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anti-national - Page 754

  • La Pologne refuse les migrants d’Afrique et du Moyen-Orient que veut lui imposer l'Europe

    Heureusement il reste des pays qui rappellent que la liberté et la souverainetédevraient rester des prérogatives nationales :

    "La Pologne acceptera les migrants venus d’Europe, mais pas ceux issus de pays d’Afrique ou du Moyen-Orient. “La Pologne est ouverte à l’immigration. Et l’année dernière, par exemple, nous avons délivré 1 267 000 visas à des Ukrainiens. La moitié de ces visas étaient des permis de travail”, a déclaré le ministre des Affaires étrangères polonais, Witold Waszcykowski.

    “Nous sommes ouvert à l’immigration non seulement d’Ukraine, mais aussi de Biélorussie et d’autres pays”, a-t-il ajouté. “Nous ne voulons pas participer au processus obligatoire de répartition des migrants venant du Moyen-Orient et d’Afrique. Nous refusons de mettre en œuvre la décision de l’Union européenne prise en septembre 2015.”

    À l’époque, les États membres de l’UE avaient adopté un plan de solidarité pour transférer 160 000 demandeurs d’asile depuis des camps de réfugiés en Italie et en Grèce. Une décision validée par le parti de centre-droit au pouvoir Plate-forme civique, qui avait accepté 6 200 migrants, et désormais remise en cause par son successeur, le parti conservateur Droit et Justice".

    Lahire

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  • Immigration : il faut qu’une porte soit ouverte ou fermée… [rediffusion]

    Par André Posokhow, consultant ♦ En matière d’immigration le choix des gouvernants est clair. Il faut qu’elle soit de plus en plus ouverte. Alors que la France, comme l’ensemble de l’Europe, connaît une crise migratoire dont les conséquences sont vitales et peuvent être tragiques pour notre pays, le pouvoir socialiste, indifférent à l’intérêt général des Français et mû par ses tropismes idéologiques, abaisse plusieurs protections juridiques contre l’invasion et, au contraire, renforce l’attractivité de la France au profit de celle-ci. Dans une discrétion assourdissante que certains commentateurs assimilent à de l’indifférence et face à un hémicycle vide, le gouvernement socialiste a fait adopter par l’Assemblée nationale en dernière lecture la loi n°2016-274 publiée le 8 mars 2016 au Journal officiel relative aux droits de l’étranger en France. Cette loi (*) ouvre encore plus la porte à l’immigration même irrégulière. Qu’on en juge.

    L’accès à la nationalité française par déclaration est élargi et facilité

    L’article 59 de la loi élargit l’accès à la nationalité française par déclaration en introduisant une innovation majeure dans le droit français de la nationalité :

    « Peuvent réclamer la nationalité française à leur majorité, par déclaration souscrite auprès de l’autorité administrative, en application des articles 26 à 26-5, les personnes qui résident habituellement sur le territoire français depuis l’âge de 6 ans, si elles ont suivi leur scolarité obligatoire en France dans des établissements d’enseignement soumis au contrôle de l’État, lorsqu’elles ont un frère ou une sœur ayant acquis la nationalité française en application des articles 21-7 ou 21-11 » (nouvel article 21-13-2 du Code civil).

    Cette loi crée ainsi une nouvelle forme d’acquisition de la nationalité française par déclaration. Il semble possible de l’assimiler à une forme indirecte du droit du sol transmis par un lien de fratrie, qui ne nécessite pas d’être né sur le territoire français, mais d’avoir un frère ou sœur devenu lui-même français soit de plein droit soit par déclaration. A ce titre elle constitue un recul important du droit du sang.

    Elle peut représenter une innovation particulièrement dangereuse et de nature à encourager l’invasion actuelle quand on sait que l’idée de famille en Afrique Noire est profondément différente du concept européen. Une « fratrie » subsaharienne peut être en réalité une mini tribu et regrouper une centaine de frères et sœurs voire plus.

    Enfin, il est symptomatique que les textes de loi utilisent le terme « réclamer » et non « demander poliment » pour obtenir la nationalité française par déclaration.

