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anti-national - Page 783

  • L’Union européiste face à la gangrène islamiste

    Le 22 mars, à l'occasion (bien choisie) de la commémoration des attentats islamistes de Bruxelles, au moment où, à Londres, Khalid Massoud alias Adrian Russell Ajao, un "Anglais" âgé de 52 ans, né dans le comté de Kent, écrabouillait sur un trottoir du pont de Westminster des passant innocents, le commissaire européen à la sécurité, Julian King, s'inquiétait de la montée du terrorisme... d'extrême droite ! Menace imminente contre laquelle il conviendrait de concentrer en priorité tous les efforts gouvernementaux. Prenant pour exemple « le meurtre brutal d'un membre du Parlement britannique, Jo Cox en juin 2016 » ou encore « le massacre perpétré par Anders Breivik en juillet 2011 », l'extralucide commissaire politique en est arrivé à penser « qu'aucun État membre n'est épargné par l'extrémisme violent de droite... L'an dernier, nous avons été notamment témoins d'un nombre très élevé d'attentats contre des mosquées et des centres d'accueil » en déduisant logiquement que la  radicalisation de certains musulmans ne serait en fait que la réponse (normale, en tout cas implicitement compréhensible) à ces actes odieux. CQFD ! On jugera à l'aune des propos de ce prébendier bruxellois, la déclaration, ce 27 mars 2017 à Singapour lors d'une Conférence relative à la situation internationale, du pantin élyséen qui s'est donné pour ultime mission « avant la fin de son mandat d'éviter que le populisme, le nationalisme, l'extrémisme ne puissent l'emporter, y compris dans mon propre pays ». Vaste programme à la juste mesure d'un personnage qui restera dans l'histoire pour sa totale absence d'esprit partisan.

    Comprenons qu'avec des émoluments de base s'élevant à quelque 25 000 euros mensuels, les commissaires du soviet

    de Bruxelles se doivent de débiter avec conviction leurs balivernes politiquement correctes et idéologiquement terroristes. Affligé d'un terrible strabisme divergent, ces vrais nantis du système ne dénoncent jamais les bandes de nervis antifas, no-borders, zadistes, blackblocks et compagnie que le pouvoir socialiste utilise extensivement pour faire interdire de parole les oppositions au motif de trouble à l'ordre public. Ces mêmes terroristes qui se déguisent en paysans pour mieux couvrir leurs activités de passeurs (de trafiquants d'êtres humains) au service - ils ne peuvent l'ignorer - d'un vil capitalisme prospérant grâce à une main ' d'oeuvre sans droit ni exigence. Les débordements de l'extrême gauche sont, eux, bien réels, bien visibles et coûtent chers à la collectivité : pensons au centre de Nantes dévasté le 25 février par 800 casseurs d'extrême gauche. Précisons que les forces de police ne peuvent intervenir que dans le cadre strict des instructions qui leur sont données. Des émeutiers qui, très curieusement, ne sont jamais dénoncés pour ce qu'ils sont et ne soulèvent ! aucune inquiétude du côté des pouvoirs ! publics. Au contraire, les unités de maintien de l'ordre doivent se tenir à carreau, ménager la racaille bien-pensante, sinon gare aux sanctions disciplinaires et aux tribunaux chargés de rappeler aux agents trop zélés tout le respect qu'ils doivent aux milices idéologiques et ultra-violentes du régime.

    Massoud Ajao « ne faisait [bien entendu] l'objet d'aucune enquête en cours, n'ayant jamais été condamné pour des délits liés au terrorisme » bien qu'il ait été poursuivi à plusieurs reprises entre autres, pour « possession d'armes » et agressions accompagnées de blessures graves. Une première fois condamné en novembre 1983 et la dernière en décembre 2003 pour détention d'arme, Russel Ajao Massoud ne figurait cependant pas sur la liste du MI5 parmi les trois mille suspects "susceptibles" de commettre un acte terroriste. C'est au demeurant Daech qui a revendiqué l'attentat de Londres, une première sur le sol anglais : « l’auteur de l’attaque en face du Parlement britannique à Londres est un soldat de l'ÉI et l'opération a été menée en réponse à l'appel enjoignant à frapper les pays de la coalition [arabo-occidentale en Irak et en Syrie] ». Bilan : quatre morts et une cinquantaine de blessés. À bon entendeur salut, nul n'est donc plus à l'abri, pas même la Suisse dont les frontières sont des passoires à l'intérieur de l'espace Schengen. Le maire de Londres, Sadiq Khan, avec un fatalisme tout musulman, l'a bien compris, se montrant déjà résigné au pire : « la menace d'attaques terroristes fait partie intégrante de la vie d'une grande ville ». En clair le terrorisme est désormais une composante structurelle des sociétés anarcho-libérales-libertaires dont il faudra bien s'accommoder, bon gré mal gré.

