Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

anti-national - Page 730

  • Un homme fonce en voiture dans une pizzeria : déséquilibré, fou, terroriste ?

    Un homme au volant d'une voiture a foncé volontairement le 14 août au soir dans une pizzeria de Sept-Sorts, en Seine-et-Marne. Une jeune fille a été tuée et douze autres personnes ont été blessées, dont quatre sont dans un état grave. Le conducteur a été interpellé par la police. On ignore pour les moment ses motivations. La presse évoque un déséquilibré, tenant des propos incohérents devant les policiers, voulant se suicider.

    Selon un témoin

    « Ce regard qu’il avait là, toute ma vie ce sera ancré dans ma tête. Toute ma vie. On ne peut pas avoir ce regard-là quand on vient de faire un truc comme ça. Je n’ai jamais vu quelqu’un d’aussi posé. Tranquille, serein. Le gars, il avait réussi son coup. » 

    Il faut aller lire la presse étrangère (via FDesouche) pour trouver une photo de l'individu :

    1708151509370102

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Donald Trump rappelle à la presse les violences de la gauche alternative

    VIDEO  : «J'apprécie @StephenBannon,c'est mon ami,un homme bien, il subit un traitement injuste de la presse»@realDonaldTrump pic.twitter.com/rpqsVLxCqv

    VIDEO⚡ sur  : «Que dites-vous de la "Gauche alternative" qui a chargé la "Droite alternative" avec des  ?» pic.twitter.com/fQ4d13pAb7

     

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • IL FAUT SAUVER LE SOLDAT JALLAMION

    3239857599.jpgArnaud Beauregard

    Ligue duMidi cliquez ici

    « A mort le flic ! » (Publié aux éditions Riposte laïque cliquez ici) est le titre d’un opuscule loin d’être pompeux. Bien au contraire, l’auteur, Sébastien JALLAMION déroule au fil des pages le processus du rouleau compresseur de l’administration déclenché pour obtenir la mise à mort professionnelle d’un « malfaisant » s’adonnant au militantisme de la cause nationale.

    Mais, il est patent de constater que cette institution policière est devenue au fil du temps, feutrée et insipide, dans laquelle il fleure bon d’être « politiquement correct ».

    En définitive, l’administration ne demande plus aux policiers d’être des « flics » mais simplement d’être de bons fonctionnaires disciplinés, et pour paraphraser le Général DE GAULLE une sorte d’agrégat de « veaux » obéissants seulement aux diktats imposés par la bien-pensance !

    Malgré la récurrence annuelle de quatre millions de crimes et délits enregistrés par les services de Police et un taux d’élucidation des enquêtes judiciaires peu glorieux avoisinant les 10%, la haute hiérarchie policière décréta qu’une simple publication anonyme sur des réseaux sociaux méritait un traitement administratif et judiciaire implacable.

    Le Directeur Départemental de la Sécurité Publique jugeait la publication de Sébastien JALLAMION méphitique, à la rhétorique fantasmagorique et hallucinogène, incompatible avec le “vivre ensemble” sous l’ère de l’islam modéré.  Alors, tel un haruspice, qui lit dans les viscères d’un mort, ce haut fonctionnaire interprétait la volonté divine de l’élite de la bien-pensance islamo-collaboratrice en quémandant à ses pairs de l’administration et à l’institution judiciaire une peine irréfragable contre ce dissident de la cause nationale.

    Dans l’incurie de la sempiternelle culture de l’excuse pour les racailles, le glaive de la justice s’abattit sur l’innocent.  Jeté au pilori, assassiné professionnellement et socialement, condamné par la justice, il ne restait plus que l’exil amer en Suisse à Sébastien JALLAMION pour éviter l’embastillement au milieu de ceux qu’il avait traqué autrefois.

    Dans ce maelstrom de l’insécurité physique et culturelle, ce soit disant « délit d’opinion » semble bien dérisoire comparé aux zones de non-droit pullulant sur le territoire national, à ces « jeux de massacre » récurrents dans les rues de Paris ou de Nice, ou à l’échec de la lutte contre le trafic des stupéfiants pour lequel une grande partie de l’élite dominante suggère de légaliser le cannabis afin de conserver l’illusion de la paix sociale dans les quartiers sensibles.

