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FAKE NEWS de MACRON sur les fichés S parmi les terroristes
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Réflexion : Ça veut dire quoi « bien vivre ensemble » ?
Il y a des jours où tout passe et d’autres où on se dit que c’est ras-le-bol de cette affirmation. Ainsi, on ne cesse de nous rabattre les oreilles avec le « bien vivre ensemble ». Ça veut dire quoi au juste ? Que nous sommes amenés à accepter tout comportement qui ne serait pas tout à fait le nôtre, questions vestimentaire et alimentaire ?
Habitant dans le sud de la France, il m’est parfois bien difficile de ne pas réagir face à certaines situations, qui ne seraient acceptées nulle part ailleurs. Mais sous prétexte de « bien vivre ensemble », on accepte tout, en faisant parfois semblant de ne rien voir. C’est tellement plus facile de ne pas réagir. Ça évite les problèmes et les remises en question. Personnellement, je ne supporte pas de voir des femmes « déguisées » en fantômes noirs, dont on ne voit que les yeux. Si je ne me retenais pas, je pourrais arracher leur voile, mais, ça ne se fait pas et je me mettrais en danger car personne ne viendrait à mon secours.
Hé bien non ! Ce n’est pas à nous à subir, mais à faire comprendre à l’autre qu’il y a des efforts à faire pour s’intégrer en bonne intelligence et être accepté. La France est un pays où dominent la générosité et la tolérance. Nous, Français de souche, de génération en génération (ne remontons tout de même pas au Moyen-âge, quoique…), sous le fallacieux prétexte de notre bon cœur et de notre intelligence, nous acceptons tout en essayant de comprendre que « l’autre » a traversé bien des frontières, a subi bien des épreuves et qu’il est juste de l’accueillir avec la plus grande tolérance.
Cet « autre » a faim, a peur, ne sait pas encore parler notre langue (mais il apprendra) et surtout il arrive avec ses traditions, sa culture, ses habitudes et il fera venir les membres de sa famille dès qu’il le pourra, ce qui paraît tout à fait normal. Il n’est pas bon qu’un homme reste seul.
Bien sûr, il sait que la France est un pays grand et généreux et qu’elle ne peut certes « accueillir toute la misère du monde » pour reprendre une expression utilisée par un politique qui n’était pas de notre bord, mais permettre aux plus malheureux de survivre, dans un premier temps, puis de vivre dans un second temps, sous réserve que des efforts aient été faits pour l’intégration, ce qui n’est pas toujours facile, il faut en convenir, d’un côté comme de l’autre.
Les difficultés économiques actuelles de notre pays doivent cependant nous inciter à de la prudence pour éviter des débordements de toute nature. Il importe également que des structures, tant sociales qu’humaines, permettent le « bien vivre ensemble » dans des régions, des départements, des villes, des quartiers, qui peuvent accueillir et accompagner les nouveaux venus. Ils sont une richesse pour notre pays quand ils arrivent avec un savoir et une bonne volonté pour vivre autrement que là d’où ils viennent, suite à des guerres, des conflits, des problèmes graves divers et variés. Ils peuvent trouver une place dans notre société sous réserve que celle-ci ait la capacité de prendre le temps d’écouter et d’intégrer qui en sera digne.
La France n’est pas n’importe quel pays, elle qui fut Royaume et dispose d’une histoire extraordinairement riche, dont peu de pays peuvent se prévaloir. La France se distingue en tous points et mérite toute notre fierté, de la dynastie des Mérovingiens, à celle des Valois en passant par les Carolingiens et les Capétiens.
Il reste à espérer que cette histoire de France restera enseignée dans tous les lieux d’enseignement public et privé. Nous le valons bien et la question du « vivre ensemble » ne doit pas se poser. Elle s’impose naturellement. Question de respect et d’intelligence !
Solange Heisdorf
http://www.vexilla-galliae.fr/actualites/divers/2602-reflexion-ca-veut-dire-quoi-bien-vivre-ensemble
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BANLIEUES : LA GUERRE QU’ON N’OSE PAS DÉCLARER ?
