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anti-national - Page 966

  • Le ministère de la justice veut des condamnations pour "homophobie"

    Avant sa réforme pénale, destinée à vider les prisons, Christiane Taubira a publié dans une circulaire du 23 juillet, publiée au bulletin officiel le 30 août 2013, donnant aux parquets des instructions sur la lutte contre l'homophobie. Les procureurs de la République doivent

    « sensibiliser les associations d'aide aux victimes et les services d'enquête de leur ressort sur la question spécifique des violences et discriminations commises à raison de l'orientation sexuelle ou de l'identité de genre ».

    « Le nombre de condamnations figurant au casier judiciaire national, en réponse à des actes commis à raison de l'orientation sexuelle de la victime, demeure peu important au regard de la réalité du phénomène ». « Ce décalage peut s'expliquer pour partie par la difficulté, parfois, de caractériser le mobile homophobe, les condamnations intervenant alors sans mention de la circonstance aggravante. Mais, au-delà de cette explication, il apparaît que nombre de victimes demeurent réticentes à l'égard du dépôt de plainte ».

    Elle préconise ainsi de resserrer les liens « entre l'institution judiciaire et les associations spécialisées », lesquelles sont souvent subventionnées par l'Etat.

    Les procureurs de la République devront

    « veiller à la mise en place de mécanismes d'alerte, par exemple par voie électronique, permettant un signalement et un traitement rapides des infractions commises ».

    Elle recommande aux procureurs de « retenir systématiquement la circonstance aggravante de l'orientation sexuelle de la victime » et s'assurer « que les enquêteurs réunissent les éléments en ce sens ».

    Le totalitarisme LGBT est en marche.

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Le gender pour masquer l'échec du système scolaire français

    Lu dans Le Figaro :

    "Alors que le nombre de sorties sans qualification du système éducatif ne cesse d'augmenter et que le taux de chômage des jeunes atteint des niveaux records dans notre pays ; alors que les études nationales et internationales démontrent depuis plus de quinze ans que l'école ne parvient plus à remplir ses missions fondamentales - l'enseignement de la lecture, de l'écriture et du calcul -, 40 % des jeunes entrant au collège sans maîtriser ces compétences et près de 20 % d'entre eux sortant du système éducatif illettrés ; que les politiques éducatives menées en France depuis vingt ans ont hissé notre école au rang des plus inéquitables des pays de l'OCDE… cette rentrée scolaire sera marquée du sceau de l'instauration de la théorie du genre à l'école primaire."

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  • Veut-on devenir des révolutionnaires de salon ou bien de véritables veilleurs ?

    Philippe Arino est plutôt déçu de la veillée de samedi soir :

    "Veut-on devenir des révolutionnaires de salon ou bien de véritables veilleurs ? À un moment donné, il va falloir choisir, agir, arrêter de devenir une parodie de nous-mêmes (les « Choristes bis » qui font un spectacle de fin d’année et qui invitent des « personnalités »).

    Notre soirée de clôture à la Concorde n’avait rien d’une veillée des Veilleurs. Et je ne dis pas ça parce que je serais vexé de ne pas avoir pu parler : au contraire : je devais parler, c’était prévu ; j’avais envie de rappeler le Réel, les raisons concrètes de notre présence, le « pour quoi nous sommes là ? ». Pour dire que les pro-mariage-pour-tous avaient des gros problèmes avec la mémoire (je m’apprêtais à faire mention de la place de l’amnésie et de l’oubli dans les œuvres de fiction qui parlent d’homosexualité). Puis devant tant d’amnésie de la part des Veilleurs eux-mêmes ce soir (c’est quand même dingue que, pour une soirée dédiée à la Mémoire, on n’ait pas entendu une seule fois les mots « mariage pour tous » et « Loi Taubira » : enterrées ! Il fallait le faire ! Génial pour clôturer l’année de combat et fuir en avant avec le « Gender » !), je me suis barré avant. Je ne veux pas que les Veilleurs se transforment en gala, avec robe de soirée, célébrités, petits fours, petits CRS et musique de salon ! Je ne suis pas là pour ça. Notre résistance ne doit pas se figer en posture esthétique. C’est ridicule. Nous devons demander l’abrogation de la loi Taubira, encore et toujours. Nous devons parler du mariage pour tous, sans s’égarer vers les lois qui en découlent. Et oui, plus que jamais, je crois que les veilleurs doivent être des lieux de FORMATION, car nous sommes loin d’être formés ! Le Gender découle de notre non-dénonciation de l’hétérosexualité.