    D'ailleurs soyons très indulgents pour nos Services de sécurité intérieure. Ceux-ci doivent agir dans l'étroit cadre de l'État de droit et laisser courir les criminels tant qu'il n'y a pas eu « commencement de commission » comme en dispose le droit pénal. Et ils ont du pain sur la planche. Plus qu'il n'en faut. Les Anglais du MI5, tout comme leurs homologues français de la DCSI, ne peuvent être à la fois au four et au moulin. En France, le 24 novembre 2015, le Premier ministre, Manuel Valls, n'annonçait-il pas que 20.000 personnes faisaient l'objet d'une fiche S dont 10 500 pour leur appartenance ou leurs liens supposés avec la mouvance islamiste ? 16 000 en 2016 et 4 000 pour la seule Île-de-France. La croissance des radicalisés est forte, notamment chez les nouveaux convertis, 1954 mineurs étant signalés comme ayant passé la ligne à la fin de l'été 2016. À ce titre, on recensait 17 adolescents morts sous la bannière noire de Daech sur les fronts d'Irak et de Syrie, tandis que 37 Hexagonaux étaient mis en examen dans le cadre de procédures directement liées à la préparation d'actes de terrorisme. Enfin, l'on découvre que les jeunes femmes et les filles sont à présent plus nombreuses que les hommes à entrer dans la spirale du fanatisme comme en témoigne un article du 15 septembre 2016 sur lefigaro.fr. Notons en outre que 600 "signalements" avaient été effectués au cours d'un laps de temps allant de l'automne 2015 au printemps 2016 dans les établissements de l'Éducation nationale. Un chiffre impressionnant au regard de la dangerosité potentielle des sujets. Mais beaucoup moins que la montée du populisme nous diraient de concert messieurs Cazeneuve et Hollande.

    À Paris un individu « connu des Service de police » - suivant la formule consacrée agresse dans l'un des halls de l'aéroport d'Orly une patrouille composée de trois aviateurs dont un réserviste et une aviatrice. Ces membres de l'armée de l'air participent à l'opération Sentinelle dont les effectifs se montent à 7 ooo personnels déployés en permanence en France depuis les attentats du 9 janvier 2015. L'assaillant est neutralisé, c'est-à-dire abattu sans autre forme de procès, avant d'être parvenu à accomplir son forfait.

    L'auteur des faits était suivi pour des délits de droit commun et fiché "J" au Fichier des recherchés. Son casier judiciaire comporterait au moins neuf mentions pour vols à main armée et trafic de stupéfiants. Son autopsie a apparemment établi qu'il aurait agi sous l'emprise d'un subtil cocktail d'alcool, de cannabis et de cocaïne. Soupçonné de radicalisation après quelques brefs séjours en détention la République, infiniment indulgente à l'égard des éléments asociaux et violents, l'est beaucoup moins en ce qui concerne les malpensants - il se trouvait en principe sous contrôle judiciaire après avoir fait l'objet d'une perquisition administrative dans le cadre de l'état d'urgence en vigueur depuis novembre 2015. Il n'était toutefois pas fiché "S" quoique "repéré" après avoir montré des « signes de radicalisation », lors de l'une de ses incarcérations entre 2011 et 2012. Brave garçon !

    Il fait maintenant l'objet d'une enquête posthume mieux vaut tard que jamais pour « tentative d'homicide et de vol d'armes en relation avec une entreprise terroriste ». Ziyed Ben Belgacem a en effet, un première fois dans la journée, ouvert le feu, le matin même, sur des policiers en en blessant un, lors d'un contrôle de la brigade anti-criminalité à Stains, au nord de Paris. Un peu plus tard, il volait un nouveau véhicule pour se rendre à Orly-Sud où il essayait de s'emparer de l'arme d'un militaire.

    Cet incident est intervenu un mois et demi après une agression à Paris, également dirigée contre des militaires, dans la galerie marchande du Carrousel du Louvre le 3 février, commise par un homme armé de deux machettes qui fut neutralisé et blessé... S'étant précipité sur les hommes d'armes en criant "Allah Akbar" et après avoir frappé à la tête l'un des soldats, l'un d'eux ouvrait le feu blessant le "dément" à l'abdomen. Il s'agit d'un ressortissant égyptien de 29 ans, Abdallah El-Hamahmy, résidant aux Émirats arabes unis qui avait obtenu du consulat de France à Dubaï, le 8 novembre 2016, un visa touristique. Arrivé à Paris le 26 janvier, il emménageait, moyennant 1 700 euros, dans un appartement loué pour une semaine dans le Ville arrondissement Le 28 janvier, il achetait deux machettes dans une armurerie du quartier Bastille pour la bagatelle de 680 euros payés en liquide...

