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Macron chez les Corses - Journal du Mardi 6 février 2018
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Zoom - Frédéric Rouvillois et Christophe Boutin : le conservatisme est à la mode
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“Les nationalistes corses sont en position de force”. Mais deux lignes rouges : la langue corse et l’amnistie des prisonniers politiques
Emmanuel Macron effectue mardi 6 et mercredi 7 février l’un des déplacements les plus sensibles depuis son entrée à l’Élysée en se rendant en Corse.
Les nationalistes sont en position de force sur l’île, parce qu’ils ont remporté une large victoire en décembre dernier. Ils ont obtenu la majorité absolue. Même s’il faut rappeler que la participation n’était pas au rendez-vous.
Mais ce sont eux qui sont désormais aux manettes. C’est un succès qu’ils ont construit depuis plusieurs années maintenant, dans cette île où les partis traditionnels ont failli. C’est comme cela qu’ils ont réussi à s’emparer d’abord de la ville de Bastia il y a trois ans, puis de la région, et puis trois députés ont fait leur entrée à l’Assemblée nationale en juin dernier.
Alors oui, ils sont en position de force. Ils ont d’ailleurs voulu le rappeler à Emmanuel Macron, samedi 3 février, lors de leur manifestation. C’est donc un défi pour le Président, qui n’a pas toujours été très clair sur le sujet Corse.
Sur RTL, Alba Ventura met en avant certaines lignes rouges :
Il y a évidemment des lignes rouges. Prenez la question de l’amnistie des prisonniers politiques. C’est une ligne rouge, d’autant qu’il faudrait savoir exactement de qui on parle. Est-ce qu’il s’agit de ceux qui ont du sang sur les mains (autrement dit des terroristes), ou de ceux qui sont éligibles à une libération conditionnelle ? Ce n’est pas la même chose. D’ailleurs les deux leaders nationalistes, Gilles Simeoni et Jean-Guy Talamoni, ne sont pas tout à fait sur la même longueur d’onde dans ce dossier.
Une ligne rouge : la langueEt puis il y a un autre sujet extrêmement délicat : celui de la langue. Ce que veulent les nationalistes, ce sont deux langues officielles : le corse et le français. Ça pour Emmanuel Macron, ce n’est pas négociable. Qu’il y ait des langues régionales, oui ! Mais quand vous dites que le corse doit être “langue officielle”, de facto vous vous détachez de la France. Et ce qui soude la France, c’est la langue française.
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Conférence Dextra du 09/02 : Révolte DANS le monde moderne, par Arnaud Danjou
Chers amis, chers camarades,Pour cette nouvelle conférence de l'année 2018, Dextra a la joie de recevoir, ce vendredi 9 février, Arnaud Danjou, chroniquer sur Radio courtoisie, qui nous parlera d'un sujet fondamental,Révolte DANS le monde moderneNous vous attendons nombreux et ponctuels pour cette conférence.A vendredi ! -
Une Organisation de Lutte contre le Racisme Anti-Blanc vient de naître
Une toute nouvelle association vient de faire son apparition : l’OLRA, pour Organisation de Lutte contre le Racisme Anti-Blanc.
Il est un peu tôt pour savoir ce qu’il faut vraiment en penser. Un seul visage apparaît, celui de Laurent de Béchade, une jeune professionnel de la finance travaillant pour une banque de gestion privée.
Une chose est sûre : le sujet dérange. Dès l’apparition de l’OLRA sur Twitter, des représentants des différentes minorités usant de la victimisation ont vu d’un mauvais œil qu’on lève un coin de voile sur le racisme anti-blanc. Autre élément significatif du tabou qui entoure le racisme anti-blanc, YouTube a censuré la vidéo de présentation de l’OLRA.
Face à ces premières petites épreuves, l’OLRA a choisi la stratégie consensuelle.
Observez le choix des illustrations. En quelques jours, l’OLRA est passé du visuel d’un jeune Blanc recroquevillé…
… à celui d’un jeune Blanc soutenu par son copain de couleur. Et l’association rappelle avec insistance qu’elle regroupe des gens de diverses religions et diverses origines.
Laurent de Béchade martèle que son association est « laïque, apolitique et indépendante ». Dans son interview au magazine Le Point, il déclare : « Des extrémistes soutiennent notre cause, comme le Front national, mais on veut s’écarter de cela. ». Avant d’ajouter : « Je peux juste dire qu’on s’inscrit dans la ligne de SOS Racisme ».
L’Organisation de lutte contre le racisme anti-Blanc (Olra) semble vouloir à tout prix obtenir son label de respectabilité.
En attendant d’en savoir plus, on peut dans tous les cas se réjouir de voir une structure expliquer que « Le racisme anti-Blanc est bel et bien réel, et l’absence de ce sujet dans la sphère médiatique entretient l’inaction dans le champ politique ».
Bien entendu, Dominique Sopo, président de SOS Racisme, se moque et critique : « C’est gaguesque, lunaire ! Défendre l’existence du racisme anti-Blanc, c’est rendre service à l’extrême droite. Cette association est à l’opposé de la lutte antiraciste. »
Mais même Najat Vallaud-Belkacem, peu suspecte de dérive réactionnaire et identitaire, a évoqué dans son livre Raison de plus !, ce « racisme anti-Blanc dont chacun peut convenir sans mal ni complaisance qu’il existe et qu’il est aussi condamnable et stupide que tout autre ».
A tel point que le journaliste sportif Pierre Ménès avait évoqué des cas de racisme anti-blanc jusque dans l’équipe de France de football.
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Interview intégrale d'Alexandre Del Valle par Damoclès
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Entretien pour le projet Kevin Premier
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Pierre Yves Rougeyron : janvier 2018 partie II Allemagne, Cranberries, Churchill, Trump, Italie