    Pas un intervenant pendant dans la Veillée de ce soir pour nous expliquer les raisons de nos Veillées, les raisons de notre présence (Si quelqu’un débarquait, jamais il n’aurait pu deviner que nous étions opposés au « mariage pour tous »). Nous n’avons entendu que des beaux couplets sur l’importance de l’engagement (ouais, cool : si on ne dit pas pour quoi, nous sommes bien avancés…), sur la beauté de notre mobilisation (mais pour quoi sommes-nous mobilisés au juste?), sur les vertus de la liberté et du combat pour ses idées (oui, mais lesquelles ?). Désolé, mais moi, je ne suis pas venu « parce qu’il faut s’engager et que c’est important ». On peut philosopher longtemps sur la beauté de la combativité, sur la grandeur du volontarisme et de la résistance. Mais merde, pour quoi c’est beau ? Ce n’est pas beau en soi. Ça dépend du combat ! On n’est pas présent juste pour brasser des concepts et redire des définitions encyclopédiques. Nous sommes là pour nous battre concrètement contre des lois injustes car elles banalisent la différence des sexes qui, quand elle est vraiment accueillie, est le meilleur pour exister, aimer et transmettre la vie ! Si nous n’expliquons pas pour quoi nous sommes là et pourquoi nous continuons de nous opposer à ces lois-là, nous ne serons jamais compris des journalistes et nous dériverons vers l’abstraction poétique. Quel ennui ! et surtout, de quoi a-t-on l’air ? [...]

    Une remontrance n’est ni une remise en cause ni un constat d’échec. J’aime les Veilleurs, et ça reste les MEILLEURS. La soirée d’hier a été un beau travail et une réussite puisque nous étions 5000, et c’est déjà génial. Je renouvelle mon admiration pour ceux qui en sont les instigateurs. Maintenant, pour l’avenir, préparons des veillées dignes de ce nom, qui dépotent vraiment, et ne nous reposons pas sur nos acquis."

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • La poudrière

    La presse française n’est pas  tendre avec François Hollande qui en  vassal trop zélé a été « piégé » comme un débutant par le  patron de l’empire du bien, Barack Obama. Le président américain, dont l’entourage évoquait de possibles frappes militaires en Syrie dés le 29 août, a finalement  annoncé que sa décision  était suspendue à un vote  du Congrès. La rentrée des parlementaires américains est le 9 septembre. Selon « un haut responsable de la Maison Blanche» ont rapporté les agences de presse, M. Obama a lancé « une intense campagne de lobbying pour tenter de convaincre des parlementaires sceptiques (…). Le président Obama, le vice-président Joe Biden et le chef des services de la Maison Blanche ont tous les trois multiplié les appels téléphoniques à destination de membres de la Chambre des représentants et du Sénat ».  Bref  résume Philippe Waucampt  dans Le Républicain Lorrain, entre  «la défection des Britanniques » -les parlementaires  consultés par David  Cameron se sont prononcés contre une intervention militaire-   et le recul des Etats-Unis, François  Hollande  est désormais « dans le rôle du cocu magnifique ».

     Dans Les Echos,  Cécile Corduret constate elle aussi que le président de la République est le seul  sur la scène internationale  à  vouloir attaquer  au plus vite la Syrie. « Soucieux de sauver la face, l’exécutif maintient ses ambitions et refuse de demander un vote au Parlement, comme l’ont fait ses alliés », ce qui est  aussi « une position à contre-emploi ». Voter? «Je ne vois pas quel serait l’intérêt politique» affirme Elisabeth Guigou, présidente de la Commission des affaires étrangères de l’Assemblée nationale. A contrario,  le député  socialiste Patrick Menucci  réclame un vote. «On a tout intérêt à convaincre l’opinion publique que cette intervention doit se faire». «Chacun comprend qu’on ne peut pas intervenir en Syrie sans la participation des Etats-Unis» a-t-il précisé.

