Jean-Michel Vernochet, Lucien Cerise et Patrick Gofman sur le stand des éditions "Le retour aux sources" cliquez ici
L'Ami Gofman toujours audacieux lorsqu'une jolie fille passe devant lui...
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Jean-Michel Vernochet, Lucien Cerise et Patrick Gofman sur le stand des éditions "Le retour aux sources" cliquez ici
L'Ami Gofman toujours audacieux lorsqu'une jolie fille passe devant lui...
Espion du KGB, dirigeant autoritaire, monstre froid, patriote exemplaire, visionnaire, grand stratège… Les points de vue sur Vladimir Poutine sont souvent très tranchés ? Entre deux visions qui s’opposent, où est la vérité ? Sans doute un peu entre les deux… C’est ce que nous allons tenter de comprendre avec Frédéric Pons.
Cette journée a pour thème “Ne laissons pas mourir la France”.
Et il y a de quoi s’inquiéter, il est vrai.
Il y a bien sûr la submersion migratoire combinée à la dénatalité des Français de souche à qui l’AFP vient encore ces jours-ci d’affirmer qu’ils doivent faire moins d’enfants pour diminuer leur empreinte carbone et combattre le réchauffement climatique.
Il y a aussi le niveau inquiétant de nos gouvernants. Qui aurait jamais imaginé qu’un chef de l’Etat organise une fête dans la cour de l’Elysée autour d’un personnage central qui arbore un t-shirt sur lequel est inscrit “Fils d’immigré, noir et pédé” ? Il y a encore ces images du chef de l’Etat dans les Antilles et comme dit l’humoriste métisse Fabrice Eboué, “Dès que Macron voit des Noirs torse nu, il s’émoustille”. Mais, en politique, le désespoir est la pire des sottises, disait Charles Maurras.
Je voudrais donc vous parler de deux échéances, les élections européennes d’abord, les élections municipales, ensuite.
En 2019, nous serons invités à voter pour élire les députés du Parlement européen. Et je voudrais vous mettre en garde contre un piège qui nous est tendu. Vous aurez probablement tous appris la nouvelle : l’américain Steve Bannon, ex-conseiller de Donald Trump, veut s’occuper de nous et coordonner les populistes de toute l’Europe en vue de nous libérer de l’influence de George Soros. Je ne voudrais pas être désagréable mais la dernière fois que les Américains sont venus nous “libérer”, ils ne sont jamais vraiment repartis, ils nous ont imposé pour des décennies leur “american way of life”, leur coca-cola, leurs hamburgers, leur cinéma hollywoodien, l’OTAN, et des accords économiques à leur avantage. Alors, permettez-moi de douter de l’altruisme de Steve Bannon.
Surtout quand on apprend la suite.
Car si Steve Bannon sillonne l’Europe pour proposer à Marine Le Pen, à Matteo Salvini et à tant d’autres leaders politiques de rejoindre son club baptisé sobrement “Le Mouvement”, au bout de quelques recherches, on s’aperçoit que Steve Bannon n’en est pas le fondateur mais simplement le représentant de commerce.
Figurez-vous que c’est à Jérusalem, en décembre 2016, qu’a été imaginé ce projet, en marge du Sommet de Jérusalem des Leaders internationaux. Un mois plus tard, en janvier 2017, l’un des participants, l’avocat belge Mischaël Modrikamen, ancien président de la synagogue libérale de Bruxelles, déposait les statuts de la Fondation Le Mouvement dont Bannon assure la promotion. Les statuts de la Fondation Le Mouvement désignent Mischaël Modrikamen comme président. Deux autres personnes sont fondatrices : Yasmine Dehaene, son épouse, par ailleurs co-organisatrice du Sommet de Jérusalem des Leaders Internationaux, et Laure Ferrari, une amie très très intime de Nigel Farage.
Mieux encore, la presse israélienne a relayé un discours de Mischaël Modrikamen, président de la Fondation Le Mouvement, promue par Bannon, au cours duquel il déclare qu’ “Israël est une lumière pour les Nations”. Voilà résumé le programme proposé aux populistes d’Europe…
Cerise sur le gâteau : Mischaël Modrikamen est aussi le président du parti populaire belge dont l’ancien vice-président est son ami Joël Rubinfeld, président de la Ligue belge contre l’antisémitisme (l’équivalent de la LICRA) et vice-président du Parlement juif européen.
