Sainte Greta, sur le sol américain, se trouva fort dépourvue quand la COP25 fut déplacée du Chili à Madrid. Au secours ! cria à pleins poumons celle qui refuse de polluer la planète par les airs. Deux anges l’entendirent, puis un troisième (une skippeuse de 26 ans) qui, de Londres à New York, s’envola illico), la prirent sous leurs ailes sur leur beau bateau. Trois semaines de traversée. Au cours de laquelle, certainement guidée par son gentil papa, la jeune mascotte des grands de ce monde a réfléchi. Le gaz carbonique (C02) responsable du réchauffement climatique à cause des méchants humains qui polluent ? S’il n’y avait que ça !
écologie et environnement - Page 101
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Greta : le melon et la pastèque
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Quand les masques tombent : et Greta Thunberg assuma au grand jour la réalité de son idéologie
© Martin OUELLET-DIOTTE / MARTIN OUELLET-DIOTTE / AFP / AFPAvec Laurent Alexandre Pas grand chose à voir avec l'environnementAtlantico.fr : Le texte de Greta Thunberg publié dans Project Syndicate identifie trois causes qui peuvent être à l’origine du réchauffement climatique dont le racisme et le système patriarcal entre autres. Au vu de cela, quels sont les discours de ces mouvements portés par Greta Thunberg ?
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Les deux internationales vertes, Islam et écologie, font bon ménage
Il y a l’Église verte, le délire écologique de quelques curés pas très catholiques, et maintenant il y a l’islam vert, du vert de l’idéologie écologique, reconversion moderniste de la religion conquérante du croissant vert. L’islam aime le vert, couleur du diable en héraldique, synonyme « de la perturbation de l’ordre établi » nous dit l’historien des couleurs.
Le président turc Erdogan est venu en Angleterre inaugurer à Cambridge, ancien et haut lieu de la chrétienté médiévale, une nouvelle mosquée… verte ! L’édifice en question, appelé Central Mosque, a été défini par la BBC comme « la première mosquée écologique d’Europe », dans la mesure où il est doté d’un système de chauffage à basse émission de CO2 et de collecteurs d’eau de pluie. La structure peut recevoir mille fidèles et se trouve sur l’artère élégante de Mill Road, une des zones les plus peuplées et multi-ethniques de la ville universitaire.
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Bistro Libertés avec Fabien Bouglé – Réchauffement climatique : peut-on rester sceptique ?
Martial Bild et les sociétaires reçoivent le conseiller municipal de Versailles, Fabien Bouglé. Au programme des débats :
Réchauffement climatique, peut-on rester sceptique ?
A l’occasion de la COP25 qui se tient à Madrid, les grandes nations du G20 sont sommées de répondre à l’appel urgent du climat. Malgré la face noire de la transition écologique, les récupérations et les manipulations, peut-on encore rester sceptique devant l’impérieuse nécessité de lutter contre le réchauffement climatique ?
Municipales 2020 : L’union des droites, un leurre ?
A Béziers, Robert Ménard incarne le rassemblement large à droite. Fort de son expérience locale, il lance l’initiative de fédérer des maires non-alignés sur l’ensemble du territoire. L’union des droites trouve-t-elle une réalité sur le terrain local et municipal ? Ou reste-t-elle un leurre et un échec à peine caché par quelques exceptions ?
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Energie éolienne, le vent de la colère
Reportage d'Armel Joubert des Ouches
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Grève du 5 décembre : une journée test réussie – Journal du jeudi 5 décembre 2019
Grève du 5 décembre : une journée test réussie
Cortèges d’ampleur à Paris et dans toute la France, débordements de Black blocs ici et là… la grève du 5 décembre a tenu ses promesses. La RATP et la SNCF prolongent le mouvement… mouvement qui pourrait bel et bien durer.
L’ecstasy, la drogue mortelle du moment
Facilement accessibles dans le milieu de la nuit, certaines drogues dites récréatives font des ravages. C’est notamment le cas de l’ecstasy, à l’origine d’une dizaine de décès à Paris depuis le début de l’année.
Le Mont Vema retrouve des couleurs
Après des années de pêche intensive, le Mont Vema, est devenu le symbole de la protection des océans. Située aux larges des côtes sud-africaines, cette montagne sous-marine fait l’objet de nombreuses études pour son éco-système unique.
L’actualité en bref
https://www.tvlibertes.com/greve-journal-du-jeudi-5-decembre-2019
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COP25 : après la surchauffe, des ambitions à la baisse !
On se souvient des larmes d’émotion de Laurent Fabius au terme de la COP21 en 2015, la fameuse « Conférence de Paris », où 150 chefs d’État et de gouvernement avaient juré, croix de bois croix de fer, qu’ils s’empresseraient de prendre des mesures drastiques de lutte contre le réchauffement, oups… pardon : le changement climatique.
Quatre ans et une Greta plus tard, ils ne sont plus qu’une quarantaine de hauts dirigeants à honorer de leur présence la COP25 à Madrid ; ni le Japon ni le Canada ni l’Inde ne sont représentés au plus haut niveau. Croyants, mais pas très pratiquants… Quant aux États-Unis – qui viennent de confirmer leur retrait de l’accord de Paris -, ils n’ont envoyé qu’une simple observatrice : Trump a au moins le mérite de la franchise climato-sceptique ! On pense à la symphonie de Haydn dite des « Adieux », où les instruments s’arrêtent de jouer les uns après les autres : à la fin, il ne reste que deux violons.