     Un avis largement partagé  au sein des dirigeants de l’UMP qui comme  Jean-François Copé souhaitent  aujourd’hui  un débat à l’assemblée et  qui  sont  comme leurs homologues socialistes  les  relais  serviles des vœux de Washington via l’Otan.

     Mais intervenir pour quoi faire et avec quelles justifications ?  Les informations présentées par les Etats-Unis et leurs alliés sur l’utilisation de gaz toxique   par le régime syrien dans la banlieue de Damas le 21 aout  sont plus que soumises à caution.

     La tradition de  mensonges,  de montages divers et variés utilisés  par l’administration américaine pour justifier ses interventions armées ne sont plus à démontrer.   On se souvient de Colin Powell à la tribune de l’ONU il y a dix ans  montrant une fiole censée prouver que l’Irak détenait des armes de destructions massive. Ce qui était un bidonnage complet pour justifier le renversement  du régime de Saddam Hussein qui a débouché sur le chaos sanglant  que l’on sait.

     Le chef de la diplomatie russe,  Sergueï Lavrov,  lors d’une allocution prononcée  devant l’Institut des relations internationales de Moscou a résumé le  sentiment d’une large partie  des opinions publiques, malgré l’intense propagande  menée contre le régime laïc syrien dans nos contrées.

     « On nous a montré quelques images où il n’y a rien de concret: ni cartes géographiques ni noms (…). Ce que nous ont montré par le passé et plus récemment nos partenaires américains, ainsi que les Britanniques et les Français ne nous convainc absolument pas », a ainsi  déclaré M. Lavrov.

     Membre de la  commission d’enquête internationale de l’ONU sur les violations des droits de l’homme en Syrie, la magistrate suisse Carla Del Ponte avait déclaré  en mai  dernier  que les milices hostiles au régime de Bachar el-Assad  « ont utilisé des armes chimiques, faisant usage de gaz sarin ». La semaine dernière Mme Del Ponte précisait aussi que « La commission d’experts (de l’Onu, NDLR)  n’a trouvé aucune preuve de l’usage d’armes chimiques par l’armée syrienne ».

     En France,  selon un sondage CSA pour Atlantico  seulement  45% des personnes interrogées  sont pour une intervention de l’Onu en Syrie. D’après  une enquête Ifop pour Le Figaro, ce pourcentage monte à   55%… mais 59% des sondés   sont  opposés  à une  intervention française.  Des résultats similaires se retrouvent dans les pays occidentaux : 58% des Allemands selon une  enquête de la télévision publique et 59% des Américains selon un sondage You Gov sont hostiles à une  intervention armée de leur pays

      Selon un  autre sondage réalisé les 29 et 30 aout  par l’institut BVA pour i  télé CQFD – Le Parisien  et Aujourd’hui en France , les Français seraient opposés à 64 %  à une participation de notre pays à une intervention militaire contre la Syrie. Plus précisément 37% des  personnes interrogées redoutent que cette intervention fasse tomber  la Syrie sous la coupe d’un régime islamiste, 35 % que cette attaque  embrase la région, 22%  qu’ elle ne change rien à la situation des habitants au quotidien. L’installation d’un régime fanatiquement anti-chrétien en Syrie, le massacre des minorités et la déstrabilisation des pays limitrophes,   et notamment du Liban,  sont  en effet des menaces sérieuses et évidentes  comme l’a déjà  précisé Bruno Gollnisch.

     Le Premier secrétaire du PS, Harlem Désir, a choisi d’être invité sur le media communautaire  Radio J  pour cracher son mépris au visage des Français qui  doutent  de l’opportunité d’intervenir en Syrie. Comparant de facto  le régime laïc syrien au régime hitlérien. «  Je ne voudrais pas a-t-il déclaré  que les mêmes qui recevaient M. el-Assad un 14 juillet (c’était en  2008, NDLR) montrent aujourd’hui un esprit munichois face à ces atrocités ».

     Des propos dénoncés par Jean-Luc Mélenchon qui reprenant la balle au bond   a jugé  que « ces déclarations (de M. Désir)  sont une relativisation du nazisme qui est intolérable».

