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écologie et environnement - Page 179

  • Jacques Collin : « L’intelligence des plantes est démontrée par la CIA »

  • La décroissance la plus bête du monde ?

    C’est un fait établi : le mouvement identitaire a très tôt fait siennes les problématiques liées à l’environnement et les solutions proposées par le localisme et la décroissance. Le Grece avait depuis longtemps montré le chemin en franchissant – comme il en a l’habitude – les frontières du politiquement correct, sans s’interdire de puiser à gauche les bonnes idées que la droite avait délaissées. Alain de Benoist est revenu à de nombreuses reprises sur ce sujet, rassemblant sa vision écologique dans un livre de synthèse publié en 2007 “Demain la décroissance !”[1].

    Or il s’avère qu’un véritable « cordon sanitaire » est maintenu autour de cette famille de pensée par les maîtres de la décroissance officielle, avec à leur tête le journal“La Décroissance” (photo). Il est en effet rare de parcourir un numéro sans y trouver un règlement de compte ou une mise en garde vis-à-vis de tel penseur « fascisant » ou « réactionnaire » qui aurait commis le crime de faire sienne certaines positions décroissantes. Il en est de même vis-à-vis des défenseurs d’une écologie chrétienne.

    Un lecteur s’en est d’ailleurs attristé dans le courrier des lecteurs du dernier numéro[2] : « Souvent, je me suis senti troublé par la manière dont vous traitez de la religion. Pour Jacques Ellul, un de vos maîtres à penser, elle avait une place éminente ! La vie de François d’Assise le montre en grand précurseur de la cause ! Le nouveau pape, qui s’inspire de son œuvre, s’attaque, lui, de front, à la mafia financière internationale et met la simplicité au centre de ses préoccupations ! Notre journal n’a pas à faire l’apologie d’une religion, mais il ne faut pas non plus se tromper d’ennemi ! »

     

    Il nous reste simplement à dire « bis ». Ne pas se tromper d’ennemi en effet. Et que les mandarins de la décroissance n’oublient pas que nous sommes du même côté de la bataille. Même lorsque nous leur soumettons la contradiction évidente qu’il y a à vouloir relocaliser l’économie sans relocaliser les populations. Allons messieurs, grands apôtres du « dialogue », ouvrons celui-ci ensemble !

    [1] “Demain la décroissance ! Penser l’écologie jusqu’au bout”, Editions E-dite, octobre 2007

    [2] Numéro 108, avril 2014 : « Energie : plus dure sera la chute »

    http://fr.novopress.info/162345/decroissance-bete-du-monde/#more-162345

  • Environnement : les océans transformés en décharges à ciel ouvert…

    PERTH (NOVOpress) - Les recherches en cours au large de la côte Ouest de l’Australie, dans l’océan Indien, n’ont pas encore permis de localiser l’avion disparu de la Malaysian Airlines, le désormais tristement célèbre Boeing 777-200, mais elles ont une fois de plus attiré l’attention sur les monceaux de détritus flottant dans les océans, rendant les recherches encore plus ardues.

    Les éléments qui composent ces décharges flottantes vont de la taille d’une bouteille en plastique à celle d’un conteneur maritime, qui se transforment en plaques de déchets, littéralement appelées “soupes de plastique”, d’un poids équivalent à plusieurs millions de tonnes, emportées par les cinq grands gyres océaniques.

     

    Différents reportages ont d’ores-et-déjà été réalisés sur cette catastrophe écologique majeure, impactant bien évidemment le règne animal, mais aussi et surtout la santé de centaines de millions d’êtres humains. En cause, le Bisphénol A, une molécule hautement toxique se trouvant dans de très nombreux composés plastiques et dont l’usage est de plus en plus règlementé en Europe. Ingéré par la faune marine, le Bisphénol A se retrouve… dans nos assiettes. Bien qu’en anglais, Novopress a choisi de diffuser le reportage de Vice sur ce sujet, exemplaire de par sa réalisation.

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  • L'erreur (fatale ?) des Verts.

