Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

divers - Page 320

  • LA FRANCE, VAUTREE DANS LE NUTELLA !

     http---o.aolcdn.com-hss-storage-midas-1badfae7c7f1385b0c91fd130f441d61-205288638-RTSWFV4.jpg

    Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat 

    Les images ont fait le tour du monde, au détriment de notre pays. À l’occasion d’une promotion défiant toute concurrence sur le prix de vente, (moins 70 % !), de cette pâte chocolatée bien connue des enfants, -«  grands » et petits -, des nuées de consommateurs-trices, (écriture inclusive oblige !), se sont rué(e)s pour ne pas dire se sont battu(e)s sur et dans les rayons spécialisés de certaines grandes surfaces. Après les crêpages de chignons au moment des soldes sur les fringues et autres articles ménagers, les bousculades lors de « ventes privées » et autres opérations « portes ouvertes », des Français-es, ont donné une détestable image de leur pays qui est devenu la risée de la planète grâce à internet. Disons-le, la France a fait l’objet de bonnes blagues de la part des internautes.

    Le dessinateur Morris avec son héros Lucky Luke, avaient magnifiquement illustré dans une BD la course démoniaque des « sans terre » sur l’Oklahoma, qui se ruaient dans un désordre indescriptible et comique. Son non moins talentueux confrère Franquin dans les aventures de Spirou et Fantasio en Palombie, avec les ondes du malfaisant Zorglub, avait caricaturé les clients d’un supermarché, hypnotisés, se ruant sur les rayons hygiène et s’arrachant dans un moment de folie , quitte à en venir aux mains, qui des savons, qui des tubes de dentifrice en promotion ! Etait-ce comme cela lors de la ruée vers l’or au Klondike, au XIXe siècle ? En tout cas, les images véhiculées à propos de ces rabais exceptionnels sur le Nutella, ressemblent étrangement à ces stupides mouvements de foule….

    Au moment où l’on nous bassine qu’il faut défendre la planète et que le climat se réchauffe, patati et patata, les frénétiques consommateurs de cette marque ont-ils pensé que dans de vastes contrées exotiques, on pratique la déforestation à tour de bras en chassant une faune exceptionnelle, pour planter ces arbres producteurs d’huile de palme, laquelle huile, justement , sert à la fabrication de la « divine » pâte chocolatée, et que ces nouveaux arbustes ne contribuent ni à la fertilité des terres, ni à l’exhalation de la chlorophylle ?

    Nos héros d’hier sont-ils morts pour des pots de Nutella ?

    Après cette désastreuse séquence de la vie quotidienne au pays de Molière, de Guitry, des impressionnistes, de Bizet et de Claudel, d’Henri IV et autre Napoléon ou d’Albert Schweitzer et de Pasteur, sans oublier de nobles figures comme d’Estienne d’Orves et Bastien Thiry, j’ai fait un tour sur la place de mon village. Surmontant le monument aux morts, le « poilu » de 14/18 faisait la gueule. « C’est pour ça que je suis tombé à Verdun ou au «  Chemin des Dames », semblait-il me dire ?

    En fait, dans un pays qui se laisse envahir, pour l’instant à peu près pacifiquement,-et encore, à voir -, par toutes les tribus de la terre, où des bandes d’ados avachis marchent dans les rues comme des zombies, l’œil rivé sur leur portable, écouteurs enfouis dans les oreilles et, autre exemple, où, légalement un monsieur moustachu peut épouser un monsieur barbu sans oublier que des détenus font la loi dans les prisons, plus rien ne m’étonne. La France était à la Renaissance, selon Joachim Du Bellay, la « mère des arts, des armes et des lois ». Qu’en est-il aujourd’hui de ses artistes, de ses savants, de ses héros ? Tout est-il passé à la trappe ?

    Le silence des « élites »

    On aurait aimé une protestation officielle, fustigeant ces misérables lopettes à la recherche d’un « Graal alimentaire ». Mais dans ce qui fut ce beau pays, de la Gaule romaine à la France républicaine, conquérante et pacificatrice, en passant par le royaume des lys, où sont aujourd’hui les frontières entre le beau et le laid, le noble et le vulgaire, l’héroïsme et l’avachissement, la résignation et l’enthousiasme ?

    Quel historien des siècles futurs, dressera le tableau impitoyable de cette marche vers la décadence qui semble inexorable ? Nous savons par le Maître de Martigues qu’en politique, « le désespoir est une sottise absolue » et, par le Stathouder Guillaume d’Orange « qu’il n’est pas nécessaires d’espérer pour entreprendre ». Alors espérons, entreprenons et, à la fin du compte, il ne nous pas interdit de penser qu’une « divine surprise » nous récompensera !

