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Au deuxième trimestre 2024, la dette publique de la France s'élevait à 3.228 milliards d'euros, soit 112 % de son PIB (produit intérieur brut). Pourtant, La France est généreuse. En hausse chaque année, le montant des aides distribuées par l’APD (aide publique au développement) dépassait déjà les 15 milliards d’euros, en 2022.
La question des dépenses publiques dans l’éducation est plus que jamais d’actualité. Une récente infographie réalisée par la Fondation pour l’École met en lumière les écarts significatifs entre les coûts supportés par l’État et les familles selon le type d’établissement fréquenté par les élèves : école publique, privée sous contrat ou privée hors contrat. Ces chiffres posent des questions fondamentales sur l’efficacité budgétaire et la gestion des fonds publics consacrés à l’éducation.
Comme vous le savez, je pense que Macron ne démissionnera pas et que la démission n’est ni dans son logiciel politique ni dans son tempérament “psychologique”.
Pour la démission, il ne cèdera pas à la pression ni politique, ni de la rue. Au moment des Gilets jaunes, même poursuivi dans la rue il s’est accroché à son palais comme une moule à son rocher.
Non, la seule hypothèse crédible d’une démission de Macron serait celle de l’attaque des marchés et il serait contraint, dans ce cas, de partir nous faisant une “Lizz Truss”, mais nous n’y sommes pas encore.
C’est un article du Monde (source ici) qui ose évoquer la tentation “trumpiste” des patrons français qui n’en peuvent plus de la bureaucrature qui détruit notre pays à petit feu et qui est devenue totalement folle ces dernières années rendant tout, tout simplement impossible.
Le nombre de retraités contraints de continuer de travailler et de faire le cumul emploi retraite est de plus en plus important.
Si je me vois parfaitement cumuler de m’occuper des mes petits-enfants et écrire quelques chroniques même à la “retraite”, c’est parce qu’évidemment je ne conduis pas un bus ou ne travaille pas à l’usine.
Assez curieusement, plus aucun parti politique ne soulève le problème de la nuisance de l’euro et le danger que cette monnaie, qui n’est qu’une version « remasterisée » du « dollar AMGOT » présente pour l’économie française.
Bayrou est l’heureux élu. Macron sans surprise à fait du Macron, en nommant celui que l‘ensemble de la classe politique s’accorde à qualifier de pire de tous. Sans envergure ni charisme, tout juste bon à rester en embuscade pour obtenir un maroquin, c’est l’homme qui est capable de dire des horreurs sur quelqu’un et de l’embrasser sur la bouche l’instant d’après, pour ses besoins de carrière, c’est ce qu’il avait fait avec Macron en 2016. Il se murmure que Bayrou aurait menacé Macron de le priver du soutien du Modem s’il n’obtenait pas le poste… à voir.
Ce mercredi 11 décembre, la Coordination rurale s’est rendue dans un supermarché de la ville de Fenouillet, en Haute-Garonne. Armés de leurs bonnets jaunes, les agriculteurs du syndicat se sont intéressés aux produits vendus dans cette grande surface de la région toulousaine.
Pour la première fois depuis 2015, le solde de création dans l’industrie sera négatif en 2024. Ce n’est pas une surprise. La gestion de Macron a emmené le déficit commercial de la France de records en records depuis 2017, jusqu’à dépasser les 100 milliards en 2023. Comme ce ne sont ni les Airbus ni l’électricité qui manquent à l’exportation, il était à craindre dès le commencement de sa gestion incompétente que tout ce qui relève du « manufacturing » (usines, industries, etc…) ne fût orienté à la baisse. Un seul chiffre est hélas très parlant : il se fabrique en France moitié moins de voiture en 2023 qu’en 2017. L’automobile et sa longue chaîne de sous-traitance était traditionnellement le premier employeur industriel en France, depuis les années 50, les conséquences en termes de faillites à répétition de toutes ces PME, n’étaient pas difficiles à prévoir. On paye les normes anti-pollutions pondues en dépit de toute forme de réalisme technologique qui ont obligé les constructeurs à tricher pour rester dans des ordres de grandeur totalement déconnectés de la réalité. Puis l’obligation de passage à l’électrique, un produit tellement mauvais qu’il a besoin de subventions massives et qui n’est en plus, pas plus écologique qu’une voiture thermique.
Moi qui commençais à me languir des sanglots longs des violons de l’autonome, moi, pauvre bougre d’économiste normand sans gouvernement, sans ministre ni mamamouchis de service pour m’inspirer mes chroniques quotidiennes, j’étais proche du chômage technique.
Mais me voilà sauvé.
Oui mes amis.
Nous voilà sauvés pour nos chroniques du matin par le retour de Bruno.