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anti-national - Page 668

  • Alexandre Del Valle : « il serait temps de s’attaquer à la base islamiste, qui n’est pas que djihadiste »

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    Et si le sacrifice d’Arnaud Beltrame marquait un tournant dans la lutte contre l’islamisme? Son geste a-t-il forcé une prise de conscience des politiques?

    En tout cas, pour le géopolitologue Alexandre Del Valle, Emmanuel Macron a le mérite d’avoir –enfin– ciblé l’ennemi. Un ennemi islamiste qu’il décrypte dans son dernier ouvrage. Entretien.

    https://fr.novopress.info/210293/alexandre-del-valle-il-serait-temps-de-sattaquer-a-la-base-islamiste-qui-nest-pas-que-djihadiste/

  • Après la profanation de la tombe de l'abbé Perrot :

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    Que s'est-il passé ? cliquez ici

    Sur l'assassinat de l'abbé Perrot :

    Partie 1 cliquez ici Partie 2 cliquez là

  • Affaire Skripal : les Britanniques auraient menti - Journal du jeudi 5 avril 2018

  • ALEXANDRE DEL VALLE : « COUPEURS DE LANGUES, COUPEURS DE TÊTES - LES DEUX INTIMIDATIONS DE L’ISLAMISME »

    Alexandre del Valle présente son nouveau livre La stratégie de l’intimidation – Du terrorisme jihadiste à l’islamiquement correct en exclusivité pour Boulevard Voltaire.

    Il y démontre que, derrière la diversité des pays et des traditions musulmans, il y a une unité idéologique de conquête, un « objectif commun : désassimiler les communautés musulmanes d’Europe »« Le génie de l’islamisme consiste, tout en dénonçant le djihadisme, à utiliser ce djihadisme comme un effet dissuasif qui fait que le “mécréant” va donner des exceptions, des circonstances atténuantes aux requêtes pourtant obscurantistes de l’islamisme. »

    « Entre l’islam et l’islamisme, il y a plus une différence de degré que de nature. »

    Vous sortez un nouveau livre La stratégie de l’intimidation aux Éditions du Toucan et de l’Artilleur. Vous tentez d’y d’expliquer comment l’islam grignote petit à petit l’Occident. Pourquoi avez-vous écrit ce livre ?

    Certains veulent nous faire croire que non seulement l’islam n’a rien à voir avec l’islamisme, mais que le djihadisme lui-même n’a rien à voir avec l’islam et les islamistes.
    Cette idée selon laquelle le djihadisme serait une réalité tout à fait autonome et délinquancielle est fausse et je le montre dans mes écrits.
    On nous dit que d’un côté, il y a l’islam qui est une religion, qui peut être pacifique, neutre ou modéré, et de l’autre, l’islamisme, c’est-à-dire l’islam politique conquérant.
    Les islamistes institutionnels, que ce soient les organisations transnationales comme la Ligue islamique mondiale ou les États qui ont pignon sur rue en Europe, comme l’Arabie saoudite, la Turquie, le Pakistan ou le Qatar, promettent un islam radical.
    Leur but est la désassimilation des musulmans d’Europe, la non-intégration et la ré-islamisation de ces communautés musulmanes. Ce séparatisme islamique a pour but de constituer une sorte de 5e colonne, un noyau dur à partir duquel l’Europe sera conquise.
    Mais ils ne sont pas explicitement terroristes. En Europe, ils avancent masqués. Ils masquent leurs doléances et leurs requêtes irrédentistes, suprémacistes et impérialistes derrière un discours victimaire. Ce discours est finalement très habile.
    J’ai retrouvé des textes entiers de la Ligue islamique mondiale et de l’Organisation de la coopération islamique d’imams saoudiens, y compris le grand imam d’Arabie saoudite, qui incitent les musulmans à refuser les meurs des sociétés mécréantes, à islamiser l’Europe et à se plaindre de l’islamophobie pour désarmer les mécréants.

    Tous ces mouvements islamistes, que ce soient des États, des associations ou des organisations, semblent poursuivre un seul et même objectif commun, alors que le propre de l’islam est la division. Comment tout cela s’organise-t-il ?