    Les Verts ont sans doute perdu ce mardi soir une occasion historique de jouer enfin un rôle politique et écologique reconnu, au-delà des idéologies et des querelles personnelles : mais Cécile Duflot a préféré jouer une carte politicienne, en espérant tirer profit de l’échec possible (mais pas forcément inéluctable ni même souhaitable, en particulier pour la France !) du nouveau gouvernement auquel elle a refusé de participer et empêché les siens d’aller y siéger. Erreur stratégique et éminemment politique, sans doute, car M. Valls, en quête d’une légitimité par la réussite et, en tout cas, par le symbolique, et soucieux apparemment de créer un grand ministère de l’écologie, de l’énergie, des transports et du logement digne de ce nom, susceptible de mener une politique environnementale « globale » et moins désordonnée que ce qui a existé jusque là, ouvrait là une perspective nouvelle et, pourquoi pas, plus favorable à l’écologie que la pratique du gouvernement précédent. L’occasion se représentera-t-elle de sitôt, ou le nouveau premier ministre va-t-il confier ce ministère (s’il voit le jour…) à une personnalité susceptible d’incarner, d’une façon ou d’une autre, une certaine légitimité et crédibilité écologistes sans appartenir au parti des Verts ?
    Bien sûr, certains noms viennent à l’esprit, dont celui de Nicolas Hulot, aujourd’hui « envoyé spécial pour la protection de la planète », nommé par le président Hollande à la fin de l’année 2012, ou celui de Ségolène Royal, dont le bilan environnemental en Poitou-Charentes n’est pas totalement négatif, même s’il reste encore fort modeste au regard des enjeux. A l’heure qu’il est, je ne sais qui représentera le souci environnemental dans le gouvernement Valls et, au regard de la bouderie des Verts qui pourrait, en fait, être contre-productive pour la cause écologique (ce qui ne serait pas la première fois, les Verts ayant pris la mauvaise habitude de sacrifier l’écologie à leurs caprices…), il n’est pas impossible que, du coup, l’ancien ministre de l’Intérieur, renonce à toute velléité de « faire de l’écologie », préférant alors la facilité de céder aux promoteurs des gaz de schiste (dont Arnaud Montebourg) ou des OGM (dont Stéphane Le Foll, ministre de l’agriculture dans le gouvernement Ayrault), voire de passer en force sur certains dossiers « chauds » comme l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes ! Il n’est d’ailleurs pas certain que, en ce mardi soir, M. Valls sache vraiment ce qu’il veut faire de la politique écologique française… Nous en saurons plus dans quelques jours, même si les annonces et effets d’annonce ne doivent pas nous empêcher, dans quelque cas que ce soit, de rester prudent, voire sceptique, la République n’ayant jamais montré un grand empressement à poser et résoudre les questions environnementales.
    http://nouvelle-chouannerie.com/index.php?option=com_content&view=article&id=1137:lerreur-fatale-des-verts&catid=48:2014&Itemid=59
    (à suivre : - Quel bilan environnemental du gouvernement Ayrault ? – Quelle politique environnementale peut-on promouvoir en France dans les années et décennies prochaines ? Notes à paraître d’ici le 6 avril, si tout va bien…)

  • Comment les écolos jouent avec Hollande

    Ils ne pèsent rien mais on n’entend qu’eux : les écolos. Et pour cause : ils jouent, avec Hollande, au petit jeu du « Je te tiens, tu me tiens par la barbichette ». Qu’ils s’en aillent, et Hollande n’a plus de majorité au Sénat. Qu’ils exigent trop, et ils ne feront pas le poids face à la structure étatique. Le compromis, c’est le sociétal. Et les basses œuvres.

    Fichues élections européennes et régionales de 2009 et de 2010… Rappelez-vous. Fin 2008, les Verts décident de se lancer une fois de plus, seuls, dans la bataille des européennes de juin 2009. Sur une idée de Daniel Cohn-Bendit et sur une mise en scène de Cécile Duflot, qui tient fermement l’appareil et va être reconduite au secrétariat général des Verts, les écolos tiennent une conférence de presse… au Musée d’art africain !

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    (Il va y avoir une recomposition de la gauche suite aux municipales Pat)

  • La pollution n'est pas un accident

    L'autre soir, il flottait dans l'air une drôle d'odeur, à la fois douce et âcre, et une sorte de brume semblait entourer les arbres et cerner les murs alors qu'aucune humidité n'était visible : la pollution atmosphérique ne s'arrête pas au soleil couchant...

