La BCE qui est la Banque centrale européenne « peut ignorer une appréciation de l’euro face au dollar jusqu’à 1,20 dollar, mais cela deviendrait beaucoup plus compliqué au-delà de ce niveau » selon le vice-président de la BCE Luis de Guindos.
économie et finance - Page 17
-
Hausse de l’euro… un gros problème pour la zone euro !
-
Les États-Unis renouvellent pour la cinquième fois la levée des sanctions contre les grandes banques russes
Une directive renouvelée cinq fois
Les États-Unis ont levé les sanctions imposées à un certain nombre de banques russes pour des opérations nucléaires civiles afin d’assurer l’achèvement de projets internationaux commencés avant le 21 novembre 2024, tels que l’extraction d’uranium, la production de combustible nucléaire et la construction de centrales nucléaires (par exemple, Paks 2 en Hongrie).
-
« Budget 2026, ne plus augmenter personne au lieu de diminuer tout le monde ! ». L’édito de Charles SANNAT
Mes chères impertinentes, chers impertinents,
Ce à quoi vous assistez est un grand classique de la politique gouvernementale partout dans le monde mais qui a été érigé au rang d’art par nos mamamouchis en France.
Le ballon d’essai.
Le ballon d’essai consiste à avancer une mesure dans la presse.
C’est soit une « confidence », soit un ministre qui parle et évoque une « piste », ou exprime ce qu’il faudrait sans doute faire.
Puis on attend et on compte les hurlements.
Vous connaissez l’applaudimètre ?
Et bien le ballon d’essai c’est l’inverse.
-
(4) Une France en crise(s).
Non, les royalistes ne sont pas des « émigrés de l’intérieur » comme la République essaya de le faire croire dès son établissement frauduleux en 1792. Et les questions sociales ne sont pas pour eux des sous-dossiers qu’il s’agirait de traiter sans profondeur, avec une certaine condescendance. Lors du grand débat de 2023 sur les retraites, loin d’être inactifs et fatalistes, les royalistes sociaux réfléchirent aux enjeux et aux risques, argumentèrent contre les projets gouvernementaux, mais ils travaillèrent aussi à creuser des pistes nouvelles de réflexion, firent des propositions concrètes et refusèrent de tomber dans la démagogie facile. Ce travail, parfois ingrat, n’a jamais cessé, comme l’a démontré la session d’études de l’Action française à Aix-la-Provence, en février dernier. Voici, ci-dessous, la quatrième partie de mon intervention à ce séminaire…
-
Faux arrêts maladie : l’Assurance maladie serre la vis dès le 1er juillet avec un nouveau formulaire sécurisé
À partir du 1er juillet 2025, l’Assurance maladie renforce sa lutte contre la fraude aux arrêts de travail en imposant un nouveau formulaire papier sécurisé. Une mesure prise en réaction à une explosion des fraudes, notamment via la vente de faux documents sur internet.
-
Aide publique au développement : 14,8 milliards d’euros en 2024, pour quels résultats ?
La France dépense votre argent sans compter. Mais à qui profite réellement l’aide publique au développement (APD) ? Une étude fouillée du consultant international Jean-Paul Gourévitch pour Contribuables Associés met en lumière les dérives, les failles et les impasses d’un système présenté comme vertueux, mais de plus en plus contesté. En 2024, ce sont 14,8 milliards d’euros d’argent public qui auront été versés à des pays étrangers au nom de la solidarité internationale. Pour quels effets ? Et à quel prix pour le contribuable français ?
-
Face au traité Mercosur (1). La mondialisation contre la France ?
La guerre commerciale lancée par le président Trump il y a quelques mois n’est pas une bonne nouvelle pour la France, mais elle devrait aussi (et en cela « à quelque chose malheur est bon ») forcer notre pays à changer de stratégie et, au-delà, de modèle économique, et de repenser la mondialisation et les moyens de mieux la maîtriser à défaut de la défaire complètement.
-
Budget. BFM évoque des « pistes d’économies » qui sont des hausse d’impôts !
Les mots ont un sens et il ne faut jamais appeler économies des hausses d’impôts ou de taxes.
Augmenter la CSG c’est de l’impôt en plus même si cela s’appelle une « contribution ». Le français étant très riche (je parle de la langue et pas du citoyen!) nous avons beaucoup de mots pour désigner la rapine et le vol institutionnalisé par nos « zélus ».
Taxes, impôts, contributions, cotisations etc…
-
Accord commercial UE / Ukraine : les agriculteurs français en grand danger
-
Les Français souffrent, mais l’État jette leur argent par les fenêtres
Michel Festivi
Les Français qui travaillent, ou qui ont durement travaillé pour avoir une retraite décente, souffrent et sont pressurisés de toutes parts, mais nos gouvernants envisagent de nous taxer encore plus, et parallèlement, ils n’hésitent pas à jeter l’argent du contribuable par la fenêtre. Quelques exemples parmi bien d’autres, de cette gabegie volontaire, de ce tonneau des Danaïdes.