Extrait d'un entretien de Douglas Murray, écrivain et journaliste britannique qui vient de publier "L'étrange suicide de l'Europe" qui connaît le même succès que l'ouvrage d'Eric Zemmour sur Le Suicide français, dans Le Figaro :
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Les fonctionnaires français sont bien informés de la réalité accablante de l'immigration
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Des magistrats de la Cour de cassation juges et parties ?
Peut-on à la fois dire le droit et intervenir en tant que conférencier pour le compte de l’entreprise qu’on est en train de juger ? La question ne semble pas avoir effleuré des magistrats de la chambre sociale de la Cour de cassation.L’arrêt du 28 février 2018 concernant la filiale française du groupe néerlandais Wolters Kluwer (qui édite entre autres des publications de Liaisons sociales et de Lamy) en est une illustration. Les magistrats ont rendu en l’espèce un arrêt très défavorable aux salariés, confirmant au passage un virage pro-entreprise de la chambre sociale, dont nous faisions mention dans nos colonnes il y a quelques mois.Au cœur de l’affaire, un montage financier, répondant au nom de code « Cosmos », réalisé en 2007 lors de la fusion de plusieurs filiales françaises du groupe, réunies au sein de Wolters Kluwer France (WKF).La nouvelle entité juridique a alors été contrainte de contracter un emprunt de 445 millions d’euros auprès de sa maison mère, la holding à Amsterdam. Jusque-là, rien d’illégal, si ce n’est que les intérêts d’emprunt, extrêmement élevés (fixés à l’époque à 7,3 %) pour une opération intragroupe, ont eu pour conséquence de littéralement siphonner la participation des salariés français pendant de nombreuses années, ce complément de revenus pouvant selon les exercices se monter jusqu’à trois mois de salaires par salarié.Longue bataille judiciaireUn emprunt dissimulé aux représentants du personnel, car il a été souscrit en juillet 2007, juste après la restructuration, au moment où la nouvelle société WKF n’avait pas de comité d’entreprise (il sera reconstitué deux mois plus tard). L’opération Cosmos a également entraîné un gain fiscal pour la maison mère. La cession des titres Lamy et Groupe Liaisons (bénéficiaires à l’époque) a permis la distribution de dividendes à hauteur de 555 millions d’euros perçus en 2008 par la maison mère WKI NV. Une aubaine. Le taux d’impôt sur les sociétés de 15 % aux Pays-Bas étant plus favorable qu’en France (33 % en 2007).Les syndicats de WKF (Ugict-CGT, SNJ, CFDT et la CNT), sont montés au créneau. A l’issue d’une longue bataille judiciaire (une enquête pénale ayant même été menée pour entrave au fonctionnement du comité d’entreprise), la cour d’appel de Versailles leur a donné raison le 2 février 2016. Au vu du contenu du dossier, dans un climat plutôt marqué par la lutte contre l’optimisation fiscale agressive et alors que les questions d’intéressement et de participation reviennent dans le débat à la faveur de la future loi Pacte sur l’entreprise, les salariés et leurs syndicats espéraient une confirmation de la décision par la Cour de cassation.C’est tout le contraire qui s’est produit. Les juges ont estimé que les salariés auraient dû contester le calcul de la réserve de la participation alors certifié par un commissaire aux comptes. Faute de l’avoir fait, les syndicats ont subi un sérieux revers – « quand bien même l’action des syndicats était fondée sur la fraude et l’abus de droit invoqués à l’encontre des actes de la gestion de la société », justifient les juges.La fraude corrompt toutUne motivation qui a heurté les salariés de WKF et leurs conseils et surpris également nombre de juristes spécialisés dans le droit du travail. Car jusqu’à présent, la fraude était systématiquement condamnée. « En d’autres termes, cet arrêt laisse entendre que même si un montage financier est frauduleux, en l’occurrence pour priver des salariés de leur participation, il peut quand même prospérer. De mémoire de juriste, je n’ai jamais vu ça », souligne un professeur de droit.