Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

anti-national - Page 732

  • Un livre sur le vrai « Russia-gate » aux Etats-Unis : Obama, pas Trump !

    livre vrai Russia gate Etats Unis Obama Trump
    Pour les anglophones, The New American signale la parution d’un livre sur les vrais liens de la Russie avec la politique américaine. Alors que Donald Trump est accusé de quasi collusion avec Poutine – ce qui en ferait un traître à son pays – huit auteurs ont mis leurs connaissances en commun pour faire la lumière : Comrade Obama Unmasked : Marxist Mole in the White House.
    C’est une étude en profondeur du véritable marxisme de Barack Obama, et en particulier de ses liens étroits avec un communiste avoué, Frank Marshall Davis, par ailleurs soupçonné d’espionnage pour le compte de la Russie.
    Un engagement révolutionnaire détaillé par le menu qui n’est certes pas celui de Donald Trump…

    http://reinformation.tv/livre-vrai-russia-gate-etats-unis-obama-trump-vite-77684-2/

  • Venez soutenir les Roudier père et fils le 5 décembre au Tribunal de Montpellier

    24068268_1749070931800762_7528537319898529905_n.png

    Ligue du Midi cliquez ici

  • Christophe Castaner : « l'islam, religion d'amour... » !

    Communiqué de presse du MNR :

    913647494.5.jpgLe nouveau chef de file de La République en Marche, Christophe Castaner, vient de déclarer au micro de Jean-Jacques Bourdin : « certains, au nom de l'islam, ont des comportements qui ne sont pas acceptables. Cela n'a rien à voir avec l'islam, qui est une religion de bonheur, d'amour, comme la religion catholique ». On se frotte les yeux en lisant une telle déclaration : C. Castaner a-t-il jamais essayé de lire le coran ? Quand des terroristes tuent en criant « Allahou Akbar » (c'est-à-dire Allah est plus grand), cela n'a pas de rapport avec l'islam ?

    Rappelons ce qu'écrivait Mme Delcambre, docteur en civilisation islamique, dans son livre « L'Islam des interdits » :  « Au risque de choquer, il faut avoir le courage de dire que l'intégrisme n'est pas la maladie de l'islam. Il est l'intégralité de l'islam. Il en est la lecture littérale, globale et totale de ses textes fondateurs. » Alors, faut-il décerner à M. Castaner la palme de l'inconscience ou de l'aveuglement ?

    Une fois de plus, insistons pour que nos responsables politiques ouvrent les yeux sur le danger que recèle l'islam : ce n'est qu'à ce prix que pourront être évités de nouveaux drames.

    2017 12 01 PUB SITE 1.jpg

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

     
     
  • Le rapport du Sénat sur l’immigration : un gros caillou dans les babouches présidentielles

    immigration-clandestine-MPI.jpg

    FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Dans un rapport de la Commission des Lois du Sénat, Jean-Noël Buffet critique vertement l’action du Gouvernement sur l’immigration.

    Le Sénateur “Les Républicains” met carrément les pieds dans le plat et souligne le double langage gouvernemental en la matière. Il en veut pour preuve les annonces faites le 18 octobre dernier par Emmanuel Macron promettant d’expulser les clandestins ayant commis un délit. Or, le gouvernement sera dans l’incapacité d’y consacrer les moyens nécessaires, tant sur le plan financier que sur le plan politique et donc incapable de tenir ses engagements.

    Ce rapport est-il truffé de chiffres et de graphiques ?

    Oui, en 2016 alors que 92 000 mesures d’expulsions ont été prononcées, seulement 18% ont été effectives, soit 16 400. Cela veut dire qu’en 2016, plus de 75.000 clandestins expulsables sont restés dans notre pays en dépit des mesures d’éloignement prononcées à leur encontre. Dans le projet de loi de Finances pour 2018, seulement 14 500 éloignements forcés sont budgétés, soit 6% de moins que sous la Présidence Hollande.

    Quelles sont les causes de l’échec patent de cette politique d’éloignement ?

    D’abord, il ne faut pas oublier que, dans les centres de rétention, la justice libère trois fois plus de clandestins en 2017 qu’avant 2016 soient 19,3% contre 6,35%, car le juge des libertés et de la détention ne peut intervenir que pendant quarante huit heures au lieu de soixante douze précédemment.

    Ensuite, les moyens des services en charge des éloignements forcés sont insuffisants.

