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Emeute à Toulouse à l’appel d’une porteuse de niqab
Le rapport ci-dessus explique comment le simple contrôle d’identité d’une femme porteuse d’un niqab s’est transformé en émeute dans le quartier Bellefontaine à Toulouse. Refusant de se soumettre au contrôle d’identité, la porteuse de niqab a hurlé pour demander de s’en prendre aux policiers, ce qu’ont fait des racailles accourues aussitôt.Onze véhicules ont été incendiés dans les quartiers Reynerie et Bellefontaine ainsi que plusieurs containers à ordures.La police a envoyé d’importants renforts sur place et a totalement bouclé le quartier. Près de 300 grenades lacrymogènes ont été tirées pendant cette soirée. « Les affrontements ont été extrêmement violents. Les collègues ont été très choqués. Les événements ont été très compliqués à gérer mais ils ont fait preuve de beaucoup de sang-froid »,indique Didier Martinez du syndicat de gardiens de la paix SGP-FO.Près de 200 policiers, gendarmes et CRS se sont opposés aux émeutiers et ont protégé différents biens publics et privés dont le commissariat du Mirail qui a été pris pour cible. -
Syrie : la Maison Blanche contredit Emmanuel Macron
Lors de son entretien télévisé, Emmanuel Macron a affirmé que la France avait convaincu Donald Trump de maintenir les troupes américaines en Syrie :
"Il y a 10 jours, le président Trump disait : les États-Unis d'Amérique ont vocation à se désengager de la Syrie, nous l'avons convaincu, nous l'avons convaincu qu'il était nécessaire d'y rester (...), je vous rassure, nous l'avons convaincu qu'il fallait rester dans la durée".
La Maison-Blanc a répondu par un communiqué de la porte-parole de Donald Trump, Sarah Sanders:
"la mission américaine n'a pas changé". "Le président a dit clairement qu'il veut que les forces américaines rentrent dès que possible".
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Syrie: les gros mensonges d’Emmanuel Macron…et « les valeurs de l’occident »
Pour son second entretien médiatique de la semaine, après Jean-Pierre Pernaut sur TF1, Emmanuel Macron était hier soir en direct sur BFMTV, RMC et le site Mediapart, pour répondre depuis le Théâtre national de Chaillot à Paris aux questions de Jean-Jacques Bourdin et Edwy Plenel. Un débat pugnace, dans lequel le chef de l’Etat, visiblement toujours aussi pénétré de sa croyance en son talent, a fait l’étalage de son agilité intellectuelle. Face à lui, les deux journalistes ont été parfois assez vindicatifs, sur le mode de ce qui pratique dans les pays anglo-saxons, la déférence étant traditionnellement plus de mise sous nos latitudes vis-à-vis de notre monarque républicain… Sur le plan symbolique il n’est pas anodin que MM. Bourdin et Plenel aient entamé chacune de leurs questions par « Emmanuel Macron » et non « Monsieur le président » contrairement à l’usage établi. Une nouvelle dégradation faite à la fonction présidentielle, déjà abîmée par MM. Sarkozy et Hollande ? Reste à savoir, au-delà de l’exercice plutôt maîtrisé dans le forme par le chef de l’Etat, si ce dernier a convaincu nos compatriotes en colère, tous ceux déjà déçus par le macronisme, qui doutent des réformes en cours, sont opposés aux évolutions voulues et actées par la majorité présidentielle. Car convaincre était bien le but que c’était fixé Emmanuel Macron à travers ce grand oral, bien conscient, quoi qu’il en dise, et comme a tenu à lui rappeler le grand démocrate Plenel, notamment sur Mediapart, que 83% des Français n’ont pas voté pour lui au premier tour et qu’il a été élu au second par moins de 40% des Français de plus de 18 ans.
Emmanuel Macron, chef des Armées de par notre constitution, n’était certes pas tenu d’organiser un débat préalable avec le Parlement pour frapper militairement samedi la Syrie (conjointement avec les Etats-Unis et le Royaume-Uni), mais cette opération militaire peut-elle se justifier, son bien fondé est-il recevable Pour tous ceux qui voient un peu plus loin que le bout de leur nez? Bruno Gollnisch, à l’instar des autres dirigeants du FN, ne le pense pas.
