anti-national - Page 973
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Ecoeurant : une immigrée explique qu’elle n’a pas besoin de payer son appartement
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Face à la résurgence de la "bête immonde", le GODF demande l’aide de François Hollande
Lu ici :
"S’inquiétant de "la résurgence de la bête immonde", José Gulino, Grand Maître du Grand Orient de France, aurait saisi le chef de l’Etat pour l’alerter "sur la montée de l’anti-maçonnisme et des violences d’extrême droite". Le Grand Maître cite notamment des manifestations du Printemps français devant son siège, des dégradations sur des locaux, une stèle profanée et des arbres vandalisés…
Non, ce n’est pas possible ! le chef de file des franc-maçons demande officiellement le soutien du socialiste François Hollande ?
Au premier degré, cela semble une blague, tant les franc-maçons ont toujours su au fil des siècles faire avancer les idées de gauche et surfer d’une révolution à l’autre…
Au second degré, la question est plutôt de savoir qui est la "bête immonde" ;
Le petit pois au milieu de sa Macédonie, ou la représentation d’une bête à pieds fourchus rappelant curieusement certaines figures de l’anti-christiannisme ? Mais alors, les franc-maçons, auraient-ils peur du grand Satan, eux qui de tous temps ont combattu Dieu et la religion ? Peut-être François Hollande pourrait-il aider les franc-maçons à chercher la réponse du côté des fils de la Veuve et de leur dévotion au Grand Architecte de l’univers ? Non, il ne s’agit pas d’un nouvel Etre suprême glorifié dans les temples maçonniques mais bien d’une conception de la laïcité dressée en divinité depuis longtemps.Au 33 ème degré, José Gulino m’aura bien fait sourire ; Que Dieu veille sur lui…"
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Emeute à Orléans pour soutenir l’auteur d’un feu de poubelle
ORLEANS (NOVOpress) – Comme à Trappes il y a deux semaines, l’utopie du « vivre ensemble » sent le brûlé à Orléans (Loiret). Un adolescent de 15 ans est entre la vie et la mort après avoir tenté de mettre le feu à un conteneur de poubelles dans le quartier de La Source. Il a été retrouvé inanimé devant le conteneur, enterré dans le sol et en partie éventré par une explosion. Selon les premiers éléments de l’enquête, l’ado aurait tenté de mettre le feu au conteneur à l’aide d’un produit inflammable.
Après l’incident, des groupes d’individus – prétextant que l’adolescent avait été malmené par la police lors d’un contrôle au cours duquel il avait tenté de s’enfuir, deux heures avant l’incendie de poubelle – ont manifesté devant l’hôpital où il avait été conduit, puis devant le commissariat. Dans la nuit de jeudi à vendredi, deux voitures et une caravane stationnées ont été incendiées. Deux voyous ont été interpellés alors qu’ils venaient de mettre le feu à des détritus. D’autres délinquants ont également tenté d’incendier un véhicule de police stationné aux abords du commissariat.
Crédit photo : Kmeron, via Flickr, (cc). http://fr.novopress.info
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La question raciale est aujourd’hui centrale
Raymond Cartier et le problème noir
Raymond Cartier est surtout connu pour avoir laissé son nom au « cartiérisme », doctrine selon laquelle il ne faut pas gaspiller l’argent public pour les pays du tiers monde : « Plutôt Corrèze que Zambèze ». Mais ce grand journaliste avait aussi publié, dans les années soixante, plusieurs articles prophétiques pour alerter les Français sur le problème noir dont il observait les prémices dans notre pays.
Hélas, Raymond Cartier n’a pas été écouté ! Au contraire, en 1972, nous avons eu la loi Pleven, loi liberticide expressément conçue pour étouffer les voix hostiles à l’immigration. Et nous avons assisté à l’explosion démographique, en France, des populations noires issues d’Afrique et des Antilles.
Cartier craignait que la République fût ébranlée par les coups de boutoir du communautarisme. Nous y sommes : les activistes du CRAN revendiquent un régime de faveur pour les noirs au nom de la prétendue discrimination « positive » chère à Sarkozy. Aujourd’hui, la question raciale est devenue centrale.