    En effet, la police des frontières a réorienté ses effectifs vers les contrôles aux frontières du Sud (4 500 policiers) au détriment des reconduites aux frontières qui ne disposent que de 300 hommes, un chiffre dérisoire. Le sénateur du Rhône rappelle aussi que de nombreux pays d’origine multiplient les obstacles au retour de leurs ressortissants expulsables, voire refusent de les reprendre. Enfin, dernier obstacle de taille, 62% des clandestins refusent la prise d’empreintes digitales à leur arrivée sur notre sol. Depuis un délinquant peut-il refuser qu’on recueille ses empreintes ?

    https://fr.novopress.info/

  • Le communautarisme

    Parce qu'elle est contre-révolutionnaire, l'AF critique la conception individualiste de la société qui prévaut dans l'idéologie libérale : là où la République ne voit que des Individus et l'État, nous considérons que ce sont les familles, les communes, les provinces, les métiers, les églises, qui sont les véritables membres et organes du corps social. Mais l'accent mis sur la communauté, facteur d'enracinement, plutôt que sur l'individu, ne doit pas être considéré comme un dogme absolu pour au moins trois raisons.

    D'abord, la pensée de Maurras se situe dans l'Histoire. Contrairement à certains tenants des sociétés holistes contre les société individualistes, les maurrassiens n'érigent pas cette opposition en système. Nous n'invitons pas nos membres à vivre en autarcie dans des communautés figées ou à considérer n'importe quelle société primitive, aussi fruste soit-elle, comme supérieure à la société moderne, sous prétexte qu'elle serait moins individualiste. De même notre régionalisme a pour but de corriger le jacobinisme pour renforcer l'identité nationale à l'intérieur de l'ensemble français, pas d'ouvrir la voie aux séparatismes.

    Lire la suite

  • Marine Le Pen dénonce “l’insincérité de la droite française”

    Marine-Le-Pen-Bourdin-600x289.jpg
    Marine Le Pen, invitée de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV et RMC ce mardi, a pointé du doigt “l’insincérité de la droite française”.
    La présidente du Front national a ainsi déclaré :
    A partir du moment où vous dites la même chose que nous sur l’immigration, sur l’insécurité, sur l’Europe, […] soit vous êtes sincère, vous allez au bout de votre logique et vous provoquez une alliance, soit vous êtes insincère.

    "@laurentwauquiez a démontré son insincérité, c'est que je voulais l'obliger à faire. En campagne, ils parlent comme le @FN_officiel, et au pouvoir, ils mènent chaque fois la politique inverse." 

  • L’extrême gauche attaque un local identitaire à Paris

    Vendredi dernier, des nervis d’extrême gauche ont attaqué de nuit – « courageux » mais pas téméraires – un local identitaire. 

    Vendredi à Paris, un groupe d’extrême-gauche a attaqué un local identitaire. Leurs membres se sont ridiculisés !

    Après avoir brisé une vitre et jeté de la peinture sur une façade, ils ont immédiatement pris la fuite, laissant leurs armes derrière eux.

     
  • Le mondialisme en atlas

    Georges Feltin-Tracol

    L’ouvrage est imposant : 312 pages, un format 29 cm par 29, 2,2 kg de papier glacé, 45 €. Atlas du mondialisme de Pierre Hillard publié par les excellentes éditions Le retour aux sources impressionne.

    Le mondialisme, Pierre Hillard le connaît en détail puisqu’il traque depuis le début de ce siècle l’ensemble de ses manifestations. Illustrant son propos de nombreuses cartes, photographies et reproductions de documents toujours extraites de sources officielles consultables, l’auteur souhaite « expliquer l’esprit du mondialisme conditionnant des phénomènes politiques, économiques et spirituels variés (p. 11) ». Ainsi a-t-il souhaité « reconstituer pièce après pièce un immense puzzle planétaire (p. 11) ».

    1797008802.pngSept chapitres composent ce livre. Les quatre premiers abordent la construction européenne à travers la régionalisation, le droit des peuples minoritaires et ethniques, les fonds structurels et les coopérations transfrontalières intra-communautaires. La matière y est abondante. On peut bien sûr ne pas partager toutes ses analyses. Son travail de recherche force néanmoins le respect.

    Un chapitre concerne les États-Unis et un autre les relations complexes entre l’Islam et le monde juif. Enfin, un troisième et dernier porte sur « Les origines et les différentes composantes de la gouvernance mondiale ». Pierre Hillard souligne que « le mondialisme est constitué de factions oligarchiques dans chaque pays (américaines, russes, turques, israéliennes…) qui s’étripent entre elles dans l’organisation finale et la hiérarchie des membres de cette gouvernance mondiale (dans le cas américain, par exemple, des factions entre la CIA et le FBI). Le mondialisme, qui est un messianisme, c’est l’enfer contre lui-même (p. 302) ».