M. Macron a tenté de justifier la légalité internationale de cette agression… en critiquant au passages les interventions militaires faites dans le passé par les neoconservateurs. «C’est la communauté internationale qui est intervenue » le 14 avril a-t-il affirmé sans rire malgré l’absence de mandat de l’ONU, arguant de la résolution 2118 du Conseil de sécurité de l’ONU. Celle-ci avait été adoptée le 21 septembre 2013 , après une attaque chimique qui s’était déroulée un mois auparavant, attribuée (apparemment faussement) aux forces fidèles la République arabe syrienne. A l’unanimité de ses 15 membres, le Conseil de sécurité , au terme d’une décision qui figurait en annexe de ladite résolution, expliquait que la Syrie était notamment tenue d’achever l’élimination de « tous les équipements et matières liés aux armes chimiques » au cours du premier semestre 2014. Les membres du Conseil, commentant la décision, avaient prévenu qu’en cas de non-respect par Damas de ses obligations, des mesures pourraient être prises en vertu du chapitre VII de la Charte des Nations Unies. Son article 42 prévoit que le Conseil de sécurité « peut entreprendre, au moyen de forces aériennes, navales ou terrestres, toute action qu’il juge nécessaire au maintien ou au rétablissement de la paix et de la sécurité internationales.»
Ce 14 avril,Washington, Paris et Londres ont expliqué que leurs frappes étaient des mesures de représailles après l’attaque chimique au chlore imputée à l’armée syrienne dans la ville de Douma (Ghouta orientale). Hier soir, le chef de l’Etat a précisé que la France n’a « pas déclaré la guerre au régime de Bachar el-Assad » mais qu’il avait « obtenu des preuves – il n’a donné aucun détail sur la réalité de celles-ci, NDLR- que des armes chimiques (avaient) été utilisées » par le gouvernement syrien. » En conséquence de quoi « trois sites de production d’armes chimiques – désaffectés depuis longtemps, NDLR - ont été visés par ces attaques (…). Les capacités de production d’armes chimiques ont été atteintes et détruites. Il n’y a eu aucune victime selon les dires des Syriens et des Russes. »
La porte des discussions est cependant toujours ouverte a précisé la président de la république, le dialogue n’est pas rompu avec le Kremlin pour préparer «une transition durable en Syrie, en accord avec Vladimir Poutine. » « Pour construire une solution durable, il nous faut parler avec l’Iran, la Russie et la Turquie», a-t-il ajouté, se félicitant au passage d’avoir « séparé les Russes des Turcs sur cette question» des frappes qui ont été approuvés par le président turc Recep Tayyip Erdogan, lequel se souvient parfois que son pays est toujours membre de l’Otan et candidat à l’adhésion à l’Union européenne…
Le chef de l’Etat a aussi martelé que la Russie était « complice » de Damas du fait qu’elle aurait « construit méthodiquement l’incapacité de la communauté internationale par la voie diplomatique à empêcher l’utilisation des armes chimiques ». Accusation relevée comme c’était à prévoir par le site RT qui souligne que si Emmanuel Macron « a encore accusé Moscou d’avoir impuissanté la communauté internationale», il est pourtant établi que « le projet de résolution russe affirmant un plein soutien à l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques (OIAC), organisme neutre de l’ONU, dans l’enquête sur le terrain, a été rejeté le 10 avril par le Conseil de sécurité. »
