Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

anti-national - Page 968

  • Pour l’amour de la France, on a le droit de refuser le métissage

    Dans Polémia, il y a polémique et donc la possibilité, voire le devoir, de contester toutes les idées dominantes. Y compris les plus affirmées par l’idéologiquement correct. Et ce sans concessions, demi-mesures ou faux-semblants. C’est le sens de ce texte d’Henry de Lesquen, président de “Voix des Français”, qui va au fond des choses dans la contestation du métissage.

    Pour l’amour de la France, on a le droit de refuser le métissage
    Je tiens à faire d’emblée une confidence, pour que chacun mesure ce qui est en jeu sur ce sujet délicat. Quand je me suis marié, en 1976, le fait que ma femme fût, comme moi, de nationalité française, de religion catholique et de race blanche ne m’était pas indifférent… Vous avez compris que je n’ai jamais été un ardent partisan du métissage.

    Une législation d’inspiration totalitaire
    J’espère que cet aveu ne m’attirera pas les foudres des tribunaux. Bien que la législation antiraciste soit d’inspiration totalitaire, elle n’interdit pas encore la discrimination, c’est-à-dire le libre choix, quand il s’agit du mariage. Je n’en suis plus cependant totalement sûr depuis qu’un procureur de la République a engagé des poursuites contre un Martiniquais de race blanche qui avait fait état à voix haute des pratiques endogamiques bien connues de la communauté dite des “Békés” à laquelle il appartient. Disons-le sans ambages, ce ne sont pas les propos de M. Alain Huyghues-Despointes, honorable vieillard de 82 ans, qui sont “abjects”, comme je l’ai lu, mais la volonté de le faire condamner par la Justice. La liberté d’expression serait-elle étouffée à ce point dans notre malheureux pays que l’on n’ait même plus le droit de critiquer le métissage ?

    Sarkozy dans le rôle du Grand Frère
    Il semble que ce soit l’opinion de M. Nicolas Sarkozy, si l’on en juge par le discours qu’il a prononcé à l’école polytechnique le 17 décembre 2008 : “Quel est l’objectif ? Ça va faire parler, mais l’objectif, c’est relever le défi du métissage. Défi du métissage que nous adresse le XXIe siècle. Ce n’est pas un choix, c’est une obligation. C’est un impératif. On ne peut pas faire autrement. Au risque de nous trouver confrontés à des problèmes considérables. Nous devons changer, alors nous allons changer. On va changer partout en même temps, dans l’entreprise, dans les administrations, à l’éducation, dans les partis politiques. Et on va se mettre des obligations de résultat. Si ce volontarisme républicain ne fonctionnait pas, il faudra (sic) alors que la République passe à des méthodes plus contraignantes encore.”
    On voit que le président Sarkozy n’a pas besoin de talonnettes pour jouer à la perfection le rôle du “Grand Frère” (“Big Brother”) dont parle Orwell dans son roman d’anticipation, 1984. Ses menaces font froid dans le dos.

    La France, peuple européen de race blanche
    Rappelons à ce soi-disant gaulliste ce que disait le général le 5 mars 1959 : “C’est très bien qu’il y ait des Français jaunes, des Français noirs, des Français bruns. Ils montrent que la France est ouverte à toutes les races et qu’elle a une vocation universelle. Mais à condition qu’ils restent une petite minorité. Sinon, la France ne serait plus la France. Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne.” (Cité dans Alain Peyrefitte, C’était de Gaulle, t. 1, éditions de Fallois/Fayard, 1994, page 52.)
    Pour l’amour de la France, nous avons le droit de refuser le métissage. Si nous voulons que notre patrie garde son identité, nous avons même le devoir de refuser le métissage obligatoire préconisé par M. Sarkozy au nom du cosmopolitisme.

    Henry de Lesquen, Président de Voix des Français  www.vdfr95.com
    http://www.polemia.com

  • Un œil sur le "hollandisme révolutionnaire"

    « Une démocratie fonctionne quand une partie des élites prend le parti du peuple. C’est ce qui pourrait se produire. D’où l’espoir que je place dans le “hollandisme révolutionnaire”... »

    Emmanuel Todd, mars 2012

    La reprise est là !

    Malgré les affirmations délirantes du chef de l’État le 14 juillet dernier, seuls des frémissements dans la tête de celui-ci permettent d’affirmer le commencement d’une quelconque « reprise », comme le soulignent les récents chiffres de Pôle emploi.

