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avortement et euthanasie - Page 31

  • La “justice” française fait un nouveau pas en faveur de la vente d’enfants

    La “justice” française fait un nouveau en faveur de la vente d’enfants

    La gestation pour autrui est interdite en France mais le tribunal de grande instance de Nantes a reconnu jeudi la « mère d’intention » d’une enfant née à l’étranger de gestation pour autrui.

    L’enfant née d’une mère porteuse à Orlando (Floride) aux États-Unis obtient le droit d’être inscrite sur l’état civil français, avec le nom de son père biologique, citoyen américain, et celui de sa mère dite d’intention. Cette transcription intégrale marque un tournant dans la reconnaissance de la filiation maternelle des enfants nés de GPA. Jusqu’ici la jurisprudence s’en était tenue aux arrêts de la Cour de cassation estimant que l’acte de naissance ne pouvait être « retranscrit que partiellement à l’état civil français en ce qu’il désigne le père biologique, mais pas en ce qu’il désigne la mère d’intention. »

    https://www.lesalonbeige.fr/la-justice-francais-fait-un-nouveau-en-faveur-de-la-vente-denfants/

  • Etats-Unis : les pro-vie obligent la gauche à faire de l’avortement un sujet central

    Etats-Unis : les pro-vie obligent la gauche à faire de l’avortement un sujet central

    Lu dans Présent :

    Les parlementaires républicains de l’Etat de l’Alabama savaient très bien qu’en proposant et en votant une loi qui interdit l’avortement, sauf dans les cas d’extrême danger pour la mère, ils allaient déclencher, sur le plan national, une tempête politique dont le souffle durerait jusqu’aux élections de novembre 2020Ils savaient également qu’en portant brutalement le fer dans le plus intouchable des tabous actuels, ils parviendraient non seulement à reprendre l’initiative sur un terrain ultra-sensible mais aussi à tendre un piège à leurs adversaires démocrates. Les deux buts furent amplement atteints et même dépassés. La tempête consiste à remettre en question, pour la première fois de son histoire institutionnelle, l’existence même de l’avortement, sa légitimité, sa légalité, décidées par la Cour suprême en 1973.Le piège réside dans l’obligation pour la gauche de considérer désormais l’avortement comme un débat central, incontournable et déterminant alors qu’elle lui aurait préféré des combats dont elle aurait pu tirer davantage de profits comme la dette publique, le contrôle des armes ou l’assurance santé.

    C’est sous les boulets rouges tirés par tout ce que les Etats-Unis comptent de médias que le gouverneur de l’Alabama, Kay Ivey, signa la semaine dernière la loi (adoptée par 74 voix contre 3 à la Chambre locale et 25-6 au Sénat) qui fait de son Etat le sanctuaire de vie le plus emblématique du pays. Les avorteurs n’y ont plus de position de repli. Ils sont traqués même en cas de viol ou d’inceste. Ce radicalisme s’explique. La loi apparaît comme un défi lancé à la Cour suprême afin qu’elle dénonce sa funeste décision. Et en même temps, la loi fait appel au 14e amendement (1868) pour qu’il l’aide à triompher dans ce bras de fer avec les neuf juges. Que dit ce 14e amendement ? « Aucune personne n’a le droit d’être privée illégalement de la vie, la liberté ou la propriété. » Mais, une « personne », qui est-ce ? En 1973, la Cour suprême n’a pas précisé de définition. L’Alabama en propose une : dans le ventre de sa mère, un enfant dont le cœur bat, les oreilles entendent et les nerfs fonctionnent peut être considéré comme une personne. C’est l’argument qui sera présenté aux neuf juges. Avec l’espoir que cinq d’entre eux, au moins, mettront fin au terrible génocide.