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • L’écart de salaire entre les hommes et les femmes : comment Jordan Peterson a mouché la féministe Cathy Newman

    salaire hommes femmes Peterson féministe
    Combien d’années qu’on nous serine l’écart de salaire entre les hommes et les femmes ? ! Malgré toutes les velléités gouvernementales des pays occidentaux, ces pourcentages qui séparent les revenus des représentants des deux sexes au travail demeurent accrochés à la réalité comme des sangsues, et les féministes en blêmissent de rage… Notre ministre du Travail, Muriel Pénicaud, s’en est encore plainte avec douleur, le 21 janvier dernier. Il en est un, pourtant, sur un plateau de télévision britannique, qui, avec franchise, calme et humour, a remis en perspective ce combat d’avant-garde qu’on veut expliquer exclusivement par la domination patriarcale : le vivifiant Jordan Peterson !
    Il y a beaucoup d’autres raisons – et de plus vraies – à cet écart de salaire. Et ce serait tyrannie de vouloir toutes les supprimer… L’équité, pas l’égalité !

    La féministe Cathy Newman face à ses lubies 
    Un mot d’abord sur le phénomène Jordan B Peterson. Professeur universitaire canadien, psychologue clinicien de son état, il a été nommé « l’intellectuel public le plus influent du monde occidental en ce moment »… Ses vidéos YouTube ont été vues plus de cinquante millions de fois. Critique controversé l’année dernière du projet de loi C-16 (entériné en juin 2017) qui va vraisemblablement obliger à appeler les transsexuels par de nouveaux pronoms neutres, Jordan B Peterson veut donner à comprendre comment l’idéologie, à travers la théorie du genre par exemple, nous est imposée et fausse notre rapport au monde – et fausse la vision du monde tout court.

    Lire la suite
     

  • Provence : Le banquet des Camelots du Roi 2018 aura lieu le samedi 17 février. Qu'on se le dise !

    1026011746.jpg

    3970853321.5.jpgLe prochain banquet des Camelots du Roi de Provence est fixé au samedi 17 février 2018 à 20 heures.

    Ce banquet se tient dans la tradition et dans l'esprit des Camelots du Roi, anciens et à venir. Banquet privé, sur invitation, réservé aux Camelots du Roi de Provence et à leurs invités.

    Fondés en 1908 pour servir l'Action Française, les Camelots du Roi ont été dissous en 1936 par le gouvernement d'alors mais leurs traditions, leur esprit ont toujours été maintenus.

    La participation des anciens des Camelots du Roi est vivement souhaitée. Les jeunes militants d'Action Française sont également bienvenus.

    Les lecteurs de Lafautearousseau qui souhaiteraient participer peuvent en faire la demande [Par courriel : lafautearousseau@outlook.fr ou téléphone : 06 08 31 54 97].

    Prix du banquet : Jeunes 15 € - Anciens : 25 €

    Règlements avant le 10 février

     Par chèque à l'ordre de la Fédération Royaliste Provençale (F.R.P. 48 rue Sainte-Victoire 13006 Marseille)

     Par PayPal en spécifiant « Banquet des Camelots du Roi »

    Le lieu du banquet sera communiqué à chaque participant dès réception du règlement.

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Promotion sur le Nutella : “Les nouvelles émeutes de la faim”, selon Éric Zemmour

    Eric-Zemmour-RTL-600x400.jpg

    Des bagarres dans une grande surface pour des promotions sur le Nutella ont fait scandale. Le gouvernement a diligenté une enquête pour vérifier si les règles interdisant les ventes à perte ont été respectées.

    Ce sont les nouvelles émeutes de la faim. Jadis, on se battait pour du pain. Aujourd’hui, on se bat pour du Nutella. On s’étripait à la porte des boulangeries, parce que le pain était trop cher ou trop rare. On s’étripe dans les supermarchés pour une promotion.

    Jadis, on souffrait de disette, voire de famine. On souffre désormais d’obésité et de diabète. Jadis, le pain n’était pas vraiment du pain. Mais les noisettes et le chocolat ne sont pas vraiment des noisettes et du chocolat. La faim frappait surtout les pauvres. La malbouffe, aussi.

  • L'imposture des Etats Généraux de la bioéthique

    6a00d83451619c69e201bb09eee433970d-120wi.jpgAnne Lorne, conseillère régionale LR à la région Rhône-Alpes, participait ce soir à une réunion des Etats-Généraux de la bioéthique. Sur Twitter, elle dénonce :

    "A quoi sert ce cirque? C’est une stratégie pour le Gouvernement de dire : on a débattu et on fait passer la loi. Sauf que ici ce soir : aucun débat, questions biaisées, postulat de la loi déjà engagé, animateur débordé, salle largement opposée et donc brimée... Mais c’est une blague! L’animateur martèle que le législateur n’a pas d’avis, qu’il attend NOTRE avis. Mais dans la salle, 80% des gens ne sont pas contents de la tournure des débats et la majorité sont contre la PMA et ne peuvent s’exprimer! L'animateur ne cesse de parler une novlangue insupportable, « démocratie participative en éthique »??? Et d’assurer que rien n’est décidé! quand je parle de l’avis du CCNE il répond « peut-être mais rien n’est tranché ». On se moque littéralement de nous."