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Pour un programme vraiment écologique et sain (avec Scipion de Salm)
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Les Européens craignent plus le changement climatique que le terrorisme, le chômage ou les migrations
BRUXELLES, 28 novembre (Reuters) – Près de la moitié des Européens craignent plus le changement climatique que de perdre leur emploi ou une attaque terroriste, a révélé jeudi une étude de la Banque européenne d’investissement (BEI) alors que les législateurs européens ont déclaré une « urgence climatique ».
Le vote symbolique des législateurs visait à faire pression pour que des mesures soient prises contre le réchauffement de la planète lors du prochain sommet des Nations Unies.
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Congrès EELV : Yannick Jadot, à peine couronné et déjà guillotiné !
Nicolas Gauthier
Si certains en doutaient encore, le congrès d’EELV, tenu ce week-end à Saint-Denis, vient d’administrer la preuve que les écologistes persistent à communier dans la haine du bonheur et la détestation du vivre ensemble.
En effet, avec Yannick Jadot, leur candidat aux dernières élections européennes, tout juste auréolé de ses 13,5 %, se trouve désormais sur la sellette, sachant que l’une des quatre motions qu’il soutenait, « Le temps de l’écologie », menée par l’ancienne députée Éva Sas, ne recueille que 26,2 % des suffrages. Aux deux phobies plus haut évoquées, on peut donc en ajouter une autre : celle du succès.
Les résultats des trois autres motions en lice ? « Démocratie écolo », de Philippe Stanisière et Christine Juste, se contente de 8,5 %, « Le Souffle de l’écologie », d’Alain Coulombel, de 21,5 %. Quant à la « vainqueuse » ou la « vaincrice », pour causer en dialecte local, menée par Julien Bayou, de la direction sortante, elle caracole en tête avec 43 % des vot.e.s exprimé.e.s. Son intitulé ? Un concept navigant à vue entre Sibeth Ndiaye et Laurent Gerra : « L’écologie au pouvoir, grandir ensemble pour gagner enfin ». Ce qui n’est pas exactement « inzepocket », objectera-t-on.
Abel Mestre, du Monde, entomologiste réputé des espèces politiques menacées, note, tout en litote : « Avec un retard compris entre 15 et 20 points, c’est un désaveu pour l’aspirant présidentiable. » Éva Sas – qui, malgré de trompeuses apparences, n’entretient aucun lien de parenté avec le prince Malko Linge, plus connu sous l’acronyme de SAS – tient néanmoins à préciser, toujours selon la même source : « La direction sortante n’a pas la majorité, c’est aussi un désaveu ! Nous sommes satisfaits, notre objectif est rempli. […] La ligne Jadot est représentée dans toutes les motions, ce n’est pas un pour contre Jadot. Et désormais, il a près d’un quart du parti qui le soutient. Ça le conforte. »
Un quart du parti seulement ? Mais présent partout ailleurs ? Yannick Jadot, ou l’imam caché d’EELV, en quelque sorte. Culture gauchiste et basiste oblige, ce n’est pas la première fois que nos amis Verts couperaient toute tête émergeant de la meute et, surtout, susceptible de mener le parti à la victoire. « Pour gagner enfin », disaient-ils…
Mais toujours à propos de victoire, c’est évidemment sur les prochaines élections municipales que nos winners comptent pour se refaire la cerise. Pourtant, les temps ont changé, depuis celui où un Jean-Vincent Placé parvenait à faire croire à un Parti socialiste alors puissant que les hordes vertes pouvaient faire et défaire les maires, entrants ou sortants. Dans son enthousiasme et sa rage de convaincre, il évoquait alors des scores écologistes à deux chiffres, oubliant souvent qu’il y avait une virgule au milieu.
Une équation qui se complique davantage quand on sait que ce vote est principalement circonscrit dans les villes de plus de cent mille habitants ; là où l’écologie est plus un prêt-à-penser urbain qu’un mode de vie rural. Les voilà donc condamnés à jouer les forces d’appoint.
Néanmoins, et ce, à leur manière, les Verts ont gagné la bataille des idées, les préoccupations écologiques ayant été prises en compte par l’ensemble des autres partis en présence ; ce qui n’est pas fondamentalement une mauvaise nouvelle. Mais, au passage, ont également perdu de leur spécificité d’origine, ayant depuis belle lurette abandonné le retour à la terre, cet aimable revival maréchalo-woodstockien, pour se tourner vers des luttes sociétales – théories du genre, post-féminisme, antispécisme, collapsologie – dont le moins qu’on puisse prétendre est qu’elles n’affolent pas plus que ça une majorité de Français plus préoccupés par les fins de mois que par celle du monde.
En attendant, EELV offre un assez réjouissant spectacle. La relève de la bande du Splendid est enfin assurée. C’est déjà ça de gagné pour la planète. Celle des humoristes, évidemment.
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