    Les images impressionnantes de la tour Eiffel noyée dans ce brouillard qu'on imagine malodorant ont rappelé à certains de nos concitoyens que la pollution n'est pas une fiction et qu'elle n'est pas réservée aux pays en voie de développement ou à une Chine en plein essor économique : effectivement, elle reste liée à ce mode de société qui est le nôtre, à une société de consommation et d'immédiateté qui veut toujours aller plus vite, plus loin, plus fort sans en mesurer toutes les conséquences sur l'environnement et sur les hommes eux-mêmes. Energivore, elle consume les hydrocarbures qui se transforment en mouvement et en force mais aussi en fumées et en pollution : et le mouvement accompli, la pollution, elle, demeure et plus longuement, s'inscrivant peu à peu dans les airs, les eaux, les terres...

    Il serait confortable de se contenter de ce constat et de soupirer juste un peu en regrettant que le progrès n'ait pas encore résolu ce « détail » des pollutions qui semblent souvent inhérentes aux nouvelles technologies et à cette course effrénée vers une humanité toujours plus parfaite, la technique étant supposée en finir avec tous les petits et grands malheurs de la vie humaine sur terre...

    Confortable mais guère civique : car, n'avons-nous pas le devoir de transmettre à notre tour cet héritage reçu des générations précédentes, et dans le meilleur état possible ? Certes, la Démocratie-système s'intéresse plus à son présent qu'à l'avenir des prochaines générations, ce que soulignait Michel Serres il y a quelques années lorsqu'il expliquait qu'il vaudrait mieux penser (et pratiquer) la politique sur le long terme plutôt que selon le seul calendrier électoral comme c'est trop souvent le cas aujourd'hui. Mais cela ne doit pas nous empêcher de « prévenir » pour éviter de n'être que dans la gestion de crise, quand celle-ci a déjà éclaté, quand il est déjà trop tard et que nos poumons en subissent les amères effluves ! Car il est à craindre que, une fois l'épisode polluant passé, on ne s'empresse de l'oublier, renvoyant aux calendes grecques ce qui, pourtant, ne devrait pas attendre : or, faire reculer les pollutions, éviter les accidents atmosphériques ou préserver, tout simplement, la santé des gens, ne sont pas des caprices d'écologistes mais des nécessités d'ordre et de santé publics, tout simplement !

    Jean-Philippe Chauvin

    http://www.actionroyaliste.com/bibliotheque-du-gar/les-revues-sociales-asc/1331-la-pollution-nest-pas-un-accident

  • Doute climatique

    Episode 1 : La terre ne se réchauffe pas

    Le changement climatique est devenu une nouvelle religion. Ses grands prêtres considèrent que la messe est dite et répètent en boucle fermée leur litanie :

    • la terre se réchauffe et la température moyenne du globe pourrait augmenter de 6° en un siècle,
    • les émissions de CO2 d’origine humaine sont coupables de ce réchauffement,
    • les conséquences pour la planète seront catastrophiques avec notamment une montée du niveau des océans, la fonte de la banquise, l’accroissement de l’amplitude des tornades,
    • seule une réduction drastique des émissions de CO2 peut encore éviter la catastrophe,
    • et bien évidemment, il y a un parfait consensus scientifique sur le sujet donc il est inutile d’en discuter, il faut agir !

    Les hérétiques qui osent contester le moindre aspect de la doctrine sont fustigés par les inquisiteurs climatiques et accusés d’être des suppôts des intérêts pétroliers ou des néo-conservateurs.

    Et pourtant, il y a de très sérieuses raisons de douter de tout cet édifice. On peut même affirmer qu’il est très probable que tout est à peu près faux : la terre ne se réchauffe plus, les émissions de CO2 d’origine humaine ont un rôle négligeable sur la température du globe, et le consensus scientifique n’existe absolument pas.

    Commençons par la première observation, la plus fondamentale : la terre ne se réchauffe plus depuis 1997.

