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  • Charles Millon : Les communes peuvent être de véritables laboratoires pour une politique au service du bien commun

    Charles Millon : Les communes peuvent être de véritables laboratoires pour une politique au service du bien commun

    Charles Millon est bien connu des lecteurs du Salon Beige pour son engagement politique. Député mais aussi ministre de la Défense dans deux gouvernements d’Alain Juppé de mai 1995 à juin 1997, il a été élu Président du Conseil régional de Rhône-Alpes et maire pendant vingt-quatre ans de la ville de Belley.

    Fondateur du réseau de l’Avant-Garde, il est à l’origine d’une formation pour les candidats aux municipales.

    Il a répondu aux questions du Salon Beige. 

    Monsieur le Ministre, pourquoi pensez-vous qu’il faille s’investir dans ces élections qui auront lieu en 2020 ?

    Avec l’élection d’Emmanuel Macron, notre pays a signé pour cinq nouvelles années de déconstruction. La situation peut sembler sans issue mais à l’échelle locale, il est possible de reconstruire des communautés de destin, comme Gustave Thibon les définissait. Si à l’échelle nationale, nos élites politiques ne partagent plus matériellement ni spirituellement une existence commune, le maire, lui, est soumis aux mêmes risques et poursuit les mêmes buts que ses électeurs. Il vit dans une sorte de coude à coude quotidien avec eux. Les communes peuvent être donc de véritables laboratoires pour mettre en place une politique au service du bien commun.

    Les élections de 2020 sont une très belle opportunité pour permettre à une nouvelle génération politique de s’emparer des rênes de plusieurs dizaines de communes, d’acquérir ainsi, une expérience et une légitimité politiques pour, pourquoi pas, un jour prendre les rênes de notre pays !

    Cet été, l’opinion publique a été alertée par le nombre important de maires qui préfèrent démissionner. Cette situation ne révèle-t-elle pas les difficultés croissantes d’un tel mandat ?

    Il est vrai que, depuis l’élection d’Emmanuel Macron, 386 maires ont démissionné. C’est un chiffre record dont la tendance depuis 2014 ne cesse de s’accélérer. Une des raisons principales de cette situation est le sentiment des élus locaux d’être méprisés par l’Etat. Il faut aussi ajouter la contribution croissante des finances locales aux politiques publiques nationales et plus récemment la loi NOTRE, portant sur la nouvelle organisation territoriale.

    Il est vrai que la responsabilité des maires est devenue plus difficile ces dernières années mais cela ne doit pas faire oublier que le maire est un homme aux quarante métiers, soit autant de possibilités d’agir pour améliorer la vie de ses concitoyens. Je pense à ce jeune élu, Philibert Marquis, conseiller municipal dans la ville Belley, que j’ai administrée pendant plus de vingt ans, je pense à son enthousiasme. Architecte, il a mis ses compétences au service de sa ville : actuellement, il réfléchit à la reconversion des bâtiments de l’ancien hôpital.

    Mais être maire ou même simplement conseiller municipal demande certaines compétences. Tout le monde ne semble pas fait pour assumer cette responsabilité.

    Je ne suis pas du tout d’accord. Chacun d’entre nous doit être acteur de la reconstruction de notre pays et la bataille municipale doit concerner tout le monde. Habiter un territoire, ce n’est pas simplement y vivre, c’est aussi contribuer à son développement, à sa vie sociale… Si nous sommes mus par la volonté que le bien commun régisse la France, alors nous avons le devoir de nous mobiliser pour ces élections.

