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anti-national - Page 757

  • Avec Macron l’Islam qui gagne accède au pouvoir

    Certes, « la culture française ça n'existe pas » finassait M. Macron quand il ne s'imaginait même pas au deuxième tour de l'élection présidentielle. C'était le temps où il se rendait en Algérie pour insulter les Pieds-Noirs et, de retour en France, braillait qu'on l'avait mal compris et que d'ailleurs, il leur avait adressé bien des gracieusetés quelques mois plus tôt. Après tout il est peut-être plus habile que les autres. Est-il certain que dans cette France aux haines tenaces au point de passer par dessus les siècles, traiter de criminels contre l'humanité les arrière-petits-fils de colons d'Afrique du Nord ne lui aura pas valu plein de bulletins de vote de dinosaures rancis de l’anti-colonialisme ? Celui-là qu'entretiennent des centaines d'"historiens" de cour qui monnayent ainsi leur accès aux média, aux directions d'instituts, de musées et aux salons du Livre.

    Mais cela aussi fait peut-être partie d'une stratégie à long terme. Comme par exemple quand, prenant son air de sainte Nitouche le plus mièvre, il accuse à de nombreuses reprises Marine Le Pen de mentir alors qu'il n'a pas cessé de le faire tout au long des deux heures et demie de débat.

    Un seul exemple : quand il soutient effrontément qu'il n'avait aucun lien avec les Frères musulmans et l'UOIF, alors qu'il eut pour responsables locaux de En Marcher deux islamistes radicalisés.

    Mohammed Saou, réfèrent départemental de En Marche dans le Val-d'Oise, fut mis sur la touche pour des propos djhadistes mais sur Beurfm Macron dira en aparté : « C'est un type très bien, Mohammed, et c'est peur ça que je ne l'ai pas viré, » Ce Saou est un cadre du CCIF (structure issue des Frères Musulmans et liée à Tariq Ramadan). Le futur président dira même à Marine Le Pen qu'il ne le connaît pas alors qu'une photo les représentant hilares circule sur Internet. Citera-t-on encore Rachid El-Kheng, lui aussi sorti des mêmes milieux (Frères Musulmans et Ramadan), réfèrent de EM à Oignies dans le Pas-de-Calais. Cela fait beaucoup... Trop ? En tout cas cela rajoute à la litanie des mensonges qui jalonnent le parcours de Macron mais n'ont pas suscité dans les média enchaînés le même tintamarre qui depuis des mois suit Trump à la trace.

    Le parrainage de Cohn-Bendit

    Tout au long de sa campagne il a joué les matamores sur l'immigration, réussissant, grâce à sa connivence avec les média, à se faire passer pour un gardien vigilant de nos frontières et menaçant d'expulsion immédiate tous ceux qui les franchissent illégalement. Certes on ne l'a pas souvent bousculé sur son euro-manie obsessionnelle dont le principe cardinal est la suppression des frontières nationales. On va pouvoir rapidement juger à l'aune de ses assertions quel est donc ce patriotisme dont il ne cessa de prétendre qu'il était le contraire du nationalisme.

    Quelle est sa conception des frontières et de l’"ouverture" en matière d'invasion migratoire. 227 000 nouveaux venus par an (2016), plus 80 000 demandeurs d'asile auxquels viendra ultérieurement s'ajouter le regroupement familial, n'est-ce pas en effet ce qu'il prétend être le signe « d'une France raisonnablement ouverte »? Il est un partisan décidé du "testing" et de la condamnation des entreprises qui discriminent à l'embauche. Au prétexte que celle-ci serait illégale. Sauf qu'il y est favorable quand il s'agit d'embauché des jeunes de banlieue. En fait ce centriste douteux semble sorti de la gauche la plus ringarde selon laquelle il n'est de discrimination que lorsque l'étranger en est victime.

    Trois voyages illustrent parfaitement l'ouverture béante des frontières à laquelle nous pouvons nous attendre au cours des cinq années à venir. Celui qui le mena en Algérie au cours duquel il développa son plan de libéralisation totale des flux de population entre l'Algérie et la France. Et les deux qu'il effectua en Allemagne, en guise de soumission à Merkel, la grande prêtresse de l'immigration de masse « qui a sauvé, dit-il, nos valeurs communes ». Il reprocha même à l'Europe de n'avoir pas accepté les quotas d'accueil qu'elle voulait imposer. Submergeant ainsi les 26 autres comme elle l'a fait de l'Allemagne. Par ces mots il s'attira les félicitations de l'un des gourous de la désintégration européenne, Daniel Cohn-Bendit, qui l'avait intronisé bien avant la plupart en le désignant comme « le plus grand responsable français à sauver l'honneur »...

