Pour télécharger, cliquez ICI
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Pour télécharger, cliquez ICI
Nous publions aujourd'hui le sixième volet de notre enquête avec le point de vue de nos ami(e)s du Clan des Brigandes. Pour celui-ci, à la désintégration du monde actuel, il faut opposer le rassemblement communautaire. Les Brigandes savent de quoi elles parlent puisque, pour elles, il s'agit là d'une expérience vécue. Pour les autres, peut-être une piste à étudier...
S.N.
Le Clan des Brigandes
Nous traversons une situation historique, un changement d’époque. La « crise coronavirus » qu’on nous impose en est le signe.
Tout d’abord, voici quelques éléments pour ceux qui seraient sceptiques quant à ce que nous allons exposer :
Nous connaissons la plus grande restriction des libertés fondamentales qu’il y ait jamais eu dans notre histoire connue, en temps de paix et à l’échelle mondiale. Cette restriction repose sur une prétendue pandémie, qui est pour le moment bien moins meurtrière que certaines grippes (celles de 1969, 1957,…) n’ayant jamais justifié de telles mesures. On remarque que :
- Certains hôpitaux sont quasiment vides (reportage-vidéo allemand à l’appui).
- Les chiffres des décès du cancer, de maladies respiratoires et autres ont curieusement baissé depuis mars 2020 : et pour cause, puisque toute personne décédée « avec » le coronavirus est classée dans les décédés « du » coronavirus. L’écrasante majorité des personnes prétendument décédées de ce virus avaient par ailleurs d’autres maladies graves (voir les statistiques).
L’actualité judiciaire, évidemment, c'est le coronavirus, c'est-à-dire le néant : audiences supprimées, greffiers absents, délais de procédure repoussés. Seules demeurent les audiences pénales d'urgence sur les mises en liberté, par lesquelles les autorités aux abois envoient les prisonniers se faire confiner ailleurs.
Cette situation dite exceptionnelle nous change peu puisque voici plusieurs semaines que les avocats en grève faisaient renvoyer toutes les affaires. L’après, dit le président de la République, ne sera pas comme l’avant. On veut bien le croire. Quand tout ce retard va déferler, il va falloir mettre les bouchées doubles. Notre magistrature est-elle prête pour soutenir cet assaut ? On déplore aujourd’hui l’état de misère dans lequel ont été laissées les urgences hospitalières. On déplorera la vétusté, le manque de moyens, l’abandon de la Justice.
De nombreux historiens, moins sages analystes que propagandistes, ont souvent cantonné l'étude de la contre-révolution à l'éloge des vertus religieuses de la chouannerie ou à l'exégèse des maîtres de la théocratie. Cela a longtemps suffi à la droite « catholique et française toujours », cette ancienne droite de Mac Manon annexant les réactions au despotisme révolutionnaire à sa propre défense du trône de droit divin et de l'infaillibilité pontificale. Comme cela confortait l'histoire jacobine, trop heureuse d'assimiler l'opposition intellectuelle à la Révolution à de l'obscurantisme clérical ou à de l'illuminisme providentialiste, tout en réduisant les révoltes populaires contre l'absolutisme républicain à n'être qu'un combat d'arrière-garde livré par une coalition d'hobereaux et de paysans fanatisés.
En étudiant les idées, les doctrines et les stratégies du parti aristocratique (le « Parti noir » entre 1789 et 1791, La Première contre-révolution de Jacques de Saint-Victor vient réviser judicieusement cette vision étroite de la résistance à la Révolution et ouvre un champ d'explorations intellectuel fertile pour qui veut dépasser l'horizon politique républicain. Cet essai nous révèle un continent méconnu de la pensée politique française aux racines vénérables et aux intuitions souvent lumineuses, un courant d'idées aussi éloigné de l'économisme libéral que du fétichisme de l'Etat et du volontarisme jacobin.
Disciple de Raymond Aron, dont il fut l’assistant au Collège de France, le philosophe, auteur de remarquables travaux sur le libéralisme et l’État- nation, analyse la crise inédite que nous vivons et le rapport à la politique qu’elle révèle. Pour lui, nous subissons un retour des « traits les moins aimables de notre État ». Le confinement, mesure « primitive »
et « brutale », est une suspension inédite de nos libertés. Il s’accompagne d’une prise de conscience collective des conséquences de l’abandon de l’idée d’indépendance nationale depuis des décennies. L’auteur de La Cité de l’homme voit dans la crise actuelle « la fin du bovarysme européen » et la confirmation de l’hégémonie allemande dans une Union délitée. C’est moins le libéralisme qui est remis en cause que l’idée d’un ordre humain réduit à la seule gestion des flux, juge Pierre Manent.
Lire la suite ICI
Publiés au printemps et à l'été 2014, les deux premiers numéros des Cahiers d'Histoire du nationalisme étaient épuisés depuis plus de trois ans. Une quinzaine de livraisons de cette collection de référence sont venues les compléter.
Le n°18, consacré à Honoré d'Estienne d'Orves et aux monarchistes et nationaux engagés dans la Résistance en 1940, initialement annoncé pour le mois de mars, sortira en juin cliquez ici. Il en sera de mêmes pour les rééditions du n°1 (Léon Degrelle) et du n°2 (François Duprat).
Comme nous vous en avions tenus informés à la fin mars, nos imprimeurs ont été contraints de suspendre leurs activités en raison du confinement. Dès que celui-ci sera levé, nous pourrons à nouveau, nous aussi, reprendre notre travail d'éditeur. Les commandes seront alors livrées.
Mais que tout cela ne vous empêche pas de commander dès maintenant ces deux rééditions indispensables pour mieux connaître l'histoire de notre famille politique.
CHN n°1 Léon Degrelle, témoignages et documents cliquez ici
CHN n°2 François Duprat et le nationalisme-révolutionnaire cliquez là