    Regardez, en 2014, une toute petite poignée d’anciens militants de La Manif Pour Tous a été élue aux fonctions municipales. Ces militants n’étaient pas d’anciens piliers de la vie politique, ils ne dépendaient pas des systèmes d’allégeance des partis politiques. Pourtant, ils ont, à ce jour, un bilan peu connu mais incroyable. L’une a mis en place des patronages laïcs dans sa ville, tandis que l’autre a travaillé à la mise en place d’une préparation au mariage civil. Un autre exemple est celui de Robert Ménard qui a instauré une mutuelle municipale dans sa ville de Béziers, la quatrième ville la plus pauvre de France ! Croyez-vous qu’il était un spécialiste de l’assurance maladie ? Le travail de ces quelques élus montre qu’à l’échelle locale, il n’est pas nécessaire d’être un expert dans tel ou tel secteur pour réaliser des actions publiques utiles.

    Avec l’Avant-Garde, vous organisez une formation pour les candidats aux municipales. N’est-ce pas contradictoire ?

    Ce n’est pas parce qu’il n’est pas nécessaire d’être un expert qu’il ne faut pas se préparer. Mener une campagne et la gagner demandent d’être assuré dans ses convictions, dans ses fondements anthropologiques pour porter un programme qui soit cohérent. Les candidats doivent aussi acquérir des techniques indispensables comme apprendre à parler en public, constituer son équipe, user des médias, des réseaux sociaux… On ne peut s’improviser dans une campagne électorale : il y a une temporalité à respecter et une réflexion stratégique à avoir. L’objectif de notre formation est donc d’accompagner les candidats, les membres de leur liste et les membre de leur équipe de campagne sur toute cette démarche afin qu’ils soient des candidats crédibles. Mais s’engager dans la bataille des municipales ne s’arrête pas au soir des élections. Une fois élu, il faut pouvoir administrer, mettre en place ce qui a été énoncé. L’autre objectif de cette formation est donc de préparer les candidats à leurs responsabilités.

    Concrètement, comment se déroulera cette formation ?

    La formation se déroulera sur six week-ends d’octobre 2018 à septembre 2019, du samedi matin au dimanche milieu d’après-midi, afin de faciliter le retour des participants venus de province. C’est une formation qui s’adresse à tous tant que les participants partagent notre vision du bien commun, une vision fondée sur la pensée personnaliste. La question des étiquettes politiques ne nous intéresse pas. D’ailleurs, c’est un problème mineur pour les élections municipales. En effet, à l’exception des très grandes villes, chaque commune a son équilibre politique propre, loin des équilibres nationaux.

    Nous avons réuni une trentaine d’intervenants : des élus, des journalistes, des politologues, des experts des collectivités territoriales… pour une formation à l’ensemble de enjeux : la construction d’un projet pour sa commune, la préparation de la campagne et la gestion de la commune.

    Pour toute information, les lecteurs du Salon Beige peuvent prendre contact avec France Andrieux : france.andrieux@lavant-garde.fr

    Quel serait le conseil principal que vous adresseriez à un lecteur du Salon Beige qui serait tenté par l’engagement électoral dans sa commune ?

    Si vous vous souhaitez devenir maire ou conseiller municipal, c’est parce que vous avez le désir d’être au service des habitants de votre territoire. Il est fini le temps où l’ambition politique suffisait à justifier un mandat électoral. Aujourd’hui, les Français ont besoin de cohérence et d’engagement. La priorité est donc que vos lecteurs acquièrent une légitimité en se mettant dès aujourd’hui au service de leurs concitoyens. Il faut qu’ils se rendent utiles, qu’ils se retroussent les manches et agissent dans les lieux où les habitants se sentent négligés, abandonnés. En 2020, les Français n’éliront que les candidats qui auront su être crédibles par des actions menées pour la population et non pour leur notoriété personnelle.

