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avortement et euthanasie - Page 32

  • Discours de lancement de la Marche pour la Vie

    A_Pouchol.pngLe 20 janvier 2019, Adélaïde Pouchol, rédactrice en chef adjointe de L'Homme Nouveau, était porte-parole de la Marche pour la Vie. Plusieurs milliers de manifestants ont bravé, une fois de plus, les conditions climatiques de début d'année civile, pour défendre la vie : de sa conception à sa mort naturelle. Nous mettons à votre disposition le discours de lancement de cette édition 2019. 

    Cette année, nous ne marcherons pas seulement pour la vie, nous marcherons aussi pour la liberté ! Loi sur le délit d’entrave numérique à l’IVG votée en 2017, projet porté en 2018 par Laurence Rossignol de supprimer la clause de conscience des professionnels de santé, crises d’hystérie dans les bureaux de Marlène Schiappa et déclarations incendiaires dès que quelqu’un ose remettre en cause le droit à l’avortement ou dénoncer les manipulations sur l’embryon... Faut-il continuer la liste de ces attaques multiples, incessantes, contre le droit à la vie et la liberté de conscience ?

    Nous posons aujourd’hui solennellement la question à Emmanuel Macron ainsi qu’à tout son gouvernement : à quoi ressemble un pays dans lequel les médecins, les sages-femmes et les infirmiers sont tenus de marcher au pas de l’État ?

    À quoi ressemble un pays où il est interdit de dire que toute vie humaine doit être respectée, même si elle est inattendue, fragile ou malade ?

    À quoi ressemble ce pays ? J’ai bien une idée et je vais vous donner un indice, c’est un mot qui commence par « dicta » et qui finit par « ture ».

    Il a fière allure, le pays des droits de l’homme... C’est clair, notre liberté de dire que l’avortement est un drame, notre liberté de dire qu’un enfant n’est pas une variable d’ajustement, notre liberté de réclamer une politique de santé respectueuse de toute vie, bref, cette liberté fait peur au gouvernement parce qu’elle met en cause la logique qui prévaut depuis la dépénalisation de l’avortement et qui a fait de l’enfant un droit dont disposent les adultes. 

    Nous qui marchons aujourd’hui, mais vous tous aussi qui nous écoutez, qui nous regardez passer et qui, peut-être, n’êtes pas d’accord avec nous..., vous êtes plus qu’un projet parental qui a bien fini ! Vous êtes une personne, que l’on vous ait désirée, aimée, attendue ou pas ! 

    Sommes-nous, encore en 2019, à ce point dénués de créativité, de solidarité et de courage politique que nous ne sachions pas répondre autrement que par l’avortement à la détresse d’une femme ?

    Sommes-nous, encore en 2019, à ce point dénués de sens commun que nous prenions pour une avancée sociale le fait de congeler le petit de l’homme en attendant que l’on veuille bien de lui ? Car il faut en prendre conscience : aujourd’hui, ce sont quelque 230 000 embryons congelés qui attendent dans les CECOS que l’on décide de leur vie ou de leur mort, soit l’équivalent de la ville de Bordeaux plongée dans l’azote liquide...

    Sommes-nous, encore en 2019, assez cruels pour regarder sans ciller se développer un marché de l’humain, où les enfants sont fabriqués, vendus, soldés... au gré des désirs des adultes ?

    Sommes-nous, encore en 2019, aveugles et incapables de voir combien l’avortement s’est banalisé au point qu’il est plus facile dans ce pays de se débarrasser d’un enfant que de prendre un rendez-vous chez un opticien ?

    « Occupez-vous de vous ! Laissez-nous avorter, c’est notre utérus et pas le vôtre », nous disent-elles ! C’est vrai... Et pourtant nous sommes là ! Nous sommes là parce que nous constatons depuis trop longtemps l’échec de cet individualisme et parce que l’on ne bâtit par une société avec de l’égoïsme mais avec de la solidarité, parce que l’on ne construit pas une société en refusant de se soucier d’autre chose que de son nombril. C’est vrai, c’est exigeant, c’est vrai, cela demande du courage et de la ténacité... Mais je crois que la France en est capable.