Mais Cartier n’avait pas prévu que le cosmopolitisme deviendrait l’idéologie dominante. Il ne pouvait imaginer que les gens n’oseraient pas contester les dogmes destructeurs de l’antiracisme officiel. Comment peut-on régler un problème que l’on n’a même pas le droit de désigner ?
Le fonds génétique, socle de l’identité
Or, l’existence des races est un fait. Rappelons l’essentiel de la question raciale, telle qu’elle se présente generaliter.
1. L’espèce humaine est divisée en cinq grandes races : la race blanche (caucasoïdes), la race jaune (mongoloïdes), la race noire (négroïdes), plus deux autres qu’il faut distinguer de la précédente, la race hottentote (khoïsanoïdes, en Afrique du sud) et la race australienne (australoïdes, en Océanie et Asie du sud). Ces cinq races se sont séparées il y a au moins un million d’années, selon la théorie polycentrique (énoncée, avec des variantes, par Weidenreich, Coon et Wolpoff).
2. Les sociétés sont des systèmes bioculturels, en sorte que le fonds génétique des peuples, donc, en particulier, la race des hommes qui les composent, est le socle de leur identité (Voir, à cet égard, le livre du Club de l’Horloge, La Politique du vivant).
3. Si des hommes d’une autre race arrivent en masse dans le territoire d’un peuple, les conséquences sont toujours dramatiques. Première hypothèse : les immigrés sont absorbés par métissage : le peuple d’accueil tombe alors en décadence et perd son identité. Seconde hypothèse : les immigrés ne se mélangent pas avec les indigènes (il s’agit de nous, en l’occurrence…) ; les antagonismes raciaux se développent alors inéluctablement au sein de cette société multicommunautaire. Troisième hypothèse : une partie des immigrés se mélange avec les indigènes, qui perdent peu à peu leur identité, avec leur homogénéité ; une autre partie des immigrés forme une ou plusieurs communautés séparées et hostiles.
L’inversion des flux migratoires
Ce dernier scénario, qui cumule les inconvénients, est celui qui se dessine en France. Pour sauver notre patrie, il faut s’employer à remplacer les dirigeants politiques actuels, indignes des responsabilités qu’ils exercent. L’étape suivante consistera à inverser les flux migratoires pour que la proportion des noirs diminue dans notre pays. Répétons après le général de Gaulle : « Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne. »
Henry de Lesquen
Président de Voix des Français-Renaissance 95
12 Mai 2009 http://www.polemia.com/ -
Répression policière : les Veilleurs debout traînés au sol ce soir place Beauvau
Et avant-hier :
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Trappes : Naïma Charaï (PS) veut « investir massivement dans les quartiers »
BORDEAUX (via Infos-Bordeaux) – Le sujet des émeutes ethniques de Trappes fait couler beaucoup d’encre. Après les interrogations du député maire de Bègles, Noël Mamère (« pourquoi interpeller en plein ramadan une jeune femme voilée ? »), c’est au tour de son ancienne suppléante, Naïma Charaï, d’écrire une tribune sur le sujet dans Libération. Naïma Charaï (photo en Une) est l’actuel président de l’Acsé (Agence nationale de la cohésion sociale et l’égalité des chances), nommé par décret du Président de la République du 3 octobre 2012.
Née au Maroc, Naïma Charaï est arrivée en France à l’âge de 4 ans en 1976, suite à l’application de la loi sur le regroupement familial. Elue au conseil régional d’Aquitaine, elle souhaite attribuer des « moyens supplémentaires » dans les banlieues à forte proportion d’immigrés. « Les emplois aidés sont un dispositif vertueux, multiplions les (…) Nous devons investir massivement dans les quartiers, et nous devons le faire savoir ». « Les républicains ne peuvent pas accepter que des zones urbaines entières soient perdues pour l’égalité, l’éducation et l’emploi ».
Si comme le souligne Naïma Charaï, la réalité sociale de ces quartiers est « difficile », certaines zones rurales françaises, dont la pauvreté monétaire est plus importante que dans les banlieues, ne sont cependant pas le théâtre d’attaques de commissariat impliquant « entre 300 et 400 émeutiers » !