Moscou n’a pas manqué de souligner que ces frappes ont eu lieu quelques heures seulement avant que les inspecteurs de l’OIAC ne commencent leur travail sur le terrain. OIAC que l’ONU fait intervenir dans les cas de suspicion d’utilisation d’armes chimiques et dont les inspecteurs sont arrivés seulement hier à Douma. Mais l’OAIC était déjà en Syrie! Et sur son site a été publié en mars 2018 le résultat de son enquête qui précise notamment que sur un des lieux attaqués le 14 avril, « il n’a pas été relevé dans les échantillons prélevés la présence de produits chimiques ni observé d’activités contradictoires avec des obligations (d’arrêt de fabrication d’armes chimiques). »
Que dire des explications de M. Macron sinon qu’elles s’illustrent par un grand accommodement avec la vérité? Hier, non sans orgueil, il plastronnait en affirmant: «Il y a 10 jours, le président Trump disait que les Etats-Unis ont vocation à se désengager de la Syrie. Nous avons convaincu Donald Trump que c’était important de rester sur le terrain de la Syrie et nous avons réussi à la convaincre de limiter l’intervention aux armes chimiques. » Or est-il rapporté ce matin, la porte-parole de la Maison-Blanche, Sarah Sanders, a infligé un camouflet au président français: « la mission américaine n’a pas changé : le président a été clair sur le fait qu’il veut que les forces américaines rentrent à la maison le plus vite possible. »
Xavier Moreau, directeur de Stratpol, notait le 14 avril sur l’antenne de RT que les frappes menées par la coalition occidentale, de type One time shot, signaient en fait «le début et la fin de l’intervention occidentale contre l’armée de Bachar el-Assad et ses alliés russes et iraniens, dixit le général James Mattis », secrétaire à la Défense des Etats-Unis. « C’est surtout le signe de la victoire définitive de Bachar el-Assad et de ses alliés.»
« On ne sait rien des cibles visées. Si la coalition savait qu’il y avait un programme chimique clandestin syrien pourquoi l’apprend-t-on seulement aujourd’hui ? Et les sites qu’ils ont bombardé quand ont-ils été identifiés? Dans la nuit ? On est dans le grotesque, le ridicule, cela rappelle l’opération menée seule par Trump qui a consisté à envoyer une cinquantaine de missiles tomahawk.» M. Moreau évoque ici l’action menée en avril 2017 contre une base aérienne de l’armée syrienne à Chayrat. Une attaque annoncée comme les représailles yankees au bombardement aérien chimique imputé, là aussi sans aucune preuve aux forces gouvernementales dans la localité de Khan Cheikhoun, non encore libérée à l’époque de l’emprise des milices islamistes. La preuve des attaques chimiques n’a pas apportée par la France disait encore Xavier Moreau et M. Macron a été bien incapable d’en dire plus hier soir . Nos services secrets en auraient la preuve?
«Mais quels services secrets ? La direction du renseignement militaire ? La DGSE ? Là, en plus, on apprend que ce sont des renseignements issus des réseaux sociaux. Bien sûr que ce ne sont pas des services de renseignement. Ni la DGSE, ni la DRM [la Direction du renseignement militaire] ne se commettraient dans des choses pareilles (…). Ce qui a précipité la frappe, cela a été la révélation par Russia Today de la manipulation de la vidéo des Casques blancs -islamistes opposants à Bachar téléguidés par les services de renseignements britanniques, NDLR- , avec le témoignage des deux personnes qui ont participé malgré elles à cette vidéo. » Ce qui fait indique-t-il, qu’il fallait agir ( rapidement militairement le 14 avril) avant que ledit témoignage ne circule ce qui aurait embarrassé Emmanuel Macron alors qu’il allait être interrogé le lendemain par MM Bourdin et Plenel.