    L’institution d’une carte de séjour pluriannuelle vise à abaisser un obstacle administratif à l’immigration-invasion

    Jusqu’à aujourd’hui, le système français reposait sur la délivrance d’une carte de séjour d’un an renouvelable pendant cinq ans, avant d’accéder au titre de résident de dix ans. Les cinq ans de séjour temporaire constituaient une période probatoire, destinée à s’assurer d’une bonne intégration.

    L’article 17 de la loi (article 313-17 du CESEDA) crée une carte de séjour pluriannuelle de quatre (ou deux) ans qui sera délivrée « au terme d’une première année de séjour régulier ». Désormais, dès l’expiration du visa de long séjour d’un an, l’étranger obtient le droit à un titre de séjour, ne nécessitant pas un renouvellement annuel, d’une durée de quatre années, avant l’obtention du titre de dix ans.

    Ce document est à mi-chemin entre la carte de séjour valable un an et la carte de résident de dix ans. L’objectif est, selon l’exécutif, d’éviter aux étrangers en règle des passages répétés et anxiogènes en préfecture. Pour le rapporteur du texte, Erwan Binet (PS), ces interminables files d’attente montrent que « la France est un pays d’immigration » mais « qui ne l’assume pas » car cet « accueil indigne »était jusqu’il y a peu « politiquement voulu ».

    En réalité est ainsi écartée une disposition qui avait pour objectif que les étrangers fassent la preuve de leur volonté d’intégration. La carte pluriannuelle de quatre ans tend à pérenniser et figer la présence de l’immigré pendant cette durée. Une protection administrative est ainsi abaissée.

    La création d’un « passeport talent » : la pire ou la meilleure des choses ?

    L’article 17 de la loi du 7 mars 2016 crée le titre « passeport talents », valable quatre ans, qui remplacera la multitude de titres existants pour les étrangers qualifiés ou ayant une compétence particulière (nouvel article 313-20 du CESEDA).

    Une telle disposition peut être la pire ou la meilleure des choses. Elle peut réellement encourager l’arrivée de talents intellectuels, scientifiques ou artistiques pour le plus grand bien de la France. Connaissant les socialistes, elle peut constituer une porte grande ouverte à une immigration de travail rendue inutile par les 6 millions de personnes inscrites à Pôle Emploi.

    La communication d’informations à l’autorité administrative compétente est favorisée et organisée mais étroitement contrôlée

    L’article 48 du texte de loi (nouvel article 611-12 du CESEDA) renforce la lutte contre la fraude aux titres de séjour en donnant la possibilité aux préfets d’obtenir des données d’autres administrations et de certaines personnes privées (banques, etc.), ce qui est plutôt positif. En commission un amendement socialiste a introduit la Cnil et le Conseil d’État pour contrôler les informations susceptibles d’être transmises, ce qui peut constituer un frein.

    Malgré cette évolution du texte, cette possibilité d’accéder aux données privées et administratives des étrangers reste contestée par les écologistes et le Front de gauche.

    Des étrangers en situation irrégulière et malades, régularisés parce que malades

    L’article 13 de la loi prévoit en faveur de tout étranger malade et en situation irrégulière un droit à la régularisation s’il ne peut pas bénéficier effectivement d’un traitement approprié dans le pays dont il est originaire.

    « La carte de séjour pluriannuelle portant la mention “Vie privée et familiale” est délivrée de plein droit (…) à l’étranger résidant habituellement en France, si son état de santé nécessite une prise en charge médicale dont le défaut pourrait avoir pour lui des conséquences d’une exceptionnelle gravité et si, eu égard à l’offre de soins et aux caractéristiques du système de santé dans le pays dont il est originaire, il ne pourrait pas y bénéficier effectivement d’un traitement approprié. La condition prévue à l’article L. 313-2, n’est pas exigée » (nouvel article 313-11-11 du CESEDA).

    Ainsi un étranger en situation irrégulière en France, qui n’est pas en mesure de recevoir des soins appropriés dans son pays d’origine, obtient le droit à une régularisation en plus de celui d’être soigné en France.