     La relativisation des crimes américains commis au nom des  droits de l’homme   et de la liberté l’ait tout autant,   alors même que nous avons sous les yeux, nous l’évoquions plus haut, les résultats  chaos dans lequel ils  ont plongé l’Irak en chassant du pouvoir le régime laïc de Saddam Hussein et du parti Baas

     Selon le dernier bilan  rendu public par la Mission d’assistance des Nations unies en Irak (UNAMI),  près de 5000 civils ont été tués, et 12 000 blessés depuis le début de l’année 2013 en Irak. Le mois  de  juillet a été  le plus sanglant  depuis 2008 avec officiellement 1057 morts.

     Un terrorisme qui prospère de plus belle  depuis le départ (inéluctable) des troupes américaines il ya dix-huit mois et qui  se nourrit aussi  des appels au  djihad lancés  en Syrie par les brigades internationalistes islamistes. En Irak aussi attentats, massacres, et enlèvements sont  revendiqués très majoritairement par   un groupe islamiste affilié à al-Qaïda.

    http://www.gollnisch.com/2013/09/02/poudriere/

  • Manifestation parisienne contre le projet d’intervention militaire en Syrie – 31 août

  • Grand rassemblement des Veilleurs à Paris samedi contre la légalisation des unions contre-nature

    Plusieurs milliers de personnes ont participé à la marche des veilleurs, de la Défense jusqu’à la place de la Concorde, puis à la veillée sur la place de la Concorde à Paris.
    La police du système est intervenue à plusieurs reprises pour tenter de faire arrêter la protestation pacifique. Plusieurs rues ont été fermées, la place de la Concorde a été vidée ; les mesures répressives du liberticide Valls n’ont pas empêché les Français de se réunir.
    Certains médiats ont évoqué « plusieurs dizaines » de personnes.

