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culture et histoire - Page 599

  • Le « décolonialisme », une stratégie hégémonique : l'appel de 80 intellectuels.

    Source : https://www.lepoint.fr/

    Ils sont philosophes, historiens, professeurs… Ils dénoncent des mouvances qui, sous couvert de lutte pour l'émancipation, réactivent l'idée de « race ».

    C'est au rythme de plusieurs événements universitaires et culturels par mois que se multiplient les initiatives militantes portées par le mouvement « décolonial » et ses relais associatifs (1). Ces différents groupes sont accueillis dans les plus prestigieux établissements universitaires (2), salles de spectacle et musées (3).

    Ainsi en est-il, par exemple, du séminaire « Genre, nation et laïcité » accueilli par la Maison des sciences de l'homme début octobre, dont la présentation regorge de références racialistes : « colonialité du genre », « féminisme blanc », « racisation », « pouvoir racial genré » (comprendre : le pouvoir exercé par les « Blancs », de manière systématiquement et volontairement préjudiciable aux individus qu'ils appellent « racisés »).

    Or, tout en se présentant comme progressistes (antiracistes, décolonisateurs, féministes…), ces mouvances se livrent depuis plusieurs années à un détournement des combats pour l'émancipation individuelle et la liberté, au profit d'objectifs qui leur sont opposés et qui attaquent frontalement l'universalisme républicain : racialisme, différentialisme, ségrégationnisme (selon la couleur de la peau, le sexe, la pratique religieuse). Ils vont ainsi jusqu'à invoquer le féminisme pour légitimer le port du voile, la laïcité pour légitimer leurs revendications religieuses et l'universalisme pour légitimer le communautarisme. Enfin, ils dénoncent, contre toute évidence, le « racisme d'Etat » qui sévirait en France : un Etat auquel ils demandent en même temps - et dont d'ailleurs ils obtiennent - bienveillance et soutien financier par le biais de subventions publiques.

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  • C’était un 17 juillet : mort d’Henri Poincaré, un génie français (pillé par Einstein)

    Ce brillant scientifique français s’est éteint le 17 juillet 1912.
    On le considère généralement comme l’un des derniers grands savants universels, maîtrisant en particulier l’ensemble des branches des mathématiques de son époque.
    Son œuvre, qui précède en réalité les principales découvertes d’Einstein (qui le pilla), concerne principalement les mathématiques pures, la physique et l’astronomie.

    Ci-dessous vous pouvez écouter une émission de Serge de Beketch en 1991, consacrée au pillage de Poincaré par Einstein, avec un spécialiste : Dean Mamas, docteur en physique nucléaire américain.

    http://www.contre-info.com/henri-poincare-un-genie-francais

  • La Petite Histoire : Cuirassiers, les « hommes de fer » de Napoléon

    Unité de cavalerie lourde par excellence, les cuirassiers ont joué un rôle décisif dans l’épopée napoléonienne. Ils avaient pour fonction principale de briser les lignes ennemies par des charges puissantes. Ces charges étaient si impressionnantes que les témoins de l’époque rapportent qu’elles faisaient trembler tout le champ de bataille. Très appréciés de Napoléon, ils étaient surnommés « les Hommes de fer », ou encore les « Gros Frères ». Ils ont été commandés par les meilleurs généraux de l’Empire, tels Ney et Murat, et ont participé aux plus grandes batailles. Leurs charges épiques à Austerlitz, Eylau ou, plus tristement, Waterloo, resteront à jamais gravées dans l’histoire de la cavalerie.


    https://www.tvlibertes.com/la-petite-histoire-cuirassiers-les-hommes-de-fer-de-napoleon

  • Michel Onfray évoque «une destruction des racines chrétiennes à bas bruit» après l’incendie de la cathédrale de Nantes

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    Le philosophe Michel Onfray s’est exprimé sur LCI concernant l’incendie de la cathédrale de Nantes, lequel révèle non seulement un problème de gestion du patrimoine en France, mais aussi des actes antichrétiens qui sont en réalité quotidiens et dont les médias ne parlent qu’en cas d’événement majeur.

    Samedi 19 juillet, le philosophe et essayiste Michel Onfray s’est exprimé en duplex sur LCI sur l’incendie de la cathédrale de Nantes, et plus généralement sur le patrimoine français. Il estime que celui-ci n’est pas suffisamment entretenu et que cette décision vient non pas d’un manque d’argent mais d’un manque de volonté politique.

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  • Passé-Présent n°276 : Comment Trotski fut exécuté


    L’assassinat de Trotski

    L’exil mexicain sera fatal au théoricien de la révolution et fondateur de l’Armée Rouge : Léon Trotski qui, au mois d’août 1940, succombera au coup de piolet de Ramon Mercader. L’ordre de Joseph Staline sera ainsi exécuté après une première tentative d’attentat avortée. Les deux révolutionnaires soviétiques entrèrent en conflit idéologique dès 1923 et le futur maître du Kremlin exclura Trotski du parti communiste avant de le faire déporter, puis expulser de l’URSS en 1929. Philippe Conrad nous en explique les raisons.

    L’ombre de De Gaulle

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  • Le nouveau numéro (n°30) de Livr'arbitres

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    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Jean-Claude Michéa contre le « moindre mal » du « meilleur des mondes » libéral ! 1/2

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    Auteur fondamental, Jean-Claude Michéa s'est toujours opposée à la « servitude libérale ».

    Son dernier essai s'inscrit dans cette veine, et l'approfondit : L'« empire du moindre mal », c'est notre civilisation. Dont l'état est plutôt morose...

    À l'opposé des «mutins de Panurge», ces légions de faux rebelles que le «système» fabrique à la chaîne pour qu'ils saturent de leurs bavardages l'espace dévolu à la contestation autorisée, Jean-Claude Michéa n'est pas un subversif à gages. Il est inconnu à la télévision et pratiquement impossible à interviewer. Disciple d'Orwell et de Christopher Lasch, il publie avec L'empire du moindre mal un livre brillant et, certes, érudit, mais troussé d'une ironie mordante qui donne à sa lecture un indéniable plaisir.

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