« Cet arrêt laisse entendre que même si un montage financier est frauduleux, en l’occurrence pour priver des salariés de leur participation, il peut quand même prospérer » Twitter« Cela peut vouloir dire que la fraude ne fait plus exception à toutes les règles, explique de son côté le professeur de droit Gilles Auzero, qui a commenté l’arrêt dans les Cahiers Sociaux. Dans la jurisprudence prévaut l’adage « fraus omnia corrompit » c’est-à-dire la fraude corrompt tout. Alors bien sûr, on pourrait dire que ce n’est qu’un adage et que les juges ont le droit de s’en affranchir, mais, juridiquement, les motivations de l’arrêt demeurent discutables. Les salariés ne pourraient donc plus contester parce qu’il y a une attestation du commissaire aux comptes ? Mais ce n’est pas l’attestation elle-même qui est en cause. Un commissaire peut légitimement dire que le bénéfice net est égal à zéro et qu’il n’y aura donc pas de participation. Ce qui compte, c’est ce qui s’est passé en amont et par quel montage cette participation est devenue nulle. »Cette « cassation sans renvoi », qui dans le langage des juristes signifie que les syndicats n’ont aucune possibilité de recours, pourrait n’être qu’un coup dur porté aux salariés de WKF et plus largement aux opposants des pratiques d’optimisation fiscale agressive. Mais beaucoup de salariés n’acceptent pas que les magistrats qui ont rendu l’arrêt aient une connaissance approfondie de leur entreprise.Des magistrats dans les colloques de WKFLes juges, à commencer par le président de la chambre sociale, Jean-Yves Frouin (qui termine son mandat dans les prochains mois), le doyen Jean-Guy Huglo et la conseillère Laurence Pécaut-Rivolier, qui ont statué sur cette affaire au sein d’une formation composée de dix magistrats, connaissent bien Wolters Kluwer France. Ils y interviennent régulièrement dans le cadre de conférences et de colloques payants organisés par le groupe pour un public essentiellement composé de juristes et de DRH.Cette activité formation est au cœur des métiers de WKF. Conseillère à la chambre sociale, Laurence Pécaut-Rivolier s’exprime dans les colloques sur le nouveau comité social et économique (CSE) issu des ordonnances Macron et qui a remplacé le comité d’entreprise. Le 7 mars 2018, elle participait ainsi à une journée de conférences, « Tout ce qu’il faut savoir sur le CSE » organisée par Wolters Kluwer. Et c’est encore Laurence Pécaut-Rivolier qui sera amenée à juger les affaires qui remonteront à la Cour de cassation dans une formation spécialisée au sein de la chambre sociale sur le CSE. -
Un garçon de Douma révèle des détails sur le tournage de la vidéo sur «l’attaque chimique»
Le garçon syrien Hassan Diab, présenté par les Casques blancs comme une personne touchée par la présumée attaque chimique le 7 avril à Douma, a raconté à un journaliste russe comment la vidéo sur «l’attaque» a été filmée.
Il n’y a eu aucune «attaque chimique» à Douma, une banlieue de Damas, le 7 avril dernier et les personnes qui «auraient été touchées par un agent chimique» ont été invitées par les Casques blancs, a annoncé mercredi Hassan Diab, un garçon de 11 ans qui figurait dans la vidéo.
«Nous étions dans un sous-sol. Maman m’a dit qu’il n’y avait rien à manger et qu’on mangerait demain. Nous avons entendu des cris dans la rue, on criait "Allez à l’hôpital". Nous avons accouru à l’hôpital et dès que j’y suis entré, on m’a attrapé et on a commencé à m’asperger d’eau. Ensuite, on nous a mis sur des lits à côté d’autres personnes», a indiqué le garçon à la chaîne de télévision Rossiya 24.
Le correspondant de guerre de la chaîne, Evguéni Poddoubny, a noté qu’on avait obligé le garçon à tourner dans cette vidéo.