    Cohn-Bendit parlant d’honneur ? À se tordre de rire

    L'idéologie à laquelle il s'adosse est celle qui s'insinue dans tous les pays de peuplement européen. On peut appeler cela le sans-frontiérisme. Son moteur est à la fois l'accélération du développement sous toutes ses formes et le métissage que Sarkozy avait vigoureusement défendu dans son discours de Palaiseau du 25 mai 2009. Non seulement il y soutenait la discrimination positive mais il se déclarait prêt « à relever le défi du métissage ». Recourant même à la menace pour fane plier les récalcitrants « La diversité, à la base du pays, doit se trouver illustrée par la diversité à la tête du pays. Ce n'est pas un choix. C'est une obligation. C'est un impératif… Si ce volontarisme républicain ne fonctionnait pas, il faudra alors que la République passe à des méthodes plus contraignantes encore. » Et que peut-on espérer d'autre de Macron qui de surcroît a fait savoir qu'il entendait réaliser ses changements au pas de charge, à coups d'ordonnances ? Le 2 mars 2017, celui qui allait être élu trois mois plus tard accorda un entretien à Geneviève Jacques, présidente de la Cimade. Un choix qui n'est pas anodin, cette organisation figurant parmi les deux ou trois les plus furieusement commises à l'ouverture totale des frontières. Son mot d'ordre est une profession de foi « Les politiques migratoires dissuadent, méprisent, discriminent, précarisent, humilient, excluent... Quand elles ne tuent pas ». À l'occasion du second tour de l'élection présidentielle elle lança « un appel à une vigilance citoyenne ». Soulignant qu'il n'y avait d'alternative qu'entre « le repli sur les peurs et l'ouverture aux autres et au monde ». Un sophisme largement entaché d'hypocrisie puisque cet appel ne faisait - longuement - référence qu'à Marine Le Pen, « dont le programme anti-immigration et l'idéologie xénophobe qui raccompagne est fondé non seulement sur des contre-vérités mais remet en cause les principes fondamentaux du droit international ». Bobard ou « vérité alternative » ? Celle-ci étant une très vilaine chose dans la bouche de Kellyanne Conway, la porte-parole de Trump, mais une insinuation subtile sous la plume d'un journaliste de gauche. Quand une organisation soutient un candidat à la présidentielle avec autant de fougue et de détermination que le fait la Cimade, après l'avoir longuement entendu, c'est qu'il existe entre eux une parfaite identité de vues sur l'essentiel l'accueil de tous les réfugiés du monde. Ce que résume le site de l'association dite caritative qui ne sait probablement pas comment s'écrit Afrikaner

    - Instauration de voies légales d'accès pour les demandeurs d'asile.

    - Interprétation plus large des critères de protection, adaptée aux causes nouvelles des déracinements forcés.

    - Sécurisation du droit au séjour et au travail.

    - Fin des dispositifs d'enfermement et de sanctions judiciaires spécifiques aux personnes étrangères.

    François Clavairoly : « Le FN, c’est la peste » !

    Macron ne dit pas autre chose. Pour lui l'invasion de l'Europe est un fantasme entretenu par l'extrême droite. Selon la Cimade en effet seuls 3 % des gens quittent leur pays. La plupart d'entre eux pour un pays limitrophe. Ce chiffre, qui signifierait d'ailleurs quelque 200 millions d'individus, est fantaisiste mais sera sans doute atteint dans un avenir proche. D'après le Haut Commissariat aux Réfugiés en 2015 il y avait 65,5 millions de déplacés dont 213 millions de réfugiés à travers le monde. Mais d'après les données qu'il a en sa possession toutes les catégories de déplacés sont en augmentation brutale. Sans importance pour M. Macron...

    La Cimade elle-même est obligée de reconnaître « que le nombre des réfugiés et déplacés a explosé au XXIe siècle ». Les demandes d'asiles en Europe sont passées de 332 000 en 2012 à 434 000 en 2013, 625 000 en 2014 et 1,2 million en 2015. Avec les immigrés légaux et les clandestins cela a représenté au cours de ces cinq années plusieurs millions d'individus et ne cessera d'augmenter dans les prochaines années. Qu'importe, nous explique-t-on, cet essor du nombre de réfugiés ou de migrants serait conforme à celui de la population mondiale. « Le discours sur l'invasion n'est qu'un piège », nous assure-t-on ils ne seraient pas plus nombreux qu'ils l'étaient il y a 25 ans.

