divers - Page 325
-
LAPIN TAQUIN - LES STRÊMEGAUCHES
-
DIK - "Encore un peu Noël" (Chanson de Noël 2017)
-
Journal de bord de Jean-Marie Le Pen n°494
-
Bistro libertés avec Frédéric Rouvillois
-
HISTORIQUE : LE PREMIER JT DE RT FRANCE !
La chaîne russe RT est arrivée en France (disponible sur Free dès maintenant). Voici son premier JT entièrement français.http://bvoltaire.com/historique-premier-jt-de-rt-france/
-
Merci pour ce moment…à grand coup de bûche de bonheur
Évoquant l’élection de Miss France diffusée samedi sur TF1, une cht’i de souche, Maëva Coucke (une insupportable provocation raciste?), le journaliste d’Europe 1 David Abiker a commis ce tweet assez drôle, en pleine polémique désormais habituelle initiée par d’ autoproclamés féministes et autres défenseurs des minorités opprimées : « je trouve que le concours miss France a une approche légèrement genrée de la compétition et assez peu inclusive des moches. » En Autriche, la récente compétition électorale législative a été elle aussi assez peu inclusive pour la gauche de manière générale, et les euromondialistes en particulier. Vainqueur de ce scrutin, le jeune conservateur assumé Sebastian Kurz du Parti populaire (ÖVP) vient de conclure une alliance de gouvernement avec nos amis de l’opposition nationale autrichienne du Parti de la liberté (FPÖ). Ceux-ci ont obtenu six portefeuilles dans ce nouveau gouvernement dont trois ministères régaliens (l’Intérieur confié à Herbert Kickl , la Défense attribué à Mario Kunasek, les Affaires étrangères à Karin Kneissl). Le président du FPÖ, Heinz-Christian Sträche, est nommé pour sa part vice-chancelier et ministre de la Fonction publique et des Sports, l’ex candidat national à la présidentielle Norber Hofer à la tête du ministère des transports…
Les nationaux Autrichiens sont donc de retour aux affaires 17 ans après les négociations menées par leur ancien dirigeant Jörg Haider qui, au terme des législatives de 1999, avait vu le FPÖ (26,9 % des voix) nouer une alliance de gouvernement en 2000 avec l’ ÖVP présidée à l’époque par Wolfgang Schüssel. Un accord qui eut alors pour conséquence la mise au ban de l’Autriche par les instances de l’UE et les médias-gardiens-du-dogme qui avaient hurlé au retour de la Bête immonde. La montée en puissance des mouvements nationaux, patriotes, populistes au sein de l’Union européenne, la résistance du groupe de Visegrad aux oukases bruxelloises, rendront cette fois beaucoup plus difficile un ostracisme aussi délirant… et nettement moins audible une propagande aussi grossière.
Le vice-président du FN Nicolas Bay, invité hier de l’émission Questions politiques pour France Inter, franceinfo et Le Monde, s’est félicité de cette entrée au gouvernement du FPÖ dont les députés européens siègent aux côtés de ceux FN au sein du groupe ENL. Nationaux qui « défendent l’identité de l’Autriche dans l’Europe des Nations », « exactement la même position que celle du Front national. » « Un accord de gouvernement de ce type n’est peut-être pas forcement exportable en France a noté Nicolas, parce que la situation autrichienne n’est pas forcément la même », mais il est « la preuve que nos alliés sont prêts à travailler à l’intérêt général des Autrichiens, mais d’une manière générale, de l’Europe et des peuples européens. »
Les lignes peuvent-elles aussi bouger en dans notre pays ? C’est la grande peur d’une large partie du microcosme politico-médiatique. Le quotidien suisse Le Temps l’exprime en expliquant à ses lecteurs que « L’Autriche inaugure une expérience dont l’issue sera scrutée par toutes les droites classiques du continent. Aux Pays-Bas, cette droite a barré la route à Geert Wilders en s’appropriant en grande partie ses idées. En France, Les Républicains espèrent renaître en s’alignant sur la politique du Front National. Ce pari de l’accommodement – dont rien n’indique qu’il barrera la route à l’extrême droite – met en jeu l’avenir même de nos démocraties. »
La juppéiste ralliée opportunément à Laurent Wauquiez, Virginie Calmels, avait créé l’émoi en affirmant la semaine dernière que son parti refusait « pour le moment » la main tendue de Marine, toute alliance, même locale, municipale, avec le FN. Cette formulation pour le moment a heurté la droite sous influence idéologique de la gauche. Mme Calmels a donc voulu rectifier le tir sur twitter et sur France info: « Jamais on ne pourra m’accuser de vouloir faire quelconques accords avec le FN. » «Pour le moment, ça n’a jamais eu lieu et ça n’aura jamais lieu », a-t-elle insisté. « Souvent, j’envie Manuel Valls. Quand il dit un certain nombre de choses sur l’islam radical, lui, on ne lui fait pas le procès de tutoyer le FN (sic). Alors que quand on est de droite, on nous fait ce procès. »
