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avortement et euthanasie - Page 35

  • 450€ le meurtre

    450€ le meurtre

    Lu sur le blog d’Yves Daoudal :

    Le Président irlandais Michael D. Higgins, a signé hier soir la loi autorisant l’avortement.

    Dans le même temps, les médecins ont été informés qu’ils toucheront 450€ pour chaque meurtre in utero.

    L’ordre des médecins s’est avisé tout à coup que cette loi est en « conflit » avec le code de déontologie médicale. Il s’est réuni en urgence mercredi soir pour supprimer les articles concernant l’avortement, afin de « rassurer les médecins qui vont être impliqués par cette prestation de service ». Sic. Les mêmes qui disaient que c’est un meurtre disent aujourd’hui que c’est une « prestation de service ». Puisque la loi a changé… Et les médecins avortueurs devraient être rassurés parce qu’on change la « déontologie ». Ce qui importe est la loi et le règlement. La conscience n’entre pas en ligne de compte.

    Un article a été conservé, celui qui indique que les médecins « ont le devoir de fournir des soins, un soutien et un suivi aux femmes qui ont eu une interruption de grossesse ». Mais dans la formulation antérieure il y avait « avortement », pas « interruption de grossesse ». On légitime le meurtre et on y ajoute l’hypocrisie et le mensonge. Normal, quand on sombre dans la culture du diable.

    https://www.lesalonbeige.fr/450e-le-meurtre/

  • Le président du CESE reconnaît que ne pas avoir examiné la requête de La Manif Pour Tous a été une faute politique

    Le président du CESE reconnaît que ne pas avoir examiné la requête de La Manif Pour Tous a été une faute politique

    Patrick Bernasconi, le Président du Conseil économique, social et environnemental (CESE), était interrogé samedi sur France culture. Vers 16mn50, il revient sur la pétition déposée par La Manif Pour Tous, la première à avoir dépassé les 500 000 signatures règlementaires.

  • « Le vrai féminisme est contre l’avortement ! »

     
  • Terres de Mission n°103 : Après l’IVG, des femmes témoignent

    Eglise universelle : Un automne romain. Journal sans moi

    En octobre 1996, Michel De Jaeghere, est envoyé par son journal « couvrir » la mort de Jean-Paul II, qu’on annonce imminente, et le conclave qui désignera son successeur. Le pape, en fait, ne décédera qu’en 2005. Désœuvré, l’envoyé spécial, aujourd’hui directeur du Figaro-Histoire et des Hors-série du Figaro, arpente la ville éternelle, explore le Vatican, les ruines de la Rome antique, les musées. Il multiplie les rencontres avec vaticanistes, prélats et cardinaux. C’est le récit coloré, érudit et amoureux de cette promenade automnale que nous sommes invités à suivre.

    Eglise en France : Prier un automne avec les saints au jour le jour

    Directeur du séminaire saint curé d’Ars à Flavigny (21) l’abbé Troadec achève, avec ce livre : Prier un automne avec les saints, une série de dix volumes couvrant toute l’année liturgique et permettant d’avoir, chaque jour de l’année, les textes de la liturgie commentés et enrichis de notes historiques et de propositions de résolutions. L’objectif est de mettre à la disposition de chaque fidèle, chaque jour un texte clair, simple et abordable pour l’aider à progresser vers la sainteté.

    Eglise en Marche : Après l’IVG, des femmes témoignent

    Responsable du site ivg.net Marie Philippe a écouté depuis dix années des milliers de femmes témoigner de leurs souffrances et de leur détresse face à l’avortement. C’est une partie de ces témoignages qui sont recueillis et analysés dans cet ouvrage : Après l’IVG des femmes témoignent. Ils sont complétés par des expertises de médecins et de psychologues. Un coin du voile se lève sur une réalité douloureuse et cachée que notre société peine à entendre.
    Tous ces auteurs seront présents à la fête du livre de Renaissance Catholique le 9 décembre prochain à Villepreux (78).

    https://www.tvlibertes.com/terres-de-mission-n103-apres-livg-des-femmes-temoignent

  • Le temps du blasphème

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    Quand Marlène Schiappa apostrophe par SMS Cyril Hanouna – car toujours les Puissants ont eu à cœur de dialoguer avec l’Art – pour lui rappeler qu’il existe un délit d’entrave à l’IVG, simplement parce qu’un citoyen exprime son opinion dans une émission de divertissement, elle montre qu’elle ignore la loi – ou plutôt qu’elle se moque des textes exacts et ne veut en retenir que l’esprit : on ne touche pas à l’IVG, devenue idole du Progrès. C’est tabou !