L’année 2018 a commencé très fort avec deux agressions commises contre des policiers dans la banlieue parisienne, à Champigny-sur-Marne et à Aulnay-sous-Bois. Tout amalgame entre ces événements sans doute liés à l’ambiance festive de la nuit du Nouvel An et l’immigration africaine et musulmane dans les quartiers sensibles de la région parisienne est évidemment à proscrire parce que « politiquement incorrecte ». On sait bien qu’une population particulièrement jeune et qui manque de distractions ne demande qu’à se défouler pour oublier la rigueur du climat, les horreurs de la répression coloniale subie par les parents et les affres du chômage qu’une scandaleuse discrimination à l’embauche accentue dès qu’on n’est pas « souchien ». Alors, un soir de réveillon, il est normal d’allumer le feu, comme disait un grand disparu, de brûler 1.031 voitures (une centaine de plus que l’année dernière), de forcer la porte d’une soirée à laquelle on n’est pas invité, de voler un véhicule et, cerise sur le gâteau, de tabasser les uniformes qui viennent bêtement s’offrir au défoulement collectif. Lorsque c’est une femme qui est en « bleu », c’est encore plus drôle, parce que plus facile, et plus logique. Il faut respecter la seule hiérarchie qui compte : celle de la force physique.
Dans les jours qui suivent, les commentaires vont bon train.
Le président de la République, qui s’était bien gardé d’évoquer ce problème « français » lors de ses vœux, parle de « lynchage », en introduisant une note américaine, qui est une sorte de lapsus révélateur. Ce mot américain désignait l’exécution sommaire d’un présumé coupable par une foule en colère en dehors de toute procédure judiciaire avec, pour exemple caricatural, la pendaison d’un Noir accusé de viol. Ce mot appelle deux remarques : d’abord, la situation est inverse. Ici, c’est un représentant de la loi qui est « lynché » par des barbares, ce mot ayant le mérite de les désigner exactement et d’être identique à lui-même en verlan. En second lieu, l’américanisation de notre société, avec une immigration excessive, une communautarisation ethnique et une ségrégation urbaine, produit des effets qu’il n’était nullement indispensable de provoquer dans le pays alors qu’ils sont inscrits dans l’histoire profonde des États-Unis.
Nous vivons une catastrophe nationale que l’on se refuse obstinément à nommer, à stopper, et qui est aggravée par la pensée unique imposée par les médias, l’aveuglement des autorités et les contradictions de notre système. La réalité est qu’une immigration non assimilée et même pas intégrée a créé, il y a longtemps, des enclaves où non seulement la loi n’est pas respectée, mais où elle est combattue au travers de ceux qui la représentent.
En France, il n’y a que l’État qui détienne le monopole de la violence légitime. Ses agents ne composent pas des équipes qui devraient affronter celles de l’autre camp sous l’arbitrage d’un rappeur ou du réalisateur du brûlot cinématographique La Haine. Ils doivent faire respecter la loi à tout prix, ce que les politiques par couardise, et les juges par idéologie, ont oublié. Pour éradiquer les nids du terrorisme, les foyers d’islamisme, les réseaux de trafics, les repaires de la violence urbaine, ces lieux que fuient nos compatriotes juifs et où une partie de la population vit sous une loi et des coutumes qui ne sont ni celles de la République, ni celles de la France, il faut d’abord, comme le disait le regretté Charles Pasqua, que la peur change de camp, qu’un délinquant ou un criminel qui ne respecte pas la loi, avec le sentiment d’une totale impunité, sache désormais qu’il encourt à coup sûr une longue et pénible perte de sa liberté assortie d’un travail obligatoire, et risque même sa vie s’il s’en prend à un policier armé. Nous en sommes évidemment loin. Lorsqu’on tentera une nouvelle fois de reconquérir les territoires perdus de notre nation, il sera sans doute trop tard…
http://www.bvoltaire.fr/banlieues-guerre-quon-nose-declarer/
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Le conseiller « immigration » du pape François : un Bilderberg, banquier d’affaire de Goldman Sachs !
Les médias du système le dépeignent comme le pape des pauvres, nouveau François des temps modernes ! Et si cette image idyllique n’était que du vent, une illusion pour mieux tromper les fidèles et les faire avancer vers une société globale sans nations souveraines ?