    Calendrier de la formation :

    • 20-21 octobre 2018 : La commune, un territoire d’action politique
    • 1er-2 décembre 2018 : La commune, des électeurs à convaincre et mobiliser
    • 26-27 janvier 2019 : La commune, une collectivité territoriale à administrer
    • 30-31 mars 2019 : La commune, une communauté à construire et préserver
    • 15-16 juin : 2019 : La commune, un territoire à faire aimer
    • Septembre : 2019 : Bilan de la formation : initiatives et témoignages d’élus.

    https://www.lesalonbeige.fr/charles-millon-les-communes-peuvent-etre-de-veritables-laboratoires-pour-une-politique-au-service-du-bien-commun/

  • Merkel pédale dans la choucroute – Journal du lundi 15 octobre 2018

    Union Européenne / Merkel pédale dans la choucroute
    C’est un revers sans précédent pour les alliés de la chancelière allemande. En Bavière, la CSU a perdu plus de 12 points pour atteindre péniblement les 37 %… Le plus mauvais score depuis 1950. L’AfD, de son côté, fait son entrée au Parlement régional.

    Union Européenne / Brexit au point mort

    Société / Voiles islamiques : retour en force

    Social / Force ouvrière : le syndicat big brother
    Déjà dans le creux de la vague, c’est un nouveau coup dur pour le syndicalisme français. Les révélations de fichage des cadres de Force Ouvrière plongent le syndicat de Pascal Pavageau au fond du trou…

    Serveur TVL

    Lien dailymotion
    https://www.tvlibertes.com/2018/10/15/26257/merkel-choucroute-journal-lundi-15-octobre-2018

  • Seconde partie de la matinée de dimanche à Rungis

    Vincent Vauclin, Président de la Dissidence française

     

    Valentin, responsable du Bastion social

     

    Gérard Orget, Président du CIDUNATI francilien

     

    Gabriele Adinolfi, Projet Lansquenets

     

    Juan-Antonio Lopez Larrea, El Cadenazo de Barcelona

  • Près de 1 800 visiteurs à la 12e Journée de Synthèse nationale dimanche à Rungis

    Dimanche à Rungis la 12e Journée de Synthèse nationale a pulvérisé les recors d'influence puisque près de 1 800 visiteurs (à 13 h, nous avions dépassés le chiffre total de l'an passé) sont passés dans la journée assister aux différents forums et au meeting final et visiter les 80 stands installés dans les couloirs et les halls prévus à cet effet.

    Nous reviendrons tout au long de la semaine sur cette belle journée qui, malgré l'absence bien involontaire de nos deux leaders nationaux que sont Jean-Marie Le Pen et Roger Holeindre médicalement retenus, s'est parfaitement déroulée.

    Interventions filmées, reportages photographiques, compte rendus des tables-rondes se succéderont sur ce site dans les jours qui viennent.

  • Sur BFM TV, Philippe de Villiers donne à Ruth Elkrief une leçon de populisme

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    Jeudi soir, sur BFM TV, Ruth Elkrief fut interloquée par les propos de Philippe de Villiers, venu présenter son dernier livre, Le Mystère Clovis. S’il s’était agi de Marine Le Pen, de Nicolas Dupont-Aignan ou de quelque autre suppôt de Satan, sans doute lui eût-elle fait une remarque désobligeante. Mais Philippe de Villiers, ce n’est pas un excité ! Il aurait même conseillé Emmanuel Macron pendant sa campagne. Eh bien, c’est fini ! La rupture est consommée.

    Philippe de Villiers n’y va pas par quatre chemins. S’il a cru, au début, à la possibilité d’un comportement gaullien chez notre Président, il a vite déchanté. Une politique de matamore en matière internationale, une inconscience devant le problème identitaire, une incapacité à le régler, à vouloir même le régler. La fête de la Musique, la photo de Saint-Martin avec le doigt d’honneur, ses « conneries », comme dit Brigitte, ont fait le reste. Ce qu’il attendait de lui, c’est qu’il respecte sa fonction, qu’il entreprenne de « remettre l’Europe d’aplomb, une Europe qui se fait avec les nations, pas contre les nations » : on en est loin !