    Et ceux qui critiquent doivent être condamnés. Émile Duport, des Survivants, avait blasphémé et Hanouna, qui lui offrait une tribune, était bien près d’être inculpé d’assistance à blasphémateur. L’ironie étant qu’au moment même où Schiappa menaçait de fulminer l’anathème, l’Irlande abrogeait le délit de blasphème, qui n’existe donc plus que dans les pays musulmans. Muriel Robin, dans l’émission de Ruquier – continuons de fréquenter des sommets –, intimait l’ordre de se taire à un chroniqueur qui ne brûlait pas assez d’encens devant Fogiel et ses GPA illégales.

    Schiappa n’est qu’un exemple, certes significatif puisque c’est un membre du gouvernement, de ce nouveau goût pour ce genre d’accusation : avoir outragé ce qui est sacré ! Un homme n’a plus médiatiquement le droit de se défendre quand une femme l’accuse, car nier la vérité de la parole de la victime féminine, c’est commettre un crime encore plus affreux que celui dont on est accusé – même quand on est innocent.

    Anne-Marie Le Pourhiet remarquait que le néo-féminisme est au-dessus des lois, ou plutôt qu’il produit sa propre loi : qu’il soit anathème celui qui n’avoue pas !

    D’autres blasphèmes sont peu à peu institués : on comprend bien que qui se réclame du nationalisme n’est qu’un galeux, un chien, un lépreux qui mérite d’être jeté hors de la société pour avoir outragé le « vivre-ensemble » ; qu’un « blanc » ose célébrer une vie « noire », et le voilà accusé du blasphème d’appropriation culturelle ; qu’un juge ose enquêter sur Mélenchon, et voilà ce dernier qui éructe qu’il est sacré et intouchable – ce qui est grotesque même si les conditions de cette enquête sont en elles-mêmes un scandale ; cela dit, la France insoumise n’hésite pas à expliquer que cette perquisition est « digne de la nuit des longs couteaux », ce qui est un tantinet exagéré, et qu’on a blasphémé contre le texte sacré qu’est l’article 12 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789 ; la Cour européenne des droits de l’homme, de son côté, n’hésite pas à déclarer sacré le mariage entre homosexuels au point qu’elle trouve blasphématoire le refus de certains maires de le célébrer, se contentant de déclarer irrecevable, en octobre 2018, la requête qu’ils avaient introduite dans ce sens en 2015 : comme dirait Kouachi, on ne discute pas avec les blasphémateurs, on les fait taire. La même CEDH vient de confirmer la condamnation d’une Autrichienne, qui avait affirmé que Mahomet était pédophile puisqu’il avait épousé une fillette de six ans et consommé son mariage avec elle, ses propos « menaçant la paix religieuse ». Gérard Davet et Fabrice Lhomme, journalistes au Monde, qui viennent de publier une enquête sur la France islamiste en Seine-Saint-Denis, se rendent compte, stupéfaits, qu’ils sont accusés d’avoir blasphémé en n’entonnant pas l’antienne obligatoire d’un islam irréprochable.

    Et Macron ne veut pas commettre le blasphème de froisser l’Allemagne en donnant une « expression trop militaire » à la célébration d’une victoire remportée militairement sur l’Allemagne…

    Une nouvelle religion se met en place depuis quelques décennies, et se sent aujourd’hui ou assez assurée ou assez menacée pour ne plus supporter aucune contradiction : oser contredire n’insulterait pas seulement l’intelligence mais serait une violence sociale dangereuse et insupportable. Cette nouvelle religion se fonde sur un oubli complet du passé. Pierre Nora déclarait dans Le Figaro : « Le passé s’est éloigné. Les plus jeunes n’éprouvent plus le sentiment d’une continuité historique de Jules César à Napoléon, auparavant si vif. La coupure est nette. La dictature du présent et l’oubli de la longue durée entraînent la fin de ce qui a été le ressort de la transmission : le sentiment de la dette. La conviction, qui a pesé sur les hommes pendant des siècles, que nous devons à nos parents et à nos ancêtres d’être ce que nous sommes. Les Français de 2018 ne se perçoivent plus comme les débiteurs de leurs devanciers. »

    Cette religion assure la promotion d’un terrifiant avenir univoque aux couleurs des droits de l’homme qui, pourtant, ensanglantent le monde depuis plus de deux siècles.