    Source : Jeune Nation

  • Syrie : Hollande patauge mais se croit chef de guerre

    Lors d’un récent sondage effectué par l’institut BVA, 64% des Français se sont déclarés résolument hostiles à une intervention militaire en Syrie qui ferait basculer le pays dans un régime islamiste.
    Hollande vu d'Allemagne
    De son côté, dans la droite ligne d’un entêtement pathologique qu’il doit considérer comme une preuve de caractère, Hollande s’est lancé cette semaine dans des déclarations « va-t-en-guerre » absurdes et totalement étrangères à l’intérêt national.
    En effet, à quoi rimerait une intervention en faveur de rebelles eux-mêmes soutenus par des organisations terroristes parmi lesquelles Al Qaïda que nos Troupes doivent combattre sur d’autres théâtres d’opérations ?
    Mais se sentant vraisemblablement flattés par les médias qui le qualifient pompeusement de « chef de guerre », le Tartarin élyséen a dû finir par le croire et s’est ainsi mis à pérorer avec des accents qui se veulent martiaux.
    Problème : au moment de faire sonner la charge, le « chef de guerre » s’est retrouvé tout seul après la défection britannique et l’atermoiement américain. Maintenant, il patauge et la France devient la risée du monde.
    Manque de caractère, manque de charisme, manque d’influence, manque de sérieux… Quand on ne tient pas la route, il ne faut pas prétendre conduire.
    Bayrou accuse Hollande de livrer la Syrie aux fondamentalistes
    Le président du MoDem François Bayrou reproche à François Hollande de se préparer à intervenir militairement en Syrie pour la « donner à des forces fondamentalistes engagées dans une entreprise globale d’instauration de l’islamisme politique », dans une « Lettre ouverte au président de la République » publiée par le JDD.
    « Vous annoncez que vous ne voulez pas renverser Assad et peser sur l’issue du conflit !? C’est une déclaration diplomatiquement hypocrite et qui n’a pas de crédibilité », écrit l'ancien candidat à l'Élysée et ancien député.
    Selon François Bayrou, « il ne s’agit pas d’un avertissement: il s’agit d’une intervention faite pour mettre à genoux le régime actuel et donner la victoire à ses adversaires. Qui sont ces adversaires ? À qui s’apprête-t-on à donner la Syrie et de larges pans de la région ? À des forces fondamentalistes engagées dans une entreprise globale d’instauration de l’islamisme politique ».
    Le responsable centriste reproche aussi à François Hollande de « créer un précédent : vous allez intervenir sans mandat des Nations unies, sans nos alliés européens, sans l’Otan, dans une action bilatérale avec les États-Unis ». « Ce que la France reprochait en 2003 à Berlusconi, à Blair, à Aznar, elle va l’accomplir aujourd’hui. Comment interdire à d’autres demain des interventions unilatérales ? », demande-t-il.
    M. Bayrou estime aussi, concernant les armes chimiques en Syrie, que « les preuves indiscutables de la responsabilité de leur utilisation n’ont pas été apportées, comme l’a reconnu David Cameron », le Premier ministre britannique.
    Selon lui, "les victimes" d'une intervention franco-américaine « seront les communautés minoritaires en Syrie, les différentes communautés chiites, les communautés chrétiennes d’Orient qui adressent une supplique unanime pour qu’on renonce à cette attaque ; enfin le Liban, dans l’existence et l'équilibre duquel nous avons une responsabilité historique et où des forces françaises sont engagées et exposées dans le cadre de la Finul ».
    « Il est une gamme de rétorsions, de poursuites et de sanctions, conduisant les coupables jusqu’au Tribunal pénal international, qui auraient le même effet dissuasif sans exposer aux mêmes risques » que des frappes occidentales en Syrie, poursuit-il.
    M. Bayrou juge enfin "impensable" que le Parlement ne soit "pas consulté" à propos d'une riposte militaire française en Syrie, un tel cas de figure ne pouvant se justifier que "quand il y a urgence", comme au Mali en janvier dernier.
    « Vous engagez la France dans une voie périlleuse », affirme encore l'ancien député à l'adresse du président français, défendant « une certaine idée de la France qui ne s’aligne pas ».
    Jacob (UMP) réclame un vote de confiance de l’Assemblée
    Christian Jacob, chef de file des députés UMP, a souhaité samedi, comme Jean-Louis Borloo (UDI), que l'Assemblée nationale puisse voter sur la participation de la France à une action militaire contre la Syrie, réclamant même un vote de confiance dans lequel le gouvernement engagerait sa responsabilité.
    Dans une déclaration à l'AFP, le député de Seine-et-Marne, proche de Jean-François Copé, a estimé que « François Hollande prendrait une lourde responsabilité en engageant la France dans le conflit syrien, en dehors du cadre des Nations Unies ».
    « La France a toujours veillé à faire prévaloir le droit sur la force. Jacques Chirac en 2003 au moment de la guerre en Irak y avait veillé tout particulièrement », a-t-il dit.
    Pour lui, "une telle décision, si elle était prise, serait en rupture profonde avec notre politique étrangère constante, conduite par tous les présidents de la Vème République. Si François Hollande la prenait, son gouvernement devrait engager sa responsabilité devant l'Assemblée nationale".
    En début de soirée, immédiatement après la déclaration de Barack Obama annonçant sa décision de consulter le Congrès américain à propos de frappes sur des objectifs militaires syriens, M. Borloo, président de l'UDI, avait demandé que François Hollande fasse de même avec le Parlement français, dans la foulée du débat prévu mercredi prochain dans les deux Chambres sur la crise syrienne.
    « Comme le président des États-Unis, qui a décidé de consulter le Congrès américain au titre des principes démocratiques, le président français doit faire de même et organiser après le débat, un vote formel au Parlement », a écrit le responsable centriste et député du Nord dans un communiqué.
    Vote du Congrès américain sur la Syrie : une issue très incertaine
    Barack Obama a surpris samedi en demandant au Congrès américain son autorisation pour frapper le régime du président syrien Bachar al-Assad, mais l'issue du débat est incertaine, de nombreux parlementaires restant à convaincre, y compris au sein du parti démocrate.
    Plus de 170 parlementaires républicains et démocrates avaient réclamé avec insistance d'être consultés par le président avant toute décision, mais leurs positions respectives, sur le bien-fondé ou non des frappes, étaient plus difficiles à cerner samedi, les élus étant éparpillés dans tout le pays à la faveur des congés estivaux.
    Nul doute que de nombreux républicains rechigneront à soutenir politiquement Barack Obama, alors que d'autres dossiers brûlants sont à l'ordre du jour de la rentrée parlementaire : dette, budget, immigration.
    Certains faucons comme les sénateurs républicains John McCain et Lindsey Graham ont d'ores et déjà averti qu'ils voteraient contre toute résolution trop timorée, qui ne viserait pas à ébranler le pouvoir de Bachar al-Assad.
    Jamais tendre pour Barack Obama, le chef des républicains du Sénat, Mitch McConnell, a estimé que « le rôle du président en tant que commandant en chef était toujours renforcé quand il s'appuyait sur le soutien exprimé du Congrès ». Mais, prudent, il ne s'est pas avancé pas sur ses intentions de vote, à l'image de la quasi-totalité de ses collègues.
    Quoi qu’il en soit, le vote du Congrès n’interviendra pas avant le 9 septembre, date de la rentrée du Sénat.
    Avec AFP http://www.francepresseinfos.com/2013/09/syrie-hollande-patauge-mais-se-croit.html