    Sébastien JALLAMION a écopé d’une « triple peine » : administrative par la révocation, judiciaire par la condamnation pénale, et professionnelle par la suspension définitive de sa qualification d’Officier de Police Judiciaire… Peine irréfragable pour avoir tout simplement publié une photographie sommaire dans laquelle le « facebookeur» prenait pour cible le calife djihadiste et terroriste irakien Abou Bakr Al-BAGHADI.

    Bien que le législateur ait supprimé la double peine pour les étrangers délinquants, les apôtres “droits de l’hommiste”  ne semblent pas être effarouchés à l’idée qu’en France, un homme peut être sanctionné pour le même fait à trois reprises. Bien évidemment, l’administration a cette faculté habituelle de contourner le délit de harcèlement moral en jetant en premier lieu l’opprobre sur le fonctionnaire, en dénonçant la commission d’un crime honteux de lèse-majesté d’islamophobie et d’amalgame

    Lorsque le début des ennuis se profile à l’horizon, Sébastien JALLAMION a la crédulité d’avoir confiance en reconnaissant tout benoîtement les faits en pensant que le bon droit prévaudrait. Appréciation de jugement motivée par le fait qu’il avait pris l’assurance d’être une personne lambda, par l’anonymat sur les réseaux sociaux, afin de ne pas mettre en avant la qualité de sa fonction et ne causer ainsi aucun manquement déontologique.

    Mais, c’était oublier le système ORWELLIEN de cette hiérarchie policière qui ne tient pas compte que « L’honnêteté n’est pas un habit des dimanches, mais un vêtement de tous les jours »… Le rouleau compresseur de l’administration est bien rodé : le tout commence par une simple audition administrative, puis une enquête judiciaire et pour finir conduire le « prévenu » devant le tribunal correctionnel.

    Ainsi, par ce mode de fonctionnement, l’administration a eu les coudées franches pour asséner le coup fatal en traduisant le pauvre Sébastien devant un conseil de discipline qui n’avait plus qu’à entériner la suspension ou la révocation due à l’obtention d’une condamnation pénale. Et pour achever l’insubordonné, une convocation devant le procureur général pour lui supprimer sa qualification d’Officier de Police Judiciaire au cas où le séditieux militant réussirait contre vents et marées à rependre ses fonctions.

    Ainsi meurtri, humilié, il sera aisé pour l‘administration de le « placardiser » dans un emploi peu exaltant où le pauvre policier finirait par sombrer dans la dépression d’autant plus que la fonction publique l’avait suspecté d’avoir des problèmes psychologiques. Quoi qu’il advienne du fatum administratif, le sort du Brigadier-Chef de LYON était scellé à jamais, sans autre forme de procès, le verdict était sans appel.

    Sébastien JALLAMION ne pourra plus ou ne devra plus exercer son métier qu’il a choyé pendant deux décennies… telle en est la volonté de ces nouveaux inquisiteurs. Et oui, tout ça pour ça ! Qu’il serait plaisant de constater pour le peuple des exclus des territoires abandonnés que cette hiérarchie policière ait la même empathie à l’égard des millions de victimes de crimes et délits, comme toutes ces femmes battues ou violées, ces enfants rackettés à la sortie des écoles, ces ouvriers abandonnés dans les quartiers sensibles où  quelques « jeunes désoeuvrés de cités » incendient leurs voitures en toute impunité.

    La bêtise de bons nombres de militants et de cadres de la droite nationale et populaire consiste à cultiver la persévérante fausseté d’une police muselée qui finira par se révolter et libérer les zones de non droit des hordes ethnico-délinquantes. Et par conséquent, dans cet aveuglement de l’esprit il ne fait l’ombre d’un doute que le fossoyage de Sébastien JALLAMION ait généré un engouement de solidarité au sein des forces de l’ordre.