    Ayant violemment dénoncé tout le mal qu'elle pensait du programme « haineux et violent » du Front National envers « les personnes étrangères », la Cimade appelait « à rejeter l’abstention et le vote nul ». Ce qui revenait en somme à soutenir le candidat Macron, dont justement sa directrice, Geneviève Jacques, diffusait sur ses réseaux et sur les sites amis, notamment, le 2 mars, celui de Réforme; principal journal protestant de France, un vibrant plaidoyer pour Macron. Article repris le 1er mai par l'hebdomadaire confessionnel consacré à des incitations directes  à voter. pour lui - pour sa grande sympathie envers les immigrés - ou à des attaques haineuses contre le Front National et sa candidate - le président de la Fédération Protestante de France, François Clavairoly, allant même jusqu'à parler de "peste"

    Qu'affirme Macron « Contrairement à ce que certains disent, nous ne sommes pas aujourd'hui confrontés à une vague d'immigration. Un peu plus de 200 000 titres de séjour ont été octroyés l’année dernière, ce n'est pas un tsunami que nous ne saurions freiner ». Or, selon le ministère de l'Intérieur 227 550 titres auraient été distribués, y compris les 32 300 pour « raisons humanitaires ». À quoi il faut ajouter les 85 500 (7 % de plus qu'en 2015) demandes d'asile enregistrées et le chiffre ne peut que croître quand en 2016, 6 200 étrangers en situation irrégulière seulement ont été reconduits à la frontière. Si on additionne ces données on serait plutôt entre 250 et 300 000 demeurés dans le pays. Or, en dépit des affirmations des ONG, la plupart de ceux qui ont franchi les frontières dans le flot des "migrants" sont des hommes jeunes dont on peut être assuré que leur premier souci sera de faire venir leur famille élargie.

    Enfin les actuelles législations sont temporaires. M. Macron le sait fort bien. C'est écrit en toutes lettres dans le programme de la Cimade. « Ouvrir davantage de voies légales d'accès au territoire européen et permettre un accès inconditionnel pour les personnes bloquées aux frontières extérieures ». On peut même lire :

    « élargir les critères qui ouvrent droit au statut de réfugié pour prendre en compte les nouvelles causes d'exil forcé... (afin) d'inclure... le respect... des droits économiques, sociaux et culturels, et la protection des personnes en exil pour des raisons climatiques ». (Lire surpopulation due à une natalité excessive).

    Ou encore « abandonner la logique de l'immigration sélective pour favoriser un droit au séjour fondé sur le respect des droits fondamentaux ». Pour les clandestins il est exigé de « supprimer toutes les formes d'enfermement spécifiques aux personnes étrangères ». Et leur apporter de l'aide devient « une valeur fondamentale elle doit être encouragée par les responsables politiques et non criminalisée ».

    Nulle part dans le discours macronien sur l'immigration on ne trouve la moindre critique de ce programme. Au contraire, il est parfaitement en accord avec ces positions.

    René BLANC. Rivarol du 11 mai 2017

  • Macron, patron de la presse aux ordres

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    Le Président est descendu dans l’arène pour affirmer, façon Kim Jong-un, que désormais, c’est lui qui décidera qui raconte ou pas des sornettes.

    Le sommet de Versailles fera date dans l’histoire du journalisme. On y a vu un Président tout juste élu devenir président de la commission d’attribution de la carte de presse et décider, souverainement, comme le roi des médias qu’il est devenu, qui pouvait être ou ne pas être journaliste.

    Répondant à la question d’un journaliste de Russia Today France qui s’étonnait que ses journalistes aient été systématiquement refoulés de son quartier général de campagne, François Macron, devant un Poutine impassible, a répondu majestueusement, comme cela va être son habitude :

    « Quand des organes de presse répandent des contre-vérités infamantes, ce ne sont plus des journalistes. Ce sont des organes d’influence. Russia Today et Sputnik ont été des organes d’influence durant cette campagne qui ont, à plusieurs reprises, produit des contre-vérités sur ma personne et ma campagne. »

    (Notez, au passage, qu’il parle de « Sa Personne » comme un Louis XIV aurait pu le faire, se sentant sans doute chez lui dans ce somptueux salon des Batailles.)

    Puis, confirmant qu’il leur avait interdit l’accès à son QG, Emmanuel Macron a poursuivi : « Des contre-vérités graves ont été répandues par RT et Sputnik dans le cadre d’une campagne démocratique, et à cela, je ne céderai rien », a-t-il souligné en fronçant son sourcil droit.

    Ainsi, donc, devant la presse internationale, le Président est descendu dans l’arène pour affirmer, façon Kim Jong-un, que désormais, c’est lui qui décidera qui raconte ou pas des sornettes et qui, en conséquence, pourra ou ne pourra pas recevoir sa carte de presse tricolore.

    Notre jeune Président manque de mémoire ou de reconnaissance, ou des deux, car comment est-il parvenu aussi rapidement à l’Élysée, si ce n’est avec l’aide des organes d’influence que sont l’ensemble des médias et des journalistes « professionnels », comme il les désigne ? Si le candidat d’En Marche ! n’avait pas fait des centaines de couvertures, des titres flatteurs comme jamais, des éditoriaux dithyrambiques, comment aurait-il pu influencer le jugement de millions d’électeurs, convaincus par les arguments de ces « agents d’influence » que nos journalistes sont devenus dans ce monde de l’instantanéité de l’information ?