De droite ? Celle de l’humaniste-juppéiste Dominique Bussereau, président LR du département de Charente-Maritime, qui a appelé à voter PS pour faire barrage au FN, est à l’abri de ce genre de critiques. Lundi dernier sur Sud Radio, il s’interrogeait sur son ralliement éventuel au parti d’Emmanuel Macron et ajoutait: « le FN, c’est tout ce que j’exècre dans la vie politique. Pour moi, l’idée d’un rapprochement ce n’est même pas une ligne rouge, c’est une ligne violette. Cette phrase est très maladroite, il n’aurait pas fallu la prononcer. » M. Busserau par ses outrances pathétiques vis-à-vis de l’opposition patriotique représente il est vrai tout ce que le peuple de la droite des valeurs rejette. Son tweet du 28 avril dernier consécutif au soutien apporté par Nicolas Dupont-Aignan à Marine dans l’entre deux tours de la présidentielle n’a pas non plus été oublié: « Soi disant gaulliste mais en réalité pétainiste, Dupont-Aignan doit être battu aux législatives et dans sa commune. Vrai collabo. » Et M. Bussereau est un vrai quoi ?
Cette droite démonétisée, celle qui conjugue trahison des promesses, impuissance une fois au pouvoir et fulminations inquisitoriales est dénoncée par beaucoup de nos compatriotes. Elle est jugée, à juste titre, grandement responsable de l’immigration-invasion, du grand remplacement, de la paupérisation-tiers-mondisation de notre pays, de son affaiblissement, de son déclassement social, économique, identitaire.
Invité ce matin de l’antenne de RTL, le ministre de l’Intérieur Gérard Collomb comme M. Wauquiez et tous ses prédécesseurs place Beauvau depuis trente ans, a promis de la fermeté, une augmentation des expulsions des clandestins. « Aujourd’hui, nous ne savons qui se trouvent dans ces centres (d’accueil des migrants) . On pense qu’il y a à peu près un tiers des personnes qui sont des réfugiés, un tiers qui sont des déboutés et un autre tiers dont il faut évaluer la situation », environ 103 000 personnes a-t-il dit. Et s’il a reconnu que nous ne pouvons pas accueillir toute la misère du monde – «il y a 95 000 demandes d’asile par an, c’est-à-dire une grande ville chaque année »- il a réaffirmé de manière contradictoire la décision d’ouvrir notre territoire « à celles et ceux qui sont réfugiés des théâtres de guerre (ça fait beaucoup de monde M. Collomb!, NDLR) , qui sont prisonniers politiques, mais en même temps (sic) d’essayer de mener une politique qui permette que les migrations économiques soient menées de manière autre. » Tout cela est bien flou et quand c’est flou il y a un loup selon la célèbre formule de Martine Aubry…
Une immigration qui pèse sur des pans entiers de notre société et notamment à l’école. Valeurs actuellesrelayait l’enquête annuelle d’Ipsos sur La relation à l’autre et aux minorités , dévoilée dans Le Point, selon laquelle « plus de la moitié des professeurs interrogés admettent avoir déjà été confrontés à l’hostilité de leurs élèves sur certains sujets. Ainsi, 56% des enseignants ont déjà rencontrés des difficultés avec des élèves en cours d’histoire, notamment sur les questions de religions, de croisades et de décolonisation. Même chose en cours de SVT où 51% des enseignants ont déjà eu maille à partir avec leurs élèves, en particulier sur les sujets de biologie sexuelle et de théorie de l’évolution. Ces chiffres passent à 78% et 70% chez les enseignants en zones sensibles. »
Immigration massive qui conduit de nombreux pays occidentaux à l’acculturation… au nom du multiculturalisme, afin de ne pas heurter la sensibilité des minorités, comme si elles arrivaient dans des pays qui étaient des pages blanches, sans passé, sans traditions, sans culture autochtone. Le site canadien Le Peuple indiquait dernièrement qu’« après la compagnie General Motors qui n’ose plus parler d’un arbre de Noël, mais plutôt d’un arbre des fêtes , c’est au tour cette fois de deux autres compagnies, IGA et Vachon, de se distancier cette année des fêtes chrétiennes. Du côté d’IGA, on apprend (…) que la compagnie ne vend pas des bûches de Noël, mais des bûches du bonheur ; et sur celles-ci, on y souhaite non pas un joyeux Noël, mais de joyeuses fêtes (…). Du côté de Vachon (…) sur un emballage pour une bûche des fêtes (…) on souhaite de joyeuses fêtes plutôt qu’un joyeux Noël. » Le pli de ne plus prononcer le nom honni de Noël est pris de manière plus générale depuis longtemps par nos médias français, les grandes enseignes, la pub…
Gilles-William Goldnadel, chroniqueur dans l’émission de Thierry Ardisson sur C8, s’indignait hier soir de ce que le marché de Noël de Bruxelles ait été rebaptisé par son maire Loisirs d’hiver, tandis que la Croix rouge dans cette même ville entendait se renommer La rouge, afin de faire disparaître le mot croix… dans le but de faciliter le vivre-ensemble (?), de respecter les populations allogènes faisant appel à ses services (?). Une offensive qui est aussi le produit du travail de sape mené par des personnalités politiques, des officines et autres lobbies cosmopolites œuvrant sous nos latitudes à la mise en place de sociétés proprement orwelliennes.