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Immigration : la droite demande un référendum
Pendant qu’on débat à l’Assemblée nationale, devant un par-terre de députés clairsemé , sur la loi asile et immigration, qui prévoit en autre l’élargissement du regroupement familial, une pétition a été lancée le mardi 17 avril par le président de Debout la France et député de l’Essonne, Nicolas Dupont-Aignan, avec le sénateur de Moselle Jean-Louis Masson, demandant l’organisation d’un référendum sur l’immigration.
Mercredi 18, le patron des Républicains, Laurent Wauquiez, a émis la même idée sur RTL et au cours d’une convention intitulée « comment réduire l’immigration » : « Depuis trente ans, cette question a profondément changé notre pays. Jamais on n’a consulté les Français sur ce qu’ils souhaitaient », a-t-il déclaré.
Le FN qui réclame depuis 2014 la tenue d’un tel référendum devrait donc souscrire à cette initiative.
Pour qu’elle soit effective, il faut réunir trois conditions : recueillir la signature de 185 parlementaires, trouver le soutien de 10% du corps électoral, soit environ 4,6 millions de personnes, et pour finir, obtenir l’approbation du Conseil constitutionnel.
Nicolas Dupont-Aignan a profité de cette occasion pour inviter à l’union des droites :
« Cette initiative est la démonstration grandeur nature, qu’il existe une coalition majoritaire en France face à la gravité de la situation de notre pays et la politique dévastatrice d’Emmanuel Macron. (…) J’appelle les dirigeants des deux formations politiques à ne pas être dans une posture politicienne et à s’exprimer auprès de leurs Parlementaires respectifs en faveur de cette procédure. Il en va de l’intérêt de notre nation! »
Francesca de Villasmundo
http://www.medias-presse.info/immigration-la-droite-demande-un-referendum/90578/
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Macron renforce les zadistes, par Caroline Parmentier
Plus fort pour bombarder la Syrie que pour virer les zadistes et les antifas, le gouvernement s’est mis lui-même dans cette situation intenable. Où est l’autorité de l’Etat dont Emmanuel Macron disait qu’elle serait sa marque de fabrique ?
Il fallait réagir très vite après la décision d’abandonner le projet d’aéroport. Les zadistes et la racaille étrangère venue les soutenir, sortent chaque jour renforcés des tergiversations et concessions. C’est un Hulot hagard, ravagé par ses problèmes personnels (sous anti-dépresseurs ?) que l’on a vu mercredi sortir mollement d’une « réunion cruciale » à la préfecture de Nantes qui s’est soldée par un nouvel « échec du dialogue ». En même temps, que peut-il bien leur dire sans se prendre dans la figure des cageots entier de courgettes bio, lui qui a longtemps été un de leurs plus fervents partisans avant de passer chez les « traîtres » ?
Indéfiniment c’est l’indulgence plénière des gouvernements de gauche pour ces voyous dont Le Monde et Edwy Plenel, se sont fait les porte-voix. Chaque jour la situation s’enlise un peu plus avec des forces de l’ordre réduites à déblayer chaque matin les barricades remontées la nuit par les zadistes qui continuent de bloquer les routes. Jusqu’à ce qu’il y ait un mort ?
Les professionnels du projet de désordre
Le gouvernement n’avait-il pas affirmé en janvier que la zone serait évacuée et qu’il laissait déjà jusqu’au 31 mars aux occupants illégaux pour plier bagage ? On a offert la possibilité aux expulsés de déposer leurs « projets agricoles » sur des parcelles dont ils ne sont pas propriétaires, occupées pendant des années, sans jamais rien payer y compris pour l’enlèvement de leurs nombreux déchets. On a tenté de régulariser leur situation au mieux de leurs intérêts alors qu’ils auraient dû être évacués à grands coups de pied dans le train. On leur a donné des délais supplémentaires, on leur a concédé des passe-droits incroyables qui ont scandalisé les agriculteurs soumis, eux, à une législation draconienne. Mais ça n’était jamais assez. Finalement les rares qui ont voulu rentrer dans la légalité en déposant un projet para-agricole se sont fait menacer et terroriser par les professionnels du projet de désordre.
