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culture et histoire - Page 1708

  • La Patrie contre la Révolution mondiale

    Il est une théorie tenace et relativement efficace dont use l’ « extrême gauche » depuis longtemps, qui consiste à décrédibiliser tout mouvement de défense patriotique en l’accusant d’être une stratégie de mutation du Capital. Selon cette explication séduisante, toute rétraction nationaliste, tout durcissement patriotique serait l’effet d’une stratégie voulue par l’hydre capitaliste, laquelle consisterait à imposer une dictature militaire au moment où le danger révolutionnaire devient trop menaçant.

    Ainsi, dans ces pays européens que la finance mondialisée avait étranglés dans les années trente, vit-on surgir des mouvements politiques que la sémantique soviétique victorieuse enfermera dans le vocable « fascisme », englobant opportunément la diversité des expériences nationalistes européennes dans un signifiant relatif à une séquence historique spécifiquement italienne.

    Longtemps, le fascisme mussolinien né de l’immédiat après-guerre a fait office de métonymie opératoire en tant que laboratoire de la réaction historique. Aujourd’hui, le régime néo-impérial romain ne fait plus rêver les petites filles névrosées de la gauche prolétarienne, on lui préfère le spectre hitlérien qui a l’insigne mérite de diffuser le nectar de la nauséabondieuserie « antisémite ».

    C’est que nos chefs révolutionnaires ont troqué faucille et marteau pour enfourcher l’aigle américain, avant de le mettre à mort sous nos yeux ébaubis en brandissant enfin le chandelier qui doit éclairer les sept portes de l’univers.

    Quoi qu’il en soit, les professionnels de la Révolution mondiale vous le répéteront à l’envi : ne tombez pas dans le piège du nationalisme, qui n’est que la tactique du Capital mondial pour faire rentrer la subversion dans les rangs, étouffant au moyen de l’ordre et de la discipline la Révolution en marche, la vraie, celle des travailleurs.

    Ce qu’il est important de comprendre, c’est que tant que règnera le capitalisme, ressurgiront mécaniquement ses deux golems historiques que sont le communisme et le fascisme.

    À chaque fois le sentiment de révolte légitime des peuples sera conduit vers les voies toutes tracées par le Capital lui-même, puisque lui seul a les moyens de financer et orienter ces deux leitmotive historiques dans le sens de ses intérêts. Quand l’exploitation est devenue si insupportable que les esclaves (« travailleurs », « salariés », « consommateurs ») aspirent enfin à se révolter, l’oligarchie financière encadre alors les colères dans des structures appropriées, l’une sera rouge et l’autre brune, ainsi les embrigadés des deux camps s’entretueront-ils en n’ayant jamais soupçonné que toute cette tragique comédie se joue sur un fond bleu azur, seul horizon de tous les massacres qui en résulteront.

    La vérité est que face à la mise en esclavage des peuples par l’infiltration des instruments économiques, politiques et militaires seuls en mesure de les défendre, une épuration de ces appareils et l’organisation d’un système de protection du corps social et national est la seule réponse immunitaire à une mort certaine de la patrie.

    Le peuple souverain, cherchant à se défendre pour sa survie, est alors attaqué violemment dans un premier temps par le système mondial d’exploitation du vivant...

    Mais si la calomnie et la menace ne suffisent pas, il devient plus intéressant pour le pouvoir d’accélérer le processus en favorisant les conditions de remplissage du réservoir de la « haine ». Ce qui importe aux seigneurs de la réification technicienne, c’est le contrôle de cette puissance qui monte. Quand diviser et insuffler le venin de l’hostilité entre les parties de la masse exploitée n’a plus d’efficacité parce que le seuil de tolérance collectif est atteint, le pouvoir dirige la formidable énergie de cette colère partagée dans un réceptacle jusque-là interdit.

    C’est exactement ce que l’oligarchie financière est en train d’envisager pour notre pays.