Laissons le mot de la fin à Michel Raimbaud, ex ambassadeur de France au Soudan et en Mauritanie, spécialiste reconnu du Levant:
« Si elles avaient une mémoire collective, les opinions se souviendraient du sort de l’Irak, de la Somalie, de la Libye…peut-être de l’ex-Yougoslavie, voire du Yémen où destructions et massacres se poursuivent sous l’égide de l’ami stratégique imprévu qu’est le jeune Mohammed Ben Salmane, étreint avec effusion par notre ministre des affaires étrangères lorsqu’il débarque tel le Messie. Elles reverraient Colin Powell brandissant ses fioles venimeuses et chimiques pour justifier une invasion de l’Irak et son démantèlement (…). Macron (…) ose qualifier cette nouvelle attaque illégitime, arrogante et dépravée de devoir moral . Devons- nous nous habituer à voir par les nuits sans lune nos dirigeants se tortiller sur leur fauteuil, le doigt sur le bouton et le petit doigt sur la couture du pantalon (…) pour lancer leurs engins meurtriers sur la Syrie qui ne les a jamais agressés ? Quelle sinistre comédie ! Comme si 400 000 morts, 13 ou 14 millions de réfugiés, exilés ou déplacés, un pays ravagé, ne suffisaient pas à combler le sens moral de ces hautes consciences. Après sept ans de mensonges éhontés, de destructions systématiques, de méfaits innommables, peut-on vraiment dire que le respect de l’autre est une valeur de l’Occident » ? -
Nouvelles sanctions contre la Russie: Maria Zakharova explique ce qui tracasse les USA
Si les États-Unis imposent de nouvelles sanctions contre la Russie, comme l’a annoncé l'ambassadrice américaine à l’Onu Nikki Haley ce dimanche, ça sera seulement à cause de la présence russe sur la scène internationale, a déclaré la porte-parole de la diplomatie russe Maria Zakharova.
« Si avant on nous disait que nous étions punis pour l'Ukraine, maintenant les déclarations ont sensiblement changé. Ils nous punissent, en principe, parce que nous sommes présents sur la scène internationale. C'est formulée comme ça : à cause du rôle que la Russie joue dans les affaires internationales. C'est tout », a indiqué Mme Zakharova.
Le 15 avril, l'ambassadrice américaine aux Nations unies Nikki Haley a déclaré, dans un entretien accordé à la chaîne CBS, que le secrétaire américain du Trésor Steven Mnuchin allait annoncer le 16 avril de nouvelles sanctions qui seraient imposées directement à l'encontre de toute entreprise russe « qui a travaillé à l'équipement de Bachar el-Assad et à l'utilisation d'armes chimiques ».
Cette déclaration de Nikki Haley intervient le lendemain des frappes effectuées par les États-Unis, le Royaume-Uni et la France dans la nuit du 13 au 14 avril contre la Syrie. Le bombardement a été mené sous couvert d'une opération visant à éliminer de prétendues armes chimiques de cet État suite à l'attaque chimique qui aurait été perpétrée le 7 avril à Douma, près de Damas, selon les pays occidentaux.La Russie a démenti les informations concernant une bombe au chlore qui aurait été larguée par les forces gouvernementales syriennes. Les militaires russes ont qualifié de fausses les photos de victimes de la prétendue attaque chimique à Douma, publiées par les Casques blancs sur les réseaux sociaux. Moscou estime que l'objectif de ces informations mensongères est de protéger les terroristes et de justifier d'éventuelles actions extérieures.
Une mission de l'OIAC est arrivée le 14 avril à Damas pour enquêter sur l'attaque chimique prétendue à Douma, c'est-à-dire après le bombardement des pays occidentaux.
https://fr.sputniknews.com/international/201804151035961928-sanctions-russie-zakharova/
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Un commentateur russe : « Une troisième guerre mondiale est en cours, et la Russie n’a pas d’alliés »
Une troisième guerre mondiale est en cours depuis au moins le bombardement de Belgrade par l’OTAN en 1999 et l’intervention de la Russie en Géorgie en 2008, dit Aleksey Venediktov. Mais il s’agit d’une guerre très différente de celles du passé, où les participants n’essaient pas de s’emparer d’un territoire, mais plutôt de s’assurer une influence sur d’autres États.
Dans ce conflit, qui peut monter de froid à chaud, le rédacteur en chef d’Ekho Moskvy explique à la Business Gazeta de Kazan, dans une interview dont certaines parties ont été mises en ligne aujourd’hui, que « la Russie n’a pas d’alliés » et ne peut donc dépendre de personne d’autre que d’elle-même au fur et à mesure que se déroulent des événements planifiés et non planifiés.