    Pourtant, toute vérité n’est pas bonne à dire et dans son exil helvétique, Sébastien JALLAMION est un homme bien seul, meurtri par une sentence redoutable et abandonné par une corporation qui ne s’est guère mobilisée par un élan de générosité et de courage.

    Gardons en mémoire que l’injustice faite à un seul d’entre nous est une menace faite à tous !

    Cette condamnation pour islamophobie est destinée à donner à l’injustice l’accent de la vérité, à rendre l’assassinat social respectable. Alors, ne donnons pas aux bien-pensants le sentiment que la solidarité entre militants de la cause nationale est semblable à un courant d’air, nous nous devons de sauver « le soldat JALLAMION ».

    L’action solidaire est à portée de nos bourses, en se procurant son livre afin que notre camarade puisse réunir la somme de cette ignominieuse condamnation pécuniaire qui lui permettra de retrouver sa liberté d’aller et venir dans la patrie, dite, des droits de l’homme…

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Cédric Herrou : derrière l'humanisme, une dangereuse remise en cause de l'Etat

    3149122351.jpg

    Par Gaël Nofri

    Cédric Herrou a été condamné ce mardi en appel à quatre mois de prison avec sursis pour avoir aidé des migrants. Dans cette tribune sur figarovox du 9 août, Gaël Nofri, élu municipal de Nice, démontre avec pertinence que cette condamnation qui demeure symbolique est surtout une publicité pour les actions contestables d'activistes qui remettent en question l'idée même de frontière. On peut en débattre mais Lafautearousseau partage cette analyse.  LFAR

    Le premier mot qui vient à l'esprit lorsque l'on évoque l'affaire Herrou c'est tristesse.

    Tristesse d'abord, parce que derrière tout cela il y a, quoique l'on veuille bien en penser, de la misère humaine et que la misère humaine est toujours triste.

    Tristesse ensuite, parce qu'il y a souvent aussi beaucoup de bêtise dans les propos les plus simplistes tenus, à l'emporte-pièce, par les plus radicaux des deux camps qui s'affrontent, et que la bêtise humaine aussi est triste.

    Tristesse enfin, par ce que cette affaire nous dit beaucoup de la crise qui traverse l'Etat en France aujourd'hui, de sa remise en cause et des doutes qui accompagnent son action. Or pour tout observateur de la vie politique française, cette misère de l'Etat est une incontestable source de tristesse, mais aussi de préoccupation quant à l'avenir.

    La condamnation de Cédric Herrou à une nouvelle peine, plus sévère, est certes un bon signe, mais, s'agissant de prison avec sursis, elle ne réglera en rien le problème qu'a fini par incarner l'agriculteur azuréen: l'Etat va continuer son jeu du chat et de la souris. Celui-ci ne cache pas en effet son intention de réitérer ses actes, de «mieux s'organiser pour mieux agir» et ses appels à la désobéissance sont constants. Avec une certaine lucidité il déclare lui-même «Ils n'ont qu'à me mettre directement en prison». Depuis des mois en effet les arrestations et les gardes à vue succèdent aux libérations et aux violations de la loi selon un schéma désormais assez bien rodé, qui n'a d'autre bénéficiaire que la publicité rendue à sa cause.

    Car le combat entre Hérrou et les autorités n'est pas l'histoire d'une action, il est un combat de fond entre celui qui entend «se substituer à l'Etat» et un Etat qui doute de sa propre légitimité à agir. Tout se passe comme si, sur cette affaire comme sur bien d'autres hélas, l'Etat avait honte de lui-même, peur de son autorité, n'était pas certain de son bon droit. «L'Etat, c'est-à-dire la société où il y a des Lois» disait Montesquieu, qui ne jugeait sans doute pas en son temps nécessaire de compléter sa formule par «et dont on assure le respect effectif» est en crise. Cette crise, qui trouve sans doute ses racines françaises cinquante ans en arrière dans le triomphe des idées de mai 68, témoigne de la défiance de notre époque et de notre société vis-à-vis de l'autorité, des institutions, de l'Etat-Nation ; par là même, elle fournit un argument supplémentaire à ses détracteurs.