    Après trois mois de répit, l’emploi intérimaire a rechuté en mai. Avec une baisse de 1,4 %, le nombre d’intérimaires s’établissait à fin mai à 574 400. Sur un an, la baisse est de 6,5 %. Tous les secteurs ont enregistré une baisse de leurs effectifs intérimaires en mai : - 0,7 % dans l’industrie (qui représente 44,8 % des effectifs), - 1,5 % dans la construction et - 2,2 % pour le tertiaire.

    Toutes les catégories socio-professionnelles subissent des pertes de leurs effectifs intérimaires sur un an : - 4,1 % pour les ouvriers qualifiés, - 4,5 % pour les employés, - 9 % pour les ouvriers non qualifiés et - 10,1 % pour les cadres.

    L’emploi intérimaire est en baisse continue depuis juillet 2011, avec quelques mois de répit en 2012.

    Huchon et le logo à 400 000 €

    Jean-Paul Huchon, le président PS de la région Île-de-France s’est offert un nouveau logo. La région disposait déjà d’un logo, mais « Jean-Paul Huchon en voulait un second ».

    Celui-ci est composé de huit bâtons colorés représentant les départements d’Île-de-France et dessinant « en creux les contours de la Tour Eiffel », le tout accompagné de la mention en anglais (!) « Paris Région Source of Inspiration », D’autres mentions avaient été suggérées : Paris Créative Region, La créative Touch)...

    Sous la conduite de l’Unité Communication du conseil régional d’Île-de-France, une foule de prestataires s’est empressée de s’en mettre plein les poches. Notamment : l’agence de com’ Equancy, qui a « structuré » le projet pour 108 000 € ; ViaVoice, qui a mené une « étude » en sondant 800 personnes : 44 000 € ; la conception d’un site Internet dedié : 58 000 € ; le logo, « seulement » 70 000 €...

    La présentation de la campagne destinée à promouvoir la région prévue le 2 juillet et la création d’une association dotée d’un budget de « 2 à 4 millions d’euros » ont été annulées en catastrophe, et reportées en 2014 (certainement après les municipales...)

    À noter que ce gaspillage de l’argent public destiné à la communication au niveau régional n’est pas une nouveauté, puisque le conseil régional de Bretagne (présidé par le socialiste Pierrick Massiot) a également dépensé 400 000 € pour la confection de cette « marque territoire » et 440 000 € pour la région Alsace (présidé par l’UMP Philippe Richert).

    Cazeneuve le glouton

    François Hollande vient de prendre connaissance des propositions d’impôts « complémentaires » du ministre du budget, Bernard Cazeneuve, pour un montant de 4 à 6 milliards d’euros.

    D’après la Cour des Comptes, en 2011, les impôts et taxes ont augmenté de 16 milliards, de 22 milliards en 2012 puis de 33 milliards en 2013.

    Incapable de se contenir, le pouvoir poursuit sa tonte des Français. En 2014 seront notamment appliquées la baisse du quotient familial, la taxe à 75 % et l’augmentation des taux de TVA. Cazeneuve envisage aussi un nouveau coup de rabot sur les niches fiscales, une nouvelle taxe sur l’achat d’un logement, et bien d’autres surprises !

    http://www.egaliteetreconciliation.fr

  • Brétigny : les vols et insultes racistes anti-Blancs prennent de l’ampleur

    BRETIGNY-SUR-ORGE (NOVOpress) – Chaque jour qui passe vient contredire les tentatives de Manuel Valls cherchant à minimiser les actes de pillage liés la tragédie de Brétigny-sur-Orge. En milieu de semaine, le ministre de l’Intérieur restait vague en déclarant : « Il y a eu sans doute des vols »… Or, le Point.fr révèle « que quatre demandes de recherche et d’identification d’auteur de vol simple “dans un lieu affecté à un transport de voyageurs” lors de l’accident du 12 juillet en gare de Brétigny-sur-Orge ont été transmises aux commissariats de l’Essonne ».

