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avortement et euthanasie - Page 34

  • Le temps du blasphème

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    Quand Marlène Schiappa apostrophe par SMS Cyril Hanouna – car toujours les Puissants ont eu à cœur de dialoguer avec l’Art – pour lui rappeler qu’il existe un délit d’entrave à l’IVG, simplement parce qu’un citoyen exprime son opinion dans une émission de divertissement, elle montre qu’elle ignore la loi – ou plutôt qu’elle se moque des textes exacts et ne veut en retenir que l’esprit : on ne touche pas à l’IVG, devenue idole du Progrès. C’est tabou !

    Et ceux qui critiquent doivent être condamnés. Émile Duport, des Survivants, avait blasphémé et Hanouna, qui lui offrait une tribune, était bien près d’être inculpé d’assistance à blasphémateur. L’ironie étant qu’au moment même où Schiappa menaçait de fulminer l’anathème, l’Irlande abrogeait le délit de blasphème, qui n’existe donc plus que dans les pays musulmans. Muriel Robin, dans l’émission de Ruquier – continuons de fréquenter des sommets –, intimait l’ordre de se taire à un chroniqueur qui ne brûlait pas assez d’encens devant Fogiel et ses GPA illégales.

    Schiappa n’est qu’un exemple, certes significatif puisque c’est un membre du gouvernement, de ce nouveau goût pour ce genre d’accusation : avoir outragé ce qui est sacré ! Un homme n’a plus médiatiquement le droit de se défendre quand une femme l’accuse, car nier la vérité de la parole de la victime féminine, c’est commettre un crime encore plus affreux que celui dont on est accusé – même quand on est innocent.

    Anne-Marie Le Pourhiet remarquait que le néo-féminisme est au-dessus des lois, ou plutôt qu’il produit sa propre loi : qu’il soit anathème celui qui n’avoue pas !

    D’autres blasphèmes sont peu à peu institués : on comprend bien que qui se réclame du nationalisme n’est qu’un galeux, un chien, un lépreux qui mérite d’être jeté hors de la société pour avoir outragé le « vivre-ensemble » ; qu’un « blanc » ose célébrer une vie « noire », et le voilà accusé du blasphème d’appropriation culturelle ; qu’un juge ose enquêter sur Mélenchon, et voilà ce dernier qui éructe qu’il est sacré et intouchable – ce qui est grotesque même si les conditions de cette enquête sont en elles-mêmes un scandale ; cela dit, la France insoumise n’hésite pas à expliquer que cette perquisition est « digne de la nuit des longs couteaux », ce qui est un tantinet exagéré, et qu’on a blasphémé contre le texte sacré qu’est l’article 12 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789 ; la Cour européenne des droits de l’homme, de son côté, n’hésite pas à déclarer sacré le mariage entre homosexuels au point qu’elle trouve blasphématoire le refus de certains maires de le célébrer, se contentant de déclarer irrecevable, en octobre 2018, la requête qu’ils avaient introduite dans ce sens en 2015 : comme dirait Kouachi, on ne discute pas avec les blasphémateurs, on les fait taire. La même CEDH vient de confirmer la condamnation d’une Autrichienne, qui avait affirmé que Mahomet était pédophile puisqu’il avait épousé une fillette de six ans et consommé son mariage avec elle, ses propos « menaçant la paix religieuse ». Gérard Davet et Fabrice Lhomme, journalistes au Monde, qui viennent de publier une enquête sur la France islamiste en Seine-Saint-Denis, se rendent compte, stupéfaits, qu’ils sont accusés d’avoir blasphémé en n’entonnant pas l’antienne obligatoire d’un islam irréprochable.

