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anti-national - Page 977

  • L'Europe en phase finale d'américanisation

     

    Ex: http://zentropaville.tumblr.com

    Les évènements se précipitent. Peu d’européens en sont encore conscients. D’autant plus que pour s’en apercevoir il faut un minimum de culture stratégique, afin de déchiffrer des évènements qui autrement paraissent anodins.
    Appelons américanisation de l’Europe le fait pour celle-ci d’acquérir le statut non d’un nième Etat de l’Union – ce qui peut conférer quelques droits constitutionnels et civiques - mais d’un Etat complètement subordonné, colonisé pour reprendre un ancien terme, sur le modèle des ex-colonies africaines de la France.
    Cette américanisation est en cours depuis la seconde guerre mondiale, sinon la première. Ces guerres ont vu l’Europe, emportée par ses divisions internes, perdre une grande partie des éléments faisant son ancienne puissance. Ceci au profit des Américains. Face à l’URSS d’abord, face aux puissances émergentes d’Asie, principalement la Chine aujourd’hui, l’Amérique a su convaincre les européens qu’ils devaient lui confier leur défense, quitte à lui livrer en échange tout ce qui leur restait de souveraineté.
    On peut avec un certain optimisme estimer qu’au cours du dernier demi-siècle et aujourd’hui encore, 100.000 européens au maximum ont toujours voulu refuser ce marché de dupes. Pour eux, l’Europe avait les moyens de se défendre et de se développer sans rien abandonner de ses atouts scientifiques, économiques, militaires. Sous le gaullisme en France, quelques 50.000 Français avaient accepté de tenir le pari. Aujourd’hui encore, ils sont peut-être 50.000 à tenter de résister, provenant de diverses horizons. L’Airbus A350 qui vient de réussir son premier vol à Toulouse est un des derniers descendants de ce rêve héroïque.
    Mais ces réfractaires à l’américanisation, en France comme en Europe, se heurtent en Europe, dans chaque Etat comme au sein même de l’Union européenne, à des résistances formidables. Il y a d’abord l’inertie de centaines de millions de citoyens qui pensent que tout ira bien pour eux s’ils suivent les modes de vie et modèles américains, s’ils obéissent aux consignes implicites venues d’outre-atlantique. Mais il y a aussi ceux qui ont mis toutes leurs cartes dans la servilité à l’égard des intérêts américains, afin d’en être grassement récompensés. L’actuel président de la Commission européenne en est un bon exemple.
    Comme ceux-là détiennent au sein de l’Union européenne à peu près tous les leviers de commande dont l’Amérique a bien voulu leur confier l’emploi, ils constituent une barrière infranchissable aux tentatives des 100.000 européens évoqués ci-dessus qui voudraient reprendre leur indépendance.