    En matière migratoire, il faut convenir que la Loi du 31 décembre 2012 a ouvert une voie dangereuse dans ce sens. Alors que l'aide à un migrant dans le cas d'un danger grave et imminent était déjà exclue de toute poursuite depuis 2003 - ce qui s'entend -, le texte porté par le Gouvernement de Gauche a introduit dans la Loi le fait de ne plus poursuivre l'assistance à une personne en situation illégale, c'est à dire qu'il légalise l'assistance à la violation des lois… un Etat qui légalise la violation de ses propres Lois, voilà bien la preuve d'un trouble profond ! Pire, non content de l'ouvrir à des citoyens, cette Loi a élargi l'immunité à des organisations entières, faisant dès lors de la violation des Lois un droit et une activité du dimanche. Dans l'indifférence générale, des structures se montent et s'affirment donc afin d'entraver l'action de l'Etat, de faire échec à ses politiques publique, d'empêcher l'application des choix arrêtés par les autorités légales et légitimes du pays... mais il est vrai que l'on parle là d'associations qui se sont auto-proclamées «pro-migrants» !

    Encore conviendrait-il de réévaluer ce titre. Car il ne serait pas inutile de s'interroger en quoi est-il moins favorable, digne et humain pour les migrants d'attendre à Vintimille plutôt que de l'autre côté de la frontière ? Le vrai terme, le vrai combat, la motivation véritable de ces associations n'est pas tant dans le sort des migrants que dans la dénonciation de la frontière, jugée coupable de tous les maux… La Justice ne s'y est pas trompée lorsque, justifiant la condamnation de Cédric Hérrou malgré la Loi de 2012, elle exprime son sentiment que celui-ci inscrit l'accueil des migrants non dans une action de solidarité individuelle mais dans le cadre d'une «contestation globale de la loi (…), une cause militante» qu'il entend ainsi servir.

    Dénoncer la frontière, attaquer l'Etat, voilà le programme bien connu qui se cache, ici, sous les apparences d'un humanisme radical et de bons sentiments portés en bandoulière. Mais il faut avouer que les habits de l'humanisme radical permettent beaucoup de choses, notamment de faire oublier que c'est justement la déstabilisation des Etats du sud de la Méditerranée en Egypte, en Lybie, en Tunisie et la disparition effective de leurs frontières qui seuls ont permis ses grands mouvements migratoires, transformant la Méditerranée en un vaste linceul…

    Méfions nous donc de l'avenir que certains nous promettent. Car les critiques et les attaques contre l'Etat et les frontières peuvent paraître belles, nobles et généreuses vu de loin, mais elles sont un luxe que ne peuvent se permettre que ceux qui vivent à l'abri de ces mêmes frontières, encore protégés par l'Etat qu'ils prétendent abattre… réaffirmons le ensemble: non la Libye n'est pas une perspective enviable!

    «Si l'État est fort, il nous écrase. S'il est faible, nous périssons» rappelait Paul Valéry.  

    Par Gaël Nofri 

    Gaël Nofri est conseiller municipal et métropolitain de Nice et président du Groupe des élus niçois indépendants (DVD).

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/index-1.html

  • LES VIOLS COMMIS PAR LES MIGRANTS SUR LES ALLEMANDES SE POURSUIVENT DURANT LES VACANCES

    afrika2-644x320.jpg

    Depuis l’ouverture des frontières au cours de l’été 2015 par la chancelière Angela Merkel, les agressions sexuelles et viols commis par les migrants se poursuivent jour et nuit à travers l’Allemagne. Durant les vacances d’été, aucun répit n’est constaté. Même un âge avancé ne protège pas les victimes potentielles, qui sont attaquées dans l’espace public ou à leur domicile.