« C’est vrai que je pensais que la délégation qui avait accepté de venir me voir avancerait vers des choses qu’on leur demande qui sont assez simples » déclare Nicole Klein, préfet de région : « donner leur nom et présenter un projet agricole. Il y a un refus absolu d’entrer dans ce qui est normal pour tout autre agriculteur en France, c’est incompréhensible et inacceptable pour tous les autres. »
Le choc des images est insupportable. Combien de temps 200 crasseux (depuis que la Zad a été évacuée, ils sont chaque jour plus nombreux !) vont-ils tenir en en échec 2 500 policiers et gendarmes ? Macron qui proclame devant quatre millions de Français qu’ils n’ont aucune légitimité, montre l’image d’un impuissant. A Notre Dame des Landes c’est la double peine pour les riverains qui sont dans la légalité, ceux qui payent leurs impôts, ne brûlent pas et ne saccagent pas les centres-villes : non seulement le projet d’aéroport a été abandonné mais les affrontements et la chienlit sont aussi violents que s’il avait été construit.
Caroline Parmentier
Article paru dans Présent daté du 19 avril 2018
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Les financiers du Monde, Pigasse et Niel, soutiens des antifas
Thierry Bouzard Présent cliquez ici
Directeur au Monde, Aris Papathéodorou héberge le réseau des antifas de La Horde qui s’en prend au « grand capital » sans que cela ne gêne ses employeurs, le titre est la propriété de Matthieu Pigasse (directeur à la banque Lazard) et du milliardaire Xavier Niel, voici pourquoi.
Au Monde, on connaissait déjà Mestre et Monnot, les préposés à la surveillance des “droites extrêmes” qui animent le blog poussif du même nom. Plus hargneux qu’efficaces, ils font diversion. L’arrière-cour est plus musclée au point de faire du quotidien la base arrière de toute l’ultra gauche.
La Horde est un site « antifasciste » dénonçant avec haine et violence ceux qui ne plaisent pas à leurs commanditaires. En totale illégalité, les administrateurs de La Horde revendiquent un anonymat militant. Sauf que le site est hébergé — avec d’autres de la mouvance (No Pasaran, Reflex, Solidarité Résistance Antifa, Sud Education, Association RaDAR, …) — par Samizdat1dont le gestionnaire n’est autre qu’Aris Papathéodorou, directeur artistique du quotidien Le Monde depuis 2011. Un artiste pas uniquement recruté pour ses compétences graphiques car il ne dispose, d’après son profil Linkedin, que d’une simple licence « jamais complétée »… en sciences sociales. Né en 1959, Papathéodorou est un pionnier du militantisme sur le Net. Son aventure avec Samizdat débute quand les mouvements autonomes, anarchistes et libertaires imaginent utiliser les réseaux d’ordinateurs à des fins militantes2. Samizdat.net a attendu 2000 pour se transformer en association loi 1901.
On sent chez Papathéodorou la frustration de l’idéologue fasciné par l’action, mais tranquillement cantonné dans l’intendance, moins exposée et plus lucrative. On le trouve en 1994 dans le soutien à Florence Rey et Audry Maupin, les deux tueurs de la Fusillade de Vincennes (5 morts, 6 blessés). Avec d’autres libertaires, il cosigne une déclaration attestant de leur proximité avec les terroristes : « Oui ce sont des camarades, oui nous avons milité ensemble ». Ce ne sont pas les seuls car on découvre dans son orbite un ancien d’Action directe, Claude Halfen dit “Casquette”. En 2015 et bien qu’il le récuse, Halfen a été clairement identifié par Rodolphe Crevelle, du Lys noir3, comme étant l’administrateur de La Horde. Soupçonné d’avoir participé, le 31 mai 1983, à la fusillade de l’avenue Trudaine à Paris4, dans laquelle deux policiers sont tués et un troisième grièvement blessé5, il est acquitté faute de preuves. Au cours du procès en diffamation qu’il intente, en 2011, contre l’ancien juge antiterroriste Jean-Louis Bruguière, il ne renie rien. A la question du président du tribunal : « Avez-vous des regrets ou des remords ? », Halfen répond : « On aura à tirer le bilan critique » d’Action directe quand tous seront sortis de prison. Effectivement, plusieurs sites hébergés par Samizdat, comme No Pasaran6 ou NeLaissonsPasFaire7, militent pour la libération des terroristes d’Action directe ainsi que de l’assassin communiste Cesare Battisti, et les soutiennent.