    Une accélération brutale de l’américanisation
    Tout ceci, diront les lecteurs, n’a rien de nouveau. Or ce n’est plus le cas. La conquête de l’Europe par le Big Brother américain s’accélère brutalement. Divers évènements ont mis en évidence ces derniers mois, sinon ces dernières semaines, trois mécanismes qui se conjuguent pour accélérer de façon exponentielle la domination de l’Amérique sur l’Europe.
    Le premier mécanisme est d’ordre sociétal. Il découle de la numérisation continue de l’Europe, au sein notamment de l’Internet, qui en est la partie visible. L’Internet et plus généralement l’informatisation des outils et contenus de création et d’échange en découlant n’auraient que des avantages, y compris pour les Européens, si ceux-ci s’étaient donné des gouvernements et des entreprises capables de faire jeu égal avec la concurrence américaine. Or ce ne fut pas le cas. Non seulement l’informatique et les télécommunications ont été depuis les origines monopolisées par les américains, mais aussi les serveurs et entreprises du Net qui recueillent et mémorisent, dans leurs bases de données, l’ensemble de la production intellectuelle des Européens.
    L’exemple le plus visible en est Google. Les Européens, par facilité, profitant de la dimension mondiale que Google a réussi à prendre, lui confient dorénavant le soin de recueillir, transporter, utiliser et vendre les valeurs ajoutées de tout ce qu’ils produisent, sans parler de leurs « données personnelles », c’est-à-dire de tout ce qui représente, non seulement la citoyenneté européenne, mais aussi la civilisation européenne.
    Pour capter tout cela, Google et ses homologues américains ont mis en place des centres serveurs informatiques immenses, et développé les milliards d’instructions permettant de naviguer dans les données ainsi mises en mémoire. Ils sont de ce fait seuls à pouvoir réutiliser ce qui mérite de l’être dans les cerveaux européens et les produits de ceux-ci. Ce n’est rien, dira-t-on, nos cerveaux nous restent. Quelle erreur. Laisser Google et ses homologues dominer et progressivement diriger le contenu de nos cortex associatifs, de la partie noble de nos cerveaux, aboutit au pire des esclavage, esclavage soft, mais néanmoins esclavage.
    Le deuxième mécanisme confirmant la soumission de l’Europe à l’Amérique est politique. Il était soupçonné depuis longtemps par quelques spécialistes, mais vient d’éclater avec ce que l’on a nommé le scandale PRISM-Snowden. Inutile d’y revenir ici. Non seulement nous acceptons de confier à Google et ses homologues, pour exploitation commerciale, nos données personnelles et le contenu de nos créations intellectuelles, mais nous acceptons de les livrer sans aucune protection aux services secrets américains. Ceux-ci s’en servent, disent-ils, pour lutter contre les supposés ennemis de l’Amérique. Ce faisant, disent-ils aussi, ils nous protègent contre des ennemis intérieurs ou extérieurs, car les ennemis de l’Amérique sont nos ennemis. Que ces ennemis existent ou pas n’est pas la question. La question aurait été de dire à nos amis américains que nous préférons nous protéger nous-mêmes de nos ennemis. Car pour le moment, qui nous protégera de nos amis américains, de leurs intrusions, des mécanismes politiques de surveillance et de contrôle qu’ils ont dorénavant la possibilité de déployer à notre égard. Quis custodes custodiat.
    Les services secrets américains disposent pour ce faire, comme l’a révélé le scandale PRISM-Snowden, non seulement du contenu des immenses centres serveurs de la NSA, conçus pour mémoriser tout ce qui circule sur les réseaux numériques, non seulement des milliards de dollars de logiciels développés par des sociétés assermentées pour exploiter ces données, mais aussi de l’ensemble des contenus des serveurs commerciaux tels que Google, précité. La NSA et les autres agences de renseignement ont dorénavant une porte ouverte, un « open bar », une « back door » sur les contenus de ces serveurs. C’est-à-dire, répétons le, sur les contenus de nos cerveaux.
    De plus, ces services secrets et, en arrière plan, l’ensemble des moyens militaires du ministère de la Défense américain, ont davantage de possibilités d’intervention que les équipes de Google et de ses homologues. Ils ont de fait sinon de droit, pouvoir de vie et de mort, par destruction physique ou annihilation virtuelle, à l’encontre de tous ceux qu’ils déclarent être des ennemis de l’Amérique, ennemis déclarés ou ennemis potentiels. Ecrivant ceci, je suppose que je dois en faire partie, comme vous qui me lisez, comme tous les Européens qui voudraient devenir indépendants de l’Amérique.
    Ajoutons que les équipes du général Keith Alexander, directeur de la NSA et chef du Cyber Command du Pentagone, ne sont pas seules à pouvoir utiliser ces moyens. Elles sont doublées ou remplacées par des milliers de contractuels affrétés par l’US Army auprès de sociétés privées. Ces contractuels, bien qu’assermentés, peuvent se livrer en toute impunité à toutes sortes d’activités personnelles voir criminelles. Certains peuvent même, horresco reférens, trahir leur employeur pour motifs éthiques, au risque de leur vie, Comme Edwards Snowden, dont on est sans nouvelles à ce jour.
    Un troisième mécanisme est à considérer, dans la perspective d’un futur proche. Il s’agit d’un élément capital, le cerveau global capable de conscience artificielle. Ceux qui connaissent le développement rapide des neurosciences et de l’intelligence artificielle savent que dans quelques années verront le jour un ou plusieurs cerveaux artificiels répartis sur l’ensemble des réseaux numérisés. Or Ray Kurzweil, qui est le meilleur technicien capable de développer de tels cerveaux, a rejoint comme nul n’en ignore les équipes de Google. Il a sans doute ce faisant la totale bénédiction de la NSA.
    Mais, direz-vous, les Européens n’ont-ils pas l’intention d’étudier la mise en place pour leur compte d’ un tel cerveau. Il s’agit du Human Brain Project européen, qui vient de recevoir la promesse d’un financement s’élevant à 1 milliard d’euros. Ce serait naïf de le croire. L’US Big Brother veille depuis le début de cette initiative. Le responsable en chef de ce projet est un Suisse, tout dévoué aux intérêts américains. De plus, IBM, qui avait déjà fourni le super-ordinateur nécessaire aux premiers pas du projet, vient d’ajouter de nouveaux moyens.
    Je cite:
    IBM Blue Gene/Q memory enhancements (14/06/2013)
    The Blue Brain Project (c’est-à-dire le projet suisse/IBM initial, repris dans le projet européen) has acquired a new IBM Blue Gene/Q supercomputer to be installed at CSCS in Lugano, Switzerland. This machine has four times the memory of the supercomputer used by the Blue Brain Project up to now…
    Est-il besoin de traduire ? Quant à ceux qui ignoreraient qui est IBM, je rappellerai que ce fut dès les origines du Plan calcul français l’adversaire principal contre lequel s’était battu Charles de Gaulle. Après avoir réussi à monter une entreprise européenne (Unidata, avec CII, Siemens, Philips) capable de tenir tête au géant, les promoteurs de celle-ci ont été trahis par un européen, un certain Giscard d’Estaing.
    Ce sont d’autres Européens de même calibre, dotés d’une vision stratégique aussi pénétrante, qui se battent aujourd’hui pour que l’Europe s’engage dans les négociations avec les Etats-Unis en vue de réaliser un grand marché transatlantique. On apprend aujourd’hui 15 juin que la décision en ce sens vient d’être prise. Victoire cependant pour la France. Le culturel devrait en principe être exclu. Cela nous laissera toutes latitudes afin de financer des intermittents du spectacle qui distrairont les touristes américains et chinois quand ils nous feront la grâce de dépenser leurs devises en France. Ce sera tout ce qui nous restera à vendre.
    Jean-Paul Baquiast (Europe solidaire, 15 juin 2013) http://euro-synergies.hautetfort.com/