    Bien entendu, au contraire des Anglais plus réactifs et moins empêtrés dans la crainte pathologique des "amalgames", le parquet antiterroriste, décidait, après mûre réflexion, d'ouvrir une enquête pour « tentatives d'assassinats aggravées en relation avec une entreprise terroriste en raison de la nature des cibles et du mode opératoire de l'agression ». Orly ayant été la quatrième attaque dirigée contre une patrouille de l'Opération Sentinelle, cela semble désigner ses personnels (médiatiquement exposés), comme autant de cibles de choix pour les candidats au "martyre" djihadiste.

    Il est intéressant de souligner que ces trois actions terroristes ont un point en commun entre elles, mais aussi avec l'attaque du marché de Noël à Berlin le 20 décembre, celle de la promenade des Anglais à Nice le 14 juillet et plusieurs autres attaques au couteau ou à la hache perpétrées en Allemagne au cours de l'année 2016... À chaque fois ces attentats ont été conduits par des individus agissant seuls et avec des moyens matériels limités voire improvisés. Que dans les cas les moins sanglants, les autorités publiques toujours pudiques dans ce cas de figure — se sont complues à mettre ces actes sur le compte de simples "déséquilibrés" Que ces individus soient titulaires d'« un grain », c'est incontestable. Mais ce sont en plus des délinquants, des violents, des adeptes de l'argent facile, de l'alcool, des femmes et des stupéfiants. Ajoutons que si a priori ils semblent éloignés du djihadisme, un rien les y ramène.

    Nous ne saurions à ce propos trop recommander aux Services assurant (autant que faire se peut la sécurité de la communauté nationale), de croiser les fichiers pour autant qu'ils existassent et que la CNIL, la Commission nationale informatique et liberté, le permît des individus ayant ..un passé ou un présent judiciaires, des antécédents psychiatriques et de confession mahométane. Précisons qu'Anders Breivik était pour sa part de confession franc-maçonnique et qu'il ne viendrait à l'idée de personne de soupçonner tous les francs-maçons d'être des Breivik en puissance ! Une telle mesure le croisement des listes permettrait certainement de resserrer le lot de gens à surveiller ou à expulser, nonobstant les soi-disant règles internationales qui interdisent de faire des apatrides. Des règles que l'on applique à sens unique, celui de la destruction de l'ordre social, de la déstabilisation et de la destruction des nations. Et que l'on ne vienne pas nous parier de fantasme ou de complotisme puisqu'il ne faut pas gratter très loin sous la surface des apparences pour voir quelles puissantes forces de désagrégation sont à l'œuvre.

    N’ayons aucune illusion, nous devrons certainement faire face dans les temps de malheurs qui s'annoncent, à une multiplication d'attentats low cost, mais aux effets psychologiquement dévastateurs. Ceux qui nous touchent ces jours-ci n'étant, au regard de ce qui nous attend, que de modestes piqûres de rappel. Piqûres qui ne sont que l'écho assourdi de la guerre que l'Empire livre aux nations n'ayant pas eu la prudence de se soumettre en temps voulu tout en prétendant à un minimum d'indépendance. Pensons ici à la Syrie laïque. Syrie dont certains réfugiés il y a quelques jours fêtaient, sous les vivats du service public audiovisuel, le sixième anniversaire de la Révolution. Une Révolution qui aura coûté quelque 320 000 morts, réuni des conditions propices à un conflit généralisé au Levant et créé un vaste réseau terroriste regroupant des organisations telles Daech, al-Qaïda, al-Nosra, Fatah al-Cham... Une poche de pus qui suinte goutte à goutte sur l'Europe. Une armée qui nous encercle et nous inonde avec l'active complicité des philanthropes de Bruxelles qui ont supprimé les frontières sous couvert de construction européenne et de métissage universel.

    Remarquons que le terrorisme islamiste se développe, surtout depuis qu'on prétend le combattre... D'aucuns ont d'ailleurs pu fonder un espoir de retour à l'équilibre international suite à l'arrivée de Donald Trump à la Maison-Blanche et à un changement subséquent d'orientation et de méthodes pour la politique extérieure américaine. Entre autres un abandon de l'instrumentation du terrorisme à des fins politiques pour un reconfiguration de l'Orient islamique. Hélas les objectifs de partition de la Syrie et de changement de régime à Damas semblent pour l'heure inchangés. Remarquons au passage que si un incendie n'est pas alimenté, il est voué à s'éteindre de lui-même. Sachons de ce point de vue que les ventes et les importations d'armes au Proche-Orient (29 % des transactions mondiales), si l'on en croit l'Institut international de recherche pour la paix de Stockholm, ont augmenté de 86 % entre 2012 et 2016. Pour le seul Qatar +245 % ou encore pour l'Arabie séoudite, deuxième importateur mondial d'armes, +212 % par rapport à la période 2007-2011. Or qui se demande à quoi servent et où vont ces matériels ? La réponse est simple : ils alimentent le brasier syro-irakien pour la défense et l'illustration de l’imperium occidentaliste. Super-pouvoir dont les instruments mercenaires sont à chercher du côté des organisations rebelles et terroristes, celles qui demain nous feront payer cher d'encore renâcler devant les joies ineffables de la Gouvernance mondiale.