    Alors, aujourd’hui, et aussi longtemps qu’il le faudra, nous serons la voix des enfants qui ne pourront jamais parler.

    Nous serons le visage des femmes que l’on ne regarde pas pleurer. 

    Nous serons la protestation salutaire des professionnels de santé que l’on voudrait faire marcher au pas. 

    En un mot, nous sommes depuis treize ans déjà et nous serons cette année encore, le caillou dans la chaussure du moralement correct !

    Parce que notre liberté de choisir la vie n’est pas une option !

    https://www.hommenouveau.fr/2756/culture-de-vie---contreculture-de-mort/discours-de-lancement-de-la-marche-pour-la-vie.htm

  • À quoi ressemble un pays où il est interdit de dire que toute vie humaine doit être respectée ?

    À quoi ressemble un pays où il est interdit de dire que toute vie humaine doit être respectée ?

    Le 20 janvier, Adélaïde Pouchol, rédctrice en chef adjointe de L’Homme Nouveauétait porte-parole de la Marche pour la VieVoici son discours :

    Cette année, nous ne marcherons pas seulement pour la vie, nous marcherons aussi pour la liberté ! Loi sur le délit d’entrave numérique à l’IVG votée en 2017, projet porté en 2018 par Laurence Rossignol de supprimer la clause de conscience des professionnels de santé, crises d’hystérie dans les bureaux de Marlène Schiappa et déclarations incendiaires dès que quelqu’un ose remettre en cause le droit à l’avortement ou dénoncer les manipulations sur l’embryon… Faut-il continuer la liste de ces attaques multiples, incessantes, contre le droit à la vie et la liberté de conscience ?

    Nous posons aujourd’hui solennellement la question à Emmanuel Macron ainsi qu’à tout son gouvernement : à quoi ressemble un pays dans lequel les médecins, les sages-femmes et les infirmiers sont tenus de marcher au pas de l’État ?

    À quoi ressemble un pays où il est interdit de dire que toute vie humaine doit être respectée, même si elle est inattendue, fragile ou malade ?

    À quoi ressemble ce pays ? J’ai bien une idée et je vais vous donner un indice, c’est un mot qui commence par « dicta » et qui finit par « ture ».

    Il a fière allure, le pays des droits de l’homme… C’est clair, notre liberté de dire que l’avortement est un drame, notre liberté de dire qu’un enfant n’est pas une variable d’ajustement, notre liberté de réclamer une politique de santé respectueuse de toute vie, bref, cette liberté fait peur au gouvernement parce qu’elle met en cause la logique qui prévaut depuis la dépénalisation de l’avortement et qui a fait de l’enfant un droit dont disposent les adultes.

    Nous qui marchons aujourd’hui, mais vous tous aussi qui nous écoutez, qui nous regardez passer et qui, peut-être, n’êtes pas d’accord avec nous…, vous êtes plus qu’un projet parental qui a bien fini ! Vous êtes une personne, que l’on vous ait désirée, aimée, attendue ou pas !

    Sommes-nous, encore en 2019, à ce point dénués de créativité, de solidarité et de courage politique que nous ne sachions pas répondre autrement que par l’avortement à la détresse d’une femme ?

    Sommes-nous, encore en 2019, à ce point dénués de sens commun que nous prenions pour une avancée sociale le fait de congeler le petit de l’homme en attendant que l’on veuille bien de lui ? Car il faut en prendre conscience : aujourd’hui, ce sont quelque 230 000 embryons congelés qui attendent dans les CECOS que l’on décide de leur vie ou de leur mort, soit l’équivalent de la ville de Bordeaux plongée dans l’azote liquide…

    Sommes-nous, encore en 2019, assez cruels pour regarder sans ciller se développer un marché de l’humain, où les enfants sont fabriqués, vendus, soldés… au gré des désirs des adultes ?