  • PMA : retour en catimini ? Réagissez !

    Les vieux caciques socialistes du Sénat relancent le débat sur la PMA avec une proposition de loi relative à l’ouverture de la PMA aux couples homosexuels. En parallèle, l’Académie de médecine “enquête” sur les couples homosexuels demandant à être parents.

    Pour ce qui est des sénateurs socialistes, leur démarche est claire : pas question de renoncer à accorder aux homosexuels un droit à l’enfant, au nom de l’égalité et du progrès :

    « Par la loi n° 2013-404 du 17 mai 2013 ouvrant le mariage aux couples de personnes de même sexe, nous avons dépassé un ordre du droit qui se fondait sur une norme sociale majoritaire, un modèle familial ignorant la pluralité des modes de parentalité qui existent. Ce modèle familial, comme tous les autres, ne relève ni de l'évidence ni de la nature. Il n'est qu'une construction sociale et a donc, par son principe même, vocation à évoluer. Mais le droit, entravé par diverses réticences et conservatismes, a tendance à se transformer moins promptement que la société sur les questions qui la concernent. […] Parce que nous défendons tout ce qui peut contribuer à permettre aux couples de personnes de même sexe de vivre comme les autres, nous voulons leur donner accès à ce que notre société permet dans un souci d'égalité. C'est ainsi que l'intégration des personnes homosexuelles progressera et que les diverses formes de stigmatisation qu'elles subissent disparaitront. »

    Tranquillement cyniques, les sénateurs prévoient déjà d’ignorer les débats :

    « Le Comité consultatif national d'éthique a été chargé de remettre un avis sur l'assistance médicale à la procréation. Si cet avis pourra nourrir un débat, quelles qu'en soient les conclusions, il ne demeurera qu'un avis soumis à l'appréciation du législateur. »

    Quant à l’Académie de médecine, sous prétexte d’enquête, elle prépare le terrain à une PMA ouverte aux homosexuels en sous-entendant que la chose se pratique déjà et qu’il s’agit juste de mettre la loi en conformité avec “l’usage” : les partisans d’une conception assistée ouverte aux homosexuels ne s’y sont pas trompés en saluant cette initiative et en parlant même d’organiser une désobéissance civile militante sur ce thème. Gageons que le gouvernement et François Hollande auront pour ces désobéissants les tendresses qu’ils refusent à leurs opposants.