    Selon le « Climate Research Unit » de l’université d’East Anglia et son directeur Phil Jones, qui fait autorité en la matière, la température moyenne sur toute la superficie du globe est constante depuis 1997,  dans une période où a pourtant été envoyé dans l’atmosphère près d’un tiers de tout le CO2 émis depuis le début de l’ère industrielle. Phil Jones est l’un des principaux pourvoyeurs de données du GIEC. Richard Lindzen, titulaire de la chair Alfred Sloan du MIT, ancien auteur principal du GIEC, confirme les observations d’East Anglia. Plusieurs autres instituts indépendants très réputés concluent également à la stagnation de la température du globe : GISS, NOAA, HadCRUT, UAH, RSS.

    De fait, même le GIEC dans son dernier rapport s’est résigné à admettre que la température du globe est stable depuis plus de 15 ans. Mais il parle de palier, d’une sorte de pose avant la reprise de l’ascension. Evidemment la courbe en « Hockey Stick » qui montrait une ascension brutale de la température du globe depuis le début de l’ère industrielle était beaucoup plus saisissante. Mais on sait maintenant qu’elle était une imposture, qui a permis à Al Gore et consorts de s’enrichir. Le GIEC n’y fait plus aucune allusion mais son nouveau paradigme du palier est une autre forme d’imposture.

    L’hypothèse de loin la plus probable est celle du cycle de soixante ans bien connu des spécialistes du soleil. Depuis plusieurs siècles, la température moyenne du globe monte, stagne, baisse, stagne, puis remonte dans un mouvement de sinusoïde de période 60 ans. La dernière phase de refroidissement a eu lieu de 1945 à 1960. Elle a été suivie d’une stagnation de 1960 à 1975, puis d’une phase de réchauffement de 1975 à 1997 : c’est cette période qui a donné naissance à la théorie du réchauffement climatique. Le réchauffement de 1975 à 1997 a été de 0,6°C. Il était comparable de 1915 à 1940, alors que le taux de CO2 dans l’atmosphère était beaucoup plus faible.

    Depuis 1997 la température stagne alors que le taux de CO2 continue à augmenter. Nous sommes en fait en haut du cycle et il est très probable que la température va commencer à baisser.

    Le GIEC laisse entendre que malgré cette pose, nous sommes sur une tendance globale haussière. En fait les scientifiques pensent le contraire.

    D’après S.I. Akasofu (2010) la terre se remet lentement du dernier coup de froid dû à une sieste du soleil, le « Minimum de Maunder », intervenu sous Louis XIV. Depuis cette époque, la température s’élève d’un  quart à un demi-degré par siècle, avec une modulation par le cycle solaire de 60 ans. Ce cycle se corrèle parfaitement avec la vitesse du soleil par rapport au centre de gravité du système solaire. Les variations de l’irradiance solaire sont causées par celles du diamètre du soleil, liées à son mouvement par rapport à celui des planètes. Un article de N. Scafetta de 2009 mettait cet effet en évidence mais il n’est pas même cité par le GIEC.

    Par ailleurs, selon S.K. Solanski de l’Institut Max Planck (2004), le soleil sort d’une période de 50 à 60 ans d’activité intense sans équivalent depuis 6000 ans. La tendance est en train de s’inverser laissant entrevoir une période plus froide.

    Le consensus actuel est ainsi clair : la terre ne se réchauffe plus depuis plus de 15 ans et va très vraisemblablement entrer dans une période de refroidissement.

    Nous verrons dans notre prochain épisode que le CO2 est un parfait innocent.

    DANTON

    http://www.resistance2017.net/?p=831#more-831

  • Transports publics en Île-de-France : la grande incurie !

    Du fait de l’exode de nombreux Français de souche hors des banlieues de l’immigration, c’est la grande périphérie qui s’est urbanisée le plus.
    La circulation alternée a offert, lundi 17 mars, de belles galères aux Franciliens : comme il fallait s’y attendre, les lignes de RER, C et D notamment, ont frisé la thrombose et les incidents (habituels) se sont multipliés. Pour une raison simple : les transports publics en Île-de-France n’ont pas été adaptés au développement de l’agglomération.
    En trente ans, la population de l’Île-de-France est passée de 10 à 12 millions d’habitants (notamment du fait d’une immigration massive). Et du fait de l’exode de nombreux Français de souche hors des banlieues de l’immigration, c’est la grande périphérie qui s’est urbanisée le plus. Tels sont les faits.
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