    Ce nouveau siècle sera bien religieux. Sale temps pour les blasphémateurs qui n’entendent pas se convertir.  

    Philippe Mesnard

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/index-1.html

  • Ces bébés qui survivent à un avortement médicamenteux

    Ces bébés qui survivent à un avortement médicamenteux

    D’Olivier Bault dans Présent :

    Le site Lifenews relayait le 21 novembre l’histoire d’une photo qui faisait le buzz sur le réseau social Facebook. Cette photo, c’est celle d’un médecin tenant un nouveau-né qu’il venait d’extraire du ventre de sa mère par césarienne. Cela se passait aux Etats-Unis. Le docteur Brent Boles avait bien sûr demandé la permission à la mère, en lui promettant qu’il ne donnerait aucune indication permettant de l’identifier. Sous la photo, la description de la situation par le médecin :

    « J’ai récemment fait cet accouchement et je partage cette photo avec l’autorisation de la patiente. Vous voyez, quand une femme prend une pilule abortive, elle le regrette très souvent immédiatement après. C’est ce qui est arrivé avec cette patiente. Les cliniques pratiquant les avortements mentent et disent aux gens qu’on ne peut pas inverser un avortement médicamenteux. Ce n’est pas vrai. Cette patiente a trouvé www.abortionpillreversal.com et je fais partie des médecins pro-vie prêts à tenter d’inverser l’action du poison qu’on leur a donné. Parfois, cela marche et parfois non, mais, comme vous le voyez, cela vaut la peine d’essayer. »

    La pilule abortive RU-486 consiste en fait en deux pilules différentes prises à deux jours d’intervalle. Le premier produit, de la mifépristone, bloque la production de progestérone, une hormone nécessaire au maintien de la grossesse. Le deuxième produit, du misoprostol, provoque l’expulsion de l’enfant avorté. Ce type d’avortement se pratique à un stade précoce de la grossesse, quand l’enfant en est encore au stade embryonnaire de son développement prénatal, c’est-à-dire en principe jusqu’à la 7e semaine de gestation. Mais tant que la femme enceinte n’a pas pris le deuxième produit, il est possible, dans un délai de 72 heures, d’inverser l’action de la mifépristone en prenant un antidote contrant l’action de ce poison, puisqu’il réintroduit de la progestérone dans l’organisme de la mère. Une étude américaine publiée cette année montre que cela fonctionne dans 68 % des cas, ce qui a permis à l’organisation Abortion Pill Rescue de faire naître 500 bébés qui avaient préalablement été condamnés à mort par la prise de mifépristone, 100 autres bébés sauvés par ce réseau de médecins pro-vie étant encore dans le ventre de leur mère au moment de la publication de l’étude. Les bébés sauvés par cette procédure médicale inversant l’effet de la prise de la première des deux pilules utilisées pour un avortement médicamenteux n’ont pas de séquelles particulières.

    […] En ce qui concerne les avortements médicamenteux, un numéro d’appel actif 24h/24 et 7j/7 est donc mis à la disposition des femmes ayant pris la première des deux pilules mortelles et regrettant leur geste. Brianna, la maman du bébé de la photo, a pu être ainsi mise en contact avec le docteur Boles le jour-même de son appel et a pu obtenir sur le champ une ordonnance pour commencer son traitement sans attendre, afin de sauver son bébé. Le centre d’appel est géré par Heartbeat International, une organisation chrétienne s’occupant d’un réseau de centres d’aide aux femmes enceinte en détresse, afin de leur offrir une alternative à l’avortement.

    Puisque les pro-avortement et les féministes se disent « pro-choix », Mmes Schiappa et Buzin ne devraient-elles pas se saisir du sujet et permettre que, en France aussi, les femmes subissant un avortement médicamenteux puissent revenir sur leur décision après la prise de la première pilule abortive ? Cela dit, ce serait déjà bien de leur imposer un délai de réflexion et de leur proposer une alternative à l’avortement avant la prise de la première pilule.

    https://www.lesalonbeige.fr/ces-bebes-qui-survivent-a-un-avortement-medicamenteux/

  • Marche pour la vie : objection de conscience pour tous !