« Nous savons désormais depuis des années, écrit le journaliste catholique italien Maurizio Blondet sur son blog, que la position du pape François est parfaitement alignée sur le front de l’universalisme globaliste qui préconise la dissolution des nations et des cultures autochtones pour « accueillir et intégrer » les migrants du monde entier dans le but de construire un « nouveau monde » multi-culturel sans barrières et sans frontières. »
Son dernier message immigrationniste de la nuit de Noël et ses vœux pour 2018 en font une une figure de proue et une « autorité suprême » de l’idéologie mondialiste. Au point que Blondet se demande
« si les discours du pape argentin ne sont pas écrits par Georges Soros, le multi-milliardaire qui finance l’invasion de l’Europe et travaille à l’abolition des États et des confins. Qu’il en soit conscient ou pas, le pape Bergoglio, continue le journaliste, s’est mis au service des intérêts du grand capital financier qui œuvre pour les mêmes objectifs : un nouvel ordre mondial multi-culturel et globalisé où les entités supra-nationales auront la gestion du pouvoir. »
Le pape François se retrouve donc du côté de certains puissants et riches… qui sont bien loin des pauvres. Voisinage qui n’est pas qu’idéologique mais aussi pratique puisque il a nommé, en février dernier, révèle toujours Blondet, à la présidence de la Commission catholique internationale pour les Migrations et qu’il a fait conseiller de l’Administration du Patrimoine du Siège Apostolique, une personnalité de l’establishment mondialiste, lui-aussi « philanthrope humanitariste de l’abolition des frontières » et « banquier d’affaires » : Peter Sutherland.
Irlandais, juif de mère, sioniste, ancien élève des jésuites, cet homme d’influence, « aux poches richement remplies », fut président de Goldman Sachs International (2005-2015) et du groupe Bilderberg dont il est toujours un membre actif du comité directeur, de BP (British Petroleum) et de la section Europe de la Commission Trilatérale. Technocrate bruxellois, agent de la globalisation, il a été notamment commissaire européen à la concurrence (1985-1989), secrétaire-général fondateur de l’Organisation Mondiale du Commerce (OMC) (1993-1995). Artisan des grandes libéralisations de l’Union Européenne, il a été qualifié de « père de la mondialisation ». Actuellement directeur non exécutif de la Royal Bank of Scotland et président non exécutif de Goldman Sachs, depuis janvier 2006 il est le représentant spécial du Secrétaire-Général de l’ONU pour les migrations internationales. Il est aussi président honoraire de la Commission Trilatérale et président de la London School of Economics, fondée par la Fabian Society tout en étant chevalier de l’Ordre de Malte et membre de l’Opus Dei… Des connexions qui en disent long sur les dérives de ces groupes ecclésiaux…
Lorsque le pape jésuite l’a intronisé président de la Commission catholique internationale pour les Migrations, il n’a évidemment abandonné aucune de ses charges.
Peter Sutherland, analyse Blondet
« c’est le globaliste total et absolu, avec des attaches dans toutes les entités supra-nationales, peut-être la plus influente éminence grise de la mondialisation et du déracinement capitaliste dans l’intérêt de la finance transnationale. »
Il est vrai que Sutherland se déclara être en faveur « du développement de sociétés multiculturelles », le problème étant selon lui les populations qui cultivent « encore le sens de l’homogénéité et de différence d’avec les autres. Et c’est précisément cela que l’Union Européenne», à son avis, « doit tout faire pour éradiquer. Au nom de la future prospérité. […] C’est une dynamique cruciale pour la croissance économique. »
Cet artisan de la société multi-culturelle affirma de même que « l’on est passé des États qui choisissent leur migrants, aux migrants qui choisissent les États ». Par conséquent avait-t-il ajouté, l’UE ne doit plus sélectionner seulement des migrants « hautement qualifiés » parce que « à la base de tout, les individus doivent avoir la liberté de choix ».