    Ce 10 août 2017, à 6 h 20 du matin, une étudiante de 20 ans se trouvant dans le métro à Munich, en Bavière, a été agressée par un Noir qui lui a peloté les seins à plusieurs reprises. Le même jour, à Bonn, en Rhénanie-du-Nord-Westphalie, un homme au teint sombre s’exprimant en anglais a harcelé sexuellement des femmes seules à différents endroits de la ville. Le 9 août, à Fribourg-en-Brisgau, au Bade-Wurtemberg, un Somalien de 53 ans a touché, dans une gare, les fesses d’une dame de 23 ans et harcelé sexuellement un enfant ainsi qu’une autre femme. Le 8 août 2017 au matin, quatre Arabes ont harcelé sexuellement deux filles à Görlitz, en Saxe. Un passant est intervenu et a été menacé avec un couteau. Ce 7 août au matin, une dame de 56 ans promenant son chien a été violée à Erfurt, en Thuringe, dans un bois, par un homme d’origine étrangère au teint sombre. Le 6 août au soir à Vöhringen en Bavière, une Allemande de 16 ans à vélo a été attaquée sexuellement en rue par un Noir originaire du Mali qui a pris la fuite sans avoir pu passer à l’acte après que la victime s’est fortement défendue. L’agresseur a été finalement arrêté par les forces de l’ordre. Ce 5 août 2017, à 5 h 25 du matin à Halle, en Saxe-Anhalt, une femme de 27 ans a été agressée par deux hommes au teint sombre qui ont tenté de pénétrer à son domicile alors qu’elle refermait la porte. La dame a crié à l’aide. Lorsqu’un autre habitant de l’immeuble est intervenu, les deux agresseurs sont partis. La victime, sous le choc, a été hospitalisée.

    En ouvrant les frontières, la chancelière Angela Merkel a jeté les femmes allemandes en pâture aux violeurs migrants. La presse du système, à l’époque si favorable à cette politique d’accueil, est désormais contrainte de relater les agressions sexuelles commises par les nouveaux venus originaires de pays au sein desquels le statut de la femme est souvent très bas et qui ne peuvent retenir leurs pulsions de testostérone face aux physiques attrayants des Allemandes. La présence de ces migrants modifie profondément le fonctionnement de la société allemande au sein de laquelle les femmes ne se sentent plus en sécurité comme autrefois. Les statistiques criminelles officielles produites par la police allemande montrent que les étrangers, et tout particulièrement les demandeurs d’asile, sont plus que massivement impliqués dans les agressions sexuelles et viols. Ainsi, en 2016, les demandeurs d’asile ont été proportionnellement plus de 1.200 fois surreprésentés dans ce genre de délit que les Allemands, et les étrangers près de 50 fois plus que les autochtones.

     Écrivain et journaliste belge francophone Son blog
  • ILS VIENNENT PARCE QUE…

    Est-ce que nous allons encore tolérer longtemps leurs entrées massives ?

    Regarder ces images qui font le tour du Net est un devoir moral et un signe de lucidité.

    Ces vidéos ont au moins le mérite de nous éclairer. Oui, il faut arrêter de se mentir : la majorité des migrants sont des hommes seuls ne venant pas de pays en guerre. Quant à leur pauvreté elle est relative puisqu’ils sont en bonne santé et payent des sommes conséquentes pour venir en Europe.

    Ils viennent tout simplement avec l’idée d’acquérir avec une grande facilité tout ce qui leur fera plaisir au niveau matériel, sachant par avance qu’ils bénéficieront des aides dévolues aux nouveaux arrivants.

    Ils viennent parce que les ONG les récupèrent aussi bien dans les camps en Grèce qu’en mer Méditerranée près des côtes libyennes, se fichant des lois du pays riverain.

    Ils viennent parce que les associations gauchistes recevant subventions de l’État, de certains conseils régionaux ou municipalités ont un seul but : faire exploser leur nation qu’ils haïssent. Pour cela, ils vont chercher ces « envahisseurs » dans les zones frontières, les infiltrent, brandissent leur misère comme une arme, les poussent à la violence et mettent en avant leurs revendications de manière exorbitante.

    Ils viennent parce que les grands médias, chaque jour, conditionnent leurs lecteurs, auditeurs ou téléspectateurs en stipulant qu’il faut les aider, que ce sont de pauvres hères victimes de la guerre, ne montrant dans leurs reportages que des associations pro-migrants sans jamais révéler les 61 % de Français qui refusent leur venue.

