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culture et histoire - Page 786

  • Même mort, Franco donne encore des sueurs froides à la gauche

    Même mort, Franco donne encore des sueurs froides à la gauche

    Les socialistes espagnols, dans leur haine contre le cadavre de Franco, risquent de s’en mordre les doigts :

    Ce qui devait être une victoire symbolique de haute volée est en train de se transformer en un authentique tourment pour l’actuel gouvernement socialiste. Lorsqu’en septembre, Pedro Sánchez a confirmé par décret-loi que les restes du général Franco seraient exhumés et extraits de son mausolée du Valle de los Caidos, à l’ouest de Madrid, il pensait avoir marqué son mandat d’un exploit : depuis le retour de la démocratie en 1978, aucun gouvernant n’avait osé déménager la dépouille de celui qui gouverna le pays pendant quatre décennies d’une main de fer et qui continuait de trôner depuis cet imposant cirque montagneux où est construit son mausolée. Une véritable anomalie puisque la plupart des anciens dictateurs du Vieux Continent reposent dans des lieux discrets.

    Tous les obstacles avaient été levés, y compris les traditionnelles réticences de l’Église : le chef du gouvernement socialiste se disait « très fier » d’avoir obtenu le retrait du corps du Caudillo « d’un endroit où il n’aurait jamais dû se trouver ». D’après les calculs officiels, sa dépouille devait être transférée dans les mois à venir vers le cimetière privé du Pardo, à l’ouest de Madrid, là où la famille Franco dispose d’un panthéon. C’était pour Pedro Sánchez le scénario idéal. Qui devait lui permettre d’inscrire son nom dans l’histoire d’Espagne.

    Coup de théâtre : il se trouve que les descendants de Franco, en particulier deux petits-fils de l’ancien dictateur, ont eu l’ingénieuse idée d’accepter le « déménagement » de leur aïeul, non pas dans le discret cimetière privé, mais dans la cathédrale de l’Almudena, au cœur de Madrid, un lieu emblématique très visité, à deux pas du Palais Royal. « Les Franco ont réalisé un coup de maître, affirme l’analyste Carlos Garcia. Ils ont accepté la décision des socialistes pour placer le Caudillo dans un endroit encore plus problématique pour les autorités. »

    Pour les socialistes au pouvoir, c’est en effet la pire des solutions possibles. « Nous préférons encore qu’il reste dans son mausolée plutôt qu’il repose dans la grande cathédrale de la capitale, si exposée, si importante », a réagi un porte-parole du gouvernement. Légalement, ce dernier ne peut rien faire : comme le dit l’Église, « on ne peut empêcher un chrétien d’enterrer un parent dans une crypte qu’il a préalablement achetée ». Ce qui est le cas de la famille Franco : le dictateur avait acheté un caveau à cet endroit.

    L’affaire est grave au point que la « numéro 2 » de l’exécutif socialiste, Carmen Calvo, compte en parler au pape François lors de sa visite au Vatican, à la fin du mois. Mais il est à craindre pour Pedro Sánchez que les descendants de Francisco Franco ne renonceront pas à leurs desseins. Un dilemme se présente donc pour l’actuel chef du gouvernement : ou laisser le Caudillo dans un mausolée honni par une majorité d’Espagnols, ou bien le transférer dans un lieu au symbolisme encore plus important.

    Ce dilemme est assez amusant…

    https://www.lesalonbeige.fr/meme-mort-franco-donne-encore-des-sueurs-froides-a-la-gauche/

  • Home Partenaires de TVLibertés Au Forum n°9 : Pinatel, le caricaturiste qui a offensé De Gaulle

    Pour ce nouveau numéro de l’émission des Français rapatriés animée par Bernard Coll, l’invité de marque est un célèbre caricaturiste de droite : Pierre Pinatel. Depuis 60 ans, Pierre Pinatel croque le monde politique et artistique. Il revient sur une de ses cibles préférées : le général De Gaulle. Pour ses dessins dévastateurs, Pinatel est condamné en 1968 pour offense au chef de l’Etat. Il fera de cette condamnation un titre de gloire. Au Forum, c’est aussi l’affaire Audin, l’hommage aux harkis, etc…

  • Chateaubriand tel qu'en lui-même ...