    « Peut-être ne le faites-vous pas exprès », trouve-t-il comme excuse à la journaliste, qui ne semble pas comprendre qu’il se moque d’elle. Et il enfonce le clou. Se référant au discours de Gérard Collomb, lors de la passation de pouvoir, il lui fait remarquer que « nous avons installé deux sociétés face à face ». Il lui rappelle que, lorsqu’il a précédemment parlé de « risque de partition », elle lui a reproché d’exagérer. De plus en plus de monde le reconnaît, maintenant.

    Ce n’est pas tout ! Il revendique, horribile auditu, d’être « populiste ». Dans une allusion à la formule de « lèpre populiste », employée par Macron, il commente : « Je suis lépreux, j’ai ma petite crécelle – à BFM, c’est bien, la crécelle », s’amuse-t-il, feignant de l’agiter, avant d’asséner : « Je suis populiste et je ne me soigne pas. » Il explique que « le populisme, c’est le cri des peuples qui ne veulent pas mourir ». Quant à l’« État de droit » dont on nous rebat les oreilles, « c’est le fait des juges, de la Cour européenne des droits de l’homme, des commissaires qui pondent des normes qui sont destructrices de notre civilisation ». Il ose même dire qu’Orbán et Salvini sont « des gens sérieux, qui aiment leur pays, des patriotes » : la pauvre Ruth en a le bec cloué.

    Philippe de Villiers donne cet avertissement prémonitoire : « Il y a des gens qui ont fait sécession mentalement et qui, le jour venu, nous feront comprendre que c’est nous les étrangers. » Ruth a visiblement du mal à encaisser. Mais, sur une chaîne privée, il faut bien satisfaire un auditoire qui partage de plus en plus ces idées souverainistes. Son interlocuteur lui fait remarquer que ce n’est pas tout à fait la même chose sur les chaînes publiques. Ouf ! C’est la fin de l’interview : elle est sauvée par le gong.

    Philippe de Villiers a quand même eu le temps de prédire à Macron qu’il sera « balayé », s’il poursuit sa politique. Peu de Français s’en plaindront ! Au fait, pour les élections européennes, ne pourrait-il pas donner un coup de main au camp des « populistes » ?

    Philippe Kerlouan

    http://www.bvoltaire.fr/sur-bfm-tv-philippe-de-villiers-donne-a-ruth-elkrief-une-lecon-de-populisme/

  • Même mort, Franco donne encore des sueurs froides à la gauche

    Même mort, Franco donne encore des sueurs froides à la gauche

    Les socialistes espagnols, dans leur haine contre le cadavre de Franco, risquent de s’en mordre les doigts :

    Ce qui devait être une victoire symbolique de haute volée est en train de se transformer en un authentique tourment pour l’actuel gouvernement socialiste. Lorsqu’en septembre, Pedro Sánchez a confirmé par décret-loi que les restes du général Franco seraient exhumés et extraits de son mausolée du Valle de los Caidos, à l’ouest de Madrid, il pensait avoir marqué son mandat d’un exploit : depuis le retour de la démocratie en 1978, aucun gouvernant n’avait osé déménager la dépouille de celui qui gouverna le pays pendant quatre décennies d’une main de fer et qui continuait de trôner depuis cet imposant cirque montagneux où est construit son mausolée. Une véritable anomalie puisque la plupart des anciens dictateurs du Vieux Continent reposent dans des lieux discrets.

    Tous les obstacles avaient été levés, y compris les traditionnelles réticences de l’Église : le chef du gouvernement socialiste se disait « très fier » d’avoir obtenu le retrait du corps du Caudillo « d’un endroit où il n’aurait jamais dû se trouver ». D’après les calculs officiels, sa dépouille devait être transférée dans les mois à venir vers le cimetière privé du Pardo, à l’ouest de Madrid, là où la famille Franco dispose d’un panthéon. C’était pour Pedro Sánchez le scénario idéal. Qui devait lui permettre d’inscrire son nom dans l’histoire d’Espagne.

