anti-national - Page 734
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L. ALIOT 2/08 s'insurge ! "on rabote les APL aux nôtres et on prend plus de migrants"
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Marseille : une bombe explose devant le local de l'Action française
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Le centre de déradicalisation de Pontourny était bien une escroquerie !
Une escroquerie intellectuelle et financière qui n’arrêtera en rien le terrorisme islamiste en France.
En février dernier, la mission d’information « Désendoctrinement, désembrigadement et réinsertion des djihadistes en Europe » avait déjà dressé un premier bilan très mitigé de la politique de déradicalisation menée en France. Les deux sénatrices, Esther Benbassa et Catherine Troendlé, dénonçaient notamment un véritable « business » tout en pointant du doigt la « gabegie financière » de l’État. Catherine Troendlé allait même très loin en déclarant : « Nous savons que nos programmes sont inutiles pour les djihadistes radicaux de conviction. »
Dans le rapport final rendu public le 12 juillet dernier, les deux sénatrices ont notamment proposé la fermeture du centre de Pontourny, dont le but était d’accueillir des musulmans en voie de radicalisation sur la base du volontariat. Selon elles, il semble nécessaire de « mettre fin à l’expérimentation et renoncer à sa généralisation ». Rappelons tout de même que les candidatures volontaires se comptaient en réalité sur les doigts des deux mains. Pire encore : c’est Europe 1 qui avait révélé que le dernier pensionnaire avait été exclu après sa condamnation pour violences et apologie du terrorisme islamiste.
« Son passage [dans le centre] a eu l’effet inverse de celui recherché. L’encadrement avait noté qu’il vivait le programme comme du prosélytisme anti-islam et qu’il semblait se radicaliser davantage. Son rejet de la France tendait à s’amplifier. »
L’issue semblait ainsi de plus en plus évidente. Et, le 28 juillet dernier, le ministère de l’Intérieur s’est donc enfin décidé à annoncer la fermeture du centre de Pontourny. La Place Beauvau s’est contentée du strict minimum dans sa communication : « Malgré la compétence, la détermination et l’investissement des personnels du centre […] l’expérience ne s’est pas révélée concluante », tout en ajoutant : « Aucun de ces jeunes n’a suivi le programme jusqu’à son terme. » Toutefois, cet abandon est accompagné d’une réflexion sur la mise en place de « structures de petite taille », une promesse de campagne d’Emmanuel Macron. Toujours le même angélisme que l’on retrouve aussi, dans une certaine mesure, chez la sénatrice Esther Benbassa : « Je ne crois pas que l’on puisse déradicaliser les gens mais on peut les réinsérer, les resocialiser. » Comme si des mesures de « réinsertion » (sic) et quelques centres de dimension plus réduite pouvaient éradiquer la gangrène islamiste. Comme s’il était possible de transformer des barbus en djellabas en adorateurs de la République française.
La fermeture du centre de Pontourny constitue déjà, à elle seule, une petite victoire. En effet, les Identitaires ont mené campagne pour dénoncer l’escroquerie de ces centres de déradicalisation. Le 11 février dernier, ils avaient battu le pavé aux côtés de responsables du Front national et des habitants de Pontourny, excédés par la présence d’adeptes du djihad dans leur village. Mais le combat doit continuer. En effet, il est illusoire de penser que ce type d’établissement réussira à promouvoir « des valeurs de citoyenneté, de respect d’autrui, de la règle de droit et des valeurs de la République et de la démocratie ». C’était, en tout cas, le pari fait par les créateurs du centre de Pontourny. Le projet de mise en place d’éventuels établissements de petite taille aboutira au même échec.
Financé par nos impôts, ce type de centre de déradicalisation ou de réinsertion – bientôt le nouveau terme consacré ? – reste une escroquerie intellectuelle et financière qui n’arrêtera en rien le terrorisme islamiste en France.