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    Chateaubriand, saisi par la gloire comme on l'est par la débauche.

    Il semble qu'on n'en finira jamais avec Chateaubriand.

    Homme d'un temps révolu ou progressiste mesuré ? Ambitieux habile et rancunier ou esprit supérieur et au-dessus de la mêlée ? Catholique sincère ou croyant de circonstance ? Royaliste convaincu ou opportuniste déguisé en réaliste ? Grand écrivain reconnu ou auteur plus apprécié pour lui-même que pour ses livres ?

    Dans les premières pages de sa biographie, Ghislain de Diesbach dresse de lui un portrait qu'il conclut en disant que Chateaubriand aurait pu être la figure la plus marquante du XIXe siècle, avant Byron et Goethe, « s'il avait fait son profit de ce mot de Louis XVIII à son sujet : Qu'il est grand quand il ne se met pas devant lui ! »

    Cette ironique lucidité du roi semble avoir servi de fil rouge à Diesbach, éblouissant biographe, acceptant avec un plaisir non dissimulé de déambuler au travers de cette vie foisonnante dont les diverses séquences ne cessent de se bousculer et de s'entrecroiser : voyageur, soldat, poète, romancier, ambassadeur, ministre, essayiste, pamphlétaire, mémorialiste, de plus couvert de femmes tout en supportant la sienne, Chateaubriand semble avoir tout fait, tout vu, tout lu, tout entendu, menant tambour battant plusieurs vies à la fois.

    En cette année de son deux cent cinquantenaire, on se rappellera que Maurras, son cadet de cent ans exactement, lui a, en jeune iconoclaste, joyeusement et durement réglé son compte dans Trois Idées politiques (1898). Il a perçu dans cet « oiseau rapace et solitaire » un anarchiste anglomane démolisseur du classicisme, incapable de résister aux délices empoisonnés qu'offre le spectacle des décadences et de la mort. Au passage, il dénonça les « pantalonnades théologiques » du Génie du christianisme, d'accord sur ce point avec Napoléon qui n'y trouvait que du « galimatias » !

    Ghislain de Diesbach évoque tous ces épisodes à un rythme soutenu, jusqu'au moment où, après avoir mis en pièces le dernier livre du grand homme, La vie de Rancé, il dépeint sous des couleurs sombres ses dernières années : nous assistons à la décrépitude de ce vieillard, moins accablé par son récent veuvage que par le refus de Mme Récamier, elle-même vieillissante, d'accéder à sa demande en mariage...

    Mais ne restons pas sur cette note peu pimpante. L'ouvrage de Ghislain de Diesbach, qui date de 1998, vient, c'est très heureux, d'être réédité chez Perrin. Il n'a pas pris une ride, et nous fait superbement revivre tout ce que le destin du vicomte François-René a eu de flamboyant, à l'image de son style. Sans jamais renoncer à sa lucidité sur un personnage dont l'incontestable génie, saisi par la gloire comme on l'est par la débauche, fut sans cesse mis à mal par ce besoin frénétique de mise en scène de lui-même.  

    3650118671.9.pngCHATEAUBRIAND
    Ghislain de Diesbach
    Perrin, 2018, 668 p., 27 € 

    Christian Tarente

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Zoom – Jörg Haider : le précurseur des populismes ? Der Vorreiter des Populismus ?