    Et Macron ne veut pas commettre le blasphème de froisser l’Allemagne en donnant une « expression trop militaire » à la célébration d’une victoire remportée militairement sur l’Allemagne…

    Une nouvelle religion se met en place depuis quelques décennies, et se sent aujourd’hui ou assez assurée ou assez menacée pour ne plus supporter aucune contradiction : oser contredire n’insulterait pas seulement l’intelligence mais serait une violence sociale dangereuse et insupportable. Cette nouvelle religion se fonde sur un oubli complet du passé. Pierre Nora déclarait dans Le Figaro : « Le passé s’est éloigné. Les plus jeunes n’éprouvent plus le sentiment d’une continuité historique de Jules César à Napoléon, auparavant si vif. La coupure est nette. La dictature du présent et l’oubli de la longue durée entraînent la fin de ce qui a été le ressort de la transmission : le sentiment de la dette. La conviction, qui a pesé sur les hommes pendant des siècles, que nous devons à nos parents et à nos ancêtres d’être ce que nous sommes. Les Français de 2018 ne se perçoivent plus comme les débiteurs de leurs devanciers. »

    Cette religion assure la promotion d’un terrifiant avenir univoque aux couleurs des droits de l’homme qui, pourtant, ensanglantent le monde depuis plus de deux siècles.

    Ce nouveau siècle sera bien religieux. Sale temps pour les blasphémateurs qui n’entendent pas se convertir.  

    Philippe Mesnard

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/index-1.html

  • Ces bébés qui survivent à un avortement médicamenteux

    Ces bébés qui survivent à un avortement médicamenteux

    D’Olivier Bault dans Présent :

    Le site Lifenews relayait le 21 novembre l’histoire d’une photo qui faisait le buzz sur le réseau social Facebook. Cette photo, c’est celle d’un médecin tenant un nouveau-né qu’il venait d’extraire du ventre de sa mère par césarienne. Cela se passait aux Etats-Unis. Le docteur Brent Boles avait bien sûr demandé la permission à la mère, en lui promettant qu’il ne donnerait aucune indication permettant de l’identifier. Sous la photo, la description de la situation par le médecin :

    « J’ai récemment fait cet accouchement et je partage cette photo avec l’autorisation de la patiente. Vous voyez, quand une femme prend une pilule abortive, elle le regrette très souvent immédiatement après. C’est ce qui est arrivé avec cette patiente. Les cliniques pratiquant les avortements mentent et disent aux gens qu’on ne peut pas inverser un avortement médicamenteux. Ce n’est pas vrai. Cette patiente a trouvé www.abortionpillreversal.com et je fais partie des médecins pro-vie prêts à tenter d’inverser l’action du poison qu’on leur a donné. Parfois, cela marche et parfois non, mais, comme vous le voyez, cela vaut la peine d’essayer. »

    La pilule abortive RU-486 consiste en fait en deux pilules différentes prises à deux jours d’intervalle. Le premier produit, de la mifépristone, bloque la production de progestérone, une hormone nécessaire au maintien de la grossesse. Le deuxième produit, du misoprostol, provoque l’expulsion de l’enfant avorté. Ce type d’avortement se pratique à un stade précoce de la grossesse, quand l’enfant en est encore au stade embryonnaire de son développement prénatal, c’est-à-dire en principe jusqu’à la 7e semaine de gestation. Mais tant que la femme enceinte n’a pas pris le deuxième produit, il est possible, dans un délai de 72 heures, d’inverser l’action de la mifépristone en prenant un antidote contrant l’action de ce poison, puisqu’il réintroduit de la progestérone dans l’organisme de la mère. Une étude américaine publiée cette année montre que cela fonctionne dans 68 % des cas, ce qui a permis à l’organisation Abortion Pill Rescue de faire naître 500 bébés qui avaient préalablement été condamnés à mort par la prise de mifépristone, 100 autres bébés sauvés par ce réseau de médecins pro-vie étant encore dans le ventre de leur mère au moment de la publication de l’étude. Les bébés sauvés par cette procédure médicale inversant l’effet de la prise de la première des deux pilules utilisées pour un avortement médicamenteux n’ont pas de séquelles particulières.