Directeur national - Les Identitaires. Fondateur de l’agence Novopress.info -
La Manif pour Tous intervient à l'ONU pour l'abolition de la GPA
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Banques en crise : l’idée de l’UE, bloquer les comptes bancaires
Depuis qu’ils ont endetté considérablement leur pays respectif, les banques en crise sont un éternel problème de nos gouvernements démocratico-modernes soumis aux diktats financiers des banksters apatrides.
Sauver les banques au bord de la faillite, et non les pauvres épargnants et simples clients, est une règle d’or de l’Union européenne. La nouvelle, éventée par l’agence Reuters, n’a pas fait de vagues en ces temps de chaleur estivale pourtant elle mérite l’attention.
L’Europe des technocrates bruxellois, à travers la présidence estonienne, est en train d’étudier une norme, discutée le 13 juillet dernier, qui permettrait de bloquer, dans des circonstances exceptionnelles, les prélèvement sur les comptes courants et les dépôts afin d’éviter les paniques bancaires dans les institutions financières en difficulté. Dans la pratique les superviseurs européens auraient le pouvoir de congeler, quand ils l’estimeront nécessaire, les comptes pour un maximum de 20 jours ouvrés. En clair pendant un mois il sera impossible aux clients de retirer de l’argent dans des banques en crise !
Actuellement la limite d’impossibilité de retrait est de deux jours et une autre proposition de la commission européenne présentée l’automne dernier prévoyait l’impossibilité de toucher aux comptes en dessous de 100 000 €.
Divers pays et les banques elles-mêmes, car elles pensent que cela décourageraitl’épargne, s’opposent à ce plan. Mais l’Allemagne y est favorable : « Le souhait est de prévenir les paniques bancaires. Ainsi quand une banque est dans une situation critique elle n’est pas poussée à la limite » explique une source proche du gouvernement allemand.
L’idée d’un tel plan d’urgence, qui s’attaque avant tout à l’épargnant, témoigne à lui seul que le système bancaire actuel est au bord de l’effondrement et que l’UE, coursier des banksters, veut être la maîtresse de votre argent.
Francesca de Villasmundo
http://www.medias-presse.info/banques-en-crise-lidee-de-lue-bloquer-les-comptes-bancaires/77987/
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Raquel, soldat de réserve du capital?
Les réseaux sociaux ont beaucoup commenté le fait que Raquel Garrido, avocate/ militante de Jean-Luc Mélechon et des structures qu’il préside, ait été engagée comme chroniqueuse dans la nouvelle émission de Thierry Ardisson, Les terriens du dimanche, qui débutera en septembre. Lors de son passage sur RMC, dans Les Grandes Gueules jeudi dernier, Mme Garrido a été mise sur le gril par Olivier Truchot et Charles Consigny. Ils lui ont reproché ce qui serait une forme de duplicité ou de double-langage, à savoir le fait qu’elle accepte d’être payée pour ce rendez-vous programmé sur C8, une chaîne appartenant au très capitaliste Vincent Bolloré. Déjà, en juin 2013 l’Agence Bretagne Presse s’était arrêtée sur les activités annexes de cette femme d’origine chilienne qui dirige (dirigeait?) avec son mari « un label musical indépendant, Misty Productions, dont l’artiste phare est (sa sœur) Mistysa », une « chanteuse de Soul / R n’ B qui connaît un certain succès au Chili d’où elle est originaire. » Or, « les activités de Mistysa semblent s’accommoder d’une certaine collaboration avec le capitalisme le plus sauvage : le lancement au Chili de son dernier album Macumba aura eu lieu dans l’auditorium de la Fondation Telefonica, c’est-à-dire une émanation de Telefonica, la sixième compagnie mondiale en matière de téléphonie (première compagnie espagnole) vouée régulièrement aux gémonies par tous les syndicats du monde latino-américain pour ses méthodes fort peu sociales. »
Preuve peut-être qu’elle ne se sent finalement pas aussi à l’aise et sereine qu’elle le dit vis-à-vis de l’électorat mélenchoniste en acceptant de se vendre à C8, Raquel Garrido a sur-réagi assez maladroitement sur twitter en écrivant après coup: « Les Insoumis me le répètent depuis la fin de la présidentielle et ils ont raison. Les Grandes Gueules de RMC font un violent insoumis-bashing #AuRevoir. » (sic). La meilleure défense c’est l’attaque: déjà pour tenter de justifier le malaise engendré par la piètre prestation, la froideur du sentiment national exprimé par l’élue mélenchoniste controversée Daniele Obono qui avait été sévèrement étrillée sur le plateau des Grandes Gueules en juin dernier, Jean-Luc Mélenchon et ses amis avaient crié au racisme… comme c’est original!