    Ils viennent parce que beaucoup de juges ferment les yeux sur les passeurs, et refusent de voir dans leur geste une infraction manifeste ne retenant qu’un acte d’humanité.

    Ils viennent parce que des bobos les tolèrent car, par principe, ils privilégient les droits de l’homme au droit de la nation et des citoyens.

    Ils viennent parce que des bourgeois n’osent protester de peur d’être montrés du doigt et que, dans leurs luxueux quartiers, l’immigré signifie pour eux homme à tout faire ou femme de ménage.

    Ils viennent parce que des milliardaires comme Soros préfèrent avoir une économie mondialisée avec une main-d’œuvre servile, mal rémunérée, plutôt que de payer correctement des locaux.

    Ils viennent parce que artistes et comédiens pétitionnent constamment pour les accueillir tout en négligeant d’en héberger eux-mêmes et d’agir pour les SDF français.

    Ils viennent parce que tous les gouvernements successifs ont été incapables de résoudre le problème, parce que le courage n’est pas leur vertu première et qu’ils préfèrent édicter des lois favorables aux autres plutôt que de protéger les nôtres.

    Ils viennent parce que les milliers de mosquées et de lieux de prière en France sont des appels significatifs à un avenir majoritairement musulman.

    Ils viennent parce que nos clercs préfèrent tendre l’autre joue plutôt que d’affirmer la vérité intangible du christianisme.

    Ils viennent enfin parce que nous-mêmes sommes incapables d’organiser une immense manifestation semblable à celles de La Manif pour tous pour exprimer notre lassitude de voir notre pays défiguré et ainsi faire pression sur nos gouvernants.

    Alors, posons-nous la seule vraie question : est-ce que nous allons encore tolérer longtemps leurs entrées massives ?

    http://www.bvoltaire.fr/ils-viennent-parce-que/

  • CONSANGUINITÉ ENTRE MÉDIAS ET POLITIQUES : LA PREUVE PAR SÉBASTIEN PIETRASANTA

    sebastien_pietrasanta_pays_dr.jpg

    Lors de l’attentat contre des militaires de l’opération Sentinelle à Levallois-Perret, quelle n’a pas été ma surprise de découvrir Sébastien Pietrasanta, consultant « terrorisme » pour BFM TV ! L’ex-député et secrétaire national chargé des questions de sécurité au sein du Parti socialiste avait renoncé à se représenter aux législatives 2017, un peu « lassé par le jeu politique » selon ses propos. On ne peut pas lui reprocher de chercher à se recycler afin de profiter de son carnet d’adresses sans doutes bien rempli, mais de là à le voir rebaptisé consultant « terrorisme » dans un grand média populaire alors que son principal exploit aura été d’être le chantre de la création de centres de déradicalisation en France, avec les résultats que l’on sait, il faut le faire ! Car on peut douter à la fois de son objectivité et de ses réelles compétences sur la question du terrorisme islamiste.

    Concernant son objectivité, son parcours politique engagé et idéologique est éloquent. Vice-président du syndicat lycéen FIDL, bien connu de Julien Dray, puis militant à SOS Racisme et enfin au Parti socialiste. Engagé dans le milieu associatif de la ville de Clichy, il crée en 1998 une association pour lutter contre le racisme et les discriminations. Le décor est planté. Sébastien Pietrasanta fait partie de ceux qui dénient la réalité du phénomène qui nous mine et préfère y voir la faute de la société française qui n’a pas su intégrer une jeunesse qui se cherche ailleurs une raison de vivre… ou plutôt de mourir. Il a aussi été l’auteur, en 2014, d’un rapport sur le projet de loi renforçant les dispositions relatives à la lutte contre le terrorisme, là aussi avec les résultats que l’on connaît depuis, et il est donc un des leaders de la philosophie néfaste de notre politique de lutte contre le terrorisme.