    Ce témoignage n'est pas isolé. 

    6a00d83451619c69e201b8d2d5db29970c-120wi.jpgÀ Angers, Barbara Mazières constate également que les débats sont verrouillés. Alors que, dans la plupart des cas, l'ensemble des personnes qui assiste aux réunion est hostile à la révision des lois de bioéthiques.

    "L'opposition forte de la salle est claire et nette. Oui nous sommes très majoritairement contre. Mais quand les questions sont cadrées, orientées, j'appelle ce genre de débat une fumisterie! Ne vous laissez pas abuser."

    Si vous avez d'autres témoignages, n'hésitez pas à me les faire parvenir.

    Sur Boulevard Voltaire, Rémy Mahoudeaux s'étonne que le questionnaire établi par l’Espace de réflexion éthique du Poitou–Charentes présente des questions réponses orientées. Par exemple sur l'euthanasie :

    « 13 – Pensez-vous que la loi actuelle sur la fin de vie est suffisante ?

    – Oui
    – Non
    – Je ne connais pas assez la loi pour me prononcer

    Sinon, pensez-vous au contraire qu’il faille aussi autoriser : le suicide assisté, c’est-à-dire la possibilité pour un tiers de délivrer un produit létal permettant à celui qui le souhaite de mettre fin à ses jours.
    Ou l’euthanasie, c’est-à-dire la possibilité pour un patient souffrant d’une maladie incurable de demander à un médecin de mettre fin à ses jours. Choisissez une des réponses suivantes :

    – Je suis favorable au suicide assisté
    – Je suis favorable à l’euthanasie

    Quelle que soit votre réponse, pourriez-vous argumenter en quelques mots votre position ? »

    Et sinon vous voulez mourir d'une balle dans la tête ou au couteau de cuisine ? On reconnaît là les vieilles recettes de contrôle des foules...

    Comme celle-ci :

    Tintin-pays-soviets-vote

    Ou celle-là : 

    80577437

     par Michel Janva 

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2018/01/limposture-des-etats-g%C3%A9n%C3%A9raux-de-la-bio%C3%A9thique.html

  • Marine Le Pen plaide pour le "droit à l'erreur" pour les agriculteurs

  • Les côtés sombres du développement.

    Le programme de géographie de la classe de Seconde accorde une grande place au développement et à sa déclinaison dite « durable » (mais de quoi, en fait ?). A bien lire les manuels et les recommandations de l'Education Nationale sur ce thème, l'on peut aisément se rendre compte que, en ce domaine et peut-être plus encore qu'en histoire, la propagande en faveur du modèle de la société de consommation et de sa logique franklinienne (« Le temps, c'est de l'argent ») bat son plein, sans beaucoup de retenue ni même de pudeur : aucune photo (du moins dans les manuels disponibles dans mon lycée) d'enfants au travail à la mine ou à l'usine dès l'âge de cinq ans parfois dans certains pays dits « en développement » (formule d'ailleurs désormais remplacée par « intégration à la mondialisation », et valorisée par... la Banque mondiale et les grands groupes financiers), ni de ceux qui, adolescents en Chine, travaillent la nuit pour fabriquer les nouveaux modèles de téléphone utilisés dans nos cours de récréation, cela pour « permettre le développement » des pays concernés ; aucune photo de ces Indiens ou de ces Pygmées chassés de leurs terres et forêts ancestrales, toujours au nom du développement et au bénéfice d'une agriculture productiviste qui concurrence nos propres productions françaises ; aucune photo des femmes et des enfants prostitués dans les grandes métropoles des pays du « Sud » (qualification géographique des pays anciennement colonisés et désormais terrain de jeu des grandes multinationales souvent issues des pays occidentaux) ni des cliniques de « gestation pour autrui » dans lesquelles s'entassent des mères-porteuses issues des zones rurales pauvres ou des bidonvilles ; aucune photo des rhinocéros abattus par des contrebandiers ou de riches clients, au nom du développement des échanges marchands de produits animaux ou du tourisme « local », en fait mondialisé... La pauvreté contrainte issue du processus du développement est presque cachée, comme s'il fallait maintenir l'idée d'un développement forcément harmonieux et, surtout, obligatoire dans ses formes actuelles pour mener à la non moins obligatoire société de consommation, sorte de paradis terrestre né en Occident à la fin du XIXe siècle ! 