    Le 15 mars 2017, en Syrie, deux attentats-suicide frappaient Damas en l'espace de deux heures, tuant 32 personnes, le jour précis du sixième anniversaire du début de la guerre. Ces actes barbares survenaient cinq jours après la double attaque du mausolée de Zeinab, petite-fille du "prophète" qui avait déjà fait 74 morts.

    Les Services italiens sont en alerte : le drapeau noir de Daech flotte sur certains villages albanais à quelques milles nautiques des côtes des Pouilles. Dans certains villages particulièrement aux confins du Kossovo si heureusement créé par les bombes de l'Otan, l'État islamique s'est installé sans crier gare. Les Balkans sont donc, une fois de plus, sur fond de criminalité organisée et de trafic international d'héroïne afghane, en train de redevenir une poudrière prête à l'embrasement. En raison des défaites et du reflux de l'État Islamique en Syrie, le conflit se déplace ainsi tendanciellement vers les zones chaudes-de l'Europe orientale et du Caucase. Environ 4 000 ressortissants russes et environ 5 000 ressortissants de l'ex-Union soviétique combattraient actuellement dans les rangs de l'EI en Syrie. Le danger est partout.. D'après le Centre américain de surveillance des sites djihadistes, SITE, Daech n'a-t-il pas revendiqué une attaque en Tchétchénie contre une base de la Garde Nationale de la fédération de Russie le 24 mars 2017 ayant causé six morts ?

    Le mondialisme messianique est une guerre contre les peuples. Le terrorisme est l'un des aspects et l'un des moyens de cette guerre. Un des instruments et une des armes utilisés pour soumettre les individus et les nations par la peur et le chaos.

    Pour les initiés il est établi sans discussion possible que l'Hyperclasse, prétendant régir nos destinées, se sert objectivement du terrorisme pour conduire sa politique d'unification planétaire. Les aveux sont multiples, cyniques, mais non divulgués par la presse, laquelle joue le rôle d'enceinte de confinement de l'information... et d'amplificateur de désinformation pour le vulgum pecus ! Et de ce point de vue l'Union européenne portée sur les fonts baptismaux il y a tout juste soixante ans, avec le traité de Rome, le 25 mars 1957, et qui s'appelait alors la Communauté économique européenne, loin d'avoir assuré la grandeur, la puissance et la prospérité des nations du Vieux Continent, a organisé leur démantèlement, leur désagrégation, leur lente disparition par les abandons successifs de souveraineté et les mouvements migratoires intensifs et continus qui ont mis à mal leur identité, leur cohésion et participé d'un Grand Remplacement encore accéléré par l'avortement et la contraception de masse. Au bout de soixante ans d'intégration européenne toujours plus poussée, de submersion migratoire accélérée et d'apostasie générale, nos pays d'Europe sont en faillite. Politique, économique, sociale, morale et spirituelle. Et, regardons les choses en face, ce n'est pas cette présidentielle, la plus folle des dix élections à la magistrature suprême au suffrage universel direct depuis 1965, qui permettra de reconstruire un édifice sain et solide sur les ruines qui partout s'accumulent et d'en finir avec l'actuelle course à l'abîme et au chaos. Bien au contraire. D'ailleurs, de plus en plus de nos compatriotes le sentent confusément et envisagent de bouder les urnes, ne pouvant placer leurs espérances et leur salut temporel dans aucun des prétendants en présence et ne croyant plus à une farce démo(n)cratique dont il est de plus en plus difficile de cacher et de nier l'intrinsèque perversité, la dangerosité mortifère.

    Léon Camus et Jérôme Bourbon. RIVAROL du 30 mars 2017

    <jeromebourbon@yahoo.fr>.

  • Éric Zemmour : « Léon Trotsky serait fier de ses élèves français »

    Lors du Grand Débat, mardi 4 avril, ce sont surtout les deux candidats trotskistes, Nathalie Arthaud et Philippe Poutou, qui ont crevé l'écran. Que peut signifier aujourd'hui cet engagement ? Eric Zemmour répond à la question par une courte analyse, petit chef d'œuvre de lucidité, de science politique et d'esprit. LFAR 

    Retranscription par  Éric Zemmour et Loïc Farge ...