    Marche pour la vie : objection de conscience pour tous !

    RDV le dimanche 20 janvier prochain à Paris !

    Pour rappeler que la vie humaine doit être respectée de sa conception à sa mort naturelle.

    Pourquoi ? Parce que plus de 220 000 avortements sont toujours pratiqués chaque année et qu’il n’y a ni volonté politique ni prise de conscience collective pour faire diminuer le nombre d’IVG en France. Leurs conséquences sont autant de drames vécus par des femmes et des familles entières, mais pas seulement : les médecins sont de plus en plus nombreux à faire valoir l’objection de leur conscience qui les dissuade de pratiquer un acte contraire à la médecine, et qu’ils jugent intrinsèquement mauvais

    Face aux menaces qui pèsent sur la liberté de conscience des professions médicales, face aux nouvelles transgressions annoncées par la révision de la loi de bioéthique (PMA, libéralisation totale de la recherche sur l’embryon, marchandisation du corps de la femme), nous appelons toute la société civile, médecins, chercheurs, biologistes, femmes enceintes, à faire valoir leur droit à l’objection de conscience le dimanche 20 janvier 2019 à Paris.

    L’être humain ne peut pas être une marchandise, un objet de laboratoire, une variable d’ajustement des désirs du moment. Face à la marche de la mort, nous appelons les Français à se mettre en marche pour la vie.

    Distribuez des tracts

    Devenez bénévole

    organisez un car.

    https://www.lesalonbeige.fr/marche-pour-la-vie-objection-de-conscience-pour-tous/

  • Emmanuel Macron reçoit le lobby qui n’existe pas

    Emmanuel Macron reçoit le lobby qui n’existe pas

    Etrangement, il ne reçoit ni La Manif Pour Tous, ni les gilets jaunes…

    La Manif Pour Tous ن
     
    @LaManifPourTous

    Plusieurs associations LGBT sont reçues à l'Elysée. Mais puisqu'on vous dit qu'il n'existe pas de lobby LGBT !@EmmanuelMacron, à quelle heure nous attendez-vous jeudi ?

    LB2S@LB2S

    Jeudi matin, Emmanuel Macron reçoit à l’Elysée plusieurs associations LGBT. Nul doute qu’ils aborderont le décalage du calendrier de bioéthique, contre lequel les associations ont fait entendre leurs voix la semaine dernière

    263 personnes parlent à ce sujet

    https://www.lesalonbeige.fr/emmanuel-macron-recoit-le-lobby-qui-nexiste-pas/

  • Face à Alliance Vita, le lobby LGBT use de violence. Une femme enceinte frappée

    Face à Alliance Vita, le lobby LGBT use de violence. Une femme enceinte frappée

    Ce jeudi 15 novembre à 13 heures, Alliance VITA a lancé paisiblement sa campagne d’alerte et de mobilisation contre la PMA sans père dans 70 villes. Conformément à la loi, les délégations départementales de l’association avaient déclaré ces rassemblements dans chacune des 70 villes, pour y exercer leur liberté d’expression et leur droit de manifester.

    Or, dans 17 villes, des groupes ont appelé sur les réseaux sociaux à organiser des contre-manifestations à l’endroit même de nos rassemblements, sans déclaration préalable, c’est-à-dire de façon illégale. En certains lieux, malgré une présence policière plus ou moins active (Christophe Castaner veut sévir contre les gilets jaunes, mais il ne protège pas les citoyens qui déclarent leurs manifestations), les contre-manifestants ont exercé des violences sur les biens et les personnes, en tentant de dérober ou de détruire le matériel de campagne et de couvrir par leurs cris les discours, allant jusqu’à insulter voire molester certains participants.

    La justice va être saisie et une plainte devrait être déposée là où une femme enceinte de huit mois a été giflée.