Pourtant, sur le plateau des Grandes Gueules, Raquel Garrido avait énoncé un certain nombre de vérités. Elle qui officia également un temps auprès de Christophe Hondelatte sur BFMTV, a eu beau jeu de répliquer à ses détracteurs que les militants politiques cachés sous la défroque du journaliste sont nombreux (ce qui est vrai); que la quasi totalité des médias français appartiennent à neuf milliardaires (ça l’est aussi). Bref qu’elle aurait bien tort de ne pas se saisir de la tribune (tarifée) qu’on lui tend pour y faire passer ses idées. Tout juste peut-on constater avec Bruno Gollnisch que ce n’est pas demain qu’une chaîne osera confier une chronique à un cadre, adhérent/militant identifié comme tel du Front National. L’anticonformisme d’Ardisson a ses limites, qui sont peut-être également celles de ses patrons. Car en terme de transgression vis-à-vis de la doxa libérale, de regard tranchant, incisif, décapant sur l’actualité, il y avait beaucoup mieux à trouver que cette représentante des révolutionnaires en peau de lapin de la France Insoumise.
Nous le savons, les idées défendues par les mélenchonistes ne sont pas toujours d’une grande fraîcheur, pertinence et intelligence mais en désignant le FN comme leur adversaire principal, ils sont assurés de bénéficier d’une certaine bienveillance et surface médiatique. Mme Garrido elle même, n’avait pas hésité à qualifier Marine Le Pen de « délinquante » en 2012, à la suite d’un tract distribué dans le cadre de la campagne législative à Hénin-Beaumont, citant une déclaration de Jean-Luc Mélenchon en faveur de l’immigration de peuplement. Dans un entretien accordé à Street press, elle expliquait qu’elle « rêve de ce qu’elle appelle une lutte à mort entre Parti de gauche et le FN, jusqu’au dernier survivant »; lutte à mort qui était aussi l’expression utilisée en son temps par un grand maître du Grand Orient pour qualifier la nature de l’opposition de sa secte au Mouvement national.
Épouse à la ville du Monsieur anti FN du Parti de Gauche, le tout nouveau député Alexis Corbière, Mme Garrido coche elle aussi toutes les cases du politiquement correct: ancienne vice-présidente de SOS racisme, ex de l‘Unef, ex adhérente du PS ralliée au mélenchonisme, cette dernière est en toute logique beaucoup plus virulente contre l’opposition nationale, populaire et sociale que contre un Grand capital dont, in fine, les socialo-trotskistes ont toujours été les alliés de revers ou les idiots utiles. En défendant notamment, comme le Medef, les partis du Système, les cénacles mondialistes et le monde de la finance hors sol, la poursuite d’une immigration, armée de réserve du capital, qui paupérise, tiers-mondise notre pays et dont les Français les plus modestes sont les premières victimes.
https://gollnisch.com/2017/08/01/raquel-soldat-de-reserve-capital/
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Trump : derrière le chaos, la victoire ? (1re partie)
Faisons le bilan du coup d’État rampant qui le tenaille…
Il est dit que Trump, chaotique, tombe en vrille. Avant de nous prononcer, faisons le bilan du coup d’État rampant qui le tenaille (avant de prévoir, en 2e partie, les prochains mouvements tactiques et stratégiques du président).