    « C'est encore une exception française. Une exception que l’on croyait disparue, ensevelie dans les poubelles de l’Histoire. Une exception qui a fait le spectacle. Une exception qui a sauté comme un bouchon de champagne, et a bien arrosé François Fillon et Marine Le Pen », décrypte Éric Zemmour. « Plus grand monde ne connaît Léon Trotsky », constate le journaliste, « mais la France est pourtant le dernier pays au monde où des groupuscules trotskistes parviennent à subsister et même à présenter deux candidats à la présidentielle ». Il fait référence à Philippe Poutou et Nathalie Arthaud, mais n'oublie pas Jean-Luc Mélenchon, qui « a fait ses classes dans sa jeunesse à l’école trotskiste ».

    « Poutou et sa gouaille d’ouvrier gréviste, Arthaud et sa hargne de tricoteuse au tribunal révolutionnaire, Mélenchon et son onctuosité souveraine de professeur à l’ancienne : de la belle ouvrage, du travail soigné », juge Éric Zemmour, qui ajoute : « Léon Trotsky serait fier de ses élèves français ».       

    Éric Zemmour

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • TRIBUNE LIBRE : Ainsi font font font les petites marionnettes…

    Pieter Kerstens

    4064561427.jpgCertains nous présentent Emmanuel Macron comme l’homme nouveau tant attendu, le charmeur de ces dames, mais il est surtout le bateleur de foire qui hypnotise une clientèle crédule.

    Produit marketing du Nouvel Ordre Mondial, fabriqué par les banksters, représentant de la Davos Goldman Sachs Idéologie (DGSI), il récoltera sans nul doute l’assentiment des bourgeoises endiamantées et des fanatiques de la compromission.

    Quant à François Fillon, il a démontré sa capacité de persévérance et de résistance face au Régime qui cherche à tout prix à préserver ses prébendes, en le noyant sous un tombereau d’ignominies. Son programme de réformes structurelles permettrait, nous dit-on, à l’Etat de retrouver son lustre terni par le quinquennat hollandais.

    Rien n’est moins certain. Parce que ces 15 dernières années, plus de 40 milliardaires et 60.000 millionnaires ont quitté la France, sous les présidences de Chirac (deux fois), de Sarközy et de Hollande. « Vous ne pouvez pas aider le pauvre en ruinant le riche » affirmait le président américain Abraham Lincoln en 1860, devant le Congrès.

    Ainsi font font font 3 p’tits tours et puis s’en vont !

    Alors pourquoi donc Fillon ferait-il demain, et dans l’avenir, ce qu’il n’a pas pu, pas su ou pas voulu faire entre 2007 et 2012 ? ? ?

    En effet, face aux problèmes, l’ex-premier ministre a pratiqué la politique de l’autruche :

    • Il les a tout d’abord niés.
    • Puis occultés et ensuite sous-estimés.
    • Les avait dénommés « exceptions » pour justifier son inaction.
    • Il a créé des commissions, suivies de l’élaboration de multiples rapports.
    • Ces rapports furent transmis à l’Assemblée pour légiférer dans la précipitation.
    • Et au final on en est arrivé à des plans de crises et d’urgence. Pour quel résultat ?

    Remarquons aussi que la dette publique augmente encore de 20 millions d’euros par jour, que le chômage est un vrai fléau, que l’immigration sauvage ne diminue pas, que les impôts et les taxes augmentent en permanence, que les drogues envahissent l’espace public avec les salles de « shoot » et que la corruption persiste dans tous les secteurs.

    Tous ces maux n’ont jamais été réellement combattus ces 20 dernières années, ni par la Droite, ni par la Gauche ou le Centre mollasson.

    Et la France n’a pas non plus besoin d’un jeune Polichinelle, aux ordres des gnomes de Wall Street, qui conduirait à donner toujours plus de pouvoirs aux eurocrates de Bruxelles.

    Alors, même si l’on n’aime pas les blondes, à défaut d’autre chose, on votera le 23 avril et le 7 mai pour le Front national, bon gré mal gré, avant d’entreprendre l’indispensable Reconquista de nos quartiers, avec détermination.

    PS : Pour vous changer les idées, il faut absolument aller voir le dernier film « A bras ouverts », une comédie hilarante.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • La stratégie de la terreur islamiste globale décryptée par Jean-Michel Vernochet

    Au fil des attentats islamistes, Jean-Michel Vernochet s’appuie à la fois sur des expertises militaires et géopolitiques pour dénoncer une stratégie de la terreur destinée à cultiver les ferments de guerre civile, à établir le chaos duquel naîtra un hypothétique nouvel ordre mondial :

    Vernochet-Fiancés-Mort-248x350.jpg« Semer le chaos pour récolter au bout du compte la maison du pouvoir planétaire. »

    Journaliste indépendant et spécialiste de géopolitique, Jean-Michel Vernochet est l’invité de TV Libertés à l’occasion de la publication d’un recueil d’articles et billets écrits de 2001 à 2016, Les Fiancés de la mort (éd. Sigest), sous-titré : « Les stratèges de la terreur globale ».