Cette guerre ou, espérons-le, ce conflit « est vraiment mondial ; c’est simplement que certains acteurs comme la Chine ne sont pas très visibles, mais ils y prennent une part active ». Le but de ce conflit est différent de celui du passé : les États antérieurs cherchaient à gagner du territoire ; aujourd’hui, cependant, ils ne cherchent pas la redistribution territoriale du monde, mais plutôt celle de l’influence.
Poutine, poursuit Venediktov, fait constamment référence à la nécessité de revenir au système de Yalta-Potsdam dans lequel « chaque grande puissance a sa propre sphère d’influence ». Mais Ronald Reagan, en 1987, a clairement indiqué qu’il n’y aurait plus jamais de système de type Yalta. Cela est resté la politique américaine.
Mais il est important que Moscou se souvienne que « dans cette guerre, la Russie n’a pas d’alliés », dit le rédacteur en chef d’Ekho Moskvy. « Poutine, poursuit-il, est un individu extraordinairement prudent…. Par conséquent, je pense que s’il sentait la possibilité d’un passage de la guerre à une phase chaude, il prendrait des mesures », connaissant les capacités des alliés occidentaux et de la Chine.
Le danger d’escalade jusqu’à un échange nucléaire existe néanmoins en raison de la possibilité d’accidents. Lorsque les militaires des différents pays sont au même endroit, leurs commandants peuvent répondre « sans attendre un appel de Moscou ou de Washington ou de Jérusalem ou de Damas » et les choses peuvent mal tourner.
Selon Venediktov, les forces de la Russie et des alliés occidentaux « ont reçu l’ordre d’éviter tout affrontement. Mais je suis inquiet parce qu’un accident est possible », un accident qui ressemblait à l’abattement d’un avion russe par la Turquie. Si une telle chose se reproduisait, il y a « une forte probabilité » qu’elle puisse « conduire à une escalade, politique au minimum ».
Source: traduction d’un article (en anglais) paru sur Window on Eurasia / Paul Goble
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Renaud Camus a droit à la liberté d’expression !
Par Renaud Camus, écrivain ♦ Lisez bien ce texte. Renaud Camus y annonce la fondation du Conseil national de la résistance européenne. C’est une opinion. Dans un pays libre la liberté d’expression est protégée. Pas en France, nouvelle Corée de l’ouest. A la demande d’officines « antiracistes » et immigrationnistes subventionnées (LICRA, DILCRAH, SOS-Racisme), le parquet a engagé des poursuites contre le penseur du Grand Remplacement.
Faut-il interdire ce texte ? A chacun de mesurer l’état des libertés en France en le lisant. Et de comprendre la nécessité d’abroger les lois liberticides en commençant par la loi Pleven.
PolémiaL’immigration est devenue invasion, l’invasion submersion migratoire. La France et l’Europe sont cent fois plus colonisées, et plus gravement, qu’elles n’ont jamais colonisé elles-mêmes. La colonisation irréversible, c’est la colonisation démographique, par transfert de population.
Certains disent qu’il n’y a pas colonisation parce qu’il n’y a pas conquête militaire. Ils se trompent. L’armée de la conquête, ce sont les délinquants petits et grands, tous ceux qui rendent la vie impossible aux Français en leur nuisant de toutes les façons imaginables, des trop fameuses incivilités jusqu’au terrorisme, qui n’en est que le prolongement. Tous les auteurs d’attentats ont fait leurs premières armes dans la délinquance de droit commun. Il n’y a d’ailleurs pas de terroristes. Il y a un occupant qui, de temps en temps, exécute quelques otages, nous, comme l’ont toujours fait tous les occupants. J’appelle occupants tous ceux qui se déclarent tels, ou s’affichent tels par leur comportement.
Le changement de peuple, la substitution ethnique, le Grand Remplacement, sont l’événement le plus important de l’histoire de notre pays depuis qu’il existe, puisqu’avec un autre peuple l’histoire, si elle continue, ne sera plus celle de la France. La France a toujours à merveille assimilé des individus qui désiraient l’être, elle ne peut pas assimiler des peuples, et encore moins des peuples hostiles, vindicatifs, voire haineux et conquérants. Il faut une vanité sans nom, et une méconnaissance totale de ce que c’est qu’un peuple, pour imaginer qu’avec une population changée la France serait encore la France. Tous les mots sont menteurs mais le plus menteur de tous est celui de français, hélas. Il n’y a pas de djihadistes français, par exemple. S’ils sont djihadistes ils ne sont pas français.