    Cet atlas original ne sera jamais évoqué par le Système, sauf pour le dénigrer, le disqualifier et le traiter de « complotiste » ou de « conspirationniste », soit le degré zéro de la critique. Cette attitude est d’ailleurs inefficace. L’éditeur se trouve dès à présent en rupture d’exemplaires. En cours de réimpression, Atlas du mondialisme sera de nouveau disponible avant Noël. Une belle occasion pour se faire plaisir !

    Bonjour chez vous !

    • « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n° 54, diffusée sur Radio-Libertés, le 24 novembre 2017.

    2017 12 01 PUB SITE 1.jpg

  • Comment répondre aux mensonges sur la discrimination des banlieues ? (argumentaire des Identitaires)

    Les-Identitaires_logo_a-VsvpSk.jpg

    Les Identitaires publient des fiches argumentaires sur leur site web. Voici un extrait d’un douzième document qui propose de répondre aux mensonges sur la discrimination des banlieues.

    Ils disent souvent : « Les habitants des banlieues sensibles sont traités comme des citoyens de seconde zone, ils sont mis à l’écart et discriminés ». Mais pourquoi le disent-ils ?

    En insistant autant sur la discrimination dont seraient victimes les habitants des banlieues, ils disent que c’est aux Français de faire des efforts, de payer encore plus, pour régler les problèmes des banlieues sensibles.

    Pourquoi c’est faux ? L’universitaire Dominique Lorrain (Directeur de recherche au CNRS) a publié en 2006 (« La dérive des instruments. Les indicateurs de la politique de la ville et l’action publique », revue française de science politique 2006/3 (Vol. 56), p. 429-455) une étude comparant le quartier sensible des Hautes-Noues, à Villiers-sur-Marne (94), et le quartier de la cité Verte, à Verdun.

    Avec des caractéristiques sociales extrêmement proches (avec une différence notable : un taux d’étrangers beaucoup plus important aux Hautes-Noues), il a montré que les Hautes-Noues bénéficiaient d’un investissement public de 12 230 euros par habitant via la politique de la Ville, quand Verdun ne recevait que… 11,8 euros par habitant, soit mille fois moins d’argent.

    Découvrir cette fiche-argumentaire : http://www.les-identitaires.com/2017/10/les-banlieues-sont-discriminees-par-rapport-au-reste-de-la-france/

    https://fr.novopress.info/

  • JEAN-PAUL GOURÉVITCH : « D’AUTRES ROUTES DE MIGRATION SE SONT OUVERTES… »

    Jean-Paul Gourévitch revient de Moscou, où s’est tenu un colloque international, organisé par l’Institut d’Europe de l’Académie des sciences de Russie et rassemblant des spécialistes des questions migratoires. L’occasion de dresser un état des lieux mais aussi de faire des propositions.

    Vous revenez de Moscou après deux jours passés à réfléchir avec d’autres confrères européens sur un moyen efficace de juguler les vagues migratoires. Racontez-nous !

    C’est un rendez-vous rituel organisé par l’Institut de l’Europe de l’Académie des sciences de Russie.
    Il rassemble des chercheurs venant d’Allemagne, d’Italie, de Russie, de France, de Grande-Bretagne et d’un certain nombre d’autres pays.
    Ce rendez-vous a pour but de faire un état des lieux des constats généraux et de proposer des solutions.
    On s’est tous accordés sur un certain nombre de constats. Le premier est l’augmentation du nombre de mineurs non accompagnés. On retrouve ce phénomène dans tous les pays représentés.
    Le second est la baisse de l’acceptabilité de l’arrivée des migrants. En effet, les autochtones, mais aussi un certain nombre d’immigrés, ont peur de subir le contrecoup des nouvelles vagues.

    Toutes les nations représentées se sont-elles accordées ?