Ainsi commente Maurizio Blondet
« c’est exactement l’idéologie de François, confusion et contradiction comprises. Mais l’on voit bien que l’inspiration vient du capitalisme mondialiste financier ; pour lequel les « homogénéités », c’est-à-dire les identités historiques et culturelles qui font les peuples variés et différents, sont un obstacle et un problème, une odieuse exigence, parce que le consommateur global type doit être littéralement « sans identité », sans communauté, « ouvert » aux « expériences », cosmopolite, nomade, sans « tabous », sans « préjudices » (et sans scrupules), de sexe variable. »
Dans cette exhortation de Sutherland il y a, précise le journaliste italien
« un « mépris » pour la culture qui fait les peuples. Mépris que partage le pape François lorsqu’il affirme que « les Européens ne sont pas une race née ici, ils ont des racines de migrants », évoquant une condition antérieure à la civilisation et à la culture. »
Tant pour le pape François que pour Sutherland, commente Blondet
« l’ »homogénéité » culturelle est un fastidieux lien qui « résiste » à l’ »intégration » sans limites, un « manque de charité » envers « l’accueil ». Dans la confusion éthique que le même Bergoglio a dispersée à pleines mains, l’ »homogénéité » nationale d’un peuple est comparée à un mal moral, et ce sera un mal de la sauvegarder. »
Et c’est à ce riche banquier d’affaires, cet homme du Bildeberg, ce membre influent des cercles mondialistes et capitalistes destructeurs des nations et des peuples, des identités et des cultures, que El papa sud-américain a confié, par idéologie immigrationniste et immigrophile, la Commission Catholique pour les Migrations !
On est loin du vrai amour des pauvres… Car ce qui appartient en propre à tous, aux pauvres comme aux riches, aux malades comme aux bien-portants, aux prisonniers comme aux travailleurs, c’est l’affiliation à une patrie et à une identité, c’est l’adhésion à une culture et à une civilisation, c’est la possession d‘une langue et d’une éducation… Et quand les pauvres n’ont plus rien, ils possèdent toujours cet héritage immatériel et intemporel, ce patrimoine spirituel, artistique, intellectuel et moral, qui a fait grandes les nations d’Europe…
Et c’est de cette richesse civilisationnelle transcendante, supérieure à tous les biens de consommation qu’ils peuvent rêver d’avoir, que les pauvres sont privés par les idéologues du multi-culturalisme et du « vivre-ensemble » !
Francesca de Villasmundo
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La guérilla de la St Sylvestre : le rapport choc - Journal du Mercredi 03 Janvier 2018
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ENSEIGNEMENT DE L’ARABE ? PRIORITÉ AU FRANÇAIS QUAND ON NE LE MAÎTRISE PAS !
Certes, il vaut mieux que la langue arabe soit enseignée dans des établissements publics, par des professeurs formés et recrutés par l’Éducation nationale, que dans des mosquées ou des centres culturels musulmans. Mais la priorité, dans les milieux issus de l’immigration, quand les parents ne parlent que le dialecte de leur pays d’origine, devrait être donnée à la maîtrise de la langue française, qui est le premier facteur d’intégration.
On apprend qu’à Trappes, l’arabe est enseigné en langue vivante 2, dès la 5e, dans les trois collèges de la ville. Tant mieux si l’arabe est considéré comme une langue étrangère semblable aux autres. Mais, en l’occurrence, si l’on en juge par la photo publiée sur 78actu.fr, la très grande majorité de la classe semble issue de la diversité, comme on dit aujourd’hui.
D’aucuns prétendent que mieux l’enfant maîtrisera la langue dominante à la maison, plus il aura de facilité à apprendre une autre langue. C’est sans doute vrai dans des milieux privilégiés, où les parents parlent régulièrement à leurs enfants en alternant les langues ; mais, en la circonstance, il est loin d’être prouvé que l’apprentissage de l’arabe littéraire – bien éloigné des dialectes – soit de quelque utilité pour bien connaître la langue française.
Quand une élève se réjouit d’avoir choisi cette langue « pour pouvoir [s’]en servir avec [sa] mère dans la vie de tous les jours », on lui conseillerait volontiers de lui apprendre des rudiments de français ou de l’encourager à suivre des cours.
Tout le monde admet que la maîtrise de la langue française est fondamentale pour progresser dans toutes les disciplines. Ce devrait donc être la priorité absolue à l’école, avec des cours de soutien, pour ceux qui la connaissent mal – et qui ne sont pas tous d’origine étrangère. Elle est fondamentale, également, pour favoriser l’intégration. Il n’est pas certain que l’enseignement de l’arabe à de jeunes enfants issus de l’immigration y soit propice. Bien au contraire ! Sans compter que les professeurs d’arabe scientifiquement formés manquent cruellement : trois postes sont prévus, en 2018, à l’agrégation, quatre au CAPES !