Réduire les difficultés des banlieues françaises à un problème d’argent que l’on pourrait traiter par un « investissement massif » confine au déni de réalité. Entre 1989 et 2012, plus de 90 milliards d’euros ont été déversés en banlieue. Cet afflux d’argent n’a pas forcément amélioré les résultats économiques et sociaux, mais il a surtout permis d’acheter, pendant des années, la paix sociale.
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Théorie du genre : La Manif Pour Tous placent Peillon et Belkacem sous haute surveillance
QUE CHACUN APPORTE SA CONTRIBUTION À CETTE ŒUVRE DE SALUBRITÉ PUBLIQUE !
Dès la rentrée, des comités de vigilance veilleront, avec les parents d’élèves, aux messages véhiculés dans les écoles et les crèches.
En route vers sa « saison 2 », la Manif pour tous s’empare d’un nouveau cheval de bataille : la « diffusion subreptice » de la fameuse « théorie du genre », à l’école notamment. Certes, le ministre de l’Éducation, Vincent Peillon, a bien assuré qu’il n’était « pas pour ». Mais, dans une lettre de janvier dernier, il s’engageait à « s’appuyer sur la jeunesse pour changer les mentalités »… Et, rappellent les porte-parole du collectif, la référence au « gender » dans certains manuels scolaires, la mobilisation du syndicat SNUipp en faveur de la lutte contre l’homophobie dès le primaire, ainsi que plusieurs amendements (finalement rejetés) destinés à promouvoir une « éducation à l’égalité de genre » à l’école, « cela fait tout de même un faisceau d’indices concordants »…
À la rentrée, le mot d’ordre sera donc la « vigilance ». La Manif pour tous réclame « le retrait du concept de genre des manuels, des décrets et des projets de loi » et encourage les parents d’élèves à créer des « comités de vigilance » dans tous les établissements scolaires. Soit en s’appuyant sur des fédérations comme l’Apel (Association des parents d’élèves de l’enseignement libre) ou la PEEP (Fédération des parents d’élèves de l’enseignement public), soit en créant des listes indépendantes. « Les sympathisants, en région, nous attendent énormément sur ces questions-là, insiste Arnaud, responsable du pôle “genre”. On n’aura aucun mal à trouver des volontaires. Avec trois objectifs : récolter des informations, faire de la pédagogie et favoriser le dialogue avec les associations de parents et les élus. » Une « base d’information » sera bientôt créée, avec un courriel spécifique, pour que chacun puisse témoigner. « Cela nous permettra de sensibiliser les parlementaires et de préparer les municipales, poursuit Arnaud, car les élus locaux sont partie prenante dans l’achat de manuels scolaires et de livres pour les crèches. On n’oublie pas les crèches, dont beaucoup réfléchissent en ce moment à la “déconstruction des stéréotypes”. » Un tract et un document pédagogique sont en préparation, pour être distribués dans tous les départements.