    Margarita Simonian, rédactrice en chef de RT, a répondu : « Selon la logique du Président Macron, il faut chasser de Russie tous les médias occidentaux qui sont toujours contre Poutine et cherchent ainsi à intervenir dans nos élections. » De son côté, la twittosphère s’est empressée de réagir aux propos de Versailles et la plupart des internautes ont souligné que « c’est l’hôpital qui se fout de la charité », d’autres ont trouvé les propos présidentiels très courageux. Des propos qui montrent, lorsque vous revoyez la séquence, un Président dont le visage n’arrêtait pas de passer d’une expression à une autre, des yeux qui roulaient dans leur orbite, le tout accompagné d’une gestuelle d’affirmation sans complexe. « C’est pas tous les jours qu’on ose dire devant Poutine des choses qui lui déplaisent », tweete le pseudo Emmanuel Foulon, ce à quoi lui répond par tweet Limougin Quentin en affichant la une de Libé : « Que penser de cette une qui nous impose de voter Macron ? » Un autre s’interroge : « Et la propagande médias pro-Macron, qui en parle ? » Kisaishi résume l’esprit de ceux qui, comme moi, pensent que le Président a outrepassé ses droits : « Venant de macron ça a un goût d’hypocrisie nauséabond, on en parle de nos média archi corrompus qui lui ont permis d’être élu ? »

    Voilà qui nous donne l’impression que sa politique va être basée sur le « deux poids deux mesures ». Une raison suffisante pour ne surtout pas lui donner la majorité à l’Assemblée. Seul moyen que nous ayons, nous, le petit peuple, de contrebalancer ce petit air de pouvoir absolu.

    http://www.bvoltaire.fr/macron-patron-de-presse-aux-ordres/

  • Les bilderbergers de 2017: Du général Puga à Christine Lagarde en passant par Henri de Castries, l’oligarchie aux commandes

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    Le groupe Bilderberg tient sa réunion annuelle du 1er au 4 juin à Chantilly en Virginie aux USA. Parmi la liste des invités du forum du club Bilderberg cette année le nom du général d’armée Benoît Puga. Ce général a été le chef de l’état-major particulier du président de la République  de mars 2010 à juillet 2016. La première fois nommé par le président Sarkozy il a été maintenu à son poste par François Hollande qui l’a prolongé à deux reprises. Ce général appartient aussi à une famille réputée appartenir à la Tradition catholique… Il est  peut-être grand temps, pour ceux qui en rêvaient, de cesser de penser que la Tradition avait un pied à l’Elysée sous Sarkozy et Hollande…

    La France est d’ailleurs particulièrement représentée dans ce club puisque Henri de Castries, patron du Groupe AXA et de l’institut Montaigne, est L’actuel président du comité directeur du groupe Bilderberg. Mais il n’est pas le seul français, ni le seul du très puissant groupe d’influence et d’assurance qu’est AXA parmi la promotion 2017 du Bilderberg puisque Thomas Buberl actuel PDG du groupe est présent cette année à ses côtés. Il y a aussi Nicolas Baverez, énarque, qui sans faire directement partie d’Axa en est très proche puisqu’il est membre du comité directeur de l’Institut Montaigne présenté sur BFMTV et la plupart des autres chaines TV comme le parangon de  ce qui se pense de mieux en matière économique, formaté, bien sûr, suivant les objectifs de ce club très fermé des puissants, au profit des puissants. Cet institut a été particulièrement actif au cours des deux campagnes électorales (présidentielle et législatives) pour vanter les mérites du projet Macron et démolir ceux de ces opposants.

    L’incontournable  Christine Lagarde, directrice du Fonds monétaire international, en fait partie en habituée. Elle occupe en effet un poste-clef dans le système oligarchique mondialiste façonné par le club puisque par le chantage du Fond Monétaire International, des quantités d’idées mondialistes passent. BFMTV y figure aussi indirectement, à travers l’Institut Montaigne dont Marine Le Pen avait dénoncé le parti-pris scandaleux. La télévision publique n’est pas oubliée, qui elle aussi a joué un rôle de premier ordre dans l’élection de Macron, puisque François Lenglet, journaliste sur France 2, qui s’est plu tout-au-long de la campagne électorale à diffamer le programme économique du Front national, fait partie du gratin des invités. Voir à ce sujet ce que dit dans la vidéo ci-dessous, Natacha Polony de la compromission des journalistes qui acceptent de se laisser embrigader.