    « N’oublions pas que les administrations des présidents Clinton, Bush et Obama n’auront jamais cessé ces trois dernières décennies de financer, d’organiser, de superviser et d’armer des groupes islamistes en vue de déstabiliser et détruire les Etats nations qui ne s’alignaient pas sur les desiderata de l’Empire démocratique. Après avoir fait tomber Hussein en Irak, Milosevic en Serbie, Kadhafi en Libye, Saleh au Yémen, Ben Ali en Tunisie, Moubarak en Egypte, et avant de se casser finalement les dents sur Assad en Syrie, la politique du “regime change” aura fait couler des fleuves de sang« , écrit-il.

    « Mais la normalisation démocratique des pouvoirs forts, malgré ces formidables hécatombes, n’aura abouti qu’à favoriser voire promouvoir une terreur aveugle devenant peu à peu endémique. Aussi devons-nous imputer aux crimes non jugés de l’hyperclasse mondialiste le retour de flamme que nous subissons maintenant de plein fouet, avec pour résultat de faire de l’Europe sénescente la Maison de la guerre, le Dar al-harb. »

  • Jean-Michel Vernochet : "Les stratèges de la terreur globale"

  • Luc Chatel, porte-parole de François Fillon, se réjouirait de l'élection de Macron

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    Source : Le Canard enchaîné.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Si ça, c’est pas une télévision aux ordres !

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    Finie, cette époque où on refusait carrément de recevoir Marine ou Jean Marie Le Pen à la télévision…

    Quatre heures dix du matin à l’île Maurice. N’ayant pas eu le courage d’affronter les quatre heures du débat prolongé tard dans notre nuit de l’hémisphère sud, je me précipite sur mon ordinateur pour essayer d’en comprendre les grands moments.

    Rachid M’barki, qui officie ce matin sur BFM TV, finit de passer en revue la performance des différents candidats et enchaîne dans la foulée : « Une enquête a été ouverte à l’encontre du Front national pour cause d’emplois fictifs dans le Pas-de-Calais… »

    Si cet enchaînement n’est pas cousu de fil blanc, alors moi, je suis champion du monde de tir aux pigeons ! Le ton monocorde du présentateur de la chaîne macronisée n’a pas changé d’un iota quand il est passé du sujet du jour à une « information » qu’on aurait pu décaler vers la fin du journal si on s’en tenait aux strictes règles déontologiques du métier de journaliste présentateur objectif. Mais on en est loin. Et, quelques minutes plus tard, que voit-on défiler au bas de l’écran ? La déclaration d’un certain monsieur Griveaux, conseiller d’Emmanuel Macronqui, deux jours plus tôt, au cours d’une rencontre avec Marine Le Pen, lui avait reproché d’être « la mère Noël qui distribue des cadeaux à tout le monde ».

    Discrètement, comme si de rien n’était, cette reprise d’information réchauffée défilait de la manière la plus anodine du monde, comme si elle venait de sortir du four de l’actualité immédiate… C’est ce qu’on appelle du pilonnage en boucle et du journalisme de pacotille.

    C’est à ces petits détails qu’on reconnaît une télévision aux ordres. Finie, cette époque où on refusait carrément de recevoir Marine ou Jean Marie Le Pen à la télévision en alléguant je ne sais quel antirépublicanisme, fascisme ou quelque autre isme de circonstance aggravante. À part Michel Drucker, qui a dit qu’il n’inviterait aucun Le Pen à s’asseoir sur son divan du dimanche et qui s’enfonce chaque jour un peu plus dans le grotesque du parti pris (infantile ou sénile, je n’en sais rien), l’intox est aujourd’hui plus subtile.

    Aviez-vous remarqué que, juste après le premier débat télévisé, les commentateurs présents sur le plateau de BFM TV avaient été unanimes à penser que Marine Le Pen avait été la plus convaincante ? Eh bien, quelques heures plus tard, la même chaîne balançait des commentaires totalement contraires, comme si une bonne âme était passée par là pour les ramener dans le bon chemin de la désinformation…

    http://www.bvoltaire.fr/ca-cest-television-aux-ordres/

  • Comment les types de 68 ont pu autant se tromper et se renier ?