    Sommes-nous, encore en 2019, aveugles et incapables de voir combien l’avortement s’est banalisé au point qu’il est plus facile dans ce pays de se débarrasser d’un enfant que de prendre un rendez-vous chez un opticien ?

    « Occupez-vous de vous ! Laissez-nous avorter, c’est notre utérus et pas le vôtre », nous disent-elles ! C’est vrai… Et pourtant nous sommes là ! Nous sommes là parce que nous constatons depuis trop longtemps l’échec de cet individualisme et parce que l’on ne bâtit par une société avec de l’égoïsme mais avec de la solidarité, parce que l’on ne construit pas une société en refusant de se soucier d’autre chose que de son nombril. C’est vrai, c’est exigeant, c’est vrai, cela demande du courage et de la ténacité… Mais je crois que la France en est capable.

    Alors, aujourd’hui, et aussi longtemps qu’il le faudra, nous serons la voix des enfants qui ne pourront jamais parler.

    Nous serons le visage des femmes que l’on ne regarde pas pleurer.

    Nous serons la protestation salutaire des professionnels de santé que l’on voudrait faire marcher au pas.

    En un mot, nous sommes depuis treize ans déjà et nous serons cette année encore, le caillou dans la chaussure du moralement correct !

    Parce que notre liberté de choisir la vie n’est pas une option !

    https://www.lesalonbeige.fr/a-quoi-ressemble-un-pays-ou-il-est-interdit-de-dire-que-toute-vie-humaine-doit-etre-respectee/

  • La 13ème Marche pour la vie a eu lieu dimanche, en attendant de nouvelles mobilisations contre la PMA

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    FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    La Marche pour la vie est une manifestation annuelle organisée à Paris afin de protester contre l’avortement. Dimanche dernier se tenait la treizième édition de ce rassemblement engagé en faveur de la vie.
    « L’IVG ne supprime que des innocents » pouvait-on lire sur les pancartes des manifestants.

    Le cœur de la lutte reste la banalisation de l’avortement, ainsi que la loi Veil, même si tous les participants, 50.000 selon les organisateurs et 7.400 selon la police, ne souhaitent pas sa suppression pure et simple. L’urgence pragmatique est d’abord d’offrir une autre perspective aux personnes se représentant l’avortement comme la seule solution.

    L’actualité est aussi marquée par les conclusions du rapport de la mission parlementaire sur la bioéthique.

    Ce travail réalisé par le député Jean-Louis Touraine inquiète les organisateurs tant il tend à bouleverser les processus naturels de procréation. Les propositions finales soutiennent l’ouverture de la PMA (procréation médicalement assistée) aux couples de femmes et son remboursement par la Sécurité sociale, ainsi que la « dérégulation des pratiques sur l’embryon humain », selon les organisateurs.

    Selon le professeur Guillaume Bernard, l’avortement reste la matrice de toutes ces « dérives sociétales ».

    Ce militant de l’union des droites a rappelé que la situation s’était même aggravée en la matière, citant notamment la suppression du délai de réflexion de sept jours ou de la condition de situation de détresse psychologique ou matérielle. Il voit dans l’avortement non seulement une atteinte contre des enfants innocents mais aussi une « agression contre la cohésion intergénérationnelle et culturelle du corps social ».

    https://fr.novopress.info/

  • Encore une convergence entre les Gilets jaunes, la Manif pour Tous et la Marche pour la vie

    Encore une convergence entre les Gilets jaunes, la Manif pour Tous et la Marche pour la vie

    Pourtant Le Salon Beige n’y est pour rien (enfin je crois). CheckNews, le site de décryptage de l’info de Libération, s’étonne de retrouver la même banderole dans plusieurs manifestations différentes.