  • Quand les stars lancent une nouvelle mode : la GPA

    Lettre ouverte d'Alexandra de la Révolution des Jonquilles :

    "Il fut un temps où le mode de vie des acteurs n’était que toléré par la société. Tenus pour dépravés, les comédiens étaient discrédités à cause de leur capacité à feindre les émotions et à mentir en déguisant leur pensée. Contraire au bien commun, mentir était mal. Aujourd’hui, adulés et rétribués à l’excès, les comédiens véhiculent la réussite, sont un exemple pour les jeunes de toutes les stars académies et tous nous parlent d’amour. Sur ce thème, à la pointe du progrès, les artistes véhiculent une nouvelle mode : celle du surrogate baby. Eh oui, Sarah Jessika Parker, Nicole Kidman, Ricky Martin ou encore Elton John ont fait appel à des mères porteuses pour avoir un ou plusieurs bébés.

    Pour Sarah Jessika Parker, c’était en 2009, l’héroïne de Sex in the City avait alors 44 ans, un fils de 6 ans, et avouait dans les tabloïds ne pas arriver à mener une grossesse à son terme. Sarah Jessika Parker reçut des jumelles. Selon Daily Mail, la mère porteuse s’appelait Michelle Ross, avait 26 ans et s’était tatouée un triangle bleu et rose sur son poignet pour marquer sa bisexualité. Elle aurait reçue environ 30 000 euros pour ses prestations et l’agence californienne Growing Generations, spécialisée dans le commerce de mères porteuses aurait touché une commission de près de 80 000 euros.

    En 2011, c’est Nicole Kidman qui fait appel à une mère porteuse, elle a alors 43 ans. Ce sera son quatrième enfant, elle avait déjà une fille de deux ans et deux adolescents adoptés avec Tom Cruise qui ne lui parlent plus. Selon le Herald Sun, environ 110 000 euros ont changé de main, 20 % auraient été remis à la mère porteuse. Karen Synesiou du Centre for Surrogate Parenting organisme en charge de la prestation, avait alors indiqué qu’il n’y avait pas de bonus en liquide pour les mères porteuses qui donnaient naissance à des enfants de stars.

    Le jour de Noël 2010, Elton John, 63 ans, et son partenaire David Furnish, 48 ans, ont programmé la naissance de « leur » fils Zachary. Elton John avait alors précisé qu’il ne savait pas qui était le père, car les deux hommes avaient fourni leur semence pour qu’elle soit mélangée à des ovules anonymes. Deux ans plus tard, de la même mère porteuse naissait « leur » second fils, Elijah.

    Ricky Martin a révélé son homosexualité en 2010. En 2008, à 36 ans, il a fait appel à une mère porteuse qui a mis au monde deux garçons fabriqués avec son sperme et l’ovule d’une donneuse anonyme, à l’époque Ricky Martin était célibataire. A Oprah Winfrey, le chanteur déclarait qu’il pensait déjà ce qu’il dirait aux garçons sur leur mère biologique : « je vous voulais si fort dans ma vie, qu’avec l’aide de Dieu, tout a été possible. Je pense qu’une famille est basée sur l’amour. Je vous aime et vous m’aimez et c’est la chose la plus importante. » Depuis, il a rencontré un ami et celui-ci accepterait très bien ses enfants.