Reprenons :
1) Trump a gagné l’élection du 8 novembre avec un nombre écrasant de grands électeurs, et peut-être même la majorité du vote populaire (l’enquête menée par le vice-président Pence sur les fraudes électorales – dont le vote des illégaux – permettra de le savoir).
2) Depuis la rencontre du 14 novembre (à l’hôtel Mandarin de Washington) entre la chef de file démocrate Nancy Pelosi, George Soros et un certain nombre de capitalistes, un coup d’État rampant a été mis en branle, visant à transformer Trump en Viktor Ianoukovytch. Il fallait trouver une histoire à vendre au public, tout en lançant une sédition à géométrie variable.
3) On se souvient que tout avait démarré avec le piratage, en 2016, du serveur du Parti démocrate, et les publications de WikiLeaksdes courriels de Podesta (le directeur de la campagne Clinton). Ces deux actes ont été « imputés » à Poutine en personne, orchestrant un « acte de guerre » à l’encontre des États-Unis.
4) Puis est survenu le fameux « dossier Trump » en janvier 2017, décrivant un Trump se livrant à la débauche dans un hôtel de Moscou. Ce dossier assemblé pour le compte du Parti démocrate par la firme américaine de salissage politique Fusion GPS a été, depuis, unanimement démoli.
5) Depuis six mois, la relation entre Trump et le Congrès est à « qui manipule l’autre ». Le Congrès tentant d’imposer son programme à Trump (autrement dit celui des bailleurs de fonds électoraux), Trump cherchant à se rallier les élus républicains.
6) La réalité est que la majorité des élus républicains veulent le vice-président Mike Pence comme président et, passivement ou activement, ont été complices de l’inquisition visant à faire tomber Trump pour collusion dans « l’ingérence russe dans nos processus démocratiques ».
7) Cette inquisition se matérialise aujourd’hui par quatre enquêtes parlementaires (sans succès), une enquête du FBI (sans succès) et, enfin – in cauda venenum –, celle du procureur spécial Robert Mueller, républicain « bushiste » qui a recruté une équipe juridique… pro-Clinton afin de fouiller dans les affaires personnelles de Trump.
8) Or, les lois américaines sont telles qu’on peut toujours trouver un crime. Le journaliste Tucker Carlson disant récemment : « Si je vais au restaurant à Moscou, il y a fort à parier que je serai inculpé par le FBI pour blanchiment d’argent ! »
9) Début juillet, lorsque sa famille est passée à la moulinette des enquêtes, Trump a alors compris que sa mise à mort se profilait. Il a réagi…
En 2e partie nous verrons comment Trump a ridiculisé les élus républicains « gestionnaires » tout en motivant les élus « idéologiques », comment il a débloqué un certain nombre d’obstacles, comment il a repeint le paysage à coups de tweets, de couteau (ou de massue !), et enfin comment il réorganise sa maison afin de tenter une échappée quand tous dormiront en août.
http://www.bvoltaire.fr/trump-derriere-chaos-victoire-1re-partie/
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Harlem Désir recasé à plus de 10.000 euros mensuels exemptés d’impôts pour nous baratiner sur la liberté des médias
Défaite électorale ou pas, les socialistes ont un grand talent pour se recaser. Ainsi, Harlem Désir, ex-président de SOS Racisme et ancien premier secrétaire du Parti socialiste, a été nommé au poste de représentant pour la liberté des médias au sein de l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe.
Représentant « pour la liberté des médias » ? On croit rêver ! Rappelons que cet énergumène est un professionnel de longue date de la police de la pensée, grand adepte de l’utilisation des lois liberticides de type Pleven-Gayssot.
Mais revenons aux avantages financiers qui accompagnent cette nouvelle fonction offerte à Harlem Désir. L’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE) a un système de rémunération basé sur celui de l’Organisation des Nations unies « pour les membres de ses équipes », ce qui signifie que les trois dirigeants à la tête des trois institutions que compte l’OSCE (responsable du Bureau des institutions démocratiques et des droits de l’homme, représentant pour la liberté des médias et haut commissaire pour les minorités nationales) ont… le rang de sous-secrétaire général de l’ONU.