« On ne lutte pas pour l’égalité des sexes en niant la différence entre les sexes ! » Ludovine de la Rochère, présidente du collectif la Manif pour tous
Particulièrement inquiet des arrière-pensées du gouvernement, Bertrand, responsable de la Manif pour tous 92, vient de rédiger un fascicule intitulé L’Éducation à la théorie du genre dans les écoles françaises, c’est maintenant !« L’identité de genre est officiellement désormais un axe prioritaire d’action gouvernemental, peut-on y lire. Quant à l’enseignement, il est appelé à ne plus se fonder “sur le postulat de la complémentarité des sexes”… » Multiplication des « jeux asexués » dans les crèches, suppression des fêtes des pères et des mères, cours d’éducation à la sexualité « orientés », listes de lectures « surprenantes », de nombreux témoignages de parents perturbés de ne « pas trop savoir ce que leurs enfants vont étudier » lui sont déjà parvenus. Ce père de famille pointe par ailleurs du doigt le site Giga la vie, créé par l’Institut des Hauts-de-Seine à l’intention des jeunes : « On y trouve plein de conseils judicieux sur la nutrition ou l’hygiène, indique-t-il. Mais dans l’onglet “Sexualité 11-12 ans”, on peut aussi lire : “Tu peux devenir père à chaque rapport sexuel ! Il devient urgent de connaître les moyens de contraception qui te permettent d’avoir une vie sexuelle harmonieuse”… C’est bien de faire de la prévention, mais délivre-t-on ici les bons messages aux bons publics ? »
La « réforme de civilisation » promise par Christiane Taubira, « elle va se faire subtilement, par le biais de l’école », assure Jérôme Brunet, président de l’Appel des professionnels de l’enfance. « Les partisans de la théorie du genre avancent masqués, affirme ce nouveau porte-parole de la Manif pour tous. Ils présentent leurs thèses d’une façon généreuse, comme un progrès sociétal, mais cela se fera au détriment des enfants. On ne peut pas nier la dimension biologique d’une personne. C’est une erreur de dire que tout est inné, mais c’est également grave de dire que tout est acquis ! » Présidente du collectif, Ludovine de la Rochère renchérit : « On ne lutte pas pour l’égalité des sexes en niant la différence entre les sexes ! »
En septembre, « nous sommes prêts à taper très fort ! » promet donc Ludovine de la Rochère. Et pas seulement sur le genre. « Si la proposition de loi sur la PMA pour toutes n’est pas retirée, lance-t-elle, on envisage d’ores et déjà une nouvelle grande manifestation. » Il y aura aussi, les 14 et 15 septembre, la première université d’été du mouvement. Philosophes, éditorialistes, politiques de tous bords, magistrats et psychologues interviendront devant tous les volontaires, au Parc floral de Vincennes. Les inscriptions au public sont déjà ouvertes. Une université d’été intitulée « La Manif pour tous an II… Objectifs pour tous ».
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Les Etats-Unis tissent leur toile sur internet
WASHINGTON (NOVOpress) – Grâce aux révélations d’Edward Snowden au quotidien anglais The Guardian, on en sait plus sur la surveillance d’internet par les Etats-Unis. Selon ces documents, le programme XKeyscore permet aux agents de l’Agence de sécurité nationale (NSA) de surveiller « à peu près tout ce qu’un utilisateur lambda » fait sur le réseau : les e-mails, les recherches, l’utilisation des réseaux sociaux ou toute autre action effectuée sur Internet pour remonter vers une cible. En surveillant une adresse email spécifique, l’agence peut notamment intercepter le contenu de ses messages.
Le programme repose sur l’utilisation de quelque 500 serveurs disséminés dans le monde. XKeyscore est un véritable « big brother » informatique : en tapant dans sa base de données, les Américains peuvent retrouver l’historique de navigation d’un internaute, ses sites visités, recherches, mails, destinateurs, conversations sur les réseaux sociaux… Pas de doute : l’impérialisme américain n’est pas un mythe ! Il s’adapte aux nouvelles technologies pour étendre son emprise.
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Et après ils nous donnent des leçons de morale…
La question n’est pas de savoir si la mesure se justifie ou non mais de montrer le double langage d’Israël. Dans les pays occidentaux les gouvernements ne peuvent bouger le petit doigt contre les clandestins sans se prendre une volée de bois vert par les politiques et autres intellectuels sionistes au nom de la lutte contre le racisme et l’antisémitisme. En Israël par contre, des mesures très restrictives sont prises à l’égard des immigrés non juifs.
Lu sur afrik.com :
Une information confirmée par la direction de l’Ichilov Medical Center à Tel-Aviv : Seuls les migrants africains ayant besoin de soins médicaux seront acceptés. Les visiteurs et autres parias africains seront refusés. Ces nouvelles instructions figurent désormais dans le règlement de l’hôpital. Pour se justifier, la direction invoque une potentielle contagion de la tuberculose à éviter.
Cette dernière estime donc que les migrants africains sont porteurs de maladies graves et qu’il est important d’écarter tout risque. En outre, les travailleurs et réfugiés africains n’auront plus le droit de pénétrer dans l’enceinte de l’hôpital s’ils ne portent pas de badges d’identification. Quant aux parents d’enfants hospitalisés, ils n’ont aucun moyen de voir leurs progénitures s’ils n’ont pas de badge.