    Réagissez ! Interpellez vos élus, veillez dans leurs villes, expliquez ce que signifie cette proposition de loi. Réclamez un véritable débat, ne laissez pas les partisans de la PMA/GPA confisquer la parole avec le soutien actif du gouvernement et des législateurs !

    • Le texte de la proposition de loi :

    http://www.senat.fr/leg/ppl12-786.html

    • Les sénateurs l’ayant déposé :

    http://www.senat.fr/senateur/godefroy_jean_pierre01011g.html (Cherbourg-Octeville)

    http://www.senat.fr/senateur/courteau_roland80013x.html (Sallèles-d'Aude)

    http://www.senat.fr/senateur/cazeau_bernard98029w.html (Ribérac)

    http://www.senat.fr/senateur/raoul_daniel01016m.html (Angers)

    • L’Académie de médecine

    http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2013/07/23/01016-20130723ARTFIG00502-pma-et-gpa-les-partisans-montent-au-front.php

    • Gènéthique

    http://www.genethique.org/sites/default/files/fckeditor/decryptage_genethique_enquete%20confidentielle_amp_gpa_gynecologue_de_france.pdf

    http://www.printempsfrancais.fr

  • Pour l’amour de la France, on a le droit de refuser le métissage

    Dans Polémia, il y a polémique et donc la possibilité, voire le devoir, de contester toutes les idées dominantes. Y compris les plus affirmées par l’idéologiquement correct. Et ce sans concessions, demi-mesures ou faux-semblants. C’est le sens de ce texte d’Henry de Lesquen, président de “Voix des Français”, qui va au fond des choses dans la contestation du métissage.

    Pour l’amour de la France, on a le droit de refuser le métissage
    Je tiens à faire d’emblée une confidence, pour que chacun mesure ce qui est en jeu sur ce sujet délicat. Quand je me suis marié, en 1976, le fait que ma femme fût, comme moi, de nationalité française, de religion catholique et de race blanche ne m’était pas indifférent… Vous avez compris que je n’ai jamais été un ardent partisan du métissage.

    Une législation d’inspiration totalitaire
    J’espère que cet aveu ne m’attirera pas les foudres des tribunaux. Bien que la législation antiraciste soit d’inspiration totalitaire, elle n’interdit pas encore la discrimination, c’est-à-dire le libre choix, quand il s’agit du mariage. Je n’en suis plus cependant totalement sûr depuis qu’un procureur de la République a engagé des poursuites contre un Martiniquais de race blanche qui avait fait état à voix haute des pratiques endogamiques bien connues de la communauté dite des “Békés” à laquelle il appartient. Disons-le sans ambages, ce ne sont pas les propos de M. Alain Huyghues-Despointes, honorable vieillard de 82 ans, qui sont “abjects”, comme je l’ai lu, mais la volonté de le faire condamner par la Justice. La liberté d’expression serait-elle étouffée à ce point dans notre malheureux pays que l’on n’ait même plus le droit de critiquer le métissage ?

    Sarkozy dans le rôle du Grand Frère
    Il semble que ce soit l’opinion de M. Nicolas Sarkozy, si l’on en juge par le discours qu’il a prononcé à l’école polytechnique le 17 décembre 2008 : “Quel est l’objectif ? Ça va faire parler, mais l’objectif, c’est relever le défi du métissage. Défi du métissage que nous adresse le XXIe siècle. Ce n’est pas un choix, c’est une obligation. C’est un impératif. On ne peut pas faire autrement. Au risque de nous trouver confrontés à des problèmes considérables. Nous devons changer, alors nous allons changer. On va changer partout en même temps, dans l’entreprise, dans les administrations, à l’éducation, dans les partis politiques. Et on va se mettre des obligations de résultat. Si ce volontarisme républicain ne fonctionnait pas, il faudra (sic) alors que la République passe à des méthodes plus contraignantes encore.”
    On voit que le président Sarkozy n’a pas besoin de talonnettes pour jouer à la perfection le rôle du “Grand Frère” (“Big Brother”) dont parle Orwell dans son roman d’anticipation, 1984. Ses menaces font froid dans le dos.

