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Marion Maréchal-Le Pen, qui s’est rendue hier, avec Marine Le Pen, au Salon international de l’Agriculture, a accordé un entretien au quotidien Présent.
Présent : Comment expliquez-vous l’accueil chaleureux que les exposants font à Marine Le Pen ?
Marion Maréchal-Le Pen : L’accueil est toujours très bon ici, mais il est sans doute cette année exceptionnel. Les agriculteurs voient en Marine Le Pen l’occasion de sortir du cycle infernal dans lequel ils sont empêtrés à cause de la politique de l’Union européenne. Le programme présidentiel de Marine présente des engagements concrets comme le patriotisme économique qui consiste à rendre nos producteurs prioritaires sur le marché français (avec un avantage notamment dans les marchés publics), l’amélioration de l’étiquetage des produits français qui mentionnerait le lieu d’élevage, d’abattage, de transformation – cela permettrait au consommateur de pouvoir acheter français plus facilement. Nous sommes également les seuls à exiger que les produits importés respectent a minima les mêmes normes sanitaires et environnementales que les produits français. Des mesures aussi concrètes expliquent l’enthousiasme d’agriculteurs et d’éleveurs largement revenus des politiques européennes.
La mort de l’agriculture française n’est donc pas une fatalité ?
Non, elle n’est pas une fatalité, elle est une question de choix. Un choix vital : la souveraineté alimentaire est d’ordre stratégique puisqu’une dépendance alimentaire de l’étranger nous rend fragiles, or c’est partiellement le cas aujourd’hui. La vie de notre agriculture est aussi une question d’identité : elle a façonné notre territoire, la diversité des régions et des écosystèmes, sans oublier notre gastronomie dont les excellents produits des terroirs sont la matière première. Notre agriculture est essentielle également pour le maintien de la vie dans les régions rurales, que ce soit la vie sociale ou l’emploi.
L’enjeu n’est pas purement productiviste ou économique, il est d’ordre stratégique et territorial. Que nos gouvernants, de droite comme de gauche, aient pu aussi cyniquement depuis des années accompagner la politique ultra-libérale de l’Union européenne avec tous ses traités de libre-échange, cela est pour moi de l’ordre de la trahison.
Cela s’est fait dans l’indifférence générale quand on voit le taux de suicide qui frappe le monde agricole. Les agriculteurs et les éleveurs ne sont pas entendus car eux ne brûlent pas les voitures, ne saccagent pas les centres villes, n’ont ni le temps ni le loisir de faire grève… Les plus grandes souffrances étant muettes, à nous d’avoir la décence de les entendre et de répondre à leurs difficultés.
Entretien réalisé par Samuel Martin
pour le quotidien Présent daté du 2 mars 2017
Il est de plus en plus évident que les États-Unis vont se retirer de l’accord de Paris, le fameux « succès du quinquennat ».
Il y a quelques jours, le président Trump essuyait un revers avec la démission forcée de son conseiller à la Défense nationale, le général Flynn, suite à des révélations de la NSA et de la CIA à la presse, qui en a fait ses gros titres. Sur le dossier environnement, les choses sont différentes et l’administration démocrate du pays a du souci à se faire.
Le très redouté Scott Pruitt a été confirmé récemment par le Sénat à la tête de l’EPA (Environmental Protection Agency/Agence de protection de l’environnement). Évidemment, cette information n’a pas filtré dans les médias français, et pour cause : il se présente lui-même comme « un opposant à la politique activiste de l’EPA ». Cet organisme, noyauté par l’administration Obama, finançait entre autres les études sur le climat, pour peu qu’elles soient alarmistes.
Pourquoi la presse française aurait-elle dû s’intéresser à cette nouvelle ? Premièrement, si la communication autour de la science climatique devient enfin objective, cela aura des répercussions sur les politiques de transition énergétique propres à chaque pays. Nos candidats à la présidentielle feraient bien d’en tenir compte.
Deuxièmement, il est de plus en plus évident que les États-Unis vont se retirer de l’accord de Paris, le fameux « succès du quinquennat ».
Myron Ebell, qui était à la tête de l’équipe de transition de l’EPA, l’a affirmé publiquement début février, lors d’un colloque organisé à Bruxelles.
Autre signe allant dans ce sens, le thème « changement climatique » a disparu du site officiel de la Maison-Blanche. Il est remplacé par une annonce disant que « la nouvelle politique américaine va mettre en place un nettoyage des lois et des taxes climatiques inutiles ». Si cela se fait, nous devrons nous adapter, sous peine de voir nos entreprises un peu plus handicapées.