    Quatre observations peuvent être formulées :

    1. le fait d’être malade peut ainsi conduire un clandestin à être régularisé. Bonjour les simulateurs ;
    2. une telle mesure risque d’entraîner un appel d’air d’une ampleur potentiellement gigantesque ;
    3. elle comporte un effet de cliquet redoutable ; à partir d’un certain âge on a toujours mal quelque part et pour des pathologies sérieuses on n’est jamais réellement guéri ;
    4. enfin, l’impact sur les comptes de la santé déjà déficitaires ne peut être que considérable.

    Le dispositif de lutte contre l’immigration irrégulière est affaibli

    L’article 35 de la loi porte une atteinte grave au dispositif de lutte contre l’immigration irrégulière. Il supprime la rétention administrative de cinq jours, délai pendant lequel le préfet pouvait décider de garder un étranger, notamment susceptible d’un arrêté d’expulsion, en rétention, le temps d’organiser son départ. Ce délai passe à 48 heures, durée nettement insuffisante pour organiser le retour d’une personne dans son pays (article 551-1 du CESEDA). C’est le juge des libertés, généralement très laxiste en matière de droit des étrangers, qui pourra autoriser une prolongation de cette durée (article 552-1).

    Ainsi le dispositif de lutte contre l’immigration illégale risque fort de perdre une grande partie de son efficacité.

    En outre, la nouvelle loi interdit, sauf exception, le placement en rétention des familles avec enfant (article 551-1 du Code), ce qui rend l’éloignement des familles en situation irrégulière très difficile, voire impossible, surtout avec des magistrats immigrationnistes.

    Le parcours personnalisé vise l’intégration républicaine et non l’assimilation à la France

    L’article 1 de la loi reformule la rédaction de l’article 311-9 du CESEDA sur le parcours d’intégration républicaine destiné à l’étranger qui souhaite s’installer durablement sur le territoire français.

    Il s’agit d’intégration républicaine et civique et non d’intégration à l’histoire et à la culture de la France qui sont totalement ignorées.

    L’information qui est dispensée est dans « une langue que l’étranger comprend », ce qui laisse augurer du niveau supposé d’intégration.

    Une formation à l’histoire et à la géographie est prévue mais seulement pour celles du département ou de la région de résidence de l’étranger. Rien n’est évidemment prévu concernant l’Histoire de France.

    Bien entendu, ces formations sont prises en charge par l’État, c’est-à-dire par les contribuables français, les envahis.

    Présence de journalistes dans les zones d’attente et les lieux de rétention administrative : une aubaine pour les immigrationnistes

    Selon l’article 44 de la loi :

    « Sous réserve de ne pas porter atteinte à la dignité des personnes et aux exigences de sécurité et de bon fonctionnement de la zone d’attente, les journalistes titulaires de la carte d’identité professionnelle mentionnée à l’article L. 7111-6 du Code du travail peuvent être autorisés à y accéder dans des conditions fixées par décret en Conseil d’État » (art. L. 221-6).

    Il en va de même pour les lieux de rétention administrative.

    Gageons que les médias et les associations immigrationnistes sauront tirer les plus grands avantages de cet article de loi.

    Conclusion

    En définitive, la loi, bien nommée, sur les droits des étrangers en France se place dans la lignée des textes en faveur de l’immigration depuis 40 ans. Elle favorise l’ouverture et l’accueil. Elle va dans le sens d’une augmentation des droits des étrangers et affaiblit le dispositif de la lutte contre l’immigration illégale.

    Il semblerait que les socialistes, vexés de la préférence que marquent les migrants et réfugiés pour l’Allemagne et l’Angleterre, veuillent renforcer, comme l’a souligné le député LR Guy Geffroy dont la voix a semblé bien solitaire, l’attractivité de la France alors que la crise des migrants bat son plein, et donner un souffle supplémentaire aux pompes aspirantes afin de redevenir les bons élèves de l’Europe mondialiste.

    En réalité, le gouvernement socialiste associé aux immigrationnistes de tout poil et stimulé par eux accélère le processus de remplacement et de dissolution du peuple français avant les élections de 2017. Partisan déterminé de l’immigration de masse et de l’invasion-submersion, il poursuit son œuvre de trahison de notre nation.