    Je parle de ces divisions dans mon livre. Il y a plusieurs pôles : les Turcs, les Saoudiens, les Frères musulmans, les Qataris, les Indo-Pakistanais… Ces pôles ont des agendas politiques différents.
    Les Turcs veulent surtout s’occuper de leurs ouailles, afin que les Turcs ne s’intègrent pas, qu’ils restent turcs et qu’ensuite ils votent pour Erdoğan ou d’autres un jour. Les Marocains font pareil. Ils ne sont pas aussi modérés qu’on le dit au niveau extérieur. Ils entretiennent des communautés marocaines en leur disant de s’intégrer au niveau économique, tout en restant marocains et musulmans. Les Saoudiens veulent distiller l’islam salafiste pur, le wahhabisme, qu’on appelle aussi le salafisme. Les Frères musulmans ont une forme de salafisme qu’on appelle réformiste et qui est un peu plus habile.
    Chacun a des tactiques différentes et des orientations différentes suivant les pays. L’objectif commun consiste à désassimiler les musulmans d’Europe d’origine étrangère qui sont devenus français, italiens, anglais ou autres. Après une première génération qui allait vers l’assimilation, la paranoïa islamique et confessionnelle qu’on leur transmet va les déconnecter de la société mécréante et leur faire croire que même dix générations après, rien que le fait d’être d’origine musulmane les exclura de cette société mécréante foncièrement hostile.
    C’est une stratégie extrêmement habile. Dans mon livre, j’appelle cela le génie de l’islamisme.
    J’avais créé l’expression « coupeurs de langues » en 1997 dans Le Figaro Magazine. Je désignais ainsi ceux qui veulent nous empêcher de parler en nous traitant d’islamophobes. Je reprends cette expression en sous-titre du livre.
    Mais qu’ils soient coupeurs de langues ou coupeurs de têtes, c’est-à-dire ceux qui tuent pour intimider physiquement et créer une sidération, les deux participent de la stratégie de l’intimidation. Ce sont deux formes d’intimidation physique et psychologique.
    Al Capone disait : « Une requête, un conseil, c’est bien, mais avec une arme, c’est beaucoup plus efficace. »
    Des islamistes institutionnels qui apparemment n’ont rien à voir avec le djihad disent à nos hommes politiques : « Vous devriez prendre des mesures contre Charlie Hebdo, contre des revues laïques ou chrétiennes mécréantes ou contre des lois qui interdisent le voile. » Ils se plaignent qu’ainsi nous stigmatisons les musulmans, ou que nous blasphémons, et que tout cela relève de l’islamophobie. À chaque fois que ces organisations émettent ce genre de requêtes, elles savent très bien, tout en condamnant le djihadisme, que le djihadisme est une épée de Damoclès qui rend beaucoup plus convaincante leur requête.
    Imaginez un curé qui va demander au nom d’un collectif contre la christianophobie d’arrêter de stigmatiser les chrétiens. Pourquoi cela n’a-t-il pas beaucoup de force ? Pourquoi, lorsqu’on parle du racisme, dit-on toujours « l’islamophobie, l’antisémitisme, le racisme anti-noirs » et ne parlons-nous jamais du racisme antichrétien ou anti-blancs ? Derrière ceux qui demandent de condamner le racisme anti-blancs ou la haine antichrétienne, il n’y a pas cette épée de Damoclès ni d’effet dissuasif. Les chrétiens ne font peur à personne. En revanche, l’islam fait peur à tout le monde. Le génie de l’islamisme consiste à utiliser le djihadisme, tout en le dénonçant, comme un effet dissuasif qui fait que le mécréant va donner des exceptions, des extraterritorialités et des circonstances atténuantes aux requêtes pourtant explicitement obscurantistes et suprémacistes de l’islamisme.

    Est-ce que ces deux islams différents seraient les deux faces d’une même pièce ?