Autre indice, le thème du climat a été évacué de la déclaration commune qu’ont effectuée Justin Trudeau et Donald Trump lors de la visite de ce dernier au Canada. En fait, la question n’est plus que de savoir comment les USA vont procéder pour sortir de cet accord. Un rapport du Sénat américain s’est déjà penché sur la question, et diverses solutions sont possibles.
Face à cette menace, selon un communiqué de l’AFP, notre Président Hollande a affirmé qu’il fallait répondre avec « fermeté » à Donald Trump, en marge d’un sommet de sept pays du sud de l’Union européenne à Lisbonne. Lors de son entretien téléphonique avec son homologue américain, cette question a été évoquée et, selon le Washington Post, Trump lui a répondu textuellement qu’il voulait que les USA se retirent de l’accord.
Pour ceux qui seraient inquiets de l’avenir climatique de la planète, sachez que Christiana Figueres, la représentante officielle des Nations unies pour le climat, a affirmé ce mois-ci, durant une conférence à Bruxelles, que « le but des conventions climatiques signées par l’ONU n’était pas de sauver le monde de calamités écologiques, mais de détruire le capitalisme ». Trump l’a bien compris.
http://www.bvoltaire.fr/marclemenn/cop-21-presse-francaise-ne-dit,315805
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C’est l’ouvrage le plus complet sur la question des éoliennes à ce jour. L’auteur en cerne les origines à travers l’écologie qui, dépouillée de ses oripeaux de la « bien pensance verte », apparaît sous son vrai visage de parti de l’étranger rassembleur des derniers trotskystes à la solde du mondialisme. Il en démasque aussi la dialectique et les enjeux fondés sur trois affirmations hasardeuses : la lutte contre le « réchauffement » climatique, l’extinction « imminente » des énergies fossiles, et la « nécessaire » sortie du nucléaire.
La thèse de l’auteur est terrible : L’éolien est un scandale d’Etat qui conduira tôt ou tard les politiques français promoteurs de cette aberration devant la Cour de justice de la République.
Ce livre est une arme essentielle et exhaustive dans le combat, à la disposition des médias objectifs, des politiques incorruptibles (il en reste sans doute) et de ceux qui luttent avec courage au quotidien partout en France où sortent de terre de nouveaux parcs éoliens.
Il y a une impérieuse urgence à rejeter les injonctions dictatoriales de la Commission européenne si on ne veut pas assister à l’agonie de la France défigurée, la France infectée, la France spoliée...
Eoliennes scandale d'Etat, Alban d'Arguin, Synthèse éditions, collection Pourquoi ?, 178 pages, 20 €
L'auteur : Alban d'Arguin, DEA de droit public, DEA d'histoire, Études d'actuariat (ISUP Paris) a fait une carrière de management et de direction générale à l'international dans un grand groupe financier. Il est retiré aujourd'hui dans l'ouest de la France où il travaille à la restauration d'un domaine entouré de vergers anciens. Il collabore épisodiquement à plusieurs revues sous forme de chroniques. Passionné par l'ornithologie et les questions environnementales, il a participé récemment à la création d'une association opposée à l'implantation d'un parc industriel dans sa région. Confronté à l'aberration de ce projet "d'énergie du vent", il a décidé d'instruire objectivement et exhaustivement la question de l'éolien en France
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36000 foyers sans électricité, à cause de la tempête Egon. La vague de froid qui va s‘abattre sur la France la semaine prochaine entraînera, de facto, des délestages – c’est à dire des coupures générales – sur plusieurs régions de France… C’est un des scandales liés à la production énergétique en France.
Le premier réside dans le fait qu’après la tempête de 1999, alors que tout était à refaire, aucun réseau n’a été enterré. Les Français ont payé des augmentations musclées sur leurs factures d’électricité et d’assurance. Pour refaire des réseaux aériens, qui sous le vent, sous le poids de la glace ou parce qu’un alcoolique embrasse un poteau, sont fragilisés. À chaque tempête, même scénario. Destruction, reconstruction, factures alourdies. Si la France avait alors fait l’effort d’enterrer ses réseaux, non seulement ils survivraient aux épisodes venteux ou neigeux, mais la fibre optique aurait pu être déployée à vitesse grand V sur l’ensemble du territoire.
