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anti-national - Page 783

  • Le parti de la haine et du rejet de l’autre

    C’est sa ville de Chicago, troisième des Etats-Unis par la taille, ravagée par la crise et la criminalité, qui a été choisie par Barack Obama, pour y prononcer la semaine prochaine son discours d’adieu. Celui des illusions perdues peut-être pour un président sous le mandat duquel 43 millions d’Américains tombés dans la pauvreté ne survivent que grâce à l’aide alimentaire, dans un pays toujours aussi violent. Tout un symbole, quatre adolescent noirs vivant à Chicago ont été inculpés hier de crime raciste envers un jeune blanc handicapé qu’ils ont kidnappé, séquestré pendant près de deux jours et soumis à des sévices corporels. Ils ont diffusé leurs tortures en direct sur Facebook, assorties de remarques anti Trump et anti blancs. On arrête pas le progrès. De nombreux commentateurs ont avancé que les agresseurs étaient en lien avec la très subversif et nocif mouvement «Black Lives Matter» qui attise les tensions raciales, officine financée par le très défavorablement connu milliardaire mondialiste George Soros.

    En France, les médias nous resservent ces dernières heures l’affaire des assistants parlementaires du FN qui serait  un boulet pour la campagne de Marine, alors qu’elle n’est qu’une énième déclinaison de la persécution dont sont victimes les nationaux de la part de l’institution bruxelloise et de ses relais politiques en France. Toutes choses parfaitement comprises et analysées par la journaliste  Elisabeth Lévy qui était  hier soir  à l’antenne de l’émission On refait le monde  sur RTL

    Gros médias qui, débordés par les réseaux sociaux et internet,  sont  désormais obligés d’évoquer, même a minima,  le cas Christophe Bejach, directeur général des actions européennes de la société d’investissement Monument Capital Group Holdings LLC. Ce monsieur, de nationalité française et vivant à Londres,  a été condamné en décembre dans la capitale britannique à 100.000 euros d’amende, 20 jours de travaux d’intérêt général et  100 jours de traitement médical  pour pédopornographie. Piégée par une policière, il  a été soupçonné de vouloir mettre sur pied une séance  de photos érotiques avec trois fillettes âgées de 8, 10 et 12 ans.  Les policiers ont  trouvé à son domicile  des photos de viols de fillettes;  il  a par ailleurs  avoué son attirance pour les petites filles  « de deux fois cinq ans ».

    M.  Bejach fut aussi un membre fondateur d’un cercle de réflexion archétypale du PS du XXIème siècle, de la gauche progressiste, à savoir Terra Nova,  et conseiller technique au ministère des finances de Bercy sous la direction d’Arnaud Montebourg jusqu’en 2014. Certes, nous croyons bien volontiers M. Montebourg et son entourage quand ils affirment que ce pédophile n’avait pas de contacts privés avec le candidat à la primaire socialiste. Certes, ce malade a mené une existence de  techno plus en retrait par exemple que ce soutien de François Bayrou,  l’eurodéputé Modem Robert Rochefort, vice-président du parti centriste, condamné en août dernier pour exhibition sexuelle a proximité d’enfants dans un magasin de bricolage.  Mais imagine-t-on  qu’un ex-collaborateur, un  soutien même éloigné de la candidate du FN, n’aurait pas été épinglé plus bruyamment  par les médias dans les mêmes circonstances?

    Du bruit, Vincent Peillon, nous l’avons vu, en fait à tort et à travers, et ses soutiens aussi, à l’image du député PS de Haute-Garonne Kader Arif, fédéraliste européen,  Secrétaire d’Etat aux anciens combattants jusqu’en  2014, avant  de démissionner suite à l’ enquête préliminaire du parquet financier au sujet de la société d’un de ses frères.

    Invité de la webémission du HuffPostM. Arif, comme M. Peillon dénonçant le « fascisme rampant » du FN, a repris de  vieux éléments de langage. Après tout, comme le disait déjà Staline, «si vous parlez avec un homme de droite,  traitez-le de fasciste, pendant le temps qu’il mettra à se disculper, il n’argumentera pas…». Une vieille ficelle qui sert aussi désormais à cacher le vide abyssal des propositions des candidats antinationaux, à dissimuler leurs lieux communs programmatiques, leurs vieilles  recettes éculées, leur absence d’imagination.