     

    Autre information importante, dans un reportage diffusé par la radio RMC, un pompier qui était sur place confirme les jets de pierres et les insultes racistes par des racailles prêtes à profiter de la tragédie pour déclencher des émeutes. « Moi j’ai pas arrêté de me faire insulter dans tous les sens : fils de pute, sale Blanc… J’ai pris “sale Blanc” plusieurs fois, ça fait pas plaisir », témoigne le soldat du feu. Reste à savoir si l’Etat socialiste va continuer à nier ces réalités du terrain qui ne correspondent pas à l’utopie du « vivre ensemble ».

    http://fr.novopress.info

  • L'agressivité du gouvernement envers les catholiques

    Lu dans Valeurs actuelles :

    "[L]e contentieux qui grossit entre les catholiques et le gouvernement ne s’explique pas seulement par l’indifférence du président de la République. Dès le premier jour, il a placé son mandat sous le parrainage farouchement laïque de Jules Ferry, dont le but était d’« organiser l’humanité sans Dieu et sans roi ». C’est avec raison que les catholiques s’alarment de son programme et s’offusquent des vexations que la gauche inflige à l’Église. Tout se passe comme si le gouvernement recherchait l’affrontement dans l’espoir de mobiliser son propre camp.

    Christiane Taubira en a fourni le premier exemple en recevant le cardinal Vingt-Trois avec une désinvolture qui confinait au mépris lors des débats sur le mariage. Les parlementaires de gauche l’ont ensuite auditionné dans un climat hostile pour lui signifier que l’avis de l’Église sur ce sujet ne comptait pour rien. Cette brusquerie ne doit pas surprendre : aucun des ministres du gouvernement Ayrault ne se dit pratiquant et seulement six se définissent comme croyants, dont Cécile Duflot.

    Cet hiver, la ministre du Logement n’a pourtant pas hésité à suspecter publiquement l’Église d’indifférence aux pauvres et l’a menacée de réquisitionner ses locaux pour y abriter des sans-logis. Mais c’est encore Vincent Peillon qui a décroché la palme de l’agressivité : en janvier, il a remis en cause le “caractère propre” de l’enseignement catholique en lui contestant le droit d’organiser des débats sur le mariage homosexuel au sein des établissements privés ! Mgr Vingt-Trois avait réagi fermement : « S’il n’y a aucun lieu de débat possible, [alors] il y a une doctrine officielle et une police de la pensée. »

    Les catholiques sont-ils devenus des citoyens de seconde zone ? La question se pose d’autant plus que le gouvernement a beaucoup plus d’égards pour les autres cultes : cette année, Manuel Valls a rompu deux fois le jeûne du ramadan. « Une manière pour la République d’adresser des regards d’affection aux musulmans de notre pays », a-t-il dit. Par ailleurs, on n’entend guère les autorités lors des profanations d’église ou de cimetière chrétien, bien qu’elles constituent plus de 80 % des atteintes aux sites religieux."

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Que faire des islamistes ? par Manuel GOMEZ

    Les islamistes ne se posent pas la question : que faire du reste du monde ? Depuis que l’Islam existe ils savent qu’ils doivent soit le convertir, soit le combattre, soit le détruire. Ce n’est pas le reste du monde qui ne les accepte pas, ce sont eux qui sont incapables de l’accepter.
    Les islamistes ne veulent pas être uniquement des musulmans. Ils sont convaincus que la Terre entière doit devenir musulmane. Leur croyance impose que l’on change celle des autres, même si les autres n’en ont aucune. Leur objectif est d’imposer leur foi, par la force, par l’argent, ou par l’invasion migratoire. 
    PAR LA FORCE ?
    Ils savent que ce n’est plus possible. Ils ont compris la leçon. Et c’est nous, les Occidentaux, qui la leur avons donnée. Il y a 2000 ans nous pensions que la solution était facile : on partait en croisade pour les convertir ou pour les exterminer. L’Histoire nous l’a appris, ce fut un échec. À leur tour ils ont fait le voyage inverse, leur but : conquérir l’Europe. Ils ont envahi l’Espagne et tenter de s’implanter en France. L’Histoire nous l’a appris, ce fut un échec.
    PAR L’ARGENT ?
    Au XXIe siècle ils ne peuvent plus nous conquérir par la force alors ils nous séduisent par l’argent, nous convertissent par le terrorisme, attirent nos armées hors de nos frontières pour mieux les combattre et nous envahissent par leur immigration incontrôlée, leur polygamie et leur démographie galopante.
    Insidieusement et avec une patience toute Orientale, ils imposent leurs mœurs, leurs coutumes. Non pas dans le secret, mais au grand jour, profitant de la faiblesse, de la soi-disant compassion et surtout de la naïveté de cet Occident (dont une majorité de Français qui se moque totalement du devenir de notre pays. Celle qui a toujours collaboré avec nos ennemis, ceux d’hier et ceux d’aujourd’hui).
    Avant 1954 les Arabes (on ne disait pas alors « islamistes ») venaient « travailler » en métropole et s’intégraient obligatoirement, avant de reprendre le chemin inverse (vérifier auprès de la CGT, du Parti Communiste et du Patronat, qui avaient besoin de cette main d’œuvre et les aidaient), mais cela « c’était avant ».
    La guerre d’Algérie, le regroupement familial, l’accueil et l’assistanat offerts aux clandestins, la nationalité par le droit du sol, ont changé la donne.
    ALORS QUE FAIRE DES ISLAMISTES ?
    Les pays arabes eux-mêmes n’ont pas la solution. Les modérés ont renversé les dictateurs qui tenaient dans une main de fer les « salafistes » pour élire démocratiquement (paraît-il) des islamistes radicaux, tels les « Frères musulmans ».
    Il n’y aura jamais de république laïque dans un pays musulman puisque l’Islam est leur religion et leur civilisation. (Seul François Hollande veut y croire !).