    Parmi les autres Français invités se trouve Bruno Tertrais un politologue spécialisé dans l’analyse géopolitique et stratégique, actuellement directeur adjoint de la Fondation pour la recherche stratégique. Encore un organisme pensé comme agent d’influence pour des agents d’influence : entre 1990 et 1993, l’homme a été directeur de la Commission des affaires civiles à l’Assemblée de l’OTAN. De 1993 à 2001, il a été chargé de mission auprès du directeur des Affaires stratégiques du ministère de la Défense, entre autre, et en 2001, il a rejoint la Fondation pour la recherche stratégique en tant que maître de recherche. Par ailleurs l’homme a été délégué au secrétariat international du Parti socialiste de 2006 à 2007 et membre du Conseil d’orientation de la Fondation Terra Nova de 2006 à 2012. Nommé par Nicolas Sarkozy membre de la Commission du Livre blanc sur la défense et la sécurité nationale, ainsi que de la Commission du Livre blanc sur la politique étrangère et européenne. En 2012-2013, il était membre de la nouvelle Commission du Livre blanc sur la Défense et la Sécurité nationale nommée par le président François Hollande. Etc. Est-il besoin d’en dire davantage pour comprendre qu’il a bien mérité du Bilderberg et de l’élection d’Emmanuel Macron digne successeur de Sarkozy et de Hollande ?

    En dehors des influents bilderbergers de nationalité française se trouve une grande majorité des maîtres du monde du système occidental dont l’ancien président de la Commission européenne et aujourd’hui président non-exécutif de la banque d’affaires Goldman Sachs, Jose Manuel Barroso qui en est un habitué, pour services rendus à la haute finance internationale.  Mais les autres banksters ne sont pas en reste dont la banque Lazard, de même que les autres plus grands groupes d’assurance. On y trouve même l’entourage du nouveau président américain en la personne de Christopher Liddell, qui est auprès du président Donald Trump son directeur des initiatives stratégiques. etc.

    Pas un invité qui ne soit pas un acteur important de la stratégie mondialiste qui plombe tous les pays occidentaux, soit au titre de son influence idéologique universitaire,  médiatique -comme aussi le responsable américain du journal d’opposition turc Hürriyet-, ou par sa place stratégique à la tête d’un organe de la Haute finance -comme le FMI- ou d’une grande banque, d’un groupe du Cac 40 comme Airbus ou Bayer, à la tête d’un des pivots de l’oligarchie comme le Suédois Jens Stoltenberg, Secrétaire général de l’OTAN etc. Chaque membre de la liste des invités porte en lui-même sa raison d’être au service de l’oligarchie qui est en train de démolir les pays d’Occident pour les refaçonner en un conglomérat de pays dépossédés de leurs identités, de leur mémoire, de leur civilisation chrétienne et de leur souveraineté.

    Le club Bilderberg qui se réunit tous les ans depuis 1954 a été fondé par David Rockefeller et le prince Bernhard de Hollande, pour ne citer que deux des fondateurs les plus connus.

    Parmi les principaux sujets de discussion on trouve:

    – L’Administration Trump: un rapport d’étape.
    – Les relations Transatlantiques: options et scénarios.
    – La défense collective de l’Alliance Atlantique: Balles, octets et billets.
    – La direction de l’Union Européenne.
    – La mondialisation peut-elle être freinée ?
    – Les emplois, les revenus et les attentes non réalisables.
    – La guerre de l’information.
    – Pourquoi le populisme grandit-il ?
    – La Russie et l’ordre international.
    – Le Proche Orient.
    – La prolifération du nucléaire.
    – La Chine.
    – L’actualité.

    Des thèmes qui laissent augurer des nouveaux angles d’attaques contre ce qu’il reste d’opposition à l’ordre mondial du chaos.

    Natacha Polony sur le Club Le Siècle, le Bilderberg, la French American Fundation :

    Natacha Polony dénonce dans cette vidéo les écoles du groupe Bilderberg qui forment gratuitement ce qu’il appelle des Young leaders. Ces formations ont vu passer, explique la journaliste,  entre beaucoup d’autres young leaders formés aux USA pour gouverner le monde, Rama Yade, Rachida Dati ou encore Najat Vallaud-Belkacem… Par ailleurs l’idéologie sous-jacente de ces groupes de réflexion et plus particulièrement du Bilderberg est de faire passer les intérêts privés, mais de classe, au-dessus des intérêts des nations… On comprend dés lors pourquoi des hommes comme Emmanuel Macron sont portés au pouvoir pour satisfaire au libéralisme sauvage d’un monde sans frontières terrestres mais avec des frontières de classe sociales hermétiquement fermées, contre les intérêts de ses pays membres ou mieux encore pour effacer lesdits pays.