    Jörg Haider, grande figure politique autrichienne, est décédé il y a 10 ans dans ce qui est présenté comme un accident automobile.
    Celui qui fut le charismatique gouverneur de la Carinthie, la province sud de l’Autriche, avait hystérisé l’Europe entière lorsque son parti le FPÖ était entré au gouvernement autrichien en 2000.
    À l’époque, il fut un précurseur de ce que l’on appelle aujourd’hui communément le populisme.
    En désaccord avec son parti, Haider le quitte en 2005 pour créer une nouvelle formation, le BZÖ.
    À la surprise générale, Haider réussit son pari et emmène le BZÖ au-delà des 10 % des suffrages en 2008, tandis que son ancien parti le FPÖ se maintenait au-dessus des 15 %.
    La brutale disparition de Haider a entraîné le déclin du BZÖ et la réunification de fait du courant national en Autriche, sous la direction du FPÖ repris par Heinz-Christian Strache.
    10 ans après sa mort survenue en 2008, le FPÖ qu’a dirigé Haider entre 1986 et 2000 est de nouveau au gouvernement, dans un contexte bien différent.

    TV Libertés revient sur le parcours brillant mais aussi sinueux de l’enfant terrible de la politique autrichienne. Ont notamment été interrogés :
    – Ewald Stadler, ancien député national et européen FPÖ puis BZÖ
    – Lionel Baland, journaliste belge, auteur d’une biographie de Jörg Haider (https://editions-cimes.fr/home/17-jorg-haider-le-phenix-lionel-baland-9791091058025.html)
    – Kriemhild Trattnig, figure historique du FPÖ et ancienne vice-présidente du Parlement de Carinthie

    Un reportage de Nicolas de Lamberterie.


    Jörg Haider, die große Figur der österreichischen Politik, ist vor 10 Jahren in dem, was als einen Autounfall vorgestellt wurde, ums Leben gekommen.
    Der charismatische Kärntner Landeshauptmann hatte ganz Europa hysterisch gemacht, nachdem seine Partei im Jahr 2000 an der österreichischen Bundesregierung beteiligt wurde.
    Damals wurde er zum Vorreiter dessen, was man heute allgemein Populismus nennt.
    Im Streit mit seiner Partei verlässt Haider 2005 die FPÖ, um eine neue Bewegung zu gründen, das BZÖ.
    Völlig unerwartet gelingt es Haider, das BZÖ im Jahr 2008 über die 10 %-Marke zu führen, während seine frühere Partei die FPÖ bei 15 % stabil bleibt.
    Der plötzliche Tod Haiders brachte den Niedergang des BZÖ und die Wiedervereinigung des nationalen Lagers in Österreich unter der Führung der nun von Heinz-Christian Strache geleiteten FPÖ.
    10 Jahre nach seinem Tod im Jahr 2008 sitzt die FPÖ, die Haider zwischen 1986 und 2000 geführt hatte, in einem veränderten Zusammenhang wieder in der Bundesregierung.

    TV Libertés blickt auf die brillante wenn auch ungerade Karriere des Enfant terrible der österreichischen Politik zurück. Es wurden interviewt :
    – Lionel Baland, belgischer Journalist und Autor einer Biographie von Jörg Haider
    – Kriemhild Trattnig, historische Persönlichkeit der FPÖ und frühere 2. Präsidentin des Kärntner Landtags
    – Ewald Stadler, früherer Nationalrat und Europaabgeordneter (FPÖ/BZÖ)

    Eine Reportage von Nicolas de Lamberterie

    https://www.tvlibertes.com/2018/10/11/26190/jorg-haider-precurseur-populismes-der-vorreiter-populismus

  • « Document exceptionnel : Les 100 ans de crimes communistes. »