    Si l’invasion se poursuit et s’amplifie les solutions s’imposeront d’elles-mêmes, dans la violence très certainement (chaque jour nous en apporte une nouvelle preuve), puisqu’elles ne peuvent être envisagées sereinement et avec lucidité par ceux qui nous gouvernent.

    http://www.francepresseinfos.com/

  • Affaire Bourdouleix : Une analyse intéressante

    Suite à la démission de Gilles Bourdouleix de l'UDI, un lecteur m'adresse en lien une analyse intéressante sur les probables raisons de l'acharnement médiatico-judiciaire dont l'élu est l'objet.

    "Parce que même s’il n’y a pas de sang, il s’agit bien d’une exécution publique. Médiatique. Politique. Judiciaire même. Une exécution qui surprend par sa rapidité. Et qui a ses raisons que nous tenterons d’éclaircir – ce que personne ne s’est visiblement donné la peine de faire avant nous. Pour le béotien, c’est vite vu : le maire a dérapé, c’est nauséabond, il doit être condamné, et le bon peuple ne verra rien. Seulement à qui profite le crime ?

    [...]

    le Courrier de l’Ouest et Gilles Bourdouleix sont fâchés depuis belle lurette. Deux fois le Courrier de l’Ouest a attaqué le maire de Cholet pour diffamation, après que celui-ci ait contesté vivement les méthodes qu’il employait ou la véracité de l’information, deux fois le journal a été condamné aux dépens, dont la dernière fois il y a quelques semaines. De quoi rendre possible un règlement de comptes du journal ?

    [...]

    Les démêlés de Gilles Bourdouleix et des gens du voyage ne lui ont pas apporté que des amis à la Préfecture et à la sous-préfecture. D’autres raisons [...] ont provoqué un fort énervement du côté du maire de Cholet excédé, tant et si bien qu’il fait voter en mai 2013 une motion pour que le président de la République relève le préfet du Maine-et-Loire de ses fonctions."

    L'intégralité de l'article est à lire ici.

    Carole d'Hombelois  http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Trappes : que cache la mobilisation contre « l’islamophobie » ?

    TRAPPES (NOVOpress) – Les partisans de la femme voilée à Trappes (Yvelines), dont le contrôle par la police à déclenché de très violents affrontements le week-end dernier entre des centaines d’émeutiers et les forces de l’ordre, agitent le torchon de « l’islamophobie » pour défendre leur cause. Ainsi, mercredi, des membres du Collectif des citoyens de Trappes ont fait état d’une « islamophobie » en réclamant la tenue d’une table ronde avec le préfet, les élus et les citoyens afin de rétablir un « vrai » dialogue et « faire bouger les lignes ».

    Par ailleurs, le mari de la femme voilée, un converti à l’islam depuis cinq ans (photo), affirme n’avoir « jamais tenté d’étrangler » le policier, affirmant lui aussi avoir subi des « provocations » et fait l’objet d’« insultes ». Dès le 20 juillet, le Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF), a exploité ce filon, s’en prenant aux médias et à la police, accusés de mettre « en cause les protagonistes musulmans, en première intuition ». Pour voler aux secours de ces extrémistes musulmans, le CCIF a utilisé également la vulgate « antiraciste » : « Plusieurs témoins de la scène rapportent des déclarations racistes de la part des policiers et un abus de moyens physiques à l’encontre d’une personne qui coopérait ». Mais pour le CCIF, cette affaire est surtout le dernier acte en date d’une « vague islamophobe en France ». Cette stratégie révèle le vrai visage de la lutte contre « l’islamophobie » : un soutien idéologique à l’islamisme en France.

    http://fr.novopress.info/

  • IVG : non, les cathos ne sont pas des bisounours moralisateurs !

    de Gabrielle Cluzel... Est-il besoin de rien ajouter ?