    Sur le plan de ses compétences, en 2015, après six mois passés auprès du ministre de l’Intérieur, il publie un rapport intitulé « La déradicalisation, outil de lutte contre le terrorisme » dans lequel il veut persuader l’opinion que les djihadistes de tout poil sont des victimes du système qu’il est nécessaire de prendre en charge et de réinsérer, en ouvrant notamment des centres de déradicalisation. Il privilégie la réinsertion des djihadistes à la sécurité des Français. Il va même jusqu’à souligner que « la question religieuse est en réalité peu présente dans la radicalisation » et comparer l’engagement djihadiste à un « nouvel engagement politique d’une frange de notre jeunesse qui se traduit par la participation ou le soutien à ces groupes terroristes ». Il fallait oser. Quel angélisme, quelle perversion intellectuelle, mais surtout quelle erreur de diagnostic ! Comment voulez-vous qu’avec de tels raisonnements, on puisse mener une véritable lutte contre le terrorisme ? Alors, maintenant, la commenter dans les médias… 

    Il pousse même l’outrecuidance à s’en remettre à la Justice et aux services de renseignement pour rester particulièrement vigilants, ce qui est une belle façon de se défausser. Son rapport propose aussi la création d’une fondation pour le contre-discours afin de contrer la déferlante de vidéos de propagande, portée entre autres par des interlocuteurs du culte musulman avec arguments théologiques afin d’éviter la radicalisation et le départ djihadiste. Silence assourdissant du CFCM ! Et pour cause : aucun contre-discours n’a réussi au monde, y compris en pays musulman.

    Autre exemple d’incompétence, dans le rapport de la commission d’enquête sur les attentats de 2015, dont il a été le rapporteur, Sébastien Pietrasanta préconise, à terme, « la fusion des trois forces d’élite » (GIGN, RAID et BRI). Or, les spécialistes savent bien que, dans ce domaine, on a besoin de diversité des compétences et de complémentarité plutôt que d’uniformisation et de fusion des services.

    En résumé, un bilan désastreux de Sébastien Pietrasanta dans le domaine de la lutte contre le terrorisme. Cette cooptation politico-médiatique chez BFM TV relève bien d’une consanguinité congénitale néfaste à une information objective et éclairée due aux Français.

     Consultant en sécurité

    http://www.bvoltaire.fr/consanguinite-entre-medias-politiques-preuve-sebastien-pietrasanta/

  • Mosquée salafiste à Evreux avec la complicité du maire LR

    Lu sur l'Observatoire de l'islamisation :

    "Rachid Ayouchede nationalité algérienne et sans profession, est le président de l’ « Union Cultuelle Musulmane d’Evreux », association qui porte le projet de construction de la « grande mosquée » d’Evreux. Imam, il se déclare ouvertement salafiste et s’habille ostensiblement comme un membre de cette mouvance, tout en disant respecter les principes de la république française.

    Il organise fréquemment des rendez-vous avec les religieux salafistes des départements limitrophes sur le site de la future mosquée, notamment lors des dernières fêtes islamiques. La présence de ces personnes suscite l’inquiétude de certains fidèles. Depuis son arrivée à la tête de l’UCME,  Mme Zohra.H, par le passé ex vice-présidente de cette association et présidente de l’association de femmes « EL WAFFA » a pris la décision de quitter cette entité, reprochant à Ayouche sa condescendance envers les femmes. A terme, le bureau de l’UCME pourrait écarter son président, mais en attendant, le maire élu sous l’étiquette UMP-UDI, Guy Lefrand, avec le soutien de Bruno Lemaire, soutient ce projet de mosquée. Concernant  l’implication de la mairie, Mohamed Derrar, adjoint au maire d’Évreux en charge de la jeunesse, de l’animation des quartiers et des cultures urbaines, était présent à la journée de collecte de fond pour la construction, le 11 mars 2017. D’ailleurs, lors de ce « diner de Gala », les femmes devaient entrer par une porte séparée, et étaient regroupées dans une pièce séparée par un rideau."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • IMMIGRATION : LE SEUIL DE TOLÉRANCE EST DÉPASSÉ

    Des-dizaines-migrants-p-n-trent-dans-l-enclave-Ceuta-1010x660.jpg

    Au delà d’un certain nombre, les populations exogènes sont inévitablement sources de conflit.