    Voir également:  En direct au JT de TF1, Marine Le Pen arrache le masque de l’institut Montaigne, émanation de la haute finance qui téléguide Macron

    emiliedefresne@medias-presse.info

    http://www.medias-presse.info/les-bilderbergers-de-2017-du-general-puga-a-christine-lagarde-en-passant-par-henri-de-castries-loligarchie-aux-commandes/74735/

  • Le Halal se porte bien - Journal du jeudi 1 juin 2017

  • Au FN, Florian Philippot s'exerce au putsch. Avec succès

    6a00d83451619c69e201b7c8fd7afd970b-250wi.pngC'est raconté dans Minute :

    "[...] Le 15 mai dernier, Nicolas Bay, secrétaire général du FN, présente à la presse, au siège du parti, à Nanterre, les candidats officiellement investis par le parti. Parmi eux figure la candidate qui portera les couleurs du FN dans la 4e circonscription de Saône et Loire, Nathalie Szych. Quasiment au même moment, la grande copine de Florian Philippot, Sophie Montel, présidente du groupe FN-Les Patriotes en Bourgogne–Franche-Comté et vice-présidente des Patriotes, l’association nouvellement créée par Philippot, annonce à Nathalie Szych... qu’elle ne sera pas candidate ! Et Philippot s’offre le plaisir d’annoncer à la presse locale que le candidat sur la 4e circonscription sera Maxime Thiébaut, vice-président des Patriotes lui aussi et transfuge de Debout La France dont il était responsable régional. Pour enfoncer le clou et rendre la décision publiquement irrévocable, il annonce de surcroît sa présence à un meeting en Saône et Loire pour soutenir l’ensemble des candidats.

    Nicolas Bay s’est-il trompé ? Evidemment pas. Dans la liste des candidats établie par le secrétariat national aux élections, c’est bien le nom de Nathalie Szych qui apparaît. Et pour cause : elle a été dûment désignée par la commission nationale d’investiture – dans laquelle siège d’ailleurs... Sophie Montel. Nathalie Szych est furieuse et Nicolas Dupont-Aignan encore plus. Maxime Thiébaut était le directeur adjoint de cabinet du président de Debout la France et nul n’a pris la peine de le prévenir qu’il passait au FN – du moins chez Les Patriotes, ce qui n’est pas forcément la même chose –, ni qu’il allait être candidat aux législatives. Moyennant quoi Dupont-Aignan, qui en a déjà découvert beaucoup sur le fonctionnement du FN mais n’est pas au bout de ses surprises, n’imaginant pas qu’un tel acte puisse être le fruit d’une décision isolée, prend son téléphone, appelle Marine Le Pen et l’accuse de duplicité. Ambiance...

    Très logiquement, c’est au tour de Marine Le Pen d’être furieuse. Du passage en force de son vice-président et de ses conséquences pour l’alliance FN-DLF aux législatives. Elle demande aux équipes de Nicolas Bay de veiller à ce que la candidature de Nathalie Szych soit bien déposée en préfecture et exige de Philippot qu’il bloque la candidature « flibustière ». S’en suit une réunion... surréaliste, qui va prendre les allures de commission nationale d’investiture extraordinaire – dans tous les sens du terme. Alors que plusieurs participants reprochent vertement son comportement à Florian Philippot, Marine Le Pen, nous assure un participant, « ne parvient pas à soutenir son regard » ni à s’associer aux reproches. « Elle a préféré se défouler sur Sophie Montel, qui bien entendu n’avait pas agi de son propre chef. » « On a été estomaqués », ajoute cette source qui tient à préserver son anonymat. Car en fait, cette fausse CNI – il faudrait, pour qu’elle soit valable, que Jean-Marie Le Pen y soit convoqué – a accouché de la décision... de faire riper Nathalie Szych sur une circonscription voisine et de confirmer le coup de force du tandem Philippot-Montel ! Il y en a tout de même qui font de la résistance passive car, au 29 mai, le site tout à fait officiel fnlegislatives.fr, « portail national FN des élections législatives », où l’éditorial est signé par Nicolas Bay, donnait toujours Nathalie Szych candidate sur la 4e de Saône-et-Loire et ignorait l’existence de ce Maxime Thiébaut.

    Il n’empêche : le pu-putsch a réussi, les apparences sont presque sauves et Philippot peut réserver ses billets de train pour aller passer ses journées avec son nouveau camarade de jeux Maxime Thiébaut plutôt que de s’occuper de sa circonscription de Forbach. Ainsi la semaine dernière étaient-ils tous deux, chaperonnés par Sophie Montel qui semblait s’amuser comme une folle et en compagnie de quelques autres candidats philippotistes aux législatives dans des secteurs évidemment favorables, à la Foire comtoise de Besançon.