    Marie Delarue a réagi de façon très forte au post de l’un des jeunes contributeurs de ce site, relatif au premier pas vers la légalisation de l’avortement en Irlande.

    J’ai remarqué depuis longtemps qu’il était presque impossible, pour un public féminin, d’avoir un débat apaisé sur la question. Parce que ce sujet a la particularité d’être à la fois philosophique, anthropologique et de toucher à notre intimité de femme. Les emportements épidermiques que suscite chez certaines la moindre manifestation d’opposition à l’IVG disent en réalité le contraire de ce qu’ils veulent prouver : près de 40 ans après sa légalisation en France, on aurait pu imaginer, s’il s’était réellement agi de la grande avancée promise que, passées les frilosités rétrogrades de certains, une certaine sérénité se serait instaurée. Il n’en est rien, la question est toujours aussi explosive et reprend feu à la première allumette. [...]

    La suite sur Boulevard Voltaire

  • Génération Identitaire au tribunal

    COMMUNIQUÉ de Génération Identitaire : Banderole "Hollande démission" à Solférino, jugement aujourd'hui.

    Le 26 mai dernier, 19 jeunes garçons et filles sont montés sur la terrasse du siège du Parti Socialiste rue de Solférino pour y déployer une banderole « Hollande Démission ! ». Au même moment, un million de Français défilaient à nouveau dans les rues de Paris à l'appel de la Manif Pour Tous pour réclamer le retrait de la loi Taubira.
    Après 54h de garde à vue et alors qu'ils sont placés sous contrôle judiciaire depuis deux mois, les 19 insoumis seront jugés devant la 12ème chambre du tribunal correctionnel de Paris ce jeudi 25 juillet à 13h30.
    Incarcérant Nicolas - jeune opposant au "mariage pour tous" - et laissant dehors les voleurs de Brétigny ou les émeutiers de Trappes, la justice n'a pas brillé par son équité ou son impartialité ces derniers temps. C'est pourquoi le procès de cette action totalement pacifique, sans aucune effraction ou la moindre casse devra être observé avec la plus grande attention.

     

    GENERATION IDENTITAIRE
    Site : www.generation-identitaire.com
    Messagerie : contact@generation-identitaire.com
    Facebook : http://www.facebook.com/GenerationIdentitaire
    Twitter : https://twitter.com/G_IDENTITAIRE

  • «Des pillages de Brétigny à la faillite de la France !»

    Avertissement politiquement incorrect et contrarien : je me fiche de savoir quelle est la composition socio-ethnico-culturelo-CSP-religieuso-originelle de ce que l’on nomme pudiquement dans notre pays en novlangue « les bandes de jeunes ». Je n’ai qu’un seul point de vue sur la question. Un voyou est un voyou. Un brigand est un brigand. Ils doivent être traités comme tels. Rien de plus et rien de moins.

    Mes chères contrariées, mes chers contrariens !

    Étant tombé vendredi sur un excellent article consacré à la future crise de la dette de la France, notre pays ayant perdu son dernier triple A je voulais revenir sur ce sujet qui nous intéresse forcément et à plusieurs titres. Comme parents pour le futur de nos enfants ou petits-enfants, comme contribuables, comme retraités, ou encore comme épargnants.

    Avant de revenir sur ce thème, et actualité oblige, je souhaitais faire un petit arrêt sur l’histoire de Brétigny et du déraillement du train Paris-Limoges. Quel est le rapport avec l’économie ? Vous allez très vite le voir et il est très important d’en parler, d’en être conscient, et de s’y préparer…

    Scène de pillage à Brétigny

     

    Je vais vous citer les passages les plus importants d’un article de dimanche 14 juillet 2013 dont vous trouverez le lien ci-joint.