Mieux connaître le monde arabe pourrait être utile aux élèves pour comprendre les grandeurs ou les misères de cette civilisation. C’est le rôle des cours d’histoire, si l’enseignement est objectif, et, pour les spécialistes, de l’INALCO (Institut national des langues et civilisations orientales). Mais pour des enfants qui ont besoin de s’intégrer, ce n’est pas en les plongeant dans la culture de leur pays d’origine qu’on y parviendra. À moins qu’on ne soit partisan d’une société multiculturelle. Si on veut les sortir de leur milieu, leur donner des chances de s’intégrer, leur permettre une promotion sociale sans recourir à la discrimination positive, il faut, au contraire, leur donner tous les moyens de maîtriser la langue, la culture, le patrimoine littéraire du pays dans lequel ils sont destinés à vivre.
On pourrait dire – et je sais à quel point ce propos peut paraître iconoclaste – que la connaissance de la langue et de la culture arabes serait plus utile à ceux qui n’y connaissent rien qu’à ceux qui en sont imprégnés par leurs origines. Pour les premiers, comme le voyage pour Montaigne, le contact avec d’autres civilisations est enrichissant. Pour les seconds, la langue et la culture françaises permettent de s’intégrer et de s’épanouir dans le pays où ils vivent.
Bref, au lieu de cultiver le communautarisme, il faut cultiver l’appartenance à la culture française, qui est le ciment de notre unité, ce qui n’empêche pas l’ouverture sur autrui ni un esprit de tolérance, qui ne consiste pas à tout mettre sur le même plan mais à jeter sur le monde un regard éclairé.
http://www.bvoltaire.fr/enseignement-de-larabe-priorite-francais-on-ne-maitrise/
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510 interpellations et plus de 1000 voitures brûlées
C'est le bilan officiel du ministère de l'Intérieur, en hausse par rapport à l'an passé :
A noter la scandaleuse réaction de Jérémy Trottin sur BFMTV à propos du lynchage de la policière de Champigny-sur-Marne :
«On peut se demander si Macron ne surréagit pas. C’est courant que des policiers soient blessés dans ce type d’opération. Il n’y a pas eu de mort ni de voitures brûlées de façon excessive.»
Ouf : tant qu'il n'y a pas de mort...
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La juste question d'Éric Zemmour : « Mais qui en veut au mâle blanc, occidental et hétérosexuel ? »
Tex, le présentateur de l'émission de France 2 « Les Z'amours »
On pourrait accuser Internet de tous les maux, mais on refuserait de voir la stratégie délibérée des groupuscules féministes, gays, antiracistes qui sont tous alliés contre leur ennemi commun : le mâle blanc hétérosexuel. Dans cette chronique [Figaro magazine, 22.12] Eric Zemmour précise quel est l'objectif : « effacer toute expression culturelle de l'Occident ». Il a raison ! LFAR
Avis aux éternels potaches. Aux rois de la blague de mauvais goût. Aux empereurs du jeu de mots débile. Ils sont sous surveillance. Leur vie est en danger. Leur destin peut basculer pour une parole de trop. C'est ce qui est arrivé au présentateur de l'émission de France 2 « Les Z'amours » : Tex. Depuis dix-sept ans, il avait eu souvent l'occasion de déployer son humour lourdingue, un peu niais, jamais subtil.
Et puis, soudain, la vanne de trop. Qui frappe là où il ne faut pas: « Que dit-on à une femme qui a deux yeux au beurre noir ? Rien. On lui a déjà dit. » À ces mots, les réseaux sociaux s'agitent. La secrétaire d'État à l'Égalité entre les hommes et les femmes, Marlène Schiappa, alerte le CSA. La délation d'État est à l'œuvre dans la foulée de « #balancetonporc ». Tex finit par être renvoyé par la chaîne publique ! On pourrait multiplier à loisir les anecdotes similaires qui attestent de cette ambiance de « chasse aux sorcières » : le footballeur Antoine Griezmann qui doit s'excuser parce qu'il s'est grimé en Noir pour imiter un joueur de basket américain. Ou une Miss France insultée et traitée de raciste parce qu'elle ose parler de la « crinière de lionne » d'une autre Miss France, venue de Guadeloupe.