    Je dirais qu’il y a une différence de degré mais pas de nature entre ces deux islams.
    La vraie séparation de nature apparaît entre un islam orthodoxe qui a une facette islamiste radicale et un islam libéral réformiste qui est jugé totalement hérétique.
    L’islam orthodoxe est celui qui n’a jamais réformé les textes de violence, de haine et d’intolérance contenue dans la deuxième partie du Coran qu’on appelle le Coran de Médine et dans la charia. Cet islam orthodoxe a deux facettes : un islam orthodoxe institutionnel avec l’Arabie saoudite, et les Frères musulmans, qui sont très interpénétrés. Par exemple, à l’université d’Al-Azhar soi-disant moderne et tolérante, on trouve beaucoup de Frères musulmans. L’islam orthodoxe sunnite est un tout qui n’accepte pas l’autocritique et qui n’a jamais remis en question les sources légales de la violence sacrée de l’islam. C’est là que puise le djihadiste pour légitimer et déculpabiliser son acte barbare. Depuis le Xe siècle, lorsqu’il y a eu le blocage des écoles juridiques de l’islam, beaucoup de musulmans voulaient réformer l’islam. Même au XXe siècle, il y a eu plusieurs tentatives de réformer l’islam, mais l’islam orthodoxe a toujours refusé.
    C’est pour cela que les djihadistes et les islamistes radicaux ne sont pas les seuls à excommunier les musulmans réformistes, puisque l’université Al-Azhar du Caire, en Égypte, a elle-même excommunié la totalité de tous les musulmans qui proposaient un islam rationnel qu’on appelle le mutazilisme. Le mutazilisme est un islam qui propose d’utiliser sa raison et de considérer le Coran comme créé par l’homme afin de pouvoir l’interpréter. Tous les adeptes de cette école juridique ont été excommuniés. C’est une école de croyants qui utilisent aussi la raison, qui veulent prendre une distance sur les textes de l’époque de Mahomet.
    Cela montre bien qu’entre l’islam et l’islamisme, il y a plus une différence de degré qu’une différence de nature. La vraie opposition entre modérés et radicaux se joue dans la différence entre l’islam orthodoxe et l’islam libéral qui est jugé totalement hétérodoxe, voire hérétique.

    Vous notez dans votre livre une volonté permanente de l’Occident de rehausser l’image de l’islam, notamment avec les mythes de ce que devrait la science à l’islam, notamment. S’agit-il d’un syndrome de Stockholm généralisé ?

    C’est effectivement un syndrome de Stockholm généralisé. La deuxième partie du livre porte sur le mythe fondateur de l’islamiquement correct. Il repose sur le mythe fondamental de l’Andalousie et de la science. Le mythe de la soi-disant Andalousie extrêmement tolérante des trois religions où l’islam est à la fois tolérant et multiculturaliste avant l’heure. C’est un mythe absolu. On sait aujourd’hui que l’Andalousie n’a fait que recopier ce qui a été élaboré à Bagdad. À l’époque de l’Empire abbasside au IXe siècle, les musulmans mutazilites, qui avaient une vision éclairée de l’islam et qui ont été condamnés, ont fait venir des Grecs. Ces Grecs ont pris des manuscrits à Byzance qu’ils ont fait traduire par des chrétiens d’Orient. Les grands spécialistes de la science arabe savent parfaitement que ces scientifiques et ces philosophes n’étaient jamais des musulmans orthodoxes. Ils étaient en général juifs, perses ou chrétiens. La grande majorité étaient des chrétiens araméens. Puisqu’ils parlaient l’araméen, ils avaient réussi à apprendre l’arabe facilement. Comme ils étaient byzantins, ils connaissaient également le grec. Cela leur a permis de traduire du grec à l’arabe de nombreux textes. La quasi-totalité étaient de confession chrétienne. En revanche, ceux qui étaient musulmans l’étaient très superficiellement. En général, ils étaient excommuniés ou considérés comme des mécréants, comme Avicenne ou Averroès.
    Ce mythe vise à culpabiliser l’Occident et à le rendre redevable vis-à-vis du monde musulman, mais aussi d’un empire califal qui pourtant a conquis l’Occident.
    Être nostalgique de l’Andalousie et de la Sicile islamiques est une façon de dire que c’était mieux lorsque vous nous occupiez.
    C’est aussi le mythe fondateur de nombreux musulmans irrédentistes et de nombreux pôles de l’islamisation qui prétendent, pour justifier l’islamisation de l’Europe, que l’Espagne, la Sicile et les Balkans étaient islamiques. Finalement, c’était merveilleux, car à l’époque l’islam était supérieur à l’Occident.
    Le mythe apparemment sympathique antiraciste de l’islamiquement correct est un mythe qui vise à nous rendre nostalgiques d’une époque où nous étions colonisés. Lors des attentats commis à Barcelone en 2017 et en 2004 à Madrid, les revendications d’Al-Qaïda ou de Daech sont très explicites. L’idée est de pousser les musulmans à conquérir l’Europe et de commence par l’Espagne, qui appartenait au califat. Le mythe de l’Espagne musulmane éclairée est dangereux. Il donne un carburant qui légitime l’irrédentisme et le colonialisme islamique.