    Car le gouverneur de l’Alabama ne se fait aucune illusion. Ce dramatique débat enferré depuis le début dans le mécanisme démocratique ne trouvera pas son issue après le vote d’une majorité d’élus mais après les conciliabules de juges nommés. Les procès contre l’Etat pionnier vont pleuvoir. Il est à prévoir des échecs dans les cours fédérales et d’appel. D’autant que la loi ne fait aucune exception en cas de viol et d’inceste. « Elle ne pouvait pas en faire, explique Terri Collins, auteur du projet de loi. Par simple logique : on affirme qu’un enfant à naître est une personne. C’est un absolu. Il est une personne quels que soient les crimes éventuels de son père. Toute restriction détruirait notre argument. » Six Etats (Géorgie, Kentucky, Mississippi, Ohio, Missouri et Texas) ont suivi l’exemple de l’Alabama en prenant récemment des mesures qui restreignent plus ou moins l’accès à l’avortement. Pour tous, également, des juges vont trancher. Et pour tous, le dernier recours restera la Cour suprême. Le président Donald Trump, en 2017 et 2018, y a imposé deux juges pro-vie en plus de ceux qui s’y trouvaient déjà. Les démocrates risquent d’avoir à regretter ce handicap. D’autant qu’ils traîneront derrière eux jusqu’à l’élection l’exemple odieux de New York où le gouverneur a signé en janvier dernier une loi qui autorise l’avortement jusqu’à la naissance. Loi extrême que 77% des électeurs américains – y compris des « pro-choix » – rejettent. Du radical, mais vers la mort. L’exact contraire de l’Alabama.

    https://www.lesalonbeige.fr/etats-unis-les-pro-vie-obligent-la-gauche-a-faire-de-lavortement-un-sujet-central/

  • Directives anticipées : la vraie fausse solution ? – Journal du mercredi 22 mai 2019

    Directives anticipées : la vraie fausse solution ?

    Alors que le débat sur l’euthanasie revient sur le devant de la scène politique, de nombreuses personnalités proposent le recours de chacun à la rédaction de “directives anticipées”. Une idée d’apparence séduisante mais qui n’est pas sans poser de multiples problèmes juridiques et éthiques.

    L’homéopathie dans le collimateur d’Agnès Buzyn

    Inefficace, trop chère, l’homéopathie fait débat depuis plusieurs mois. Un rapport de la Haute autorité de Santé prévu pour juin laisse entendre que les médicaments de cette médecine alternative ne seront bientôt plus remboursés… L’objectif : une prétendue réduction des coûts pour la Sécurité Sociale.

    Syrie : Donald Trump s’impose au proche-Orient

    Une semaine après le regain de tension avec l’Iran, Donald Trump menace, cette fois-ci, la Syrie après des accusations d’attaques chimiques au nord du pays. Des menaces aux airs de guerre de communication pour assurer les intérêts étasuniens dans la région.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/directives-anticipees-la-vraie-fausse-solution-journal-du-22-mai-2019

  • C’est la république qu’il faut euthanasier, et non Vincent Lambert !

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    Alain Escada, président de Civitas

    La mise à mort de Vincent Lambert a débuté ce matin : il s’agit là ni plus ni moins d’un assassinat aggravé par le fait qu’il s’agit d’une personne vulnérable.

    Assassinat car cette mise à mort ne passe pas par un arrêt des soins, mais par une privation de son alimentation et de son hydratation, chose nécessaire à chaque être vivant. La mauvaise foi du docteur Sanchez et du gouvernement se démontre un peu plus dans leur refus d’accepter le transfert vers l’un des sept centres spécialisés qui avaient dit leur volonté d’accueillir Vincent Lambert.

    Que l’on se cache ou pas derrière la loi Léonetti, cette mise à mort constitue un crime.

    C’est cette république maçonnique qu’il faut euthanasier, et non Vincent Lambert.

    C’est la franc-maçonnerie, à l’origine de cette république et de quantité de ses lois scélérates, qui promeut la culture de mort pour les innocents et sauve la vie des criminels !