    A la Manif Pour Tous :

    Dans les manifestations de Gilets jaunes :

    A la Marche pour la vie :

    Bon alors, ces élus, vont-ils rendre des comptes ?

    https://www.lesalonbeige.fr/encore-une-convergence-entre-les-gilets-jaunes-la-manif-pour-tous-et-la-marche-pour-la-vie/

  • La violence est au coeur de la logique de notre République

    La violence est au coeur de la logique de notre République

    De Philippe Maxence dans le dernier numéro de L’Homme Nouveau :

    […] Depuis le début du mouvement des Gilets jaunes, la violence des affrontements ne cesse d’étonner. La destruction de la porte d’entrée d’un ministère où se trouvait Benjamin Griveaux, porte-parole du gouvernement, a même choqué. Malgré tout, il y a eu plus de peur que de mal et d’ailleurs le représentant du gouvernement a vite retrouvé ses talents oratoires : « Ce n’est pas moi qui étais attaqué, c’est la République ».

    Il est beaucoup question de celle-ci depuis que cette révolte inédite a enflammé le pays. Mais de part et d’autre, on se réclame justement de la démocratie et de la République, dernier élément « sacré » d’un système séculier qui s’est pourtant entièrement construit sur le refus de tout rapport entre le sacré et le politique.

    Il est d’ailleurs paradoxal de constater que la violence est mise en cause par les représentants du système politique et moral dans lequel nous sommes enserrés. D’abord parce que génération après génération, on exalte à l’école et par tous les moyens de la culture, la geste épique de la Révolution de 1789, la prise de la Bastille, les grands ancêtres et jusqu’aux assassins de la Vendée dont certains ont leurs noms gravés sur l’Arc de Triomphe. Dès lors, il n’est pas étonnant que cet imaginaire partagé habite aussi la révolte des Gilets jaunes et l’inspire.

    Mais, plus fondamentalement, il faut redire que le système lui-même s’est entièrement bâti à partir d’actes d’une violence extrême et qu’il y trouve sa légitimité originelle. La République a été engendrée par la Révolution française à laquelle la cinquième du nom se réfère directement dans le préambule de la Constitution. Elle assoit également sa légitimité dans les violences de l’épuration de 1944 et la guerre civile née du conflit algérien qui ont empêché une réconciliation nationale. Elle repose toujours sur l’acte de violence par excellence qu’est l’avortement provoqué, légalisé, remboursé, promu officiellement comme « un droit » et dont la pseudo « légitimité » est reconnue par tous les acteurs politiques de notre République. La confrontation est au cœur même de la logique d’un système qui ne vise pas le bien commun et l’amitié politique mais l’équilibre entre des intérêts divergents. La violence, physique, symbolique, verbale, institutionnelle, n’est donc pas un accident ou un coup de fièvre de notre République. Elle l’a fondée et naturellement elle y réside comme dans son milieu naturel.

    Il est impossible pour l’heure de prévoir la suite des évènements. Les forces en jeu sont importantes, même si elles sont déséquilibrées. Dans un essai percutant intitulé Du pouvoir, dans la modernité et la postmodernité (Hora Decima), le sociologue espagnol Javier Barraycoa écrivait que « le pouvoir, en tant que structure moderne, se complaît à universaliser le relatif et à relativiser l’universel. C’est là, peut-être, l’un des plus subtils principes du totalitarisme ». L’avenir dira si nous sommes actuellement face à un retour du réel ou un épisode supplémentaire d’autodissolution portée par le nihilisme de la modernité tardive. On demande juste aux catholiques de n’être pas une fois de plus les dupes qui renforcent, sous prétexte de bonne volonté, les structures de mort et la véritable violence illégitime. 

    https://www.lesalonbeige.fr/la-violence-est-au-coeur-de-la-logique-de-notre-republique/

  • L’avortement s’invite dans la constitution de la liste LR aux européennes

    L’avortement s’invite dans la constitution de la liste LR aux européennes

    François-Xavier Bellamy été interrogé hier dans JDD, notamment sur son opposition à l’avortement.

