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divers - Page 144

  • Comment naissent les dictatures

    6a00d8341c715453ef0240a4ffd150200d-320wiEn verve en ce 27 avril, le vieux journal gauchisant Libé, si sournoisement complaisant depuis 2017, comme la plupart des médias subventionnaires, n'en peut visiblement plus avec l'adolescent imberbe de l'Élysée et son gouvernement chaotique.

    Citons quelques articles de tête dans son édition du jour :

    • Déconfinement : trouver la sortie du labyrinthe : incertitudes sur l’efficacité des mesures prévues pour l’après-11 mai, divergences et revirements chez les politiques et scientifiques, défiance des Français… Le gouvernement, qui dévoile son plan mardi, s’attend à recevoir des coups.

    • Tâche périlleuse pour Jean Castex, homme de terrain apprécié : le maire de Prades, ancien de la Cour des comptes et des cabinets de Xavier Bertrand, a été chargé de gérer le déconfinement…

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  • Michel Onfray : “Il nous faut opposer un Front Populaire au Front Populicide qui méprise, néglige et passe par-dessus le peuple”, par Nicolas Clément.

    Source : https://www.valeursactuelles.com/

    Le 12 avril, Michel Onfray et Stéphane Simon annonçaient la création de leur nouvelle revue de combat : Front Populaire. A travers ce média, le philosophe engagé entend organiser la convergence des souverainismes de gauche et de droite, tout en donnant une voix à l'ensemble du spectre contestataire de la société civile. Son objectif : imaginer “un avenir souverainiste, aux antipodes du rêve anti-social et anti-civilisationnel de Jupiter…” Entretien.

    Valeurs actuelles. Quand vous est venue l’idée de créer cette nouvelle “machine de guerre pour la plèbe” ?
    Michel
     Onfray. Le pouvoir m’a évincé de France-Culture où mon cours d’université populaire a été retransmis avec de véritables succès d’audience pendant une quinzaine d’années. Le maire de Caen LR, compatible avec Macron, s’est étonnement mis dans la situation d’être incapable de me trouver une salle pour que je puisse y donner mon cours pendant deux années, je lui avais laissé le choix du jour et de l’heure … L’université de Caen a convoqué un conseil d’administration pour voter massivement contre moi : ils ont refusé de me   louer la salle trois mille euros par séance – quatorze étaient prévues chaque année…- sous prétexte que les contenus de mes cours n’étaient pas scientifiques ! Le patron du Zénith, où j’ai une année donné mon séminaire en quatorze séances sur sept jours, a empoché 15.000 euros afin de payer une publicité de l’événement qu’il n’a jamais faite – ce que j’ai rendu public et qui n’a ému personne, pas plus d’ailleurs qu’avec les autres informations… Je me suis donc trouvé à la rue.

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  • BANNI de Tipeee, Daniel CONVERSANO de RETOUR en LIVE pour parler des + belles villes d'Europe

  • Michel Guénaire Un libéral en guerre contre le néo-libéralisme

    Un libéral en guerre contrele néo-libéralisme.jpegAvocat, spécialiste de droit public des affaires, ancien universitaire, Michel Guénaire est un libéral de l’ancien temps qui s'efforce de renouer avec les grands classiques de sa famille de pensée, loin des clichés néo-libéraux, tout en dénonçant la vacuité identitaire d’une Europe amnésique, confrontée à un monde multipolaire de plus en plus conscient de ses spécificités.

    Le Choc du mois : Comment l'avocat des affaires plutôt libéral que vous êtes en est-il venu à écrire des livres qui remettaient assez profondément en cause l'orthodoxie du néo-libéralisme ?

    Michel Guénaire : Mon point de départ est, en effet, un engagement libéral. À vingt ans, je lisais Benjamin Constant, quand mes condisciples vivaient encore dans la vénération du marxisme. Après avoir embrassé un temps la carrière universitaire, j'ai rejoint le barreau d'affaires en 1990, un an après la chute du mur de Berlin. J'ai alors assisté à l'éclosion d'un nouveau modèle économique mondial, qui prenait progressivement ses distances avec l'héritage du libéralisme classique. Je m'y suis intéressé. Mes essais ont ainsi recueilli les observations et les leçons que je tirais de la mondialisation. Ma formation de base étant celle d'un publiciste (c'est-à-dire un spécialiste de droit constitutionnel, de droit international public et de régulation des marchés), je me suis d'abord penché sur une notion de plus en plus discréditée dans la doxa de l'économie néo-libérale : le pouvoir. Quid du pouvoir et de ses enjeux dans une société exclusivement organisée autour de la seule loi du marché ? C'est nouveau. Car, sur ce point comme sur beaucoup d'autres, les libéraux de notre temps ont largement déformé la pensée et le combat de leurs devanciers, qui, au XIXe siècle, ne songeaient nullement à remettre en cause la légitimité du rôle de la puissance publique. Voyez l'inventaire qu'ont fait Charles Gide et Charles Rist des passages de La Richesse des Nations où Adam Smith évoque le rôle positif de l’État. D'autres que Smith, pareillement libéraux, n'ont pas manqué de souligner la part prépondérante que tient l'Etat dans l'organisation de la société. Si en réalité dans l'univers mental des néo-libéraux, on a pu à ce point associer libéralisme et anti-étatisme, c'est qu'on s'est focalisé sur le souvenir de la première lutte des libéraux contre la Monarchie, à l'exclusion des autres traditions libérales.

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  • Celui qui fut Weber le rouge est mort.

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    L'avis de Jean-François Touzé

    Je ne suis pas de ceux qui rient dans les cimetières et, même si je pense avec Vitellius et Charles IX, que le cadavre d'un ennemi sent toujours bon, je ne me réjouis pas de la mort de quiconque quand le temps a fait son oeuvre. Mais tout de même.

    Weber fut un militant révolutionnaire marxiste léniniste acharné, déterminé et enragé, aux côtés de Krivine, au temps des JCR puis de la Ligue. Au début des années 70, il habitait juste a coté de chez moi boulevard Saint Marcel. Tout le quartier était couvert d'autocollants d'Ordre nouveau dénonçant la présence de celui qui était bien une crapule gauchiste.

    Ni sa mutation ultérieure en sénateur socialiste fabiusien, ni son riche mariage qui lui ouvrit les portes des milieux patronaux, ne peuvent faire oublier les imprécations haineuses du directeur de "Rouge" et de l'orateur idéologue et activiste dont nous avons gardé la mémoire.

    Spéciale dédicace à tous ceux de nos camarades d'alors qui ont connu la douceur des arguments en acier trempé de la LCR.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2020/04/27/celui-qui-fut-weber-le-rouge-est-mort-6233493.html

  • JOKER ET LA RÉVOLTE DES DROITARDS - Le Soleil se lève #5 (Gendre,@NOUS VOULONS VIVRE !, Thibault)

  • Tolkien… Les songes nous guident (2)?, par Fréderic Poretti-Winkler.

    Le chemin de la libération est clair, il se désigne sous le nom du Roi, mais pas n’importe lequel, celui qui possède des valeurs et qui est à cheval, aurait dit Bernanos. Celui qui vient du fond de nos consciences, sang divin de la terre du peuple et qui symbolise la chevalerie éternelle, dont nous sommes les serviteurs, « peuple et Roi » sont de droit divin disait Marcel Jullian. En 1943, s’adressant à son fils Christopher, Tolkien dit : « Mes opinions politiques penchent de plus en plus vers l’Anarchie (au sens philosophique, désignant l’abolition du contrôle, non pas des hommes moustachus avec des bombes), ou vers la Monarchie « non constitutionnelle ».

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