      Les vieux de 68 sont fascinants. Comment ces types plutôt brillants ont pu autant se tromper et se renier ? Comment peut-on avoir aussi peu d’orgueil et d’amour-propre ? Sur le communisme, sur le capitalisme, sur de Gaulle, sur la Chine, sur Cuba, sur la guerre et la paix, sur l’argent, sur le progrès, sur l’Histoire : non contents de s’être gourés, ils passent aujourd’hui leur temps – d’antenne – à donner finalement raison à leurs contradicteurs d’hier après les avoir traînés dans la boue. Sur le thème « il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis » ou « on est les plus qualifiés pour parler de telle ou telle idée stupide ou criminelle puisque nous l’avons eue », ils étalent avec indécence leur nouveau paradigme : je renie donc je suis libre. Libre d’en parler et moi seul.
         Quels étaient leurs illusions d’hier, quel est leur bel aujourd’hui ?
         - Ils brandissaient le « Petit Livre rouge » de Mao en prétendant y trouver les plus audacieuses et les plus révolutionnaires jamais élaborées (entre nous, un ouvrage dans lequel on peut lire « la refonte des intellectuels constitue un très grand problème » ou « la natation a ses lois, il est facile d’apprendre à nager dès qu’on les a assimilées », j’appelle ça un guide pratique de la lapalissade sans effort). Pour eux, le salut allait venir de l’Est asiatique. Las ! Comme Christophe Colomb, en croyant atteindre les côtes de l’Orient extrême, ils ont découvert l’Amérique, sa langue, ses penseurs (de Friedman à Fukuyama), ses feuilletons télé, son esprit d’entreprise, ses bombardiers (si précieux en Irak et en Yougoslavie). Prenez les noms de ceux qui dénonçaient « la sale guerre » contre le glorieux peuple vietnamien : ce sont les mêmes que ceux qui ont récemment applaudi aux glorieuses guerres contre les sales peuples irakien et serbe. On est passé, avec la même béatitude, de « give peace a chance » à « give war a chance ».
         - Ils aboyaient « comme c’est triste d’aimer le fric ». Ils sont devenus les chiens de garde d’un capitalisme français dissous dans le mondialisme.
         - Ils jugeaient, avec Baudrillard, que « le loisir est l’idéologie même du travail aliéné ». Ils sont les plus fervents militants de la réduction du temps de travail au profit du temps libre dont ils firent même, en 1981, un ministère.
         - Ils vouaient aux gémonies le général de Gaulle, même quand le maître Castro expliquait aux élèves July et Geismar médusés que le combattre revenait à se comporter en alliés objectifs de l’Amérique puisqu’il en était l’un des plus grands adversaires. Ils multiplient les hommages à l’homme qui a dit non aux Allemands, aux Américains, au grand capital, à la corruption politique.
         - Ils disaient « l’art, c’est de la merde ». Ils célèbrent bidets de plâtre et tableaux blancs sur fond blanc en accusant ceux que ces œuvres laissent de marbre de se comporter comme les nazis avec l’art « dégénéré ».
         - Ils se répandaient dans leurs journaux en articles haineux diffamatoires et en provocations au nom d’une stratégie de communication simple : plus on dit des horreurs, plus la presse institutionnelle s’intéresse à nous. Désormais maîtres de la presse institutionnelle, ils traquent le moindre dérapage verbal dans les fanzines fachos vendus à treize exemplaires pour en conclure au retour de la peste brune ; c’est faux, mais c’est vendeur, coco.
         - Ils dénonçaient la société de consommation. Ils l’aiment au point de vouloir l’exporter sur toute la planète et notamment dans le tiers-monde, ils appellent ça l’aide au développement et en causent à Seattle ou à Davos.
         - Ils affirmaient « le civisme, c’est le fascisme ». Ils créent des journées citoyennes et supplient que l’on vote.
         - Ils rêvaient d’une société libertaire où l’on jouirait sans entraves et où il serait interdit d’interdire. Ils nous obligent à nous assurer, nous faire vacciner, accrocher notre ceinture en voiture et dans l’avion, traverser sur les passages cloutés, composter notre billet de train, fumer dans les seuls endroits réservés à cet effet, baiser avec des préservatifs.
         - Ils contestaient tout par principe. Ils sont d’accord avec l’ancien leader des hippies américains, Jerry Rubin, pour dire : « Puisque nous sommes la nouvelle majorité du pays, pourquoi devrions-nous contester ? »
         - Ils vomissaient la société du spectacle. Ils sont la société du spectacle.
    Maos, trotskos, dodo, Jean-Christophe Buisson

  • Désinformer pour mieux régner

    Des journalistes ou des animateurs grassement payés sur des chaînes nationales financées par l’impôt se comportent comme des militants !

    La France n’est plus une démocratie. Une oligarchie fondée sur le pouvoir, l’argent et la communication est en train de voler l’élection présidentielle au peuple français. Ce vol est rendu possible par de multiples atteintes à l’égalité des citoyens devant la justice et à celle des personnalités politiques devant l’information audiovisuelle ou écrite. Il est facilité par l’absence de pluralisme, tant une très grande majorité des médias diffuse une pensée unique, participe à la promotion du produit Macron et pénalise les candidats qui sont réellement en compétition avec lui – Marine Le Pen et François Fillon.