    La France, peuple européen de race blanche
    Rappelons à ce soi-disant gaulliste ce que disait le général le 5 mars 1959 : “C’est très bien qu’il y ait des Français jaunes, des Français noirs, des Français bruns. Ils montrent que la France est ouverte à toutes les races et qu’elle a une vocation universelle. Mais à condition qu’ils restent une petite minorité. Sinon, la France ne serait plus la France. Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne.” (Cité dans Alain Peyrefitte, C’était de Gaulle, t. 1, éditions de Fallois/Fayard, 1994, page 52.)
    Pour l’amour de la France, nous avons le droit de refuser le métissage. Si nous voulons que notre patrie garde son identité, nous avons même le devoir de refuser le métissage obligatoire préconisé par M. Sarkozy au nom du cosmopolitisme.

    Henry de Lesquen, Président de Voix des Français  www.vdfr95.com
    http://www.polemia.com

  • Un œil sur le "hollandisme révolutionnaire"

    « Une démocratie fonctionne quand une partie des élites prend le parti du peuple. C’est ce qui pourrait se produire. D’où l’espoir que je place dans le “hollandisme révolutionnaire”... »

    Emmanuel Todd, mars 2012

    La reprise est là !

    Malgré les affirmations délirantes du chef de l’État le 14 juillet dernier, seuls des frémissements dans la tête de celui-ci permettent d’affirmer le commencement d’une quelconque « reprise », comme le soulignent les récents chiffres de Pôle emploi.

    Après trois mois de répit, l’emploi intérimaire a rechuté en mai. Avec une baisse de 1,4 %, le nombre d’intérimaires s’établissait à fin mai à 574 400. Sur un an, la baisse est de 6,5 %. Tous les secteurs ont enregistré une baisse de leurs effectifs intérimaires en mai : - 0,7 % dans l’industrie (qui représente 44,8 % des effectifs), - 1,5 % dans la construction et - 2,2 % pour le tertiaire.

    Toutes les catégories socio-professionnelles subissent des pertes de leurs effectifs intérimaires sur un an : - 4,1 % pour les ouvriers qualifiés, - 4,5 % pour les employés, - 9 % pour les ouvriers non qualifiés et - 10,1 % pour les cadres.

    L’emploi intérimaire est en baisse continue depuis juillet 2011, avec quelques mois de répit en 2012.

    Huchon et le logo à 400 000 €

    Jean-Paul Huchon, le président PS de la région Île-de-France s’est offert un nouveau logo. La région disposait déjà d’un logo, mais « Jean-Paul Huchon en voulait un second ».

    Celui-ci est composé de huit bâtons colorés représentant les départements d’Île-de-France et dessinant « en creux les contours de la Tour Eiffel », le tout accompagné de la mention en anglais (!) « Paris Région Source of Inspiration », D’autres mentions avaient été suggérées : Paris Créative Region, La créative Touch)...

    Sous la conduite de l’Unité Communication du conseil régional d’Île-de-France, une foule de prestataires s’est empressée de s’en mettre plein les poches. Notamment : l’agence de com’ Equancy, qui a « structuré » le projet pour 108 000 € ; ViaVoice, qui a mené une « étude » en sondant 800 personnes : 44 000 € ; la conception d’un site Internet dedié : 58 000 € ; le logo, « seulement » 70 000 €...

    La présentation de la campagne destinée à promouvoir la région prévue le 2 juillet et la création d’une association dotée d’un budget de « 2 à 4 millions d’euros » ont été annulées en catastrophe, et reportées en 2014 (certainement après les municipales...)