    André Posokhow
    16/03/2016

    (*) Note de la rédaction
    voir aussi : Immigration : cette loi votée en catimini qui élargit le droit du sol

    https://www.polemia.com/selon-musset-il-faut-quune-porte-soit-ouverte-ou-fermee/

  • Un conducteur blesse six militaires à Levallois et s'enfuit : un «acte délibéré» selon le maire

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    Au moins six militaires de l'opération Sentinelle ont été blessés, dont deux sérieusement après qu'un véhicule les a percutés avant de prendre la fuite, à Levallois-Perret dans les Hauts-de-Seine. Patrick Balkany évoque un «acte délibéré».

    Le 9 août, vers 8h du matin, un véhicule a foncé sur un groupe de militaires à Levallois-Perret, dans les Hauts-de-Seine, selon la préfecture de police citée par l'AFP. Selon la même source «six militaires ont été blessés, dont deux grièvement, même si leur pronostic vital n'est pas engagé». Les deux blessés ont été transporté à l'hôpital Percy de Clamart (Hauts-de-Seine).

    Une opération de police est en cours pour retrouver le conducteur, qui a pris la fuite, d'après la préfecture.

    Lire la suite sur RT en français

  • Nouveau scandale ONG : des salaires en or pour sauver les migrants

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    10 000 euros par mois pour sauver des migrants. Faire le volontaire en Méditerranée rapporte gros pour les bobos humanitaristes !

    Ils appelaient les migrants à sauver «la chose » et ils encaissaient des salaires mirobolants. Les révélations sur le bateau Iuventa, appartenant à l’ONG allemandeJugend Rettetmettent à jour un business bien rodé des débarquements. Comme le rapportent différents quotidiens italiens des écoutes, désormais publiques, de deuxmembres du navire Vos Hestia de l’ONG Save the Children, il ressort que l’engagement de certaines ONG est tout autre que désintéressé. L’un demande à l’autre :

    « Quelles étaient selon toi les choses étranges que tu as vues ? »

    Et l’autre de répondre :

    « Avant tout, le fait qu’ils étaient si bien payés, le fait qu’ils nous faisaient faire ses c… de photos comme… »

    L’ami l’interrompt :

    « Parce que eux, ils étaient payés avec un salaire ? »

    Et la réponse surprenante :

    « Ben oui ! c’est-à-dire que celui qui fait le volontaire peut gagner jusqu’à 10 000€ par mois me semble-t-il... »

    Une autre conversation entre les deux est tout aussi éclairante sur la moralité de ces ONG :

    «Des genre de types, ceux-là, c’étaient des bandits des mers et non des secouristes, hein ? Ceux-là c’étaient vraiment des bandits ! Vraiment cela a été scandaleux… ils ont fait plus de morts eux tout seul que les bateaux pneumatiques ».

    Les témoignages des deux hommes auprès des autorités italiennes chargées de l’enquête sur les activités probablement illégales de la Iuventa révèlent également l’entente entre les membres activistes de l’équipage du navire de l’ONG allemande et les passeurs :

    « Au cours d’un sauvetage du 10 septembre 2016 nous avons noté que durant le transbordement de la Iuventa à notre bateau de 140 migrants secourus par cette embarcation, un bateau pneumatique s’éloignait en se dirigeant vers les côtes libyennes avec à son bord deux hommes. Cette circonstance nous faisait penser que l’équipage de la Iuventa avait transbordé les 140 migrants du pneumatique qui rentrait sur la côte avec à son bord les passeurs. »

    L’entente entre humanitaristes activistes genre no-border présents sur la Iuventa a été telle que le 26 juin dernier à la proue du navire de l’Ong Jugend rettet «  a été hissé le drapeau libyen ».

    Quant activisme gauchiste rime avec business, c’est l’argent qui coule à flot sur le dos de miséreux clandestins qui se noient pour de faux !