    Le documentaire réalisé par Bernard Antony, l’AGRIF, Chrétienté-Solidarité et TVLibertés rompt le silence assourdissant autour d’un funèbre anniversaire : les 100 ans du communisme.
    Depuis 1917, cette idéologie est synonyme de cruauté, d’assassinats, de tortures, de souffrances et d’asservissement. Et pourtant, les élites françaises et la presse mainstream semblent oublier de rappeler les 100 millions de victimes de ce totalitarisme. Ces morts n’existent pas, tout au moins dans le débat public ! Ceci est peut-être l’illustration d’une caste dirigeante qui n’arrive pas à rompre avec le marxisme-léninisme, de certains dirigeants politiques qui n’ont jamais reconnu leurs erreurs et leurs errements ou de partis politiques qui n’ont jamais fait acte de repentance.
    C’est l’honneur de la presse alternative, et tout particulièrement de TVLibertés, de diffuser un documentaire afin de faire découvrir l’ampleur du malheur dans lequel furent ou sont encore plongés des peuples entiers. Ce document exceptionnel qui a nécessité des semaines de préparation est une arme pour la guerre idéologique contre les totalitarismes actuels-et, hélas, le communisme en est un.


  • À 3 jours de la réunion de dimanche de Synthèse nationale, Riposte laïque donne la parole à Roland Hélie

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    Source cliquez ici

    Comment passer à côté du jovial et sympathique Roland Hélie, qui va organiser ce dimanche une journée sur le thème « Ne laissons pas mourir la France »…

    Riposte Laïque : Vous fêterez ce dimanche 14 octobre, à Rungis, le 12e anniversaire de Synthèse nationale, dont vous êtes le fondateur, et le président. Pouvez-vous nous rappeler le concept de votre association ?

    Roland Hélie : Effectivement, la revue Synthèse nationale a été créée en 2006, il y a déjà 12 ans.

    À l’époque, l’objectif était simple. Nous pensions, quelques amis et moi-même, qu’il fallait introduire un nouvel état d’esprit au sein de la famille « nationale ». Nous devions en finir avec ce climat difficile qui régnait entre les différentes formations de la droite nationaliste et identitaire (j’emploie le mot « droite » afin de simplifier les choses, mais cette démarche devait aller bien au-delà, vous le savez mon cher Pierre) qui stérilisait chacune d’entre elles.

    Pour cela, nous avons, dans un premier temps, créé la revue ouverte aux différente sensibilités de la famille nationale, puis nous avons organisé les journées annuelles de Synthèse nationale au cours desquelles de nombreux responsables de formations, allant de Civitas à Riposte laïque en passant par Terre et peuple ou le Parti de la France, sont venus s’exprimer. La 12e édition aura lieu dimanche prochain, 14 octobre, à Rungis (*).

    Synthèse nationale c’est, en quelque sorte, le carrefour de toutes les forces nationales, identitaires, anti-mondialistes et non conformistes.

    Riposte Laïque : Et en dehors d’une journée annuelle, quelles sont vos autres activités ?

    Roland Hélie : Depuis 2012, nous avons monté une maison d’édition, Les Bouquins de Synthèse nationale, qui vient de publier son 40e ouvrage, Pour une troisième voie solidariste de Georges Feltin-Tracol. Nous publions aussi deux autres revues, Les Cahiers d’Histoire du nationalisme, le n° 14 est sorti cet été et il est consacré à l’Anglais Oswald Mosley, et, dans un tout autre domaine, la revue Confrontation, dirigée par Jean-François Touzé, qui traite des problèmes liés à l’immigration et à l’islamisation de la France et de l’Europe (**).

    Outre nos journées régionales de Lille, nous organisons aussi des conférences, tant à Paris qu’en province, sur différents thèmes. Par exemple, depuis quelques mois, nous menons une campagne contre l’implantation des éoliennes en France. Nous avons édité sur ce sujet, un livre, Éoliennes un scandale d’État, que nous devons à Alban d’Arguin et qui est maintenant une référence pour ceux qui s’engagent dans ce combat. Pour nous, l’implantation des éoliennes, aussi inutiles que nuisibles et coûteuses, relève de la volonté des mondialistes de détruire les identités en saccageant la nature et la beauté de chaque pays.