    Civitas rappelle son opposition farouche à cette culture de mort, de l’avortement à l’euthanasie.

    Un jour viendra, tôt ou tard, où Emmanuel Macron et le Dr Sanchez devront rendre des comptes.

    Emmanuel Macron, en tant que Chef de l’Etat, avait le devoir de protéger les plus vulnérables. Il porte désormais le poids de la condamnation à mort imposée à Vincent Lambert, au seul motif d’être une personne handicapée.

    Le Dr Sanchez, en tant que médecin, avait le devoir de protéger la Vie. Il vient de parjurer son serment d’Hippocrate et se rend l’exécutant d’un crime d’Etat.

    Désormais, les personnes handicapées sont à la merci de tous les abus de cette république maçonnique.

    Mais un jour viendra où justice sera rendue et où ceux qui sont coupables d’avoir prémédité la mise à mort d’innocents devront être punis sans pitié.

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  • La Cour d’appel de Paris appelle à faire vivre Vincent Lambert !

    La Cour d’appel de Paris appelle à faire vivre Vincent Lambert !

    On a gagné ! Hurle Me Jérôme Triomphe. La justice a tranché. Vincent doit être réanimé !

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  • Marion Maréchal : “Le principe est donc renversé, notre société peut tuer de très grands handicapés au nom de la dignité et peut-être, surtout, des économies”

    Marion Maréchal : “Le principe est donc renversé, notre société peut tuer de très grands handicapés au nom de la dignité et peut-être, surtout, des économies”

    Marion Maréchal a pris position aujourd’hui pour la survie de Vincent Lambert, dans un texte publié par Valeurs actuelles :

    “Ce lundi 20 mai, pour la première fois, l’Etat français autorise l’euthanasie d’un être humain. Le terme, trop violent, n’est pas employé et pourtant il ne s’agit pas d’autre chose. Vincent dont le corps est paralysé et non inanimé, qui ne peut pas communiquer mais n’est pas en état végétatif, va être volontairement privé d’eau et de nourriture jusqu’à ce que mort s’en suive. Il n’y aura rien à débrancher, Vincent vit par lui-même. Et pour se donner bonne conscience, car l’agonie sera longue, le corps médical l’endormira. Comme on endort un chien qui va se faire piquer chez le vétérinaire.

    1700 personnes sont dans son cas. À partir d’aujourd’hui, le principe est donc renversé, notre société peut tuer de très grands handicapés au nom de la dignité et peut-être, surtout, des économies. La famille se déchire, le corps médical s’oppose et beaucoup voient dans les dix dernières années de vie de Vincent un calvaire à abréger.

    Seulement voilà, ce n’est pas à nous de décider qui est digne de vivre ou de mourir, quelle vie est acceptable ou ne l’est pas. C’est à nous, en revanche, de prendre soin des plus faibles et des plus dépendants d’entre nous. Sauf à tuer notre honneur, en même temps que Vincent Lambert.

    Selon moi, le cas Vincent Lambert est instrumentalisé pour permettre une application plus large de la loi sur l’euthanasie, voire pour préparer les esprits à une nouvelle loi plus laxiste.  C’est pourquoi je prends position aujourd’hui.”

    https://www.lesalonbeige.fr/marion-marechal-ce-nest-pas-a-nous-de-decider-qui-est-digne-de-vivre-ou-de-mourir-mais-cest-a-nous-en-revanche-de-prendre-soin-des-plus-faibles-et-dependants-dentre-n/

  • Nouvelles déclarations délirantes de Marlène Schiappa

    Nouvelles déclarations délirantes de Marlène Schiappa

    Sur RMC, Marlène Schiappa a fait plusieurs déclarations :

    Elle a assuré que le projet de loi sur la PMA étendue sera présenté en conseil des ministres avant les vacances d’été. La PMA sera-t-elle remboursée? “Nous verrons”…

    Puis elle a enchainé sur la GPA, l’étape suivante :

    je suis à l’écoute de tout un chacun sur le sujet.