    « Je suis inquiet» a affirmé ce député PS. «Les mots ont du sens. Le FN est un parti d’extrême droite (…). Oui, je pense que ce parti-là, accompagné par la fachosphère, est un parti fasciste sur un certain nombre du sujet », se disant « très inquiet des porosités qui s’opèrent entre une partie de la droite et du FN ». « Je veux pas dramatiser les choses, mais je me méfie des lâchetés individuelles et collectives dont on est tous capables. Quand je regarde ce qu’ont été les années 30. Une république affaiblie, une crise économique, la montée progressive du nazisme, qui a pris le pouvoir par les urnes… L’Europe tournait la tête. Je ne fais pas de parallèle, mais il faut que l’histoire ne se répète pas ».

    Les mantras stupides et grossiers de M Arif, constate Bruno Gollnisch,  ont été  rabâchés jusqu’à la nausée ces dernières décennies  par ce Système qui assiste effrayé à ce retour du réel en politique qu’il a tenté de dissimuler aux Français. Ils  prennent aussi  une résonance particulière alors qu’ont été commémorés cette semaine les deux ans du massacre commis par les frères Kouachi  dans les locaux de Charlie-Hebdo.

    Une des victimes de cette tuerie fut l’économiste eurosceptique Bernard Maris qui était une des plumes  de Charlie.  Un homme intelligent qui dans son livre « Et si on aimait la France » avait eu le courage intellectuel de dénoncer (sur le tard)  avec lucidité les errements idéologiques de la  gauche, le drame de l’immigration sans frein, le masochisme anti-français, la bobo-attitude… Il  reprenait  aussi à son compte les  analyses des  Fractures françaises  de Christophe Guilluy sur la France des relégués, des oubliés, des petits blancs, des classes moyennes et populaires  abandonnés par une  gauche sous influence Terra Nova.

    Quelques mois avant cette tuerie, en mai 2014, M. Maris écrivait  cependant dans Charlie-hebdo : «Dans le village où j’habite, peuplé de quelque 650 habitants, 38% d’entre eux ont voté pour le FN. Les 62 autres % ne comprennent pas. Pourquoi choisir le parti de la haine, du rejet des autres, de la peur, du repli sur soi? (…). Comment faire confiance à un parti qui a promis de faire la chasse aux journalistes, de les attaquer à mort, de leur marcher dessus?».

    Le parti de la haine et du rejet de l’autre existe bien, mais assurément il se trouve du côté des adversaires de ceux qui entendent défendre les valeurs de notre incomparable civilisation helléno-chrétienne,  préserver, fortifier, assurer un avenir français à notre nation et à notre peuple. Cette évidence-là ne cesse d’être démontrée par les événements.