Pratiquement, cela signifie qu’Harlem Désir va empocher 122.195 euros annuels, soit plus de 10.180 euros par mois, et exemptés d’impôts !
Ah, la dure vie de socialiste…
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Constance : il mitraille dans une discothèque. Encore un musulman demandeur d’asile !
La population allemande est frappée quotidiennement par des attaques physiques ou sexuelles commises par des migrants musulmans.
Depuis l’ouverture des frontières par la chancelière démocrate-chrétienne Angela Merkel durant l’été 2015, la population allemande est frappée quotidiennement par des attaques physiques ou sexuelles commises par des migrants musulmans. Ce dimanche 30 juillet 2017, la ville de Constance, située au bord du lac du même nom dans le sud du Bade-Wurtemberg, près de la frontière suisse, fait la une de l’actualité. Un demandeur d’asile irakien de 34 ans y a ouvert le feu dans une discothèque. Deux personnes, dont l’auteur des faits abattu par la police, sont décédées et plusieurs sont blessées, dont trois lourdement.
Le tueur était connu de la police pour divers délits et vivait depuis longtemps à Constance. Il a pénétré dans la discothèque et, quelques minutes plus tard, vers 4 h 30, a ouvert le feu avec une arme à canon long. Lorsqu’il a quitté la discothèque, un échange de coups de feu a eu lieu avec la police et l’individu a été blessé mortellement. Il est décédé de ses blessures à l’hôpital. Un policier a été également blessé lors de l’échange de coups de feu, mais n’est pas en danger de mort.
Un témoin raconte à l’agence de presse DPA (Deutsche Presse-Agentur) que l’auteur a tiré avec une mitraillette au hasard, dans la discothèque Grey, sur les personnes présentes dans ce lieu qui était bondé. Des centaines de personnes y dansaient. Lors des faits, la panique s’est emparée des noctambules qui se sont enfuis et se sont cachés. La police a déployé des forces spéciales et a demandé un hélicoptère de la police pour d’éventuelles recherches.
L’Allemagne était autrefois un pays au sein duquel une femme pouvait sans problème se promener seule dans la rue la nuit, même dans une grande ville. L’afflux de migrants a changé complètement la donne. Faire ses courses, se rendre dans une discothèque, se promener dans la rue n’est plus désormais un acte anodin, mais peut conduire aux pires conséquences. Les Allemandes et Allemands ne sont plus en sécurité à leur domicile. Des migrants pénètrent chez les habitants du cru et les tuent pour les voler ou violent les femmes. À Auerbach dans le sud de la Bavière, un Roumain a été arrêté ce 28 juillet après avoir violé une Allemande à son domicile.
Face à toutes ces atrocités, la justice ne daigne pas condamner lourdement les auteurs des faits, leur trouvant des circonstances atténuantes au vu de leurs origines. Cinq jeunes individus dénommés Murat C., Hasrit S., Madonna R., Meto K. et Amir R., qui avaient tué un pensionné de 81 ans à son domicile à Tönisvorst en Rhénanie-du-Nord-Westphalie en le battant à mort lors d’un vol organisé, écopent, alors qu’ils étaient déjà connus des forces de l’ordre pour d’autres faits, de peines allant de 6 ans et 7 mois à 7 ans et 9 mois de prison.
À Hanovre, en Basse-Saxe, le Marocain Nori Najia été condamné à seulement 7 ans et 3 mois de prison pour avoir violé durant deux heures et agressé violemment une Allemande de 27 ans enceinte de sept mois de jumeaux à son domicile alors qu’elle rentrait chez elle.
Lionel Baland Écrivain et journaliste belge francophone Son blog -
Tu es blanc et tu détestes l'Occident ? Ben, t'es un con. - Daniel Conversano