    “Cette question de l’IVG est une conviction personnelle que j’assume. Mais je comprends qu’elle ne soit pas partagée, et vous ne trouverez de ma part aucune parole offensante ni aucun jugement”

    Alors que son nom est avancé depuis quelques jours pour mener la liste des Républicains aux prochaines élections européennes, cette petite phrase a aussitôt été utilisée par la police de la pensée comme Marlène Schiappa :

    « Alors même que la France vient de lancer une campagne européenne pour la ratification de la convention d’Istanbul, voilà que les Républicains veulent envoyer au Parlement européen : un anti-IVG ».

    Aurore Bergé, porte-parole du groupe LREM à l’Assemblée nationale, a également appuyé :

    « ‘Jeune et brillant… et hostile à l’IVG’. S’il est choisi pour être l’incarnation de la droite aux européennes, c’est aussi à un choix de société et de civilisation que les Français auront à répondre. Aux législatives, déjà les électeurs lui avaient dit non ! ».

    Le philosophe sera-t-il défendu par LR ?… En attendant, il se défend en publiant un extrait vidéo datant de janvier 2018, dans lequel il exposait, sur France 5, son raisonnement sur le sujet.

    « Pourquoi est-ce qu’on ne pourrait pas se mettre tous d’accord pour se dire que ce devrait être un objectif public de santé publique de faire baisser le nombre d’avortements en France, et que notre système de prévention, aujourd’hui, n’y parvient pas »

    Vidéo intégrée
    Fx Bellamy
    @fxbellamy

    Le JDD cherche opportunément à m'enfermer dans une caricature. Voici simplement ce que j'ai répondu à une question sur l'IVG il y a quelques mois. Si se préoccuper sincèrement de ce qui touche tant de femmes suffit à se faire insulter, alors comment parler ensemble sereinement ? 

    1 590 personnes parlent à ce sujet 

    Et il interroge aujourd’hui :

    « Le JDD cherche opportunément à m’enfermer dans une caricature. Voici simplement ce que j’ai répondu à une question sur l’IVG il y a quelques mois. Si se préoccuper sincèrement de ce qui touche tant de femmes suffit à se faire insulter, alors comment parler ensemble sereinement ? »

    En attendant que les habituels frileux de LR le défendent ou hurlent avec les loups, cette polémique relance la question du droit à la liberté d’expression sur l’avortement :


  • Zoom exclusif : reportage de TVL à La Marche pour la Vie

    Loin des caricatures, TV Libertés prend le temps de partir à la rencontre des Marcheurs… pour la Vie qui, chaque année, remplissent les rues de la Capitale pour dénoncer la PMA, la GPA et l’extension du droit à l’avortement. Qui sont-ils ? Quelles sont leurs exigences dans un profond contexte de défiance vis à vis du gouvernement ? Réponses dans ce reportage.

    https://www.tvlibertes.com/exclusif-reportage-de-tvl-a-la-marche-pour-la-vie

  • La Marche pour la vie dans la presse

    La Marche pour la vie dans la presse

    La loi du silence a été brisée : l’ensemble de la presse parle de cette 13e Marche pour la vie. Ceux qui ont participé aux premières marches pour la vie se souviennent que l’AFP ne daignait pas publier une dépêche…