    À noter que ce gaspillage de l’argent public destiné à la communication au niveau régional n’est pas une nouveauté, puisque le conseil régional de Bretagne (présidé par le socialiste Pierrick Massiot) a également dépensé 400 000 € pour la confection de cette « marque territoire » et 440 000 € pour la région Alsace (présidé par l’UMP Philippe Richert).

    Cazeneuve le glouton

    François Hollande vient de prendre connaissance des propositions d’impôts « complémentaires » du ministre du budget, Bernard Cazeneuve, pour un montant de 4 à 6 milliards d’euros.

    D’après la Cour des Comptes, en 2011, les impôts et taxes ont augmenté de 16 milliards, de 22 milliards en 2012 puis de 33 milliards en 2013.

    Incapable de se contenir, le pouvoir poursuit sa tonte des Français. En 2014 seront notamment appliquées la baisse du quotient familial, la taxe à 75 % et l’augmentation des taux de TVA. Cazeneuve envisage aussi un nouveau coup de rabot sur les niches fiscales, une nouvelle taxe sur l’achat d’un logement, et bien d’autres surprises !

    http://www.egaliteetreconciliation.fr

  • Brétigny : les vols et insultes racistes anti-Blancs prennent de l’ampleur

    BRETIGNY-SUR-ORGE (NOVOpress) – Chaque jour qui passe vient contredire les tentatives de Manuel Valls cherchant à minimiser les actes de pillage liés la tragédie de Brétigny-sur-Orge. En milieu de semaine, le ministre de l’Intérieur restait vague en déclarant : « Il y a eu sans doute des vols »… Or, le Point.fr révèle « que quatre demandes de recherche et d’identification d’auteur de vol simple “dans un lieu affecté à un transport de voyageurs” lors de l’accident du 12 juillet en gare de Brétigny-sur-Orge ont été transmises aux commissariats de l’Essonne ».

     

    Autre information importante, dans un reportage diffusé par la radio RMC, un pompier qui était sur place confirme les jets de pierres et les insultes racistes par des racailles prêtes à profiter de la tragédie pour déclencher des émeutes. « Moi j’ai pas arrêté de me faire insulter dans tous les sens : fils de pute, sale Blanc… J’ai pris “sale Blanc” plusieurs fois, ça fait pas plaisir », témoigne le soldat du feu. Reste à savoir si l’Etat socialiste va continuer à nier ces réalités du terrain qui ne correspondent pas à l’utopie du « vivre ensemble ».

    http://fr.novopress.info

  • L'agressivité du gouvernement envers les catholiques

    Lu dans Valeurs actuelles :

    "[L]e contentieux qui grossit entre les catholiques et le gouvernement ne s’explique pas seulement par l’indifférence du président de la République. Dès le premier jour, il a placé son mandat sous le parrainage farouchement laïque de Jules Ferry, dont le but était d’« organiser l’humanité sans Dieu et sans roi ». C’est avec raison que les catholiques s’alarment de son programme et s’offusquent des vexations que la gauche inflige à l’Église. Tout se passe comme si le gouvernement recherchait l’affrontement dans l’espoir de mobiliser son propre camp.

    Christiane Taubira en a fourni le premier exemple en recevant le cardinal Vingt-Trois avec une désinvolture qui confinait au mépris lors des débats sur le mariage. Les parlementaires de gauche l’ont ensuite auditionné dans un climat hostile pour lui signifier que l’avis de l’Église sur ce sujet ne comptait pour rien. Cette brusquerie ne doit pas surprendre : aucun des ministres du gouvernement Ayrault ne se dit pratiquant et seulement six se définissent comme croyants, dont Cécile Duflot.