    Certains Italiens ont mis en avant le devoir humanitaire. Celui-ci consiste à accueillir au maximum les migrants qui commencent leur traversée en Méditerranée ou qui sont déjà arrivés. Ils avaient initialisé l’opération Mare Nostrum, qui consistait à sauver les migrants.
    Certains admettent qu’aller chercher les migrants directement sur les côtes libyennes n’est pas une solution idéale.
    Le troisième constat est nouveau pour nous. Il consiste en l’ouverture de nouvelles routes de migration. On nous a parlé de cette route allant de la Turquie à la Roumanie et la Bulgarie en traversant la mer Noire. Les passeurs se sont déjà installés pour pouvoir convoyer les migrants qui sont en Turquie et qui vont vers la Roumanie et la Bulgarie dont les frontières ne sont pas sûres.
    Ce constat général est partagé par tout le monde, y compris par les Italiens. Il est très difficile, pour les migrants arrivés ces dernières années, de trouver du travail. L’accueil est plus ou moins bien fait dans les différents pays.
    On se heurte à des tas de difficultés en voulant leur fournir un travail.
    Parmi ces difficultés, nous trouvons des difficultés de formation, de compétence et parfois de discrimination. Il ne faut pas le cacher. Certains restent réticents à embaucher des migrants, surtout dans l’économie formelle. En revanche, dans l’économie informelle, les migrants trouvent plus facilement du travail.

     

    Après le constat commun, quelles solutions avez-vous retenues ?

    Nous avons fait des propositions dont certaines ont recueilli une adhésion.
    La première consiste à trouver des moyens techniques pour diminuer le temps entre le dépôt d’une demande d’asile et la réponse. Chez nous, ce temps est en moyenne de dix-huit mois et, dans les autres pays, de six à neuf mois. La solution que nous avons proposée est de faire en sorte que les migrants qui font appel paient une caution. Il faut rappeler que, chez nous, on peut faire appel au tribunal administratif, à la CNDA (Cour nationale du droit d’asile), à la Commission européenne des droits de l’homme ainsi qu’au niveau de l’Europe. Cette caution leur est remboursée si l’appel a été accepté, elle n’est pas remboursée si leur appel n’a pas été accepté. Cela va diminuer notablement le nombre de personnes qui font appel et réduire le nombre de demandes ainsi que le temps.
    Le deuxième point consiste à faire en sorte que les gens qui ont été déboutés du droit d’asile puissent revenir dans leur pays d’origine. C’est toujours difficile, car pour revenir dans son pays d’origine, il faut un laissez-passer que certains consulats refusent de délivrer. La proposition que nous avons faite était très précise. Si un consulat d’un pays refuse d’accueillir ses ressortissants déboutés après avoir épuisé tous les recours possibles, alors il n’y a aucune raison de continuer à donner à ce pays une aide. On la retire jusqu’à ce que le consulat accepte d’accueillir ses déboutés.
    La troisième proposition renvoie au problème du suivi des aides médicales données aux personnes en situation irrégulière. En France, nous dépensons un milliard d’euros pour 300.000 personnes. Nous ne sommes pas les seuls. L’Allemagne, la Suède et d’autres pays sont concernés. Nous constatons un manque de suivi. Il n’y a pas d’inscriptions ni de cotisations données au départ. L’idée serait d’avoir une cotisation symbolique qui permettrait d’établir un dossier et d’avoir un suivi de ces personnes. L’État a choisi de donner une aide à ces personnes en faisant en sorte qu’elles ne paient pas les prestations médicales qui leur sont fournies.

    Pour le cas de la France, ne craignez-vous pas que ces mesures soient irréalisables ?

    C’est un sujet difficile. Il touche à la fois des problèmes humanitaires, financiers et économiques. Ces problèmes divisent la population française. C’est pourquoi nous constatons un silence assourdissant de certains médias.
    Quand Lionel Jospin et Martine Aubry ont établi l’aide médicale d’État, ils l’avaient programmée pour 75 millions d’euros. On a multiplié ce chiffre par 12. Ce n’est plus gérable.
    D’autre part, il y a des abus. Ce n’est certes pas une raison pour refuser l’aide médicale d’État à des gens qui en ont besoin. Il faut faire en sorte d’avoir un suivi de ces personnes. D’abord pour éviter la fraude, puis pour faire en sorte que des gens qui peuvent contracter des épidémies n’en constituent pas des viviers ou des vecteurs de propagation.
    Je suis conscient de la difficulté de ce problème et du clivage que cela créerait dans la population française. Le gouvernement n’a pas trop envie de se saisir de ce problème extrêmement sensible, mais il faudra bien y arriver.
    Il n’est pas possible de faire comprendre à certaines personnes ayant du mal à se soigner que d’autres en situation irrégulière peuvent se soigner gratuitement.

    http://www.bvoltaire.fr/dautres-routes-de-migration-se-ouvertes/