    […] En ce qui concerne les avortements médicamenteux, un numéro d’appel actif 24h/24 et 7j/7 est donc mis à la disposition des femmes ayant pris la première des deux pilules mortelles et regrettant leur geste. Brianna, la maman du bébé de la photo, a pu être ainsi mise en contact avec le docteur Boles le jour-même de son appel et a pu obtenir sur le champ une ordonnance pour commencer son traitement sans attendre, afin de sauver son bébé. Le centre d’appel est géré par Heartbeat International, une organisation chrétienne s’occupant d’un réseau de centres d’aide aux femmes enceinte en détresse, afin de leur offrir une alternative à l’avortement.

    Puisque les pro-avortement et les féministes se disent « pro-choix », Mmes Schiappa et Buzin ne devraient-elles pas se saisir du sujet et permettre que, en France aussi, les femmes subissant un avortement médicamenteux puissent revenir sur leur décision après la prise de la première pilule abortive ? Cela dit, ce serait déjà bien de leur imposer un délai de réflexion et de leur proposer une alternative à l’avortement avant la prise de la première pilule.

    https://www.lesalonbeige.fr/ces-bebes-qui-survivent-a-un-avortement-medicamenteux/

  • Marche pour la vie : objection de conscience pour tous !

    Marche pour la vie : objection de conscience pour tous !

    RDV le dimanche 20 janvier prochain à Paris !

    Pour rappeler que la vie humaine doit être respectée de sa conception à sa mort naturelle.

    Pourquoi ? Parce que plus de 220 000 avortements sont toujours pratiqués chaque année et qu’il n’y a ni volonté politique ni prise de conscience collective pour faire diminuer le nombre d’IVG en France. Leurs conséquences sont autant de drames vécus par des femmes et des familles entières, mais pas seulement : les médecins sont de plus en plus nombreux à faire valoir l’objection de leur conscience qui les dissuade de pratiquer un acte contraire à la médecine, et qu’ils jugent intrinsèquement mauvais

    Face aux menaces qui pèsent sur la liberté de conscience des professions médicales, face aux nouvelles transgressions annoncées par la révision de la loi de bioéthique (PMA, libéralisation totale de la recherche sur l’embryon, marchandisation du corps de la femme), nous appelons toute la société civile, médecins, chercheurs, biologistes, femmes enceintes, à faire valoir leur droit à l’objection de conscience le dimanche 20 janvier 2019 à Paris.

    L’être humain ne peut pas être une marchandise, un objet de laboratoire, une variable d’ajustement des désirs du moment. Face à la marche de la mort, nous appelons les Français à se mettre en marche pour la vie.

    Distribuez des tracts

    Devenez bénévole

    organisez un car.

    https://www.lesalonbeige.fr/marche-pour-la-vie-objection-de-conscience-pour-tous/

  • Emmanuel Macron reçoit le lobby qui n’existe pas

    Emmanuel Macron reçoit le lobby qui n’existe pas

    Etrangement, il ne reçoit ni La Manif Pour Tous, ni les gilets jaunes…

    La Manif Pour Tous ن
     
    @LaManifPourTous

    Plusieurs associations LGBT sont reçues à l'Elysée. Mais puisqu'on vous dit qu'il n'existe pas de lobby LGBT !@EmmanuelMacron, à quelle heure nous attendez-vous jeudi ?