    Riposte Laïque : Vous avez choisi, cette année, comme thème « Ne laissons pas mourir la France ». La situation vous paraît donc plus grave que l’an passé ?

    Roland Hélie : Cela ne semble pas s’arranger. De toute façon, il n’y avait rien à attendre de Macron car, depuis le début, nous savions qu’il n’était que la roue de secours du Système aux abois après les catastrophiques quinquennats de Sarkozy et de Hollande.

    Pour en revenir au thème de la journée de Synthèse nationale, aujourd’hui, le choix est simple. Soit on se soumet à la volonté ultra-libérale de détruire les identités au profit d’un monde globalisé dans lequel les humains ne seraient plus que des consommateurs formatés, dociles et interchangeables, soit on le refuse. Si c’est le cas, si on ne veut donc pas laisser mourir la France, avec tout ce que cela représente, il faut venir nombreux le dimanche 14 octobre à Rungis.

    Riposte Laïque : Comment se passera cette journée, et qui y interviendra ?

    Roland Hélie : Le moment fort sera bien sûr le meeting politique en milieu d’après-midi au cours duquel prendront la parole des personnalités aussi différentes que Pierre Vial, de Terre et peuple, Alain Escada, de Civitas, Richard Roudier, de la Ligue du Midi, Jean-Paul Chayrigues de Olmetta, président des Amis de Synthèse nationale, Massimo Magliaro, ancien responsable du Mouvement social italien, Roger Holeindre que l’on ne présente plus, Carl Lang, président du Parti de la France, et Jean-Marie Le Pen qui devrait, à cette occasion, prononcer un discours important sur l’avenir de la Droite nationale dans la perspective des élections européennes de l’an prochain.

    Auparavant, la journée se divisera en plusieurs parties. Le matin, elle débutera par un forum consacré aux initiatives nationalistes et identitaires au cours duquel interviendront des responsables de mouvements militants comme la Dissidence française de Vincent Vauclin, le Bastion social, le Projet Lansquenet de Gabriele Adinolfi, ainsi que des militants syndicalistes comme Gérard Orget, président du CIDUNATI francilien. Nous recevrons aussi à ce forum Juan Antonio Lopez Larrea, responsable phalangiste de Barcelone, qui s’est engagé pour défendre, l’an passé, l’unité de l’Espagne menacée par le séparatisme catalan.

    En début d’après-midi, un second forum portera sur la réinformation avec Arnaud Raffard de Brienne, Philippe Randa, que les lecteurs de Présent connaissent bien, Jean-François Touzé, directeur de la revue Confrontation, Arnaud Menu, ancien directeur de Radio Libertés, Jean-Claude Rolinat, écrivain qui vient d’écrire un nouveau livre « La bombe africaine » (Éditions Dualpha). Une partie de ce forum sera aussi consacrée à « l’affaire Méric » où, avec Serge Ayoub et Aristide Leucate qui a couvert le procès pour Présent, nous essayerons de remettre les pendules à l’heure…

    Riposte Laïque : Pourquoi choisir Rungis, vous n’avez pas de solutions, à Paris ?

    Roland Hélie : Dans un premier temps, jusqu’en 2012, nous organisions ces journées à Paris. Et en 2013 il y a eu ce qu’il est convenu d’appeler « l’affaire Méric » dont j’ai eu l’occasion de parler récemment dans les colonnes de Riposte laïque. À la suite de celle-ci les idiots utiles du Système, les « antifas », se sont déchaînés contre les nationalistes et pas seulement de manière frontale mais aussi de manière sournoise en intimidant les directeurs de salles (les vitres de la salle où nous devions tenir cette année-là notre réunion ont été brisées et les murs recouverts de grafittis quelques jours avant). Nous avons donc été obligés de trouver une solution de rechange et, il faut le dire, c’est grâce à Pierre Vial et à Terre et peuple, qui organisent depuis longtemps leurs réunions dans cet endroit, que nous nous sommes retrouvés à l’Espace Jean Monnet à Rungis.