    https://gollnisch.com/2017/01/06/parti-de-haine-rejet-de-lautre/

  • Le fondateur de Terra Nova tombe pour pédophilie, la presse française muette

    de Marie Delarue : « Christophe Bejach, l’un des fondateurs et ancien vice-président de cette boîte à idées du Parti socialiste, vient de tomber, à Londres, pour pédophilie. Faut-il, alors, imaginer que c’est pour ne pas troubler ce moment de deuil et de recueillement que tous les médias officiels français n’en ont touché mot ? Christophe Bejach, 53 ans, est ce que l’on appelle une pointure (et peut-être, aussi, un « pointeur », comme on dit dans certains quartiers de Fresnes et d’ailleurs). Sa bio sur Terra Nova nous explique, en effet, que ce brillant « ingénieur et titulaire d’un MBA du Groupe HEC (ISA) a effectué une carrière orientée vers l’investissement dans des entreprises cotées ou non cotées, en France, aux USA et en Asie ». En 2012, il rejoignait l’équipe d’Arnaud Montebourg, devenu ministre du Redressement productif, en tant que conseiller sur l’Aérospatial, la Défense et l’Énergie. Mais surtout productif pour lui-même, Christophe Bejach s’est essentiellement fait connaître comme créateur de la société L’Avion, revendue à British Airways pour 68 millions d’euros. Ce strauss-kahnien « historique » ne partageait pas, avec son mentor, que des idées. Il semblerait qu’ils avaient aussi en commun quelques connections obsessionnelles entre le cerveau et le pantalon, mais si Strauss-Kahn s’en prenait à des femmes adultes, M. Bejach montrerait quant à lui une nette préférence pour les fillettes. En témoigne sa condamnation, le 14 décembre dernier, par un tribunal britannique à « 9 mois de prison avec sursis pendant deux ans pour un premier chef d’accusation d’offense sexuelle sur enfant mineure et trois autres chefs d’accusation pour possession de photographies d’enfants indécentes ». Christophe Bejach s’est fait pincer par un agent de police en civil, Sadie, qui s’est fait passer pour la mère de trois fillettes de 8, 10 et 12 ans sur lesquelles il avait jeté son dévolu. Ayant acheté sur Amazon « un stock de petites lingeries pour faire des photos de nus érotiques », Bejach a « décrit ses fantasmes sexuels à Sadie, la présumée mère des filles, qui malheureusement pour lui était en fait officier de police travaillant à la surveillance de la cyber-pédophilie ». Interrogé par le tribunal pour savoir « s’il avait eu quelques intentions d’avoir des rapports sexuels avec les filles avant le rendez-vous de l’hôtel Cumberland, Bejach a répondu “Avant d’avoir eu ces pensées : oui” », rapportent le Daily Mail et l’Evening Standard. Outre ces faits, on a également trouvé dans l’ordinateur de ce brillant homme d’affaires des dizaines de photos à caractère pédophile, dont certaines de catégorie A, c’est-à-dire « dépeignant l’activité sexuelle pénétrante ». Ayant réussi à éviter la prison, Christophe Bejach devra signer « le Registre des délinquants sexuels pendant dix ans, son ordinateur a été confisqué [ndlr : pour les photos] et il devra payer £1,200 de frais de tribunaux. Il a préalablement payé une caution de £100,000 à la Cour et remis son passeport aux autorités », écrit la presse britannique. Voilà pour les faits. Maintenant, la question qui fâche : qui, en France, a parlé de cette histoire ? Qui a écrit une ligne sur le sujet ? Aucun des médias officiels : pas un mot en radio, pas un mot sur les chaînes d’info, pas un mot dans la presse. Les seuls à l’avoir évoquée sont ceux qu’on range commodément dans la « fachosphère » : Fdesouche, Le Salon beige et TV Libertés et, dans un autre genre, le site Au féminin, qui recense les affaires de pédophilie. Pourquoi ce silence ? Est-ce pour ne pas « gêner » les primaires de la gauche, ne pas ternir par ricochet le soleil d’Arnaud Montebourg, épargner Terra Nova, ne pas plomber davantage un Parti socialiste moribond ? Ou bien parce qu’un Strauss-Kahn + un Bejach, c’est plus qu’on n’en peut supporter de la part de cette classe politique pourrie ? » Source BdVoltaire
    http://www.contre-info.com/le-fondateur-de-terra-nova-tombe-pour-pedophilie-la-presse-francaise-muette#more-43267 |

  • Appel des Veillées pour la Vie à organiser des cars pour la Marche pour la vie

    V

    Comme vous le savez, la 11e édition de la Marche pour la Vie se déroulera le 22 janvier prochain. 2017 sera marqué en France par les élections présidentielles et législatives. Lançons l’année en défendant la Vie !

    Une carte des cars organisés dans toute la France a été publiée : ici et un formulaire est disponible pour ceux qui pourront s’engager dans ce service indispensable sur le site de la Marche pour la Vie.

    Comme les Veillées pour la Vie en novembre, nous espérons voir surgir des cars de toutes la France !

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • La police allemande assume le contrôle au faciès

    Selon Jeanne Smits dans Minute :

    stories.virtuemart.product.2802_page_01nsp_106.jpg"[...] L’an dernier tout avait été fait pour occulter les centaines d’agressions sexuelles accompagnant le passage au Nouvel An, parce que des migrants extra-européens étaient à l’origine des troubles. Las des critiques, les policiers ont cette fois interpellé, intercepté, contrôlé à tour de bras des hommes « d’apparence nord-africaine » auprès des gares et au pied de la cathédrale de Cologne. Ils ont même vérifié les trois cents occupants d’un train s’apprêtant à descendre sur la ville – tous des migrants.