L’autre scandale réside dans la faiblesse de notre parc nucléaire. Il vieillit. La France dispose d’une capacité de production d’électricité établie à 129 000 mégawatts, dont 63 000 de nucléaire. Or, elle ne pourra pas pleinement s’en servir lors de la vague de froid attendue, en raison notamment des défaillances constatées sur certains des 58 réacteurs de l’Hexagone. Selon les prévisions de Météo France, les températures seront inférieures de cinq à 10 degrés par rapport aux normales saisonnières. Le 12 janvier, l’Autorité de Sûreté nucléaire a accordé à EDF la remise en service de neuf de ces réacteurs après plusieurs mois de contrôle, et a également accepté la requête de l’énergéticien de reporter l’arrêt programmé du réacteur 2 de la centrale nucléaire de Tricastin. Mais malgré cela, le Français pourrait devoir faire face à des pénuries. Entre le mercredi 18 et le vendredi 20 janvier, EDF devra mobiliser quelque 100 000 mégawatts afin de répondre au surcroît de consommation attendu. Or, selon les prévisions de RTE, la capacité totale disponible à l’heure du début de la vague de froid ne sera que de 85 000 mégawatts…
Nous payons les délires écologistes, maitres-chanteurs des socialistes, ont tout fait pour réduire la production nucléaire française, pourtant garante de notre souveraineté énergétique, avec l’hydraulique. Les mêmes Verts qui ont forcé la fermeture des centrales nucléaires en Allemagne, désormais en sous-production électrique et qui doit donc non seulement faire tourner à plein régime ses centrales au charbon, très polluante, et nous acheter de l’électricité… nucléaire, qui n’est pas suffisante. Kafkaïen. Et tout ça pour se lancer dans l’escroquerie de l’éolien…
Porté par un message mensonger des constructeurs et de l’État, selon lequel l’éolien serait une alternative énergétique crédible, et donc porteur d’avenir pour la planète, notre territoire voit ainsi apparaître ici et là des machines de plus en plus hautes (150 mètres aujourd’hui) et de plus en plus dangereuses pour notre environnement. Bien peu de nos concitoyens savent qu’une éolienne, dont le temps de production énergétique est de 20 % environ, est relayée, le reste du temps, par des centrales à charbon ou à gaz.
Malgré cet impact sur l’environnement, c’est un triplement du parc éolien français qui est programmé au cours des prochaines années, portant le nombre de machines installées dans notre pays devrait passer de 7.000 à 21.000 d’ici 2023. Or, pour soutenir chaque éolienne, 1.500 tonnes de béton et 40 tonnes de ferraille sont nécessaires. Et que même lorsqu’elle sera démontée – pour la modique somme de 300.000 euros environ à la charge du propriétaire du terrain –, ce béton et cette ferraille continueront de polluer, de façon irréversible, notre sous sol et nos paysages. Si le plan de construction est mené à son terme, avec les 30 millions de tonnes de béton nécessaires à l’ancrage des 21.000 éoliennes prévues, la France égalera le record de l’organisation Todt, qui en avait utilisé autant pour la construction du mur de l’Atlantique !
Massacre visuel de bien de nos paysages traditionnels de France, les éoliennes ont aussi des néfastes sur la santé. Outre le bruit, les vibrations et les ultrasons engendrés par les pales sont désormais reconnus comme néfastes au confort des riverains. Le Canada a ainsi décidé de porter à 1000 mètres au lieu de 100 la distance minimum entre une éolienne et une habitation. Sauf que certains experts estiment que la distance minimale devrait être de 10 kilomètres… Les effets potentiels sur la santé iraient de la simple fatigue, à l’apparition d’acouphènes, en passant par des vertiges, des nausées, des étourdissements, des maladies cardiovasculaires, et même des diabètes…
Malgré tout ces faits, c’est un triplement du parc éolien français qui est programmé au cours des prochaines années, portant le nombre de machines installées dans notre pays devrait passer de 7.000 à 21.000 d’ici 2023. Une folie. Extrêmement rentable pour une mafia aux méthodes bien rodées. « Selon nos estimations, plus 30% des parcs éoliens – près de 5.500 machines en France – sont actuellement installés sur des terrains appartenant à des élus, c’est dire le potentiel de cas », avance Jean-Louis Butré, président de la Fédération Environnement Durable, principal réseau français d’associations anti-éoliennes. Or pas moins de sept condamnations viennent d’être prononcées contre des élus ayant voté l’installation de parcs éoliens sur leurs communes alors même qu’ils étaient propriétaires de parcelles. Les plaintes se multiplient.