    Comment sortir de cette dialectique « Si tu veux la paix, soumets-toi » ?

    En refusant la soumission. Il est vrai que, pour cela, il faut un peu de courage. Il ne faut pas avoir peur. D’ailleurs, ce ne sont pas les islamistes qui sont les plus virulents aujourd’hui, mais les islamo-gauchistes. Le rouge soutient le vert. Quand on critique les sources coraniques de l’islamisme, beaucoup de musulmans sont parfaitement conscients et sont prêts à l’entendre, à condition évidemment de le dire avec respect, sans stigmatiser les gens. Ceux qui sont les plus virulents sont les forces de gauche, d’extrême gauche et du politiquement correct.
    Ces gens détestent l’Occident. Les forces de la repentance et de la culpabilisation ont une haine de l’Occident et voudraient le détruire dans une logique d’expiation des péchés commis par le passé lorsque nous étions colonisateurs ou croisés.
    Ces islamiquement corrects de gauche, d’extrême gauche bien-pensant empêchent aujourd’hui de parler. Il faut faire l’inverse, c’est-à-dire réhabiliter l’amour de notre civilisation et rappeler que le christianisme n’a pas fait que de mauvaises choses. Même quand on n’est pas pratiquant, on peut comprendre que sans l’Église, il n’y aurait pas eu les universités. Nous ne serions même pas alphabétisés sans l’Église.
    Nous pourrions parfois ne pas voir que le côté négatif de notre passé, mais aussi le côté positif. Réhabiliter l’amour de soi est la meilleure thérapie face à ceux qui prônent la haine de soi et qui sont en fait, consciemment ou pas, les alliés objectifs des islamistes conquérants. Sans la haine de soi des islamo-gauchistes et des bien-pensants, qu’aurait l’islam en Europe ? Absolument rien !

    http://www.bvoltaire.fr/coupeurs-de-langue-coupeurs-de-tetes-deux-intimidations-de-lislamisme/

  • L’extrême gauche bloque les facs, par Caroline Parmentier

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    Contre la sélection (« pour une fac accessible à tou-te-s ») et contre le « fasciste » Macron, les bastions de l’extrême gauche étudiante, à la fois pro-migrants, antifas et bons bourgeois, veulent leur propre chienlit pour l’anniversaire de Mai 68.

    Les violences et les blocages se multiplient dans les universités à quelques jours des partiels. Contre la réforme de l’accès aux études supérieures, mais aussi contre la loi asile et immigration, après Toulouse, Montpellier et Bordeaux, Paris VIII, Nantes, Nice et Tours font désormais partie de la dizaine d’universités (sur soixante-dix) paralysées par le blocus d’extrême gauche.

    La grève et les violences pour le retrait de la loi « orientation et réussite des étudiants » (ORE), déjà partiellement mise en œuvre avec la plateforme Parcoursup, a été lancée par les syndicats étudiants Unef et Solidaires Etudiant-e-s, les syndicats lycéens UNL et SGL, ainsi que par une Coordination nationale des luttes. C’est dans la vieille rhétorique gauchiste que l’on fait les meilleurs tracts : « Non à la sélection, mort à l’Etat capitaliste, Oui aux migrants, Des emplois pour les étudiants, L’égalité et les diplômes pour tous, Ni fachos, ni flics dans nos facs » etc.

    10/20 pour tous !

    Les blocages gagnent l’Ile-de-France avec le site de Saint-Denis de l’université Paris VIII « complètement bloqué » et le campus de Paris I à Tolbiac, fermé depuis lundi. « A la majorité », d’après la propagande ordinaire des organisateurs, « les étudiants ont voté la poursuite du blocage débuté le 26 mars, de façon illimitée jusqu’au retrait de la loi ORE ». Avant de partir rejoindre la manifestation des cheminots à 14 heures, au départ de la gare de l’Est… Une cagnotte circule. L’argent servira à parts égales à alimenter le mouvement étudiant et venir en aide aux migrants. « Si on commence à sélectionner, les étudiants seront tous les mêmes. La fac doit rester une mosaïque ! », martèlent les chauffeurs d’amphis dans les AG. Ou encore : « On veut de l’excellence, Poisson d’Avril ! ».