Me Goldnadel rappelait aussi qu’il y a vingt-et-un ans, le quotidien de référence Le Monde pouvait tranquillement évoquer dans un article l’inauguration par le maire de Paris Xavier Tibéri et sa femme de la traditionnelle crèche de Noël sur le parvis de l’hôtel de ville, bien impensable aujourd’hui… Il est certain, constate Bruno Gollnisch, que la polémique de ces dernières années sur la présence de crèches dans l’espace public est un indicateur assez révélateur de la montée en puissance des attaques contre notre mémoire. Racines, valeurs de notre magnifique civilisation helléno-chrétienne, vision du monde des peuples européens menacées aujourd’hui certes par une immigration torrentielle. Mais cette dernière n’est jamais que le fruit empoisonné – ce n’est pas le seul, loin s’en faut - d’une idéologie mondialiste qui ne manque pas de collabos, comme dirait M. Bussereau, au sein d’un Système à tuer les peuples dont les pays du sud sont aussi les victimes.
https://gollnisch.com/2017/12/18/merci-moment-a-grand-coup-de-buche-de-bonheur/
-
TERRES AGRICOLES : L’OFFENSIVE CHINOISE EN FRANCE
Ces achats de terre, sans sonner le glas de la paysannerie française, depuis longtemps en déliquescence, ne manquent pas de laisser perplexe.
Après les vignobles, ce sont les terres de grandes cultures dans lesquelles les Chinois ont décidé d’investir. Comme l’ont récemment rapporté nos confrères de France Info, ce sont encore 900 hectares des terres du Bourdonnais qui ont été rachetés en toute légalité par le groupe China Hongyang, qui avait déjà acquis, en 2016, quelque 1.700 hectares de terres agricoles dans l’Indre.
Ces achats se sont réalisés sans que la société d’aménagement foncier et d’établissement rural (SAFER) puisse lever le petit doigt et s’y opposer. En effet, le groupe China Hongyang ayant acquis 98 % des parts sociales des sociétés propriétaires des terres, il est juridiquement impossible à la SAFER d’exercer son droit de préemption et de s’opposer à la vente. Et les Chinois ne lésinent pas sur la dépense : 900 hectares pour 10 millions d’euros, soit un peu plus de 11.000 euros l’hectare, ce qui correspond presque au double de la fourchette haute du prix des terres dans le val d’Allier (6.200 euros) !
Pourquoi, donc, un tel engouement pour les terres françaises ? Parce qu’avec plus de 1,4 milliard d’êtres humains, l’empire du Milieu ne possède plus assez de terres agricoles pour nourrir toutes ces bouches. En effet, la Chine, qui dispose de 8 % de la surface agricole utile (c’est-à-dire cultivable) dans le monde, doit nourrir plus de 20 % de la population mondiale… La bonne santé de leur économie, avec une croissance moyenne du PIB d’environ 9 % sur les dix dernières années, permet d’investir presque sans compter. L’objectif affiché est clairement de parier sur le savoir-faire français dans des domaines de prédilection partagés : le bœuf, le porc, le lait, les céréales, etc., et d’en tirer les meilleurs profits. À cela s’ajoute le fait que l’alimentation française et son pendant, la gastronomie, bénéficient d’une image d’excellence dans un pays où la classe moyenne ne veut plus des scandales alimentaires à répétition.