    « Le récit fait par Nathalie Michel, déléguée du syndicat de police Alliance, sur Europe 1, est particulièrement glaçant :

    « A 17h30, alors que nos collègues interviennent, ils voient un groupe de jeunes qui approchent et qui semblent porter secours aux victimes. Très rapidement, ils se rendent compte que ces individus sont présents pour dépouiller les victimes et notamment les premiers cadavres. »

    « Mais samedi matin, Frédéric Cuvillier, le ministre des Transports, et plusieurs autre voix officielles réfutent une partie de ces informations. »

    « Le ministre fait état d’ »actes isolés », d’ »une personne interpellée », et d’ »une tentative de vol de portable » au préjudice d’un secouriste. Mais des « véritables actes [de pillage] commis en bande, non », affirme Frédéric Cuvillier. Il explique n’avoir pas connaissance « de victimes dépouillées ». Il confirme cependant que des pompiers « par petits groupes, ont été accueillis de façon un peu rude. »

    Le contrôle de l’information

    Vous avez actuellement en cours dans notre pays un véritable scandale en train sous vos yeux d’être étouffé par les plus hautes instances gouvernementales.

    C’est une opération de contrôle de l’information fort intéressante à suivre, soit dit en passant. Comment faire pour que quelque chose qui a eu lieu… n’ait jamais existé ?

    Lorsque vous avez à faire face à des scènes de pillages sur des cadavres, ce qui a de quoi choquer l’ensemble de notre pays et de nos concitoyens, cela se transforme en novlangue « Hollandaise » en « les pompiers ont été accueillis de façon un peu rude »…

    Il est très important de bien réaliser la portée de cette manipulation politique, sociale et linguistique car cela montre parfaitement les limites de l’exercice démocratique dans notre pays et notre unique défaut, la cause de tous les maux qui touchent notre pays.

    Elle est pétrie de bonnes intentions du genre, « il ne faut pas mettre le feu aux poudres », il ne faut pas « donner de mauvaises idées aux autres », « quelque chose dont on ne parle pas n’a jamais existé », etc.

    Hélas, l’enfer est souvent pavé de bonnes intentions, et cet autisme qui nous empêche de voir les réalités économiques et sociales que sont les nôtres nous mènera directement à l’enfer. Et nous nous en approchons de plus en plus vite.

    Notre incapacité à poser les problèmes et faire les constats

    C’était exactement ce que j’expliquais dans mon édito du 11 juillet. Nous nous refusons à poser les vrais constats. Or, lorsque l’on s’interdit de penser, de réfléchir, et de constater, on s’interdit de facto de trouver et mettre en place les solutions appropriées. Nous nous condamnons à une décadence plus ou moins rapide et à une chienlit de plus en plus prononcée.

    Or la chienlit est économique et sociale, ce sont deux aspects intimement liés.

    Nous ne pouvons que contempler la violence la plus extrême, l’absence totale de morale ou de valeur de la part de ce que l’on appelle pudiquement des groupes de jeunes, et qui ne sont en réalité que des bandes de brigands modernes. Des brigands, des voyous psychologiquement totalement déstructurés ayant l’impression de l’impunité permanente ou presque. Or ils viennent de nous démontrer que dans la chienlit, ils ont dépassé un nouveau stade. Ils pillent les morts et les blessés. N’oubliez pas cela pour le reste des événements.

    Revenons donc à la faillite de la France maintenant

    C’est un article de Challenges intitulé « La France va connaître une crise de la dette » qui a interrogé Charles Wyplosz, professeur à l’Institut des Hautes Études Internationales de Genève.

    Pour lui, les politiques d’austérité européennes vont entraîner une nouvelle crise financière.

    Le risque majeur d’un krach obligataire dévastateur pour les banques européennes.

    « La crise de la zone euro n’est pas terminée. Le plus grave n’a pas encore eu lieu. D’abord, les dettes publiques ne sont pas soutenables : celles de la Grèce, du Portugal, de l’Espagne et sans doute de la France. Ensuite, les banques n’ont pas été nettoyées. Pire, depuis 2008, les dettes publiques ont migré dans les bilans des grandes banques européennes, qui ont signé un véritable pacte du diable avec les États. Ces derniers les ont incitées à acheter leurs dettes publiques en leur promettant de les sauver en cas de crise. Aujourd’hui, les établissements bancaires sont donc beaucoup plus sensibles à une remontée des taux d’intérêt, venue des États Unis, qui risque de provoquer de lourdes pertes en capital. »

    C’est exactement ce que j’explique depuis plusieurs semaines, notamment dans mon article consacré à l’étude du bilan de BNP Paribas (qui était un exemple). Les banques sont pleines d’obligations. Elles y sont particulièrement exposées, tous leurs fonds propres sont investis exclusivement en obligations d’États plus ou moins pourries… On sait où tout cela va nous mener. On ne veut juste pas le voir.