    LB2S@LB2S

    Jeudi matin, Emmanuel Macron reçoit à l’Elysée plusieurs associations LGBT. Nul doute qu’ils aborderont le décalage du calendrier de bioéthique, contre lequel les associations ont fait entendre leurs voix la semaine dernière

    263 personnes parlent à ce sujet

    https://www.lesalonbeige.fr/emmanuel-macron-recoit-le-lobby-qui-nexiste-pas/

  • Face à Alliance Vita, le lobby LGBT use de violence. Une femme enceinte frappée

    Face à Alliance Vita, le lobby LGBT use de violence. Une femme enceinte frappée

    Ce jeudi 15 novembre à 13 heures, Alliance VITA a lancé paisiblement sa campagne d’alerte et de mobilisation contre la PMA sans père dans 70 villes. Conformément à la loi, les délégations départementales de l’association avaient déclaré ces rassemblements dans chacune des 70 villes, pour y exercer leur liberté d’expression et leur droit de manifester.

    Or, dans 17 villes, des groupes ont appelé sur les réseaux sociaux à organiser des contre-manifestations à l’endroit même de nos rassemblements, sans déclaration préalable, c’est-à-dire de façon illégale. En certains lieux, malgré une présence policière plus ou moins active (Christophe Castaner veut sévir contre les gilets jaunes, mais il ne protège pas les citoyens qui déclarent leurs manifestations), les contre-manifestants ont exercé des violences sur les biens et les personnes, en tentant de dérober ou de détruire le matériel de campagne et de couvrir par leurs cris les discours, allant jusqu’à insulter voire molester certains participants.

    La justice va être saisie et une plainte devrait être déposée là où une femme enceinte de huit mois a été giflée.

    Tugdual Derville, délégué général de l’association, présent au rassemblement sur l’esplanade de la Défense près de Paris (qui s’est déroulé dans le calme) réagit à ces incidents :

    « Tout d’abord, je veux remercier les volontaires qui ont participé au lancement de cette campagne pour leur engagement paisible. Dans 53 villes, nous avons pu exercer notre droit de manifester dans la paix, avec un excellent accueil des passants. Des groupuscules ont tenté dans 17 villes de nous intimider pour nous réduire au silence, au mépris de la loi. Je veux saluer les participants qui ont enduré des cris, des insultes et même des crachats ou des coups. Cette violence rend compte d’un état d’esprit, dominé par une volonté de toute puissance. C’est justement ce que nous contestons avec cette PMA sans père. Dans plusieurs villes, la police elle-même nous a avoué son impuissance à canaliser la violence de ces groupes. Ce n’est pas un bon signe pour notre démocratie. Nous sommes loin du « débat paisible » promis par le président de la République ! Comment peut-on accepter que ceux qui se conforment à la loi soient bousculés par ceux qui la transgressent ? Notre ténacité paisible reste entière. Céder à des groupes de pression qui veulent interdire le débat n’est de l’intérêt de personne. Nous espérons que tous les démocrates, même ceux qui ne partagent pas nos convictions, auront à cœur de défendre notre droit de les exprimer. Quant à nous, nous ne nous laisserons pas intimider. »

    Face à ces atteintes à la liberté d’expression, Alliance VITA a décidé :

    • de saisir la justice partout où des violences ont été exercées ;
    • d’interpeller les responsables de l’ordre public pour savoir comment garantir son droit de manifester, alors que les déclarations préalables se sont retournées contre des participants ;
    • d’intensifier la campagne Touche pas à mon père !

    https://www.lesalonbeige.fr/face-a-alliance-vita-le-lobby-lgbt-use-de-violence-une-femme-enceinte-frappee/

  • Non à la crise identitaire en Europe : oui à une politique nataliste, non à l’immigration de peuplement

    Depuis le Parlement européen, Marie-Christine Arnautu (RN) évoque la fracture béante qui oppose les élites européistes, partisanes du changement des peuples, à un nombre croissant de nations européennes (Hongrie, Pologne, Italie…) résolument favorables, elles, à une politique à la fois nataliste et anti-immigration.

    “À l’heure où l’ONU s’apprête à établir un Pacte mondial sur les migrations, sorte de gouvernance supranationale destinée à consacrer le droit de migrer au prétexte que la « riche » Europe devrait pallier son déficit démographique en faisant venir des millions d’immigrés, plusieurs États occidentaux adoptent une tout autre approche, fondée sur une politique nataliste forte, au nom du droit des peuples à préserver leur indépendance, leur civilisation, leur identité et leur culture.