Voilà donc la nature du Mouvement que nous propose Steve Bannon pour sauver l’Europe et la France.
Et si Marine Le Pen se dit réservée, Louis Aliot se déclare pourtant très favorable à ce que le Rassemblement National rejoigne la Fondation Le Mouvement. Et je rappelle que Louis Aliot se propose généreusement pour conduire la liste du Rassemblement National aux européennes.
Serions-nous condamnés à n’avoir le choix :
• entre le plan A de George Soros et le plan B de Jacques Attali incarné par la Fondation Le Mouvement,
• entre les médias appartenant à la famille Rothschild, ceux appartenant à Bertelsman et ceux appartenant à Patrick Drahi,
• entre Cyril Hanouna et Michel Drucker
• entre Bernard-Henri Lévy, Alain Finkielkraut et Eric Zemmour ?
Et je précise immédiatement que je préfère écouter Zemmour que BHL et que j’ai même un incontestable plaisir à l’écouter clouer le bec d’un chantre du vivre ensemble ou d’une virago du féminisme. Mais lorsque j’ouvre le dernier livre de Zemmour intitulé “Destin français” et que j’y trouve un chapitre sur Saint Louis que Zemmour appelle le “roi juif”, je me dis qu’il y a un sérieux problème. Confirmé par sa conclusion qui lie le sort de la France à celui d’Israël.
Or, nul ne peut servir deux maîtres à la fois.
Et ce n’est pas parce que nous refusons à juste titre l’immigration de grand remplacement et l’islamisation de notre pays que nous avons à livrer celui-ci à l’influence d’Israël.
Je rappelle que l’acte fondateur de la France est le baptême de Clovis par l’évêque Saint Rémi, instaurant le principe que le roi de France est le « Lieutenant du Christ ». Ce n’est pas une circoncision par un rabbin ou un imam.
Et qu’on ne vienne pas me dire que la solution à tout cela, c’est la laïcité. Dans quelques semaines, les ayatollahs de la laïcité mèneront une fois de plus la guerre aux crèches de Noël. Mais les mêmes se précipiteront pour fêter Hanouccah ou la fin du Ramadan. Leur laïcité, c’est une parodie de religion dont le dogme essentiel est l’anti-christianisme et qui s’est marquée dans le sang par le génocide vendéen, lorsque l’armée de la république organisait les noyades de Nantes ou embrochait les bébés vendéens au fil de la baïonnette.
Chers amis, comprenez-moi bien.
Il ne tient qu’à nous de nous libérer de ces chimères et de reprendre notre destin en main.
Pour cela, il faut déjà cesser de déléguer à des personnes qui servent manifestement d’autres communautés le monopole de représenter publiquement et médiatiquement notre courant de pensée, notre culture, notre patrimoine, notre civilisation.
Qu’on soit catholique ou non, pratiquant ou non, la France est une terre catholique, dont les cathédrales font la renommée, dont près de 5.000 communes portent le nom d’un saint ou d’une sainte, et dont des dizaines de milliers de calvaires rythment nos promenades et longent nos routes.
La France se redressera lorsque le peuple de France s’en rappellera et le revendiquera.
Par deux fois, en 1789 et en 1968, la folie révolutionnaire française s’est exportée à travers le monde.
Si la France redevenait fidèle à son baptême, à sa mission, son influence salvatrice s’exporterait également, cette fois pour le bien du monde mais à l’inverse du plan du nouvel ordre mondial et de son messianisme judéo-maçonnique.
Si Civitas devait trouver les moyens financiers suffisants, nous déposerions une liste aux européennes pour proclamer haut et fort ces vérités.
Mais une autre échéance est à placer dans notre viseur. Je veux parler des élections municipales de 2020. Car l’enjeu local est essentiel à notre projet de reconquête. Et il faut s’y préparer dès maintenant.
C’est un enjeu à notre portée, qui s’inscrit dans un retour au réel, à l’échelon le plus naturel de la vie politique, au plus près du quotidien des Français.