    Outre atlantique, la pratique se banalise et la liste des stars du showbiz ayant fait appel à des mères porteuses s’allonge chaque jour : Elisabeth Banks, Chris Daughtry, Neil Patrick Harris, etc. Bien sûr, toutes ces stars se déclarent ravies et tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes car on s’aime, mais quelle sorte d’amour filial pourra développer la fille de Robert De Niro, née d’une mère porteuse il y a deux ans, alors que l’acteur vient de fêter ses 70 printemps ? [Lire la suite]"

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Nouvelle intervention policière contre les Veilleurs anti loi Taubira

     Un important dispositif policier a été mis en place samedi soir pour interdire une nouvelle fois  une manifestation pacifique des Veilleurs anti loi Taubira. Avec des « consignes strictes » qui ne sont même pas données lors des saccages commis par la racaille.
    Malgré tout cela, plusieurs centaines d'opposants au mariage homosexuel ont néanmoins veillé place de la Concorde à Paris, avant de se disperser progressivement et dans le calme en début de nuit. La dispersion de cette foule d'environ un millier de personnes était totale vers 1h45.
    Ces Veilleurs s'étaient réunis sur la place située en face de l'Assemblée nationale en début de soirée, après avoir marché par petits groupes depuis La Défense en dépit d'une interdiction de manifester. Vers 21H30, ils s'étaient installés près des Tuileries, surveillés de près par les CRS présents en nombre qui les avaient encerclés sur la place un peu plus tôt. Des fourgons de police prêts à embarquer les éventuels interpellés étaient stationnés autour de la place. Les socialistes continueront pourtant de se gargariser avec les mots de « liberté » et « démocratie » !
    Assis par terre, certains avec des bougies, au son de la cornemuse ou entonnant le chant scout « l’Espérance », la foule se composait principalement de familles et de jeunes venus entre amis, mais aussi de prêtres en col romain. Prises de parole et lectures étaient entrecoupées de musique, la foule levant régulièrement les bras en silence, en guise d'applaudissements.
    Ludovine de la Rochère, présidente de La Manif pour tous, a déclaré que son mouvement et les Veilleurs étaient « les deux faces d'une même médaille ». « Nous sommes décidés tous à poursuivre notre chemin avec détermination », a-t-elle ajouté.
    En fin d'après-midi, sans signes distinctifs ni slogans, quelque 200 Veilleurs, réfutant le terme de manifestation, s'étaient donné rendez-vous à La Défense pour marcher vers la Concorde.
    La veille, la préfecture de police leur avait interdit cette marche prévue via les Champs-Élysées, pour "préserver l'ordre public". Les manifestations sont toujours interdites sur les Champs-Élysées, notamment en raison de la proximité de l'Élysée.
    « Pris pour prévenir la constitution d’un cortège de manifestants sur l’axe La-Défense-Concorde, l'arrêté interdisant la marche des veilleurs a atteint ses objectifs », a estimé Nicolas Lerner, directeur adjoint du cabinet du préfet de police, dans un communiqué diffusé dans la nuit.
    « Dans un premier temps, à l’invitation ferme de la police sur l’esplanade de la Défense, les manifestants ont accepté de se disperser. Aucun cortège n’a ainsi été détecté sur les sites concernés par l'interdiction, et notamment sur la place de l’Étoile et l’avenue des Champs-Élysées. Aucun rassemblement sur la chaussée n’a été accepté », a-t-il précisé.
    En fin de journée, un cordon de CRS a empêché la circulation, trottoirs compris, entre la porte Maillot et l'Arc-de-Triomphe, et plusieurs stations de métro dans ce quartier avaient été fermées.
    Gaultier Bès, l'un des animateurs de la veillée, a estimé « délirant que la préfecture ait voulu interdire un mouvement qui n'a pas besoin d'être autorisé ». « On ne trouble pas l'ordre public. Il n'y a aucun incident à aucune veillée. Qu'est-ce qui légitime autant de policiers ? », a-t-il déclaré.
    La préfecture de police a estimé de son côté que le dispositif était « adapté », notamment au vu de la « proximité de sites sensibles » mais aussi de la médiatisation de l'événement.
    À la Concorde, le « rassemblement de quelques centaines de personnes" s'est déroulé "dans le strict respect des conditions fixées par la préfecture de police, un dispositif policier adapté étant mis en place pour prévenir tout risque de trouble à l’ordre public », selon M. Lerner.
    Une trentaine de Veilleurs étaient partis le 11 août de Rochefort (Charente-Maritime) pour rejoindre Paris, un péri.

    avec AFP http://www.francepresseinfos.com/2013/09/nouvelle-intervention-policiere-contre.html#more