et Asie,...

    Les Français, depuis le mois de Juin 2018 peuvent donc s'attendre à un nouveau flux de migrants,

    venant s'ajouter au flot déjà en cours, puisque plus aucune loi française ne vient gêner les passeurs.

    D'ailleurs ces ONG qui travaillent contre la France, ne se privent pas de crier victoire, en voyant les anciennes poursuites judiciaires, abandonnées.

    L'Avis de notre Association XXX ( lui donner un nom) est que la France sera morte dans, 20 ans si la situation légale ne change pas.  20 ans, c'est le temps qu'il faut pour que les immigrés soient majoritaires. ( cf statistiques officielles)   le grand Remplacement déjà en cours sera accompli, et la Charia - déjà appliquée dans de nombreuses Banlieues,- se généralisera à l'ensemble du territoire.

    Notre Association, devant l'extrême gravité de la situation, espère que les Français rejoindront ses rangs et mèneront le combat…

    Nous ne baisserons pas la tête.

    Brugière Jean-François de Saumur

  • Ils plient mais sont loin d’avoir rompu, par Jean-David Cattin

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    Certains aiment à croire que la « droite » aurait gagné la « bataille des idées ». Peut-être… mais elle n’a certainement pas gagné la guerre. Du moins pas encore. Certes, les victoires des « populistes » se succèdent sur le plan électoral dans toute l’Europe, les succès de librairie d’auteurs incorrects se multiplient, à la télévision quelques journalistes et chroniqueurs ont réussi depuis plusieurs années à faire entendre une voix discordante (1). Mieux, les journaux qui font leur une sur les méfaits de l’immigration et de l’islamisation connaissent un succès envié par beaucoup de titres de la presse historique.

    Mais, dans cette lutte pour l’opinion publique, la gauche rend coup pour coup et est loin de laisser échapper son hégémonie. Ainsi, a-t-on vu récemment Éric Zemmour perdre son passage bihebdomadaire « On n’est pas forcément d’accord » sur RTL, après avoir déjà perdu son « Z comme Zemmour » quotidien. Sur le terrain électoral, le Rassemblement National a lui droit à un traitement de choc en se voyant confisquer 2 millions d’euros par des magistrats politisés. Sur le terrain militant, le mouvement identitaire se fait interdire ses manifestations par des préfets sous des motifs fallacieux, une répression qui s’ajoute à une censure quasi-totale sur les réseaux sociaux. Pour faire bonne mesure, les activistes sont frappés d’amendes à faire pâlir bien des malfrats endurcis.

    À cela s’ajoute une omniprésence des idées « progressistes » et politiquement correctes dans les nouveaux médias dont l’audience est loin d’être ridicule et qui influencent bien au-delà des cercles militants. Ainsi Brut, le Huffpost, Konbini ou Vice (pour ne citer qu’eux) bénéficient d’une exposition majeure notamment auprès des jeunes générations grâce à leur maîtrise des outils de communication modernes. Il y a quelques années encore, elles accusaient pourtant un sérieux retard dans ce domaine. Preuve de leur résilience malgré le choc de la réalité migratoire, des attentats et d’une insécurité de moins en moins supportée. Le succès de la réinformation est réel et durable mais ne doit pas occulter ces évolutions récentes.

    De leur côté, les écoles de journalisme continuent de fournir des bataillons de diplômés politisés rompus au combat des idées. Bien plus subtils qu’une grossière propagande d’État, leur traitement et tri orientés de l’information, leurs investigations à sens unique et leurs représentations malhonnêtes de la réalité donnent aux idées de gauche un poids considérable dans la bataille pour l’opinion publique. En décalage total avec leur représentation électorale, ils continuent pourtant de fournir la partition aux élites dirigeantes et aux donneurs de leçons des centres urbains certains de leur supériorité morale face à la masse ignorante.

    La guerre est donc loin d’être gagnée, d’ailleurs ce n’est pas ainsi qu’il faut le voir. Il y aura toujours des batailles à mener. Des moyens de communication originaux font leur apparition et des nouveaux acteurs rentrent dans la danse, comme les Qataris d’Al-Jazeera avec leur relais d’influence « AJ+ » et son quart de million d’abonnés sur Facebook. Les lauriers de la bataille des idées et de l’information ne sont jamais acquis et il faut veiller à ne jamais s’endormir dessus. Il faut développer des outils percutants qui ne touchent pas que les convaincus, être à l’affût des nouvelles méthodes de communication et ne négliger aucun canal. Et s’il nous arrive d’être en retard ou de perdre une bataille, toujours remettre l’ouvrage sur le métier.