    Tugdual Derville, délégué général de l’association, présent au rassemblement sur l’esplanade de la Défense près de Paris (qui s’est déroulé dans le calme) réagit à ces incidents :

    « Tout d’abord, je veux remercier les volontaires qui ont participé au lancement de cette campagne pour leur engagement paisible. Dans 53 villes, nous avons pu exercer notre droit de manifester dans la paix, avec un excellent accueil des passants. Des groupuscules ont tenté dans 17 villes de nous intimider pour nous réduire au silence, au mépris de la loi. Je veux saluer les participants qui ont enduré des cris, des insultes et même des crachats ou des coups. Cette violence rend compte d’un état d’esprit, dominé par une volonté de toute puissance. C’est justement ce que nous contestons avec cette PMA sans père. Dans plusieurs villes, la police elle-même nous a avoué son impuissance à canaliser la violence de ces groupes. Ce n’est pas un bon signe pour notre démocratie. Nous sommes loin du « débat paisible » promis par le président de la République ! Comment peut-on accepter que ceux qui se conforment à la loi soient bousculés par ceux qui la transgressent ? Notre ténacité paisible reste entière. Céder à des groupes de pression qui veulent interdire le débat n’est de l’intérêt de personne. Nous espérons que tous les démocrates, même ceux qui ne partagent pas nos convictions, auront à cœur de défendre notre droit de les exprimer. Quant à nous, nous ne nous laisserons pas intimider. »

    Face à ces atteintes à la liberté d’expression, Alliance VITA a décidé :

    • de saisir la justice partout où des violences ont été exercées ;
    • d’interpeller les responsables de l’ordre public pour savoir comment garantir son droit de manifester, alors que les déclarations préalables se sont retournées contre des participants ;
    • d’intensifier la campagne Touche pas à mon père !

    https://www.lesalonbeige.fr/face-a-alliance-vita-le-lobby-lgbt-use-de-violence-une-femme-enceinte-frappee/

  • Non à la crise identitaire en Europe : oui à une politique nataliste, non à l’immigration de peuplement

    Depuis le Parlement européen, Marie-Christine Arnautu (RN) évoque la fracture béante qui oppose les élites européistes, partisanes du changement des peuples, à un nombre croissant de nations européennes (Hongrie, Pologne, Italie…) résolument favorables, elles, à une politique à la fois nataliste et anti-immigration.

    “À l’heure où l’ONU s’apprête à établir un Pacte mondial sur les migrations, sorte de gouvernance supranationale destinée à consacrer le droit de migrer au prétexte que la « riche » Europe devrait pallier son déficit démographique en faisant venir des millions d’immigrés, plusieurs États occidentaux adoptent une tout autre approche, fondée sur une politique nataliste forte, au nom du droit des peuples à préserver leur indépendance, leur civilisation, leur identité et leur culture.

    Le ministre de l’Intérieur, Matteo Salvini, lors d’une conférence sur les migrations et la sécurité organisée par l’Autriche, le 13 septembre dernier, a parfaitement résumé la politique que tout dirigeant européen soucieux du bien de son peuple devrait suivre : « Je suis payé par les citoyens pour faire en sorte que nos jeunes aient de nouveau des enfants, comme c’était le cas il y a des années. Et non pas pour déraciner les meilleurs jeunes d’Afrique afin qu’ils viennent remplacer les Européens qui n’ont plus d’enfants […]. En Italie, notre besoin, c’est de permettre à nos enfants d’avoir des enfants, et non pas d’avoir de nouveaux esclaves pour remplacer les enfants que nous n’avons pas. » 

    Tandis que l’unité de la France, du Royaume-Uni, de l’Espagne, de l’Allemagne, etc. se disloque sous les coups de boutoir du communautarisme islamique, de la dictature des minorités imposée par les activistes LGBTIQ, du fanatisme des féministes radicales et de la culpabilisation des Européens obtenue par des décennies d’antiracisme militant, tandis que ces mêmes pays s’acharnent à détruire le socle de la famille en instaurant l’indifférenciation sexuelle et en bouleversant les règles de la filiation, des pays comme la Hongrie, la Russie, l’Italie empruntent le chemin inverse. Rejetant avec vigueur ce modèle mortifère des soi-disant « progressistes », ils proposent des alternatives qui sont la voie de la renaissance des peuples européens.”

    Francesca de Villasmundo

    https://www.medias-presse.info/non-a-la-crise-identitaire-en-europe-oui-a-une-politique-nataliste-non-a-limmigration-de-peuplement/100993/