Cette inflation de procédures, qui balaient un peu toute la France, vise à durement sanctionner des pratiques qui elles-mêmes gangrènent une partie de la classe politique locale depuis plusieurs années. Le scénario est toujours le même : approchés par des promoteurs, des maires et conseillers municipaux de petites communes rurales se laissent tenter par l’idée d’accueillir des éoliennes sur leurs propres terrains (ou ceux de proches), n’hésitant pas ensuite à faire voter (et à voter eux-mêmes) l’autorisation d’installation de ces machines en Conseil municipal. Il faut dire qu’avec des loyers qui au bas mot oscillent entre 3.000 et 5.000 euros par an et par éolienne, la petite combine s’avère bien plus rentable que la culture de la patate ! Le hic, c’est qu’en étant ainsi juge et partie, ces politiques locaux détenteurs de fonciers s’exposent à l’évidence à l’article 432-12 du Code pénal sur les conflits d’intérêt, prise illégale d’intérêt et recel de prise illégale d’intérêt. Ce qui n’échappe visiblement pas aux juges…
Subventionné de façon inique via la contribution au service public de l’électricité, et là encore à l’insu du consommateur qui paie, souvent sans le savoir, deux fois plus chère qu’elle ne coûte une énergie non rentable et économiquement inutile puisque la France, hors éolien, exporte 15 % de son électricité, ce sont en réalité les actionnaires, la plupart du temps étrangers, et leurs fonds de pension qui profitent de cette manne financière.
Source: Réinfo du 16 janvier 2017.
Les 10.000 milliards de dollars manipulés par le GIEC et ses bénéficiaires étouffent toute velléité de connaissance réelle.
Chaque jour, dans la presse écrite, est évoqué LE danger du CO2, présenté comme la pire pollution des centrales à charbon. Le GIEC nous a fait découvrir – et le film d’Al Gore, Une vérité qui dérange, a convaincu même des scientifiques – que plus il y a de CO2 dans l’air et plus il fait chaud… et on crie d’autant plus fort qu’il fait froid en ce moment et que Donald Trump se montre climato-sceptique.
Les climato-sceptiques critiquent le GIEC, ne veulent pas admettre les conclusions des adeptes du GIEC… qui ont été jusqu’à vouloir condamner ces « irresponsables » en justice ! Et la question est : où est la vérité ?
L’histoire du climat et du CO2 de notre planète est « inscrite » dans les roches et le professeur Alain Préat, de l’ULB (Université libre de Bruxelles), a étudié cette histoire le plus soigneusement possible pour les 4,5 derniers milliards d’années.
Il use des précautions prises en leur temps par Copernic, Kepler et Galilée pour présenter le mouvement de la Terre autour du Soleil sans se faire assassiner par l’Inquisition ! Alain Préat ne risque pas de se faire assassiner en 2017, mais j’observe que beaucoup de chercheurs actuels ont les pires ennuis s’ils ne se font pas admirateurs de la « science consensuelle ».
Scientifique exclu de l’université de Lubumbashi pour refus de corruption, je ne connais qu’une vérité scientifique : celle qui peut être vérifiée… qui doit pouvoir l’être partout et toujours. Une opinion partagée par des millions de personnes ne fera jamais une vérité scientifique !
Alain Préat entoure de mille précautions sa conclusion : « Dans le détail à notre disposition il n’y a aucune corrélation simple ou linéaire entre le taux de CO2 et la température. » Cette conclusion est sans appel. Elle n’aura aucun effet… Les 10.000 milliards de dollars manipulés par le GIEC et ses bénéficiaires étouffent toute velléité de connaissance réelle.
Tout physicien qui se penche sur la question aboutit à l’absence de rôle réel du CO2 sur la température s’il pense à appliquer l’équation de Bernoulli à l’atmosphère.
Je vous l’épargne. Bien sûr, comme l’atmosphère n’est pas statique, c’est assez compliqué à décrire : l’effet de la vapeur, des nuages d’eau et du vent est important mais ces effets correspondent bien, en moyenne, aux 15 °C moyens de notre planète. Beaucoup, peu, énormément de CO2 n’y change rien.
Inutile d’imaginer le GIEC, avec ses 48 modèles de fonctionnement de l’atmosphère et son rôle essentiel pour le CO2, reconnaître s’être trompé à 100 %. Cela ne se fera pas sans une prise de conscience des citoyens escroqués. Cette prise de conscience est quasi impossible et le GIEC adaptera son discours : « réchauffement climatique » deviendra « changement climatique » et j’ai même pu lire, récemment, que « le refroidissement actuel au pôle Sud est en réalité lié à un réchauffement profond » !
Le GIEC ne sera oublié que si le temps fraîchit sérieusement, comme l’absence de taches solaires selon la modélisation de l’astronome Valentina Zharkova l’annonce. Entre-temps, nos concitoyens acceptent de payer des éoliennes pour éviter le « réchauffement climatique lié au CO2 anthropique » comme nos ancêtres acceptaient de payer des indulgences pour s’éviter le feu de l’enfer. Cela évite d’avoir à lutter contre les vraies pollutions.