    Francesca de Villasmundo  

    http://www.ilcorrieredelgiorno.it/dentro-le-carte-dellinchiesta-sulla-nave-ong-sequestrata-a-lampedusa/?print=print

    http://www.lastampa.it/2017/08/03/italia/cronache/accordi-con-i-trafficanti-di-uomini-sequestrata-nave-dellong-tedesca-02549A8LajFwyjL51HfGBO/pagina.html

    http://www.medias-presse.info/nouveau-scandale-ong-des-salaires-en-or-pour-sauver-les-migrants/78454/

  • La face cachée de celui qui "aide les migrants" mais qui en fait viole la loi

    Valeurs actuelles nous en dépeint le portrait de celui qui a été condamné en appel : 

    "C’est précisément parce que la justice le soupçonne d’organiser une filière d’immigration clandestine que l’homme fait parler de lui. On lui reproche d’aller chercher des migrants derrière la frontière italienne et de les choisir lui-même, pour les faire passer en France à bord de sa camionnette. Sa ferme est repérée depuis plusieurs mois comme un point de collecte de vêtements et de denrées au profit des migrants.

    S’il est établi qu’il ne s’enrichit pas à travers cette activité, il est aujourd’hui clairement identifié par les autorités comme un passeur. Il est reproché à ce militant assumé d’extrême gauche de 37 ans d’avoir organisé un système illégal d’« aide à l’entrée, à la circulation et au séjour d’étrangers en situation irrégulière ». L’agriculteur bio, qui vend ses oeufs sur les marchés de la région, est aussi poursuivi pour « occupation illégale de locaux privés », après avoir installé un camp de migrants dans des locaux appartenant à la SNCF. Jugé le 4 janvier dernier à Nice, le procureur a requis huit mois de prison avec sursis. L’homme a reconnu être allé chercher les migrants en Italie et non les avoir trouvés le long du chemin. Le jugement sera rendu le 10 février (...)

    Impliqué dans les milieux No Borders, particulièrement actifs à Notre- Dame-des-Landes où ceux-ci se livrent à des attaques violentes contre les forces de l’ordre, ou encore à Sivens, Cédric Herrou mène un véritable combat politique. « Je suis antifa », n’hésite-t-il pas à publier sur sa page Facebook le 8 décembre 2015. Le 13 juin 2016, il publie un autre texte sous une photo avec deux hommes qui se tiennent par la hanche : « On a tous un côté un peu pédé… » Il assume : « Le but [est] de titiller les fachos barbus ou ceux à têtes rasées, petits cathos frustrés, vieilles peaux mal baisées et… » (...

    Cédric Herrou et ses amis activistes seraient aussi connus des services pour être des consommateurs de cannabis réguliers, n’hésitant pas à se vanter d’allumer des feux, nus sous des cahutes, en y brûlant des herbes hallucinogènes. Les effets seraient « extraordinaires ».

    Lahire

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  • Stratégie des "migrants" : après les hommes fuyant soi-disant leur pays en guerre, les femmes exigent le regroupement familial

     : Elles exigent le regroupement familial en Allemagne 
    Effet Kiss cool de la deuxième vague

    Lahire

  • « Maire de Limoux complice du grand remplacement » (Civitas)

    collage-civitas-limoux-avortement-clandestins-100x75.jpgLimoux : « Maire de Limoux complice du grand remplacement » (Civitas)

    Les militants patriotes ont collé dans toute la ville en réaction à la transformation du parking de l’hôpital local en place « Simone Veil ». Ils se sont également opposés à la poursuite de la politique migratoire que le maire impose depuis des années, alors même que des millions de Français sont à la rue (et Limoux n’est pas épargné) ou en situation de réelle difficulté comme dans le milieu agricole. En 2015 le maire expliquait à la télévision française et aux médias locaux qu’il était désireux d’accueillir dans sa ville des « réfugiés médecins » syriens ou irakiens. Quelques années plus tard, combien de clandestins syriens sont devenus médecins à Limoux ?

    Parmi les slogans affichés, nous pouvons lire : « Simone Veil la voie de Garage » ou encore « Avortement + Immigration = le Grand Remplacement ». Les affiches font d’ailleurs le lien entre avortements (environ 250 000 par an) et immigration (environ 240 000 entrées légales par an).     

    Source : http://autan-reinfo.com/2017/08/04/limoux-civitas-lutte-contre-lavortement-et-linvasion-migratoire/

    http://www.medias-presse.info/maire-de-limoux-complice-du-grand-remplacement-civitas/78313/

  • Dans toute l’Italie, des bombes contre les migrants : à quand la guerre civile ?