Oui, je prêche pour profiter utilement de ces élections municipales pour organiser des villages gaulois et catholiques, des îlots de résistance, où sauvegarder nos traditions et nos coutumes, et à partir desquels il faudra envisager de rayonner pour organiser la reconquête de notre sol, la patrie, la terre de nos pères.
C’est au niveau local, sur le terrain, particulièrement dans la France rurale, que se situe notre plus grande opportunité. Il faut s’en saisir avant qu’il ne soit trop tard.
On peut être gay, américain et porter une vision massivement illibérale du monde. La preuve par Jack Donovan, figure de l’alt-right américaine, provocateur ultraréactionnaire, homosexuel et néo-païen. Pour Jack, la voie des hommes, c’est « la voie de la chasse en horde ». Jack Donovan s’oppose aux chimères d’une évanescente « conscience globale » et pulvérise l’imposture de la bonté universelle. Dans Devenir un barbare, il s’attaque à « l’Empire du Rien » et enseigne avec pédagogie les fondamentaux de la pensée tribale. Voilà donc un livre qui tombe à point nommé, c’est-à-dire au moment précis où notre Europe est livrée sans combattre aux hordes ethniques, l’accueil de l’« autre » s’effectuant au nom d’un bien étrange universalisme compassionnel.
Ontologiquement, « l’Empire du Rien », c’est le vide émasculé de la vie moderne, le déracinement et le désespoir rédimés par un moralisme à prétention universelle.
Matériellement, c’est le syndicat des intérêts croisés des sociétés transnationales, des médias, des institutions financières.
Dans ce monde, la veulerie supplante l’honneur. Plus de dieux ni de héros, puisqu’il n’y a plus de monstres ni de dragons (cela effraye les consommateurs).
Le peuple de l’Empire a été persuadé que liberté est synonyme de licence. Il croit donc qu’il est libre parce qu’on lui permet de se défoncer ou de changer de sexe ad libitum. L’inclusion, c’est bon pour le business.
Les mouvements de justice sociale « travaillent à imposer des “droits humains” qu’ils ont élaborés sur la tête de gens qu’ils n’ont jamais vus ».
Ce non-sens paralysant conduit les hommes à se disputer sur des questions sur lesquelles ils n’auront jamais aucun contrôle. La manipulation de masse est au bout de ce chemin de bonne volonté universelle. Des institutions internationales placent une morale hors-sol abstraite au-dessus des exigences concrètes de leur mandat. Voir le traitement de la question migratoire par l’Union européenne.
Mais que se passerait-il si nous cessions de prétendre nous soucier de tout ?
L’universaliste, qui n’a pas à s’occuper concrètement de ses proches, revendique la responsabilité du bien-être de l’humanité entière. Mais l’universaliste n’a rien d’un dieu omniscient ; il n’est qu’une « faillite nauséabonde ».
Le barbare reconnaît que d’autres ont des intérêts et des valeurs irréconciliables avec les siens.
Il « met fin aux relations sans signification, unilatérales et fantasmatiques ». Car l’amour est un choix, un acte discriminatoire.
Adopter le style de vie barbare, c’est devenir plus lié à la communauté et moins lié à l’État.
C’est en défendant la frontière tribale, en tuant la bête qui menace ses proches que les hommes trouvent l’accomplissement de leur « voie virile ». Car il ne suffit pas de simplement rejeter la douceur méprisable de la modernité et la solution ne consiste pas à revenir à l’individualisme atomisé, mythe libéral. Dans l’état de nature, les hommes n’ont aucun droit. La tribu offre une protection contre les dangers et un mécanisme communautaire permettant de régler les différends. « Le vagabond individualiste est une anomalie déviante. »
Le barbare ne s’excuse pas pour sa virilité et ne se satisfait pas de la médiocrité. Il deviendra donc un paria et ne pourra survivre seul ; sa seule option est celle du tribalisme. « On ne peut s’opposer au broyeur de viande de l’ensemble universel que par la séparation tribale. »
S’agit-il d’être fair-play avec « l’Empire du Rien » ? Certes pas. Le barbare « prend à l’Empire pour son peuple et ne donne rien à l’Empire en retour » ; il passera donc le changement de vitesses moral, cessant de penser en citoyen d’un Empire qu’il n’hésitera plus à piller.