    Le « seuil de tolérance » théorisé par le sociologue, économiste et démographe Alfred Sauvy (et qui lui a valu d’être dénigré par sa propre famille politique : la gauche) signifie qu’au-delà d’un certain nombre, les populations exogènes sont inévitablement sources de conflit.

    Plusieurs pays d’Europe sont concernés, en particulier l’Italie, qui est au bord de la guerre civile (aucun média n’en fait l’écho) et avec laquelle l’Autriche envisage de fermer ses frontières.

    En France, rien n’est fait pour stopper les vagues migratoires, qui de toute façon sont ingérables dans l’espace Schengen. Le pays n’est même plus en capacité de savoir qui se trouve sur son territoire. L’État est dépassé, la situation est clairement hors de contrôle.

    Par ailleurs, même si une solution visant à stopper toute nouvelle vague d’immigration vers l’Europe était mise en œuvre (l’Union européenne fait exactement le contraire, même si les autorités italiennes semblent vouloir responsabiliser les ONG pro-migrants vis-à-vis des passeurs en Libye), il est déjà trop tard. La cohabitation avec les populations locales des pays concernés est de plus en plus difficile, et tourne déjà à l’affrontement.

    Seul un retour des migrants vers leurs pays d’origine pourrait désamorcer le conflit général qui s’annonce. C’est, d’ailleurs, en ce sens que Gérard Collomb a annoncé le versement d’une prime d’aide au retour portée à 2.500 euros par personne : une mesure qui, toutefois, risque de produire l’effet inverse à celui escompté, en attirant plus nombreuses les populations concernées. De plus, il est peu probable que les étrangers présents sur le sol européen repartent d’eux-mêmes, puisque dans le seul cas de la France, 96 % des déboutés du droit d’asile se maintiennent sur le territoire, selon un rapport de la Cour des comptes publié en 2015.

    Si l’on ajoute à cette problématique alarmante le phénomène lié à l’islamisation grandissante de nos territoires, sur fond de menace terroriste, force est de constater que la poudrière est bien en place, et qu’il ne manque plus qu’une étincelle pour déclencher l’explosion.

    Les autorités s’y préparent et pourraient bien profiter de ces tensions pour justifier des mesures autoritaires leur permettant de garantir, sous couvert d’assurer la continuité de l’État et de ses institutions, la sécurité des citoyens, au détriment de nos libertés individuelles déjà largement mises à mal.

    Comme à chaque période trouble de notre histoire, ceux qui ont les moyens de se mettre à l’abri le feront. Pour les autres, ils n’auront plus qu’à remercier ceux qui sont responsables de cette situation (nos dirigeants successifs) et à prier pour l’avenir de leurs enfants.

    http://www.bvoltaire.fr/immigration-seuil-de-tolerance-depasse/

  • La Suède refuse l'asile politique à une iranienne convertie au christianisme

    Une actrice iranienne, Aideen Strandsson, convertie au christianisme secrètement, arrivée en Suède avec un visa de travail de trois ans, a demandé l’asile à la Suède... qui lui a été refusé. Pourtant, en raison de sa conversion au catholicisme, elle est passible de sanctions pouvant aller jusqu’à la peine de mort si elle retourne dans son pays.  

    « Tout le monde connaît la situation en Iran et en Islam. Dans la charia, la conversion à une autre religion n’est pas acceptable et elle est punie de mort.».

    La Suède vient pourtant de lui refuser l’asile, au motif que sa conversion relève « de son choix » et qu’elle n’aurait « qu’à affronter seulement six mois de prison en Iran » !

    La Suède est ce pays qui accueille des immigrés clandestins, et annule des festivals de musique pour éviter que les immigrés ne commettent des agressions sexuelles. La Suède a accueilli récemment 244 000 demandeurs d’asile (dont 34% de Syriens et 10% d’Irakiens).

    Les dirigeants hongrois ont publiquement fait savoir par la voix du vice-Premier ministre Zsolt Semjén que la Hongrie lui accorderait l’asile.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html