    (1) Au point que certains médias de gauche comme les Inrocks font désormais la promotion de l’interdiction des talk-shows qui feraient la part trop belle aux opinions qui les dérangent.

    Jean-David Cattin

    Texte repris du site deLes Identitaires

    https://fr.novopress.info/211611/ils-plient-mais-sont-loin-davoir-rompu-par-jean-david-cattin/

  • Europe : Divergences

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    L’Europe n’a plus d’âme. L’européisme macronien va l’achever.

    Le sommet européen du vendredi 29 juin qui s’est achevé sur un faux accord, n’a fait que révéler encore plus les antagonismes sous-jacents qui fragilisent désormais de manière continue l’Union européenne.

    Angela Merkel ne peut plus parler avec autorité en Europe ; elle ne conduit même plus son gouvernement ; elle doit passer son temps à signer des compromis, tantôt avec son ministre de l’Intérieur, le bavarois Horst Seehofer, l’ex-homme fort de la CSU, tantôt avec le SPD, l’autre parti de la prétendue grande coalition. Le vice-Chancelier SPD, Olaf Scholz, a demandé du temps pour préciser les termes d’un nouvel accord. C’est de jour en jour que les oppositions se règlent désormais en Allemagne. Andrea Nahles, la nouvelle présidente du SPD, ne veut pas avaliser des décisions qui n’auraient pas été discutées, en particulier concernant des centres fermés de transit qui seraient installés aux frontières allemandes et qui permettraient des triages : « des prisons à ciel ouvert » ! Bref, le SPD veut interférer dans l’accord CDU-CSU déjà lui-même aléatoire, puisque c’est contrainte et forcée que Merkel l’a contresigné.

    Incertitudes allemandes

    Le gouvernement de coalition ne durera peut-être pas et nul ne sait ce que sera l’Allemagne dans les semaines qui viennent et par qui elle sera gouvernée. L’équilibre du jour n’est dû paradoxalement qu’à l’AfD, chacun redoutant qu’en cas de nouvelles élections le parti nationaliste ne récolte encore davantage de voix ; la CSU bavaroise ne veut pas se voir supplanter dans son propre land et le SPD sait qu’il sera, cette fois-ci, rétamé.

    Comment dans de telles circonstances Angela Merkel pourrait-elle définir une politique européenne alors que les pays de l’Est, l’Italie maintenant, lui reprochent ouvertement la série des décisions qui, depuis 2015, a ouvert l’Europe aux vagues migratoires ? Dans l’impossibilité de jouer un rôle, elle a laissé agir Emmanuel Macron qui en a profité pour ramener les choses à lui. Dans sa déclaration finale, le président français s’est félicité d’avoir réussi à imposer un accord aux 27.

    « Le repli national » ne l’a pas emporté, a-t-il dit, « c’est pour moi une vraie satisfaction et une victoire. L’Europe s’est décidée même si ça prend du temps ».

    Inutile de signaler qu’à la sortie du rendez-vous européen force gens persiflaient une telle autosatisfaction. Les 27 n’avaient donné leur accord que parce que précisément rien de définitif n’avait été acté dans la longue nuit de prétendues et mensongères délibérations. Chacun veillait à son intérêt, pendant que Macron faisait la mouche du coche. L’Italien feignait de croire que l’Europe s’engagerait à le soulager ; les autres pensaient qu’ils pourraient renvoyer leurs migrants selon des procédures qui seraient enfin mises en œuvre. Un marché de dupes.

    Donald Tusk, le président du Conseil européen, convenait qu’il ne fallait pas se leurrer : « Il est bien trop tôt pour parler d’un succès ».

    Volontariat européen

    Qu’on en juge ! « Des centres contrôlés établis dans des États membres, sur une base volontaire (!) » serviront à faire le tri des migrants, en particulier ceux qui sont secourus en Méditerranée, entre les réfugiés qui peuvent prétendre à bénéficier du droit d’asile, et les migrants dits économiques ; l’UE s’engagerait à y mettre les moyens. Évidemment chacun pense que lesdits centres seront très bien installés chez les voisins à qui il se propose très clairementt d’adresser ses propres colonnes de migrants. En tout cas, ce qui est sûr, c’est qu’à l’issue du sommet aucun pays ne s’était déclaré « volontaire ». Il semble bien qu’à ce jour la situation soit la même ! Même Macron a dû l’avouer : « La France n’ouvrira pas de centres de ce type… ». Eh, oui !