    • France Info : “Les manifestants portent des foulards bleus sur lesquels on peut lire : “En marche pour la vie 20 janvier 2019.” “Macron, Macron, touche pas aux embryons“, scandent-ils aussi, derrière une banderole de tête affirmant “la vie n’offre aucune garantie, l’avortement ne laisse aucune chance”.”
    • Libération (AFP): “La marche d’aujourd’hui est «l’acte premier de la mobilisation citoyenne contre la révision de la loi bioéthique», a-t-il [Nicolas Sévillia] ajouté.”
    • RT France : “«L’avortement salit les consciences», «C’est mon corps pas ton choix», pouvait-on lire sur les nombreuses banderoles brandies par les protestataires, parmi lesquels figuraient de nombreuses familles et des religieux.”
    • Actu Orange : “Viviane Lambert, qui contestera lundi lors d’une nouvelle audience à Chalons-en-Champagne la procédure d’arrêt des soins pour son fils Vincent, en état végétatif depuis dix ans, s’est déclarée au micro “très impressionnée de voir tout ce monde pour défendre la vie”. “Nous commençons à être usés par cette histoire (…) mais Vincent résiste et nous résisterons avec lui jusqu’au bout”, a-t-elle ajouté.”
    • Le Monde : Des milliers d’opposants à l’avortement – 7 400 selon la préfecture de police – ont commencé à défiler, dimanche 20 janvier, à Paris à la treizième « marche pour la vie », pour dire « stop à la banalisation de l’IVG » et défendre la « clause de conscience » des médecins qui refusent de pratiquer des avortements. Estimant que « la banalisation de l’avortement n’a jamais été aussi forte » en France, les manifestants réclament une « politique de santé digne de ce nom, visant à diminuer »les quelque 220 000 IVG annuelles.
    • Le Parisien : “Les opposants à l’avortement ou encore à la PMA ont rassemblé un bon nombre de leurs partisans ce dimanche à Paris.”
    • Le Dauphiné : “Un sénateur argentin, Mario Fiad, a pris la parole en début de rassemblement pour «soutenir» la marche. Le Sénat argentin a voté en août contre l’avortement, après des débats marqués selon lui par de «très fortes pressions» venant d’organisations internationales.”
    • Huffington : “Plusieurs milliers de personnes, dont beaucoup de jeunes, ont commencé à défiler à Paris pour la 13e “Marche pour la vie””
    • JM Morandini : “dans le “contexte” du mouvement des gilets jaunes, Nicolas Sévillia, délégué général de la Marche, a expliqué qu'”au-delà de la “détresse sociale”, c’est “aussi une souffrance immatérielle” qui s’exprime.”
    • Le Figaro : «Comme les “gilets jaunes”, nous dénonçons le mépris des politiques pour les citoyens. Nous sommes les exclus du grand débat national», jugeait Nicolas Sévillia, délégué général de la Marche pour la vie.”
    • Le Point : “Marie, 21 ans, étudiante en faculté de droit, participe elle depuis quatre ans à la marche. « Cette manif, elle représente tout ce qu’on veut défendre, ce qui est menacé par les nouvelles lois », dit-elle.”
    • Paris Match : “Venue en famille, avec son mari et ses trois enfants, Valérie de Beauregard “trouve incroyable” que l’objection de conscience des médecins puisse être remise en cause. “La liberté de l’homme, c’est la conscience”, souligne-t-elle. Elle veut aussi défendre, en s’opposant à la procréation médicalement assistée (PMA) pour toutes, “le droit à la filiation, qui est inaliénable”.
    • Valeurs Actuelles : “Une foule nombreuse et jeune.”

    https://www.lesalonbeige.fr/la-marche-pour-la-vie-dans-la-presse-4/

  • Beaucoup de monde à la Marche pour la Vie

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    Plusieurs dizaines de milliers de personnes ont participé ce dimanche à Paris, entre la Porte Dauphine et le Trocadéro, à la Marche pour la Vie. Comme chaque année au milieu du mois de janvier les mouvements anti-avortements ont fait une véritable démonstration de force.

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    Plusieurs responsables politique comme Christian Baeckeroot, du Parti de la France (photo ci-dessus), Alexandre Simonot des Comités Jeanne ou Karim Ouchikh, Président du SIEL, sont venus apporter le soutien de leurs mouvements à cette manifestation.

    1797049867.jpgProfitant de l'occasion pour étendre le domaine des luttes, un tract de Synthèse nationale cliquez ici a été massivement distribué (à plus de 8000 exemplaires) pour sensibiliser les manifestants au scandale des éoliennes. Ce tract les invitait à lire le livre d'Alban d'Arguin Eoliennes, un scandale d'Etat cliquez ici.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Patricia Sandoval : Après 3 IVG et la drogue, une rencontre…

    Pour commander son livre.

    https://www.lesalonbeige.fr/patricia-sandoval-apres-3-ivg-et-la-drogue-une-rencontre/