Si Halphen récuse son activité sur La Horde, on sait qui opérait avant lui. En 2015, dans l’hommage que ses amis lui rendent après sa mort, ils désignent Jean-Pierre Masse, un « antifasciste de longue date (au sein de Solidarité Résistance Antifa et de La Horde) »8. Il était aussi concepteur de sites pour Science Po et le CNRS, et entretenait une fantasmatique « cartographie de l’extrême droite contemporaine ». Masse et Papathéodorou ont été de vieux complices, puisqu’ils étaient les principaux administrateurs de Samizdat, dixit Jean-Marc Manach9. Ce journaliste spécialisé d’Internet et des questions de surveillance et de vie privée10, est une autorité dans son domaine : il intervient dans les grandes écoles du journalisme français pour former nos futures “élites” médiatiques. Tout naturellement, son blog consacré aux libertés numériques11 est hébergé par Le Monde. On retrouve Papathéodorou et Manach en mars dernier à Marseille autour des travaux d’une cyberféministe.
Dans une présentation du projet Samizdat parue sous forme d’entretien dans la revue universitaire Matériaux pour l’histoire de notre temps (n° 79, 2005)12, « l’infatigable activiste » Papathéodorou explique comment ses engagements antérieurs « autonomes et libertaires » l’ont conduit à devenir l’hébergeur, ou plutôt un « opérateur de communication alternatif » des mouvances les plus radicales de la gauche. Le principe est « de ne pas donner d’informations sur les gens que l’on héberge, et de ne jamais enlever aucun contenu tant que nous n’y sommes pas obligés par une décision de justice — mais nous nous réservons aussi la possibilité de ne pas obtempérer dans certains cas, si nous l’estimons nécessaire ». En 2000, Papathéodorou clamait déjà haut et fort dans feu la revue Transfert : « Ils pourront toujours se brosser avec leurs lois ». Un identique mépris de la législation est affiché sur le site de La Horde : « La Horde est un site de communication au public en ligne consacré à l’antifascisme. Il est édité à titre non professionnel au sens de l’article 6, III, 2° de la loi 2004-575 du 21 juin 2004.Conformément aux dispositions de cet article, son éditeur a choisi de rester anonyme. Il est hébergé par Samizdat. »13 Alors que des administrateurs de sites sont condamnés pour défaut de mention légale permettant leur identification, ceux de Samizdat bénéficient d’une étonnante complaisance des autorités de contrôle. Dans ces conditions, on peut se demander comment est gérée la grosse boutique en ligne de La Horde14.
Le Monde a lancé le Decodex pour « aider à vérifier les informations qui circulent sur Internet » s’arrogeant ainsi le droit de dire qui diffuse de la bonne et de la mauvaise information. Alors ministre de l’Education nationale, Belkacem avait même recommandé l’outil dans les écoles. Ainsi le Decodex du Monde met sévèrement en garde contre TV Libertés, Polémia et tous les sites de la dissidence, mais n’a évidemment rien contre les sites hébergés par Samizdat, pas inquiété par les appels à la haine et au meurtre ni par les soutiens au terrorisme. Logique : il ne faudrait quand même pas balancer des collègues !