    Il exprime également très bien ce que l’on peut penser de la politique que la Commission européenne demande aux États de mener. Cette politique est désastreuse. Nous le savons.
    Cette politique ne fonctionne pas. Nous le savons.
    Cette politique nous mène à l’abîme. Nous le savons.
    Cette politique nous mène à l’insolvabilité et à la faillite par la déflation et la récession. Nous le savons.
    Nous le savons car nous avons le cas grec. Le cas portugais. Le cas espagnol. Le cas italien. Et désormais, en cours… le cas français.
    Mais nous continuons quelque chose qui est condamné à échouer. Alors comme il le dit :

    « Je suis en colère. La Commission européenne reconnaît son plantage, qui sera enseigné dans les livres d’histoire. Elle a imposé des coupes budgétaires au plus mauvais moment, alors que l’économie européenne n’était pas sortie de la récession. Le résultat, c’est plus de récession, plus de chômage et plus de dette. Mais la Commission persiste dans l’erreur : elle maintient des objectifs de réduction de déficit, alors que nous sommes en récession. »

     Il conclut son interview en expliquant que « le succès de François Hollande est d’avoir tenu un an sans que la France ne rejoigne l’Italie et l’Espagne dans la catégorie des pays officiellement en crise de la dette publique. Mais la dette de l’État continue de prospérer et ce n’est plus qu’une question de temps avant que la grande catastrophe arrive. Dans un proche avenir, l’Italie et l’Espagne vont plonger et l’attention se portera alors sur le domino suivant, la France. »

    Il a parfaitement raison. Les jours de la France sont comptés financièrement parlant. Lorsqu’arrivera la grande catastrophe financière et que notre pays devra faire face à son insolvabilité, que croyez-vous que cela aura comme conséquences concrètes ?

    Vous ne ferez pas face qu’à des difficultés pour trouver des produits de première nécessité, ou encore aux difficultés financières quotidiennes liées à la précarité généralisée occasionnée par le défaut de paiement de la France.

    Vous ferez aussi face à des hordes de nouveaux barbares appelés « jeunes de banlieue » et qui rendront, dans la majorité de nos grandes villes, une vie déjà économiquement difficile tout simplement épouvantable.

    C’est l’une des raisons essentielles pour laquelle je vous conseille à nouveau le tryptique suivant :

    - Maison à la campagne loin des grands centres urbains à l’ambiance qui deviendra délétère et intenable (et qui vous permettra d’avoir un potager, un poulailler et d’améliorer le quotidien de vos gamelles).
    - Pièces d’or et d’argent pour protéger votre épargne de la grande banqueroute à venir.
    - Plan épargne personnel boîtes de conserve (le confit de canard ou le foie gras existent en boîte de conserve), ainsi qu’une bonne cave bien garnie dans la mesure où la misère est plus supportable avec du bon vin et que ce placement restera également toujours liquide…

    Mais tout ce que je viens de vous dire n’existe pas en France

    La France ne fera pas faillite puisque, comme vous l’a dit votre Président Hollandouille 1er, la crise est finie. Les pillards n’existent pas dans notre pays puisque, d’après le sinistre des Transports, il s’agit juste de pompiers accueillis un peu rudement. Tout va donc très bien, vous pouvez aller vous recoucher tranquillement, en attendant votre prochaine pension de retraite trimestrielle.

    Sinon, vous pouvez aussi vous poser la question suivante : s’il se passe lorsque tout est à peu près normal ce qui s’est passé à Brétigny, alors imaginez ce qui se passera lorsque ces bandes de gentils jeunes auront un peu faim ?

    Le gouvernement n’y résistera pas. La démocratie non plus.

    Charles Sannat  Le Contrarien Matin

    Notes :

    Ceci est un article ‘presslib’, c’est-à-dire libre de reproduction en tout ou en partie à condition que le présent alinéa soit reproduit à sa suite. Le Contrarien Matin est un quotidien de décryptage sans concession de l’actualité économique édité par la société AuCOFFRE.com. Article écrit par Charles SANNAT, directeur des études économiques. Merci de visiter notre site. Vous pouvez vous abonner gratuitement www.lecontrarien.com.