    Le ministre de l’Intérieur, Matteo Salvini, lors d’une conférence sur les migrations et la sécurité organisée par l’Autriche, le 13 septembre dernier, a parfaitement résumé la politique que tout dirigeant européen soucieux du bien de son peuple devrait suivre : « Je suis payé par les citoyens pour faire en sorte que nos jeunes aient de nouveau des enfants, comme c’était le cas il y a des années. Et non pas pour déraciner les meilleurs jeunes d’Afrique afin qu’ils viennent remplacer les Européens qui n’ont plus d’enfants […]. En Italie, notre besoin, c’est de permettre à nos enfants d’avoir des enfants, et non pas d’avoir de nouveaux esclaves pour remplacer les enfants que nous n’avons pas. » 

    Tandis que l’unité de la France, du Royaume-Uni, de l’Espagne, de l’Allemagne, etc. se disloque sous les coups de boutoir du communautarisme islamique, de la dictature des minorités imposée par les activistes LGBTIQ, du fanatisme des féministes radicales et de la culpabilisation des Européens obtenue par des décennies d’antiracisme militant, tandis que ces mêmes pays s’acharnent à détruire le socle de la famille en instaurant l’indifférenciation sexuelle et en bouleversant les règles de la filiation, des pays comme la Hongrie, la Russie, l’Italie empruntent le chemin inverse. Rejetant avec vigueur ce modèle mortifère des soi-disant « progressistes », ils proposent des alternatives qui sont la voie de la renaissance des peuples européens.”

    Francesca de Villasmundo

    https://www.medias-presse.info/non-a-la-crise-identitaire-en-europe-oui-a-une-politique-nataliste-non-a-limmigration-de-peuplement/100993/

  • Une maman prouve au monde entier que son fœtus de 14 semaines est bien un être humain

    Une maman prouve au monde entier que son fœtus de 14 semaines est bien un être humain

    index-1.jpgEn France, il est “permis” de tuer un foetus jusqu’à la fin de la 12ème semaine. Cette histoire (et ces photos) devrait faire réfléchir ceux qui pensent qu’il ne s’agit que d’un “amas de cellules” :

    Sharran, qui habite à Fair Grove, dans le Missouri, était dévastée quand elle a fait une fausse couche à 14 semaines.

    Pour dissuader les femmes de se faire avorter, elle a publié une photo de son fœtus mort « entièrement formé » même s’il ne faisait que 4 pouces de longueurs et qu’il pesait à peine 0,05 livres (…) La mère de famille affirme « tenter de vivre sa vie comme Dieu le voudrait ».

    Elle a partagé son histoire sur les médias sociaux, insistant pour dire que son fœtus était un « vrai bébé ». «Comment une personne peut-elle nier non seulement l’humanité de mon petit garçon, mais aussi tous les autres bébés aussi jeunes que lui et les tuer de manière aussi horrible? », a demandé Sharran dans sa publication anti avortement. «J’espère qu’en partageant ces photos de mon précieux petit garçon, cela pourrait inciter une personne envisageant un avortement à laisser son enfant vivre. En le regardant, en le tenant dans ma main, en regardant à quel point il était parfaitement formé: j’étais émerveillé.Je n’arrivais pas à croire à quel point tout était parfait. Ses oreilles, sa langue, ses gencives, ses lèvres. Je ne pouvais pas y croire », a-t-elle continué.