    La police a été convaincue très vite des intentions peu catholiques des voyageurs et autres « contrôlés au faciès » – 650 au total –, puisque 190 personnes ont été maintenues derrière des barrières et empêchées de rejoindre le centre-ville, en attendant les 92 interpellations qui y ont eu lieu pendant la nuit.

    La police de Cologne a même revendiqué son action en tweetant des images des migrants, accompagnées de ce commentaire laconique : « Des centaines de Nafris passés au crible à la gare principale. Détails suivent. » Des Nafris ? C’est le nom familièrement donné aux Nord-Africains en Allemagne, mais faut-il que l’exaspération soit forte pour que la police s’aventure publiquement dans ce genre de vocabulaire.

    [...] Dès le lendemain, la presse allemande de gauche s’étranglait devant ce « racisme » évident. Mais la voilà prise au piège de ses propres tartes à la crème : vaut-il mieux éviter de peiner les migrants et respecter leurs droits de l’homme au prix de plus de 1 200 agressions sexuelles, ou protéger les droits des femmes des agressions machistes en prenant des mesures fortes et ciblées ? [...]

    Michel Janva

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  • Aujourd’hui, il y a un suicide d’agriculteur tous les deux jours en France

    Guillaume Olivier est responsable des Jeunes Agriculteurs du canton de Wassy et Saint-Dizier, en Haute-Marne. Il est à l’origine de ce court-métrage réalisé en hommage aux agriculteurs suicidés en 2016.Il répond à Minute :

    "[...] Aujourd’hui, il y a un suicide d’agriculteur tous les deux jours en France. Ça ne pourra qu’augmenter en 2017... Et ce phénomène concerne toutes les régions de France. On est un peu tous en dépression. On travaille tous comme des cinglés, sans se tirer un salaire correct. Pas de rendement, pas de prix : on est tous dans la même galère, quelle que soit notre spécialité.

    Avec ce film, nous avons voulu rendre hommage aux agriculteurs qui se sont suicidés. Nous avons voulu montrer que nous sommes solidaires dans le métier. Nous avons voulu dénoncer ce fléau des suicides d’agriculteurs.

    Dans le film,Vincent, l’agriculteur qui raconte son histoire, se pose la question suivante : « Est- ce la faute des laiteries ? Des grandes surfaces ? Des politiques ? » Il y répond, désabusé : « Peu importe, de toute façon, tout le monde s’en fout. » Pour vous, à qui la faute ?

    Les laiteries ? Elles se font des marges énormes et ne publient pas leurs résultats. L’exemple le plus connu est celui de Lactalis qui a fait l’objet d’un reportage sur France 2 en octobre dernier. Lactalis préfère payer une amende plutôt que de publier ses résultats. D’ailleurs, l’Etat devrait les forcer à le faire.

    Les grandes surfaces ? Les consommateurs comme les agriculteurs se font avoir. Le prix du fromage n’a pas baissé, malgré la chute du cours du lait. De même, vous ne payez pas votre viande moins chère aujourd’hui, alors que moi, quand je me suis installé, je la vendais 4,50 euros le kilo. Aujourd’hui, je la vends à 3,25 euros !

    Mais nous-mêmes, nous nous remettons souvent en question. C’est pour cela que nous faisons dire à Vincent : « Et si en réalité tout était de ma faute ? »

    Ce qui est marquant dans ce film, c’est la solitude de Vincent : seul avec ses questions, seul dans son hangar, seul, cachant à sa femme, ses rappels et relances de la banque, de la MSA, des assurances, etc. C’est cela, le quotidien d’un agriculteur ?