    Dans le même temps, les manuels expliquent la mise en place des initiatives onusiennes pour « sortir de la pauvreté » au sens large du terme et parfois abusif aussi (en particulier quand il s'agit des peuples originels des forêts et des déserts, pour lesquels l'argent n'a pas de valeur en tant que tel...), toujours sans expliquer qu'une grande part de celle-ci (que l'on cite sans la montrer, si ce n'est une photo, reproduisant souvent la même situation, celle d'enfants africains une écuelle à la main et attendant une distribution de nourriture) est la conséquence directe de ce fameux développement qui a déstructuré les anciens systèmes agricoles locaux au profit de monocultures (roses au Kénya, huile de palme à Bornéo, etc.) destinées à fournir les marchés des pays les plus riches de la planète, système de substitution fatal aux économies locales et multiséculaires. Il ne me semble pas inutile, d'ailleurs, de rappeler que le fameux développement évoqué ici, dans son acception actuelle, n'est rien d'autre qu'une notion « inventée » et valorisée par Rostow et le président des États-Unis Truman dans le cadre de la Guerre froide, pour légitimer l'imposition du modèle états-unien de société de consommation contre les « alternatives » communistes ou traditionalistes...

    La « belle histoire » du développement, que l'on sert aux élèves de Seconde qui, il faut bien l'avouer, ne se posent pas trop de questions sur ce sujet (sans doute plus par insouciance que par égoïsme), est même encore « embellie » par cette trouvaille appelée « développement durable », un simple oxymore(selon Serge Latouche) qui permet de donner bonne conscience à nos sociétés et à leurs dirigeants, et cela sans que la dégradation accélérée de la planète et de ses milieux ne soit nullement freinée (ou si peu...) ni que les inégalités démesurées fondées sur la mondialisation concurrentielle ne se réduisent vraiment, comme l'ont montrées les dernières études sur l'état du monde. N'apprenait-on pas, la semaine dernière, que 82 % des richesses engendrées l'an dernier sur notre bonne vieille Terre avaient profité à... 1 % de la population mondiale, la plus aisée évidemment ? Cela me rappelle le bilan social qu'évoquait Pierre Chaunu sur la Révolution dont il disait qu'elle n'avait, en définitive, économiquement profité sur le quart de siècle 1789-1815 qu'à environ 120.000 familles (soit 600 à 700.000 personnes) alors que l'on en fait encore dans les manuels d'histoire des lycées l'entrée dans une sorte de paradis de la prospérité et de l'égalité...

    Ces constats ne doivent pas nous faire perdre la raison ni l'espérance, car céder à la fatalité comme à la facilité marquerait alors, à plus ou moins long terme, la fin de toute possibilité de liberté de conscience et d'action humaine. La France peut, ainsi, jouer un rôle pour limiter les effets dévastateurs de cette forme de développement et de la société de consommation dont cette seconde est la principale motivation (ou alibi) du premier. Mais, encore faut-il que l’État retrouve ses droits et ses moyens, et qu'il réussisse à imposer, en France et en Europe avant le reste du monde, l'idée que le politique doit reprendre la main sur l'économique, non d'une manière totalitaire mais en rappelant que les grandes féodalités financières et économiques doivent être soumises à des devoirs sociaux qui, après tout, sont la principale légitimation de leurs droits et de leur existence même.

    Si les grandes multinationales, comme les fameux GAFAM (Google, Apple, Facebook, Amazon, Microsoft) par exemple, ne sont pas rapidement limitées dans leurs ambitions et ramenées à de plus justes proportions et prétentions, il est à craindre que leur « gouvernance » s'impose aux gouvernements, en particulier à ceux des démocraties occidentales qui ont déjà accepté nombre de « Münich » en leur faveur, sans que l'on aperçoive à l'horizon de Churchill ou de De Gaulle pour leur faire barrage : l'histoire des années trente, tragique et cruelle, n'a-t-elle servi à rien que nos dirigeants l'aient déjà oubliée ? En attendant la Monarchie royale qui, je l'avoue avec un brin d'amertume, tarde à venir, il ne serait pas inutile que la magistrature suprême de l’État applique cette « régence du Politique» qui, en fait, ne sera vraiment efficace que lorsqu'elle aura pris conscience de son « incomplétude » et qu'elle aura redonné au pays un État digne de ce beau nom (et de notre propre histoire), capable de faire rendre gorge aux Fouquet nationaux comme internationaux du moment, ou, du moins, de les éloigner du « pré carré » des libertés françaises...

    Jean-Philippe CHAUVIN

    http://nouvelle-chouannerie.com/