On pourrait considérer tous ces micro-événements avec dédain et mépris. On pourrait accuser internet de tous les maux. On passerait à côté de l'essentiel. On refuserait de voir en face une stratégie délibérée, longuement mûrie, et qui arrive à maturité aujourd'hui. Des groupuscules féministes, gays, antiracistes, chacun suivant ses objectifs propres, mais qui sont tous alliés contre leur ennemi commun : le mâle blanc hétérosexuel. Qui ont une inspiration philosophique commune venue de la fameuse « French Theory », théorie de la déconstruction passée par les campus américains depuis les années 1960 et transformée là-bas en « politiquement correct » médiatique et judiciaire.
Ils jouent aux faibles mais sont les vrais puissants. L'État est de leur côté. La machine judiciaire est à leur service. Les médias de gauche les soutiennent. Au nom du droit des minorités et du respect des éternelles victimes - femmes, homosexuels, minorités « racisées » -, ces militants veulent effacer toute expression culturelle de l'Occident. Leurs méthodes peuvent changer, leur objectif reste le même. Ils transforment les femmes savantes de Molière en un brûlot féministe. Ils accusent Michel Audiard d'avoir été collabo. Ils auraient censuré les chansons de Brassens ou de Brel (pour homophobie ou misogynie). Ils accusent la grammaire d'entretenir les inégalités entre hommes et femmes. Ils ne laissent rien passer, pas la moindre petite blague, pas la moindre expression. Ils ont fait leur une vulgate marxienne mâtinée de gramscisme : la culture est, pour eux, le reflet des rapports de force dans la société. La culture de l'homme blanc hétérosexuel, même dans son humour le plus anodin, est oppressive par essence ; elle doit donc être délégitimée, ostracisée, diabolisée. Pour être éradiquée. Avant d'être remplacée. « On ne détruit réellement que ce qu'on remplace », disait Danton.
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La fin de la laïcité
Tribune percutante de Stratediplo, parue au lendemain de Noël, qui aurait aussi pu être intitulée: "La république au service de l'islam", ou encore "l'islam instrumentalisé par la république", ces deux totalitarismes d'essence satanique ayant beaucoup de services à se rendre, pour notre plus grand malheur (voir le livre récent du Père Viot et d'Odon Lafontaine : "la laïcité, mère porteuse de l'islam?"). Extraits de la tribune.
La révolution dite française, conçue en Angleterre par les loges maçonniques, était sous des apparences anticléricales foncièrement antichrétienne. Pour s'en tenir à l'aspect matériel sans entrer dans l'humain, en prétendant confisquer les biens de l'Eglise elle a en réalité volé les biens à finalité religieuse des peuples de France, qui avaient mis des décennies à construire leurs églises paroissiales (et des siècles pour leurs cathédrales épiscopales) sans demander un sou à Rome ou à Paris. Plus de deux siècles plus tard, et un quart de siècle après que les gouvernements d'Europe orientale aient restitué aux communautés chrétiennes (et juives) leurs biens confisqués par les régimes communistes, le régime révolutionnaire français ne s'est même pas posé la question. En nationalisant l'Eglise de France, la révolution avait failli pousser toute la chrétienté du pays, c'est-à-dire l'essentiel de la population, à se détourner de ses évêques réquisitionnés et à se tourner vers la papauté, et ne l'a finalement empêché qu'en conquérant Rome. Un siècle plus tard la proclamation de la séparation de l'Eglise et de l'Etat a certes prétendu rendre sa liberté à l'Eglise, c'est-à-dire aux peuples chrétiens de France, mais sans lui rendre ses biens spoliés, et dans le cadre d'une politique secrète de déchristianisation confiée à la Franc-Maçonnerie, illustrée par l'affaire des fiches. (...)
Depuis lors, les mairies et collectivités déjà distinguées dans le palmarès de Joachim Veliocas sont passées de la subvention discrète (et illégale) de l'islam à sa promotion ouverte, notamment à l'occasion de la fête de l'égorgement, et montrent désormais qu'il s'agit d'une préférence puisque dans le même temps elles interdisent une à une toutes les expressions du christianisme dans l'espace public, sous des motifs divers confirmés par le Conseil d'Etat qui applique la "conception française de la séparation des pouvoirs" explicitée par le Conseil Constitutionnel en janvier 1987, faisant à l'occasion se retourner Montesquieu dans sa tombe. Pour sa part le pouvoir judiciaire constitue peu à peu la jurisprudence de délits religieux ou d'expression d'opinions, dont un délit de blasphème, un délit de profanation etc. qui ne s'appliquent qu'à une seule religion. Ainsi les peines appliquées pour dépôt silencieux d'une pièce de porc devant une mosquée fermée sont désormais systématiquement bien plus lourdes que celles appliquées, s'il y en a, pour introduction dans une église en tenue indécente, interruption d'office, insultes envers les fidèles, voies de fait et destructions matérielles. Et c'est parfois au nom usurpé de la même laïcité que l'appareil étatique encourage les attaques contre le christianisme et professe le respect de l'islam.