    Oui, c’est cela le quotidien d’un agriculteur. Des heures de travail pour un salaire de 200 à 300 euros par mois. Quant à l’isolement, si l’épouse ne travaille pas sur l’exploitation, elle ne peut pas suivre au quotidien les chiffres. On peut donc tout à fait lui cacher la réalité. A cela, il faut ajouter la pression familiale. Nos parents et grands-parents ont connu de bonnes années. Ils ne comprennent donc pas toujours pourquoi c’est difficile pour nous. Par exemple, moi, je suis le seul garçon. Cela aurait été inconcevable de vendre la ferme. Cela aurait été une honte. Oui, ce film, c’est du vécu : on essaye de cacher les difficultés, en se disant que ça ira mieux demain. [...]

    Tout est fait pour que les exploitations soient de plus en plus grandes. La fiscalité et la politique nous forcent à être de plus en plus gros. On est accompagné pour investir toujours davantage. Pourtant, ce n’est pas ce qu’il faudrait. Travailler sur de petites exploitations, c’est beaucoup mieux. L’agriculture française, c’est une agriculture familiale. C’est notre fierté. Moi-même, je travaille avec mes deux parents. [...] Nous n’avons ni les mêmes charges sociales, ni les mêmes normes que nos voisins européens. On ne peut donc pas être compétitifs. [...]

    Michel Janva http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Marche pour la vie du 22 janvier : présence en fin de cortège de SOS Tout-Petits

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    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Udo Ulfkotte, journaliste allemand: « L’Allemagne s’est détruite afin de ne pas paraître raciste »

    Christian Hofer, ressortissant suisse, expert (publications, multimedia, événements)

    ♦ Nous parlions déjà de ce journaliste ici et ici.

    Merkel et la gauche suisse ont procédé à la même attaque contre leur pays: la violation de nos lois. Ce sont ces traîtres qui poussent à la guerre et à la haine tout en osant encore se positionner en « représentants des valeurs morales ».

    Enfin, on notera encore le totalitarisme qui s’impose sous le paravent de « justice » afin de faire taire ce journaliste. Cela rappelle le procès qui a été fait à Monsieur Alain Jean Mairet.

    Les signaux inquiétants étaient déjà présents il y a quelques années lorsque certaines villes allemandes ont renommé les marchés de Noël en « marchés de la fête de l’hiver » et avaient décidé d’interdire les illuminations de la natalité pour ne pas offenser les musulmans. Udo Ulfkotte, journaliste et écrivain allemand, avait déjà répertorié ces alertes dans son livre Mekka Deutschland (Kopp, pp. 256, 19,95 euros). Une enquête détaillée sur les cas de soumission culturelle dans l’Allemagne islamisée d’aujourd’hui.

    Déjà rédacteur adjoint du Frankfurter Allgemeine Zeitung, invité dans de nombreux pays musulmans, et à présent éditeur du magazine Whistleblower, Ulfkotte est considéré comme une sorte de Houellebecq allemand pour avoir dénoncé la crise de civilisation de son pays et révélé les risques d’une conquête, à la fois violente et sournoise de la part de l’islam. Prophétie qui s’est tragiquement confirmée dans les faits ces derniers jours.

    Ulfkotte, nous commençons  par les événements de Berlin. Le terroriste, Anis Amri, était suspecté depuis longtemps par la police allemande d’être un terroriste potentiel. Toutefois, il n’a jamais été expulsé et au contraire il a reçu un permis de séjour temporaire. Il y a donc des responsabilités de la part des forces de sécurité de votre pays ?

    L’Allemagne a environ 7’000 islamistes suspectés de terrorisme. Pour les contrôler 24 heures sur 24, il faudrait 20 hommes du service du renseignement pour chaque cas d’entre eux. Cela signifie qu’il faudrait 140’000 policiers dédiés à cette seule fonction. Mais en même temps, l’Allemagne est mise sur la touche concernant les informations les plus importantes sur le terrorisme car les services secrets britanniques n’ont plus confiance en Merkel, après la rupture entre la Grande-Bretagne et cette Europe conduite par l’Allemagne.

    Amri se serait radicalisé en Rhénanie-Westphalie, la région de Cologne. Comment est-ce possible que l’une des zones les plus riches d’Allemagne soit devenue la fabrique de l’extrémisme islamique et le port franc pour les agressions des migrants ?