    L’Espagne et Malte n’ont pas l’intention non plus de donner trop de suite à des gestes d’apparente générosité. L’Aquarius et le Lifeline, ça suffit. Puisque toutes les mesures décidées au sommet, selon le communiqué final, « s’appliqueront sur la base du volontariat », la vérité toute nue est qu’à ce jour il n’y a aucun volontaire. Donc l’Italie de Salvini continuera sa même politique de refus absolu et de fermeture de ses ports.

    Alors, tout le reste est littérature et constructions artificielles comme les aime Macron. Retour des refusés après triage : quand et comment ? Nul ne sait ! Les pays d’origine évidemment refuseront à leur tour, et, alors, qu’est-ce qu’on fait ? Répartition des bénéficiaires du droit d’asile selon « les principes de solidarité européenne »… Cette solidarité reste, elle-même, sans que ce soit trop spécifié, volontaire ; c’est pourquoi les pays de l’Europe de l’Est et du Nord ont souscrit sans difficulté, du moment que le mot « quotas » a disparu !

    L’Europe de la tromperie

    Victor Orban a déclaré que « la Hongrie restera un pays hongrois et ne deviendra jamais un pays de migrants ». Rien n’est plus clair et donc rien n’est plus ambigu que la solution macronienne. Angela Merkel ne pensait, quant à elle, qu’à traiter avec ses voisins, en particulier avec le chancelier autrichien, qui assure la présidence tournante de l’UE de juillet à décembre et qui prévient qu’il renverra tout migrant dans le pays qui l’aura enregistré ! L’Allemagne a du souci à se faire. Et le Brenner sera encore un lieu d’affrontements.

    Ces tristes « bidouillages » ne renforceront pas l’idée européenne. Les élections de 2019 au parlement européen s’en ressentiront. La grande vision dont notre président se flatte et sur laquelle il a misé tout son avenir, se heurte au dur mur des réalités. Il n’a guère obtenu plus de succès sur sa vaste perspective d’une zone euro qui fonctionnerait à plein régime et qui permettrait une intégration économique et financière plus complète. Les Allemands ne veulent pas être prisonniers d’un système qui les placerait en banquiers et en financiers de dernier recours. Les Néerlandais ne souhaitent pas payer davantage. Bref, personne n’y croit vraiment. Macron est encore une fois de plus le seul à se déclarer « optimiste » et à parler encore de « feuille de route franco-allemande ».

    Incorrigible esprit faux. « Le pire dérèglement de l’esprit, selon Bossuet, c’est d’imaginer les choses telles qu’on voudrait qu’elles soient et non telles qu’elles sont en effet. »     

    Hilaire de Crémiers

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • 23 juillet, jour de libération des contribuables

    6a00d83451619c69e2022ad381b3b9200d-250wi.pngSelon Contribuables associés :

    "En 2018, nous aurons trimé 204 jours pour financer les dépenses publiques ! A compter de la date symbolique du 23 juillet, nous pourrons enfin profiter de notre labeur. Selon les calculs effectués par l’association Contribuables Associés à partir des données de l’OCDE, le ratio entre les dépenses publiques (État, collectivités territoriales, sécurité sociale, Union européenne) et les richesses créées en France (le Produit intérieur brut) est de 55,9% en 2018, ce qui signifie que l’administration publique absorbe plus de la moitié de la richesse produite en France.

    Sur chaque euro que nous gagnons, la dépense publique en dévore près de 56 centimes. Rapporté au calendrier de l’année, cet indicateur symbolique permet de savoir que les Français ont travaillé 204 jours pour financer les dépenses de l’administration publique, nous serons donc symboliquement libérés le 23 juillet. La France est encore cette année la triste « championne » des pays de l’OCDE pour le poids de sa dépense publique, devant la Finlande (52,6% du PIB dépensés pour la sphère publique), la Belgique (51,6 % du PIB dépensés pour la sphère publique) et le Danemark (51,5% du PIB dépensés pour la sphère publique). En moyenne, les contribuables de la zone euro fêtent leur libération le 19 juin, plus d’un mois avant les contribuables Français."

    Pour Eudes Baufreton, directeur de Contribuables Associés

    « La France dépense beaucoup trop pour sa sphère publique, et ce poids de la dépense publique se traduit par un matraquage fiscal gigantesque sur les contribuables. Seule la réduction des dépenses publiques permettra une véritable baisse des impôts, une diminution de l’endettement et le retour de l’emploi en France ! En un an, le nouveau gouvernement a créé 7 milliards de dépenses publiques supplémentaires et 8 nouveaux impôts : c'est insupportable ! ».

