Il fut un temps où Londres ne se contentait pas de marcher droit, elle se pavanait avec l’arrogance sans vergogne d’une ville qui savait qu’elle n’avait pas besoin de s’expliquer. Il y a une génération, elle avait l’air d’une capitale sûre d’elle. L’argent affluait telle une eau de crue, l’énergie était fanfaronnade et excitation, et l’ambiance suggérée par l’histoire se déroulait toujours à l’abri des regards ; dans un sous-sol de club près de Soho, ou dans les vapeurs de whisky d’un bar des Commons.
économie et finance - Page 11
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La Grande-Bretagne est devenue un pays pauvre avec de riches illusions
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Il ne faut pas augmenter la fiscalité des entreprises dit Lombard…
Pour une fois je suis parfaitement d’accord avec le ministre de l’économie puisqu’en gros 80 % du CA d’une PME française part en impôts, taxes, TVA, CFE, ou charges et autres cotisations dites « sociales » histoire de financer les salaires différés tant vantés par nos aimables concitoyens de gauche qui ne se rendent toujours pas compte qu’il n’y a que des caisses vides et de la dette et qu’ils n’auront jamais de salaires différés mais des dettes immédiates à rembourser !
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Des sénateurs demandent un effort aux Français pour renflouer l’AFP
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Sarah Knafo accuse : le gouvernement français arrose l’Autorité palestinienne
Description de la mission
Pilotage stratégique et coordination opérationnelle
– Assurer le pilotage global du projet : planification, suivi technique, financier et administratif, en lien avec le siège ;
– Superviser la mise en œuvre des activités sur le terrain, en coordination avec le PPFI et les autres partenaires institutionnels ;
– Encadrer le/la chargé.e de mission sur le terrain et les expert·es mobilisé·es ;
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Les ruptures conventionnelles servent à payer l’année sabbatique d’un HEC de 35 ans… et pas que !
C’est l’édito de Raphaël Legendre du BFM TV source ici qui n’y va pas par 4 chemins pour parler des effets délétères des ruptures conventionnelles ! « Elles servent parfois à payer le tour du monde de HEC de 35 ans »: les ruptures conventionnelles c’est un quart des indemnités chômage en France
Il a raison.
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Un plan Bayrou sans vision à long terme.
Alors que la France entrait tout doucement dans cette semi-léthargie politique et sociale qu’annonce ordinairement la célébration du 14 juillet, le premier ministre François Bayrou a choisi de présenter ses pistes de travail pour le budget de la France pour 2026, espérant peut-être que le temps des vacances apaiserait les contestations politiques, sociales et syndicales qui ne pouvaient que se faire jour au moment même où il prononçait son discours. Une espérance vite déçue, et l’intitulé de son pupitre, « le moment de vérité », a paru fort dérisoire au regard des enjeux comme des résistances à ses projets budgétaires.
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« Croissance de 7.6 % en Argentine et récession en France ». L’édito de Charles SANNAT
Mes chères impertinentes, chers impertinents,
Si l’on compare les bilans du méchant Milei le massacreur à la tronçonneuse des dépenses publiques et celui de notre sainteté Macron, Mozart de la finance et de la faillite, il n’y a pas de quoi se réjouir pour nous Français.
L’Argentine connaîtra la seconde croissance la plus forte au monde en 2025 avec un taux de 7,6 % ! Rien que ça.
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Construction. La puissance de la Chine, le déclassement de la France en une vidéo !
Ce n’est pas du France « bashing » d’ailleurs, je ne suis pas parti me planquer à Dubaï pour ne pas payer les impôts en France. Non, je suis modestement en Normandie, et côté climat, ce n’est franchement pas Dubaï, même si le calva peut réchauffer les cœurs de même que les soirées devant le feu du poêle à bois.
Vous l’avez compris, l’objectif ici et de « réveiller » un peu les consciences françaises endormies.
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Cette petite odeur de FMI
Si les Français se chamaillent souvent et sur à peu près tous les sujets, il en est un qui, actuellement, recueille un large consensus : 80% d’entre eux veulent un gel (voire une baisse) des dépenses de l’État et la proposition de budget Bayrou ne fait pas l’affaire. D’ailleurs, pour 78% des Français, Bayrou lui-même ne fait pas non plus l’affaire.
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« Budget Bayrou, juste assez pour éviter la faillite, pas assez pour sauver la France ». L’édito de Charles SANNAT
Mes chères impertinentes, chers impertinents,
Il en faudrait du courage pour sauver le pays, un courage dont manque touts nos politiques, mais aussi une grande partie de notre population pour qui la notion de l’effort est devenue un gros mot dont on ne veut plus entendre parler.
Tout.
Tout de suite.
Facilement.