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Directives anticipées : la vraie fausse solution ?
Alors que le débat sur l’euthanasie revient sur le devant de la scène politique, de nombreuses personnalités proposent le recours de chacun à la rédaction de “directives anticipées”. Une idée d’apparence séduisante mais qui n’est pas sans poser de multiples problèmes juridiques et éthiques.
L’homéopathie dans le collimateur d’Agnès Buzyn
Inefficace, trop chère, l’homéopathie fait débat depuis plusieurs mois. Un rapport de la Haute autorité de Santé prévu pour juin laisse entendre que les médicaments de cette médecine alternative ne seront bientôt plus remboursés… L’objectif : une prétendue réduction des coûts pour la Sécurité Sociale.
Syrie : Donald Trump s’impose au proche-Orient
Une semaine après le regain de tension avec l’Iran, Donald Trump menace, cette fois-ci, la Syrie après des accusations d’attaques chimiques au nord du pays. Des menaces aux airs de guerre de communication pour assurer les intérêts étasuniens dans la région.
La mise à mort de Vincent Lambert a débuté ce matin : il s’agit là ni plus ni moins d’un assassinat aggravé par le fait qu’il s’agit d’une personne vulnérable.
Assassinat car cette mise à mort ne passe pas par un arrêt des soins, mais par une privation de son alimentation et de son hydratation, chose nécessaire à chaque être vivant. La mauvaise foi du docteur Sanchez et du gouvernement se démontre un peu plus dans leur refus d’accepter le transfert vers l’un des sept centres spécialisés qui avaient dit leur volonté d’accueillir Vincent Lambert.
Que l’on se cache ou pas derrière la loi Léonetti, cette mise à mort constitue un crime.
C’est cette république maçonnique qu’il faut euthanasier, et non Vincent Lambert.
C’est la franc-maçonnerie, à l’origine de cette république et de quantité de ses lois scélérates, qui promeut la culture de mort pour les innocents et sauve la vie des criminels !
Civitas rappelle son opposition farouche à cette culture de mort, de l’avortement à l’euthanasie.
Un jour viendra, tôt ou tard, où Emmanuel Macron et le Dr Sanchez devront rendre des comptes.
Emmanuel Macron, en tant que Chef de l’Etat, avait le devoir de protéger les plus vulnérables. Il porte désormais le poids de la condamnation à mort imposée à Vincent Lambert, au seul motif d’être une personne handicapée.
Le Dr Sanchez, en tant que médecin, avait le devoir de protéger la Vie. Il vient de parjurer son serment d’Hippocrate et se rend l’exécutant d’un crime d’Etat.
Désormais, les personnes handicapées sont à la merci de tous les abus de cette république maçonnique.
Mais un jour viendra où justice sera rendue et où ceux qui sont coupables d’avoir prémédité la mise à mort d’innocents devront être punis sans pitié.
Marion Maréchal a pris position aujourd’hui pour la survie de Vincent Lambert, dans un texte publié par Valeurs actuelles :
“Ce lundi 20 mai, pour la première fois, l’Etat français autorise l’euthanasie d’un être humain. Le terme, trop violent, n’est pas employé et pourtant il ne s’agit pas d’autre chose. Vincent dont le corps est paralysé et non inanimé, qui ne peut pas communiquer mais n’est pas en état végétatif, va être volontairement privé d’eau et de nourriture jusqu’à ce que mort s’en suive. Il n’y aura rien à débrancher, Vincent vit par lui-même. Et pour se donner bonne conscience, car l’agonie sera longue, le corps médical l’endormira. Comme on endort un chien qui va se faire piquer chez le vétérinaire.
1700 personnes sont dans son cas. À partir d’aujourd’hui, le principe est donc renversé, notre société peut tuer de très grands handicapés au nom de la dignité et peut-être, surtout, des économies. La famille se déchire, le corps médical s’oppose et beaucoup voient dans les dix dernières années de vie de Vincent un calvaire à abréger.