    Quant à l’association Les Patriotes, lors de cette même réunion de crise, Marine Le Pen a tout de même demandé à Florian Philippot de s’abstenir de toute nouvelle initiative à ce sujet. Message reçu... zéro sur cinq. Dès le lendemain, Philippot lui-même communiquait publiquement un message détaillant les modalités d’adhésion à son association. Moralité : Florian Philippot aura réussi, en l’espace de quelques jours et grâce à un de ces bras de fer dont il a l’habitude, à violer le fonctionnement officiel des instances de son parti, prendre le risque d’une crise au sommet pour placer un ami très proche qui lui devra tout, affaiblir l’alliance historique avec Debout La France et imposer sa loi, une fois de plus, à Marine Le Pen ! [...]"

    En attendant de lui prendre la place. Il ne faut pas se leurrer.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Un migrant ougandais viole une femme mais ne peut être expulsé car homosexuel

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    L’Ougandais Emanuel G. est demandeur d’asile en Allemagne car il prétend être persécuté pour son homosexualité dans son pays d’origine. L’individu, âgé de 37 ans, a suivi, en septembre 2016, dans la rue à Freising en Bavière, une femme se déplaçant à vélo.

    Il a saisi le guidon de l’engin, a attrapé la dame âgée de 29 ans, lui a déclaré désirer avoir une relation sexuelle, a jeté sa victime au sol, l’y a maintenue puis lui a abaissé avec l’autre main le pantalon et la culotte. Lorsque la victime a crié, l’Africain l’a menacée de tirer avec un pistolet. Après le viol, il a fui et a été arrêté un peu plus tard.

    L’agresseur vient d’être condamné à quatre ans de prison, mais devrait pouvoir sortir après avoir accompli la moitié de sa peine.

    Il ne pourra alors cependant pas être expulsé d’Allemagne vers l’Ouganda car, en tant qu’homosexuel, sa vie serait menacée dans ce pays.

    La victime a été incapable de travailler durant six semaines et a dû être prise en charge par un psychothérapeute.

    Le 22 mai 2017, toujours en Bavière, à Bad Reichenhall, un Allemand de 51 ans se déplaçant à pied a été agressé sexuellement par quatre individus à peau sombre après avoir été poussé dans un buisson, mais est arrivé à s’échapper. Il est légèrement blessé. Les agresseurs ont été arrêtés peu de temps après les faits à l’intérieur du foyer où ils résident.

    Alors que les autorités de divers pays d’Europe sont confrontées à la question de savoir comment déterminer si un réfugié prétendant être homosexuel l’est réellement, l’Allemagne a ouvert des centres pour demandeurs d’asile réservés aux homosexuels afin d’éviter à ceux-ci d’être agressés par des cohabitants peu enclins à accepter de les côtoyer. Au sein de foyers pour réfugiés, les agressions de personnes LGBT (lesbiennes, gay, bisexuelles ou transsexuelles) sont monnaie courante : violences physiques et psychiques, refus de traducteurs de parler avec elles, crachats, agressions et parfois même tentatives de meurtre.

    Si les agressions contre les femmes et enfants se produisent souvent en rue ou dans les piscines, les Allemands ne sont pas pour autant en sécurité à leur domicile. Ainsi, dans une autre partie de l’Allemagne, près de Wismar, au Mecklembourg-Poméranie-Occidentale, une fille de 13 ans a été abusée sexuellement à son domicile par deux Turcs âgés de 19 et 31 ans, un vivant à Lübeck, au Schleswig-Holstein, et l’autre en Turquie. Lorsque la mère est rentrée à la maison, les agresseurs ont fui et ont été appréhendés par la police peu de temps après.

     Écrivain et journaliste belge francophone Son blog
  • Pourquoi Richard Ferrand doit démissionner, par Ivan Rioufol

    Le “nouveau monde” singe l’ancien. La macromania – cette pensée unique relayée par une presse unique qui annoncent le parti unique – se montre incapable de la moindre autocritique. Elle devient une sorte de “macrocrature”, c’est-à-dire une démocratie réservée aux membres du club : rien n’existe en dehors du sérail.

    C’est particulièrement visible dans l’affaire Richard Ferrand. Le ministre de la cohésion des territoires, un des piliers d’En Marche !, n’avait pas de mots assez cruels contre François Fillion. Il l’avait accusé d’avoir “souillé tous les élus de la République” avec ses histoires de costumes, de népotisme, de contrats dans sa société de conseil. Or voici que Ferrand reprend à son tour les indignations du candidat LR, pour se disculper lui-même d’avoir embauché son fils comme assistant parlementaire et, surtout, d’avoir pistonné sa compagne, avocate, dans une fructueuse affaire immobilière liée à sa position de l’époque de directeur général des Mutuelles de Bretagne.

    Ce lundi, dans Le Parisien, l’avocat à l’origine de l’opération immobilière parle d’une “manœuvre” qui l’”avait beaucoup choqué”. Alors que Ferrand assure n’avoir pas été partie au contrat, la promesse de vente du bien incriminé a bien été signée par lui. Favoritisme, népotisme, enrichissement sans cause sont les moindres griefs qui peuvent être faits au ministre donneur de leçons de morale. Ne serait-ce que par cohérence et honnêteté intellectuelle, il devrait démissionner.