    Pour le comprendre, on doit se souvenir de l’histoire du 20e siècle de l’Allemagne. Notre pays ne veut plus être considéré comme étant raciste et discriminer les étrangers à cause de leur ethnie ou de leur religion. Pour cette raison, on a imposé une culture d’accueil pour tous, même pour les fanatiques islamiques. Et les effets se voient : durant les derniers mois, nous avons fermé 900 églises, dans le même temps, nous sommes en train de construire 3’000 nouvelles mosquées. Mohammed est devenu le nom le plus populaire pour les nouveau–nés dans de nombreuses villes allemandes.

    Pendant ce temps, les mariages islamiques avec des épouses mineures sont toujours plus nombreux. Et nous n’incriminons pas les musulmans qui violentent les femmes s’ils les épousent par la suite. Nous appelons cela le respect pour les traditions islamiques. Pour moi, c’est une forme d’imbécilité choquante.

    Quelles sont les responsabilités de la classe politique ? L’année dernière, Angela Merkel a permis l’arrivée d’un million de migrants…

    La chancelière a violé les lois allemandes qui empêchaient d’ouvrir les frontières à tous et de lâcher un million de migrants sans contrôle. C’est elle la véritable responsable. Certes, en ce moment personne n’a la force de contester le leadership de Merkel, même pas la droite AfD. Mais le pays est au bord d’une guerre civile, car tant de gens n’en peuvent plus de la soumission.

    Lorsque vous étiez correspondant en Afghanistan, vous vous êtes converti à l’islam, sauvé puis reconverti au christianisme une fois retourné en Europe. Qu’est-ce qui vous a poussé à embrasser la foi de Mahomet ?

    La peur de mourir. C’était en 1992 dans la ville de Herat, les moudjahidines m’ont forcé à me convertir sinon ils m’auraient fusillé. J’ai pu vérifier personnellement l’hospitalité des « musulmans pacifiques ».

    Est-ce qu’on vous a accusé d’islamophobie pour la publication de « Mekka Deutschland »?

    Ils ne peuvent pas m’accuser de racisme car dans le livre il y a 1’000 notes de bas de pages qui mentionnent des sources dignes de foi et confirment tout ce que j’écris.

    Mais un procureur a ouvert une enquête à mon encontre parce que dans l’un de mes articles, j’aurais révélé des informations liées au secret et je serais coupable d’incitation à la haine.

    Il m’accuse en particulier d’avoir écrit « rapefuges », c’est-à-dire les cas de réfugiés qui violentent les femmes et les enfants.

    Et qu’avez-vous fait ? Avez-vous arrêté d’écrire ?

    Bien au contraire. J’ai recueilli d’autres éléments et j’en ai fait un journal dans lequel je raconte, jour après jour, toutes les violences sexuelles commises de la part des migrants en Allemagne en 2016. Le livre sortira fin janvier 2017 et pourrait me coûter un procès. Voilà ce qu’est devenue l’Allemagne : une République bananière dans laquelle on empêche même la liberté l’expression.

    Christian Hofer 26/12/2016

    Source : Les Observateurs.ch

    Traduction : Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

    http://www.polemia.com/udo-ulfkotte-journaliste-allemand-lallemagne-sest-detruite-afin-de-ne-pas-paraitre-raciste/

