La Convention citoyenne sur le climat (CCC) a reçu le président de la République, vendredi dernier. Il lui a été demandé s’il s’engageait à relayer ses propositions « sans filtre » aux Français, soit par des règlements, soit par des lois soumises au Parlement, soit par référendum. On peut avoir deux réactions face à cette prétention à faire la loi de 150 personnes tirées au sort. Soit on s’inquiète qu’un texte rédigé par une minorité d’incompétents puisse être soumis à l’approbation d’une foule d’incompétents via le référendum, soit on se dit que le bon sens populaire sollicité ne fera pas pire que des parlementaires imprégnés de la doxa écologique. Ce que j’espère le Président ne fera pas, c’est accorder le « sans filtre ». Sinon, autant renoncer tout de suite à la démocratie représentative.
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Aux pieds, le climat !
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Feux d’Australie : la politique environnementale en cause
Au fil des informations on comprend mieux comment les feux ont pu prendre une telle ampleur cette année. Le facteur humain et la politique environnementale prennent un singulier ascendant sur les autres causes. Petit résumé.
Le DOI d’octobre
Le climat australien est fait majoritairement de sécheresse, de chaleur et de vent, si possible à l’extrême. On le voit bien sur une planisphère (image 1, clic pour agrandir). En Australie on a relevé, en 1996, la rafale de vent la plus forte jamais enregistrée lors d’un ouragan : 408 km/h à Barrow Island.
Les sécheresses sont endémiques et certaines très longues, jusqu’à plusieurs années. Selon Nerilie Abram, professeure à l'Australian National University à Canberra, et auteure en charge de la coordination d'un rapport spécial du Giec : « le réchauffement climatique ne cause pas à lui seul ces incendies particulièrement violents, mais peut rendre les conditions météorologiques plus propices ».
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Vent de révolte contre les éoliennes !
Voici le reportage de la manifestation du 30 novembre dernier dans les rues de Laon 02 pour exprimer la colère de la population aux projets et constructions de centaines d'éoliennes qui tuent les gens et les animaux et qui remplissent surtout les poches de ceux qui les installent et les élus qui se croient tout permis comme les marchands du temple.
Reportage réalisé par l'équipe du Groupe Identité et Démocratie
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Et si les incendies en Australie étaient une conséquence de la dictature écologique et non du réchauffement climatique ?
Cette hypothèse très crédible est naturellement passée sous silence par tous les journalistes et politiques qui vivent sous l’emprise de Greta Thunberg. Et pourtant, la responsabilité d’une politique imposée par les Verts refusant le débroussaillage pour préserver la biodiversité pourrait être en cause dans le cas précis de l’Australie (sources en fin d’article) :
Pour la presse française, un seul coupable possible : le réchauffement climatique et surtout la posture climato-septique du premier Ministre australien Scott Morrison, libéral de surcroît, qu’il fallait punir.
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La face cachée des énergies renouvelables avec Olivier Delamarche et Jean-Louis Butré
Il faudrait de toute urgence exprimer un moratoire sur l'éolien. Ces machines polluent énormément et tuent. Il s'agit d'un véritable crime d'état. Les complices sont achetés mais un jour la lumière sera faite sur ce scandale.
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LS ROULENT À L'HUILE ! – Les Reportages du Média pour Tous
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Génération Greta : comment la peur de l’effondrement mobilise toute une société et ses médias
Une adolescente se rend à l'autre bout du monde pour sauver le monde. Et les médias s'y rendent avec elle. Mais des doutes s'insinuent : quelle est au juste la mission de Greta Thunberg ?
Ex: https://www.lesobservateurs.ch
Si vous voulez sauver le monde, vous devez sortir du rang. L'hypersensibilité d'une adolescente et patiente d'Asperger semble être devenue la mesure de toute chose. Le socialiste utopiste Fourier a dit un jour : "L'univers et l'homme forment un seul corps avec une seule peau, de sorte que chacun ressent chaque douleur". Cela décrit très bien l'hypersensibilité de la génération Greta. Elle a déclenché un battage médiatique qui étouffe dans l'œuf toute tentative d'argumentation politique objective.
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Jean-Yves Le Gallou : « Si le réchauffement climatique est dû à l’homme, alors il faut lutter contre le libre-échange et l’immigration ! » [Rétrospective 2019]
( Cet article date du 23 janvier 2019 )
Le réchauffement climatique est-il une réalité ? Et si oui, l’Homme est-il en cause ? Dans cet entretien pour Polémia, Jean-Yves Le Gallou répond à ces questions… brûlantes !
Un phénomène observable incontestable
Polémia : Tout d’abord, est-ce que le réchauffement climatique est une réalité ?
Jean-Yves Le Gallou : C’est assurément une réalité en Europe. C’est une réalité depuis la sortie du petit âge glaciaire, c’est-à-dire depuis un peu plus de deux siècles. On voit par exemple que les glaciers reculent en Europe et dans d’autres parties du monde.
Il y a donc incontestablement un phénomène réel et qu’on peut d’ailleurs observer à vue humaine quand on se rend dans les Alpes. A Chamonix, par exemple, les phénomènes glaciaires amplifient l’impression que l’on peut avoir du réchauffement. On voit incontestablement que les glaciers fondent et que des éboulements ont lieu suite au dégel du permafrost.
Donc, oui, à vue humaine, il y a réchauffement climatique.Polémia : Est-ce que ce réchauffement climatique est global et touche l’ensemble de la planète ?
Jean-Yves Le Gallou : C’est aussi assez probable. Mais c’est plus difficile à établir de manière certaine.
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REPORTAGE SUR PIERO SAN GIORGIO par MORGAN PRIEST
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Fiscalité : l'imposture écologique
La fiscalité verte rend les Français jaunes de rage. Ils sentent bien que l’écologie n’est qu’un prétexte pour tenter de combler escomptes publics. Sous prétexte de sauver la planète, Macron prend à la gorge une France périphérique au bord de l’asphyxie.
« Discutons, mais payez d'abord ! » c'est en substance la réponse d'Emmanuel Macron aux Gilets jaunes, pour qui la hausse des taxes sur les carburants a été l'étincelle qui a fait exploser une colère qui ne semble pas près de se calmer. Le Président garde le cap de ses réformes fiscales « écologiques », mais propose une « grande concertation sous trois mois ». Tout au plus ouvre-t-il la piste de taxes ajustables en fonction des cours du brut pour en amortir les effets, un prototype de fausse bonne idée, déjà testée et abandonnée par Jospin entre 2000 et 2002.