    Enfin, dans son délire, elle affirme :

    “le droit à l’avortement est en danger partout”.

    C’est faux :

    • Il y a plus de 200 000 avortements par an en France
    • Selon les Nations Unies, 150 millions de filles manquent à l’appel dans le monde. En raison des avortements des bébés filles. Mais cela ne gène pas la secrétaire d’Etat chargée de l’Egalité entre les femmes et les hommes. Le déséquilibre filles-garçons s’est encore creusé avec l’arrivée des techniques de dépistage prénatal (à partir des années 1980). Lesquels s’accompagnent d’un recours massif à des avortements de fœtus féminins.
  • Acte de racisme absolu contre l’être humain, la mise à mort de Vincent Lambert serait un crime d’État

    Acte de racisme absolu contre l’être humain, la mise à mort de Vincent Lambert serait un crime d’État

    Selon l’Agrif :

    De partout montent les appels vers le président de la République qui, seul, a désormais le pouvoir d’empêcher le meurtre par euthanazie idéologiquement programmé.

    La mise à mort de Vincent Lambert prendrait une signification terrible : la volonté mûrement décidée d’un acte de transgression de la loi morale universelle, celle du Décalogue, fondement de la civilisation du respect de la vie innocente, ordonné par le quatrième des commandements du Décalogue : « Tu ne tueras pas ». Décalogue pas seulement destiné au seul peuple juif de l’Ancien Testament et donc aux chrétiens mais de portée universelle.

    L’obligation morale et légale du respect de la vie de l’être humain innocent, c’est ce qui fait depuis toute la différence entre civilisation barbare et civilisation humaniste.

    Ce n’est pas seulement madame Agnès Buzyn, ministre de la santé, indifférente au respect du serment d’Hippocrate, qui a pris la terrible responsabilité de piétiner la décision de la Commission internationale de défense des personnes handicapées de l’ONU, au mépris des accords signés par la France.

    Elle n’a pu annoncer cette décision barbare que sous l’autorité du président de la République française.

    Emmanuel Macron, s’il choisissait la mort et non la vie pour Vincent Lambert, porterait en tant que chef de l’État la terrible responsabilité devant Dieu et devant les hommes d’assumer un acte, le plus absolu, de transgression morale.

    Il y perdrait aussi sa véritable légitimité qui ne peut être fondée que sur le devoir de protéger son peuple et d’agir pour le respect de la vie des plus faibles.

    https://www.lesalonbeige.fr/acte-de-racisme-absolu-contre-letre-humain-la-mise-a-mort-de-vincent-lambert-serait-un-crime-detat/

  • Serge Abad-Gallardo, «Euthanasie, la franc maçonnerie est à la manœuvre»

    Entretien exclusif avec Armel Joubert des Ouches sur réinformation.tv

    Après avoir passé plus de vingt ans au sein des loges maçonniques du Droit humain, une émanation du Grand Orient, Serge Abad-Gallardo, ancien haut fonctionnaire, converti au catholicisme, avait livré son parcours au lecteur dans un premier livre « J’ai frappé à la porte du temple ». Il revient aujourd’hui avec la sortie d’un nouvel ouvrage intitulé « Les manœuvres de la franc-maçonnerie pour le “droit à mourir” ».