    Les histoires d’arroseurs arrosés sont toujours plaisantes. Ferrand, trempé jusqu’à l’os, persiste à se dire “honnête”. L’arrogance est la marque de fabrique de la macrocrature. Elle a même déteint sur les petites mains, à lire la justification qui avait été donnée par le cabinet de Ferrand pour justifier l’emploi du rejeton : “Je vous invite à aller faire un tour en Centre Bretagne. Ce n’est pas simple de trouver un jeune, volontaire, pour travailler cinq mois, qui sait lire et écrire correctement, aller sur internet”. Ferrand s’est désolidarisé par la suite de cette formulation. Il n’empêche : elle dit bien le mépris de classe qui se devine chez ces hauts technocrates, hauts diplômés, hauts techniciens, hauts financiers, pour les ploucs de Centre Bretagne ou d’ailleurs, présumés illettrés sinon alcooliques.

    En réalité, cette élite qui se pousse du col ferait mieux d’atterrir rapidement avant de s’enfoncer dans les sables mouvants d’une politique de moralisation nombriliste. Répétons-le : la vraie morale, c’est le courage de la vérité. Elle devrait inviter d’ailleurs le chef de l’Etat à dévoiler les noms des plus riches donateurs qui ont financé sa campagne (15 millions d’euros au total) afin d’écarter les soupçons de conflits d’intérêts pouvant dicter certains aspects de sa politique. Il est vrai que cette suggestion, déjà faite ici, n’a reçu aucun écho de l’opposition. Celle qui n’a pas rejoint En marche ! reste couchée.

    Ivan Rioufol

    Texte daté du 29 mai et repris du blog d’Ivan Rioufol

    https://fr.novopress.info/

  • Il y aurait 23 000 djihadistes potentiels au Royaume-Uni !

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    8871-20170531.jpg« Le Royaume-Uni abrite 23 000 djihadistes », titrait samedi le Times. Jusqu’ici, les autorités faisaient croire aux Britanniques qu’il y avait environ 3 000 djihadistes potentiels dans leur pays, dont 500 faisant l’objet d’une enquête active des services chargés de la sécurité intérieure (MI5). Mais après l’attentat de Manchester, commis par un ressortissant britannique d’origine libyenne qui avait été suivi par le MI5, l’on apprend que ces 3 000 djihadistes sont en fait ceux qui font l’objet d’une surveillance active et que ce nombre correspond en fait aux capacités de surveillance du MI5. Quand un nouvel individu doit être incorporé à ce lot, il faut en transférer un autre dans le lot des 20 000 ne présentant plus qu’un « risque résiduel ».

    Aussi bien Salman Abedi, 22 ans, revenu de Libye peu avant de commettre le massacre de Manchester, que Khalid Masood, 52 ans, qui a volontairement écrasé des piétons avec sa voiture et a poignardé un policier devant le palais de Westminster en mars, faisaient partie de ces 20 000 djihadistes potentiels ne présentant plus qu’un « risque résiduel ». Depuis l’attentat-suicide de Manchester du 22 mai qui a fait 22 morts et 116 blessés (dont 19 très graves), parmi lesquels des enfants et des adolescents, la police britannique a procédé à une vague d’arrestations et quatorze hommes sont toujours détenus sur des soupçons de liens avec l’entreprise macabre du musulman Salman Abedi.

    Parmi les personnes arrêtées, le cousin de Salman Abedi qui s’était déjà distingué en regrettant sur les réseaux sociaux qu’Hitler ne soit plus en vie pour brûler les juifs.

    Cela pourrait être pire, rassurent les autorités britanniques, puisque cinq projets d’attentat terroriste ont été déjoués entre l’attaque de Westminster et celle de Manchester. Certes, mais à l’instar des autorités françaises, les autorités britanniques font preuve d’une grande légèreté. C’est ainsi qu’elles laissent courir libres les djihadistes qui reviennent des zones de combat comme la Libye ou la Syrie. C’est encore une fois le Times qui a forcé la ministre de l’Intérieur Amber Rudd à reconnaître que la loi votée en 2015 pour permettre de bloquer provisoirement le retour des citoyens britanniques ayant lutté aux côtés des islamistes à l’étranger n’avait été à ce jour utilisée que pour un seul djihadiste.

    Pourtant, un sondage YouGov conduit après l’attentat de Manchester pour le Sunday Times montre que 55 % des Britanniques souhaiteraient que ces combattants musulmans jouissant de la nationalité britannique soient interdits de retour.

    Olivier Bault

    Article et dessin de Chard parus dans Présent daté du 31 mai 2017

    https://fr.novopress.info/206033/il-y-aurait-23-000-djihadistes-potentiels-au-royaume-uni/