Le « badge de David »
Ce précieux sésame indique que le migrant ne présente aucun risque de contamination. Sans ce badge, les maris qui accompagnent leurs épouses qui doivent accoucher ne pourront pas aller plus loin que la porte d’entrée de l’hôpital. De plus, les patientes immigrées ou réfugiées du service maternité de l’Ichilov Medical Center sont placées en isolement, ainsi que les enfants immigrés et réfugiés.
Toutes ces précautions ségrégationnistes, qui rappellent des méthodes d’un autre temps, visent à garantir la santé et la sécurité des autres patients et du personnel.
Une décision « purement médicale » ?
Ce nouveau règlement a été adopté une semaine après qu’un cas de tuberculose ait été diagnostiqué sur un nouveau-né de 6 semaines dont la mère, une Erythréenne, est elle-même atteinte de la maladie, rapporte Sistadiaspora.com. La mère et l’enfant ont été isolés en soins intensifs. L’alerte a tout naturellement immédiatement été donnée et toutes les personnes qui ont été en contact avec le bébé ont été convoquées pour des dépistages et la prescription d’antibiotiques en traitement préventif. Rien de bien choquant à ce niveau-là. Mais était-ce une raison pour instaurer un accès restreint de l’hôpital à toute la communauté noire d’Israël ?
Un représentant de l’hôpital a indiqué que cette mesure n’avait rien à voir avec la campagne raciste relayée par les médias qui présentent les Africains comme des vecteurs d’infections graves. Plus grave encore, les hôpitaux israéliens se plaignent du coût des soins qu’ils doivent apporter aux migrants. L’Ichilov Medical Center s’était déjà fait remarquer en mai dernier, lorsqu’un médecin de cet hôpital avait déclaré que trop d’enfants noirs naissaient. Ils les avaient qualifié d’ « infiltrés ».
L’Israël avait atteint son apogée avec le scandale des stérilisations forcées. La dernière fois que des Israéliens ont tenu des propos racistes en public, c’était dans l’émission de télé-réalité locale « Big Brother ». Des candidats ont proféré des propos racistes à une autre candidate d’origine Falasha. L’Etat hébreu censé donner l’exemple en matière des droits de l’Homme étant donné l’histoire, ne cesse au contraire de cumuler les affaires de racisme.
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Les ministres ne sont plus les bienvenus dans les territoires
Et pas seulement par la MPT qui leur assure autant que possible un accueil sur mesure. Mais les élus, même de gauche, les préfets non respectés dans l'organisation de ces visites et tant d'autres en ont assez. C'est ce que révèle une note du secrétaire général du ministre de l'Intérieur qu'a pu se procurer Valeurs actuelles :
"Dans une note ultraconfidentielle adressée à Manuel Valls (photo, en déplacement à Ajaccio), que Valeurs actuelles a pu consulter, le secrétaire général du ministère de l’Intérieur, Didier Lallement, critique ouvertement l’organisation de leurs visites sur le terrain.
Il écrit en particulier que « les élus municipaux, notamment ceux de la majorité présidentielle, se montrent agacés par la multiplication de visites officielles qu’ils jugent être sans intérêt pour leurs territoires, dans la mesure où elles sont insuffisamment préparées et coordonnées ». Dans cette synthèse hebdomadaire des remontées de terrain adressées par les préfets, représentants de l’État dans les territoires, au secrétaire général, qui est envoyée aux cabinets ministériels, à l’Élysée et à Matignon, Lallement se plaint aussi du comportement des ministres, qui « ont pris l’habitude de s’adresser directement aux services de l’État sans en référer à la préfecture ». En cause, également, selon les préfets, « la pratique devenue courante des interviews accordées la veille des visites dans la presse locale », qui laissent la « fâcheuse impression que les rencontres de terrain ne seront pas prises en compte par les membres du gouvernement, se plaint le secrétaire général du ministère de l’Intérieur. Il en résulte une certaine lassitude des professionnels des médias, qui sont de moins en moins enclins à couvrir ces déplacements ».