    Cet hiver, la ministre du Logement n’a pourtant pas hésité à suspecter publiquement l’Église d’indifférence aux pauvres et l’a menacée de réquisitionner ses locaux pour y abriter des sans-logis. Mais c’est encore Vincent Peillon qui a décroché la palme de l’agressivité : en janvier, il a remis en cause le “caractère propre” de l’enseignement catholique en lui contestant le droit d’organiser des débats sur le mariage homosexuel au sein des établissements privés ! Mgr Vingt-Trois avait réagi fermement : « S’il n’y a aucun lieu de débat possible, [alors] il y a une doctrine officielle et une police de la pensée. »

    Les catholiques sont-ils devenus des citoyens de seconde zone ? La question se pose d’autant plus que le gouvernement a beaucoup plus d’égards pour les autres cultes : cette année, Manuel Valls a rompu deux fois le jeûne du ramadan. « Une manière pour la République d’adresser des regards d’affection aux musulmans de notre pays », a-t-il dit. Par ailleurs, on n’entend guère les autorités lors des profanations d’église ou de cimetière chrétien, bien qu’elles constituent plus de 80 % des atteintes aux sites religieux."

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Que faire des islamistes ? par Manuel GOMEZ

    Les islamistes ne se posent pas la question : que faire du reste du monde ? Depuis que l’Islam existe ils savent qu’ils doivent soit le convertir, soit le combattre, soit le détruire. Ce n’est pas le reste du monde qui ne les accepte pas, ce sont eux qui sont incapables de l’accepter.
    Les islamistes ne veulent pas être uniquement des musulmans. Ils sont convaincus que la Terre entière doit devenir musulmane. Leur croyance impose que l’on change celle des autres, même si les autres n’en ont aucune. Leur objectif est d’imposer leur foi, par la force, par l’argent, ou par l’invasion migratoire. 
    PAR LA FORCE ?
    Ils savent que ce n’est plus possible. Ils ont compris la leçon. Et c’est nous, les Occidentaux, qui la leur avons donnée. Il y a 2000 ans nous pensions que la solution était facile : on partait en croisade pour les convertir ou pour les exterminer. L’Histoire nous l’a appris, ce fut un échec. À leur tour ils ont fait le voyage inverse, leur but : conquérir l’Europe. Ils ont envahi l’Espagne et tenter de s’implanter en France. L’Histoire nous l’a appris, ce fut un échec.
    PAR L’ARGENT ?
    Au XXIe siècle ils ne peuvent plus nous conquérir par la force alors ils nous séduisent par l’argent, nous convertissent par le terrorisme, attirent nos armées hors de nos frontières pour mieux les combattre et nous envahissent par leur immigration incontrôlée, leur polygamie et leur démographie galopante.
    Insidieusement et avec une patience toute Orientale, ils imposent leurs mœurs, leurs coutumes. Non pas dans le secret, mais au grand jour, profitant de la faiblesse, de la soi-disant compassion et surtout de la naïveté de cet Occident (dont une majorité de Français qui se moque totalement du devenir de notre pays. Celle qui a toujours collaboré avec nos ennemis, ceux d’hier et ceux d’aujourd’hui).
    Avant 1954 les Arabes (on ne disait pas alors « islamistes ») venaient « travailler » en métropole et s’intégraient obligatoirement, avant de reprendre le chemin inverse (vérifier auprès de la CGT, du Parti Communiste et du Patronat, qui avaient besoin de cette main d’œuvre et les aidaient), mais cela « c’était avant ».
    La guerre d’Algérie, le regroupement familial, l’accueil et l’assistanat offerts aux clandestins, la nationalité par le droit du sol, ont changé la donne.
    ALORS QUE FAIRE DES ISLAMISTES ?
    Les pays arabes eux-mêmes n’ont pas la solution. Les modérés ont renversé les dictateurs qui tenaient dans une main de fer les « salafistes » pour élire démocratiquement (paraît-il) des islamistes radicaux, tels les « Frères musulmans ».
    Il n’y aura jamais de république laïque dans un pays musulman puisque l’Islam est leur religion et leur civilisation. (Seul François Hollande veut y croire !).

    Si l’invasion se poursuit et s’amplifie les solutions s’imposeront d’elles-mêmes, dans la violence très certainement (chaque jour nous en apporte une nouvelle preuve), puisqu’elles ne peuvent être envisagées sereinement et avec lucidité par ceux qui nous gouvernent.

    http://www.francepresseinfos.com/

  • Affaire Bourdouleix : Une analyse intéressante

    Suite à la démission de Gilles Bourdouleix de l'UDI, un lecteur m'adresse en lien une analyse intéressante sur les probables raisons de l'acharnement médiatico-judiciaire dont l'élu est l'objet.

