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économie et finance - Page 154

  • Le vrai coût de l’outre-mer

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    Ah, I'Outre-Mer ! Ah, Ia Grande France ! À I'heure ou les sous-marins nucléaires lanceurs d’engins (SNLE), en maraude silencieuse dans les fonds de tous les océans, rendent caduque toute nécessité de bases prépositionnées hors d'Europe pour sanctuariser le coeur métropolitain, les « confettis de l’Empire » sont un boulet économique, financier et humain pour la Métropole.

    Le vrai cout annuel de l'Outre-Mer, de la nostalgie de la grandeur coloniale, est de plus de 22 milliards d'euros par an...

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  • Le président de la cour des comptes européenne refuse un audit sur sa gestion des dépenses

    Klaus-Heiner Lehne, président de la cour des comptes européenne, est mis en cause par une enquête du journal Libération pour avoir abusé de l’argent public en matière de primes, indemnités de logement et voitures de fonction.

    L’’article évoquait des abus de toutes sortes : « primes de logement pour des logements fictifs… chauffeurs et voitures de grand luxe à usage privé…missions non vérifiées », etc

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  • L’endettement collectif, l’autre sujet occulté

    Le blog d'Ivan Rioufol

    Les sujets occultés sont les plus intéressants. Parce qu’ils gênent, il faut les dévoiler. Le grand endettement du pays est de ceux-là : il fait craindre une banqueroute. Il faut rendre grâce à Éric Zemmour, qui a déclaré sa candidature à la présidentielle mardi, d’avoir déjà réussi à placer la survie de la nation sous les projecteurs de la droite. Jusqu’alors, le « grand remplacement » était également nié, remisé au rang des vieilleries réactionnaires et xénophobes. Or il y a une urgence à rendre la France aux Français.

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  • La reprise économique mondiale n’est plus au beau fixe.

    Tous s’étaient réjouis, après la phase aiguë de la pandémie, que la plupart des pays retrouvent plus rapidement que prévu une croissance nette de leur produit intérieur brut (PIB). Hélas, après l’euphorie du début de cette année, la plupart des économistes… en rabattent. C’est ce qu’il ressort de la dernière publication de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) publiées mercredi 1er décembre.

    Après un pic attendu au dernier trimestre 2021, la reprise économique mondiale va en effet ralentir nettement : la croissance du PIB mondial devrait passer de 5,6 % en 2021 à 4,5 % en 2022, puis à 3,25 % en 2023. L’économie mondiale ne devrait pas rattraper avant 2023 son niveau d’avant la pandémie de Covid-19, avec un redressement beaucoup plus rapide dans les économies avancées que chez les émergents et les pays pauvres.

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  • Nucléaire : l’Iran veut récupérer ses avoirs

    Les négociations sur le nucléaire ont repris à Vienne lundi, entre les grandes puissances et l’Iran.

    Le nucléaire iranien est, on le sait, une préoccupation première des États occidentaux. Les sanctions économiques imposées par les américains à l’Iran, notamment l’impossibilité d’exporter son pétrole, ainsi que le gel de ses avoirs bancaires aux quatre coins du monde sont actuellement dans la balance des négociations et Téhéran n’entend pas se laisser faire.

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  • Transition énergétique : le troisième choc pétrolier a commencé

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    Cette fois c’est probablement malheureusement la bonne. L’explosion des prix du gaz et les nombreuses tensions autour de cette énergie carbonée, jusqu’ici restée dans l’ombre du tout puissant pétrole, révèle que le délicat mix énergétique mondial, déjà en surchauffe, est au bord de l’explosion.

    Jean-Baptiste Giraud est directeur de la rédaction d’EconomieMatin.fr, et auteur de « Dernière crise avant l’Apocalypse », paru le 16 septembre chez Ring. Le troisième choc énergétique fait l’objet de tout un chapitre de l’ouvrage, co-rédigé avec l’économiste et universitaire Jacques Bichot.

    Depuis que la transition énergétique s’est invitée dans le débat politique, c’est toujours la même histoire. Le noir pétrole est systématiquement opposé à la lumineuse électricité, l’un devant céder sa place à l’autre pour sauver la planète, et fissa encore. Entre les deux, comme des cousins lointains dont on aurait honte, le gaz et le charbon sont priés de rester cachés derrière les nuages de vapeur ou de fumées noires des cheminées d’usines qu’ils alimentent.

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  • Le marché automobile français en berne au mois de novembre

    Selon des chiffres publiés mercredi par la Plateforme automobile (PFA), le marché automobile français est resté orienté à la baisse en novembre (-3,21% sur un an). François Roudier de la PFA, témoigne : « On n’a jamais vu un mois de novembre comme ça. Les chiffres sont très bas et on se compare à un mois de novembre 2020 où les concessions étaient restées quasiment fermées 15 jours. » Les constructeurs ont immatriculé 121 995 voitures sur le mois, contre 126 047 en novembre 2020 et 172 731 en novembre 2019. Le marché reste frappé par la crise des semi-conducteurs qui, malgré des carnets de commande plutôt remplis, empêche de livrer les véhicules à temps.

    https://www.tvlibertes.com/actus/le-marche-automobile-francais-en-berne-au-mois-de-novembre

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  • Les migrants expédient des milliards dans leur pays d’origine, selon la Banque mondiale

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    Les chiffres sont rarement évoqués, mais les grandes migrations de ce siècle cachent une  et des transferts de fonds gigantesques. Pas moins de 589 milliards de dollars, soit 520 milliards d’euros : telle est la somme colossale que les migrants du monde entier auront perçue dans leur pays d’accueil en 2021 et qu’ils auront envoyée dans leur pays d’origine, selon les estimations de la Banque mondiale publiées le 17 novembre. Un chiffre en hausse de 7,3 % sur un an, soit par rapport à 2020.

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  • La maîtrise des fonds transférés par les diasporas reste une arme redoutable à l’encontre des pays d’origine des migrants.

    Et, même si Arnaud Montebourg a été contraint de capituler sur ce terrain sous la pression du « politiquement correct« , nous restons convaincus de sa nécessité.*

    Les transferts de fonds par les migrants vers leurs pays d’origine devraient connaître une hausse spectaculaire de 7,3 % cette année, à 589 milliards de dollars (520 milliards d’euros). Les migrants originaires des pays sous-développés envoient trois fois plus d’argent que l’ensemble de l’aide publique au développement dépensée par les pays riches dans le monde. La Banque mondiale, qui publiait ces chiffres mercredi 16 novembre, souligne leur « importance » comme rempart à la crise économique qui frappe actuellement les pays à bas et moyen revenu. Comprenez bien ce que cela signifie : c’est un levier essentiel pour faire accepter par ces pays le renvoi de tous leurs ressortissants qui ne sont pas éligibles au droit d’asile ou qui sont tout simplement expulsés :

    PAS DE VISAS DE RETOUR = BLOCAGE DES FONDS = ASPHYXIE FINANCIÈRE.

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