
Viktor Orbán a adopté mardi 29 avril une mesure visant à renforcer la natalité en Hongrie. Le gouvernement hongrois souhaite exempter d’impôts les mères d’au moins deux enfants.
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Viktor Orbán a adopté mardi 29 avril une mesure visant à renforcer la natalité en Hongrie. Le gouvernement hongrois souhaite exempter d’impôts les mères d’au moins deux enfants.
David Jacquot sur Ecorama voulait que l’on parle de la taxe d’habitation le retour !
« Si un retour de la taxe d’habitation a été exclu par le ministre de l’Aménagement du territoire, François Rebsamen, ce dimanche il a ouvert la porte à une « contribution modeste » pour le « financement des services publics de la commune ». Est-ce le retour d’une taxe d’habitation déguisée ? »
Hahahahahahaha. Nos mamamouchis sont des êtres vraiment extraordinaires et dont la capacité à nous prendre pour des imbéciles ne cessera jamais de m’étonner, le pire étant, que dans la majorité des cas cela fonctionne !
François Rebsamen exclut un retour de la taxe d’habitation mais envisage une « contribution modeste » (source ici)
Amélie de Montchalin, la ministre des Comptes publics, veut “faire du ménage” et réduire les agences et opérateurs de l’État.
« L’État va faire du ménage dans notre organisation, parce que les Français le demandent. Aujourd’hui, on a 180 000 personnes qui travaillent dans les agences et les opérateurs, plus que de gendarmes dans le pays.
Il y a une culture du pouvoir et de la démocratie différente dans les pays européens, notamment ceux d’Europe du Nord, mais également dans la proche Suisse. Les Ministres nordiques, les conseillers fédéraux suisses, peuvent être croisés à tout moment par les citoyens, dans un train, sur un quai de gare, sans garde du corps, sans même une secrétaire ou un collaborateur, seul, rentrant du travail avec un ordinateur portable, dans une simple sacoche. Dans ces pays, les dirigeants sont issus du peuple et sont le peuple et y retournent après leur exercice du pouvoir. Et ils font confiance au peuple, suffisamment, pour aller dans les mêmes endroits que lui, sans protection. Il en va tout autrement en France, non pas par obligation, mais par culture.
ETS2. Retenez bien ce nom, car on risque d’en parler dans les prochains jours.
Et ce ne sera pas en bien. Cette taxe carbone pourrait faire flamber les prix des carburants de 23 centimes par litre.
On a eu les Gilets Jaunes pour moins que cela. Entre les ZFE, les malus divers, les limitations de circulation et maintenant ces taxes carburants ETS2, tous les ingrédients d’une nouvelle crise sociale sont réunis.
Extrait d’un article d’Eugénie Bastié dans Le Figaro sur Pierre-Edouard Stérin, le nouveau diable de la gauche :
[…] « Réfugié fiscal » en Belgique, il donne plus que s’il devait payer des impôts, mais choisit les causes qu’il subventionne. Il a mis toute sa fortune dans un fonds d’investissement Otium Capital qui dégage une rentabilité exceptionnelle (25 % de taux de rentabilité interne) depuis 2015. Une partie des bénéfices dégagés par ce fonds (80 millions) sont alloués chaque année au Fonds du Bien Commun, une organisation philanthropique qui investit dans des initiatives autour du patrimoine, de la culture, de l’éducation, de la foi. Des projets aussi variés que le développement des patronages, SOS Calvaires qui retape le patrimoine chrétien, un pôle Média avec des participations dans le média en ligne Neo. Son idée est de remettre de l’efficacité et une culture de l’objectif dans un monde associatif souvent voué à la gabegie et à l’amateurisme.
La semaine dernière, le Premier ministre a affirmé que « nous ne produisons pas assez ». Un constat que l’on aimerait entendre davantage, tant il est au cœur du problème économique de notre pays, dont le déficit commercial n’a cessé d’augmenter depuis 20 ans, malgré les améliorations illusoires de 2023 et 2024. Mais François Bayrou ne tire pas les conséquences de l’échec des politiques de l’offre…
Le groupe ArcelorMittal, en annonçant la disparition prochaine de plus de 600 emplois en France (dont près des deux tiers sont des emplois de production industrielle) sur sept sites du Nord et de l’Est de la France, menace la pérennité de certains écosystèmes des régions touchées et risque d’accroître une désindustrialisation néfaste pour notre pays.