    Coup de théâtre : il se trouve que les descendants de Franco, en particulier deux petits-fils de l’ancien dictateur, ont eu l’ingénieuse idée d’accepter le « déménagement » de leur aïeul, non pas dans le discret cimetière privé, mais dans la cathédrale de l’Almudena, au cœur de Madrid, un lieu emblématique très visité, à deux pas du Palais Royal. « Les Franco ont réalisé un coup de maître, affirme l’analyste Carlos Garcia. Ils ont accepté la décision des socialistes pour placer le Caudillo dans un endroit encore plus problématique pour les autorités. »

    Pour les socialistes au pouvoir, c’est en effet la pire des solutions possibles. « Nous préférons encore qu’il reste dans son mausolée plutôt qu’il repose dans la grande cathédrale de la capitale, si exposée, si importante », a réagi un porte-parole du gouvernement. Légalement, ce dernier ne peut rien faire : comme le dit l’Église, « on ne peut empêcher un chrétien d’enterrer un parent dans une crypte qu’il a préalablement achetée ». Ce qui est le cas de la famille Franco : le dictateur avait acheté un caveau à cet endroit.

    L’affaire est grave au point que la « numéro 2 » de l’exécutif socialiste, Carmen Calvo, compte en parler au pape François lors de sa visite au Vatican, à la fin du mois. Mais il est à craindre pour Pedro Sánchez que les descendants de Francisco Franco ne renonceront pas à leurs desseins. Un dilemme se présente donc pour l’actuel chef du gouvernement : ou laisser le Caudillo dans un mausolée honni par une majorité d’Espagnols, ou bien le transférer dans un lieu au symbolisme encore plus important.

    Ce dilemme est assez amusant…

    https://www.lesalonbeige.fr/meme-mort-franco-donne-encore-des-sueurs-froides-a-la-gauche/

  • Les nuisibles de gauche : “Ils ne courront jamais aussi vite que je les emmerde”

    Les nuisibles de gauche : “Ils ne courront jamais aussi vite que je les emmerde”

    9217-p9-fb-itw-chanoinat1-300x300.jpgVenantino Venantini, « première gâchette chez Volfoni », est décédé le 9 octobre. Il était le dernier des Tontons flingueurs. Un très bel album consacré au film vient de paraître. Il est publié par une maison d’édition apparemment créée pour l’occasion : Autour de la poire (autourdelapoire@gmail.com), réunit les talents d’un dessinateur-caricaturiste dans la tradition de Morchoisne, et d’un scénariste de BD de bonne réputation : Philippe Chanoinat. Philippe Chanoinat a été interrogé dans Présent. Extrait :

    Ce film diffuse-t-il une philosophie ? Représente-t-il, comme on l’a parfois écrit, la quintessence de « l’anarchisme de droite »

    Ah ah ah ah ! C’est très français de tout vouloir politiser ! Une chose est sûre : à l’époque, la critique de gauche détestait les films de Georges Lautner et les dialogues d’Audiard. Dans notre album, je cite deux exemples de ce que pouvaient écrire ces nuisibles. Aujourd’hui, rien n’a changé, ce sont toujours les mêmes cons, donneurs de leçons et prétentieux. Ils ne courront jamais aussi vite que je les emmerde, le « politiquement correct » m’insupporte au plus haut point. Je n’aime pas les étiquettes, mais j’aime bien le terme « anarchiste de droite ». J’ai mes valeurs et le respect qui va avec. De nos jours, dès qu’on n’est pas dans la démagogie larmoyante et le pseudo-humanisme hypocrite, on est forcément un « facho ». Les vrais chantres du totalitarisme ce sont les détenteurs de la pensée unique.

    https://www.lesalonbeige.fr/les-nuisibles-de-gauche-ils-ne-courront-jamais-aussi-vite-que-je-les-emmerde/

  • Journal du chaos

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