    A Toulouse où le mouvement est très violent, les grévistes ont voté une motion en assemblée générale pour que « tous les étudiants aient au moins 10 à tous leurs partiels ». Paris leur a emboîté le pas : « A Tolbiac comme à Toulouse, les étudiants bloqueurs demandent d’obtenir 10/20 minimum pour valider automatiquement leur année. »

    Les premiers sanctionnés sont évidemment ceux qui veulent travailler et passer leurs examens. A Montpellier, témoigne une étudiante, « les grévistes crachent (littéralement) sur les étudiants qui tentent d’aller en cours. Une pluie d’insultes se déverse sur les ‟jaunes” que nous sommes : “sales bourgeois”, “fascistes”, “S.S. ”, “pauvres merdes de gosses de riches” ». Dans les rues de la ville, les manifestants ont caillassé les CRS et saccagé les vitrines de plusieurs commerces.

    Caroline Parmentier

    Article paru dans Présent daté du 4 avril 2018

    https://fr.novopress.info/

  • Préférence étrangère : nouveaux avantages financiers pour ceux qui embauchent des « jeunes issus des quartiers »

    Le secrétaire d’Etat auprès du ministre de la Cohésion des territoires Julien Denormandie, invité de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV et RMC ce mercredi, a annoncé le lancement des « emplois francs », une aide à l’embauche pour les « jeunes issus des quartiers ». Ce dispositif prévoit de faire bénéficier de 5.000 euros par ans, sur trois ans, les entreprises qui embauchent dans les « quartiers ».

  • Manifestation de Riposte laïque hier soir à Bordeaux devant l'Ecole nationale de la Magistrature

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    Hier soir à Bordeaux, Riposte laïque et Résistance républicaine avaient appelé à un rassemblement devant l'Ecole nationale de la Magistrature, véritable pépinière de juges gauchisants pour ne pas dire gauchistes. Il s'agissait de protester contre la véritable inquisition dont sont victimes les forces patriotiques cliquez ici.

    INTERVENTION DE THOMAS JOLY, SECRÉTAIRE GÉNÉRAL DU PARTI DE LA FRANCE, DEVANT L’ECOLE NATIONALE DE MAGISTRATURE

    Chers amis,

    Fidèle à sa volonté de rassemblement des patriotes, le Parti de la France soutient cette initiative de lutte contre l’utilisation de la répression judiciaire à des fins politiques.

    En effet, il paraît clair que, comme ses prédécesseurs, le locataire de l’Élysée semble prêt à toutes les manipulations pour faire taire ceux qui disent la vérité, ceux qui disent tout haut ce que les Français pensent tout bas, ceux qui refusent la colonisation migratoire et l’islamisation de la France et de l’Europe, ceux qui ne veulent pas de la charia ni des mosquées, ceux qui refusent de courber l’échine devant les communautés étrangères et les lobbies de l’invasion, ceux qui veulent une France française dans une Europe européenne.

    Pour nos gouvernants, nos idées, et nous-mêmes, devons disparaître pour laisser place au Grand Remplacement et à la destruction de notre civilisation pluri-millénaire. Ils sont effrayés par le fait que nous puissions réveiller l’instinct de survie de notre peuple qui, jusqu’alors, semblait accepter d’aller docilement à l’abattoir en chantant. Mais les atrocités commises par ceux qu’on nous a imposés de force rappellent à nos compatriotes, même les moins lucides, quel sort nous attend dans une France qui sera aux mains d’afro-musulmans toujours plus revanchards, toujours plus islamisés, toujours plus agressifs, toujours plus gourmands et surtout toujours plus nombreux.