Les contradictions n’étouffent pas Papathéodorou, issu d’une famille de communistes grecs réfugiés en France il sert de portefaix à Pigasse, celui qui restructure la dette grecque pour le compte de la banque Lazare dans les années 2000-2010, plongeant le pays dans la misère. Ils ne se cachent même plus. Finance, médias, politique et terrorisme, les liens mis à jour entre la grande finance, les idéologues de l’ultra gauche et les antifas au sein d’une institution comme Le Monde illustrent une communauté d’intérêts : éliminer les résistances de la population française au mondialisme à n’importe quel prix et par tous les moyens, légaux et illégaux.
Notes
2 https://www.persee.fr/doc/mat_0769-3206_2005_num_79_1_1043
4 http://le.raid.free.fr/action-direct.htm
6 http://nopasaran.samizdat.net/spip.php?article1282
7 http://nlpf.samizdat.net/spip-41904.php.html
8 Culture & conflits, 2015/3 (n° 99/100), pp. 7-10.
9 http://transfert.net/Ils-pourront-toujours-se-brosser
10 https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean-Marc_Manach
11 http://bugbrother.blog.lemonde.fr/
12 Revue éditée par la BDIC (Bibliothèque de documentation internationale contemporaine) avec le concours du Centre national des Lettres et de l'Université de Paris X, du Ministère de la Défense, de la Ville de Nanterre et du Conseil général des Hauts-de-Seine.
13 http://lahorde.samizdat.net/la-horde-cest-quoi/
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Terrorisme : Français, réveillez vous, vous êtes gouvernés par des incompétents irresponsables
Ce matin, je suis en colère de plaider dans le désert devant les failles évidentes de notre dispositif de lutte contre le terrorisme islamiste que je dénonce depuis plusieurs années et de ne pas être entendu. Que faudra-t-il de plus que le sacrifice suprême d’un officier supérieur de gendarmerie pour que les Français prennent conscience de ce qui se dessine sous notre nez ? L’attentat de Trèbes vient signifier de manière éclatante l’échec de notre politique de prévention des actes terroristes. Il souligne la passivité, l’incompétence et l’irresponsabilité de nos gouvernants passés et actuels. Une remise à plat complète de notre dispositif antiterroriste sur notre sol s’impose. Les Français doivent l’exiger et dénoncer la prévarication des Cazeneuve, Valls, Hollande et, aujourd’hui, Philippe, Collomb et Macron.
Incompétence et irresponsabilité, d’abord. Redouane Lakdim, l’auteur des attaques, né au Maroc en 1992, aurait été naturalisé en 2004 car son père était devenu français. L’application de l’art 25-1 du Code civil aurait pu permettre de le déchoir de cette nationalité. Celui-ci prévoit le cas de l’individu qui « s’est livré au profit d’un État étranger à des actes incompatibles avec la qualité de Français et préjudiciables aux intérêts de la France ». Cette qualification aurait déjà dû être élargie à la radicalisation islamiste en relation avec un groupe terroriste ou encore au rejet de la laïcité et de nos valeurs républicaines.
Si monsieur Hollande avait fait voter une loi sur la déchéance de nationalité, comme ils s’y était engagé devant le Parlement réuni à Versailles au lendemain des attentats du 13 novembre 2015, Redouane Lakdim aurait pu faire l’objet de cette déchéance et être expulsé vers le Maroc. Fiché S en 2014 pour radicalisation islamiste et son appartenance à la mouvance salafiste, il était aussi un homme très actif sur les réseaux sociaux salafistes.
C’est aussi l’échec de la surveillance des fichés S du haut du spectre par la DGSI, submergée par le nombre d’individus à surveiller. Et ce n’est pas ce service de renseignement qu’il faut incriminer, mais les responsables politiques qui le mettent dans cette situation. « Nous l’avions suivi et nous pensions qu’il n’y avait pas de radicalisation, mais il est passé à l’acte brusquement », a précisé Gérard Collomb ! Quel aveu d’échec cinglant ! Notre ministre de l’Intérieur ne maîtrise plus rien du tout.