  • Rencontre avec un cosaque russe dans l’Est de l’Ukraine

    Pour prouver la présence d’agents des forces spéciales russes en Ukraine, Jen Psaki, représentante officielle du Département d’État américain, a présenté au Conseil de sécurité de l’ONU deux photos, prises respectivement en Géorgie en 2008 et en Ukraine récemment, où posaient des hommes en tenue de camouflage. À propos d’un des hommes, Jen Psaki a affirmé qu’il s’agissait du même sur les deux clichés : effectivement, les deux étaient robustes et portaient une longue barbe.
    Pourtant, la barbe n’a pas suffi : rapidement, les hommes ont été identifiés. Celui de la photo prise en Géorgie est trop connu pour être confondu avec quiconque : il s’agit de Khamzat Gaïrbekov, surnommé Boroda [Barbe], chef du bataillon Vostok. L’homme figurant sur le cliché pris à l’Est de l’Ukraine a également été retrouvé par la revue Time. C’est Alexandre Mojaev, un cosaque venu de Russie « aider ses frères orthodoxes » à faire la guerre. Le journal local de Kramatorskaïa Pravda l’a interviewé. 
    - Pourquoi vous êtes-vous retrouvé en Ukraine ? 
    - J’étais chez moi, et en voyant à la télévision ce qu’il se passait sur Maïdan je me suis dit : « Mais qu’est-ce qui se manigance là-bas en Ukraine ? » Je regarde, et là, même Angela Merkel y va de son commentaire. Les pays étrangers ont une idée derrière la tête. Et tout ça rappelle fortement le Kosovo. Mais c’est qu’il faut y aller, je me dis, et aider ! Et là, mes frères cosaques arrivent chez moi et disent : « Sanya, nous venons te voir avec une mauvaise nouvelle. Nous partons à la guerre. » Et moi, je dis : « S’il le faut, allons-y. » J’avais déjà compris alors, contre qui on se battait. Contre l’Amérique. Parce que ce sont eux qui fourrent leur nez ici avec l’Union européenne. 
    La première partie de nos cosaques est partie à Sébastopol. Nous pensions faire partie de la deuxième vague. Mais non, on ne nous a pas pris non plus. Nous nous sommes alors réunis, nous nous sommes téléphonés avec les cosaques du Terek et nous sommes partis tout seuls. 
    - On raconte que vous êtes parti combattre pour fuir une enquête pénale et éviter la prison. Vous êtes accusé de tentative d’assassinat à l’arme blanche. Qu’est-ce que c’est que cette histoire ? 
    - On m’accuse d’un crime que je n’ai pas commis. Je suis simplement tombé sur un commissaire vendu, engraissé par la diaspora coréenne. Cette diaspora s’occupe de culture de fruits et de légumes sur notre terre cosaque du Kouban, elle entretient des esclaves sur ses plantations, qu’elle fait venir de Corée et qu’elle paie des kopecks. Et j’ai eu une altercation avec un de ces Coréens. Avec les amis, nous étions invités chez un vétéran de l’Afghanistan, un colonel. Le soir, nous allons nous coucher. Moi, je ne dormais pas, et Vitalik non plus. On conversait. Et là, le Coréen arrive chez le voisin et se met à klaxonner. Et notre voiture était garée dehors. Peut-être que c’est pour nous, on se dit. On sort vérifier. Il s’avère que ce n’est pas pour nous. Je dis au Coréen : « Écoute, arrête de klaxonner! » Et lui, il se retourne, et il continue de klaxonner. Je m’approche de la fenêtre, et je dis : « Écoute, les gens dorment. A notre époque, il y a des téléphones portables. Téléphone ! » Et lui, en réponse, il me fait : «Tu es qui, comme ça, pour me dire quoi faire ? « Je suis un cosaque, je dis, maître de la terre du Kouban. Et je t’indiquerai partout quoi faire, si tu te comportes avec insolence. Et lui, comme ça : « Tu te fous de moi ?! » Et il sort. Il pensait certainement que j’aurai peur de lui. Il nous a regardés avec Vitalik : « J’ai compris ». Il s’est assis dans sa voiture et il est parti. Nous, sans arrière-pensées, nous retournons à la cabane. Mais au bout d’un moment, le Coréen revient. Avec Vitalik, nous ressortons, et ils sont six assis dans leur voiture. La bagarre a commencé. 
    Ils attaquent directement Vitalik avec un couteau. J’étais en claquettes. De derrière moi, il y en a un qui court et qui me tombe dessus. Et là, un autre coup sur la tête, de la droite. Je pense « Sans déconner ! Il faut que je me couvre moi-même comme je peux, et encore que j’aide Vitalik. » Là-dessus, mon pouce se déboîte. Je le prends, je le remets, et je continue de me battre. Eux, voyant ça, ils hallucinent. 
    « Stop tout le monde !, Arrêtez ! », ils crient. Ils s’arrêtent. Ils disent : « Venez sur notre base ! Si tu ne viens pas, nous continuerons de frapper Vitalik ! » Nous arrivons chez lui, sur leur base. Le Coréen dit : « Tu as deux options pour partir d’ici : soit tu me demandes pardon, soit j’appelle la police et nous portons tous plainte en disant que tu nous as menacés avec un couteau. » Et il pose des affaires en face de moi. Ils avaient pris avec eux la voiture de notre ami Alekseï, et dedans, il y avait un sac avec son téléphone et son couteau. Et comme par hasard, je n’ai plus de batterie sur mon téléphone : je ne peux appeler personne, ni demander aucune aide. Il sort. Et moi, je me souviens que dans mon sac, j’ai aussi un petit couteau pliant. Je donne le couteau d’Alekseï à Vitalik, je prends le mien pour moi. 
    « Et maintenant, je dis, allons les voir. » Et nous avançons : « On vous prend un par un ! » Ils se tiennent là, ils ont la trouille d’approcher. Et qu’est-ce que tu penses ? J’entends le bruit d’une voiture qui arrive, la porte qui claque et une voix : « Salut, commandant ! » Avec Vitalik, nous avons le temps de ranger les couteaux et de nous asseoir à table. Le commandant sort et commence de nous insulter en hurlant. Je lui fais : « Citoyen policier. Ayez la bonté de vous présenter. Combien ils vous paient, pour que vous vous cassiez le cul pour eux ? » Et lui : «Trente mille par mois ». Je dis : « Nous ne parviendrons pas à nous entendre, appelez des renforts. » Et le temps que le détachement arrive, avec ce Coréen, ils ont commencé de dresser une plainte contre nous. Personne n’a écouté nos explications. Résultat, ils nous ont emmenés au commissariat, ont établi un procès-verbal en disant que c’était moi qui marchais ivre dans la rue et qu’ils m’ont emmené. J’ai soufflé : 0,16 milligramme d’alcool dans le sang. Parce qu’en arrivant chez notre ami, nous avions bu des bières. Et toute cette affaire continue jusqu’aujourd’hui. J’ai écrit et au Comité d’enquête, et au Parquet. Zéro émotion. Si tout cela s’était passé dans notre district de Beloretchensk, les Coréens, pour ça, auraient simplement été condamnés au fouet. Mais chez eux là-bas, dans le district de Vysselki, rien n’est clair. 
    - D’où vous vient votre surnom « Babaï » ? 
    - Ce n’est pas un surnom. C’est un indicatif. Babaï, c’est un personnage traditionnel. Il est en même temps effrayant de l’extérieur, et bon à l’intérieur. Et moi aussi, je suis comme ça. 
    - Depuis combien d’années êtes-vous dans la cosaquerie ? 
    - On naît cosaque. Mais dans les troupes, j’y suis depuis 1993. 
    - À Kramatorsk, un hélicoptère MI-8 a explosé. Certains médias vous accusent d’en être le responsable… 
    - Ce n’est pas moi.
     