    « Vous avez ces bouquins sur les bébés qui vous montrent des diagrammes d’un bébé in utero, mais il ne ressemblait en rien à ce que j’avais vu. […] Il avait juste besoin de continuer à mûrir et à grandir et à se développer. Cela m’a époustouflée. C’était un sentiment incroyable. C’est vraiment difficile à décrire. Même s’il était décédé, j’ai eu la chance de tenir mon bébé immobile. Ce désir était accompli. J’étais reconnaissante pour cela. Je ne pouvais pas le comprendre. »

    « Lorsqu’une femme perd son enfant à naître, elle ne peut plus faire son deuil de la même manière qu’une femme qui a donné naissance à un bébé qui meurt après sa naissance. Quand une femme perd son bébé à naître, c’est presque comme si vous ne devez pas en parler. Une femme le traverse seule et je crois que c’est parce que d’autres personnes ne le reconnaissent pas comme un être humain, comme un bébéIl ne s’agit pas seulement d’une femme en deuil devant son bébé et incapable de donner la vie à son bébé, il s’agit de ne pas reconnaître qu’il s’agit d’un bébé. C’est juste un petit bébé. »

    Les médecins ont proposé un curetage, mais Sharran a refusé. Elle voulait garder son bébé en un seul morceau.

    https://www.lesalonbeige.fr/une-maman-prouve-au-monde-entier-que-son-foetus-de-14-semaines-est-bien-un-etre-humain/

  • Le 17 novembre 2018, nouvelle opposition entre pays réel et pays légal

    Voici le communiqué de Civitas au sujet du 17 novembre :

    Le 17 novembre, nouvelle opposition entre pays réel et pays légal

    Après les “bonnets rouges”, voici les “gilets jaunes” qui appellent à une action de résistance au racket organisé par le gouvernement. Nous voici devant une nouvelle illustration concrète de la fameuse opposition entre pays réel et pays légal.
    C’est qu’il faut en avoir conscience, l’Etat républicain (le pays légal) est intrinsèquement antagoniste aux intérêts du pays réel.
    L’Etat républicain pratique la préférence étrangère au détriment des Français.
    L’Etat républicain organise la destruction de la Famille, cellule de base de la société.
    L’Etat républicain, foncièrement maçonnique, combat le christianisme, la foi du pays réel indispensable au salut de la France.
    L’Etat républicain est soumis aux forces occultes, aux lobbies cosmopolites et à leurs puissances d’argent apatrides.
    L’Etat républicain est le vassal du Nouvel Ordre Mondial.
    L’Etat républicain se maintient par le totalitarisme démocratique.

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  • Les lobbies qui n’existent pas…

    Il est des lobbies qui existent mais dont il faut taire la réalité sous peine d’être sévèrement rappelé à l’ordre…

    C’est la mésaventure arrivée à la député de LREM Agnès Thill. Dans un tweet, effacé depuis, cette député de mouvement macronien osait dénoncer « un puissant lobby LGBT à l’Assemblée nationale ». De quoi déplaire aux instances dirigeantes de son parti qui, par le biais du patron par intérim Philippe Grangeon, et celui du groupe de députés Gilles Le Gendre, l’ont rabrouée vertement tout en condamnant ses propos « avec la plus grande fermeté ».

     Et pour mieux enfoncer le clou et empêcher tout débat rationnel sur ce tweet, les deux cadres de LREM ajoutent l’argument qui discrédite d’avance : « les termes de ‘lobby LGBT’ relèvent d’une sémantique homophobe ». Serait-ce à dire alors que la multitude d’associations d’invertis qui se glorifient, de par le monde, du titre de Lgbt seraient homophobes ? Ces politiciens n’ont vraiment pas peur du ridicule de leurs affirmations…

    Agnès Till a rapidement obtempéré au rappel à l’ordre tout en essayant de sauver la face :

    « Je regrette mes propos qui ont pu heurter certains de mes collègues et d’autres. Je ne juge aucune vie personnelle. Revenons sur le fond. Et que chacun puisse s’exprimer sereinement. Je m’y engage.
    Je remercie les collègues qui sont venus à moi individuellement pour parler. »

    Le porte-parole du gouvernement Benjamin Griveaux a pour sa part qualifié le tweet de Mme Thill d’ « absolument inacceptable ». Agnès Thill a plusieurs fois exprimé ses critiques quant à l’extension de la PMA à toutes les femmes, une mesure soutenue par Emmanuel Macron durant la campagne. Elle avait aussi fait polémique sur Twitter en juillet en répondant à un internaute favorable à l’euthanasie: “Le suicide n’est pas interdit en France”.