    Le Front national est appelé à remplir cette fonction car les simulacres spectaculaires de renouveau ne prennent plus, ni le ravalement cosmétique de murs de la République ouverts à toutes les lamentations. Plus grave, même les diversions sociétales et les contre-feux idéologiques à grands renforts médiatiques n’intimident plus grand monde en terre de France. Alors voilà la Banque qui se gratte la dette... 

    Cette sacrée bretonne s’élevant crânement au dessus de bonnets blancs et blancs bonnets va-t-elle rogner son licol ?

    Pis, les bonnets rouges ont-ils allumé un feu révolutionnaire qui va se répandre en cette province gauloise de l’Empire ?

    Par Max Lévy

     http://www.egaliteetreconciliation.fr/La-Patrie-contre-la-Revolution-mondiale-21324.html

  • 22 novembre : conférence sur le gender à Luxembourg

    G

    Adresse : Maison Vatelot 7, rue André Duchscher L-1424 LUXEMBOURG

    L'entrée est libre et le débat sera suivi d'une séance de dédicaces. La Maison Vatelot se situe près de la clinique Zitha à Luxembourg-ville. Un parking gratuit est à disposition et l'accès en bus pourra se faire depuis l'arrêt Place de Paris.

    La prochaine Veillée aura lieu lundi 25 novembre à 21h devant la Bibliothèque Nationale sur le thème "Héritiers d'une même histoire, d'une même culture".

  • Conférences : « Le cosmopolitisme, idéologie dominante mondiale »

    XXIXe université annuelle du Club de l’Horloge
    Samedi 23 et dimanche 24 novembre 2013

    Dans les salles de l’USIC
    18 rue de Varenne 75007 Paris
    avec Henry de Lesquen, Michel Leblay, Yvan Blot, Jean Violette, Philippe Baccou,
    Pierre Millan, Albert Salon, Jean-Louis Harouel, Jean-Yves Le Gallou.
    A-t-on le droit de refuser l’immigration ?
    Doit-on admirer l’art contemporain ?
    D’où vient la vogue de la théorie du genre ?
    Faut-il accepter le mariage homosexuel ?Quelle est la source des assauts contre notre identité et notre souveraineté ?
    Quel est le contenu de l’idéologie dominante ?
    Comment organiser la résistance ? 
    Du samedi 23 novembre, à 9 h 15, au dimanche 24 novembre, à 18 heures. Ces deux journées d’études et de débats mettront enfin au jour une vérité essentielle qui donne la clé du monde actuel. Inscrivez-vous sans tarder !
    4 rue de Stockholm, 75008 Paris, Tél. : 01 42 94 14 14
    Messagerie : cdh@cdh.fr – web : www.clubdelhorloge.fr

     

  • L’école, responsable du chômage des jeunes ?

    La France, autrefois, dispensait à ses jeunes un excellent enseignement professionnel. Jusqu’aux dernières décennies du siècle dernier, Paris – et particulièrement les XVIIIe et XIXe arrondissement – disposait des lycées techniques les plus performants et les entreprises faisaient la queue pour embaucher les jeunes à la sortie.

    Tout cela, c’était avant le « collège unique », « les territoires perdus de la République » et les rêves bafoués d’égalité des chances. On sait ce qu’il est advenu de nos enthousiasmes soixante-huitards : faute de pouvoir mettre tout le monde à Polytechnique, on a mis tout le monde au chômage. C’est l’égalité de la malchance.

    Le 12 novembre, François Hollande recevait ses homologues européens pour parler – justement – du chômage des jeunes de moins de 25 ans : 7,7 % en Allemagne, 25,9 % chez nous. Une Allemagne qui fait toujours la part belle à l’apprentissage.