Or justement, rien n'est plus étranger à l'islam que la notion de clercs et surtout de laïcs. Tout Mahométan a des devoirs islamiques, dont ceux d'actions sacrées ou sacrifices, notamment lorsqu'il est en présence de non-Mahométans. Ces devoirs vont bien au-delà de la pratique religieuse (étymologiquement relation avec Dieu) et touchent à la société mais aussi à autrui en tant qu'individu ou être humain vivant (au départ). Ainsi il est attendu de tout Mahométan qu'il ne soit pas seulement assistant mais officiant. Le Chrétien ou le Juif laïc prie chez lui ou à l'office tandis que le prêtre ou le rabbin procède au rituel sacré, alors que le Mahométan non moufti officie lui-même, et pas uniquement en s'adressant à Dieu mais aussi en agissant auprès (et sur) les autres au nom de Dieu. La notion de laïcité n'existe pas en islam. De même, l'islam étant plus une société qu'une foi, il ne conçoit pas l'athéisme. On naît en Islam comme on naît dans un pays, personne ne se pose la question des croyances personnelles ou des doutes d'un enfant né de parents musulmans, et lui être infidèle est une apostasie punissable de mort. Dans ce système de société (et même civilisationnel) complet où la religion est l'idéologie de l'Etat et où l'Etat est l'accomplissement de la religion, les philosophies questionnant l'existence d'un Dieu n'ont pas de place, Allah est une évidence révélée et il n'existe que différents degrés d'infidélité, jusqu'à l'extrême qui est l'adoration de faux dieux, le matérialisme existentiel athée n'étant que l'une de ces religions erronées, en l'occurrence une adoration de l'homme dictée par le diable Satan. Il n'y a pas de laïcité croyante en islam, et il n'y a pas non plus d'athéisme areligieux.
Ce que les peuples de France constatent à chaque fois que la république soi-disant laïque se mêle de religion, enfreignant le principe chrétien (conservé dans la société matérialiste post-chrétienne) de séparation des compétences temporelle et religieuse, c'est qu'elle a décidé de leur imposer une idéologie étrangère (inhumaine au demeurant), et pas seulement en matière religieuse mais dans toutes les sphères de la vie sociale organisée.
La préservation de la fête de Noël, repère majeur multiséculaire du calendrier civil et légal sans considération des croyances intimes des uns et des autres, est l'occasion pour les laïcs (abandonnés par les clercs), mais aussi pour les athées, de s'opposer à la confessionnalisation oppressive de l'Etat."
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Champigny-sur-Marne (94) : une policière lynchée par la foule à la soirée « faceblack » (MàJ)
Des échauffourées ont éclaté dimanche soir, pendant la soirée du réveillon, à Champigny-sur-Marne. Trois policiers ont été blessés.
Trois policiers ont été blessés dimanche soir à Champigny-sur-Marne, dans le Val-de-Marne, lors de leur intervention en marge d’une soirée qui a dégénéré. Selon nos informations, plusieurs individus non invités ont tenté d’entrer de force sur les lieux d’une fête privée.Des effectifs de police du Val-de-Marne ont été envoyés sur place pour tenter de ramener le calme. Arrivée sur place vers 23h30, la police a essuyé des jets de projectile. Une équipe de policiers a été prise à prise à partie, et trois policiers ont été blessés dans cette intervention.
Il s’agit d’un capitaine et une policière, qui se sont vus prescrire respectivement 8 et 7 jours d’ITT, et un policier, qui a été légèrement contusionné. Le commissariat local a été saisi de l’enquête.
Plusieurs vidéos postées sur les réseaux sociaux ces dernières heures, et indiquant avoir été filmées à Champigny-sur-Marne dimanche soir, montrent un groupe d’individus retourner une voiture, puis s’en prendre physiquement à un membre des forces de l’ordre en uniforme.
BFM TV