Seulement voilà, ce n’est pas à nous de décider qui est digne de vivre ou de mourir, quelle vie est acceptable ou ne l’est pas. C’est à nous, en revanche, de prendre soin des plus faibles et des plus dépendants d’entre nous. Sauf à tuer notre honneur, en même temps que Vincent Lambert.
Selon moi, le cas Vincent Lambert est instrumentalisé pour permettre une application plus large de la loi sur l’euthanasie, voire pour préparer les esprits à une nouvelle loi plus laxiste. C’est pourquoi je prends position aujourd’hui.”
Sur RMC, Marlène Schiappa a fait plusieurs déclarations :
Elle a assuré que le projet de loi sur la PMA étendue sera présenté en conseil des ministres avant les vacances d’été. La PMA sera-t-elle remboursée? “Nous verrons”…
Puis elle a enchainé sur la GPA, l’étape suivante :
je suis à l’écoute de tout un chacun sur le sujet.
Selon les Nations Unies, 150 millions de filles manquent à l’appel dans le monde. En raison des avortements des bébés filles. Mais cela ne gène pas la secrétaire d’Etat chargée de l’Egalité entre les femmes et les hommes. Le déséquilibre filles-garçons s’est encore creusé avec l’arrivée des techniques de dépistage prénatal (à partir des années 1980). Lesquels s’accompagnent d’un recours massif à des avortements de fœtus féminins.
De partout montent les appels vers le président de la République qui, seul, a désormais le pouvoir d’empêcher le meurtre par euthanazie idéologiquement programmé.
La mise à mort de Vincent Lambert prendrait une signification terrible : la volonté mûrement décidée d’un acte de transgression de la loi morale universelle, celle du Décalogue, fondement de la civilisation du respect de la vie innocente, ordonné par le quatrième des commandements du Décalogue : « Tu ne tueras pas ». Décalogue pas seulement destiné au seul peuple juif de l’Ancien Testament et donc aux chrétiens mais de portée universelle.
L’obligation morale et légale du respect de la vie de l’être humain innocent, c’est ce qui fait depuis toute la différence entre civilisation barbare et civilisation humaniste.
Ce n’est pas seulement madame Agnès Buzyn, ministre de la santé, indifférente au respect du serment d’Hippocrate, qui a pris la terrible responsabilité de piétiner la décision de la Commission internationale de défense des personnes handicapées de l’ONU, au mépris des accords signés par la France.
Elle n’a pu annoncer cette décision barbare que sous l’autorité du président de la République française.
Emmanuel Macron, s’il choisissait la mort et non la vie pour Vincent Lambert, porterait en tant que chef de l’État la terrible responsabilité devant Dieu et devant les hommes d’assumer un acte, le plus absolu, de transgression morale.
Il y perdrait aussi sa véritable légitimité qui ne peut être fondée que sur le devoir de protéger son peuple et d’agir pour le respect de la vie des plus faibles.
Entretien exclusif avec Armel Joubert des Ouches sur réinformation.tv
Après avoir passé plus de vingt ans au sein des loges maçonniques du Droit humain, une émanation du Grand Orient, Serge Abad-Gallardo, ancien haut fonctionnaire, converti au catholicisme, avait livré son parcours au lecteur dans un premier livre « J’ai frappé à la porte du temple ». Il revient aujourd’hui avec la sortie d’un nouvel ouvrage intitulé « Les manœuvres de la franc-maçonnerie pour le “droit à mourir” ».