Croire qu’il n’y a en France que des Français est une illusion totale. Il y a des envahisseurs et des envahis, des colonisateurs et des colonisés, des occupants et des occupés.
On ne met pas fin à une colonisation sans le départ du colon : l’Algérie en son temps nous l’a assez montré, hélas — bonne occasion pour nous de souligner, au demeurant, la différence de civilisation.
On ne met pas fin à une occupation sans le départ de l’Occupant. Il n’est d’autre issue que la remigration. Les mêmes qui la déclarent impraticable veulent faire venir en Europe quarante millions de migrants, quand ce n’est pas deux cents millions. Ils proclament l’homme entré dans une ère de migration générale. Qu’il migre et remigre, alors. Ce qui est possible dans un sens doit bien l’être dans l’autre, avec plus de moyens et de douceur.
L’heure n’est plus à la politique, aux élections, aux partis. 2022 est trop loin, le changement de peuple sera alors trop avancé, les remplaçants seront les arbitres de la situation, à moins qu’ils n’en soient tout à fait les maîtres. Et il n’y a, de toute façon, aucune chance de l’emporter jamais à un jeu dont l’adversaire possède toutes les cartes et dont il a fixé toutes les règles. Le pouvoir, ses banques, ses juges et ses médias veulent la substitution ethnique. Ils ne nous en protègent pas, ils l’organisent et la promeuvent. Ils ont drogué le peuple à l’accepter, par l’enseignement de l’oubli, la déculturation, la censure, la répression et les injections permanentes de haine de soi. Ils n’importent pas des travailleurs, d’autant qu’il n’y pas de travail et qu’il y en aura de moins en moins. Ils importent de futurs consommateurs, qu’ils ne se donnent même plus la peine de faire passer pour des réfugiés puisque l’immense majorité de ces migrants vient de pays où il n’y a pas la moindre guerre : orphelins, malades, jeunes gens aventureux ou conquérants, adolescents qui se sont disputés avec leurs parents ou qui ont eu maille à partir avec la police, commerçants qui ont fait de mauvaises affaires.
Vous dites que ces futurs consommateurs n’ont pas d’argent. Détrompez-vous, demain ils auront le vôtre, car les prétendus transferts sociaux ne sont, à la vérité, pas grand-chose d’autre que des transferts ethniques. L’Europe est le premier continent qui paie pour sa propre colonisation.
Un spectre hante l’Europe et le monde. C’est le remplacisme, la tendance à tout remplacer par son double normalisé, standardisé, interchangeable : l’original par sa copie, l’authentique par son imitation, le vrai par le faux, les mères par les mères porteuses, la culture par les loisirs et le divertissement, la connaissance par les diplômes, la campagne et la ville par la banlieue universelle, l’indigène par l’allogène, l’Europe par l’Afrique, l’homme par la femme, l’homme et la femme par des robots, les peuples par d’autres peuples, l’humanité par une posthumanité hagarde, indifférenciée, standardisée, interchangeable à merci.
De toutes les manipulations génétiques le Grand Remplacement, sorte de GPA appliquée à l’ensemble de la planète, est la pire. Le génocide par substitution, selon l’expression d’Aimé Césaire, est le crime contre l’humanité du XXIe siècle. Il est d’ailleurs bien singulier que les écologistes arrêtent à l’homme leur louable souci de biodiversité.
Le remplacisme s’estime désormais assez fort pour prendre en main directement la gestion du parc humain, sans intermédiaire. En France, Emmanuel Macron, qui en est dans le monde, avec Justin Trudeau, le représentant le plus achevé, a déjà neutralisé la microcosme, renvoyé dans leurs foyers les principaux acteurs de la vie politique française depuis trente ans, peuplé l’Assemblée de fantoches à sa solde, composé un gouvernement de rencontre, fait éclater tous les grandes partis. Il ne gouverne pas, il gère, comme il le ferait une banque ou une société anonyme.