    Depuis, plusieurs organisations patriotiques nous ont emboîté le pas…

    Riposte Laïque : Je présume que vous allez expliquer à nos lecteurs comment faire pour s’y rendre, et espérant qu’il reste des places disponibles…

    Roland Hélie : Simple ! En voiture il suffit de se rendre à Rungis dans le Parc d’affaire ICAD et là l’Espace Jean Monnet est bien indiqué. De plus il y a deux grands parkings. En RER, Ligne C2, Train Mona, station Rungis La Fraternelle à 300 m de l’Espace Jean Monnet. En tramway Ligne T7, départ de la station de métro Villejuif Louis Aragon, arrêt La Fraternelle.

    Riposte Laïque : Vous avez d’autres projets, après le 14 octobre ?

    Roland Hélie : Continuer le combat pour que la Droite nationale se ressaisisse et qu’elle redevienne une force crédible capable de mettre fin au processus criminel contre notre nation et contre notre civilisation. Ce ne sont pas les exemples qui manquent en Europe…

    Riposte Laïque : Souhaitez-vous ajouter quelque chose, Roland ?

    Roland Hélie : Les lecteurs et les militants de Riposte laïque, dont je salue ici le juste combat, sont tous les bienvenus dimanche prochain 14 octobre à la 12eJournée de Synthèse nationale à Rungis.

    Propos recueillis par Pierre Cassen

    (*) 12e Journée nationaliste et identitaire organisée par la revue Synthèse nationale, dimanche 14 octobre 2018, Espace Jean-Monnet 47 rue des Solets à Rungis (Val-de-Marne), station RER et Tramway Rungis-La Fraternelle, vaste parking, restauration sur place, bar, concerts et animations, près de 80 stands, de 11 h à 18 h 30, billet entrée 10 €.

    (**) consultez le site Synthèse éditions cliquez là 

    Réaction de l'intéressé : Merci Cher Pierre pour une si aimable présentation. Roland Hélie

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2018/10/11/a-3-jours-de-la-reunion-de-dimanche-de-synthese-nationale-ri-6096260.html

  • AU FORUM des rapatriés #8 : La vraie histoire des colonies

    Les Français rapatriés d’Afrique du Nord et d’Outre-mer attendent toujours une réponse du Chef de l’Etat, Emmanuel Macron, à son affirmation accusatrice « la colonisation est un crime contre l’humanité. Une vraie barbarie » tenue en Algérie en février 2017 lors de la campagne électorale présidentielle. Dans ce nouveau Au Forum des Rapatriés, Martial Bild et Bernard Coll accueillent Arnaud Folch, rédacteur en Chef du hors-série de Valeurs Actuelles : « La vraie histoire des colonies » qui présente, par des faits concrets, le bilan réel de la colonisation française. A cette réalité coloniale s’ajoute une autre réalité de l’histoire de France, celle du drame de l’exode des Français d’Algérie et notamment des Harkis et de leurs familles. Un problème auquel le Président de la République, fidèle aux principes qu’il a présenté le 3 juillet 2017 au Parlement réuni à Versailles, semble vouloir apporter une réponse concrète. Bernard Coll présente, dans le contexte favorable d’une récente décision du Conseil Constitutionnelle et de l’indemnisation de nos compatriotes juifs d’Algérie par l’Allemagne, ce que pourrait être la nouvelle loi de reconnaissance et de réparation que prépare le préfet Dominique Ceaux et son Groupe de travail, L’évocation des dates dramatiques des 19 mars et 26 mars 1962 invitent les Français à se souvenir de l’origine et des drames qui ont marqué le retour du général De Gaulle au pouvoir en juin 1958. Une Histoire que doit assumer la France d’aujourd’hui en cette année qui marquera, le 4 octobre, 60e anniversaire de la Constitution de la Ve République.