Serge Abad-Gallardo sait de quoi il parle
L’euthanasie. On en parle beaucoup en France depuis ces 10 dernières années. Il y a eu l’affaire Vincent Humbert. Il y a eu ensuite le douloureux dossier Vincent Lambert, dossier toujours en cours actuellement. Deux événements sur lesquels les médias et le monde politique se sont appuyés pour faire « la promotion » de l’euthanasie, une mort selon eux « lente mais digne et sans souffrance ». Depuis sa conversion au catholicisme, Serge Abad-Gallardo est directement concerné par le sujet. Depuis 2012, de façon bénévole, il visite les malades. Dans le cadre d’une pastorale de la santé, il a intégré une aumônerie catholique. Affecté dans le service de soins palliatifs d’un hôpital public, Serge Abad-Gallardo accompagne des mourants avant leur décès. A ce jour, il s’est rendu au chevet de plusieurs centaines de personnes. « J’ai vécu de véritables d’amour avec des hommes et des femmes, sur le plan spirituel, explique-t-il. Ce sont des gens qui sont devenus mes amis et je pense avoir été leur ami. Quelqu’un que vous ne connaissez pas, vous entrez dans une chambre, vous le suivez pendant 2 semaines, 2 mois. Et lorsque vous terminez, vous prenez sa main et il part en vous regardant. Il n’est pas indigne et vous non plus. Vous n’êtes pas son bourreau. Vous l’accompagnez sur un chemin que lui seul peut prendre qui le chemin du mystère. Ce mystère que la franc-maçonnerie refuse de voir. Pour la franc-maçonnerie, il n’y a pas de mystère, il n’y a que des secrets ! Voilà encore une différence énorme entre le catholicisme et la franc-maçonnerie ».
Une fixation sur la franc-maçonnerie ?
Selon Serge Abad-Gallardo, pour se convaincre de l’implication de la franc-maçonnerie dans les débats qui ont lieu depuis de nombreuses années visant à imposer l’euthanasie dans la société française, il suffit juste de juger des faits. « Et les faits parlent d’eux-mêmes. Lorsqu’on lira mon livre, explique-t-il, on s’apercevra que la franc-maçonnerie est à la manœuvre derrière l’idéologie mortifère qui tend à vouloir imposer l’euthanasie dans la loi française ». L’auteur dit confirmer ses propos par des écrits maçonniques.
Les idéaux de la FM sont inscrits dans la société française
« Le tout premier projet de loi enregistré aux assemblées date de 1976. C’est le sénateur Henri Caillavet qui en est le rapporteur ou même l’auteur. Monsieur Romero, président de l’association pour le droit à mourir dans la dignité expliquait, dans une interview accordée à un journaliste, que Monsieur Caillavet était l’un des derniers grands franc-maçon et homme politique… »
Des faits irréfutables
Dans cet entretien réalisé par Armel Joubert des Ouches, Serge Abad-Gallardo révèle qu’il possède une planche maçonnique sur laquelle l’auteur fait l’apologie de l’euthanasie. Selon ce dernier, cette planche date de 2004. « Cet auteur fait l’éloge de l‘euthanasie alors même qu’il décrit une situation où la personne ne souffre pas ! On voit donc bien qu’il y a, derrière l’idéologie maçonnique, la volonté de maitriser le moment où l’homme décidera de mourir. »
« Mais où est donc l’amour dans cette société ? »
« Vous savez, les gens, lorsqu’ils parlent d’euthanasie, ils vous disent “J’ai besoin de votre amour”. Notre monde manque d’amour ! Lorsqu’on est atteint d’une grande maladie, un médecin vient vous dire « L’issue est fatale, votre maladie a gagné, maintenant nous allons soulager la douleur ». Ces gens passent par un certain nombre de phases… On ne gère pas une société comme on gère une entreprise. Les personnes ne sont pas des machines. Je suis déjà rentré dans des chambres où des personnes avaient des cancers, explique-t-il. Des personnes qui se trouvaient en chimiothérapies. La chimio fait vomir, donc cela sentait le vomi. A ces gens-là, je leur prenais la main et ils n’étaient plus indignes. Si nous considérons qu’une personne âgée à une bouche de grenouille et qu’elle sent le vieux, alors nous sommes des barbares ! Il faut faire comprendre à ces personnes-là ce qu’est l’amour de Dieu que nous portons en elles ».