    On pouvait imaginer qu’en dehors d’un service public neutre, les médias privés se partagent en fonction de leurs propriétaires et de leurs rédactions. Ce n’est nullement le cas. Contrairement au Royaume-Uni, où la presse penche plutôt à droite, la France offre une quasi-unanimité à gauche. Des journalistes issus d’écoles où la formation idéologique dominante est univoque impriment leurs préjugés et leurs préférences sur les « informations » qu’ils concoctent. Les propriétaires des médias appartiennent à des réseaux de pouvoir où les affaires et la communication impliquent le plus souvent une orientation politique voisine favorable au mondialisme des affaires, au relativisme des valeurs et à ce qu’ils perçoivent comme des progrès sociétaux. C’est ainsi que, par une sorte d’aveuglement suicidaire d’un microcosme à l’abri des menaces du monde réel, l’ennemi désigné n’est pas celui qui présente un danger mortel mais celui qui sonne le tocsin. La famille éclate sous la pression du narcissisme rayonnant, mais c’est la droite conservatrice de Sens commun qui se radicalise outrageusement.

    Le changement de population est en marche, mais ce sont ceux qui défendent l’identité nationale qui sont anathématisés comme extrémistes. La France connaît un déclin économique sans précédent, mais l’homme politique qui a, le premier, dénoncé ce péril se voit préférer un ectoplasme au verbe creux. Tout est mis en œuvre pour détruire Fillon et pour « installer » Macron.

    Il est facile de désigner les titres ou les chaînes, les journalistes, les présentateurs et les animateurs qui constituent le « système ». L’essentiel de « l’information » tient en très peu de mains, qui ne sont pas exemptes d’intérêts, notamment à l’étranger, ou de liens avec les pouvoirs locaux ou nationaux en France. Au sein des rédactions, journalistes et présentateurs – à quelques exceptions près – affichent leurs convergences. Les exceptions les plus marquantes ont, avec succès, changé d’activité comme Robert Ménard ou connaissent, comme Éric Zemmour, des routes semées d’embûches (judiciaires, notamment) sur lesquelles ils se maintiennent grâce à leur talent.

    Même si les aides publiques à l’information privée sont considérables, le plus choquant est de voir le « service public » être partial lui aussi, et parfois davantage. Il est insupportable que des journalistes ou des animateurs grassement payés sur des chaînes nationales financées, notamment, par l’impôt se comportent comme des militants engagés auxquels elles appartiendraient de droit ! Récemment, David Pujadas, confrontant par surprise François Fillon à une « écrivaine » véhémente, ou tentant de coincer Philippot avec une photo de 2011 montrant un responsable du FN faire un salut réputé « nazi », a dépassé les bornes, mais c’est Laurent Ruquier dont l’attitude a constitué une honte et un scandale. Non content d’avoir appelé très clairement à attenter à la vie de Donald Trump, le rigolard vulgaire d’« On n’est pas couché » s’est permis d’afficher son militantisme avec arrogance en étalant un parti pris et une déficience évidemment indignes du « service public ». Répondant à Philippot, qui avait exhibé des photos de personnalités tendant le bras comme Pujadas lui-même ou comme madame Taubira, il avait osé faire de son préjugé un argument objectif. Lorsque vos amis font ce geste, on peut y voir un salut nazi : telle était la sentence du commissaire politique faisant du soupçon une preuve, sans la moindre vergogne. Serait-ce le retour de la loi des suspects et « l’animatueur » (selon un excellent titre) se rêverait-il en accusateur public ? Maître Goldnadel avait saisi le CSA à propos de l’incroyable dérapage de Ruquier à l’encontre du président Trump. On ose espérer que celui-ci mettra un terme à une dérive qui rappelle les heures les plus noires de notre histoire que notre microcosme aime tant à citer…

    http://www.bvoltaire.fr/desinformer-mieux-regner/

  • Vannes : cours d’arabe et de turc (mais pas de breton) à l'école

    Lu sur Breizh-info :

    "Les élèves de l’école primaire publique de Beaupré La Lande à Vannes pourront apprendre le turc ou l’arabe. Mais pas l’allemand l’espagnol ou encore le breton.

    Les élève de cette école se sont vus remettre par l’administration de l’établissement un document de la Direction générale de l’enseignement scolaire à transmettre à leurs parents. Celui-ci propose aux enfants de recevoir « un enseignement optionnel de langue vivante étrangère » ouvert à toutes les familles « quelle que soit leur nationalité ou leur origine ». Une école implantée dans un quartier résidentiel « où il fait bon vivre », selon le quotidien Ouest France. Deux langues seulement sont proposées aux jeunes élèves : l’arabe et le turc. [...]"

    par Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2017/04/vannes-cours-darabe-et-de-turc-mais-pas-de-breton-%C3%A0-l%C3%A9cole.html