C’est aussi la grille des critères de dangerosité qui n’est plus adaptée devant le nombre en augmentation permanente des fichés S et au fichier des signalements pour la prévention et la radicalisation à caractère terroriste (FSPRT). C’est, in fine, l’échec du renseignement intérieur en général par manque de volonté politique de mener la guerre intérieure qui nous est déclarée.
Une remise à plat de notre politique antiterroriste s’impose donc à l’évidence. Il faut impérativement dégrossir le nombre d’individus à surveiller en amont, donc utiliser les leviers administratif et judiciaire en remettant à l’ordre du jour la perte et la déchéance de nationalité ainsi que l’expulsion des étrangers fichés S et au FSPRT.
Mais d’autres mesures s’imposent également comme le croisement de certains fichiers renseignement et judiciaire, dès lors qu’il s’agit d’analyser les métadonnées et de les croiser et permettre aux services de renseignement de continuer à surveiller un suspect même après une mise en examen par un magistrat. L’interdiction du retour des djihadistes devrait également s’imposer alors que l’on s’apprête à en recueillir encore.
Et que dire des centaines de djihadistes emprisonnés, imprévisibles et dissimulateurs, qui vont sortir de prison dans les mois et années à venir ! Il n’y a plus, actuellement, de débat national sur le sujet de la rétention judiciaire permettant de ne pas libérer un individu tant qu’il est considéré comme dangereux. À tout cela, Emmanuel Macron et sa pseudo-task force n’y pourront rien.
Par Philippe Franceschi Consultant en sécurité
Source : BVoltaire via https://www.cadoitsesavoir.fr/terrorisme-francais-reveillez-vous-vous-etes-gouvernes-par-des-incompetents-irresponsables/
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Toulouse : le Parti de la France réagit suite aux émeutes...
Communiqué de Guy Jovelin, Délégué départemental du PdF de Haute-Garonne, membre du Bureau politique du Parti de la France
Les nuits d’émeutes des 15 et 16 avril dans les quartiers « chauds » de Toulouse perpétrées par des « chances pour la France » sont inadmissibles.
Ces violences (29 voitures brûlées, caillassage des forces de l’ordre) auraient pour justification le décès d’un détenu de la prison de Seysses et le contrôle d’identité à Toulouse d’une femme voilée.
Suite à ces violences la région s’embrase aussi ; à Agen et Auch, dans certains quartiers dits « sensibles », les mêmes incidents ont éclaté.
Le laxisme des autorités, tant locales que nationales, démontre une fois de plus la volonté politique de nos dirigeants d'empêcher les forces de l'ordre d'intervenir efficacement dans de telles zones de non-droit, où le « vivre ensemble » est une utopie.
Le Parti de la France de Haute-Garonne dénonce ces actes de guérilla urbaine, ainsi que le silence gêné de nos politiciens, et réclame une politique radicale de fermeté à l’encontre des individus de certaines cités qui se croient au-dessus des lois.
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Gérard Collomb : « j’ai découvert des chiffres ahurissants. A Paris 100 000 migrants sont logés chaque nuit par l’Etat »
Même le très « respecté » ministre de l’intérieur n’en revient pas du niveau de colonisation en région parisienne…
Le Point : Vous qui avez été formé à l’humanisme lyonnais, comment ressentez-vous les critiques face a votre politique de fermeté (NDCI : sic) ?
Collomb : si j’étais un débutant, je serais atteint, évidemment. Mais, comme j’ai quelques années de vie politique derrière moi, j’ai appris à résister aux coups. Cela dit, j’ai trouvé ces attaques injustes. Il fallait bien que l’on éclaircisse la situation dans les centres d’hébergement, savoir quelles personnes y étaient accueillies – la France investit dans ce dispositif 1,2 milliard d’euros tout de même.
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Notre-Dame-des-Landes : les zadistes ne cèdent rien - Journal du Mercredi 18 Avril 2018