Pas mon peuple, pas mon problème.
Communiqué de l'Entraide savoyarde :
L’association Entraide savoyarde recevra Hristo Xiep le samedi 20 octobre 2018 à 15h00 à Aix-les-Bains pour une conférence où il évoquera la problématique de la manipulation de l’opinion en France, tant par les partisans de l’Amérique (Oceania) que de la Russie (Eurasia), à la lumière de l’œuvre de George Orwell.
A la suite de sa conférence, Hristo Xiep dédicacera ses brochures « Ce que j’en dis… »
La Manif Pour Tous regrette vivement, une nouvelle fois, l’absence d’un ministère de la Famille dans le gouvernement d’Edouard Philippe :
Elle s’étonne de ce manque criant, alors même que les familles sont le cœur de la société, le garant de sa cohésion, le premier lieu de l’éducation des jeunes et de la solidarité intergénérationnelle, le moteur de l’économie.
Alors, pourquoi les familles sont-elles victimes de cet oubli ? Mais est-ce un oubli alors que la première préoccupation relevée par En marche en 2016 lors de son tour de France était la famille ?
Rien n’est moins sûr à vrai dire. Cette absence, la seconde après le premier gouvernement Philippe, révèle l’esprit d’une époque et plus particulièrement celui de l’actuel pouvoir.
De fait, il est bien connu que nous vivons aujourd’hui le triomphe de l’individualisme, illustré par la revendication, élevée au rang de dogme, de l’autonomie, couplée à celle des droits individuels.
L’affaiblissement méthodique des mesures familiales depuis François Hollande, poursuivi par Emmanuel Macron, montre bien que les familles sont considérées comme des foyers, si ce n’est hostiles au pouvoir, en tout cas secondaires par rapport à l’individu.
La conséquence est le développement d’une société liquide où l’unique référence est l’individu intégré par son acte de consommation comme l’analysait le philosophe Zygmunt Bauman.
Quant au gouvernement d’Edouard Philippe, il amplifiera le traitement social des familles, ce qui est bien, mais ce qui ne suffit pas. Car c’est en amont qu’il faut agir, en aidant les hommes et les femmes qui s’engagent dans la vie de famille.
Sans ministère de la Famille, le gouvernement se prive – et prive au passage les Français – d’un ministre qui soit à la fois un réceptacle des besoins, une force de proposition et une tour de contrôle de la politique familiale.
C’est aussi priver la France d’une politique qui prenne en charge la question fondamentale, sans laquelle il ne sert à rien de bâtir le futur économique, et donc des retraites notamment, de notre pays : la démographie. Depuis trois ans, elle est en chute libre, mais, en dépit de l’inquiétude exprimée par Edouard Philippe en juillet 2017, c’est le vide intersidéral du point de vue des actes.
Les Français ne manqueront pas de payer l’absence d’un ministère de la Famille pendant tout le quinquennat d’Emmanuel Macron et durant de longues, très longues années ensuite.
https://www.lesalonbeige.fr/18-millions-de-familles-en-france-mais-pas-de-ministere-de-la-famille/
Hier se tenait à Rungis la XIIème Journée Nationale et Identitaire organisée par Synthèse Nationale et Roland Hélie.
Comme chaque année, la Dissidence Française était présente à cet évènement majeur de l’année nationaliste. En fin de matinée, Vincent Vauclin est intervenu à l’occasion d’un discours sur le thème de la reconquête nationale, sociale et identitaire.
Toute la journée, nos militants ont pu échanger avec de nombreux intéressés autour de notre stand où tracts, stickers et t-shirts étaient proposés.
Une franche réussite pour cette journée de convergence nationale qui a réuni plusieurs centaines de personnes autour d’un mot d’ordre : ne laissons pas mourir la France !
Roland Hélie, Directeur de Synthèse nationale
Jean-Paul Chayrigues de Olmetta
Table-ronde dirigée par Luc Pécharman
au cours de laquelle passèrent dans l'ordre :
Marie-Jeanne Vincent du site "Nous sommes partout"