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  • [Paris] Centre Saint Paul - A ne pas manquer ce soir et demain mercredi !

    mardi 19 novembre à 20H15

    La désobéissance civile, conférence de l’abbé G. de Tanoüarn (Thomas d’Aquin, Hannah Arendt et notre bel aujourd’hui)

    et

    mercredi 20 novembre à 20h30

    série : Méthodes d’oraison et auteurs spirituels - thème abordé : Prier avec saint Augustin, par l’Abbé Vincent Baumann

    www.cccsp.fr

    Centre Saint-Paul 12 rue St Joseph 75002 Paris

  • Radio Courtoisie : ce soir, le prochain Libre Journal des enjeux actuels dirigé par Arnaud Guyot-Jeannin

    Radio Courtoisie :

    Le prochain Libre Journal des enjeux actuels dirigé par Arnaud Guyot-Jeannin aura lieu le mardi 19 novembre (de 21 h 30 à 23 h 00) et portera sur le thème suivant : Pourquoi Camus nous parle ?

    Invités : Jean François Mattéï (Professeur émérite à l’université de Nice-Sophia Antipolis, philosophe et auteur de " Comprendre Camus ", Max Milo), Eric Werner ( Philosophe et auteur de " De la violence au totalitarisme, essai sur la pensée de Camus et de Sartre ", Calmann-Lévy, 1972, et " Douze voyants ; Les penseurs de la liberté ", Xénia), Pierre Le Vigan (Philosophe et collaborateur à Eléments et Métamag) et Jean-Pierre Jorris (Acteur).

    L’émission sera rediffusée le jeudi 21 novembre à la même heure.

    http://www.radiocourtoisie.fr/

  • De l’enseignement mis à mort à l’enseignement du néant (partie 2)

    Comment en est-on arrivé là ? Un seul mot : le refus de l’échec scolaire, c’est-à-dire le mythe de l’égalité. Refus implacable, massif, refus tenu désormais comme un devoir de l’école. Zéro échec… Les principes de la qualité, principes sans aucun doute souhaitables pour la production massive de biens, mais qui ne s’appliquent pas à la formation des esprits.

    Il y a les handicaps sociaux que l’on veut compenser. Ils ne sont pas un rêve, ils sont une implacable réalité. Il fallait les reconnaître, les définir, fixer les critères, déterminer les moyens à mettre en œuvre. Mais tout cela devait se faire en maintenant un droit fondamental, le droit de l’école à l’échec scolaire, sans lequel elle ne peut plus être qu’un gigantesque village Potemkine. Ce qu’elle est devenue.

    L’école est aujourd’hui confrontée à un chantage moral qui prend une intensité de plus en plus délirante, comme en témoigne les questions liées au racisme, à l’immigration, et surtout au refus de prendre en compte la spécificité de l’islam. Il fallait reconnaître en chacun la capacité à répondre aux exigences d’un enseignement digne de ce nom, accepter aussi que pour certains cela puisse prendre plus de temps, et les y aider. Au lieu de quoi, on s’est contenté de reconnaître leur humanité, et on a sommé l’école de reconnaître, et de ne reconnaître que la forme abstraite de l’humaine condition et de s’incliner devant elle. Les programmes de français, en particulier de la seconde et de la première, se sont fait les ardents relais et les zélateurs inconditionnels de cette idéologie de l’altérité, qui est en réalité la nouvelle doctrine de l’école mise dans les manuels, et les textes servent d’autant mieux les dogmes que l’inculture des enseignants de lettres et de philosophie est consternante.

    Quant au baccalauréat, il est devenu un droit imprescriptible de la personne, puis par extension, la moyenne partout, et enfin, l’obtention de tout diplôme.

    Le fruit de cette démence : la persécution des bons élèves, ou tout simplement de ceux qui sont simplement encore des élèves et se comportent comme tels. Ils seraient en droit d’attendre le soutien de l’institution… Mais c’est l’institution elle-même qui promeut et donc qui est responsable de ce qu’ils subissent. Il suffit d’entendre le discours de justification et d’excuse systématique des persécuteurs.

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  • Minute répond à ses détracteurs

    Avec un numéro spécial à paraître demain :

    M

    Michel Janva