  • 12e JOURNÉE DE SYNTHÈSE NATIONALE, DIMANCHE 14 OCTOBRE, LE PROGRAMME :

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    12eJOURNÉE DE

    SYNTHÈSE NATIONALE

    NE LAISSONS PAS MOURIR LA FRANCE !

    DIMANCHE 14 OCTOBRE 2018 

    ESPACE JEAN MONNET, 47 rue des Solets 94 Rungis

    11 h 00 : ouverture des portes - Entrée : 10,00 € (gratuit pour les moins de 16 ans)

    —11 h 15 : message de bienvenue de Roland Hélie, Directeur de Synthèse nationale

    —11 h 20-12 h 30 : forum des initiatives avec Hugues Bouchu, les Amis francilien de SN, Vincent Vauclin, La Dissidence française, Juan-Antonio Lopez Larrea, El cadenazo (site phalangiste de Barcelone), Gabriele Adinolfi, Projet Lansquenets (Rome), Emmanuel Albach,auteur de "Beyrouth 1976, des Français aux côtés des Phalangistes"Gérard Orget, dirigeant du CIDUNATI francilien, un responsable du Bastion social

    —A partir de 12 h 30 et jusqu'à 17 h 30 : Restaurant ouvert au public (repas ou sandwichs)

    —14 h 00-14 h 45 : forum sur la réinformation animé par Luc Pécharman avec avec Philippe Randa, éditeur, Radio Libertés, Jean-François Touzé, Directeur de Confrontation, Arnaud Raffard de Brienne, écrivain, Arnaud Menu, journaliste, Marie-Jeanne Vincent, contributrice à Nous sommes partout, Jean-Claude Rolinat

    —14 h 45–15 h 15 : Affaire Méric : rétablir la vérité avec Serge Ayoub, ancien dirigeant de Troisième voie, Aristide Leucate, écrivain et collaborateur à Présent pour qui il a suivit le procès, Roland Hélie

    —15 h 30–16 h 15 : concert, Docteur Merlin… présenté par Thierry Bouzard

    —16 h 30-18 h 00 : le meeting politique présidé par Jean-Paul Chayrigues de Olmetta avec : Roland HélieRichard Roudier, la Ligue du Midi, Alain Escada, Président de Civitas, Pierre Vial, Président de Terre et peuple, Massimo Magliaro, ancien responsable du MSI, Carl Lang, Président du Parti de la France, et

    JEAN-MARIE LE PEN

    Séance de dédicace du 1ertome de ses mémoires

    Toute la journée : le grand stand de la revue Synthèse nationale, des Cahiers d'Histoire du nationalisme,de Confrontation, des Bouquins et de l'Association des Amis. Vous pourrez y retrouver Jean-Claude Rolinat, Alban d'Arguin,  Georges Feltin-Tracol, le Dr Jean-Pierre Cousteau, Didier Lecerf, Pieter Kerstens, Thierry Bouzard, Arnaud Menu, Patrick Parment, Hubert de Mesmay, Commandant Aubenas, le dessinateur Ignace et les collaborateurs de la revue.

    —Nombreux stands d'associations, journaux, mouvements, éditeurs, libraires, artistes et artisans...

    —Un bar (bières, sodas, pas de Coca...)

    Comment accéder à l'Espace Jean Monnet, 47 rue des Solets à Rungis (94) ?

    En RER : ligne C2 Train Mona, station Rungis La Fraternelle (située à 300 m de l'Espace Jean Monnet)

    En Tramway : ligne T7, arrêt La Fraternelle (directe en partant de la station de métro Villejuif-Louis Aragon)

    En voiture : se rendre dans le Parc d’affaires ICAD de Rungis, l'Espace Jean Monnet y est bien fléché. Vaste parking gratuit à la disposition des visiteurs.

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