    Il est des lobbies qui existent mais dont il faut taire la réalité sous peine d’être sévèrement rappelé à l’ordre…

    C’est la mésaventure arrivée à la député de LREM Agnès Thill. Dans un tweet, effacé depuis, cette député de mouvement macronien osait dénoncer « un puissant lobby LGBT à l’Assemblée nationale ». De quoi déplaire aux instances dirigeantes de son parti qui, par le biais du patron par intérim Philippe Grangeon, et celui du groupe de députés Gilles Le Gendre, l’ont rabrouée vertement tout en condamnant ses propos « avec la plus grande fermeté ».

     

    Et pour mieux enfoncer le clou et empêcher tout débat rationnel sur ce tweet, les deux cadres de LREM ajoutent l’argument qui discrédite d’avance : « les termes de ‘lobby LGBT’ relèvent d’une sémantique homophobe ». Serait-ce à dire alors que la multitude d’associations d’invertis qui se glorifient, de par le monde, du titre de Lgbt seraient homophobes ? Ces politiciens n’ont vraiment pas peur du ridicule de leurs affirmations…

    Agnès Till a rapidement obtempéré au rappel à l’ordre tout en essayant de sauver la face :

    « Je regrette mes propos qui ont pu heurter certains de mes collègues et d’autres. Je ne juge aucune vie personnelle. Revenons sur le fond. Et que chacun puisse s’exprimer sereinement. Je m’y engage.
    Je remercie les collègues qui sont venus à moi individuellement pour parler. »

    Le porte-parole du gouvernement Benjamin Griveaux a pour sa part qualifié le tweet de Mme Thill d’ « absolument inacceptable ». Agnès Thill a plusieurs fois exprimé ses critiques quant à l’extension de la PMA à toutes les femmes, une mesure soutenue par Emmanuel Macron durant la campagne. Elle avait aussi fait polémique sur Twitter en juillet en répondant à un internaute favorable à l’euthanasie: “Le suicide n’est pas interdit en France”. 

    Agnès Thill
    @ThillAgnes

    Je regrette mes propos qui ont pu heurter certains de mes collègues et d’autres. Je ne juge aucune vie personnelle. Revenons sur le fond. Et que chacun puisse s’exprimer sereinement. Je m’y engage.
    Je remercie les collègues qui sont venus à moi individuellement pour parler.

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    Pour en revenir au tweet polémique, il y a comme ça en France, des puissants lobbies qui n’existent pas…

    Francesca de Villasmundo

    https://www.medias-presse.info/les-lobbies-qui-nexistent-pas/100721/

    Pour en revenir au tweet polémique, il y a comme ça en France, des puissants lobbies qui n’existent pas…

    Francesca de Villasmundo

    https://www.medias-presse.info/les-lobbies-qui-nexistent-pas/100721/

  • Zoom – Tugdual Derville : Au service des plus fragiles

    Tugdual Derville a délaissé une carrière de chef d’entreprise pour se lancer dans l’aide aux plus faibles : personnes âgées, handicapés, enfants à naître… Porte-parole de La Manif pour Tous en 2013, le délégué général d’Alliance Vita multiplie les manifestations – souvent novatrices – pour dénoncer les apprentis sorciers de la natalité ou du transhumanisme. Non sans devenir la cible des extrémistes de la PMA ou de la GPA. Rencontre avec un chantre de l’écologie humaine.

    https://www.tvlibertes.com/2018/11/08/26696/tugdual-derville-service-plus-fragiles