Faut-il se plaindre ou se réjouir que des investisseurs étrangers achètent des terres et les cultivent ? À vrai dire, l’investissement est à double tranchant. Sans reprise, les terres agricoles restent inexploitées et finissent en friche. Rares sont les investisseurs à se bousculer au portillon et l’effet d’aubaine est réel. Au point que les agriculteurs du coin tentent de vendre directement au consortium chinois.
Mais vendre tous ces hectares aux mains de puissances économiques étrangères, c’est prendre le risque de voir les produits agricoles s’en aller sous d’autres cieux. Car l’agriculture est devenue une arme économique et, par conséquent, stratégique silencieuse et même pernicieuse. Cette arme alimentaire, telle qu’elle se constitue avec le consentement contraint ou voulu d’une poignée d’agriculteurs aux abois (beaucoup ne gagnent que 350 euros par mois pour 60-70 heures de travail par semaine), est devenue une réalité. N’oublie-t-on pas un peu que certains investisseurs français avaient procédé de la même manière en Pologne et en Tchécoslovaquie après la chute du mur de Berlin, se forgeant de vraies rentes de situation ? De plus, on ne connaît pas le type de cultures (OGM ou non) que les investisseurs comptent produire, ni les limites que ces derniers comptent se fixer en termes de surfaces ? D’autant que la loi de 2017 sur l’accaparement des terres agricoles a été partiellement invalidée par le Conseil constitutionnel en mars 2017.
Quoi qu’il en soit, ces achats de terre, sans sonner le glas de la paysannerie française, depuis longtemps en déliquescence, ne manquent pas de laisser perplexe.
http://bvoltaire.com/terres-agricoles-loffensive-chinoise-france/
Lien permanent Catégories : actualité, divers, France et politique française, international 0 commentaire -
Hebdo Politique avec Michel Drac : l'énigme Macron enfin dévoilée
-
Journal de bord de Jean-Marie Le Pen n°493
-
En voyant les obsèques de Johnny, j’ai cru que la Reconquista avait eu lieu…, par Martin Moisan
Je n’en croyais pas mes yeux ! J’ai ressenti la même chose que le talentueux journaliste Thierry Normand, sur Boulevard Voltaire.
Nous étions enfin entre nous. Un million de Français sur les Champs-Elysées. Terminés les barbus en djellabas, les voilées, les emburkanées, les rappeurs, les racailles et autres parasites. Fini le vivre ensemble qu’on cherche à nous imposer depuis 40 ans. Terminé les rassemblements qui dégénèrent en vandalisme et en agression des forces policières. Nous étions de nouveau en France ! Avec ces gens qui nous ressemblent, se comportent bien, ont de l’éducation.
Sur les Champs-Elysées, les bikers avaient remplacé les supporters algériens ou marocains, ceux qui piétinent la tombe du Soldat inconnu. Pas de collabos, pas de gauchistes, pas d’antifas, pas de sans-papiers hurlant « Et des papiers pour tous ». Rien que des Français, rien que des images de la France des années 1960 et 1970.
Même à l’église de La Madeleine, Patrick Bruel, Jean Réno, Line Renaud, Marion Cotillard (cherchez l’erreur) et rien que des gens comme nous. Pas de Djamel Debbouze, pas d’Omar Sy, pas de Noah, pas de Nabila, pas de Bouteldja, pas de « Chances pour la France »…
Je me suis dit un instant que René Marchand et son livre « Interdire l’islam » avait été entendu. J’ai rêvé que le programme de « Génération Identitaire » sur la Remigration. avait été appliqué. J’ai imaginé que le livre « Le Grand Rembarquement » d’Emmanuel Albach n’était plus une fiction. J’ai songé que le cauchemar de « Guerilla » de Laurent Obertone ne pourrait plus jamais se produire. Je me suis rassuré : « Soumission », de Houellebecq, c’était une fiction derrière nous.
Je me suis dit que les crevures de l’antiracisme ne pourraient plus nous traîner devant les tribunaux. J’ai imaginé que plus jamais Merah et ses acolytes responsables de Charlie, le Bataclan, Nice, le père Hamel, les policiers de Magnanville, Laura et Mauranne, Joachim ne séviraient en France.
Bref, j’ai rêvé de la Reconquista, autre oeuvre majeure de René Marchand.
Et puis, ce matin, j’ai regardé le site Fdesouche, et j’ai compris que la France et l’Europe, c’était devenu autre chose que le Paris d’un 9 décembre 2017…
Martin Moisan
Article paru sur le site de Riposte Laïque
Lien permanent Catégories : actualité, divers, France et politique française, immigration 0 commentaire