    La répression judiciaire est un moyen efficace de faire taire ses opposants politiques. C’est pour cela qu’il ne faut pas applaudir les condamnations pénales de l’infâme communiste Stéphane Poussier qui s’était réjoui de la mort du Colonel Beltrame, ou bien de cette militante Vegan dégénérée qui elle s’est félicitée de la mort du boucher du Super U de Trèbes. Car c’est par le biais de cette même jurisprudence qu’ils condamnent et condamneront les combattants politiques que nous sommes.

    Tous les prétextes sont bons pour nous traîner devant les tribunaux et nous condamner à des peines et des amendes sidérantes que parfois les racailles les plus violentes n’encourent même pas !

    A titre d’exemple, Boris Le Lay, blogueur nationaliste exilé à l’étranger, a récemment été condamné à deux ans de prison ferme par le tribunal de Lorient pour avoir diffusé une photo de classe d’une école publique de Pontivy, afin de démontrer la réalité du remplacement de population même au fin fond du Morbihan. Sachant qu’il avait trouvé cette photo dans la presse locale !

    Cet acharnement judiciaire, s’il est certes insupportable, démontre que nous dérangeons, que nos analyses, nos constats et notre combat de résistance nationale ont un impact sur les Français.

    Alors ils pourront nous condamner, nous ruiner, nous priver pourquoi pas de notre liberté, mais ils ne pourront endiguer encore très longtemps le réveil du peuple français. Et lorsqu’il adviendra, le plus tôt possible souhaitons-le, tous ces traîtres à la Nation seront balayés par cette vague de fond que sera la reconquête nationale et européenne.

    Nous reprendrons ce qui nous appartient, nous rendrons la France aux Français, l’Europe aux Européens, et renverrons le cancer islamique d’où il vient en organisant la remigration salvatrice de toutes ces populations qui n’ont strictement rien à faire chez nous !

    Au diable les juges collabos ! Haut les cœurs ! Vive la France française !

    Texte lu par le militant local Thomas Bègue

    Source Riposte laïque cliquez là

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Le Congrès de l’UOIF attise la haine contre la France, par Caroline Parmentier

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    9084-20180404.jpgLe 35e rassemblement des islamistes de l’ex-UOIF a bien eu lieu samedi et dimanche au Bourget malgré les demandes d’interdiction de plusieurs personnalités dont Marine Le Pen. Le stand « Free Tariq Ramadan » y a connu un franc succès.

    Quelques jours seulement après que Macron a juré sur la tombe d’Arnaud Beltrame qu’il allait s’attaquer à « l’hydre islamiste », Musulmans de France (nouveau nom de l’Union des organisations islamiques de France) lié aux Frères musulmans, interdit et classé comme groupe terroriste par de nombreux pays à travers le monde, a toujours pignon sur rue. En plein contexte des attentats islamistes de Trèbes et de Carcassonne et de l’assassinat de Mireille Knoll, ce rassemblement qui a réuni 170 000 musulmans, (le plus important du genre en Europe) avait annoncé ses prédicateurs attitrés, comme Ahmed Jaballah ou Tareq Oubrou, l’imam Iquioussen, célèbre pour avoir qualifié les juifs « d’avares et d’usuriers », Nabil Ennasri, pour qui « le djihad, dans le cadre d’une lutte armée défensive contre un système oppressif, est parfaitement légitime pour le peuple syrien » ou encore Sofiane Meziani, pour qui il faut « en finir avec la démocratie française ».

    Rappelons que la très radicale UOIF a officiellement appelé à voter Emmanuel Macron à la dernière présidentielle. Un soutien que ce dernier n’a jamais rejeté.

    Tariq Ramadan toujours influent

    Mais l’un des orateurs vedettes de ce congrès manquait à l’appel. Et pour cause, il est en prison, accusé de viols par trois femmes. Toutefois ses livres, ainsi que ceux de son frère Hani Ramadan (qui appelle à la lapidation des femmes en cas d’adultère) sont en bonne place. Et surtout le stand de son comité de soutien « Free Tariq Ramadan » (Libérez Tariq Ramadan) à la place d’honneur dans le hall d’accueil, n’a pas désempli. Barbus et femmes voilées s’y pressent pour signer la pétition de soutien (adressée au président de la République et au ministre de la Justice) et acheter les livres du prédicateur islamiste. Cette pétition réclamant sa libération, rédigée en trois langues – français, anglais, arabe – a déjà recueilli près de 120 000 signatures, et la collecte de fonds pour les frais de justice avait atteint 100 000 euros en quelques jours.