Il sort de la politique par l’économie, par la finance et la gestion d’entreprise. Nous voulons en sortir par l’histoire. La question de l’indépendance ou de l’asservissement d’une grande nation, de la survie ou de la disparition d’une grande civilisation, ce n’est pas de la politique, cela : c’est de l’histoire. Charles de Gaulle — que nous célébrons aujourd’hui près de sa tombe, pour l’anniversaire de sa mort —, Charles de Gaulle à Londres, ce n’était pas de la politique. Jean Moulin à Lyon ce n’était pas de la politique. Jeanne d’Arc à Chinon non plus, ni Gandhi à Calcutta, ni aucun de ceux qui se sont levés pour l’indépendance de leur pays et pour la dignité de leur peuple.
Ce dont nous avons besoin aujourd’hui ce n’est pas un nouveau parti, pas même une union des droites : le refus du totalitarisme remplaciste n’est pas moins de gauche que de droite. Ce dont nous avons besoin c’est le rassemblement de tous ceux qui opposent un grand Non à l’islamisation et à la conquête africaine. Ce qu’il faut c’est un Conseil National de la Résistance, de la résistance européenne, car toutes les nations européennes sont invitées à mener à nos côtés le combat pour le salut de notre civilisation commune, celte, slave, germanique, gréco-latine, judéo-chrétienne et libre-penseuse.
Mon ami Karim Ouchikh, président du SIEL, et moi, Renaud Camus, avons décidé de constituer précisément cela, un CNR, ou CNRE. Nous proposerons publiquement de se joindre à nous à toutes les personnalités qui nous semblent animées du même désir de sauver notre pays et nous élargirons ainsi notre comité, par cooptation. Mais tous les Français et tous les Européens qui pensent comme nous sont invités à se mettre en relation avec nous et à nous apporter leur soutien. L’objectif est de constituer une force telle qu’il soit, dans l’idéal, inutile de s’en servir.
Cela dit, si par malheur il se trouvait que la seule alternative qui nous fût laissée soit la soumission ou la guerre, la guerre alors, cent fois. Elle n’aurait d’ailleurs rien de civil, malgré le nombre des collaborateurs et des traîtres. Elle s’inscrirait plutôt dans la grande tradition des combats pour le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes, pour la libération du territoire et pour la décolonisation. Il faut sortir enfin de l’ère coloniale, dont nos colonisateurs nous disent tant de mal tout en nous colonisant. Il faut arrêter une bonne fois, si possible au-dessus de la Méditerranée, le balancier fou des colonisations et contre-colonisations.
Vive la France libre. Vive la civilisation européenne.
Renaud Camus 13/04/2018
Source : Conseil national de la résistance européenne
Crédit photo : Allocution de Renaud Camus aux assises de la remigration le 15/11/2014 (source : Bloc identitaire)
https://www.polemia.com/renaud-camus-a-droit-a-la-liberte-dexpression/
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ILS VEULENT LA GUERRE
Une fois de plus l'hydre yankee, en agressant avec l'aide de ses larbins européens la Syrie, montre sa volonté de gérer le monde.
Les puissances financières et le lobby militaro-industriel ont donc réussi à pousser le crétin qui sert actuellement de président aux Etats-Unis à se conduire comme un vulgaire Bush de base. En déclenchant cette nuit les bombardements sur Damas, le grotesque Trump a au moins le mérite de remettre les choses en ordre en nous rappelant que l'ennemi de l'Europe reste et restera l'Amérique.
De plus en se conduisant ainsi, Trump, Macron et l'Angleterre s'imposent comme étant, une fois de plus, les meilleurs alliés de l'islam conquérant.
Le devoir des nationalistes français et européens est de dénoncer cette nouvelle agression de l'hyper puissance contre un état indépendant et de refuser toutes collaborations avec le bellicisme américain. Le Système veut la guerre : GUERRE AU SYSTEME !