    Serge Abad-Gallardo sait de quoi il parle

    L’euthanasie. On en parle beaucoup en France depuis ces 10 dernières années. Il y a eu l’affaire Vincent Humbert. Il y a eu ensuite le douloureux dossier Vincent Lambert, dossier toujours en cours actuellement. Deux événements sur lesquels les médias et le monde politique se sont appuyés pour faire « la promotion » de l’euthanasie, une mort selon eux « lente mais digne et sans souffrance ». Depuis sa conversion au catholicisme, Serge Abad-Gallardo est directement concerné par le sujet. Depuis 2012, de façon bénévole, il visite les malades. Dans le cadre d’une pastorale de la santé, il a intégré une aumônerie catholique. Affecté dans le service de soins palliatifs d’un hôpital public, Serge Abad-Gallardo accompagne des mourants avant leur décès. A ce jour, il s’est rendu au chevet de plusieurs centaines de personnes. « J’ai vécu de véritables d’amour avec des hommes et des femmes, sur le plan spirituel, explique-t-il. Ce sont des gens qui sont devenus mes amis et je pense avoir été leur ami. Quelqu’un que vous ne connaissez pas, vous entrez dans une chambre, vous le suivez pendant 2 semaines, 2 mois. Et lorsque vous terminez, vous prenez sa main et il part en vous regardant. Il n’est pas indigne et vous non plus. Vous n’êtes pas son bourreau. Vous l’accompagnez sur un chemin que lui seul peut prendre qui le chemin du mystère. Ce mystère que la franc-maçonnerie refuse de voir. Pour la franc-maçonnerie, il n’y a pas de mystère, il n’y a que des secrets ! Voilà encore une différence énorme entre le catholicisme et la franc-maçonnerie ».

    Une fixation sur la franc-maçonnerie ?

    Selon Serge Abad-Gallardo, pour se convaincre de l’implication de la franc-maçonnerie dans les débats qui ont lieu depuis de nombreuses années visant à imposer l’euthanasie dans la société française, il suffit juste de juger des faits. « Et les faits parlent d’eux-mêmes. Lorsqu’on lira mon livre, explique-t-il, on s’apercevra que la franc-maçonnerie est à la manœuvre derrière l’idéologie mortifère qui tend à vouloir imposer l’euthanasie dans la loi française ». L’auteur dit confirmer ses propos par des écrits maçonniques.

    Les idéaux de la FM sont inscrits dans la société française

    « Le tout premier projet de loi enregistré aux assemblées date de 1976. C’est le sénateur Henri Caillavet qui en est le rapporteur ou même l’auteur. Monsieur Romero, président de l’association pour le droit à mourir dans la dignité expliquait, dans une interview accordée à un journaliste, que Monsieur Caillavet était l’un des derniers grands franc-maçon et homme politique… »

    Des faits irréfutables

    Dans cet entretien réalisé par Armel Joubert des Ouches, Serge Abad-Gallardo révèle qu’il possède une planche maçonnique sur laquelle l’auteur fait l’apologie de l’euthanasie. Selon ce dernier, cette planche date de 2004. « Cet auteur fait l’éloge de l‘euthanasie alors même qu’il décrit une situation où la personne ne souffre pas ! On voit donc bien qu’il y a, derrière l’idéologie maçonnique, la volonté de maitriser le moment où l’homme décidera de mourir. »

    « Mais où est donc l’amour dans cette société ? »

    « Vous savez, les gens, lorsqu’ils parlent d’euthanasie, ils vous disent “J’ai besoin de votre amour”. Notre monde manque d’amour ! Lorsqu’on est atteint d’une grande maladie, un médecin vient vous dire « L’issue est fatale, votre maladie a gagné, maintenant nous allons soulager la douleur ». Ces gens passent par un certain nombre de phases… On ne gère pas une société comme on gère une entreprise. Les personnes ne sont pas des machines. Je suis déjà rentré dans des chambres où des personnes avaient des cancers, explique-t-il. Des personnes qui se trouvaient en chimiothérapies. La chimio fait vomir, donc cela sentait le vomi. A ces gens-là, je leur prenais la main et ils n’étaient plus indignes. Si nous considérons qu’une personne âgée à une bouche de grenouille et qu’elle sent le vieux, alors nous sommes des barbares ! Il faut faire comprendre à ces personnes-là ce qu’est l’amour de Dieu que nous portons en elles ».

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