    Les leaders associatifs musulmans battent le rappel de la communauté depuis des semaines sur les réseaux sociaux. La banlieue n’est pas loin d’en faire un martyr. Il faut dire que Tariq Ramadan y a fait l’éducation politique et religieuse de beaucoup de jeunes Français de la deuxième génération d’origine maghrébine. Au Bourget, la révolte gronde : on entend que « ses droits fondamentaux sont bafoués » et qu’il vit une « incarcération sans jugement, sans fondement et dans un état de santé alarmant ». « L’affaire a perturbé la communauté, cela nous met en colère de voir qu’un musulman est traité de cette manière dans ce pays », déclare un certain Jamel au Figaro.

    Le président des Musulmans de France, Amar Lasfar, fait monter la pression : « Nous assistons à un lynchage médiatique, nous prions Dieu pour qu’il soit libéré et blanchi. Même s’il était condamné, la pensée de Tariq Ramadan restera. Personne ne peut remettre en cause ce qu’il a enseigné. D’ailleurs, ses livres se vendent comme des petits pains sur son stand. »

    Musulmans de France n’a pas formellement condamné les attentats de Trèbes et de Carcassonne.

    Caroline Parmentier

    Article paru dans Présent daté du 3 avril 2018

    https://fr.novopress.info/

  • FRANCE, MARCHE OU GRÈVE !

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    Ce 3 avril peut être salué comme une sorte de célébration de notre identité malheureuse, une manière de fête nationale à l’envers. Notre pays a connu des grands moments et des désastres. Ce matin, un syndicaliste de la SNCF se réjouissait que le mouvement de grève lancé par les cheminots coïncide avec l’anniversaire de 1968. Un autre rappelait la victoire syndicale de 1995. Il y a des pays où l’on fait des réformes salutaires. En France, on commémore avec fierté des révolutions, même celles qui n’en étaient que des simulacres pour jeunes bourgeois qui s’ennuyaient, opportunément récupérés par des syndicats moins soucieux de l’état du pays que de leurs résultats aux élections professionnelles.

    Il y a, dans notre pays, une espèce de jouissance du chaos, et d’autant plus forte que le désordre ne repose que sur lui-même, sans la moindre cause objective, comme le besoin périodique de Saturnales, ces fêtes où l’on inversait les rangs et les valeurs. On compte, ce matin, les trains qui ne circulent pas, les travailleurs qui ne travaillent pas, les voitures qui ne roulent plus dans les bouchons qui doublent d’heure en heure. On attend avec gourmandise combien d’universités vont être bloquées, et on sait déjà que tous les avions d’Air France ne décolleront pas.

    La grève sinueuse des cheminots qui va serpenter pendant trois mois peut-être dans la vie des Français, en contournant le prétendu service minimum, a, avant tout, pour but de créer un niveau de gêne maximum. Elle se fait dans le service public et pour le service public, mais résolument contre le public. 

    Pourquoi cette grève a-t-elle lieu ? D’abord, pour maintenir un statut, c’est-à-dire une protection, qui est en France, le pays des droits de l’homme et de sainte Égalité, un privilège sans compensation. Certains employés de la SNCF ont des horaires de travail qui perturbent leur vie personnelle et familiale. C’est le cas, aussi, pour de nombreux salariés du privé. Et ils n’ont pas de statut ! La compensation logique du statut, c’est-à-dire la garantie de l’emploi à vie, devrait être l’interdiction de la grève. Quant aux conditions plus que favorables de la retraite des cheminots, elles ne reposent sur aucune justification de pénibilité. Bien au contraire !

    Alors, on en arrive à cette aberration que la grève dans le service public est la plus facile à déclencher et la plus douloureuse pour les Français. On a même pu parler de grève par procuration : ceux qui ne devraient pas faire grève parce que, ce faisant, ils pénalisent le pays tout entier pour sauvegarder des avantages catégoriels, font grève pour ceux qui n’ont ni les moyens ni la possibilité de le faire. La part des Français qui soutiennent le mouvement est légèrement minoritaire (46 %) mais c’est déjà beaucoup quand on sait que la « réforme » gouvernementale est, elle aussi, un mot trompeur, puisqu’elle ne change rien au statut actuel des cheminots.