    "Parce que même s’il n’y a pas de sang, il s’agit bien d’une exécution publique. Médiatique. Politique. Judiciaire même. Une exécution qui surprend par sa rapidité. Et qui a ses raisons que nous tenterons d’éclaircir – ce que personne ne s’est visiblement donné la peine de faire avant nous. Pour le béotien, c’est vite vu : le maire a dérapé, c’est nauséabond, il doit être condamné, et le bon peuple ne verra rien. Seulement à qui profite le crime ?

    [...]

    le Courrier de l’Ouest et Gilles Bourdouleix sont fâchés depuis belle lurette. Deux fois le Courrier de l’Ouest a attaqué le maire de Cholet pour diffamation, après que celui-ci ait contesté vivement les méthodes qu’il employait ou la véracité de l’information, deux fois le journal a été condamné aux dépens, dont la dernière fois il y a quelques semaines. De quoi rendre possible un règlement de comptes du journal ?

    [...]

    Les démêlés de Gilles Bourdouleix et des gens du voyage ne lui ont pas apporté que des amis à la Préfecture et à la sous-préfecture. D’autres raisons [...] ont provoqué un fort énervement du côté du maire de Cholet excédé, tant et si bien qu’il fait voter en mai 2013 une motion pour que le président de la République relève le préfet du Maine-et-Loire de ses fonctions."

    L'intégralité de l'article est à lire ici.

    Carole d'Hombelois  http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Trappes : que cache la mobilisation contre « l’islamophobie » ?

    TRAPPES (NOVOpress) – Les partisans de la femme voilée à Trappes (Yvelines), dont le contrôle par la police à déclenché de très violents affrontements le week-end dernier entre des centaines d’émeutiers et les forces de l’ordre, agitent le torchon de « l’islamophobie » pour défendre leur cause. Ainsi, mercredi, des membres du Collectif des citoyens de Trappes ont fait état d’une « islamophobie » en réclamant la tenue d’une table ronde avec le préfet, les élus et les citoyens afin de rétablir un « vrai » dialogue et « faire bouger les lignes ».

    Par ailleurs, le mari de la femme voilée, un converti à l’islam depuis cinq ans (photo), affirme n’avoir « jamais tenté d’étrangler » le policier, affirmant lui aussi avoir subi des « provocations » et fait l’objet d’« insultes ». Dès le 20 juillet, le Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF), a exploité ce filon, s’en prenant aux médias et à la police, accusés de mettre « en cause les protagonistes musulmans, en première intuition ». Pour voler aux secours de ces extrémistes musulmans, le CCIF a utilisé également la vulgate « antiraciste » : « Plusieurs témoins de la scène rapportent des déclarations racistes de la part des policiers et un abus de moyens physiques à l’encontre d’une personne qui coopérait ». Mais pour le CCIF, cette affaire est surtout le dernier acte en date d’une « vague islamophobe en France ». Cette stratégie révèle le vrai visage de la lutte contre « l’islamophobie » : un soutien idéologique à l’islamisme en France.

    http://fr.novopress.info/

  • IVG : non, les cathos ne sont pas des bisounours moralisateurs !

    de Gabrielle Cluzel... Est-il besoin de rien ajouter ?

    Marie Delarue a réagi de façon très forte au post de l’un des jeunes contributeurs de ce site, relatif au premier pas vers la légalisation de l’avortement en Irlande.

    J’ai remarqué depuis longtemps qu’il était presque impossible, pour un public féminin, d’avoir un débat apaisé sur la question. Parce que ce sujet a la particularité d’être à la fois philosophique, anthropologique et de toucher à notre intimité de femme. Les emportements épidermiques que suscite chez certaines la moindre manifestation d’opposition à l’IVG disent en réalité le contraire de ce qu’ils veulent prouver : près de 40 ans après sa légalisation en France, on aurait pu imaginer, s’il s’était réellement agi de la grande avancée promise que, passées les frilosités rétrogrades de certains, une certaine sérénité se serait instaurée. Il n’en est rien, la question est toujours aussi explosive et reprend feu à la première allumette. [...]

    La suite sur Boulevard Voltaire