  • Vous êtes en train de préparer votre Réveillon …

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    Commander des tracts

    1400 000 tracts déjà distribués  à ce jour ! Commandez-les, glissez-les dans vos cartes de vœux, distribuez-les à votre réveillon !
    Les tracts, des affiches, des autocollants sont gratuits et livrés chez vous, il suffit de les commander via ce formulaire :

    Organiser un car 

    Vous êtes provincial ? Réservez ICI  votre place dans un car pour venir à Paris le 22 janvier !
    Il n’y a pas de car au départ de votre ville ? MOBILISEZ VOUS et organisez un car via ce formulaire : 

    Oragniser un car pour La Marche pour La Vie

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    Aidez-nous financièrement par un don qui permettra de faire face aux dépenses de la Marche Pour La Vie du 22 janvier (sécurité, podium, sonorisation, affiches, tracts, publipostage)
    Vous pouvez adresser vos dons :  

    – par chèque à la MARCHE POUR LA VIE, 3 rue de l’arrivée, 75014 Paris

    – par carte bancaire via notre site internet ICI

    Bon réveillon !

    N’oubliez pas d’inviter votre famille et vos amis à se rendre massivement marcher pour la Vie à Paris le 22 janvier 2017!

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Marche pour la vie : Tous à Paris le 22 janvier 2017 !

    C'est la une du dernier numéro de L'Homme Nouveau :

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    Michel Janva