    Mais ce mensonge de part et d’autre nous indique où est tombé, une fois de plus, le niveau politique du pays : celui d’un poker menteur. L’enjeu n’est évidemment pas l’intérêt général, le bien commun de la France, dont tout le monde se fout. C’est de savoir si Macron sera l’homme des réformes que la droite a été incapable de réaliser ou si son échec permettra de retrouver une situation politique plus conforme à la réalité du pays. Le Président, élu par surprise, est un acteur de talent qui n’a pas franchi les étapes du parcours qui donne à un homme politique sa véritable légitimité. La victoire contre le mouvement actuel, fût-ce au prix d’un référendum, comme le voulait Fillon, lui donnerait cette épaisseur qui lui manque. La France se trouverait ainsi engagée dans le mouvement d’effacement progressif dans l’Europe technocratique et le mondialisme des affaires qui sont l’horizon d’Emmanuel Macron. Fameux dilemme, pour un pays, de se trouver ainsi coincé entre Charybde et Scylla, entre En Marche et Grève !

    http://www.bvoltaire.fr/france-marche-greve/

  • Des milliers d’hommes réduits en esclavage par les islamistes

    6a00d83451619c69e201b8d2e7bfbd970c-800wi.jpgD'Antoine de Lacoste sur Boulevard Voltaire :

    "Depuis que l’armée syrienne a libéré la quasi-totalité du territoire de la Ghouta, cette vaste banlieue est de Damas, on en sait un peu plus sur les méthodes de « gouvernement » des différentes milices islamistes. La population se taisait par peur des représailles, l’ineffable OSDH (Observatoire syrien des droits de l’homme) n’était sans doute pas au courant, donc les médias non plus. Et pourtant…

    Des milliers d’hommes ont été, pendant des années, réduits en esclavage par les islamistes pour construire leur arme de guerre favorite : les tunnels. On sait que ces tunnels, qui peuvent s’étendre sur des dizaines de kilomètres, ont été largement utilisés par les islamistes depuis le début du conflit. Afin de parfaire leur technique, les dirigeants de Daech avaient même fait venir en Syrie des spécialistes reconnus : des militants du Hamas palestinien qui avaient bâti un réseau remarquable dans la bande de Gaza. Depuis, l’ensemble des groupes islamistes utilisaient cette méthode afin de se protéger des bombardements, de ravitailler des zones encerclées ou de monter des embuscades dans le dos de l’armée syrienne. Seulement, creuser des tunnels, c’est long et fatigant. Et puis les combattants ont mieux à faire. Alors, quoi de mieux que de rafler les hommes en état de creuser, tout en assurant la subsistance de leurs familles, étroitement surveillées comme il se doit ? La main-d’œuvre n’étant pas toujours suffisante, Jaych al-Islam, le groupe salafiste qui tenait Douma jusqu’à présent, s’est livré à de nombreux enlèvements en zone loyaliste. L’opération la plus spectaculaire a eu lieu en 2013 à Adra : des dizaines de fonctionnaires et de civils pris au hasard ont été enlevés, certains avec leurs familles. Les prises les plus intéressantes ont été incarcérées, les autres envoyées dans les tunnels. On les a appelés « les kidnappés d’Adra ». La plupart sont alaouites, la confession de la famille Assad. Rappelons que cette incursion à Adra s’est accompagnée de massacres épouvantables, mais cela n’a pas beaucoup intéressé l’OSDH.

    Plusieurs de ces esclaves ont disparu. Leurs familles n’ont aucune nouvelle et, depuis que la Ghouta est progressivement libérée, de nombreuses mères ou épouses font le guet. En effet, des dizaines de prisonniers ont déjà été libérés à la faveur des négociations menées par les Russes et chacun espère voir réapparaître les siens. D’autres prisonniers ont été vus récemment : afin d’empêcher les bombardements, les islamistes les mettaient dans des cages qu’ils disposaient au milieu de la chaussée… Les familles sont également sans nouvelles de plusieurs dizaines de femmes, et le pire est à craindre pour elles. Tous ces prisonniers, dont on ignore le nombre exact, ont été au cœur des négociations de ces derniers jours qui vont aboutir à la libération totale de l’est de la Ghouta."

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