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    J’ai souvent exposé ici ma vision : notre pays et l’Europe tout entière se dirigent inexorablement vers une guerre civile. En effet, la situation non maîtrisée de l’immigration devient de plus en plus explosive. Aujourd’hui la majorité des autochtones sont passés de la méfiance au rejet. Demain, la situation perdurant, des tensions apparaîtront qui aboutiront, si rien n’est fait, à un embrasement national puis européen.

    L’Italie est le meilleur exemple d’un tel processus. Les incursions des sans-papiers sur les côtes italiennes ont progressé de 67 % en un an. Ce sont entre 200.000 et 250.000 clandestins qui débarqueront avant fin 2017. Face à ce flux, le gouvernement transalpin va jusqu’à réquisitionner des propriétés privées pour loger les migrants, attisant ainsi le mécontentement.

    Ilgiornale.it a recensé toutes les actions entreprises ces derniers mois contre des centres d’accueil et des hôtels où logent les migrants. Du nord au sud de la péninsule en passant par les îles, les troubles contre le business de l’accueil des clandestins se généralisent. Des citoyens en révolte, pour stopper l’arrivée des allochtones dans leurs villages, n’hésitent pas à utiliser bombes, cocktails Molotov et violences physiques.

    Le cas le plus récent et le plus marquant s’est passé la semaine dernière en Sardaigne, où une bombe a explosé devant le centre de premier accueil de Dorgali, dans la province de Nuoro. Par chance, les 64 occupants ne furent pas blessés, même si la déflagration a provoqué un grand trou à l’extérieur du bâtiment. Ce n’est pas le premier incident dans l’île. Précédemment, trois actions du même style avaient déjà eu lieu. Le 11 octobre 2016, l’ex-caserne de Monastir, dans la province de Cagliari, avait subi un attentat incendiaire suite à la décision du préfet de transformer ce bâtiment en centre d’accueil. Même chose à Burcei, également dans la province de Cagliari, en septembre 2016 : une maison privée qui devait accueillir 25 migrants avait été dévastée. En novembre, c’est à Buddusò, village de 4.000 habitants, qu’un complexe de tourisme rural, dans l’obligation d’héberger des réfugiés, était pris pour cible et dévasté par une bombe artisanale. Les Sardes considèrent que le seuil de tolérance a été dépassé. Dans une région qui a un des plus important taux de chômage d’Italie, ces arrivées sont perçues comme une invasion. 

    Le 26 juillet, à l’occasion d’un vote régional sur le tourisme, un amendement, proposé par Forza Italia, a été adopté. Cet amendement refuse que des fonds régionaux aillent aux hôtels accueillant des migrants en lieu et place de touristes.

    Mais la Sardaigne n’est pas un cas isolé. Le 25 juillet, à Rocca di Papa, aux portes de Rome, une bombe a été lancée contre le mur d’enceinte d’une structure d’accueil destinée à héberger 500 Nord-Africains. En mai 2015, toujours dans la province de Rome, des habitants de Marino, avaient fait irruption dans un immeuble qui, sur décision de la préfecture, avait été choisi pour loger 78 réfugiés.

    Des faits similaires ont eu lieu dans le nord, en Vénétie, dans la province de Vérone et dans le Frioul. Plus récemment, d’autres se sont produits en Lombardie et au Piémont. Même La « rouge Émilie » est touchée par la colère contre les nouveaux arrivants.

    Enfin le sud, avec la Calabre et les Pouilles, n’est pas épargné, des actions analogues ont été entreprises contre les réfugiés venant des côtes libyennes.

    Cette rage, qui va en s’amplifiant, est l’illustration parfaite de ce qui se passera dans le reste de l’Europe si l’on persiste à faire de la mer Méditerranée un vaste réceptacle à migrants.

    http://www.bvoltaire.fr/toute-litalie-bombes-contre-migrants-a-guerre-civile/

  • Selon l'UNHCR, les migrants ne viennent pas de pays en guerre

    Pas d'idéologie, pas d'idées reçues : juste les chiffres officiels d'un organisme reconnu.

    Migr

    Lahire

    http://aucoeurdunationalisme.blogspot.fr/

  • En marche vers l'autodérision et l'aveuglement total de la réalité

    Le ridicule ne tue pas.

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_webl