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  • L’affligeant bilan de quatre « soirées festives » à Paris, par Pierre Malpouge

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    Les nuits de fête se suivent et se ressemblent. Qu’il s’agisse des deux nuits de la fête nationale des 13 et 14 juillet, ou de celles des 15 et 16 juillet célébrant la victoire des Bleus, les fêtards et les racailles ayant envahi l’avenue des Champs-Elysées à Paris et les rues adjacentes, ont laissé éclater leur joie, de façon parfois très violente.

    Telles les fourmis ravageuses et détruisant tout sur leur passage du film Quand la Marabunta gronde, les « poètes » du ballon rond s’en sont donné à cœur joie en matière de casse et d’exactions diverses et variées. Voitures brûlées, magasins pillés, mobilier urbain saccagé, vitrines brisées, agressions, heurts avec les forces de l’ordre, le volet « gentil » de la fête aura été de courte durée.

    Noyés dans une foule immense, les casseurs ont en effet investi les Champs-Elysées où s’étaient massées des centaines de milliers de personnes.

    Dimanche soir, quelque 845 voitures étaient déjà parties en fumée. La veille au soir, 508 personnes avaient été placées en garde à vue suite à ce que l’on nomme « incidents », du côté de la Place Beauvau.

    « Compte tenu de la foule présente et malgré des débordements inacceptables, on doit enregistrer un bilan mesuré », a souligné pour sa part le préfet de Paris, Michel Delpuech, heureux récipiendaire de la Légion d’honneur (promotion du 14 juillet).

    45 policiers et gendarmes ont été blessés. Gaz lacrymogènes et engins lanceurs d’eau ont répondu aux jets de bouteilles ou de chaises.

    Mêmes débordements festifs dans la nuit de lundi à mardi aux abords de l’Hôtel Crillon (place de la Concorde) où des « supporters » énervés d’attendre l’apparition des « héros » se sont frottés aux forces de l’ordre. Ce mardi à 6 h du matin, la carcasse calcinée d’une voiture continuait à fumer à quelques pas de l’Olympia.

    Ailleurs en Ile-de-France, 24 voitures ont brûlé en Seine-Saint-Denis, des voitures ont également été incendiées en Seine-et-Marne et dans le Val-de-Marne. Dans le Val-d’Oise, une cinquantaine de personnes ont été interpellées tandis qu’en Essonne, incendies en série et affrontements entre bandes et policiers se sont déroulés.

    Ce type de « joyeusetés » se décentralise désormais un peu partout en France.

    L’alcool et la stupidité ont aussi été à l’origine d’accidents graves, voire mortels : à Saint-Félix (Oise), un automobiliste qui hurlait sa joie en conduisant est décédé après avoir percuté un platane. En Meurthe-et-Moselle, trois enfants ont été percutés par une moto. A Aubenas (Ardèche), trois piétons ont été heurtés par un automobiliste. A Annecy, un homme s’est noyé après avoir sauté dans un canal presque à sec…pour manifester sa joie. A Marseille, plusieurs « incidents » entre supporters et forces de l’ordre ont éclaté autour du Vieux-Port. Même chose à Nantes, à Ajaccio, à Strasbourg ou encore à Rouen. Mais comme le disent les autorités, toutes ces joyeuses soirées se sont globalement déroulées de manière très festive partout en France.

    Pierre Malpouge

    Article paru dans Présent daté du 17 juillet 2018

    https://fr.novopress.info/

  • [Vidéo] «La plupart des migrants ne viennent pas d’Afrique »

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    Quels enjeux pour le 31e sommet de l’Union africaine qui avait lieu début juillet à Nouakchott ? Rachel Marsden recevait à ce sujet Leslie Varenne, directrice de l’IVERIS et spécialiste de l’Afrique ainsi qu’Emmanuel Dupuy, président de l’IPSE et spécialiste des questions africaines.

  • Zoom – Robert Pommies : un préfet au cœur de l’immigration

  • Poutine lors de sa conférence de presse avec Trump : «J’ai travaillé dans le Renseignement (…) M. Soros s’ingère partout.» (Ajout d’un résumé de la conférence de presse)

    Poutine en conférence de presse avec Trump : «J’ai travaillé dans le renseignement (…) Vous savez, M. Soros s’ingère partout.»
    – RT France, 16 juillet 2018, 17h50

    (Voir à 42min20)

    Résumé en 13 minutes des moments les plus importants de la conférence de presse :

    http://www.fdesouche.com/1042991-poutine-lors-de-sa-conference-de-presse-avec-trump-jai-travaille-dans-le-renseignement-m-soros-singere-partout-video-integrale-de-la-conference-de-presse