Vincent Lambert n’est pas sous acharnement thérapeutique; il est maintenu dans un couloir, le couloir de la mort, dans un service qui n’est pas adapté à sa pathologie, dans un service de soins palliatifs. Or Vincent n’est ni mourant, ni dans le coma, ni sous assistance respiratoire… Vincent réagit, Vincent est conscient… simplement il ne peut ni parler, ni se nourrir. Mais aujourd’hui, en France, un assassin n’a pas été jugé et un handicapé est condamné. A la mort de la faim, de la soif … au nom des ”droits de l’homme” et de la ”dignité de l’individu”. Il ne s’agit pas non plus d’une euthanasie car l’euthanasie, toute mortifère qu’elle soit et opposée à la Sainte Loi de Dieu, doit être volontaire… Or Vincent aime la vie, Vincent a survécu à un mois de privation de nourriture… Pensez-vous que ce fait si singulier puisse relever d’un homme souhaitant ardemment la mort ? ou même y ayant consentie? Vincent est condamné à disparaître contre la volonté des parents et dans l’ignorance de la sienne. Contre celle du Droit international des personnes handicapées.
Une civilisation qui élimine les embryons surnuméraires et se débarrasse de ses handicapés est une civilisation barbare. Elles se croit moderne et juge la religion comme une régression.Mais la religion créé des liens, la culture de mort les dissout. La Foi unifie, le nihilisme déracine ce qui fut la splendeur de l’Homme : le Visage de Dieu, tel une rose s’ouvrant au coeur du génome dévasté par les démiurges de la mort propre et de la sélection économique. La vie est un don de Dieu; pour les apprentis sorciers, elle s’achète … son prix est à l’aune de son efficacité ou pas.
Un crime se prépare, au nom du droit à “mourir dignement”, inaugurant ainsi la légalisation du meurtre de la faiblesse, du handicap, de la vieillesse; contre la volonté des patients, parfois même, comble de la perversion, souhaitée et financée par eux. La mort, risque de devenir demain, -elle l’est dès aujourd’hui déjà-, l’effacement licite des inadaptés… ou mieux, le shoot empoisonné labellisé par les labo pharmaceutiques et les tueurs à gage de la santé publique.
République née dans le sang du roi, des princes, des paysans,des chevaliers, des prêtres… des ouvriers. Tu es une imposture. Il n’y a qu’un Royaume: Celui de l’Amour, Celui du Christ, Celui de Dieu.
Le succès de la sortie de Unplanned aux États-Unis a dépassé tous les pronostics, surtout si l’on considère le sujet controversé du film : l’avortement. Le film a réalisé plus de six millions de dollars au box-office à l’issue de la 1re semaine de sortie. Unplanned (Non planifié) est un film extraordinairement choquant. Il dénonce les souffrances liées à l'avortement et l’énorme business de l’avortement.
La Première du film a été précédée d’une campagne de harcèlement contre le producteur Pure Flix. Son compte Twitter a été suspendu de manière temporaire. Les médias ont largement refusé de promouvoir un film qui s’attaque à l’avortement et à son principal fournisseur mondial, Planned Parenthood— Le planning familial.
Ce long métrage de haute qualité, digne des meilleurs films hollywoodiens, raconte la vie d’Abby Johnson. Elle travaillait dans une succursale d’une multinationale spécialisée dans l’avortement au Texas. Elle est devenue militante pro-vie en 2009 après avoir vu de ses propres yeux un avortement. L’expérience a été si traumatisante que ses opinions sur l’avortement ont pris un virage à 180 degrés. Depuis, elle a consacré sa vie à la lutte contre le planning familial, l’entreprise pour laquelle elle travaillait, et à la lutte pour la vie dans son ensemble.
Depuis sa sortie le 29 mars dernier, le film a été projeté sur plus de 1 700 écrans aux États-Unis. On peut dire, sans aucun doute, que Unplanned a déjà eu le plus grand impact de tous les films pro-vie jamais réalisés.
Une sortie du film est prévue au Canada, mais les producteurs ont rencontré des problèmes avec la compagnie de théâtre Cineplex. Cineplex reconnaît que l’intérêt du public pour le film est très important, mais considère qu’il est trop « controversé » pour être projeté dans les salles de cinéma canadiennes.