Synthèse nationale
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Regroupement familial pour mineurs « réfugiés », par Pierre Malpouge
C’est nouveau, ça vient de sortir : même les « migrants » mineurs entrés seuls dans l’Union européenne (UE) ont désormais le droit de réclamer le regroupement familial (grand principe républicain légalisé et institutionnalisé en 1976 par Valéry Giscard d’Estaing, alors président de la République, par son Premier ministre de l’époque, Jacques Chirac, et par son ministre du Travail, Michel Durafour).
Ainsi en a décidé jeudi la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) qui, « grand remplacement » en marche oblige et n’étant plus à un « appel d’air » près, a décrété que les mineurs « réfugiés » non accompagnés – y compris ceux qui prétendent être mineurs mais qui ne le sont pas – peuvent demander à être réunis avec leurs familles. Et cela même s’ils ont atteint la majorité lorsque le processus arrive à son terme.
Dans la série naïveté bien-pensante et « humanitaire » quand tu nous tiens, cette décision de la CJUE a toutes les chances de conduire à une augmentation des flux déjà considérables d’arrivées massives de « réfugiés » mineurs – et/ou prétendument mineurs – sur le sol européen. Soit une disposition scandaleuse et dangereuse qui, pour reprendre les propos tenus par les députés LR Fabien Di Filippo et Valérie Boyer lors de l’examen, le 21 février dernier, de la loi asile et immigration portée par Gérard Collomb, va ouvrir un peu plus de « nouvelles filières d’immigration », avec le risque de « voir des mineurs envoyés en tête de pont et mis dans les bateaux de réfugiés ». Des mineurs qui pourront faire venir leurs pères, leurs mères, leurs frères et leurs sœurs partout en Europe. Une extension et une incitation au regroupement familial qui ont tout d’une bombe migratoire.
Pierre Malpouge
Article paru dans Présent daté du 13 avril 2018
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Le plan de Macron pour réduire les pouvoirs du Parlement
Droit d’amendement encadré, raccourcissement des navettes, maîtrise accrue de l’ordre du jour… Le gouvernement a introduit dans son avant-projet de loi constitutionnelle une série de dispositions qui limitent les pouvoirs du Parlement.
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Moscou: la frappe contre la Syrie ne sera pas sans conséquences
L'ambassadeur de Russie aux États-Unis a prévenu vendredi soir que les frappes coordonnées déclenchées par Washington, Londres et Paris contre la Syrie auraient des conséquences.
Les frappes militaires occidentales en Syrie reviennent à "insulter le Président russe", un acte qui aura des conséquences, a averti vendredi l'ambassadeur de Russie à Washington, Anatoli Antonov.
"Un scénario préconçu est en cours d'exécution", a réagi Anatoli Antonov sur Twitter. "Une fois de plus, on nous menace. Nous avons prévenu que de telles actions ne resteraient pas sans conséquences", poursuit-il.
"Les États-Unis, qui détiennent le plus gros arsenal d'armes chimiques, n'ont aucun droit moral à blâmer d'autres pays", poursuit l'ambassadeur.À Moscou, la porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères a déploré elle aussi ces frappes contre un "gouvernement souverain qui tente depuis des années de survivre à une agression terroriste".
"D'abord le 'Printemps arabe' a mis le peuple syrien à l'épreuve, puis Daech, maintenant les roquettes américaines", a écrit Maria Zakharova sur Facebook.
"Il faut être anormal pour attaquer la capitale de la Syrie juste au moment où elle avait l'occasion d'un avenir pacifique", ajoute-t-elle.Les États-Unis, la France et le Royaume-Uni ont mené dans la nuit de vendredi à samedi des frappes coordonnées en Syrie en représailles à l'attaque chimique présumée menée le week-end dernier à Douma, dans l'ex-enclave rebelle de la Ghouta orientale.
Le ministère russe de la Défense a indiqué samedi matin qu'aucun des missiles tirés contre la Syrie n'était entré dans les secteurs de Tartous et de Hmeimim, bases navale et aérienne utilisées par les forces russes et protégées par des systèmes de missiles sol-air.
https://fr.sputniknews.com/international/201804141035940646-moscou-syrie-frappe-consequences/